« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
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Illustration: sainte Gwladus, vitrail de l'église saint-Martin de Caerphilly (1)
Gladys était princesse du Pays de Galles. Elle et son mari Woolos, aussi connu sous le nom de Gwynllyw ap Glywys (Gondèle en français ou Gondlée) étaient devenus des saints, non sans peine.
Réputé violent et impie, Gondlée, chef de clan, avait enlevé sa future épouse, Gladys (fille aînée de Brychan, roi chrétien et gallois de Brycheiniog en Pays de Galles),dont la fidélité conjugale fut loin d'être exemplaire. Pendant longtemps, le nouveau couple mène une vie plutôt dissolue (violences, rapines, brigandages). Or le fils de tels parents, Cadoc, se manifeste très vite, au contraire, comme un saint authentique. Il a assez d'influence pour amener ses parents à quitter leur existence brutale. Woolos renonce à son pouvoir et se retire en ermite dans la région de Newport. Gladys fait de même en quittant et se retirant du monde. Selon la tradition, l'ancienne épouse pécheresse vécut la fin de sa vie dans la prière et l'austérité, au bord de la rivière Ebbwé, dans l'Ouest de l'Angleterre. Elle termina sa vie dans la paix de la conversion du cœur. (2) (3)
Quant à son fils, devenu moine, il fonda un monastère dans la région de Cardiff, puis se réfugia avec ses moines en Armorique (notre Bretagne) lors de l'invasion des tribus saxonnes. Ayant rencontré S. Gildas, lors des invasions saxonnes,Cadoc portera l'Évangile dans la région de Vannes en Armorique (notre Bretagne). Ainsi, le fils et la mère se sont retrouvés par la miséricorde du Seigneur qui "écrit droit avec les lignes courbes de nos vies".
De retour en Angleterre,Cadoc prend soin de ses compatriotes, les Celtes des comtés orientaux combattant les conquérants saxons, qui le livrent au martyre à Weedon. Il mena jusqu'au bout le beau combat de la foi. Le prénom Cadoc, ou encore Kadeg, a d'ailleurs le sens, en celtique, de "combattant valeureux". C'est dans son abbaye qu'ont été formés de nombreux saints celtiques dont saint Brandan et saint Malo.
Sources: (1) Nominis ; (2) Dictionnaire hagiographique Dix mille saints, rédigé par les bénédictins de Ramsgate en Angleterre (Éditions Brépols), L'Evangile au quotidien ; (3) Wikipedia.
Le 20 juillet 1926, Lucie fut envoyée au noviciat de Tuy, non loin de la frontière portugaise, pour compléter son postulat. Le 2 octobre 1926, elle y reçut le voile, y passa ses deux années de Noviciat et fit profession le 3 octobre 1928. Le 13 juin 1929, dans ce même couvent, Notre Dame vint lui demander la Consécration de la Russie à son Cœur Immaculé. Laissons Sœur Lucie nous décrire cette nouvelle et splendide vision [1]:
« J’avais demandé et obtenu la permission de mes Supérieures et de mon confesseur de faire une Heure Sainte, de onze heures à minuit, dans la nuit du jeudi au vendredi. Me trouvant ainsi seule, une nuit… la seule lumière était celle de la lampe (du Très Saint Sacrement). Soudain, toute la chapelle s’illumina d’une lumière surnaturelle et, sur l’autel, apparut une croix de lumière, qui s’élevait jusqu’au plafond. Dans une lumière plus claire, on voyait, sur la partie supérieure de la croix, la figure d’un homme, dont on voyait le corps jusqu’à la ceinture, sur sa poitrine une colombe, également lumineuse et, cloué à la croix, le corps d’un autre homme. Un peu au-dessous de la ceinture (de celui-ci), suspendus en l’air, on voyait un calice et une grande hostie, sur laquelle tombaient quelques gouttes de sang, qui coulaient sur les joues du crucifié et d’une blessure à la poitrine. Coulant sur l’hostie, ces gouttes tombaient dans le calice.
Sous le bras droit de la croix, se trouvait Notre Dame ; c’était Notre Dame de Fatima, avec son Cœur Immaculé dans la main gauche, sans épée, ni roses, mais avec une couronne d’épines et des flammes.
Sous le bras gauche de la croix, de grandes lettres, comme d’une eau cristalline qui aurait coulé au-dessus de l’autel, formaient ces mots : “Grâce et Miséricorde”. Je compris que m’était montré le mystère de la Très Sainte Trinité, et je reçus sur ce mystère des lumières qu’il ne m’est pas permis de révéler.
Ensuite, Notre Dame me dit : “Le moment est venu où Dieu demande au Saint-Père de faire, en union avec tous les évêques du monde, la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé. Il promet de la sauver par ce moyen.
Il y a tant d’âmes que la justice de Dieu condamne pour des péchés commis contre moi, que je viens demander réparation. Sacrifie-toi à cette intention et prie. »
Les conditions de cette Consécration de la Russie sont claires : que le pape consacre la Russie en particulier et non le monde en général et en union, au moins morale, avec les évêques du monde entier.
A plusieurs reprises [2], Sœur Lucie rappellera ces conditions sine qua non.
Lors d’un entretien avec le P. Jongen, à Tuy, le 3 février 1946 : « La Sainte Vierge demande la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie, par le pape, en union avec tous les évêques du monde ». « N’a-t-elle pas parlé de la consécration du monde ? » « Non ».
Le P. Mac Glynn, en février 1947, entendit Sœur Lucie répéter avec force cette demande précise : « Non ! Non ! Pas le monde ! La Russie, la Russie » !
Après l’acte d’offrande effectué le 13 mai 1982 par Jean-Paul II, la voyante fit remarquer que la Russie n’avait pas été l’objet de la consécration. Or, Dieu voulait « la consécration de la Russie et de la seule Russie, sans aucune adjonction ».
Dans une lettre adressée au P. Umberto Pasquale, datée du 13 avril 1980, elle écrit : « Notre Dame à Fatima, dans sa demande, se réfère seulement à la consécration de la Russie » : « só se referece a consagração da Russia », comme nous pouvons le lire ci-dessous :
Dans les deux lettres qu’elle écrivit au P. Gonçalves, en mai 1930, Sœur Lucie précise : « Le Bon Dieu promet de mettre fin à la persécution en Russie, si le Saint-Père daigne faire, et ordonne [3] aux évêques du monde catholique de faire également, un acte solennel et public de réparation et de consécration de la Russie ».
J’entends encore le cher et infatigable [4] abbé Caillon me dire avec émotion dans les années 1980 : « Non, non la Russie n’est toujours pas consacrée au Cœur Immaculé de Marie » ! Reconnaissons tout de même que la réalisation de ces deux conditions : consécration de la seule Russie et l’union morale du Pape avec les évêques, ne dépasse pas les forces humaines ! Pourtant, la demande de Notre Dame n’est toujours pas accomplie, comme en témoigne ce petit tableau :
Pape
Année
Consécration
Russie
Solennellement
Avec les évêques
Pie XI
–
–
–
–
–
Pie XII
1942
Oui
Monde
Oui
Non
Pie XII
1952
Oui
Oui
Non
Non
Jean XXIII
–
–
–
–
–
Paul VI
1964
Oui
Monde
Oui
Non
Jean-Paul Ier
–
–
–
–
–
Jean-Paul II
1982
Offrande
Monde
Oui
Non
Jean-Paul II
1984
Oui
Monde…
Oui
Non
Benoît XVI
2010
Oui
Les prêtres
Oui
Non
François
2013
Oui
Monde
Oui
Non
Il faut admettre, avec le Frère François de Marie des Anges [5], que la consécration faite par Pie XII en 1942 n’a pas été sans fruits : « Il est remarquable que les mois qui suivirent cet acte solennel marquèrent le véritable tournant de la guerre qui s’achemina vers sa fin ». Mais en même temps, le communisme de Staline gagnait en puissance et en 1945 plusieurs nations en seront les victimes.
En août 1931, à Rianjo, Notre-Seigneur adressera à Sœur Lucie ces paroles terribles : « Fais savoir à mes ministres, étant donné qu’ils suivent l’exemple du roi de France [6] en retardant l’exécution de ma demande, qu’ils le suivront dans le malheur. Le Saint-Père consacrera la Russie, mais ce sera tard ».
Une objection vous vient peut-être à l’esprit, cher lecteur : la Russie n’est-elle pas désormais sauvée du communisme ? Le mur de Berlin n’a-t-il pas été détruit ? La pratique religieuse russe n’est-elle pas sortie de la clandestinité ? Le président Poutine, dit-on, suit une retraite annuelle dans un monastère orthodoxe ! Nous ne sommes plus au temps de Lénine ou de Staline !
Certes, mais la Russie est-elle catholique ? L’effondrement du mur de Berlin n’a-t-il pas aussi permis à la décadence occidentale et aux sectes protestantes de pénétrer en Russie ?
Une espérance est néanmoins de mise, car est apparu de nos jours en Russie un pouvoir fort, cohérent et respecté, sinon craint des autres nations, ce qui ne pourra que favoriser les merveilleux fruits de la consécration de la Russie au Cœur Immaculé telle que Notre Dame de Fatima l’a demandé ! La Russie se convertira alors officiellement à la religion catholique et deviendra un modèle de nation chrétienne.
Lorsque le P. Alonso questionna sœur Lucie sur la parole de Notre-Seigneur le Pape consacrera la Russie mais ce sera tard, la voyante lui indiqua que « la consécration de la Russie et aussi le triomphe final du Cœur Immaculé de Marie qui lui fera suite sont absolument certains et se réaliseront en dépit de tous les obstacles ».
(2) Frère François de Marie des Anges : Fatima, joie intime, événement mondial – Edition CRC, 2e édition revue et corrigée en décembre 1993. Cité par l’abbé Fabrice Delestre sur le site de La Porte Latine.
(3) Ce qui peut signifier que le Ciel accueillerait favorablement cette consécration même si l’autorité papale était très amoindrie.
(4) Le lecteur consultera avec profit l’ouvrage du Frère François de Marie des Anges, op. cit., qui rapporte avec quelle persévérance l’abbé Caillon a œuvré pour cette consécration, jusqu’à entrer plusieurs fois en contact avec le pape.
(5) Op. cit. p. 250.
(6) Le 17 juin 1689, Louis XIV refusa de consacrer son royaume au Sacré-Cœur de Jésus comme le lui avait demandé sainte Marguerite-Marie de la part de Notre-Seigneur. Comme le fait observer le Frère François de Marie des Anges (op. cit. p. 217), le 17 juin 1789, exactement un siècle après, le tiers état insurgé se proclamait Assemblée constituante, renversant ainsi la Monarchie. Ce fut le début de la Révolution française avec sa doctrine des Droits de l’homme sans Dieu et ses atrocités contre l’Église …
Au moment où le président Macron mène sa guerre contre la Russie en Ukraine, l'affaire McKinsey tourne à l'"affaire d'Etat" suite à la plainte en justicedu Sénat pour ''suspicion de faux témoignage'' visant Karim Tadjeddine, un dirigeant de la filiale française de McKinsey, un cabinet de conseil américain.
La commission d’enquête du Sénat a rendu public que depuis 10 ans que l’État recourt aux services du cabinet de conseil McKinsey, celui-ci n'a n’a jamais payé ses impôts en France contrairement à ses allégations.
Face à ces révélations à ce qui semble être un mensonge sous serment, le sénateur Arnaud Bazin, président de la commission d’enquête, a indiqué que le Sénat allait saisir le procureur de la justice pour une "suspicion de faux témoignage". Les preuves semblent accablantes.
L’expression "affaire d’Etat" aurait commencé à faire son apparition avec cet article du Nouvel Obs du 25 mars :
Le Sénat a déclaré saisir la justice vendredi 25 mars pour ''suspicion de faux témoignage'' visant un dirigeant de la filiale française de McKinsey, qui le 18 janvier avait déclaré sous serment devant une commission d’enquête sénatoriale que le cabinet de conseils payait bien l’impôt sur les sociétés en France : ''Je le dis très nettement, nous payons l'impôt sur les sociétés en France.'' (1)
Un article de Rtl évoquait mercredi "les entités françaises du cabinet de conseil McKinsey" "accusées par la commission d'enquête du Sénat de ne pas avoir versé d'impôt sur les sociétés entre 2011 et 2020." (2)
Tout a commencé quand la commission d'enquête sénatoriale s'est intéressé aux montants des missions versés par le gouvernement aux cabinets de conseil en stratégie, dont McKinsey.
Les sénateurs s'alarment alors que le recours à ces acteurs privés ait explosé en 2021 : près de 900 millions d'euros de dépenses, contre moins de 400 millions en 2018.(3)
McKinsey a dicté la politique sanitaire du gouvernement pendant le Covid
Le cabinet américain qui a conseillé le gouvernement français dans sa campagne vaccinale, a versé 573 millions de dollars aux États-Unis pour éviter des poursuites dans le cadre du scandale des opioïdes ou opiacés qui a fait des centaines de milliers de morts aux USA. Vendus sur ordonnance ou illégalement, ces antidouleurs hautement addictifs, mais peu contrôlés par les pouvoirs publics, ont tué des centaines de milliers de personnes. L'État fédéral a proposé un accord pour solder les comptes, accepté par le cabinet.
Avec plus de deux millions de personnes dépendantes comptabilisées en 2018 et 400.000 décès enregistrés en moins de vingt ans, la crise des opiacés fait des ravages aux États-Unis. Ces médicaments supposés calmer les douleurs étaient réservés aux maladies graves. Mais les surprescriptions des médecins au fil des ans ont rapidement conduit à des dérives addictives. L'un des principaux responsables pointé du doigt ce jeudi : le cabinet de conseil McKinsey, qui a conseillé le gouvernement français dans sa campagne vaccinale.
Les autorités du pays lui reprochent d'avoir contribué à la crise dévastatrice des opiacés aux États-Unis en donnant des conseils marchands aux géants pharmaceutiques au détriment de la santé des citoyens. McKinsey a notamment conseillé Purdue Pharma pour l'aider à doper ses ventes. Dans ce dossier judiciaire, le fabricant de l'opiacé OxyContin a plaidé coupable l'an dernier, selon des documents déposés devant un tribunal du Massachussetts.
C'est donc au tour du cabinet de payer la lourde addition de cette crise. McKinsey vient de conclure un accord prévoyant le versement de 573 millions de dollars, soit 476 millions d'euros, aux pouvoirs publics américains pour réparer les dommages causés auprès de la population. Cet arrangement financier a été conclu avec les avocats généraux de 47 États, du District de Columbia et de 5 territoires, selon le New York Times et le Wall Street Journal. Cet accord économique permettra à McKinsey d'échapper à des poursuites au civil. Le cabinet de conseil n'a toutefois pas souhaité répondre aux sollicitations de l'AFP pour commenter cette information. (4)
Un rôle important dans la campagne de vaccination
Le 12 janvier, quelques jours après les révélations du Canard enchaîné et de Politico sur la sous-traitance de la logistique du plan de vaccination à McKinsey, Olivier Véran a été auditionné en commission à l'Assemblée pour justement détailler la stratégie vaccinale française. Et il a évidemment été interrogé sur le cabinet de conseil américain. Réponse laconique du ministre : "Il est tout à fait classique et cohérent de s'appuyer sur l'expertise du secteur privé." Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, avait été plus loquace en conférence de presse une semaine plus tôt, comme le note Politico.
L'embauche de consultants externes fournit "un soutien du secteur privé en plus de l'expertise de nos fonctionnaires, a-t-il expliqué. C'est dans ce contexte que nous avons utilisé (McKinsey). Comme vous le savez, la logistique est au cœur de la campagne de vaccination." Gabriel Attal a ajouté que "les cabinets de conseil sont utilisés depuis plusieurs années par plusieurs gouvernements lorsqu'ils élaborent et mettent en œuvre de grands projets nécessitant un soutien et des conseils stratégiques ou logistiques". (5)
Ursula von der Leyen, présidente non-élue de la Commission Européenne orchestrant la grande opération vaccinale, a un fils travaillant pour le cabinet McKinsey. (6) La campagne de vaccination elle-même... a été en partie sous-traitée à McKinsey pour la somme de 12 millions d’euros. (7) L’influence grandissante des cabinets de conseil pose de nombreux problèmes. D’abord, quelle est leur légitimé démocratique ? La question se pose d’autant plus que les consultants ont été en première ligne tout le long du quinquennat d’Emmanuel Macron.
Selon le rapport de la commission d’enquête, "les cabinets de conseil sont intervenus sur la plupart des grandes réformes du quinquennat, renforçant ainsi leur place dans la décision publique". Certains ministres minimisent leur influence et parle du caractère ponctuel, notamment pendant la crise sanitaire. Pourtant, "le recours du gouvernement aux cabinets de conseil a été massif tout au long du mandat d’Emmanuel Macron, et ce bien avant la pandémie". Ainsi, 1 600 missions auraient été réalisées par différents cabinets de conseil, comme McKinsey, Citwell et Accenture.
