Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 novembre 2023 7 05 /11 /novembre /2023 07:11

Jusqu'au bout, les hommes de la Révolution auront refusé de faire des électeurs, même au second degré, les arbitres de la dévolution du pouvoir.

François Furet, préface in Patrice Gueniffey, Le Nombre et la Raison, La Révolution française et les élections, préface de François Furet, Editions de l'Ecole des Hautes Etudes en sciences sociales, Paris 1993, p. XI

Etats généraux réunis le 5 mai 1789 à Versailles, dans la salle de l'hôtel des Menus Plaisirs

Etats généraux réunis le 5 mai 1789 à Versailles, dans la salle de l'hôtel des Menus Plaisirs

Vous trouverez ci-dessous des propositions et des solutions concrètes aux problèmes politiques et sociaux contemporains : une refondation de nos institutions pensée par Valérie Bugault qui suit nos propres propositions dans l'article publié en 2012 "Contre le Nouvel Ordre mondial : en finir avec la révolution (IIIe partie)", notamment afin de pallier l'échec de la dite "représentation" parlementaire ou régime dit "représentatif" (qui ne représente que les intérêts des puissants et des riches) :

 

=> "la représentation de la société par corps (les "groupements d'intérêts" de Valérie BUGAULT) plutôt que par têtes(partis politiques diviseurs),

=> "doter les députés, comme sous l'Ancien Régime, de mandats impératifs", tels qu'en furent dotés les députés de la monarchie "absolue" réunis le 5 mai 1789 à Versailles, selon les volontés du peuple exprimées des les Cahiers de doléances (qui ne réclamaient nulle part le renversement du roi). Les mandataires des trois ordres supprimèrent ces mandats impératifspour les remplacer par des mandats "non-impératifs" car "représentant" (soit-disant) la nation (arrêté du 17 juin 1789)

=> Il s'agit de "réfléchir à la manière de revenir à une représentation organique, plus réelle et concrète des Français, réalisée non plus par têtes (représentation individualiste) mais par poids des corps dans la société (poids des cadres, employés, ouvriers, familles, fonctionnaires, artisans, professions libérales, étudiants, etc.). De la sorte la puissance de nuisance des partis politiques, sera circonscrite, la justice et le droit rétablis", écrivions-nous alors.

 

Et avons-nous envie de dire avec Henri Guillemin, comme nous allons le voir ci-dessous, il s'agit de de circonscrire la puissance de nuisance de la "république" en plaçant à la tête de nos institutions un roi de type Ancien Régime (et non un roi de régime parlementaire), selon les propres réflexions d'Henri Guillemin :

 

"Un système monarchique est moins fort que le système républicain pour faire tenir tranquilles les pauvres gens" ! 

 

Ces réflexions d'Henri Guillemin furent faites à partir d'une "citation de Jean-Jacques Rousseau" qu'il avait découvert, la Lettre à d’Alembert sur les spectacles, de 1758, où Rousseau "décrivait parfaitement le piège d'une république dont les notables peuvent aisément prendre le contrôle" : 

Jamais, dans une monarchie, l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus du prince ; mais, dans une république, elle peut aisément le mettre au-dessus des lois. Alors, le gouvernement n’a plus de force, et le riche est toujours le vrai souverain.

Henri Guillemin, citant J.-J. Rosseau

On peut toujours remettre en cause la volonté royale; on pourra dire "et bien c'est un homme qui ne veut pas que nous améliorions notre situation".

Tandis que s'il y a une révolte, une révolte de pauvres sous la république, c'est-à-dire sous le régime du suffrage universel, l'autorité qui va contraindre ces gens à rentrer dans leurs tanières, elle s'appelle comment ? Elle s'appelle "volonté nationale". Du moment que nous avons avec l'assemblée ce que nous appelons la "volonté de la nation", cette volonté de la nation (qui est en fait la volonté des notables) est autrement forte qu'une simple volonté royale pour faire tenir tranquilles les misérables ! La république est une manière de coincer les pauvres bien meilleure, selon monsieur Thiers, que ne l'était la monarchie !

Henri Guillemin

Ecoeuré par le régime des partis, Charles de Gaulle lui-même a eu la même réflexion dans une confidence à son ministre de la Population de 1945 à 1946, Robert Prigent, le dimanche 20 janvier 1946 à Neuilly, où il passait le reste de la journée en famille pour rédiger sa lettre de démission du Gouvernement provisoire:

Ce qu'il faudrait à ce pays, c'est un roi.

Charles de Gaulle in J.-R. Tournoux, Pétain et de Gaulle, p. 495, cité in Georgette Elgey, La République des Illusions 1945-1951 ou la Vie secrète de la IVe république, Les Grandes Etudes contemporaines, Fayard, Rennes 1965, p. 92

À la sortie de la guerre, le général considérait sa "mission" "terminée", la "tâche" qu'il s'était assignée, "accomplie", et le régime exclusif des partis" étant "reparu", selon les termes de sa déclaration à ses ministres dimanche matin 20 janvier 1946, au ministère de la Défense nationale, rue St Dominique, il lui fallait se retirer.

À propos de la monarchie "absolue", voici maintenant ci-dessous les explications de François BLUCHE, dans son "Louis XIV" (Fayard, Paris 2002). Ces réflexions viennent contredire totalement la narrative effroyable faite par l'école républicaine :

 

"Le droit divin, en effet, impose au souverain des devoirs. 'Le Ciel, écrit Louis, nous confie des peuples et des États', apportant aussitôt une limitation au pouvoir des princes. Un monarque, surtout le roi 'très chrétien', doit appliquer mieux que ses sujets les commandements de Dieu et de l'Église. ... Plus que tous les autres, le souverains doivent 'instruire leurs enfants par l'exemple.' ... Louis écrit, ailleurs, plus nettement : 'Nous devons considérer le bien de nos sujets, bien plus que le nôtre propre.'

 

"Aujourd'hui ces faits sont trop oubliés.

 

"... Or depuis 1789, un enseignement simplificateur a noirci le concept de monarchie absolue.

 

"Le XIXe siècle l'a d'ailleurs peu à peu remplacé par l'horrible mot d'absolutisme, faisant de l'ancien régime un système de l'arbitraire, voire du despotisme ou de la tyrannie. La monarchie de Louis XIV devenait rétrospectivement comme le régime du bon plaisir. 

 

"On peut en général retrouver l'origine de chaque légende. Depuis Charles VII les lettres patentes des rois s'achevaient par l'expression : 'Car tel est notre plaisir'. Nos ancêtres à qui le latin n'était pas étranger, lisaient : Placet nobis et volumus (C'est notre volonté réfléchie). Ils voyaient en cette formule la décision délibérée du Roi, non son caprice. De même traduisaient-ils sans hésiter monarchia absoluta par monarchie parfaite. 

 

"... Mais absolutus, venant du verbe absolvere (délier), les Français du XVIIIe siècle savent aussi que monarchia absoluta signifie monarchie sans liens et non sans limites."

 

(François BLUCHE, Louis XIV, Fayard, Paris 2002, p. 180-186.)

 

Sans liens, c'est-à-dire que le roi ne dépend pas des groupes de pression ni des puissants.

 

Une solution politique : Roi et peuple ne font qu'un !

CONCLUSION

 

Peuple et Roi ne font qu'un.

 

 

Dans cette défense des petits, une représentation concrète et un roi pour défendre le peuple contre les Puissants. 

 

La personne du roi, indépendante, ne dépend d'aucune puissance (d'argent), d'aucun parti, d'aucun lobby...

 

Peuple et roi ne faisant qu'un contre les intérêts des puissants.

 

Une France libre, indépendante et souveraine. Une équation parfaite que les hommes de la Révolution (de 1789) auront refusée "jusqu'au bout" aux "électeurs" !

Partager cet article
Repost0
20 mai 2023 6 20 /05 /mai /2023 07:38

Une illustration de la chute vertigineuse de la société occidentale vers la folie collective due à l'inversion du langage a été la covidodémence où les mesures les plus irrationnelles et antiscience furent prises, au nom de la science

 

Exemples : Les policiers municipaux ne peuvent pas contrôler les identités mais les restaurateurs devront contrôler le 'Pass Sanitaire'; les "vaccinés les premiers, c'est-à-dire en janvier et février, verront prochainement leurs taux d'anticorps baissés, et leurs immunités diminuées ... Je veux ici les rassurer, dès la rentrée, une campagne de rappels sera mise en place pour vous permettre de bénéficier d'une nouvelle injection selon le même système et dans les mêmes conditions" (Macron le 16 juillet 2021)la consommation debout dans les bars est interdite ; boire un café debout dans un bar est mortel, le boire assis est sans danger, mais pas dans les cinémas, théâtres et transports longue distance où il est "interdit de manger assis ; Les "plages dynamiques" où être assis à la plage est mortel mais pas si on est debout en train de marcher, etc., etc.