Eliane Assassi, sénatrice de Seine Saint-Denis, rapporteur du rapport de la Commission Cabinets de conseil, met ainsi en cause leur légitimité : "Des pans entiers des politiques publiques sont délégués à des consultants, qui n’ont toutefois aucune légitimité démocratique. Il s’agit d’une intrusion en profondeur du secteur privé dans la sphère publique." La sénatrice déplore un recours aux cabinets de conseil qui est devenu "un réflexe de la part de celles et ceux qui nous gouvernent, et peu importe l’argent qu’on y met."
Mathieu Aron et Caroline Michel-Aguirre, auteurs du livre-enquête Les infiltrés, n’hésitent pas à parler de "putsch progressif" au sein de l’Etat.
Macron s'est dit alors "choqué" de l’optimisation fiscale pratiquée par le cabinet McKinsey, et le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal a appelé l’administration à recourir au conseil "avec parcimonie".
Le président candidat a répété son ambition d’une imposition des multinationales dans les pays où elles sont en activité.
"Cela me choque comme tout un chacun", avait de son côté réagi Emmanuel Macron, mercredi soir sur M6, à propos du fait que McKinsey n’aurait pas payé d’impôt sur les sociétés pendant dix ans, selon les révélations du rapport des sénateurs sur le cabinet. Il disait toutefois n’être pas scandalisé à l’idée "que le gouvernement, que les collectivités aient recours à des cabinets d’experts". "Le critère, pour moi, c’est qu’il ne faut pas que cela vienne remplacer des choses que l’on sait faire nous-mêmes et que ce soit fait de manière transparente et contrôlable", a encore dit le président candidat. "Je veux que toute multinationale paie des impôts là où elle travaille", a plaidé Emmanuel Macron.
Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, de son côté, a reconnu sur Franceinfo hier, "une augmentation de cabinet d’experts auxquels l’Etat a eu recours pendant la crise sanitaire pour accompagner le déploiement de la campagne de vaccination, notamment".
"Un milliard, c’est encore de la parcimonie ?", lui a demandé le journaliste Marc Fauvelle. "Non. Ce que je suis justement en train de dire, c’est qu’il y a eu une situation exceptionnelle pendant la crise sanitaire à un moment où, l’objectif, c’était d’être le plus rapide possible et donc de mobiliser des forces, des experts, des compétences en dehors de l’Etat pour venir accompagner l’effort", a répondu Gabriel Attal. (8)
McKinsey ''a coûté l’an dernier (en 2021) 1 milliard d’euros pour des missions bien floues, continuera à se gaver d’argent public, à ne pas payer d’impôts et à se permettre de mentir devant le Sénat !'' a déclaré Marine Le Pen. (9)
Autre couac, l'un des salariés directeurs de McKinsey qui gère la vaccination en France est Victor Fabius, le fils de Laurent Fabius, président du Conseil Constitutionnel qui a validé le "Pass vaccinal", au mépris de nos droits fondamentaux. (10)
Le site Liberté politique rapportait le 11 janvier 2021 que "pour superviser leur stratégie de vaccinations anti-Covid,... les gougnafiers qui ont pris en otage le peuple français, viennent de conclure un juteux marché, ... pour le 'cabinet de conseil privé McKinsey', sollicité pour gérer la gestion de la campagne vaccinale en France, pour la modique somme de… deux millions d’euros par mois, prélevés directement sur nos impôts ! (11)
Lundi 16 mars dernier, le Sénat a publié un rapport concernant "l'influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques".
La Dépêche du Midi a livré cinq exemples marquants d'évasion fiscale exposés par les sénateurs dans leurs investigations (12) :
Impôts impayés depuis 10 ans
C'est la grosse accusation engendrée par l'enquête du Sénat : le cabinet de conseil McKinsey n'aurait pas payé d'impôts sur ses filiales françaises depuis 10 ans. D'après le rapport, les versements "s'établissent à zéro euro depuis au moins 10 ans".
Au total, selon le Sénat, McKinsey affiche un "chiffre d'affaires sur le territoire national de 329 millions d'euros en 2020, dont environ 5% dans le secteur public, et y emploie environ 600 salariés".
...Le directeur associé de McKinsey France, Karim Tadjeddine, a démenti toute accusation de fraude fiscale.
La mission avortée de la réforme des retraites
Le 21 novembre 2019, la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse commande au cabinet McKinsey une prestation de conseil. Objectif : apporter un éclairage sur la transformation future de la CNAV en vue d'une réforme des retraites menée par le gouvernement. Cette mission se déroule deux mois avant le dépôt d'une proposition de loi en conseil des ministres. Durant cinq mois, McKinsey travaille à définir le programme de transformation et à établir 31 chantiers, pivots de l'impulsion du programme. Résultat : un guide d'une cinquantaine de pages destinés aux responsables du chantier.
Cependant, à aucun moment le logo McKinsey n'apparaît sur les livrables. Il est remplacé par celui de l'assurance retraite. La CNAV se dit alors satisfaite de la prestation. Problème : la mission de McKinsey ne donnera pas de suite manifeste puisque le projet de réforme du système universel est abandonné en novembre 2021 par Emmanuel Macron, notamment à cause de la crise sanitaire du coronavirus. Une mission qui a coûté près d'un million d'euros soit plus de 2 700 euros par jour de consultant, sans résultats concrets. En effet, selon ce tweet de Public Sénat :
"« En 2019, McKinsey a obtenu une prestation pour la Caisse nationale d’assurance vieillesse, d’appui à la préparation à une potentielle réforme des retraites, pour un montant de 920 000 euros. Quel était le rôle de McKinsey ? » demande Eliane Assassi".
2700 euros par jour de consultant McKinsey pour une réforme des retraites avortée alors qu'un haut fonctionnaire de catégorie A + coûte 362 euros par jour à l'Etat.
Un rapport McKinsey publié en avril 2020 intitulé Artificial Intelligence, Critical Industrial applications (L'Intelligence artificielle, applications industrielles critiques) a coûté la modique somme de un million d'euros pour 34 pages. Soit 30 000 euros la page ! Dont "une page de couverture 30 000 euros; une page avec le numéro de la Commission 30 000 euros; la page blanche 30 000 euros; le sommaire 30 000 euros..."(13)
Un flop à 500 000 euros sur le métier d'enseignant
Parmi les dépenses discutées par le Sénat, il y a cette étude menée sur le métier d'enseignant pour la DTIP (la direction interministérielle de la transformation publique). Pour un budget de 496 800 euros, McKinsey livre alors une compilation de travaux scientifiques et de graphiques fondés sur des données publiques de l'OCDE (organisation de coopération et de développement économiques). Un résultat qui satisfait la DTIP qui émet tout de même des réserves quant aux "nombreuses itérations pour arriver à répondre aux attendus du ministère de l'Eductaion nationale".
Et encore une fois, aucun résultat ne ressort de cet investissement financier de près d'un demi-million d'euros. En cause, l'annulation du colloque de l'UNESCO prévu en mars 2020 à cause de la crise sanitaire mais aussi et surtout la maigre utilisation du rapport trop incomplet. Selon le ministère de l'Education nationale, "il n'est pas possible de déterminer les conséquences directes" de l'étude produite par McKinsey.
Leur rapport sur le métier d'enseignant a été facturé 496000 euros pour une note de 200 pages, ça fait 2480 euros la page... (14)
4 millions d'euros et 2 ans de retard pour la réforme des APL
La réforme des APL constitue l'un des plus gros budgets alloués au cabinet McKinsey. Un montant de près de 4 millions d'euros qui n'était en fait pas prévu... En effet, la mission de McKinsey ne devait durer que trois semaines mais la réforme, qui devait initialement s'appliquer à partir du 1er janvier 2019, ne s'appliquera finalement que deux ans plus tard.
En cause, de nombreux retards provoqués par des difficultés liées à des carences informatiques du système et des problèmes de sécurisation. À trois reprises, le cabinet McKinsey se voit attribuer des sommes allant de 400 000 à 2 millions d'euros.
McKinsey, arbitre administratif ?
C'est un point controversé montré par le rapport du Sénat : l'implication et l'influence des cabinets de conseil sur les prises de décisions. McKinsey n'y échappe pas. En 2019, le gouvernement décide de pénaliser les recours excessifs aux CDD en instaurant un "bonus/malus", c’est-à-dire une modulation du taux des cotisations sociales des entreprises. Les principales structures concernées sont la Mutualité sociale agricole (MSA), Pôle emploi et l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale (ACOSS).
Alors que la discussion s'avère difficile, McKinsey est appelé aux côtés de la DTIP pour apporter "un regard neutre et indépendant sur les relations parfois complexes des acteurs en présence". Le cabinet organise des réunions, donne son avis mais ne parvient pas à trouver une solution aux problèmes de communications internes. Le bilan est sans appel pour la DTIP qui déplore une "difficulté à mener de la coconstruction avec l'équipe McKinsey et à avancer main dans la main avec le cabinet". Pas de quoi remettre en cause pour autant la juteuse rémunération du cabinet de conseil américain qui empochera 327 060 euros.
Derrière l'affaire McKinsey se trouve l’affaire du financement de la campagne d’Emmanuel Macron, comme le révèle site 24HeuresActu :
"la commission d’enquête du Sénat a en effet révélé que l’exécutif avait versé près de 1 milliards d’euros au cabinet américain McKinsey... Mais le rôle d’Emmanuel Macron restait à élucider. C’est désormais chose faite et le scandale devient politico-judiciaire. En recoupant les emails disponibles dans les Macronleaks et les révélations du journaliste d’information Matthieu Aron (auteur de Les infiltrés, Comment les cabinets de conseil ont pris le contrôle de l’État), il apparait que le principal bénéficiaire, chez McKinsey, de ces juteux contrats n’est autre queKarim Tadjeddine, un ami personnel d’Emmanuel Macron, mais surtout un participant important à sa première campagne et aux levées de fonds d’En Marche.
Autrement dit, la personne responsable de contracter les marchés avec l’administration française au sein du cabinet McKinsey et présentant des factures très onéreuses puisqu’il s’avère que les dépenses de consulting ont plus que doublé ces cinq dernières années, pour dépasser le milliard d’euros en 2021, aurait appartenu au staff de campagne d’Emmanuel Macron en 2017... (15)
Ironie de l’histoire ou cynisme selon les points de vue, il s’avère que c’est le cabinet McKinsey qui a notamment été missionné par l’Élysée sur la question des APL (Aides personnalisées au logement) pour finalement conduire à une baisse de cinq euros de ces dernières… en ayant été rémunéré à hauteur de 4 millions d’euros d’argent public pour cela. (16)
L’hebdomadaire Marianne nous apprend d’ailleurs que Karim Tadjeddine est un proche d’Emmanuel Macron, avec lequel il a sympathisé lors de la Commission Attali, durant laquelle ils siégeaient ensemble. Emmanuel Macron a même préfacé en 2016 un ouvrage de Tadjeddine, l’Etat en mode start-up, au titre prémonitoire.
Dans une enquête de François Krug, Le Monde relevait dès 2021 : "Commission Attali, rédaction du programme présidentiel, élaboration de la stratégie vaccinale contre le Covid-19… Comment le puissant cabinet de conseil américain accompagne le chef de l’Etat et intervient dans de nombreux dossiers sensibles, et notait qu’en macronie "c’est étonnant comme les gens n’aiment pas parler de McKinsey. On a vite renoncé à dénombrer les messages sans réponse, les refus catégoriques, les excuses embarrassées, les 'bon courage' compatissants. Ceux qui acceptent de l’évoquer exigent en quasi-totalité l’anonymat. Ce n’est pas pour rien que le cabinet américain est surnommé 'la Firme' dans le secteur... Le député PS des Landes, Boris Vallaud n’avait pas manqué de s’interroger lui aussi : "Pourquoi vous a-t-il fallu recourir à McKinsey?" Son collègue (La France insoumise) du Nord Adrien Quatennens a ironisé : "Ne dispose-t-on pas, au sein de l’appareil d’Etat, d’un Haut-Commissariat au plan ni de logisticiens compétents ?" (17)
Tadjeddine et les macronleaks : une cheville ouvrière de la campagne de 2017
En fait, on retrouve Tadjeddine dans les Macronleaks, avec son email professionnel, s’occuper de la création d’un site internet banal, qui n’appelle usuellement pas ce type de profil (un directeur associé chez McKinsey gagne en général un salaire de l’ordre du demi-million d’euros…), et donner des coups de mains à droite et à gauche, faisant bénéficier le candidat de son entregent et de son réseau. Si Karim Tadjeddine s’est depuis excusé d’avoir utilisé son email McKinsey, il n’a jamais nié son implication dans la campagne En Marche.
Depuis, il s’est trouvé incapable de répondre aux sénateurs de la commission d’enquête sur le réel contenu des étude vendues à l’État, par exemple d’une note facturée 500 00 euros pour "réformer l’éducation"… Une note dont le contenu particulièrement faible laisse un sentiment étrange.
Karim Tadjeddinne avait déclaré en janvier devant la Commission d’enquête du Sénat que McKinsey payait ses impôts en France : "Nous payons l'impôt sur les sociétés en France et l'ensemble des salaires sont dans une société de droit français qui paie ses impôts en France." Ce qui s’est avéré faux et a déclenché un signalement au procureur. Côté Sénat : "Ses versements [de l'impôt sur les sociétés] s'établissent à zéro euro depuis au moins 10 ans, alors que son chiffre d'affaires sur le territoire national atteint 329 millions d'euros en 2020, ... et qu'il (le cabinet) y emploie environ 600 salariés", peut-on lire dans le rapport de la commission d'enquête publié le 17 mars. Pour s'en assurer, les sénateurs étaient allés contrôler sur pièces auprès de l'administration fiscale, à Bercy.
Interrogé par Les Echos, le cabinet réitère avoir "respecté l'ensemble des règles fiscales et sociales françaises".
En cause : le recours à l'optimisation fiscale, qualifié ici d'"exemple caricatural" par les sénateurs. Ils détaillent : les entités françaises de McKinsey - qui sont des "établissements stables" au sens fiscal - versent des "prix de transfert" à la société mère basée au Delaware, pour compenser des dépenses mutualisées au sein du groupe, à savoir les frais d'administration générale, l'usage de la marque, l'assistance interne au sein du réseau, la mise à disposition de personnels, etc.
Pour mémoire, les prix de transfert sont des transactions réalisées entre différentes entités d'un groupe, dont certaines sont potentiellement situées dans des juridictions où la fiscalité est faible. Cette mécanique peut donc permettre de réduire la base imposable dans le pays où les impôts sont élevés, là où se trouve en général l'activité, le personnel, etc.
"En l'espèce, les prix de transfert que les entités françaises de McKinsey versent à la société américaine sont d'un montant tel qu'ils participent à rendre le résultat fiscal en France nul ou négatif, depuis au moins 10 ans", fustige le rapport de la commission sénatoriale.
Comme le rappellent les sénateurs, s'ils ne sont pas en eux-mêmes illégaux, les prix de transfert doivent respecter le principe de pleine concurrence. Cela signifie que le prix pratiqué entre des entreprises dépendantes (en l'espèce, les entités de McKinsey installées en France et la maison mère basée au Delaware) "doit être le même que celui qui aurait été pratiqué sur le marché entre deux entreprises indépendantes". Des prix de transfert surévalués représentent donc une irrégularité fiscale.
L'administration fiscale doit donc effectivement vérifier que les schémas respectent les règles. Elle vérifie que "les entreprises implantées sur leur territoire et qui commercent avec d'autres entreprises liées et implantées à l'étranger sont correctement rémunérées pour les opérations réalisées et déclarent la juste part du résultat devant leur revenir eu égard aux activités déployées", est-il écrit dans le bulletin officiel du fisc.
Entité au Delaware
Il avait précisé que "le cabinet emploie ses salariés en contrat de travail de droit français, est immatriculé au registre du commerce et des sociétés (RCS) et respecte l'ensemble des règles fiscales et sociales françaises applicables aux sociétés - c'est d'ailleurs un préalable pour répondre aux appels d'offres publics".
Le directeur associé avait ajouté que l'entreprise était organisée en "succursale rapportant à l'entité mère basée au Delaware mais l'ensemble de nos activités, dans les secteurs publics et privés, et l'ensemble des contrats de travail sont portés par cette société de droit français".
Le cabinet assure aux Echos "respecter l'ensemble des règles fiscales et sociales françaises applicables". Il fait savoir qu'entre 2011 et 2020, McKinsey France a payé de l'ordre de 422 millions d'euros d'impôts et de charges sociales. Il ne parle pas précisément de l'impôt sur les sociétés. (18)
Seulement voilà, le doute plane : dans le cas de McKinsey, "les prix de transfert que les entités françaises de McKinsey versent à la société américaine sont d'un montant tel qu'ils participent à rendre le résultat fiscal en France nul ou négatif, depuis au moins 10 ans", selon le rapport de la commission sénatoriale. Si pas de bénéfice, pas d'impôt sur les sociétés.