 

 

Mais une autre illustration de la chute vertigineuse de l'Occident vers la folie est la volonté d'endoctriner les enfants avec des mensonges quant à leur sexe.

Pourquoi sombrons-nous dans la folie et la barbarie ?

L’exploitation de nos enfants dans les écoles publiques

 

Source de l'article suivant : https://catholicexchange.com/stolen-innocence-the-exploitation-of-our-children-in-public-schools-and-what-to-do-about-it/

Traduit par : https://lecatho.fr/actualite/lexploitation-de-nos-enfants-dans-les-ecoles-publiques/ 

 

Pourquoi l’exploitation sexuelle des enfants est-elle si importante pour les impies ?

 

Jésus répondit : « N’avez-vous pas lu que celui qui les a faits dès l’origine les a faits homme et femme… ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas. » (Matt 19:4)

 

Depuis le commencement. Il y a une explosion cosmique de l’amour trinitaire. Le jardin d’Eden a été préparé pour un festin de noces. Dieu dit alors : « Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance. Dieu créa l’homme à son image : il le créa à l’image de Dieu, il le créa homme et femme. Souriant aux nouveaux époux, Dieu les bénit et leur dit :

 

« Soyez féconds et multipliez, remplissez la terre » (Gn 1,26-28), donnez naissance à des enfants, car ils sont très bons !

 

C’est alors qu’entre en scène le tentateur, le Mysterium Iniquitatis, une expression latine qui signifie le mystère du mal. Satan n’a pas d’argile propre. Il ne peut que tordre, déformer et chercher à détruire l’Imago Dei, le signe que Dieu a créé le bien.

 

Or, le serpent était le plus rusé de tous les animaux que le Seigneur Dieu avait créés. Le serpent demanda à la femme :

 

« Dieu t’a-t-il vraiment dit de ne manger d’aucun des arbres du jardin ?

 

La femme répondit au serpent :

 

Nous pouvons manger du fruit des arbres du jardin ; c’est seulement au sujet du fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin que Dieu a dit :

 

« Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez pas, de peur que vous ne mouriez« .

 

Le serpent dit à la femme :

 

« Tu ne mourras pas ! Tu ne mourras certainement pas ! Non, Dieu sait bien qu’au moment où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux qui savent ce qui est bon et ce qui est mauvais » (Gn 3,1-5).

 

Je suis de tout cœur avec les jeunes qui sont pulvérisés par une culture tordue, déformée et très toxique. On leur a menti à maintes reprises sur les fondements mêmes du mariage, de la famille, de l’amour authentique, de la véritable signification du sexe et de la sexualité, et bien d’autres choses encore.

 

L’endoctrinement sexuel, l’exploitation et la manipulation des enfants à grande échelle dans les écoles publiques sont particulièrement inquiétants. C’est pourquoi je présente « Stolen Innocence« (L'Innocence volée. Ndlr) , un événement de sensibilisation de la communauté, avec l’enquêteur Thomas Hampson, sur ce qui arrive réellement à nos enfants dans le système scolaire public.

 

La question qui revient le plus souvent au cours de la période de questions qui suit est la suivante :

 

Pourquoi ? Pourquoi une institution chargée d’éduquer les enfants de notre pays se concentre-t-elle plutôt sur la préparation et l’exploitation sexuelles des enfants dont elle a la charge ? En bref, la réponse est le Mysterium Iniquitatis. Avons-nous oublié que nous vivons dans un monde déchu ? Avons-nous oublié que le mal et ses conséquences, le péché et la mort, sont entrés dans le monde après la chute ? Avons-nous également oublié que Dieu a apporté la solution et a vaincu le péché et la mort dans le Mysterium Pietatis, le mystère de l’incarnation, de la passion, de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ ? Non, nous n’avons pas oublié. C’est que l’homme moderne s’est à nouveau trouvé devant l’arbre de la connaissance du bien et du mal et a choisi librement de rejeter Dieu. « L’innocence volée » est la conséquence de ce choix.

 

Dans son livre Toward Soviet America (1932), William Z. Foster, président national du parti communiste américain, ne laisse planer aucun doute sur l’objectif du parti en matière d’éducation américaine. « Parmi les mesures élémentaires que le Soviet américain adoptera pour faire avancer la révolution culturelle, on trouve … un ministère national de l’éducation … les études seront révolutionnées, nettoyées des aspects religieux, patriotiques et autres de l’idéologie bourgeoise. On enseignera aux étudiants les bases du marxisme et du matérialisme (Awake, Not Woke, par Noelle Mering, p. 173).

 

À peu près à la même époque, John Dewey, peut-être la figure la plus influente de l’éducation américaine moderne, a transféré l’École de Francfort, fondée par des marxistes, à l’Université de Columbia. Socialiste et athée convaincu, Dewey a passé du temps en Union soviétique et, à son retour aux États-Unis, il a écrit un livre dans lequel il exprimait son admiration et son désir de reproduire la manière dont leur système était utilisé comme outil politique.

 

Comment ils ont pu si rapidement inculquer un état d’esprit collectiviste aux enfants et comment ils ont commencé à démanteler la nécessité d’une cellule familiale.

 

« Nous nous intéressons tout particulièrement au rôle des écoles dans la mise en place de forces et de facteurs dont l’effet naturel est de saper l’importance et le caractère unique de la vie familiale » (cf. Awake, Not Woke, p. 174).

 

Dewey a fini par être connu comme le père de l’éducation progressive. Son incompréhension de la dignité de la personne humaine et son dédain de la religion ont animé et nourri sa vision de l’éducation. Dewey pensait que, plus qu’un simple apprentissage de la lecture, de l’écriture et de l’arithmétique, l’éducation devait être un outil d’ingénierie sociale et d’éveil de la conscience des enfants à l’activisme. Il a enseigné la philosophie de l’éducation au Teacher’s College de Columbia, où il a pu avoir un impact vaste et profond. En 1950, un tiers des directeurs et des surintendants des grands districts scolaires du pays y avaient été formés et étaient retournés dans leurs districts pour répandre ces théories dans tout le pays (cf. Awake, p. 174).

 

Ce sentiment a été repris par Chester M Pierce, éminent professeur d’éducation et de psychiatrie à Harvard et consultant pour des émissions éducatives pour enfants telles que Sesame Street :

 

« Chaque enfant américain qui entre à l’école à l’âge de cinq ans est mentalement malade parce qu’il vient à l’école avec certaines alliances avec nos pères fondateurs, avec nos élus, avec ses parents, avec la croyance en un être surnaturel et avec la souveraineté de cette nation en tant qu’entité distincte« , a déclaré Pierce. « C’est à vous, enseignants, qu’il incombe de guérir tous ces enfants malades en créant l’enfant international de demain » (Awake, p. 177).

 

La National Education Association (NEA), le plus grand syndicat d’enseignants du pays, s’est développée sous la houlette d’organisateurs marxistes et communistes dans sa volonté de passer outre l’influence des parents sur leurs enfants. (cf. Awake, p. 177-78)

 

Nous avons ici la réponse à la question du POURQUOI.

 

Entrez dans le tentateur, le Mysterium Iniquitatis. Satan n’a pas sa propre argile. Avec les hommes et les femmes qui ont rejeté Dieu, il ne peut que tordre, déformer et chercher à détruire l’Imago Dei, le signe de l’Amour Trinitaire – le mariage et la famille – que Dieu a créé très bon. Ce qui est le plus profané par Satan est ce qui est le plus saint. Quel meilleur moyen d’effacer Dieu que de souiller la belle innocence des enfants par le biais de l' »éducation sexuelle complète » et d’autres perversions qui leur ont été imposées ?

 

Quelle ironie, à notre époque dite moderne, que nous soyons tombés une fois de plus dans le piège de ce très vieux mensonge : « vous pouvez être comme des dieux« . Il semble que les mots d’Aldous Huxley sonnent juste une fois de plus : « Le fait que les hommes n’apprennent pas grand-chose des leçons de l’histoire est la plus importante de toutes les leçons que l’histoire a à enseigner. » Car sans le Créateur, la créature disparaîtrait… Mais quand on oublie Dieu, la créature elle-même devient inintelligible (Gaudium et spes, n° 36).

 

Pourtant, Dieu, le Père de Miséricorde, souhaite se réconcilier avec ses enfants perdus. L’histoire du salut – le salut de l’humanité tout entière ainsi que de chaque être humain à quelque époque que ce soit – est l’histoire merveilleuse d’une réconciliation. C’est la réconciliation par laquelle Dieu, en tant que Père, dans le sang et la croix de son Fils fait homme, réconcilie le monde avec lui-même et fait ainsi naître une nouvelle famille de réconciliés (Réconciliation et pénitence, Jean-Paul II, n° 4.8).

 

C’est l’heure de la décision ! L’histoire enseigne que, dans un certain sens, chaque personne se trouve devant l’arbre intemporel de la connaissance du bien et du mal. La question posée à chaque individu de chaque génération est la suivante : « Est-ce que j’utilise mon intelligence et ma raison pour construire ma vie et le monde qui m’entoure sur la vérité éternelle, sur Dieu, ou est-ce que je gaspille ma liberté et choisis plutôt…d’être comme des dieux qui savent ce qui est bon et ce qui est mauvais ?« . (Gn 3,5).

 

Jésus a dit à ses disciples :

 

« Quiconque accueille en mon nom un de ces enfants, c’est moi qu’il accueille ; mais si quelqu’un fait pécher l’un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui attache au cou une grande meule de moulin et qu’on le noie au fond de la mer » (Mt 18,5-6).

 

Notre espoir pour les hommes et les femmes d’aujourd’hui est qu’ils puissent surmonter l’endurcissement de leur cœur, se remettre de la perte du sens du péché, se tourner à nouveau vers Jésus-Christ et être sauvés.

 

Cet article a été publié originellement par Catholic Exchange (Lien de l’article).

Note du Blog Christ Roi.

Contrairement à ce qu'affirme le conformisme contemporain, l'Humanisme de la Renaissance n'a pas établi la raison, il l'a perdue en faisant primer la raison humaine sur la Raison divine.

Alain PASCAL, La Renaissance, cette imposture, La Guerre des Gnoses ***, éd. CIMES, Paris 2021, p.13

Le Concile Vatican II, Gaudium et spes 36 avait averti :

 

"si, par « autonomie du temporel», on veut dire que les choses créées ne dépendent pas de Dieu et que l’homme peut en disposer sans référence au Créateur, la fausseté de tels propos ne peut échapper à quiconque reconnaît Dieu. En effet, la créature sans Créateur s’évanouit. Du reste, tous les croyants, à quelque religion qu’ils appartiennent, ont toujours entendu la voix de Dieu et sa manifestation, dans le langage des créatures. Et même, l’oubli de Dieu rend opaque la créature elle-même."

 

Toute la misère de notre monde vient du fait qu'il s'est séparé de Dieu dans la culture, l'économie, le droit, la politique. Cette séparation inédite issue de la philosophie moderne qui entendait comprendre et organiser le monde comme si Dieu n'existait pas est LE mensonge. Cette profonde erreur nous fait régresser à l'état primitif archaïque, et à la barbarie.

 

 

"La Révélation chrétienne a offert l'Intelligence au monde, la Révolution moderne la lui fait perdre. Le vocabulaire moderne est donc une inversion. Au nom du progrès, l'humanité régresse et la cause est métaphysique. ... Le christianisme représente une révolution par rapport au monde antique. ... Il affirme le dualisme de l'Être - une distinction entre l'Être de Dieu et l'Être créé -, ce qui fait dépendre la connaissance humaine d'une intelligence supérieure à l'intelligence humaine. Il y a donc un critère transcendantal du rationnel.

 

"Le dualisme métaphysique conditionne la connaissance et le christianisme est la seule religion à le respecter. ... L'intelligence est dans la nature humaine. Elle est la faculté de connaissance. ... Le problème de la validité de son exercice réside dans son fondement." (Alain PASCAL, L'Intelligence du christianisme, tome 1, L'Humanité en quête de Dieu, éd. du Verbe Haut 2022, p. 22-23.)

 

"Depuis la Révolution, la société est coupée du Sacré. Le religieux est passé du conscient à l'inconscient et le langage a été inversé par la philosophie moderne, qui offre à l'homme non pas la liberté, mais l'esclavage et la mort. La philosophie moderne est une régression mentale qui entraîne une régression sociale." (Alain PASCAL, La Renaissance, cette imposture, La Guerre des Gnoses ***, éd. CIMES, Paris 2021, p.15.)

 

Or dans le langage moderne inversé, cette régression horrible est appelée "progrès" !

 

 

Non plus la raison venant de Dieu, mais la raison dressée contre Dieu

 

C'est cet échec du monde moderne que nous assistons actuellement. La Russie semble vouloir s'extirper de cette folie en revenant à sa culture chrétienne, quand l'Occident continue sa course folle vers l'état primitif.

 

"Aujourd'hui, les modernes ont perdu la Raison parce qu'en faisant table rase de la tradition chrétienne, ils sont revenus à la mentalité primitive. La victoire de la barbarie sur la Civilisation en témoigne", explique Alain PASCAL. (La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, tome 2, Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, éd. Cimes, 2e éd. revue et augmentée, Paris 2015, p. 289.)

 

"Les Temps modernes ne pouvaient pas être un progrès parce que le 'rationalisme' qui les fonde est une régression mentale.

 

"[...] La 'raison' moderne ne peut pas être rationnelle puisqu'elle est individuelle, et que l'expérience individuelle a nécessairement recours aux 'sens' comme l'a montré Saint Thomas. Pour être, la Raison doit transcender l'individu.

 

"[...] Le 'rationalisme' moderne ne peut pas être rationnel puisqu'il est l'expression ultime de croyances primitives traduites en philosophie." (Alain PASCAL, La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, tome 2, Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, ibid., p. 289)

 

"Le lecteur occidental doit donc oublier le langage de la philosophie moderne, qui a récupéré certains mots en les détournant de leur sens originel. [...] Il y a de nos jours une confusion du vocabulaire dont la responsabilité incombe aux loges maçonniques, et contrairement au langage de la philosophie moderne, obscure [...], les grands systèmes scolastiques (fidèles à la tradition chrétienne) [...] sont d'une clarté exemplaire. En un mot, la lumière du langage scolastique s'oppose à l'obscurantisme du mot rationalisme, justement.

 

"Pour un traditionaliste chrétien, le rationalisme consiste à respecter la Raison divine, alors que dans le langage moderne, le rationalisme fait prédominer la raison humaine sur la Raison divine, voire nie la Raison divine.

 

C'est un exemple d'inversion du langage.

 

Nous pourrions donner un autre exemple, à savoir que, dans le langage scolastique, l'empirisme s'oppose au réalisme et au rationalisme, alors qu'en lange moderne l'empirisme se prétend réaliste et rationnel.

 

[...] Le mot rationalisme naît avec la scolastique – la Raison divine est offerte à l'humanité par la scolastique –, et aujourd'hui il signifie le contraire du rationalisme scolastique. [...] Être rationaliste, c'est accorder la Raison divine à la faculté rationnelle humaine. La scolastique donne la qualité à la chose en allant du supérieur (la raison divine. Ndlr.) à l'inférieur (l'humain). [...] Le moderne (au contraire) part de l'inférieur, la Nature, qu'il étudie par une science quantitative, numérique et profane. [...] Le moderne déduit la loi d'une science qui nie le Sacré.

 

[...] La dernière (philosophie) en date est l'existentialisme athée, philosophie qui a conclu à l'absurde, ce qui est un aveu total de perte de sens. Le mot lui-même est utilisé à contresens, par exemple par les marxistes lorsqu'ils osent parler du 'sens de l'histoire' à propos de leur 'progressisme'. C'est le plus grand (et le pire) exemple d'absurdité meurtrière née de l'inversion du langage par la philosophie moderne. Car le marxisme a définitivement démontré son irrationalité, son incapacité à comprendre le réel. Le progressisme marxisme est une régression historique sans précédent. 

 

"[...] Il ne faut cependant pas désespérer car l'Intelligence perdue provoque un tel excès de primitivation que le malheur vécu et le manque spirituel sont à même de rendre évident la nécessité d'une renaissance de l'Intelligence. Au bout de l'absurde, une nostalgie rationnelle et sacrale provoquera la fin des Temps modernes." (Alain PASCAL, La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, tome 2, Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, ibid., p. 139-141.)

 

"La philosophie moderne est stupide – c'est le mot – quand elle dit  que l'homme est rationnel parce qu'il a rejeté Dieu et qu'elle prône une liberté individuelle parce que la raison humaine ne peut venir que de Dieu et que la liberté est impossible à l'individu, puisqu'il est interne au cosmos. Pour preuve, l'homme moderne ne comprend plus rien, il est fou, et de moins en moins libre (il n'y a que les victimes du communisme qui s'en aperçoivent...) [...] Le monisme métaphysique est donc la cause de l'échec moderne. [...] En  régressant à avant la scolastique, la philosophie moderne ne peut pas être nouvelle, elle est nécessairement régressive. 