Outre cet enjeu fiscal lié à la firme américaine, le rapport de la commission d'enquête sénatoriale a surtout pointé la forte hausse des dépenses de conseil des ministères, ce qui était précisément l'objet de sa mission. Les dépenses ont atteint près de 900 millions d'euros en 2021, contre moins de 400 millions en 2018.
Étrangement, Bruno Lemaire est monté au créneau pour défendre le cabinet anglo-saxon, utilisant le futur pour dire que "toutes les procédures sont déjà engagées par la direction générale des Finances publiques, McKinsey paiera". Autrement dit : ce n’est pas le cas, McKinsey n'a pas payé l'impôt sur les sociétés en France.
Or, pour pouvoir candidater à un appel d’offre public, l’entreprise doit déposer un certificat, remis par les Impôts, assurant qu’ils sont en règle du point de vue fiscal. Cette étape a-t-elle été négligée ? Un tel satisfecit a-t-il été remis de manière mensongère ? Par qui ? En rétribution de quoi ? ou alors McKinsey a-t-il été dispensé de ce formalisme ? Par qui et pourquoi ? Les zones d’ombres sont nombreuses…
Comme l’explique Matthieu Aron dans une interview à Marianne, le problème est évidemment politique, et les liens étroits entre la Macronie et McKinsey questionnent.
...Vers une saisie du PNF pour trafic d’influence ?
Dans l’affaire Woerth, la Justice s’était saisie d’un possible trafic d’influence actif, pour la seule raison que M. Woerth avait fait remettre une Légion d’honneur à quelqu’un lui ayant rendu un service. Nous savons des Macronleaks que M. Tadjeddine a rendu un grand service pour aider et financer la première campagne d’Emmanuel Macron. Le milliard d’euro d’honoraires pour des études particulièrement "maigres" perçu par Tajeddine et McKinsey était-il un remerciement pour service rendu ? M. Tadjeddine a-t-il perçu des bonus à titre personnel sur ces contrats ? Faisait-il partie des grands donateurs d’Emmanuel Macron en 2017 ? (19)
Enfin, il n’y a pas que dans le domaine de la santé que l’exécutif a eu recours aux services de McKinsey. Ahurissant paradoxe, le même cabinet n’ayant pas payé d’impôts en France depuis une décennie est également intervenu auprès du ministère de l'Économie de Bruno Lemaire en 2021 afin d’aider Bercy à identifier les coupes budgétaires de l’État... Des conseils pour réduire les dépenses qui auront tout de même coûté plus de 18 millions d’euros aux contribuables…
Conclusion
Les Français payent deux fois le même travail au public et au privé. Cette double facture, véritable double peine, pose la question de la légitimité de services publics détournés de leur finalité qui est le service de la chose publique.
Défaillant, incompétent et/ou corrompu, ou les trois à la fois, le gouvernement ne remplit plus son rôle, mais continue d'être rétribué pour un travail qu'il ne fait plus et sous-traite sans contrôle, de manière opaque, à des intérêts privés.
Un énième putsch dans l'histoire de la res publica depuis qu'elle est "république".
Le Canard Enchaîné révèle que la stratégie vaccinale Française pilotée par Olivier Véran, et par l'état, obéit aux ordres et aux désirs de Maël de Calan (liens financiers avec Pfizer), consultant du cabinet Américain McKinsey. (20)
(8) Le Monde, 25 mars 2022 https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/03/25/emmanuel-macron-se-dit-choque-de-l-optimisation-fiscale-pratiquee-par-le-cabinet-mckinsey-gabriel-attal-appelle-l-administration-a-recourir-au-conseil-avec-parcimonie_6119138_823448.html
(10) Le VRAI scandale des cabinets de conseil, Rodolphe Bacquet, La Lettre Alternatif Bien-être, 26-03-2022
(11) C’est un fils Fabius qui gère la vaccination en France : tous aux abris ! Liberté politique.com, 11 janvier 2021 https://libertepolitique.com/Actualite/Coup-de-projecteur/C-est-un-fils-Fabius-qui-gere-la-vaccination-en-France-tous-aux-abris
(12) Affaire McKinsey : impôts impayés, missions avortées, budgets envolés... 5 exemples marquants révélés par le Sénat, 19 mars 2022 https://www.ladepeche.fr/2022/03/18/affaire-mckinsey-impots-impayes-missions-avortees-budgets-envoles-5-exemples-marquants-reveles-par-le-senat-10178601.php
(13) Virginie Joron Député français au Parlement européen - Twitter
(17) Le Monde, McKinsey, un cabinet dans les pas d’Emmanuel Macron, 5 février 2021, https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2021/02/05/de-la-creation-d-en-marche-a-la-campagne-de-vaccination-mckinsey-un-cabinet-dans-les-pas-de-macron_6068833_4500055.html
François a annoncé consacrer publiquement la Russie au Cœur immaculé de Marie lors d'une célébration pénitentielle publique, vendredi 25 mars, avec tous les évêques du monde en communion avec le Saint Père à 17h, dans un acte de réparation, selon le vœu de la Vierge Marie à Fatima en 1917.
Dans la video ci-dessus l'abbé Frédéric Martin précise que "l'actuel conflit à l'Est de l'Europe va certainement, aux yeux du grand public, être la raison principale de cette consécration de la Russie au Cœur immaculé de Marie; mais attention, le conteste de l'apparition du 13 juillet 1917 est bien celui d'une vision de l'enfer, donc des péchés qui conduisent dans cette voie de perdition. Et il vous aura peut-être échapper que quelques jours avant le conflit à l'Est de l'Europe, en France, le délai d'avortement a été prolongé de deux semaines, passant de douze à quatorze semaines.
Ô Marie, Mère de Dieu et notre Mère, en cette heure de tribulation nous avons recours à toi. Tu es Mère, tu nous aimes et tu nous connais : rien de tout ce à quoi nous tenons ne t’est caché. Mère de miséricorde, nous avons tant de fois fait l’expérience de ta tendresse providentielle, de ta présence qui ramène la paix, car tu nous guides toujours vers Jésus, Prince de la paix.
Mais nous avons perdu le chemin de la paix. Nous avons oublié la leçon des tragédies du siècle passé, le sacrifice de millions de morts des guerres mondiales. Nous avons enfreint les engagements pris en tant que Communauté des Nations et nous sommes en train de trahir les rêves de paix des peuples, et les espérances des jeunes. Nous sommes tombés malades d’avidité, nous nous sommes enfermés dans des intérêts nationalistes, nous nous sommes laissés dessécher par l’indifférence et paralyser par l’égoïsme. Nous avons préféré ignorer Dieu, vivre avec nos faussetés, nourrir l’agressivité, supprimer des vies et accumuler des armes, en oubliant que nous sommes les gardiens de notre prochain et de la maison commune. Nous avons mutilé par la guerre le jardin de la Terre, nous avons blessé par le péché le cœur de notre Père qui nous veut frères et sœurs. Nous sommes devenus indifférents à tous et à tout, sauf à nous-mêmes. Et avec honte nous disons : pardonne-nous, Seigneur !
Dans la misère du péché, dans nos fatigues et nos fragilités, dans le mystère d’iniquité du mal et de la guerre, toi, Mère sainte, tu nous rappelles que Dieu ne nous abandonne pas et qu’il continue à nous regarder avec amour, désireux de nous pardonner et de nous relever. C’est Lui qui t’a donnée à nous et qui a fait de ton Cœur immaculé un refuge pour l’Église et pour l’humanité. Par bonté divine, tu es avec nous, et tu nous conduis avec tendresse, même dans les tournants les plus resserrés de l’histoire.
Nous recourons donc à toi, nous frappons à la porte de ton Cœur, nous, tes chers enfants qu’en tout temps tu ne te lasses pas de visiter et d’inviter à la conversion. En cette heure sombre, viens nous secourir et nous consoler. Répète à chacun d’entre nous : “Ne suis-je pas ici, moi qui suis ta Mère?” Tu sais comment défaire les nœuds de notre cœur et de notre temps. Nous mettons notre confiance en toi. Nous sommes certains que tu ne méprises pas nos supplications et que tu viens à notre aide, en particulier au moment de l’épreuve.
C’est ce que tu as fait à Cana de Galilée, quand tu as hâté l’heure de l’intervention de Jésus et as introduit son premier signe dans le monde. Quand la fête était devenue triste, tu lui as dit : « Ils n’ont pas de vin » (Jn 2, 3). Répète-le encore à Dieu, ô Mère, car aujourd’hui nous avons épuisé le vin de l’espérance, la joie s’est dissipée, la fraternité s’est édulcorée. Nous avons perdu l’humanité, nous avons gâché la paix. Nous sommes devenus capables de toute violence et de toute destruction. Nous avons un besoin urgent de ton intervention maternelle.
Reçois donc, ô Mère, notre supplique.
Toi, étoile de la mer, ne nous laisse pas sombrer dans la tempête de la guerre.
Toi, arche de la nouvelle alliance, inspire des projets et des voies de réconciliation.
Toi, “terre du Ciel”, ramène la concorde de Dieu dans le monde.
Éteins la haine, apaise la vengeance, enseigne-nous le pardon.
Libère-nous de la guerre, préserve le monde de la menace nucléaire.
Reine du Rosaire, réveille en nous le besoin de prier et d’aimer.
Reine de la famille humaine, montre aux peuples la voie de la fraternité.
Reine de la paix, obtiens la paix pour le monde.
Que tes pleurs, ô Mère, émeuvent nos cœurs endurcis. Que les larmes que tu as versées pour nous fassent refleurir cette vallée que notre haine a asséchée. Et, alors que ne se tait le bruit des armes, que ta prière nous dispose à la paix. Que tes mains maternelles caressent ceux qui souffrent et qui fuient sous le poids des bombes. Que ton étreinte maternelle console ceux qui sont contraints de quitter leurs maisons et leur pays. Que ton Coeur affligé nous entraîne à la compassion et nous pousse à ouvrir les portes et à prendre soin de l’humanité blessée et rejetée.
Sainte Mère de Dieu, lorsque tu étais sous la croix, Jésus, en voyant le disciple à tes côtés, t’a dit : « Voici ton fils » (Jn 19, 26). Il t’a ainsi confié chacun d’entre nous. Puis au disciple, à chacun de nous, il a dit : « Voici ta mère » (v. 27). Mère, nous désirons t’accueillir maintenant dans notre vie et dans notre histoire. En cette heure, l’humanité, épuisée et bouleversée, est sous la croix avec toi. Et elle a besoin de se confier à toi, de se consacrer au Christ à travers toi. Le peuple ukrainien et le peuple russe, qui te vénèrent avec amour, recourent à toi, tandis que ton Cœur bat pour eux et pour tous les peuples fauchés par la guerre, la faim, l’injustice et la misère.
Mère de Dieu et notre Mère, nous confions et consacrons solennellement à ton Cœur immaculé nous-mêmes, l’Église et l’humanité tout entière, en particulier la Russie et l’Ukraine. Accueille cet acte que nous accomplissons avec confiance et amour, fais que cesse la guerre, assure au monde la paix. Le “oui” qui a jailli de ton Cœur a ouvert les portes de l’histoire au Prince de la paix ; nous espérons que la paix viendra encore par ton Cœur. Nous te consacrons l’avenir de toute la famille humaine, les nécessités et les attentes des peuples, les angoisses et les espérances du monde.
Qu’à travers toi, la Miséricorde divine se déverse sur la terre et que la douce palpitation de la paix recommence à rythmer nos journées. Femme du “oui”, sur qui l’Esprit Saint est descendu, ramène parmi nous l’harmonie de Dieu. Désaltère l’aridité de nos cœurs, toi qui es “source vive d’espérance”. Tu as tissé l’humanité de Jésus, fais de nous des artisans de communion. Tu as marché sur nos routes, guide-nous sur les chemins de la paix. Amen.
Des commentateurs n'ont pas manqué de noter que François a annoncé consacrer la Russie et l'Ukraine. Or dans le vœu de la Vierge Marie à Fatima en 1917, il n'est pas question de l'"Ukraine", mais uniquement de la Russie.
Le fait que le pape François consacre la Russie et l'Ukraine ne fait donc que confirmer que ce territoire ou sa plus grande partie (Est), était un territoire russe en 1917.
Carte tirée de Christian GRATALOUP, Introduction de Patrick BOUCHERON, Atlas Historique mondial, Les Arènes - L'Histoire, Paris 2019, p. 471
"Le moteur profond de nos institutions, c'est la corruption. Et c'est ce que les gens ne veulent pas comprendre. Et cela ne date pas ni de Macron ni de la création des institutions européennes, c'est le moteur fondamental de nos institutions depuis qu'elles sont fondées (en 1792) sur le parlementarisme (dit) 'représentatif', une banque centrale (1800) et une fausse séparation des pouvoirs.
"Parce que cette séparation des pouvoirs est faussée par deux choses. D'une part, le fait que tout le système repose sur la domination de partis politiques qui gagnant aux élections législatives envoient leurs représentants au pouvoir exécutif; donc il n'y a pas de séparation entre l'Exécutif et le législatif; d'autre part, quant au pouvoir judiciaire, qu'il vaudrait mieux appeler pouvoir juridictionnel, c'est pareil, il est représenté au sein du pouvoir exécutif. Donc la séparation des pouvoirs est une imposture. Et elle est d'autant plus une imposture qu'elle omet le principe monétaire; Or le principe monétaire est le moyen d'affirmer une réalité politique. Si ce principe monétaire est dans des mains qui ne sont pas des mains politiques mais des mains d'intérêts privés, on ne peut pas parler de 'séparation des pouvoirs'. Donc en fait, tout notre régime politique est une imposture ! Et, la cerise sur le gâteau est que l'on appelé cela 'république' ! Donc en fait on a des mauvais termes sur une réalité opposée. On a appelé 'république' un régime dont la force publique est la corruption au service d'intérêts privés. Donc la chose publique n'a rien à voir dans nos institutions. Rine, strictement rien.
"Donc, d'impostures en impostures on arrive dans une réalité, virtuelle, si vous voulez, que l'on ne peut plus dénoncer parce que l'on n'a plus les armes de discernement qui nous permettraient de dénoncer où est l'imposture.
"C'est une imposture tellement générale qu'elle fait que tout notre système est fondé sur la corruption. Et cette corruption est systémique, elle n'est pas accidentelle.
"La réalité politique dans laquelle croient vivre les gens n'existe pas. Et la réalité des rapports de force est à l'opposé de ce que les gens croyaient connaître.
"Le covid a amplifié (la corruption); il a été un décupleur, un accélérateur de particules si je puis dire de corruption !"
"La France a été du point de vue du contrôle monétaire, un des premiers pays soumis. Parce qu'il y a d'abord eu la création de la Banque d'Angleterre, et ensuite en 1800 la création de la banque centrale française. Toutes les banques centrales ont été créées à l'initiative des banquiers. La Banque centrale de France était sous le contrôle de Napoléon. Et lui, il pensait très malin d'utiliser les armes de l'adversaire (l'Angleterre), en pensant qu'il pourrait avoir le dernier mot sur eux; sauf que aujourd'hui Napoléon est enterré depuis longtemps et la Banque centrale française, elle, est toujours là. Donc en réalité, cela a été un des liens de notre asservissement et un lien très efficace. Parce que cette Banque centrale - peu importe son statut juridique (banque privée ou banque publique) - est toujours restée gérée par les puissances économiques dominantes, qui sont les véritables gouvernement français.
"C'est un élément important, tout à fait indiscutable et indispensable à comprendre. Parce qu'à partir du moment où vous concentrez l'émission et la circulation monétaire dans des mains privées, ma monnaie ne peut plus remplir son rôle d'agent public, de service public, de service qui bénéficie au groupe. C'est un service qui devient accaparé par une caste particulière. Et ceux qui détiennent l'argent vont décider de son affectation. C'est comme cela que ces gens-là ont décidé que certains agents économiques bénéficieraient de leurs largesses et que d'autres n'en bénéficieraient pas. C'est comme cela que les multinationales, les gros conglomérats économiques ont été créés, bien évidemment sous l'anonymat qui permet de décorréler le pouvoir de la responsabilité. Et donc dès lors que vous ne pouvez plus attraire personne en responsabilité, les choses deviennent plus faciles pour les accapareurs.
"Grosso modo, depuis 1815, la France n'est plus au service d'un pouvoir politique, elle est au service d'un pouvoir économique et financier. Et aujourd'hui, on est au bout de notre effondrement. On a perdu la plupart de notre souveraineté; la souveraineté monétaire depuis longtemps, mais à présent on a perdu notre souveraineté industrielle, énergétique avec l'ignomineuse vente d'Alstom, et quantité d'autres fleurons de l'industrie française passée à l'étranger. Et aujourd'hui, aux dernières nouvelles, on est le pays le plus endetté d'Europe, devant la Grèce. Donc, notre avenir n'est pas rose. Le FMI a déclaré qu'à partir de 2023 il va falloir commencer à penser à resserrer des boulons, c'est-à-dire resserrer la distribution d'argent public; cela veut dire la disparition de tous le services publics qui restent. On est aussi un des pays les plus attaqué par son gouvernement parce qu'un des pays les plus imposés au monde. Et cette étape du Covid a permis d'accélérer la liquidation de ce qui restait de souveraineté économique en France, pour justifier une réévaluation de la monnaie (l'euro) à l'aune de notre passif et de notre actif. Or le passif s'étant considérablement aggravé depuis deux ans, c'est un des moyens pour liquider ce qui reste de France. Et ce qui explique aussi que depuis le Covid politique, nos institutions politiques aient été mises entre parenthèses, par des gens qui n'en avaient rien à en redouter.
"On est donc dans une situation intermédiaire, où tout évolue en même temps, le niveau économique, le niveau monétaire, et le niveau institutionnel, pour permettre la bascule dans autre chose. Et cette autre chose sera l'intégration européenne. C'est-à-dire la disparition du pays France." Valérie Bugault
Alors qu'il est sur le point de mourir dans une cellule à -20°C Josyp Terelya va ressentir une chaleur qui lui permettra de survivre à cette terrible épreuve.
Cet homme a survécu à 22 ans d’emprisonnement et de tortures dans des prisons soviétiques pour avoir refusé de renoncer à sa foi.
Dans son livre « Witness, To Apparitions and Persecution in the USSR », publié en 1991,il parle de ses visions.
« J'ai vu la terre trembler, j'avais peur, Ce n'était pas seulement la frayeur mais quelque chose de pire ».
La Vierge a dit :« N'ayez pas peur, vous voyez l'antéchrist en 3 personnes mais il ne peut rien contre vous. Il vous laissera en paix. »
« Vous avez vu l'est et l'Ouest sans Dieu. La différence c'est qu'a l'ouest le rejet de Dieu n'est pas officiellement reconnu. Mais les buts de l'impiété sont les mêmes tant à l'Est qu'a l'ouest. Pour sauver la Russie et le monde entier de l'enfer impie, vous devez convertir la Russie au Christ le Roi. La conversion de la Russie va sauver la culture chrétienne de l'Ouest et fera progresser la chrétienté à travers le monde. Mais le Royaume du Christ, le Roi va s'établir par le règne de la Mère du Christ. »
"Tant de désinformation est répandue. Nous n'avons jamais rien vu de tel“, a déclaré Lara Logan, journaliste de guerre depuis 35 ans, à America's Voice AM. Nous devrions détester Vladimir Poutine et croire tout ce qui est dit à son sujet, mais nous devrions aimer l'Ukraine.
Selon Logan, Poutine savait exactement ce qu'il faisait lorsqu'il a envahi l'Ukraine. Il n'est pas entré directement dans Kiev. La Russie a visité tous ces laboratoires biologiques dans le pays. Nous ne devons pas simplement croire nos dirigeants. Après tout, ils ont menti à propos du Coronavirus.
Selon la journaliste, il y a beaucoup plus de choses dont personne ne parle. Pensez au Bataillon Azov, financé par les États-Unis et l'OTAN. Il y a des images montrant un drapeau de l'OTAN et un drapeau avec une croix gammée. Et leur emblème contient le soleil noir, un symbole occulte également utilisé par les SS. Il contient également le double flash des SS, a-t-elle dit.
Selon nos dirigeants, il ne s'agit que de quelques troupes. Ce n'est pas vrai. Le Bataillon Azov laisse une trace de mort et de destruction dans l'est de l'Ukraine, selon le rapport de guerre. "C'est pourquoi la Crimée voulait appartenir à la Russie.“
Elle a souligné que l'Ukraine était un quartier général des SS. Après la Seconde Guerre mondiale, la CIA a accordé aux Nazis ukrainiens l'immunité contre les poursuites. Les Etats-Unis et les services de renseignement américains financent et arment les Nazis en Ukraine depuis longtemps. "Ce ne sont pas des groupes néonazis, mais de vrais Nazis".
"Je n'aime pas qu'on me mente. On nous ment à une échelle inédite", a souligné le journaliste. "On nous dit d'être à 100% derrière Zelensky, qui est une marionnette et a été élu comme tant d'autres dirigeants.
Beaucoup de gens étaient d'accord avec les déclarations de Logan. Par exemple, elle dit qu'elle "fait exploser des bombes de vérité" et qu'elle "est une vraie journaliste".
Selon l'aveu même de Olivier Véran sur France Info : "L’Allemagne et l’Italie qui ont le Pass et le masque connaissent le même rebond que nous".
"Si vous me posiez la question entre le fait que nous ayons levé les restrictions et le rebond épidémique, je vous dirais regardez l'Allemagne, regardez l'Italie, ils connaissent un rebond épidémique alors qu'ils ont maintenu le pass sanitaire et parfois le pass vaccinal, ils ont maintenu le port du masque dans les lieux fermés, en Italie c'est même le FFP2 qui est obligatoire dans les commerces, ils ont le même rebond que nous!"
« L’Allemagne et l’Italie qui ont le Pass et le masque connaissent le même rebond que nous. » Aveu majeur de Véran ! ➡️ Conseil d’État, Conseil constitutionnel : regardez ça ! Vous avez validé l’anéantissement de nos libertés depuis 2 ans au nom d’un mensonge aujourd’hui avoué ! pic.twitter.com/1wxQHh0HWz
Le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel ont validé l’anéantissement de nos libertés au nom du mensonge d'un Pass pas plus utile que s'il n'y en avait pas.
Un analyste russe a écrit ce que je pense : la troisième guerre mondiale a déjà éclaté.
18 mars 2022 22h37
L'Occident utilise tous les moyens - sauf militaires - contre la Russie, même à son propre détriment. Nous assistons à un feu d'artifice de propagande comme il n'y en a pas eu depuis des décennies. C'est pourquoi je dis depuis quelques semaines qu'à mes yeux, la troisième guerre mondiale a déjà éclaté. La lutte des mondialistes occidentaux contre les États qui croient que le pouvoir doit appartenir aux États-nations et non aux entreprises semble être entrée dans sa phase décisive.
Un analyste de l'agence de presse russe TASS, avec lequel je suis majoritairement d'accord sur l'analyse, a écrit un article très intéressant , que j'ai voulu écrire sous une forme très similaire, c'est pourquoi j'ai traduit son article.
Troisième guerre mondiale : qui effraie qui avec la menace nucléaire ?
La troisième guerre mondiale est déjà en cours. L'Occident combat la Russie avec tous les moyens à sa disposition - politiques, économiques, idéologiques - à l'exception de l'utilisation directe de la force militaire. La principale préoccupation commune est maintenant d'empêcher ce conflit hybride de dégénérer en un échange nucléaire.
Mais même sans cela, les choses vont à l'extrême. La diabolisation de la Russie dans l'espace de l'information occidental s'est accompagnée d'attaques directes contre les dirigeants du pays, son élite politique et culturelle, et même les Russes ordinaires dans le pays et à l'étranger. Le président américain Joe Biden a publiquement qualifié son homologue russe Vladimir Poutine de "criminel de guerre". Un sénateur américain est même allé jusqu'à appeler à l'élimination physique du dirigeant russe.Les propriétaires de Meta (qui possède également Facebook, Instagram et WhatsApp) ont "temporairement" autorisé la publication de tels appels contre Poutine et son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko sur leurs plateformes.
Sur le front des sanctions, les mesures préventives ont remplacé les mesures punitives ; l'objectif expressément proclamé est la destruction de l'économie russe. Selon le ministre russe des Finances, Anton Siluanov, "l'Occident n'a pas respecté ses obligations financières envers la Russie, a gelé nos réserves de change et tente par tous les moyens d'arrêter le commerce extérieur et les exportations de marchandises, ce qui nuit au commerce mondial".
Pour le moins dire, des observateurs indépendants pensent qu'ils essaient de voler et "d'extorquer" à la Russie l'argent qu'elle a investi en Occident. Soit dit en passant, une saison de chasse ouverte à la fortune des soi-disant oligarques russes s'est déjà ouverte là-bas. Le principe de l'inviolabilité de la propriété privée, qui a toujours été considéré comme le fondement de la vie dans les sociétés démocratiques fondées sur l'État de droit, est bafoué au grand jour.
Dans le même temps, les normes de la communication internationale, qui semblaient aussi intouchables auparavant, ont été foulées aux pieds. Washington, avec ses "amis et partenaires", a imposé des sanctions personnelles directes aux dirigeants russes. Moscou a déjà répondu par des mesures restrictives contre les gouvernements américain et canadien, y compris Biden lui-même. Maintenant, Biden a une "interdiction de visite".
Les Américains se sont permis de "punir" des dirigeants étrangers auparavant, mais à ma connaissance – et j'ai demandé à des experts – jamais sous leurs propres présidents des sanctions étrangères n'ont été imposées à qui que ce soit.
Casus belli
Le prétexte de l'offensive frontale massive contre la Russie était son opération militaire pour imposer la paix dans le Donbass. En réalité, cependant, il ne s'agit pas de l'Ukraine, mais de tout le système de sécurité internationale et de stabilité stratégique dans un monde moderne en mutation. "Il est clair queles événements actuels tirent un trait sur la domination politique et économique mondiale des pays occidentaux", a récemment déclaré Poutine. "Plus que cela, ils remettent en question le modèle économique qui a été imposé aux pays en développement et au monde en général au cours des dernières décennies."
La Russie insiste sur le fait que la sécurité doit être partagée et indivisible. Elle souligne qu'elle a lancé ladite opération afin de mettre fin à la guerre de huit ans dans le Donbass et d'éloigner les menaces militaires de ses frontières. Incidemment, cela n'a commencé qu'après que le régime anti-russe actuel à Kiev eut expressément annoncé son intention d'acquérir des armes nucléaires et les vecteurs nécessaires. De leur côté, les États-Unis et l'OTAN, habitués à la domination mondiale dans les décennies post-soviétiques, font tout ce qu'ils peuvent pour préserver le statu quo.
Historiquement, ces différends sur le changement de l'ordre mondial ont pour la plupart été résolus par des guerres majeures. Aujourd'hui, cependant, un conflit armé direct entre grandes puissances menace de se transformer en une catastrophe nucléaire mondiale. Par conséquent, jusqu'à présent, il a été remplacé par une confrontation acharnée dans tous les autres domaines.
Cependant, à mesure que les tensions augmentent généralement, les menaces militaires augmentent également. Des analystes et même des responsables occidentaux accusent la Russie de planifier une sorte "d'escalade pour la désescalade". Moscou nie catégoriquement que nous ayons un tel concept, rappelant avec désinvolture que ce n'est pas nous, mais les pays de l'OTAN et l'Ukraine qui parlent de la possibilité d'une guerre nucléaire. La déclaration de janvier des dirigeants des cinq puissances nucléaires et des membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU - la Russie, la Chine, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France - a réaffirmé qu'"il ne peut y avoir de vainqueur dans une guerre nucléaire et qu'elle ne doit jamais être menée", a d'ailleurs été adoptée à notre Initiative.
Aujourd'hui, cependant, cette période est déjà qualifiée d'avant-guerre et les experts tirent à nouveau la sonnette d'alarme. Par exemple, les coprésidents du groupe de haut niveau sur la sécurité euro-atlantique ont récemment appelé à un cessez-le-feu rapide et à une solution pacifique en Ukraine. À son avis, "les combats à la centrale nucléaire de Zaporijia étaient ... un autre rappel de la rapidité avec laquelle une catastrophe nucléaire peut devenir une réalité dans le feu de la guerre." Le document a été signé par l'ancien ministre russe des Affaires étrangères Igor Ivanov, ancien secrétaire américain à l'Énergie. Ernest Moniz, ancien secrétaire britannique à la Défense Desmond Brown, sénateur américain à la retraite et coprésidents de la Nuclear Threat Reduction Initiative Foundation Sam Nunn et Wolfgang Ischinger,
Aujourd'hui, cependant, cette période est déjà appelée période d'avant-guerre et les experts sonnent à nouveau l'alarme. Par exemple, les coprésidents du groupe de haut niveau sur la sécurité euro-atlantique ont récemment appelé à un cessez-le-feu rapide et à une solution pacifique en Ukraine. Selon elle, "les combats dans la centrale nucléaire de Zaporijia ... ont été un autre rappel de la rapidité avec laquelle une catastrophe nucléaire peut devenir une réalité dans le feu de la guerre." Le document a été signé par l'ancien ministre russe des Affaires étrangères Igor Ivanov, l'ancien ministre américain de l'énergie Ernest Moniz, l'ancien ministre britannique de la défense Desmond Brown, le sénateur américain à la retraite et Co-président de la Nuclear Threat reduction Initiative Foundation Sam Nunn, et Wolfgang Ischinger, qui a dirigé la Conférence sur la sécurité de Munich jusqu'à cette année.
La vérité qui dérange
Mais les armes nucléaires ne sont pas les seules à être des armes de destruction massive. En principe, il n'est pas nécessaire de le rappeler au monde qui se remet actuellement de la pandémie de COVID-19. Mais un souvenir a suivi - encore une fois dans le contexte ukrainien.
Fait intéressant, cela a surpris même certains des politiciens américains qui dirigent le régime de Kiev. Le magazine Federalist a décrit le fameux épisode survenu le 8 mars lors d'une audition de la commission des relations extérieures du Sénat sur la situation en Ukraine, impliquant la sous-secrétaire d'État américaine Victoria Nuland et le sénateur républicain Mark Rubio, avec le recul : « La Russie et la Chine affirment que l'Ukraine a un programme de recherche sur les armes biologiques; Apparemment convaincu que Nuland réfuterait ces affirmations, Rubio lui a demandé si elles étaient vraies. À la surprise apparente de Rubio, Nuland a répondu : "Eh bien, l'Ukraine a des installations de recherche biologique" et "nous sommes en fait très préoccupés par le fait que les troupes russes,
Fait intéressant, cela a surpris même certains des politiciens américains qui dirigent le régime de Kiev. Le magazine The Federalist a décrit avec le recul le fameux épisode survenu le 8 mars lors d'une audition de la Commission des relations extérieures du Sénat sur la situation en Ukraine, à laquelle participaient la Vice-Secrétaire d'État américaine Victoria Nuland et le sénateur républicain Mark Rubio : "la Russie et la Chine affirment que l'Ukraine dispose d'un programme de recherche sur les armes biologiques; Rubio était apparemment convaincu que Nuland réfuterait ces affirmations et lui demanda si elles étaient vraies. À la surprise évidente de Rubio, Nuland répondit :" Eh bien, l'Ukraine a des installations de recherche biologique "et" nous sommes vraiment très inquiets que les troupes russes, les forces armées russes puissent essayer de prendre le contrôle [de ces laboratoires], et nous travaillons avec les Ukrainiens sur la façon de garder ce matériel de recherche loin des mains des forces russes lorsque elles se rapprocheront de lui.“
La sénatrice, selon le journal, "a décidé de ne pas poursuivre l'aveu (apparemment réticent) de Nuland" et a simplement demandé "de confirmer que s'il y avait une attaque biologique, la Russie serait tenue responsable." De son côté, la diplomate "a volontiers convenu que elle en était sûre."
J'ai délibérément cité littéralement les extraits de la publication, jusqu'à la "coupure" de Nuland, et mis les explications entre parenthèses. Je voudrais ajouter que les témoignages sont faits sous serment lors des auditions au congrès et que le parjure est considéré comme une violation grave de la loi. Je suis sûr que la femme intelligente et expérimentée que je connais depuis des décennies ne pouvait donc pas mentir.
A présent, l'écho de ses paroles continue de résonner. Les troupes russes se sont emparées du "matériel" censé leur être caché. Désormais, non seulement Moscou, mais aussi Pékin insiste sur une clarification complète sur les "programmes de recherche" américains dans les biolaboratoires. Soit dit en passant, non seulement en Ukraine, mais aussi dans d'autres pays du monde.
La "visite en ligne"
En parlant de discours au Congrès américain, je ne peux pas éviter les dernières nouvelles : le discours du président ukrainien Vladimir Zelensky au Parlement américain. Il est maintenant invité dans diverses capitales occidentales; une de mes connaissances, un journaliste international chevronné, a ironiquement surnommé un engagement aussi inhabituel une "tournée en ligne".
Naturellement, l'apparition virtuelle sur la colline du Capitole de Washington a été un moment fort de la carrière du visiteur. Je ne vois pas l'intérêt de répéter le contenu de la représentation, qui était parsemée d'appels directs au public - "Mesdames et messieurs, chers Américains". Il ne le mérite pas, même si de nombreux articles ont été écrits à son sujet. Prenez, par exemple, l'appel à "imposer des sanctions américaines à tous les politiciens russes", ou plus précisément, comme cela a été immédiatement expliqué, à tous les responsables russes qui continuent d'exercer leurs fonctions. Le discours d'un comédien.