 

"La scolastique est un immense progrès parce qu'elle a sanctifié la philosophie ancienne (qui aspirait à libérer l'homme des croyances irrationnelles des relations cosmiques antiques en accordant à l'humain la faculté rationnelle et la liberté individuelle, mais avait échoué car elle avait persisté dans le monisme de l'Être parce que c'était la seule conception de l'époque, ou parce que les premiers philosophes, s'ils avaient peut-être eu l'échos de la genèse [...] n'en avaient pas compris la métaphysique) en la refondant sur le dualisme métaphysique." (Un Dieu créateur et un monde créé non confondus dans l'Un antique). (Alain PASCAL, Les Sources occultes de la philosophie moderne, De la Gnose à la théosophie, tome 1 de La Conspiration des philosophes, éd. des Cimes, Paris 2017, p. 109-111.)

 

"Dans le catholicisme [...] le Père incarne le Fils pour que l'homme ['fait à l'image de Dieu'. Ndlr.] ait une raison qui lui permette d'étudier scientifiquement la nature. La nature n'est plus [comme dans les anciennes cosmogonies monistes. Ndlr.] le corps de Dieu parce que le Père est transcendant, 'les choses cachées depuis la fondation du monde' sont révélées par le Fils, si bien que l'homme peut étudier le créé sans peur. Par la Trinité, et la Trinité seule, la magie est écartée de la science. La magie est la forme primitive de la science, mais celle-ci n'est véritablement devenue objective (donc rationnelle...) qu'avec l'abandon de la magie, c'est-à-dire lorsque la métaphysique du christianisme a délivré la nature de ses mystères en distinguant l'être créé de l'Être créateur.

 

"Seul à respecter la métaphysique du dualisme de l'Être de la Bible, le dogme catholique est le seul à être rationnel parce qu'il est le seul à exclure toute magie.  [...] Il faut en tirer la conséquence sur notre civilisation. [...] [L]e retour actuel de la magie constitue à l'égard de l'Occident chrétien une menace de mort au même titre que le choix métaphysique moniste." (Alain PASCAL, La Renaissance, cette imposture, La Guerre des Gnoses ***, éd. CIMES, Paris 2021, p. 57-58.)

 

"La philosophie moderne a fait perdre à l'humain toute raison, puisqu'elle a affirmé une fausse raison, qui plus est l'inverse de la Raison. C'est pour cela que l'homme moderne ne domine plus le réel. ... Le modernisme étant une négation du christianisme (il est démontré que la philosophie moderne est une inversion de la scolastique chrétienne), il est une régression et non pas un progrès, ce n'est pas une affirmation de théologien, mais un constat d'historien. L'homme moderne n'est pas raisonnable, il est fou, raison pour laquelle il est violent. Car jamais, y compris dans les temps les plus primitifs, l'humain n'a autant versé le sang humain. Tel est le fait incontestable. En quantité et en proportion d'êtres humains tués par l'homme, les Temps modernes ont battu tous les recors, et ce n'est pas fini..." (Alain PASCAL, L'Intelligence du christianisme, tome 1, L'Humanité en quête de Dieu, éd. du Verbe Haut 2022, p. 49-50.)

 

"Les Temps modernes [...] ont vu la plus forte montée d'irrationnel et la plus forte explosion de la violence de toute l'histoire de l'humanité, y compris la plus primitive...

 

"[L]a cause de la violence moderne est l'abandon de la métaphysique du dualisme de l'Être. [...] Le monisme de l'Être est le problème de la philosophie moderne, la cause métaphysique de l'échec moderne. La philosophie moderne est moniste, car elle nie le Surnaturel, donc présuppose un Être Un, et cette erreur métaphysique s'accompagne obligatoirement d'une résurgence du sacrificiel archaïque. [...] Loin d'être un progrès, l''Éternel retour' au monisme est une régression." (Alain PASCAL, La Renaissance, cette imposture, La Guerre des Gnoses ***, éd. CIMES, Paris 2021, p. 61.)

 

De même, "l'Humanisme qui est une divinisation de l'homme (sans les moyens de Dieu, donc avec les moyens du serpent de la Genèse. Ndlr.), loin de permettre une connaissance rationnelle constitue un obstacle. Car par lui-même, l'homme ne peut avoir qu'une connaissance limitée de l'univers. Certains aspects du réel sont hors de ses sens, donc aussi de sa raison. L'univers tient ses lois d'une Intelligence supérieure à celle de l'homme, donc il faut à la raison humaine que 'Quelqu'un' lui révèle cette Intelligence supérieure. En un mot, pour atteindre la Raison, il faut partir de Dieu et non de l'Homme." (Alain PASCAL, L'Intelligence du christianisme, tome1, L'Humanité en quête de Dieu, éd. Du Verbe haut 2022, p. 384.)

 

"Puisque seul le christianisme respecte la parole de Dieu (et le dualisme biblique avec d'un côté un Être créateur, Dieu, et de l'autre côté, des créatures, à ne pas confondre avec Dieu lui-même, et qui ne sont pas des êtres créateurs. Ce que conteste la philosophie moderne... Ndlr.) [...], mettre fin au christianisme est servir le diable, l'esprit qui veut détruire la Création de Dieu, et c'est pourquoi depuis que la société est antichrétienne, c'est-à-dire depuis le début des Temps modernes, l'homme met en péril la Création.

 

"L'humain a perdu la Raison, il sombre dans l'absurde (notre Absurdie actuelle, Ndlr.), parce qu'il a perdu l'Intelligence de la Bible et il a été séduit par celle du diable.

 

"De nos jours, l'écologie illustre cette absurdité. L'écologie est en effet la religion cosmique (moniste archaïque d'un Cosmos un. Nldr.) qui va justifier la dictature mondiale. C'est absurde puisque cette religiosité exprime une nostalgie de la Création (du jardin d'Eden avant la Chute... Ndlr.) alors qu'elle est mise au service d'un mondialisme destructeur de la Création. L'écologie devrait défendre l'Ordre du Cosmos alors qu'elle est l'extrême révolution, l'apologie du chaos. L'écologie est à la fois l'extrême progressisme, l'aboutissement de la révolte contre Dieu, mais aussi l'anti-science qui peut mettre fin au progressisme ! Certains verront dans cette absurdité écologique une volonté supérieure, tant il est vrai qu'après le Chaos revient l'Ordre...

 

"Nous entrons dans l'espérance. Les temps modernes vont se clore et l'Intelligence sera rendue à l'homme avec la mémoire." (Alain PASCAL, La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, tome 2, Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, ibid., p. 203.)

Partager cet article
Repost0
29 avril 2023 6 29 /04 /avril /2023 12:49

Après avoir voulu chasser le sacré religieux de nos vies, celui-ci revient sous la forme d'un sacré moderne irrationnel, déconnecté du réel et de la constatation scientifique, le "temps des peurs" irrationnelles. 

 

Dans son dernier livre, Michel Maffesoli perçoit dans ce "temps des peurs" "les clefs la Renaissance post-moderne" :

Michel Maffesoli, Le temps des peurs

Pandémie, crise climatique, inflation… Les élites au pouvoir, arc-boutées sur les anciennes valeurs, ne cessent d’instrumentaliser les dangers et les menaces afin de contraindre les comportements individuels et de restreindre les relations sociales.

 

Jouant sur la peur archétypale, la caste dominante multiplie les procédés de contrôle et d’asservissement : injonctions autoritaristes, surveillances croissantes, théâtralisations caricaturales… Tous les moyens sont bons pour aboutir à la soumission généralisée et à l’anéantissement de la pensée.

 

Mais les divers mouvements de rébellion du peuple, qui refuse cette idéologie mortifère, viennent mettre à mal la logique de domination et conduisent à un retour de la Tradition.

 

Un essai capital pour comprendre les clefs de la renaissance postmoderne en cours.

 

Professeur émérite à la Sorbonne, membre de l’Institut universitaire de France, Michel Maffesoli est l’auteur d’une oeuvre fondamentale. Il a récemment publié, aux Éditions du Cerf, L’Ère des soulèvements et Logique de l’assentiment.

 

Source: https://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/19961/Le-temps-des-peurs

Il y a un potentiel de tyrannie probablement plus grand dans la république et dans les dérives comme l'empire que dans la monarchie originelle. Et nous sommes aujourd'hui quelque part dans le même cas de figure [que sous Robespierre], dans une forme de nouvelle terreur. Il y a des stratégies de terrorisation de la population qui sont mises en œuvre, et en particulier de persécution de ceux qui s'opposeraient à cette idéologie délirante.

Et le pouvoir, aujourd'hui en place, pour faire oublier la logique de domination dans laquelle il est caractéristique des totalitarismes, veut voir du complotisme partout. [C'est-à-dire que] Tous ceux qui n'adhèrent pas à cette narration délirante et paranoïaque sont eux-mêmes immédiatement étiquetés comme 'paranoïaques'.