La principale demande de Zelensky - "l'établissement d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine" - semble également être un vain mot. La Maison Blanche, le Pentagone et le Département d'État américain ont déclaré à plusieurs reprises qu'une telle option, qui impliquerait une confrontation directe avec la Russie, est inacceptable pour les États-Unis et l'OTAN.
Et peu avant le discours de Zelensky, Julian Smith, ambassadeur américain auprès de l'OTAN, a déclaré lors d'une conférence de presse que la zone d'exclusion aérienne ciblée par Kiev n'avait pas non plus de sens d'un point de vue purement militaire. Comme elle l'a affirmé, la récente attaque dévastatrice sur le site d'essai de Yavoriv "dans l'ouest de l'Ukraine, à environ 15 km de la frontière polonaise" a été menée "par un bombardier russe dans l'espace aérien russe", selon les États-Unis. J'en ai entendu parler pour la première fois lors de la soirée d'information.
Vendre la peau de l'ours
Moscou souligne que l'opération d'imposition de la paix se déroule bien et strictement selon le plan, et que toutes les tâches peuvent certainement être accomplies. "Nous assurerons de manière fiable la sécurité de la Russie et de notre peuple et ne permettrons jamais à l'Ukraine de servir de tremplin à des actions agressives contre notre pays", a encore déclaré Poutine.
De l'autre côté de l'Atlantique, les choses sont bien sûr très différentes. La presse et la blogosphère sont pleines de spéculations selon lesquelles la Russie s'est pratiquement piégée en sous-estimant la force de la résistance ukrainienne. En géopolitique aussi, Moscou aurait atteint le contraire du résultat souhaité : il s'est aliéné tout l'Occident, y compris non seulement la politique mais aussi l'économie ; il a entravé le développement ultérieur de son économie; il a apporté une unité et une cohésion sans précédent à l'OTAN, et a même ouvert la perspective d'un élargissement de l'alliance à des pays neutres comme la Suède ou la Finlande.
L'incarnation de ce que j'appelle un tel raisonnement peut être vue dans une question qui est apparue dans un commentaire d'intérêt national : "Poutine était contrarié que l'Ukraine devienne "anti-Russie". Et si l'Allemagne devenait anti-russe ?" La question n'est pas injustifiée, d'autant plus que le journal n'est pas ouvertement anti-russe, mais s'efforce d'avoir une orientation politique réaliste.
D'un autre côté, il y a aussi beaucoup de calculs flagrants. Le respecté magazine Foreign Affairs vient de publier un article intitulé "Le retour de la Pax Americana ? La guerre de Poutine renforce l'Alliance démocratique". Selon les auteurs, le dirigeant russe "a involontairement rendu un immense service aux États-Unis et à ses alliés." Selon le journal, "en les secouant et en les forçant à se débarrasser de leur excès de confiance, il leur a donné une occasion historique de se regrouper sur la veille d'une ère de rivalité intense - non seulement avec la Russie mais aussi avec la Chine - et de remodeler l'ordre international qui, jusqu'à récemment, semblait condamné", ont déclaré les politologues américains.
Bien sûr, comme le dit le proverbe, de telles critiques sont écrites dans la saleté avec un bâton. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a averti à plusieurs reprises les observateurs extérieurs de ne pas juger les plans de la Russie, qu'ils ne connaissent pas en détail, avant qu'ils ne soient mis en œuvre et ne portent leurs fruits. Familièrement, nous appelons cela "vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué." Dans ce cas, c'est doublement approprié, car la Russie est généralement décrite comme un ours dans les commentaires politiques caricaturaux.
L'ours et le dragon
Je pense qu'il est non seulement utile mais également nécessaire d'être conscient de ces réactions et d'autres à nos actions - en particulier lorsqu'il s'agit de la voix de personnes célèbres et influentes. Je me réfère, par exemple, aux commentaires que viennent de publier Richard Haas, président de l'organisation non gouvernementale US Council on Foreign Relations, et George Soros, le principal investisseur et philanthrope.
Ce dernier mérite d'être entendu, ne serait-ce que parce qu'il est presque sans précédent dans notre démonologie native des démocrates mondialistes américains. Il a publié en l'occurrence un court texte intitulé "Vladimir Poutine et le risque d'une troisième guerre mondiale" et l'a mis avec force à la disposition du public.
Il n'est pas particulièrement original. Comme d'autres commentateurs, l'auteur attribue au chef de l'Etat russe "un renforcement miraculeux de la détermination et de la cohésion de l'UE". Il se vante également d'avoir lui-même été jadis "activement impliqué dans l'effondrement de l'empire soviétique" - notamment en créant son propre fonds qui porte son nom en Ukraine "avant même que celle-ci ne devienne un État indépendant", le premier étranger autorisé à créer une fondation en Chine", qui n'a duré que cinq ans avant les manifestations de la place Tiananmen.
Dans la situation actuelle, Soros déplore principalement la force du lien entre Poutine et le président chinois Xi Jinping. Ce dernier, dit-il, "devrait être convaincu que sa confirmation en tant que dirigeant à vie de la Chine cette année ne serait qu'une simple formalité", ce qui signifie qu'il ne rencontrerait aucun obstacle.
L'oligarque américain lie directement la sécurité des actions actuelles de Moscou en Ukraine à l'accord russo-chinois exprimé dans la déclaration conjointe du 4 février, qui est "plus fort que n'importe quel traité". Et il termine son argumentation par un petit indice, ce qui est normal de sa part : "Nous ne pouvons qu'espérer", soupire Soros, "que Poutine et Xi seront chassés du pouvoir avant qu'ils ne puissent détruire notre civilisation".
Et bien, l'homme a pitié d'un ordre dont il a lui-même contribué à façonner les règles...
Le singe rusé
Haas, dont j'ai aussi commencé à lire le texte principalement à cause du nom sonore, avance un argument similaire. Il estime que "la seule partie qui peut pousser Poutine au compromis est la Chine et son président Xi Jinping".
Cependant, les chances que cela se produise sont minces, admet l'analyste, qui était auparavant responsable de la planification de la politique étrangère au Département d'État américain. "La Chine s'est déjà publiquement rangée du côté de Poutine, accusant les États-Unis de la crise actuelle et soutenant même les théories du complot russes", écrit-il. "Xi a peut-être décidé qu'il préférait occuper les États-Unis avec la menace russe plutôt que de se concentrer sur l'Asie. De plus, étant donné le soutien bipartite des États-Unis à une position ferme envers son pays, Xi ne verra probablement pas l'intérêt de s'aligner sur la position américaine.
Pourtant, Haas conseille à Washington de faire pression sur les Chinois, de leur offrir des concessions concrètes et de souligner que "c'est un moment charnière pour votre pays et ses relations avec les États-Unis." (L'alignement) sur la Russie dépasserait de loin les avantages".
Cela me rappelle les nombreux dessins animés dans lesquels l'ours russe et le dragon chinois s'associent pour agir contre les États-Unis. Cela me rappelle aussi qu'il y a trois ans, au Forum économique international de Saint-Pétersbourg, Poutine a raconté le proverbe chinois sur le singe rusé qui regarde la bataille des tigres dans une vallée depuis une haute montagne. Cependant, il a ensuite ajouté que "les choses changent, et cette image aussi".
Il y a un autre épisode qui est resté gravé dans ma mémoire même si je le connais de troisième main. Igor Shuvalov a raconté cette histoire aux participants américains du Valdai Club, et l'un d'eux, le professeur Nikolai Petro de l'Université de Rhode Island, a ensuite partagé ces mots avec des journalistes.
Cela, dit-on, s'est produit lors d'une réunion entre Poutine et Biden alors que Biden était encore vice-président américain. Au cours de la conversation, l'Américain a noté que la Russie était tout simplement trop faible pour revendiquer le leadership mondial. En réponse, il a été suggéré de considérer que même si cela pourrait être vrai, la Russie est suffisamment forte pour déterminer qui sera le leader de demain.
Et il faut vivre avec ça, comme on dit aujourd'hui.
fin de traduction
Passons maintenant à ce que Poutine a dit il y a trois ans à propos du singe regardant les tigres se battre à distance de sécurité. Je me souviens encore bien de ces déclarations de Poutine.
Il y a trois ans, le monde était différent et Trump était au pouvoir. Sa politique anti-chinoise n'a pas encore été approuvée par l'Occident parce que les Occidentaux pensaient qu'après la démission de Trump, le vacarme anti-chinois à Washington appartiendrait au passé. Lorsque Biden a ensuite poursuivi cette politique, l'Occident a également suivi cette politique.
Poutine s'en doutait apparemment lorsqu'il citait le proverbe chinois sur le singe rusé qui regarde le tigre se battre depuis une montagne sûre. Les tigres combattants étaient la Russie et les États-Unis, le singe sournois était la Chine, qui a bénéficié des sanctions occidentales au fil des ans.
Avec la politique anti-chinoise de l'Occident, la Chine doit abandonner son rôle de spectateur, c'est ce que voulait dire Poutine lorsqu'il disait il y a trois ans que "les choses changent, et avec elles cette image".
C'est là où nous en sommes aujourd'hui et la Chine a décidé de quel côté des Tigres elle se battra si elle devait être entraînée dans la mêlée.
Dans mon nouveau livre "A l'intérieur du Corona - La pandémie, le réseau et les bailleurs de fonds - Les véritables objectifs derrière la Covid-19", j'utilise des analyses de données approfondies pour montrer comment la pandémie a été préparée par diverses organisations en plusieurs phases, avec la phase de préparation active qui a commencé par exemple en 2016/2017. En outre, les données montrent également quels objectifs généraux ces organisateurs poursuivent et comment la pandémie leur ouvre la voie pour atteindre ces objectifs.
Le livre vient d'être publié et ne peut être commandé qu'ici directement auprès de JK Fischer Verlag.
Qui ira se battre en Ukraine pour l'OTAN contre la Russie, pour la défense de l'empire américain dans le monde, et pour un président qui nous fait la guerre ?
Dans cette video de la chaine Divizionair, l'avocat Fabrice Di Vizio évoque la situation des soignants non vaccinés suspendus avant de donner sa vision de la guerre en Ukraine :
A 54:50 :
"Pôle Emploi ne veut pas nous verser nos allocations si l'on ne veut pas reprendre notre travail car pas vaccinés. C'est logique, Pôle emploi ne vous verse des indemnités que si vous êtes licencié et demandeur d'emploi. Or vous n'êtes pas demandeur d'emploi puisque vous êtes 'suspendu'.
"On a créé un monstre juridique. Et ce n'est pas une zone grise, c'est une zone noire de la noirceur du mal. Comment peut-on en arriver là ? Vous vous rendez compte de ce qu'on fait ? Quand on y pense, je ne pensais pas voir cela de mon vivant. Vous vous rendez compte que les ordres d'avocats ne bougent pas ? Où sont les ordres professionnels à réagir ? Où sont les syndicats de magistrats ? Où sont les syndicats hospitaliers ? On est en train de piétiner l'Etat de droit en laissant toute une catégorie de gens sur le carreau en train de crever. Et cela, les défenseurs de l'Ukraine s'en fichent. J'entends tous ces gens qui sont 'Ukraine' après avoir été 'Charlie'.
"On est Charlie et on est Ukraine, mais pas soignants suspendus ? Est-ce que vous vous rendez compte de ce que l'on est en train de faire ?
"Ma profession devrait être noire comme la robe qu'elle porte; elle devrait avoir honte de ne pas réagir comme elle le fait. Elle devrait avoir honte ma profession de ne pas s'indigner de cette violation caractérisée des droits de toute une catégorie professionnelle.
"... Quand on ne va pas bien à la fin de notre vie, qui on appelle quand on est dénudé, quand on est le plus fragile ? On appelle les soignants au secours, on les appelle inlassablement avec la sonnette, on les appelle et ils ne viennent pas assez vite... Ils ne viennent jamais assez vite. Et là, concrètement, il n'y a plus personne; on est tous occupés ! Occupés avec le méchant Poutine, occupés à tout ! Mais on n'a pas honte dans ce pays ? Mais quelle honte ! Quand je vous dis qu'il faut se casser de ce pays ! Quand je vous dis que tous ceux qui ont encore un peu de jugeotte devraient se casser de ce pays !
"Ce n'est pas la même chose dans tous les pays d'Europe. Il n'y a qu'en Italie et en France que les soignants sont suspendus."
A partir d' 1:31:20 :
"Je voudrais lire une chronique que j'ai écrite pour Beur Fm. Je vais vous la lire parce que je crois qu'elle est importante :
'Les jours se suivent et se ressemblent. L'Ukraine est gentille et la Russie est méchante. Et gare à celui qui tenterait de mettre de la nuance ! Il risque la mort médiatique, la mort sociale, la mort même peut-être tout court si l'on en croit les menaces que nos compatriotes russes rapportent.
'Le vivre-ensemble, la France black-blanc-beur, le touche pas à mon pote c'était le monde d'avant. Dans le monde d'après il y a la France des vaccinés et les pro-ukrainiens; il y a la France du médiatiquement correct et du politiquement acceptable, il y a la France de la haine des siens et de l'exploitation de la misère des autres. Car l'Ukraine et la misère bien réelle des populations civiles n'est qu'un prétexte pour donner bonne conscience à une caste de bobos en proie à un sentiment étouffé de culpabilité devant leur silence coupable face à la situation des non-vaccinés, et avec elle, les soignants suspendus. Il n'est pas question de le reconnaître; pas question de dire que toute la politique sanitaire depuis deux ans n'était qu'un projet plus ou moins obscur de contrôle des populations. Pas question de reconnaître que nous sommes face au plus grand scandale que la société moderne ait jamais connu, et que le vaccin est en train de causer des dégâts terribles ou terrifiants. Pas question de reconnaître que pour un sandwich ou un coca en terrasse, un navet au cinéma ou une soirée entre potes, la plus grande part de la société a vendu son âme au diable, et que se faire vacciner pour avoir une vie sociale, était la plus grande escroquerie intellectuelle de l'humanité, acceptée avec une déconcertante facilité.
'Le déni est ce qui aide nos concitoyens à vivre, à survivre. Car si chacun se rendait compte de ce qu'il a laissé faire et de la société qu'il a contribué à bâtir, probablement qu'il en mourrait sur le champ, terrassé de honte.
'Alors donner deux euros aux ukrainiens, arborer de partout le drapeau de ce pays que personne ne savait placer sur une carte il y a encore un mois, et dont il n'est pas certain que les journalistes arrivent à prononcer de manière correcte le nom du président, regarder BFM à longueur de journée et menacer ces salops de Russes permet de se retrouver seuls face à sa conscience. ... La guerre en Ukraine : enfin un combat qui mobilise les artistes ! Enfin un combat que partout dans les théâtres on peut jouer. A quoi servirait l'art si ce n'était pas à nous donner bonne conscience ? Hier tu étais Charlie, aujourd'hui tu es ukrainien, c'est pour mieux dire qu'en réalité, sans personnalité, tu n'es que tendance, celle d'une minorité bruyante pour qui tout est communication, pour qui tout est opportunité de se montrer et de s'afficher.
'Pour ma part, je n'étais pas Charlie. Et je ne suis pas ukrainien. Mais je suis Soignant suspendu, je suis patient non-vacciné discriminé, je suis adolescent traumatisé par deux ans de privation de liberté, je suis en somme sous-citoyen emmerdé. Ce que je suis c'est d'abord d'être un serviteur de la vérité et de la liberté; les deux n'allant jamais l'un sans l'autre.
'Aller, j'y retourne, je suis invité au restau et je n'ai pas de Pass vaccinal, mais j'ai un drapeau ukrainien et cela devrait largement suffire ! Et peut-être même que si je crie 'A mort Poutine', on me servira un repas gratuit !'"
Les sanctions : Tout se déroule-t-il comme prévu ? Malgré l'émotion qui domine actuellement les médias et les gens, il faut garder la tête froide dans les analyses géopolitiques, car certaines nouvelles font arrêter.
La géopolitique est un domaine particulièrement aride, dans lequel il ne faut pas penser à la souffrance et à la mort si l'on veut le comprendre. Il faut faire abstraction de tout cela et voir les événements (y compris les guerres, malheureusement) sans émotion, comme des pièces d'échecs sur un échiquier. Un Géostratège ne pense pas aux morts qu'un conflit qu'il a déclenché coûte, mais se demande seulement si la guerre aide à atteindre des objectifs. La souffrance humaine n'a pas sa place dans cette pensée.
J'ai déjà montré que le conflit ukrainien n'était en aucun cas une surprise. Le fait qu'il devait se produire était voulu par les calculs géopolitiques des Etats-Unis, la seule question était de savoir quand le déclencher. Si cela vous semble incroyable, lisez-le ici.
Le grand objectif des Etats-Unis est d'affaiblir à tout prix la Russie, déclarée adversaire. L'intervention militaire russe en Ukraine est la meilleure chose qui pouvait arriver aux Etats-Unis, car ils ont enfin réussi à convaincre l'Europe d'accepter des sanctions qui vont certes détruire l'UE sur le plan économique, mais l'UE se sacrifie pour une bonne cause !
La Russie en sortira certainement affaiblie. Mais ceux qui ne seront pas affaiblis (à première vue), ce sont les Etats-Unis. Ils n'ont pratiquement pas d'échanges commerciaux avec la Russie et si l'UE renonce au gaz russe, les Etats-Unis feront même une bonne affaire avec leur gaz de fracturation. J'ai expliqué en détail dans cet article la situation géopolitique que je n'ai que brièvement résumée ici.
Pour les États-Unis, tout va donc très bien d'un côté, car l'UE suit apparemment la ligne américaine jusqu'à sa propre perte. Toutefois, le monde ne se résume pas aux États-Unis, à l'UE et à la Russie. Si nous nous représentons la géopolitique comme un échiquier, nous devrions également garder un œil sur les autres parties de l'échiquier. Et c'est de cela qu'il s'agit ici.
Chine
La Chine et la Russie sont des amis proches, mais les Etats-Unis font pression sur la Chine pour qu'elle ne se comporte pas comme un "briseur de sanctions" et qu'elle aide la Russie à atténuer les sanctions anti-russes. La Chine, qui est un pays fier, réagit toutefois de manière allergique à la pression. De plus, la vision chinoise est totalement différente : En Chine, on est du côté de la Russie et les gens ont même lancé des actions telles que "achetez russe".
Les Etats-Unis sont détestés grâce à leur politique hostile à l'égard de la Chine et les Chinois comprennent que les Etats-Unis ont attiré la Russie dans le dilemme de l'Ukraine : soit accepter des missiles nucléaires à sa porte, soit frapper militairement pour empêcher le déploiement de missiles nucléaires. Et comme les Etats-Unis ont de toute façon déjà déclaré une guerre commerciale à la Chine, les Etats-Unis ne peuvent guère espérer que la Chine se joigne à eux contre la Russie, car c'est finalement la pression des Etats-Unis sur la Russie et la Chine qui a permis à ces deux pays de se rapprocher autant qu'ils le font aujourd'hui.
A cela s'ajoute la question de Taïwan, dans laquelle les Etats-Unis sont encore plus actifs en ce moment, en vendant des armes à Taïwan et en s'opposant ouvertement aux intérêts chinois. Peu importe ici votre position ou la mienne sur la question de Taïwan, ce qui compte, ce sont les intérêts de la Chine et des États-Unis. La Chine considère Taiwan comme une partie de la Chine, les Etats-Unis considèrent Taiwan comme une base utile contre la Chine.
Aujourd'hui, les Etats-Unis font pression sur la Chine et menacent même d'imposer des sanctions sévères à la Chine si elle aide la Russie. La Chine n'en a apparemment cure, car elle a rejeté la pression des Etats-Unis. Si les Etats-Unis devaient prochainement voir dans le comportement de la Chine un soutien à la Russie et si, avec leurs satellites en Europe, ils devaient également escalader la guerre commerciale contre la Chine comme ils le font contre la Russie, la Chine ne devrait pas se laisser impressionner.
Au contraire, certains analystes estiment que la Chine pourrait dans ce cas résoudre la question de Taïwan par la force. La Chine ne le souhaitera certainement pas, elle préférerait une réunification pacifique. Mais les partisans d'une solution violente de la question auront des arguments très forts si l'Occident impose des sanctions aussi sévères à la Chine qu'à la Russie. Ces arguments sont les suivants : Premièrement, les Etats-Unis auraient de toute façon déjà imposé toutes les sanctions possibles, ils n'auraient pas beaucoup plus de moyens de pression, cela ne pourrait donc de toute façon pas être pire. Deuxièmement, la Chine aurait alors la Russie à ses côtés dans le cas de Taïwan, tout comme la Chine est aux côtés de la Russie dans le cas de l'Ukraine. Il n'y a pas si longtemps, Pékin n'aurait pas osé l'espérer, mais la politique américaine a tellement rapproché la Russie et la Chine que la Russie n'aurait pas d'autre choix que de soutenir une action de la Chine contre Taiwan.
Si les Etats-Unis espéraient pouvoir diviser la Chine et la Russie sur la question ukrainienne, Washington est en train de déchanter.
Le pétrole
Si l'UE ne veut pas s'effondrer économiquement en quelques semaines en cas de guerre commerciale sur le pétrole et le gaz déclarée par l'Occident contre la Russie, il faudra bien trouver un substitut au pétrole et au gaz russes. L'UE achète 40 pour cent de son gaz et 30 pour cent de son pétrole à la Russie. La fin des livraisons de pétrole et de gaz russes en Europe est possible. Certes, de nombreux pays de l'UE s'opposent encore à l'exclusion de la Russie du SWIFT, car le robinet de gaz serait alors immédiatement fermé, mais la pression sur eux s'accroît. Mais la Russie pourrait également fermer le robinet elle-même, car de plus en plus de voix s'élèvent en Russie pour exiger que l'on sorte enfin l'artillerie lourde contre les sanctions vraiment très lourdes de l'UE.
Les Etats-Unis et l'UE ont passé ces derniers jours des coups de téléphone très frénétiques. Le Qatar semble prêt à fournir plus de gaz, mais ses conditions sont dures : l'UE doit s'engager à long terme à acheter le gaz plus cher du Qatar. Mais le Qatar ne peut de toute façon pas sauver l'UE à lui seul.
A Washington, la déception vis-à-vis des Etats arabes du Golfe doit être actuellement très profonde, car ils ont refusé une augmentation de la production de pétrole et selon les médias, les rois et sultans qui y règnent ne répondent actuellement même pas au téléphone lorsque le président américain Biden souhaite leur parler à ce sujet. Et ils n'ont pas non plus adhéré aux sanctions anti-russes.
Les pays arabes ne veulent manifestement pas se mettre à dos leurs clients importants en Chine, pour ne citer qu'une raison possible de leur réticence frappante face aux plans de l'Occident.
Des solutions d'urgence qui ont échoué
Des négociations difficiles sont actuellement en cours avec l'Iran sur l'accord nucléaire. Si les négociations aboutissent, les sanctions occidentales contre l'Iran seront levées et l'Iran pourrait fournir du pétrole. Mais la Russie a désormais exigé que les Etats-Unis garantissent que les sanctions occidentales contre la Russie ne s'étendent pas à l'Iran. Cela signifie que les sanctions occidentales ne doivent pas avoir d'impact sur les liens économiques entre la Russie et l'Iran, ce que les Etats-Unis ont refusé en proposant à l'Iran de conclure un accord nucléaire sans la Russie. Ce serait tentant pour l'Iran, car les sanctions tomberaient enfin et l'Occident achèterait immédiatement le pétrole iranien. Mais l'Iran se souvient de la "fidélité au contrat" des Etats-Unis, qui ont tout simplement rompu le dernier accord nucléaire, vous trouverez les détails ici.
Alors que l'Occident était en rupture de contrat, la Russie et la Chine ont prouvé leur fidélité au contrat et, contrairement à l'Occident, ont continué à commercer avec l'Iran. L'Iran n'a donc aucune raison de faire confiance aux Etats-Unis et de s'opposer aux pays qui l'ont soutenu lorsque l'Occident l'a sanctionné. L'Iran vient de le montrer clairement - à mes yeux - en tirant un missile sur l'Irak, qui visait apparemment des cibles américaines sur place. Il ne s'est pas passé grand-chose, mais c'était un signal clair adressé aux Etats-Unis sur ce que l'Iran pense de leurs propositions.
A l'égard du Venezuela riche en pétrole, les Etats-Unis ont également haussé le ton et promis une normalisation des relations, en particulier une levée de l'embargo pétrolier si le Venezuela se rallie à la politique occidentale contre la Russie. Le président vénézuélien Maduro a déclaré aux Etats-Unis que la Russie était un partenaire stratégique du Venezuela. En clair: il a montré le majeur à Washington.
Les deux pays-L'Iran et le Venezuela – ont pris l'habitude de vivre sous des sanctions et ils vont faire le diable pour affronter les pays qui les ont maintenus en vie en période de sanctions, C'est-à-dire contre la Russie et la Chine. Ils savent très bien qu'une normalisation des relations avec les États-Unis dans ces circonstances ne serait que temporaire et qu'ils resteraient seuls plus tard s'ils s'opposaient maintenant à la Russie et à la Chine.
Conclusion
Au moins jusqu'à présent, les États-Unis et l'UE n'ont trouvé aucun moyen de survivre à une guerre commerciale totale contre la Russie si celle-ci s'étend au pétrole et au gaz. Bien sûr, cela peut encore changer, mais pour les États-Unis, il semble que cela ne tourne pas rond pour le moment.
Et ce n'était que le sujet du pétrole, il y a d'autres sujets où la guerre commerciale avec la Russie pourrait retomber sur les pieds de l'Occident. Ainsi, l’interdiction d’exporter des micropuces annoncée par l’Occident devrait devenir un but en soi, parce que la Russie est le seul fournisseur mondial de certaines matières premières essentielles pour leur production. Si la Russie cessait d’exporter ces matières premières, l’Occident ne pourrait plus produire de puces. La Chine serait le troisième pays qui rirait et si elle décidait à son tour d’interdire les exportations de puces contre l’Occident, le but de son camp serait parfait.
Même pour les aliments, cela devrait être difficile. La Russie et l'Ukraine comptent parmi les plus grands exportateurs de céréales au monde. La Russie et la Biélorussie dominent le marché mondial des engrais. Et si la Russie et la Biélorussie arrêtaient l'exportation de céréales et d'engrais et que la récolte ukrainienne n'était pas non plus disponible pour l'Occident ?
L'Occident a certes le Dollar et l'Euro, mais que faire du papier coloré si on ne peut pas acheter les marchandises nécessaires ? La Russie peut chauffer et produire de la nourriture. La Chine n'aurait pas non plus de problèmes à cause des livraisons en provenance de Russie et pourrait également réduire avec son Industrie de nombreux déficits dans d'autres domaines qui menacent la Russie en raison des sanctions.
En revanche, l'absence de produits chinois devrait faire très mal à l'Occident, car l'Occident n'a plus guère sa propre production, qu'il a externalisé en Chine pour des raisons de coûts.
La guerre économique déclarée par l'Occident, fondée sur une intervention militaire russe provoquée par l'Occident, pourrait devenir un boomerang maléfique.
Dans mon nouveau livre "Inside Corona – la pandémie, le réseau et les bailleurs de fonds - les vrais objectifs derrière la Covid-19", je montre, à l'aide d'analyses de données approfondies, comment la pandémie a été préparée par diverses organisations en plusieurs étapes, la phase de préparation active commençant vers 2016/2017. En outre, les données montrent également les objectifs généraux poursuivis par ces organisateurs et comment la pandémie leur ouvre la voie vers la réalisation de ces objectifs.
Macron, vous qui parlez de faute morale à l'égard des non-injectés, c'est sans doute le plus bel hommage que pouvait rendre le vice à la vertu.
Vous qui depuis le début de votre quinquennat détruisez méthodiquement le pays en le dépeçant pour le livrer aux vautours de la haute-finance; vous qui nous dépouillez de notre histoire quand ce n'est pas pour lui faire injure; vous qui nous avez privé de nos plus beaux fleurons industriels, comme Alstom.
... Vous qui avez fait bloquer les nombreux traitements efficaces et peu chers comme l'ivermectine ou l'hydroxychloroquine pour nous imposer à marche forcée et en dépit du bon sens cette injection hasardeuse; cette soupe chimique concoctée à la va-vite dans les chaudrons de Big-Pharma avec des effets secondaires potentiellement dévastateurs et qui a déjà causé un nombre de morts inédit dans toute l'histoire vaccinale.
Vous qui en pleine pandémie avez consciencieusement continué à détruire l'hôpital public en supprimant des milliers de lits, tout en promettant avec aplomb le contraire, et en virant comme des malpropres des soignants en prenant bien soin de les laisser sans la moindre ressource, histoire de leur faire payer à la hauteur de votre orgueil, votre effronterie et leur insoumission. Ces mêmes soignants que vous avez dans un premier temps fait applaudir tous les soirs de manière bien hypocrite pour mieux servir les intérêts de votre agenda. Avec le cynisme effroyable qui vous caractérise, vous avez désactivé ces malheureux dans la plus parfaite indifférence, comme on appuierait sur la touche DELETE d'un ordinateur pour effacer une variable d'ajustement. Désormais, c'est clair, c'est votre modèle de société pour votre start-up nation, la désactivation ou la soumission, le en marche ou crève; le seul crime de ces soignants réfractaires se résumant à ne pas vouloir se prêter au jeu du cobaye pour Big Pharma en jouant à la roulette russe avec leur santé.
Pourtant, en toute logique, quand on ne crée pas délibérément des malades en interdisant formellement aux généralistes de prescrire, quand on ferme des lits d'hôpitaux et que l'on se débarrasse de bon nombre de personnels soignants, on ne peut alors plus décemment se plaindre de la saturation des services de soin et encore moins en reporter la faute sur une victime expiatoire, se défausser de son écrasante responsabilité, avec un bouc émissaire tout trouvé. Mais associer décence et cohérence avec Macron cela relève de l'oxymore.
Votre vision politique évoque celle de l'empereur Néron incendiant Rome au son de sa lyre et faisant en véritable pompier pyromane une grande fournaise et un feu de joie de la cité.
... Cela fait sans doute partie de l'incroyable guerre psychologique qui nous est livrée.
Interdiction formelle de manger des chips ou de boire dans un train, interdiction de boire debout dans un bar [mais interdiction de consommer assis dans un cinéma. Ndlr.], interdiction de danser en boîtes de nuit mais possibilité de contacts intimes en clubs échangistes, personnels soignant vaccinés positifs autorisés à travailler mais personnels soignants non-vaccinés et négatifs virés sans ménagement et sans la moindre ressource; faire contrôler des pass vaccinaux par des policiers eux-mêmes non-vaccinés, pass obligatoires pour tous sauf pour notre personnel politique,
J'en passe et des meilleures. Toute cette folie maquillée en science, plus de doute, nous avons plongé en Absurdistan, dans le royaume d'Ubu, dans un asile psychiatrique à ciel ouvert, dont on aurait confié les clés au plus fou d'entre tous !
Macron, votre France, c'est celle de l'injustice sociale, celle du deux poids deux mesures permanent, celle où les forces de répression sanitaires alignent des clochards dans la rue avec des amendes de 135 euros pour des absences de port de masques, tandis que les élites qui sont bien au-dessus de tout cela bénéficient de passe-droits et s'en donnent à cœur-joie, festoient comme des beaux diables dans des restaurants clandestins, dans de bonnes adresses de privilégiés où le virus social n'a plus court.
C'est une société de caste, avec d'un côté les grands seigneurs de l'immunité tant physiologique et politique et de l'autre côté les impurs, ces intouchables gueux, ces super-contaminateurs, ces véritables bombes virales ambulantes qui s'ignorent.
Non, décidément, il est heureux de ne pas partager les mêmes standards moraux que ceux d'un boucher sanguinaire, d'un éborgneur et d'un arracheur de mains, qui a fait massacrer les Gilets jaunes, tout en faisant mine dans un vulgaire simulacre de démocratie de prêter l'oreille à leurs doléances.
Vous avez fracassé leurs légitimes revendications en étouffant dans l'œuf toutes leurs aspirations à une meilleure vie, plus décente et plus digne, à coups de gaz lacrymogène, de matraques et de LBD; en bon démon-crate, l'usage disproportionné et asymétrique de la force est votre seule approche du dialogue social.
En réalité, ne rien avoir en commun de votre conception morale, c'est une distinction et un suprême honneur. C'est notre légion d'honneur à nous et elle ne saurait se réduire à une insignifiante breloque bling-bling vermoulue et dispensée aux plus corrompues de votre caste, adressée en forme de crachat et d'affront ultime au front du petit peuple.
Tel un enfant immature et capricieux emporté par son délire puéril de toute-puissance et ne supportant pas la moindre contradiction
Voilà maintenant que dernière infamie en date, vous vous proposez avec la vulgarité crasse qui vous caractérise d''emmerder jusqu'au bout ces irresponsables non-vaccinés'.
Jusqu'où ira votre jusqu'auboutisme ? Jusqu'aux camps de redressement sanitaire pour ces irresponsables qui ne seraient, si l'on s'en fie à votre boussole morale déglinguée et défaillante, même plus dignes d'accéder à la citoyenneté, se voyant ainsi traités avec plus de sévérité et moins de largesses qu'un criminel terroriste sanguinaire ou qu'un misérable violeur d'enfant. En tous les cas, voilà un prétexte tout trouvé pour bâillonner ses potentiels opposants politiques lors des prochaines élections en privant fort opportunément ces nouveaux métèques, ces sous-citoyens de leurs droits de vote.