Jean-Dominique Michel

Dans une video YouTube Jean-Dominique Michel présente le livre de Michel Maffesoli :

Note du Blog Christ Roi. La dérive actuelle inquisitoriale complosophiste consistant à disqualifier les discours contredisant les narratifs gouvernementaux confine au manichéisme des loges maçonniques, décrit dans l'ouvrage de Alain PASCAL, La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, La Pré-kabbale, Éd. de l'Æncre, Paris 1999 (p. 174), ouvrage que tout résistant doit impérativement posséder en bonne place dans sa bibliothèque de combat :

 

"Comme les manichéens, les loges combattent ceux qu'elles accusent d'appartenir aux 'ténèbres', les 'obscurantistes'. Exploitant sans vergogne le dualisme du bien et du mal, les francs-maçons excluent de la pseudo-démocratie leurs adversaires, couverts de l'opprobre maléfique d'expressions telles 'ennemis de la liberté', 'contre-révolutionnaires', désormais 'fascistes', etc."

 

"Mafessoli souligne que la sagesse populaire, elle, n'est pas dupe, parce qu'elle sait de longue tradition que seul le dogme est irréfutable...

 

"[...] Tout notre travail est de transformer ces "peurs" créées par les élites en agir pour être assuré de les mettre en échec. Quoi qu'il en coûte car il en va de notre humanité." (Jean-Dominique Michel)

 

Partager cet article
Repost0
28 janvier 2023 6 28 /01 /janvier /2023 09:08
Réintégrons les suspendus

15 septembre 2021 - 28 janvier 2023, 500 jours. La France est le dernier pays d'Europe à ne pas réintégrer ses soignants non injectés.

Leur liberté c'est d'obéir au risque d'être banni de la société. C'est clair, non?

Source video : Twitter

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2022 2 20 /12 /décembre /2022 20:50

Si vous lisez ceci, vous avez survécu à la troisième année de la plus grande guerre psychologique jamais menée.

Nous avons survécu à la troisième année de la plus grande guerre psychologique de l'histoire de l'humanité, écrit le médecin Robert Malone sur Substack. Chaque jour, vous avez vu votre gouvernement utiliser des techniques de guerre sophistiquées de cinquième génération contre ses propres citoyens.

 

Ceux qui n'ont pas été infectés méritent une médaille. Ceux qui ont fait confiance au gouvernement, ont pris le vaccin et en souffrent maintenant peuvent mériter une décoration militaire pour leurs blessures de guerre. Et observons une minute de silence pour les millions de morts sur le champ de bataille, a déclaré Malone.

 

Nous avons affaire à une guerre de cinquième génération. C'est un jeu étrange car vous ne pouvez gagner que si vous ne jouez pas. Aujourd'hui, les guerres ne sont plus menées par des armées, mais dans l'esprit des citoyens. Les guerres ne se déroulent pas quelque part sur un champ de bataille, mais dans l'esprit des gens.

 

La forme de guerre la plus dangereuse de tous les temps

 

La première génération de guerre était caractérisée par de grands groupes de personnes se battant physiquement, la deuxième génération a été introduite par l'armée française et s'est terminée avec la Première Guerre mondiale, la troisième génération était un produit allemand et a été utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale, la quatrième génération a introduit des acteurs non étatiques et la cinquième génération implique la lutte pour la perception et l'information.

 

La cinquième génération peut être définie comme la manipulation secrète et délibérée d'acteurs, de réseaux, d'institutions et d'États pour atteindre un ou plusieurs objectifs tout en minimisant le nombre de contrecoups.

 

La violence est utilisée si discrètement que la victime ne se rend même pas compte qu'elle est une victime de la guerre et qu'elle est en train de perdre la guerre. Cela en fait la forme de guerre la plus dangereuse qui soit. Les guerres les plus réussies sont des guerres qui ne sont jamais reconnues comme telles.

 

Vous avez donc survécu à la troisième année de la plus grande guerre psychologique de l'histoire de l'humanité, affirme Malone. Au cours des trois dernières années, les gouvernements ont utilisé quotidiennement des technologies, des stratégies et des tactiques militaires sophistiquées contre leurs propres citoyens pour accélérer la Grande Réinitialisation. Votre esprit, vos pensées et vos émotions forment le champ de bataille sur lequel les batailles se déroulent.

 

Les classes supérieures, moyennes et inférieures disparaissent au profit d'un système de castes qui sépare les ouvriers de la « classe des portables ». Au-dessus de cette boîte se trouvent les machines, l'intelligence artificielle, les robots et l'état de surveillance. Bientôt, ce seront les hybrides de l'homme et de la machine, le soi-disant transhumanisme dont les dirigeants du WEF, Klaus Schwab et Yuval Noah Harari, ont si souvent parlé.

 

Au-dessus des hommes et des machines se dresse un petit groupe qui aspire à un monde où l'on ne possède rien et où l'on est heureux de tout posséder. Malone a mentionné Larry Fink, Bill Gates, Jeff Bezos et Elon Musk.

 

Puisque l'ennemi agit comme un essaim, personne ne peut être tenu responsable individuellement. Cela signifie que les personnes qui ont été lésées par les actions de l'essaim n'ont rien à attendre du système judiciaire. Pour la même raison, les responsables de la crise de Corona ne seront jamais traduits en justice.

 

Malone le résume : Votre esprit, votre pensée et vos sentiments sont le champ de bataille sur lequel les batailles sont livrées. Vous n'avez que deux choix : vous instruire sur la guerre de cinquième génération et apprendre à repérer les mensonges, à ne pas vous joindre à eux ou à abandonner votre autonomie et votre souveraineté. Votre choix, votre avenir.

 

Source: https://uncutnews.ch/wenn-sie-dies-lesen-haben-sie-das-dritte-jahr-der-groessten-psychologischen-kriegsfuehrung-ueberlebt-die-jemals-durchgefuehrt-wurde/

 

___________________

Général : "La pandémie de COVID entre exactement dans le champs des CIMIC ou PSYOPS. Nous sommes de fait dans une forme de guerre psychologique qui est menée contre la population civile française. La population française est attaquée"

Partager cet article
Repost0
19 novembre 2022 6 19 /11 /novembre /2022 09:07
"Lorsque nous affirmons que le christianisme est d'un autre ordre que ce monde, cela ne revient pas à dire qu'il n'a aucun lien avec lui". "Le christianisme, école de sécession" (Abbé de Nedde)

Par l'abbé de Nedde (Fraternité sacerdotale Saint Pierre)

 

Extraits :

 

"'Mon Royaume n'est pas de ce monde'. En répondant ainsi à Pilate lors de son procès romain, le Christ affirme de manière incontestable quelle est la finalité ultime de l'être humain. Le Christ n'est pas seulement le Sauveur, Il est également le Verbe incarné, le Fils de Dieu qui vient révéler aux hommes leur destinée. Ils doivent donc œuvrer vers un but qui n'est pas dans ce monde : le Royaume des Cieux. Mais le corolaire immédiat d'une telle affirmation c'est qu'il nous faut affirmer 'le caractère antipolitique du Christianisme', pour reprendre l'expression de Jacques Ellul. Il ne s'agit pas d'une conception apolitique au sens où cela n'a aucun intérêt, non, le christianisme est antipolitique au sens où il s'intéresse d'abord et en premier lieu à la finalité ultime de l'être humain. Il relègue ainsi la politique à un autre ordre, subordonné et d'une valeur moindre. Cet enseignement sera constant dans l'Évangile. On voir d'abord Notre Seigneur rejeter la tentation de Satan qui veut lui offrir tous les royaumes de la terre. (Lc 4,8) On voit également le Christ refuser de répondre à la délicate question de l'impôt à César par cette formule extrêmement célèbre 'rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu'. Mais on pourrait également noter l'attitude extrêmement sceptique du Christ vis-à-vis des zélotes (les activistes politiques de l'époque) mais également le rejet dans une même erreur des positions adverses des pharisiens et des sadducéens quant à la question de la collaboration avec l'envahisseur romain. Cette énumération non-exhaustive permet de comprendre que le christianisme est une permanente contestation de tout pouvoir politique, au sens où sa valeur est systématiquement relativisée. Le christianisme s'intéresse au royaume des cieux. Et cela permet d'entrée de jeu de placer la politique sur un autre terrain que celui du christianisme. 

 

"Mais le chrétien est appelé à vivre dans le monde, à une époque donnée avec ses avantages et ses difficultés. Et c'est dans ce monde qu'il va devoir obtenir son salut. C'est pourquoi lorsque nous affirmons que le christianisme est d'un autre ordre, qu'il n'est pas la même chose que les réalités de ce monde, que la politique, cela ne revient pas à dire qu'il n'a aucun lien avec lui. 'Le christianisme ne méprise pas le temporel', pour reprendre la formule de Charles Péguy qui fustigeait les chrétiens qui, parce qu'ils n'avaient pas le courage d'être du monde croyaient qu'ils étaient de Dieu.

 

"En promouvant un homme nouveau le christianisme doit être le ressort intérieur qui guide l'action temporelle de l'homme. Ainsi, il ne faut pas chercher dans notre religion des réponses immédiates à des questions politiques : cela n'est pas son objet. En revanche, nous trouverons dans notre religion les clés qui permettront à l'homme d'agir et de choisir le meilleur.

 

"Dans l'optique de ce colloque sur le thème de la sécession et de la reconquête, nous ne pouvons pas demander au christianisme de répondre simplement. Ce n'est pas lui qui va répondre, pas plus que le Christ n'a répondu à ses apôtres quant à l'attitude vis-à-vis des Romains. Nous n'avons jamais entendu parler de sécession, de rebéllion, de reconquête : ce sont des termes absents de l'Évangile. En revanche, le christianisme forge un type d'homme capable d'aborder cette question. Et c'est cela que je vous propose de rechercher. Puiser aux sources du message chrétien pour trouver l'inspiration d'un agir temporel conforme à la finalité ultime de l'être humain.

 

"Mais cela exige évidemment une purification. Nous devons purifier le christianisme de toutes les scories, subversions et déformations qu'il a subi, notamment quant à la question politique.

 

"... Je commencerai donc par des écueils et par une citation de Kierkegaard, pour montrer combien le christianisme a pu être subverti, lui qui disait : 'l'histoire témoigne que de générations en générations existe une classe sociale hautement respectée (il désigne les prêtres) dont le métier consiste à faire du christianisme le contraire de ce qu'il est.

 

"Je vais donc ici dénoncer deux erreurs générales quant au rapport du christianisme au politique.

 

(1) Et la première c'est une appropriation du christianisme par le champ politique. Il s'agit là d'une subversion d'une subversion parce que ce sur quoi il faut se fonder c'est sur le caractère subversif du christianisme. J'emprunte cette pensée à Jacques Ellul : 'le message du christ est forcément subversif à l'égard de tous les ordres sociaux, politiques, économiques, moraux et religieux, et le christianisme a lui-même été subverti au point de devenir l'exact contraire de son impulsion première.' Qu'est-ce que cela signifie ? Cela signifie que le christianisme ne peut pas s'accommoder d'un mode politique. Pourquoi ? Parce qu'il sera toujours mal à l'aise. Nous ne sommes pas à notre place totalement dans ce monde au sens où le rôle des chrétiens n'est pas de s'accommoder avec ce monde mais d'en dénoncer les travers et les injustices. 

 

"Ainsi, lorsque le christianisme s'accommode avec un régime, lorsque il finit de dénoncer l'injustice c'est qu'il s'est installé et embourgeoisé.

 

"Les formes d'appropriation au cours des siècles ont été nombreuses. Et aujourd'hui l'on arrive à un stade ultime où l'on arrive à tout faire dire à Jésus-Christ.

 

"Jésus-Christ est devenu un prétexte pour parler de tout et de n'importe quoi dans les églises, disait Divo Barsotti. Et je crois qu'aujourd'hui, même certains marxistes pourraient se revendiquer du Christ. N'est-il pas Lui, le fils d'un artisan, le représentant de la classe prolétaire en lutte contre la classe dirigeante ?

 

"Même les capitalistes ont réussi au siècle dernier, et surtout au siècle précédent, à justifier et à cautionner toutes les puissances économiques par le christianisme. À chaque fois la même erreur est répétée : c'est l'instrumentalisation du christianisme à des fins politiques. Mais elle se base sur une erreur bien plus profonde : celle qui consiste à vouloir chercher dans l'Évangile une message politique qui n'y est pas.

 

(2) La deuxième erreur générale consiste à légitimer son propre agir politique, ses propres décisions ou les pouvoirs politiques par le christianisme.

 

"Évidemment, il y a ici un écueil très grave parce que l'Évangile ne traite pas de ces questions. L'Évangile traite du Royaume des cieux. Et certes il arrive au Christ d'aborder des thématiques qui vont toucher la vie quotidienne des gens. La question de l'impôt en est une. Mais à chaque fois que le Christ traite de cette question, n'oubliez pas que comme toujours en politique il s'agit d'une situation concrète. L'envahisseur romain n'est pas l'envahisseur d'aujourd'hui. L'impôt d'hier n'est pas celui d'aujourd'hui. On ne peut pas se contenter de transposer la réponse du Christ, qui, elle, est universelle, mais qui quant aux choses politiques concerne bien le concret. Comme toujours en politique, la politique n'a as la valeur du christianisme. Et c'est toujours un danger de vouloir chercher dans l'Évangile des réponses immédiates à des problèmes politiques. On finit forcément par fabriquer une religion du livre en voyant dans la Bible un pur code civil qui nous dit quoi faire.

 

"... Le problème des deux erreurs dont je viens de parler est qu'elles ont fabriqué un chrétien d'un certain type avec trois écueils : j'évoquerai d'abord le chrétien fuyard, puis le chrétien collabo, et enfin le chrétien réactionnaire, ou conservateur.

 

"Le chrétien fuyard. Le chrétien ne peut pas fuir la réalité de ce monde. Le courage et la force sont partie des vertus qui, elles, font partie de notre patrimoine.

 

"Le deuxième écueil me semble beaucoup plus grave. Il s'agit de la collaboration, de la collusion avec le pouvoir politique. Évidement, cela peut vous paraître complètement illusoire ou étranger à votre vision, mais le christianisme s'est laissé berner bien des fois. Et la démocratie chrétienne a été le doux rêve de certains, une illusion totale (une impasse ? Note du blog Christ-Roi.) Jean Madiran a très bien résumé la chose en parlant des démocrates chrétiens : 'ils avaient voulu christianiser la démocratie, ils ont démocratisé l'Église !' Ils sont devenus aujourd'hui, et l'Église catholique en est témoin, les nouveaux prêtres jureurs. Je répondrais à ces prêtres collabos une phrase de Saint Loup : 'On n'a jamais vu un peuple redevenir libre par la mansuétude de son oppresseur. Ce n'est pas en étant gentil avec notre oppresseur qu'il finira par se convertir.'

 

"Le problème de la collaboration c'est qu'elle peut aboutir à une trahison beaucoup plus grave : soumission et reddition ne font pas non plus partie de notre vocabulaire.

 

"Nous vivons dans un monde libéral ou post libéral, où le compromis est l'essence de la société. Pourquoi ? Parce que c'est un marché. Donc tout se monnaye. Nous ne pouvons pas vivre dans ce compromis. Et je citerais ici Dominique Venner, qui lui, n'avait pas peur, il préférait se mettre tout le monde à dos que se mettre à plat ventre. Dans les revers, ne jamais se poser la question de l'inutilité d'un combat perdu. 

 

 

"À côté de ce chrétien falsifié, il y a le chrétien réactionnaire ou conservateur. Ici les notions sont complexes parce que dans le côté réactionnaire comme dans le côté conservateur, on pourrait trouver des aspects proches de nos idées. Mais ce que je veux surtout dénoncer ici c'est l'immobilisme des chrétiens. Cela se base sur un concept qui est celui de vouloir conserver ce qu'on aime. C'est un réflexe naturel à l'être humain. Lorsqu'il aime une chose, il n'aime pas en être privé. Et en temps de crise, il aura tendance à vouloir s'accrocher à ce qu'il aime, ne pas vouloir le quitter. Mais Robert Dun disait que 'toute forme de peur engendre une crispation et la crispation un vieillissement.' Cela finit forcément par un attachement excessif aux ruines d'un empire déchu qui se caractérise souvent chez les chrétiens par un slogan beaucoup trop répété : 'c'était mieux avant.' C'est une chose qui ne peut pas non plus faire partie de notre patrimoine. Cela entraîne souvent chez les chrétiens un combat purement réactionnaire, qui se contente de déplorer un passé aimé et de subir les agressions d'un État ou de groupes de plus en plus offensifs, et agressions après agressions, ils assistent au délitement d'un monde qui leur a plu. 

 

"... Alors après cette partie sur les écueils, j'aimerais vous engager sur une autre voie.

 

"Revenir au message foncier de l'Évangile et poursuivre une intuition : voir dans le christianisme une école de sécession. Pour cela, il nous faut changer de point de vue. Trop souvent nous luttons contre le temps et le progrès qui avance. Je vous propose donc de ne pas être contre le temps mais d'être hors du temps.