Vous faites injure à plus de cinq millions de Français en affirmant qu'ils ne seraient plus dignes de leurs citoyenneté, eux qui ont certainement un amour bien plus profond et légitime pour ce pays, que vous n'en aurez jamais, eux qui comme on dit, ont bien mérité de la France, contrairement à vous qui en méprisez souverainement jusqu'à sa culture et qui n'avez de cesse que de la détruire.
Votre responsabilité engagée sera donc pleinement écrasante. Elle n'est pas seulement une faute politique indélébile qui bien avant d'insulter les Français que vous stigmatisez si injustement de la sorte salit à tout jamais la dignité de votre fonction, c'est aussi et avant tout une faute d'humanité et elle est impardonnable. Car comment une infime poignée de non-vaccinés que vous avez largement marginalisés et qui ne peuvent presque plus faute de passe valide mettre les pieds nulle part dans l'espace public pourraient-ils à eux seuls contaminer plus de 50 millions de vaccinés qui, contrairement à eux, ont accès à tout, même en étant positifs et capables de transmettre le virus ?
Là où en garant de la cohésion nationale, il vous faudrait en période de crise rassembler et unir, d'une manière parfaitement irresponsable vous ne faites toujours plus que cliver, alimenter les divisions, vous attisez les haines et les tensions, vous fracturez la nation comme jamais auparavant, seulement avec votre venin tel un sournois serpent semant les graines de la discorde et de la zizanie jusqu'au cœur même de nos familles, en s'insinuant jusque dans nos foyer à l'occasion d'un repas de Noël sous haute tension.
Après deux ans d'une politique sanitaire, qui aurait dû durer deux semaines d'effort national le temps -je vous cite - aplanir la courbe dont chacun pourra à sa juste mesure estimer son cuisant échec, un seul constat s'impose désormais, vous êtes le virus le plus destructeur qui soit jamais rentré dans nos vies, une véritable plaie, une malédiction, un châtiment divin.
Par vos odieuses méthodes de harcèlement et de maître chanteur qui aurait pris en otages nos vies, vous ne valez pas mieux à mes yeux qu'un chef mafieux qui tour à tour terrorise avant de promettre protection à ses victimes tout en extorquant leur consentement afin de mieux les asservir et les retenir dans son cercle vicieux de chantage sans bornes.
Ainsi de doses en doses, vous soumettez et violez toujours plus nos corps et notre liberté de conscience en faisant peser sur nos têtes l'épée de Damoclès d'une mort sociale sans autre forme de procès.
Après avoir privé notre pays de toute forme de souveraineté c'est donc maintenant directement à la souveraineté de nos corps que vous vous attaquez.
Vous vous pensez sans doute comme étant l'égal d'un prince, mais vous n'êtes que l'émanation d'un pouvoir harceleur et transgresseur de bas étage qui entend mettre au pas les populations; Vous n'êtes que l'insignifiant jouet de vos sbires qui vous remplaceront et vous sacrifieront par une autre marionnette en temps voulu. Vous vous comportez comme le ferez un minable petit caïd de banlieue qui intimiderait ses habitants en multipliant les menaces, les zones de non droit, les brimades, les rackets et les extorsions, et qui enverrait ses petites milices de quartier pour faire régner l'ordre par la peur, après avoir généré au préalable le chaos. La seule chose qui vous différencie c'est que vous avez les moyens de votre ambition perverse, en disposant comme bon vous semble de la force publique et du monopole d'une violence devenue illégitime. Vous avez fait du consentement dit libre et éclairé, fondement même de la médecine, une obligation de fait, un consentement extorqué par la duperie et la duplicité : en un seul mot, un viol.
Pourquoi, dans toutes vos actions vous êtes-vous entouré d'un tel impénétrable secret, secret défense pour des dizaines d'années pour vos prises de décision sur la crise sanitaire et secret sur les contrats signés avec les firmes pharmaceutique dont tant de clauses restent inaccessibles ? La santé mérite pourtant la plus totale transparence, car elle est notre bien le plus précieux à tous. Pourtant vous agissez à l'ombre tel un conspirateur tout en exigeant en retour notre confiance aveugle.
Et depuis quand un Etat se mêle-t-il d'orienter totalement la médecine ?
On sait bien où l'hygiénisme d'Etat et la toute-puissance d'une science instrumentalisée à des fins politiques a pu conduire de par le passé.
Ce faisant, vous déshonorez notre pays, en piétinant allègrement toutes ses valeurs fondamentales de liberté, égalité, fraternité qui bien que ne relevant déjà que d'une illusion ne sont désormais, sous votre action délétère, plus qu'un lointain souvenir.
Il faudra d'ailleurs songer à faire réécrire tous les frontons des mairies pour les remettre au goût fasciste du jour en cohérence avec les valeurs de ce nouveau régime d'exception illimitée dans le temps et d'état d'urgence permanent. Vous êtes le fossoyeur de cette démocratie en phase terminale.
Vous avez réduit notre citoyenneté à des doses d'injections de produits pharmaceutiques à trois mois, c'est dire le degré d'estime que vous portez en réalité à la démocratie et à ses citoyens, ainsi qu'aux fameuses valeurs de la république dont vous vous gargarisez tant sur le papier tout en feignant d'en être le garant.
Une chose est sûre. Si vous faites mine de tant vous préoccuper de la santé et de la vie de vos concitoyens, toutes vos prises de décision et vos actions démontrent sans l'ombre d'un doute qu'en réalité vous méprisez la vie humaine au dernier degré et que le moteur de votre action est politique et non sanitaire. Vous parlez comme un ange, mais vous agissez comme un assassin.
Enfin. Sachez que si je suis déchue de ma citoyenneté parce que je réprouve au plus profond de mon âme et de mes tripes ces politiques criminelles, c'est parce que je refuse de me soumettre à toute cette folie ambiante, à cette contagion délirante hystérique savamment entretenue et orchestrée par vos médis de propagande aux ordres, ce n'est pas grave. Car après tout, je n'ai plus rien en commun avec ce à quoi vous avez finalement réduit ce beau pays qui jadis faisait encore ma fierté, à savoir une tyrannie hygiéniste à visage sanitaire et profondément inhumaine.
Je me sens déjà totalement étranger à cette nouvelle réalité totalement monstrueuse, cette anomalie de la raison, cette nef des fous en perdition, qui prend l'eau de toute part et dont vous êtes l'un des infernal maître d'orchestre et maître d'œuvre. Vous avez rendu ce pays invivable, irrespirable et suffocant. Mais je n'en doute pas, tôt ou tard, vous aurez rendez-vous avec l'histoire pour rendre compte de tout le mal que vous aurez infligé à tant de familles, de toutes ces victimes collatérales que vous aurez engendrées par vos prises de décisions irresponsables, de toute cette souffrance et de ces drames humains générés. Et si, d'aventure, la justice humaine particulièrement défaillante en ces temps de corruption généralisée ne remplit pas son office, vous aurez à en répondre devant l'Eternel. Car sachez qu'avec votre morale d'ordre supérieur, vous ne l'emporterez certainement pas au paradis. Dieu voit tout et chacun sera jugé selon ses œuvres (Rm 2,6).
Au moins dans ce chaos à venir, il me restera encore ma dignité. Une notion qui manifestement vous échappe totalement, et elle n'a pas de prix.
L'archevêque Carlo Maria Viganò a publié un long éditorial pour LifeSiteNews dans lequel il explique son opinion selon laquelle le conflit Russie/Ukraine est un complot mondialiste visant à "établir la tyrannie du nouvel ordre mondial".
"Si nous regardons ce qui se passe en Ukraine, sans être induits en erreur par les grossières falsifications des grands médias, nous réalisons que le respect des droits de chacun a été complètement ignoré ; en effet, on a l'impression que l'administration Biden, l'OTAN et l'Union européenne veulent délibérément entretenir une situation de déséquilibre manifeste, précisément pour rendre impossible toute tentative de résolution pacifique de la crise ukrainienne, provoquant la Fédération de Russie à déclencher un conflit. C'est là que réside la gravité du problème. C'est le piège tendu à la fois à la Russie et à l'Ukraine, qui les utilise toutes les deux pour permettre à l'élite mondialiste de mener à bien son plan criminel", a écrit Vigano.
Il a appelé les tentacules de l'oligarchie, qui comprennent "l'ONU, l'OTAN, le Forum économique mondial, l'Union européenne", ainsi que des organisations "philanthropiques" comme "George Soros' Open Society et la Fondation Bill & Melinda Gates". Vigano a déclaré que la représentation de l'Ukraine par les faux médias comme héroïque, et de la Russie comme barbare, est une fausse représentation des faits.
"Il est consternant de voir avec quelle hypocrisie l'Union européenne et les États-Unis – Bruxelles et Washington – apportent leur soutien inconditionnel au président Zelensky, dont le gouvernement depuis huit ans continue de persécuter en toute impunité les Ukrainiens russophones, pour lesquels il est même interdit de s'exprimer dans sa propre langue, dans une nation qui comprend de nombreuses ethnies, dont celles qui parlent russe représentent 17,2 %. Et il est scandaleux qu'ils se taisent sur l'utilisation de civils comme boucliers humains par l'armée ukrainienne, qui place des positions anti-aériennes dans les centres de population, les hôpitaux, les écoles et les jardins d'enfants précisément pour que leur destruction puisse causer des morts parmi la population", a déclaré Vigano. a écrit.
"La révolution de couleur d'Euromaidan, ainsi que la mise en place d'un gouvernement pro-OTAN composé d'homines novi formés par le Forum économique mondial et George Soros, visaient à créer les conditions de la subordination de l'Ukraine au bloc de l'OTAN, en la soustrayant de l'influence de la Fédération de Russie. À cette fin, l'action subversive des ONG du philanthrope hongrois, soutenue par la propagande médiatique, a gardé le silence sur les crimes des organisations paramilitaires néonazies, financées par les mêmes personnes qui parrainent Zelensky", a écrit Vigano.
"Mais si le lavage de cerveau pratiqué par les médias grand public dans les pays occidentaux a réussi à véhiculer un récit complètement déformé de la réalité, on ne peut pas en dire autant de l'Ukraine, où la population est également bien consciente de la corruption de la classe politique au pouvoir, de son éloignement des vrais problèmes de la nation ukrainienne. Nous, Occidentaux, croyons que les 'oligarques' ne sont qu'en Russie, alors que la réalité est qu'ils sont surtout présents dans toute la galaxie des nations qui composaient autrefois l'Union soviétique, où ils peuvent accumuler richesse et pouvoir simplement en se plaçant à la disposition des 'philanthropes' étrangers et des multinationales", a-t-il poursuivi.
"Le peuple ukrainien, quel que soit le groupe ethnique auquel il appartient, n'est que les derniers otages involontaires du régime totalitaire supranational qui a mis à genoux les économies nationales du monde entier à travers la tromperie du COVID, après avoir publiquement théorisé la nécessité de décimer la population mondiale et transformer les survivants en malades chroniques qui ont irrémédiablement compromis leur système immunitaire", a ajouté Vigano.
Vigano est clairement très cultivé et connaît bien les idéologies de l'élite dirigeante mondiale. Il est un héros pour chaque croyant catholique ainsi que pour chaque chrétien qui a l'intention de résister au gouvernement mondial satanique qui se forme en ce moment. L'intégralité de son éditorial peut être consultée ici.
Jean-Luc Mélenchon veut taxer les plus hauts revenus à 90%. Dans son projet fiscal consulté par Les Échos, il détaille sa «révolution» qui passerait par une forte hausse des taxes sur les plus hauts revenus.
Concrètement, le candidat de la France Insoumise (LFI) souhaite que les tranches fiscales soient revues en profondeur : alors qu'il en existe actuellement 5, Jean-Luc Mélenchon en veut 14. La plus haute tranche, qui concerne les personnes qui gagnent plus de 400.000 euros par an, serait ainsi taxée à hauteur de 90%. Une proposition déjà avancée en 2017.
Si ce programme part d'une bonne intention qui est de limiter et de mettre un contrôle à l'enrichissement indéfini des plus riches, la volonté de Mélenchon de taxer les plus hauts revenus à 90 % fera certainement fuir l'activité économique par l'obligation, là où la société chrétienne d'Ancien Régime parvenait par la persuasion, à limiter l'enrichissement indéfini; la religion prescrivant de donner aux pauvres, de s'humilier de ses péchés et de se conformer au Christ pour faire son salut. (Principe de la dîme, assistance sociale, et charité publique qui était totalement gratuite pour le malade au "Moyen-Âge" et sous l'Ancien Régime alors qu'elles sont aujourd'hui à la charge de l'Etat et des communes, via impôts et cotisations, et nécessitent souvent que le malade paye ses soins de sa poche en plus de ses impôts...)
De même, avant 1789, l'exemple de la noblesse, à qui l'enrichissement indéfini et le commerce était interdit, était un exemple puissant contraignant la bourgeoisie à ne pas développer de signes ostentatoires de richesses. Ces deux moyens (l'exemple de la religion et l'imitation de la noblesse) permettaient à la société chrétienne d'Ancien Régime, jusqu'en 1789, d'éviter que des individus développent des richesses dépassant le PIB de nations, comme aujourd'hui, et donc de limiter l'enrichissement indéfini qu'une loi d'obligation ne permettrait pas, ou certainement avec beaucoup moins d'efficacité.
Avant 1789, en effet, "un Bill Gates était inimaginable à l'époque, ces fortunes qui dépassent la richesse de nombreuses nations n'existaient pas", écrit Yves-Marie Adeline, dans Le Royalisme en question (L'Âge d'Homme - éd. de Paris, Libres Mobiles, 2e édition, Paris 2006, p. 96). Sous l'Ancien Régime, faire du commerce, faire de l'argent était interdit aux nobles. La noblesse pouvait se perdre par déchéance à la suite d'une condamnation infamante. Elle se perdait encore par dérogeance, lorsqu'un noble était convaincu d'avoir exercé un métier roturier ou un trafic quelconque : il lui était interdit de sortir du rôle qui lui est dévolu, et il ne devait pas non plus chercher à s'enrichir. (Régine Pernoud, Lumière du Moyen Âge, Grasset, Paris 1981, p. 39-40). Le Lexique historique de la France d'Ancien Régime de Guy Cabourdin et Georges Viard (Armand Colin, 3e éd. Paris 1998, p. 105) précise que "pour un noble, déroger c'est perdre ses prérogatives et ses privilèges par l'exercice d'activités "ignobles", puisque, selon Loyseau, "le propre de la noblesse est de vivre de ses rentes". Plus que des édits royaux, il s'agit d'une maxime coutumière selon laquelle "le commerce dérogeait".» Un exemple frappant de dérogeance fut celui de Nicolas Fouquet. Enrichi grâce à des malversations et de prêts à l'État à des taux usuraires, le surintendant des finances de Louis XIV, fut arrêté par d'Artagnan, mousquetaire du roi, le 5 septembre 1661, déchu de sa charge, condamné au bannissement perpétuel du royaume pour avoir par trop affiché une opulence choquante, enrichie sa famille, et confondu ses finances et celles de l'État. "L'élimination de Fouquet et de son groupe de financiers attesterait de façon spectaculaire sa volonté (de Louis XIV) de rompre avec un passé de désordre, de corruption, d'improvisation et de laxisme." (Jean-Christian Petitfils, Louis XIV, éd. Perrin, Saint-Amand-Montrond 2010, p. 199, 207.) Louis XIV commua la peine de Nicolas Fouquet en emprisonnement à vie. (Lexique du siècle de Louis XIV, BH Créations Lexiques essentiels, p. 48-49).
De même, l'usure était interdite par l'Église, les usuriers étaient emprisonnés à vie sous Louis XIV. Aujourd'hui ils sont les maitres du monde.
De nos jours, « il est [...] amusant de constater que la gauche, et plus généralement la république, aggrave, toujours les inégalités plutôt qu'elles ne les réduit. Par exemple, sous le septennat de Valery Giscard d'Estaing, l'éventail des revenus était moins large que sous son successeur François Mittérand. [...] Aujourd'hui, [...] la moitié du patrimoine national (50%) est détenue par 10% des ménages. Et 40% des Français n'ont aucun patrimoine. 40% des Français sans patrimoine: ce chiffre était le même en 1800, au lendemain de la Révolution... On me parlera pour se consoler d'égalité devant la loi. Il y aurait au moins cela. Avez-vous suivi les affaires politico-financières? Qui va en prison? Les protagonistes secondaires, jamais les plus hautes personnalités... » (Yves-Marie Adeline, Le Royalisme en question (1792-2002), Perspectives pour le XXIe siècle, Préface de Vladimir Volkoff, Postface de Jean Raspail, L'Âge d'Homme - Editions de Paris, Libres Mobiles, 2e édition corrigée, Paris 2002, p. 96-97.)
Ajoutons que lorsqu'on est passé de Giscard à Mitterrand en 1981, les marxistes chantaient victoire dans le vide : les riches ne pouvaient pas se douter qu’en fait les choses iraient mieux pour eux..., ni les pauvres qu’elles iraient pire, ni les classes moyennes qu’elles étaient destinées à s’appauvrir !
En 2014, un peu plus de deux siècles après leur Révolution, les plus riches s'inquiétaient de ce qu'était devenue leur "égalité" : la pauvreté était le sujet phare de leur réunion annuelle qui se tint du 22 janvier au 25 janvier 2014 à Davos. Près de la moitié des richesses mondiales est détenue par 1% de la population !
Comme l'explique Kirill, Patriarche de l’Église orthodoxe russe, aujourd'hui dans le conflit en Ukraine, d'un point de vue métaphysique, on peut voir une opposition directe entre la loi de Dieu et le péché :
"Depuis huit ans, on tente de détruire ce qui existe dans le Donbass. Et dans le Donbass, il y a un rejet, un rejet fondamental des soi-disant valeurs qui sont proposées aujourd’hui par ceux qui prétendent au pouvoir mondial. Aujourd’hui, il existe un test de loyauté envers ce pouvoir, une sorte de laissez-passer vers ce monde « heureux », un monde de consommation excessive, un monde de « liberté » apparente. Savez-vous ce qu’est ce test ? Le test est très simple et en même temps terrifiant : il s’agit d’une parade de la gay pride. La demande de nombreux pays d’organiser une gay pride est un test de loyauté envers ce monde très puissant ; et nous savons que si des personnes ou des pays rejettent ces demandes, ils ne font pas partie de ce monde, ils en deviennent des étrangers.
"... Par conséquent, ce qu’il se passe aujourd’hui dans la sphère des relations internationales ne relève pas uniquement de la politique. Il s’agit de quelque chose d’autre et de bien plus important que la politique. Il s’agit du Salut de l’homme, de la place qu’il occupera à droite ou à gauche de Dieu le Sauveur, qui vient dans le monde en tant que Juge et Créateur de la Création. Beaucoup aujourd’hui, par faiblesse, par bêtise, par ignorance, et le plus souvent parce qu’ils ne veulent pas résister, vont là, du côté gauche. Et tout ce qui a trait à la justification du péché condamné dans la Bible est aujourd’hui le test de notre fidélité au Seigneur, de notre capacité à confesser la foi en notre Sauveur. Tout ce que je dis a plus qu’une simple signification théorique et plus qu’une simple signification spirituelle. Il y a une véritable guerre autour de ce sujet aujourd’hui. Qui s’attaque aujourd’hui à l’Ukraine, où huit années de répression et d’extermination de la population du Donbass, huit années de souffrance, et le monde entier se tait – qu’est-ce que cela signifie ? Mais nous savons que nos frères et sœurs souffrent réellement ; de plus, ils peuvent souffrir pour leur loyauté envers l’Église. Et donc, aujourd’hui, en ce dimanche du pardon, moi, d’une part, en tant que votre berger, j’appelle tout le monde à pardonner les péchés et les offenses, y compris là où il est très difficile de le faire, là où les gens se battent entre eux. Mais le pardon sans la justice est une capitulation et une faiblesse. Le pardon doit donc s’accompagner du droit indispensable de se placer du côté de la lumière, du côté de la vérité de Dieu, du côté des commandements divins, du côté de ce qui nous révèle la lumière du Christ, sa Parole, son Évangile, ses plus grandes alliances données au genre humain. Tout cela dit, nous sommes engagés dans une lutte qui n’a pas une signification physique mais métaphysique. Je sais comment, malheureusement, les orthodoxes, les croyants, choisissant dans cette guerre la voie de la moindre résistance, ne réfléchissent pas à tout ce sur quoi nous réfléchissons aujourd’hui, mais suivent docilement la voie qui leur est indiquée par les pouvoirs en place. Nous ne condamnons personne, nous n’invitons personne à monter sur la croix, nous nous disons simplement : nous serons fidèles à la parole de Dieu, nous serons fidèles à sa loi, nous serons fidèles à la loi de l’amour et de la justice,et si nous voyons des violations de cette loi, nous ne supporterons jamais ceux qui détruisent cette loi, en effaçant la ligne de démarcation entre la sainteté et le péché, et surtout ceux qui promeuvent le péché comme modèle ou comme modèle de comportement humain."
Dans une video postée sur son site YouTube France Liberté, Arnaud Upinsky revient sur deux déclarations du candidat Eric Zemmour qu'il considère être de la "magie noire" :
Mik e' El
La première déclaration est celle qu'a faite Eric Zemmour au Mont Saint Michel le 19 février 2022.
"Ce qu'a dit Eric Zemmour, c'est qu'au fond l'archange St Michel nous invite au devoir de puissance. Parce que c'est un chef de guerre. Mais ce n'est pas cela le message de Saint Michel. Pas du tout. Ce qu'il (Eric Zemmour) a oublié c'est que le me message de l'archange on le trouve dans la prière du bouclier de Saint Michel. Ce n'est pas la puissance, c'est la vérité d'abord.
"Saint Michel est l'ennemi de l'Ennemi lorsqu'il renvoie l'Adversaire, le diviseur, il le terrasse au cri de Quis ut Deus, qui est comme Dieu ? [Le nom même de S. Michel en hébreu, Mik e' El, signifie Qui est semblable à Dieu. Ndlr.]
La Bible nous indique l'archange S. Michel comme le défenseur de la vérité sur Dieu (Daniel 10,21 ; 12,1 et Zacharie 3,1-2); le défenseur d'Israël et donc l'Eglise, peuple de Dieu. Saint Michel mène à la Révélation du Christ, sujet central de la vision des prophètes.
"Zemmour a donc fait oeuvre de magie noire en utilisant des symboles auxquels il ne croit pas et qu'il fait parler pour dire l'inverse de ce qu'ils disent.
"Voilà pourquoi nous sommes dans une situation catastrophique. C'est parce que tout le monde joue au jeu de la magie noire, c'est-à-dire aux mots auxquels on ne croit pas, aux symboles que l'on manipule, en parlant de la France pour la trahir, en parlant de santé pour assassiner.
"On ne pourra pas retrouver le pouvoir si l'on ne fait pas exploser le plafond de verre, ce plafond de verre de la magie noire qui fait que nous sommes traités en esclaves, tout en nous disant que nous sommes citoyens, nous sommes souverains, etc. C'est le grand jeu d'Orwell, de l'inversion du langage.
"Et voici encore une déclaration de "Reconquête" passée totalement inaperçue. Le samedi 15 septembre 2018, dans l'émission de France Inter, Le Grand face à face, où il était opposé à Raphaël Glücksman. (Ce dernier) a rappelé à Éric Zemmour : "dans votre dernier ouvrage (Destin français. Sic.), vous dites : 'Je suis pour l'Eglise, contre le Christ, contre le Christ." Ce à quoi Éric Zemmour a répondu : 'Oui, oui, je le dis clairement.'
"Le commentaire est le suivant : comment être pour l'Église et contre le Christ ? Dans l'épitre de Saint Paul aux Colossiens (1,18), il y a la citation suivante : 'le Christ est la tête de l'Église. Il est le commencement, le premier-né d'entre les morts afin d'être le tout premiÉgliseer." Donc, sans le Christ il n'y a pas d'Église. Car l'Église qui est sur terre est le 'corps de l'Église' (Col 1,24)
"Donc voilà les réflexions qu'apporte la théologie pour dénoncer ces imposteurs et qui conduisent au néant, parce que c'est de la magie noire qui détourne le sens des mots pour se faire élire."
Depuis huit ans, la France n'a jamais cherché à faire respecter les Accords de Minsk par Kiev.
Il est sans doute temps de commencer à penser sérieusement à la voie diplomatique, de respecter la parole donnée, et de tenir compte des intérêts de la Russie et des Russes à leurs frontières.
La guerre de Macron contre la Russie déclenche une envolée des prix et se retourne contre nous.
"ll est toujours moins confortable d'avoir à punir son voisin qu'un adversaire à l'autre bout du monde, et à ce jeu, l'Europe a davantage à perdre que son allié américain contre la Russie dans le dossier ukrainien."
"La marge de manoeuvre n'est pas du tout la même pour l'Europe" par rapport aux Etats-Unis, observe l'avocat spécialisé dans les sanctions économiques Olivier Dorgans, notant le risque de "se sanctionner soi-même" en sanctionnant l'autre dans ce type de conflit.
La journaliste Anne-Laure Bonnel à Donetsk dans le Donbass (Ukraine) a réalisé un film censuré par les médias mainstream (France Télévisions, Arte, M6).
"Regardez cette émission de 2014, je l'ai mise sur mon mur Facebook, où en pleine heure d'écoute on appelle à décimer 1,5 millions de populations qui se trouvent ici", dit-elle, dans cette video dans le Donbass, à 60 kms de Donetsk.
"On vous le rappelle à chaque video. Ce conflit dure depuis huit ans.
"Cela n'a pas commencé la semaine dernière. Depuis le mois de juillet 2014, l'aviation ukrainienne a pilonné sa population, à Lougansk et à Donetsk (Donbass / Ukraine). J'avais mis des videos; J'appelle tous les journalistes à 'fact-checker' (vérifier).
[Note du Blog Christ Roi. Entre 2014 et 2020, la guerre de Porochenko contre le Donbass a causé plus de 13000 morts pour l'ensemble : 13 000 morts selon l'ONU (4 100 forces ukrainiennes, 5 650 de groupes armés pro-russes, 3350 civils). (Wikipedia) Le décompte s'arrête à 2020 mais le nombre de morts a vraisemblablement continué d'augmenter, dans des proportions inconnues par la presse en Occident, les bombardements des villes ukrainiennes ayant continué jusqu'à la veille de l'intervention russe, le 24 février dernier.]
"Je ne prends pas partie, mais je suis du côté des civils, comme la Croix-Rouge", précise la journaliste Anne-Laure Bonnel.
"Regardez cette émission de 2014, je l'ai mise sur mon mur facebook, où en pleine heure d'écoute on appelle à décimer 1,5 million de personnes qui se trouvent ici", explique-t-elle.
"Les gens (ici) n'en peuvent plus. Vous imaginez ce stress (des populations russes du Donbass) pendant huit ans ? Les Accords de Minsk (qui demandaient l'arrêt des opérations armées. Ndlr.) n'ont jamais été respectés. L'OSCE était sur place, ils se sont barrés il y a deux jours. Ce n'était pas compliqué de constater ce qu'il se passait ici tout de même. Et peut-être que cette guerre aurait-elle pu être évitée. Il faut essayer de comprendre avant de s'indigner, essayer de comprendre pour savoir ce qu'il se passe. Alors dans les talk shows, essayez de retrouver ces images de l'aviation ukrainienne, de l'armée ukrainienne, les pilonnages, les émissions où l'on appelle à éradiquer. Human Right Watch a fait son boulot et déjà expliqué qu'il y avait des exactions; Amnesty International a parlé des exactions des deux côtés, du côté de Kiev ou du côté des séparatistes : les gens ont eu des oreilles coupées, etc. Ce n'est pas des rumeurs. Cela a été notifié par Amnesty International. Retrouvez ces dossiers. 2014, 2015, 2016, cela existe sur internet. Si vous cherchez vous trouverez", ajoute-t-elle.
"J'avais mis des photos depuis 2015. Tout le monde m'a refusé le film. J'ai appris que certaines personnes m'avaient demandé pourquoi les Russes avaient repris mon projet. France Télévision a refusé mon projet. Personne n'a voulu le diffuser. Amnesty International l'a effacé de ses fichiers après l'avoir sélectionné. Pendant un mois j'ai eu la presse, et après plus personne ne m'a posé de questions. Personne n'a voulu que ce film soit diffusé. Je l'ai proposé à France Télévisions, à Arte, M6, etc. Personne ne m'a répondu", termine-t-elle.
Au moment où un certain candidat et ses soutiens disent dans la même phrase qu'ils veulent la "Re-conquête" en disant être CONTRE le Christ - où est leur logique ? Le Christ n'a-t-il pas fait de la France ce qu'elle est fondamentalement ? -, en ce moment où nous entendons chacun dire qu'il faut suivre tel candidat, avec tel programme pour la France, chacun s'est-il demandé si suivre le programme de tel ou tel candidat était ce qu'il y avait de mieux à faire ?
"Eviter le moins pire", entendons-nous également souvent; Chacun a-t-il bien réfléchi à ce qu'il y a de moins pire pour la France ?
Pourquoi n'organisons nous donc pas nous-mêmes, là où nous sommes, la société que nous voulons ?
En serions-nous incapables, ou bien serions-nous impuissants ?
Les déclarations de "peuple souverain" et autre "souveraineté nationale" seraient-elles de pures abstractions ? Serions-nous d'éternels mineurs ?
Le système a-t-il mis par écrit ces notions parce que sachant que c'est lui le contrôleur et non les "citoyens", a-t-il voulu par là jeter un écran de fumée magique ? Qui contrôle qui ?
Voici notre programme :
Mettre des limites, et des contrôles, à l'enrichissement indéfini des riches. La liberté de l'enrichissement ne doit pas tourner en liberté d'asservir et d'exploiter sans limites les pauvres, tous égaux dans la pauvreté depuis 1789.
À l'image de S. Martin de Tours, Apôtre des Gaules, aider les plus démunis. Secourir les plus faibles.
Se retirer de toute instance oligarchique; ne plus laisser qu'une coquille vide; utiliser la force de l'inertie et laisser faire à la nature son travail.
À la place d'un texte soutenu par deux anges aux ailes noires en 1789, louant un "Être suprême"..., plaçons au-dessus du texte, la Croix du Christ, salut du monde, soutenu par deux anges aux ailes blanches.
Le gouvernement russe a décidé (enfin) d’adosser le rouble à l’or. Le projet sera soumis à la Douma le 04 mars prochain. Cette décision va à terme ébranler le pétrodollar et achever l’empire angloaméricain.
Stabiliser le rouble
Cette mesure était dans les tuyaux depuis belle lurette (2014 au moins) et attendait le moment propice pour la mettre en œuvre, sans paraitre comme une déclaration de guerre vis-à-vis des USA. Il faut dire que les élites russes espéraient encore pouvoir s’entendre avec l’empire, du moins négocier un partage des sphères.
Devant le cours du rouble qui s’effondre et l’inquiétude des populations, la Banque Centrale russe a relevé le taux directeur à 20 % pour réduire l’inflation. Mais ce n’était pas suffisant. Vu que la principale source de ces turbulences est la fuite des capitaux, le gouvernement russe a également interdit le paiement des dettes en devises occidentales (dollar, euro). Pour rassurer les russes, l’étalon-or va permettre aux agents économiques du pays de faire leurs échanges en or. Dans cette veine, la TVA sur les transactions d’or a été supprimée. D’un côté, le citoyen lambda peut acheter de l’or et sécuriser son épargne libellée en rouble, de l’autre, l’Etat le rouble associé à cet étalon va à défaut de monter, va voir réduire sa dégringolade. Néanmoins, cette mesure, plutôt inattendue, apparait plus une mesure de rétorsion, une attaque directe contre les USA et leur pétrodollar.
Tournant majeur
Le couplage du rouble à l’or représente un tournant majeur, une inauguration du monde multipolaire économique. Tout ceux qui ont tenté cela jusqu’ici ont vu leur pays dévasté, eux-mêmes éliminés physiquement. Cette fois-ci, c’est la Russie, grande à nouveau et puissante de surcroît.
La Russie, c’est 12 % du marché mondial du pétrole, 15 % pour les produits raffinés, 20 % pour le gaz naturel, sans compter le GNL, le blé, le Platinium, le titane, l’aluminium…l’action d’un pays aussi important de l’économie mondiale aura à terme un effet dévastateur pour le pétrodollar. Nous allons assister à la formation d’un grand marché eurasiatique débarrassé du dollar (Chine, Russie, Inde, Iran…), pouvant même exigé de ses partenaires économiques de payer ou d’être payé hors dollar et euro. Ils pourraient être rejoints à terme par les pays du Sud global comme la Turquie, l’Indonésie, le Brésil, l’Argentine, le Mexique, l’Afrique du Sud, le Nigéria ou encore le Maroc, l’Algérie et l’Egypte.
De plus, cela constituera une pression énorme pour l’Arabie Saoudite à qui la Chine exige de pouvoir payer ses importations de pétrole en yuan. Ce que cette dernière a jusqu’ici refusé mais jusqu’à quand ?
Dans un communiqué, les experts du Comité consultatif mondial de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la sécurité des vaccins expliquent que des cas de myocardite – une inflammation du muscle cardiaque – et de péricardite – une inflammation de la membrane enveloppant le coeur – ont été signalés dans plusieurs pays, en particulier aux États-Unis.
Les cas rapportés sont généralement survenus dans les jours qui ont suivi la vaccination, plus fréquemment chez les jeunes hommes et plus souvent après la deuxième dose des vaccins à ARN messager contre la COVID-19, ont-ils indiqué.
Après examen des informations disponibles à ce jour, les experts de l'OMS concluent que les données actuelles suggèrent un lien de causalité probable entre la myocardite et les vaccins à ARN messager.