 

"... Le christianisme ne fonde pas une nouvelle appartenance au monde terrestre, il fonde une nouvelle appartenance au Royaume des Cieux. Et c'est bien la nature de l'homme, son identité qui fonde cette appartenance. Il n'y a donc pas de place pour le chrétien dans le monde et le Christ Lui-même n'a pas eu une pierre où reposer sa tête. (Mt 8,20

 

"Quelle sera le rôle du christianisme ? D'aider l'homme à trouver sa place ou à occuper la place qui est la sienne dans ce monde, cette place qu'il a par la nature. Et il le fera en dénonçant justement les injustices de ce monde.

 

"...Depuis cent ans on a vu un nombre incalculable de livres parus ou de publications sur la place du chrétien dans l'entreprise, la place du chrétien dans la société : plus on parle de la place du chrétien et plus il semble qu'elle a disparu totalement !

 

"Et bien les chrétiens qui veulent exister devraient se rappeler que ce n'est pas un signe de santé que d'être bien intégré dans une société malade. La place du chrétien, elle sera dans les cieux. Sur terre, il ne l'occupe pas par sa religion : sa religion va l'aider à l'assumer.

 

"C'est pour cela que nous ne pouvons pas en permanence chercher à exister et à nous battre en permanence contre ce qui arrive. Il faut être hors du temps.

 

"Être hors du temps, c'est une intuition que je reprends d'un célèbre dialogue de Robert Dun et Saint Loup. Lorsque les deux s'étaient rencontrés, ils évoquaient leurs combats passés et ce qui comptait et qui faisait qu'ils n'avaient pas changé et qu'ils étaient toujours actifs, c'était le caractère hors du temps de ce qu'ils étaient.

 

"... C'est là en fait le théorie du pouvoir spirituel. La sécession, c'est le fait de se retrouver hors du temps, retrouver son identité, ce qui va fonder ensuite l'agir politique. Et il me semble que le christianisme est une parfaite école de sécession intérieure."

 

(Fin de citation)

 

Source video: https://gloria.tv/post/rPxUZCtuNwhz196w7zFxkePAG

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2022 5 30 /09 /septembre /2022 20:41

Dans le silence des médias, les militaires écrivent une nouvelle lettre à Macron : 

SOURCE: https://www.place-armes.fr/post/le-prix-de-la-libert%C3%A9-lettre-ouverte-%C3%A0-monsieur-macron

SOURCE: https://www.place-armes.fr/post/le-prix-de-la-libert%C3%A9-lettre-ouverte-%C3%A0-monsieur-macron

Le prix de la Liberté : « lettre ouverte à Monsieur Macron »

 

 

 

Non, je ne veux pas payer ce que vous appelez ; à tort « le prix de la liberté » et qui n’est que le prix de vos fautes, de votre aveuglément, de votre ambition

 

 

 

 

Monsieur Macron vous avez décidé que nous devions payer le prix de la liberté !

 

S’il est incontestable que la liberté a un prix encore faut-il analyser où et par qui la liberté est menacée, qui sont les responsables des atteintes à cette liberté, qui en sont les défenseurs et finalement quel en est le prix et qui doit payer.

 

 

La liberté de la France est-elle menacée ? celle de l’Allemagne ? de la Belgique ? de l’Italie ? de la Grande-Bretagne ? de l’Espagne ? La réponse est évidemment non.

 

 

VOS FAUTES

 

 

Oui votre responsabilité engagée dans cette crise et votre faute est énorme :

 

 

En 2014 à l’initiative du président F HOLLANDE, de la Chancelière A. MERKEL, du Président V POUTINE et du président ukrainien POROCHENKO, mais surtout, en l’absence des USA, sont signés les accords de MINSK II (suite à l’échec des accords de MINSK I) Ces accords resteront dans l’Histoire sous l’appellation « format NORMANDIE".

 

 

Ces accords stipulaient principalement :

 

 

- un arrêt des combats entre l’armée ukrainienne et les séparatistes russophones de l’Est Ukrainiens (majoritaires dans le Donbass)

 

- un échange des prisonniers

 

- le retrait des armes lourdes

 

- l’ouverture d’un processus de large autonomie des zones russophones via une réforme constitutionnelle ukrainienne.

 

 

En ce qui concerne l’issue tragique que l’Europe est en train de vivre, quelque soient les responsabilités de V POUTINE sur lesquelles le peuple français n’a aucun pouvoir, en ce qui vous concerne VOUS ETIEZ RESPONSABLE de la partie incombant à la France que vous prétendez représenter : veiller au respect de ces accords. Vous ne l’avez jamais fait !

 

 

Il ne s’agit pas d’erreur, il s’agit d’une faute lourde car VOUS ETES RESPONSABLE

 

 

Monsieur Macron, vous avez raté le rendez-vous avec l’Histoire. La place de la France historiquement a toujours été d’équilibrer les forces, de stabiliser l’Europe. Mais il est vrai qu’en faculté d’économie on apprend à faire de l’argent et on réduit l’histoire à une conversation de bistrot.

 

Cette place de la France, gagnée au prix de milliers de morts, de paroles données, d’engagements tenus vous aurait permis d’être l’arbitre ce cette crise, d’en éviter l’horreur qui vient, de remplir enfin le véritable rôle de la France. Pour cela il fallait s’élever au-dessus de la mêlée bêlante, tenir à distance les cabinets de conseils. Vous auriez laissé dans l’Histoire votre nom et probablement au parlement suédois.

 

 

Comment peut-on croire que l’on veut la paix en livrant des armes lourdes appartenant au peuple français sans même demander au parlement son aval ?

 

 

De quel droit engagez-vous notre pays, nos enfants dans une cobelligérance de plus en plus évidente ! Les conventions de la Haye de 1903 sont claires : Former des soldats d’un pays belligérant est interdit, laisser transiter sur son sol des armes d’un pays belligérant est un acte de cobelligérance. Que direz vous aux Français si la Russie en conformité avec ces accords de la Haye en venait à frapper la France. C’est au peuple français de décider, pas à vous !

 

 

N’est pas de Gaulle qui veut. Tous les cours de théâtre, même avec les meilleurs professeurs ne pourront vous donner une stature internationale car pour obtenir une telle stature il faut justement oublier le théâtre, la « com », le business et se plonger dans la raison et apprendre un minimum l’Histoire !

 

 

Le prix de la Liberté comme vous dites, n’est qu’un camouflage de votre immense ratage. Vous ne pourrez pas longtemps mettre sur le dos de l’Ukraine tous les maux consécutifs à votre gestion désastreuse :

 

 

- Non, la crise des hôpitaux n’est pas due à l’Ukraine

 

- Non, la pénurie de médecins dans nos régions n’est pas due à l’Ukraine

 

- Non, la crise des Gilets Jaunes n’est pas due à l’Ukraine

 

- Non, les rodéos urbains mortels ne sont pas dus à l’Ukraine

 

- Non, la circulation de la drogue dans nos banlieues n’est pas due à l’Ukraine

 

- Non, l’effondrement moral de notre pays n’est pas dû à l’Ukraine

 

- Non, la désertion des enseignants n’est pas due à l’Ukraine

 

- Non, l’augmentation de la violence, les agressions, les meurtres ne sont pas dus à l’Ukraine.

 

 

Cela, c’est VOTRE bilan, l’Ukraine a bon dos. Elle est bien utile cette crise pour faire diversion !

 

Nous ignorions d’ailleurs que l’Ukraine était le premier producteur de chocolat (hausse du chocolat 14% !), un grand producteur d’huile d’olive (hausse de 15% du prix de l’huile d’olives), fabriquant de moutarde et autres balivernes. Vous prenez les français pour des gogos et pour le moment ça ne marche pas trop mal je dois le reconnaître.

 

 

Alors NON, NON et encore NON, je ne veux pas payer vos fautes et votre ambition

 

 

Ce que vous appelez hypocritement le prix de la liberté n‘est que le prix de votre incompétence et de votre ambition !

 

 

Et puisque vous vous pensez chef de guerre je vous dédie ces paroles du grand Georges Brassens :

 

 

« Ô vous les boutefeux

 

Ô vous les bons apôtres

 

Mourrez donc les premiers

 

Nous vous cédons le pas

 

Mais de grâce morbleu

 

Laissez vivre les autres

 

La vie est à peu près

 

Leur seul luxe ici-bas »

 

 

P Mulsant, est ancien officier du renseignement intérieur

 

377 commentaires

 

SOURCE : https://www.place-armes.fr/post/le-prix-de-la-libert%C3%A9-lettre-ouverte-%C3%A0-monsieur-macron

____________

Lire notre article sur ce sujet le 27 août dernier :

 

Les Français n'ont pas à "payer le prix de la liberté" car ils n'ont pas à payer le prix des erreurs de Macron

 

 

Partager cet article
Repost0
24 août 2022 3 24 /08 /août /2022 18:51
Vera Sharav, survivante de l'Holocauste nous prévient : "résistons tous ; c’est maintenant ou jamais !"

« L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka.

L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de la liberté individuelle et de la suspension des droits légaux et des droits civils.

 

Le décor a été planté par une propagande alarmiste et haineuse. »

 

Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 août 2022

 

Par Nicole Delépine

 

Vera Sharav nous prévient : résistons tous ; c’est maintenant ou jamais !

Partager cet article
Repost0
27 juillet 2022 3 27 /07 /juillet /2022 11:37

Le cannibalisme est encouragé au prétexte de lutte contre le 'réchauffement climatique', la scatophilie et les pires déviances et perversions sont banalisées. Aldo Sterone qui a dépassé les 100K d'abonnés sur youtube recommande le seul recours qui vaille : la croix, salut du monde !

"Allez vers le 'chemin et la vérité' (Jn 14,6), allez vers Celui qui a dit qu'Il reviendra, Allez vers les églises, allez-vous repentir, trouvez-vous une croix solide, mettez-vous à genoux devant, demandez le pardon, le pardon existe. Reconnectez-vous à la vie. Il y a ça ou la mort. Allez à l'église !"

 

Merci Aldo pour ce message.

Ainsi, celui qui entend les paroles que je dis là et les met en pratique est comparable à un homme prévoyant qui a construit sa maison sur le roc. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, les vents ont soufflé et se sont abattus sur cette maison ; la maison ne s’est pas écroulée, car elle était fondée sur le roc.

Mt 7,24-25

SOURCES: 

 

https://www.dailymail.co.uk/news/article-7443707/Swedish-scientist-says-humans-cannibals-fight-climate-change.html

https://www.nytimes.com/2022/07/23/style/cannibalism-tv-shows-movies-books.html

https://www.foxnews.com/media/twitter-disgusted-new-york-times-piece-suggesting-theres-time-place-cannibalism

https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/04/bill-gates-a-un-projet-alimentaire-sain-pour-vous-a-base-dexcrements-humains-lexemple-de-swiss-food-valley/

______________________

 

Retour au cannibalisme ? Selon Mgr Gaume dans son Traité du Saint-Esprit, le cannibalisme est une pratique vouée au démon, un rite satanique.

 

Sur ce sujet du cannibalisme avant le christianisme, lire :

 

Allemagne : cannibalisme de masse dans un village 5.000 ans av J.-C.

Cannibalisme de masse au néolithique : Mgr Gaume, encore une fois confirmé

Les sacrifices humains en Grèce, en Gaule et à Rome

Les guerres saxonnes (772-804) : Charlemagne, la conquête de la Saxe

Martyrs de l'Ouganda Charles Lwanga et ses compagnons (+ 1886)

Partager cet article
Repost0
26 juin 2022 7 26 /06 /juin /2022 15:47

La France pittoresque présente "Révolution française. Histoire d'une conspiration contre le peuple" (Fénelon Gibon) :

[Entre crochets et en orange nos observations. NdCr.]

 

"Rien n'est aussi triste pour de bons Français que l'histoire de la Révolution, car elle est celle du suicide de la Patrie. Mais rien n'est aussi salutaire, car il faut connaître le mal pour le guérir", assure l'historien Gustave Gautherot.

 

Aux yeux des Français d'aujourd'hui, observe Fénelon Gibon (1850-1926), Secrétaire de la Société générale d'éducation et d'enseignement. notre pays avant 1789, "n'était qu'un sombre cloaque où de nombreuses larves, nos ancêtres, se débattaient dans l'abrutissement et la misère. Pour eux, l'histoire de France n'est que l'histoire des événements qui ont, leur semble-t-il, préparé ou annoncé la Révolution. [Dans l'idéologie progressiste des Lumières, le passé, en plus d'être falsifié, est systématiquement noirci.] La Révolution constitue elle-même l'événement unique, attendu depuis des siècles, le centre de l'histoire de la France et du monde. Tout ce qui l'a précédé, institutions politiques, sociales, militaires, religieuses, victoires, fondations, conquêtes est condamnable ou méprisable."

 

Or, pour répandue qu'elle soit, cette mentalité est pourtant diamétralement contraire à la vérité historique. En des siècles de progrès continue, la France de Hugues Capet était incontestablement devenue la première nation du monde. Comment dès lors, expliquer qu'aux réformes certes nécessaires et par ailleurs déjà entamées à la fin du XVIIIe siècle, on ait préféré substituer une Révolution faisant "table rase" du passé?

 

En quoi la Révolution "par le peuple et pour le peuple" est une imposture

 

Brossant dans son ouvrage paru originellement en 1929 sous le titre 'Petite Histoire de la Révolution française', un portrait sans phare de la période révolutionnaire proprement dite (1789-1799), Fénelon Gibon consacre également plusieurs chapitres aux racines anciennes et profondes d'un bouleversement que l'histoire officielle présente comme spontané, populaire et ne débutant qu'en 1789...

 

"Il souligne ainsi que la France d'Ancien Régime fut, contrairement à une idée reçue un gouvernement d'opinion publique, que la famille opposait alors un rempart infranchissable au despotisme de l'État. Il nous révèle quels furent les creusets les plus actifs de l'esprit révolutionnaire tout au long du XVIIIe siècle, recense les principes affichés de 1789 et nous explique comment, sous couvert de 'libéralisme' et sous le prétexte qu'il fallait suivre son siècle, on assimila ces principes à des conquêtes, lesquelles justifièrent de passer l'éponge sur le sang répandu. Il dénonce l'imposture des 'cahiers de doléance' qui loin de refléter l'opinion réelle du peuple français de l'époque ne sont que le produit artificiel des menées des philosophes des Lumières. Il effectue le décompte macabre des victimes de la Révolution en majorité issues du peuple, périssant sous la guillotine ou dans la 'Baignoire nationale'. [Les "décapitations [...] concernent pour 28% des paysans, pour 31% des artisans et des ouvriers, sans doute pour plus de 20% des marchands ... 8 à 9% des nobles, pour 6 à 7% des membres du clergé..." Près de 80% des victimes de la Révolution étaient des petites gens. (René Sédillot, Le Coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin, Mesnil-sur-l'Estrée 1984, p. 24.)]

 

Il montre que la Terreur ne fut pas seulement le règne de la cruauté mais aussi celui de la lâcheté et explique comment le Directoire, époque de conspiration et de scandale, parvint à se maintenir par les plus odieux attentats, cassant notamment toutes les 'élections' ne lui étant pas favorables.

 

"Il est de mode, écrit Fénelon Gibon de se réclamer des grands mots de 'souveraineté nationale', de 'démocratie' qui étymologiquement est le règne du peuple. Or, ce gouvernement direct qu'instituèrent les Pères de la Révolution s'inspira d'une toute autre volonté que celle de la majorité des Français égarés par la piperie du mot." [En 1792, la 'Convention' est 'élue' avec 15% de participation, 85% d'abstention, ce qui n'a pas empêché les Révolutionnaires d'abolir illégalement la royauté bi-millénaire et de proclamer la 'république' au nom du 'peuple'... Source : François FURET, préface in Patrice GUENIFFEY, Le Nombre et la Raison, La Révolution française et les élections, Editions de l'Ecole des Hautes Etudes en sciences sociales, Paris 1993.] C'est cette volonté et la brutalité perverse avec laquelle elle fut imposée, pour ne pas dire infligée au peuple, que cet ouvrage vous invite à sonder en suivant pas à pas le fil chronologique de l'intrigue révolutionnaire. S'abreuvant aux sources historiques les plus rigoureuses et notamment les travaux d'exhumations d'archives menés par Émile Keller, Gustave Gautherot, Louis Madelin, Hippolyte Taine, Frantz Funck-Brentano, Fénelon Gibon le déroule avec succès et montre que la Révolution, fruit d'une poignée de conspirateurs admirablement organisés, agissant tant avant qu'après la "prise" de la Bastille, au détriment de l'intérêt général, ne s'est pas seulement faite sans le peuple mais contre lui."

Fénelon Gibon : Révolution française. Histoire d'une conspiration contre le peuple
Partager cet article
Repost0
16 juin 2022 4 16 /06 /juin /2022 09:21
Partager cet article
Repost0
14 mai 2022 6 14 /05 /mai /2022 14:56

Utilisation de concepts mobilisateurs connotés positivement, de petits mots-valises flous, vagues, sans contenu. Et si l'identité politique d'Emmanuel Macron, c'était l'absence de toute identité politique ?" Voici la réflexion fort juste de Clément Viktorovitch. 

   

Et si l'identité politique d'Emmanuel Macron, c'était le vide et le néant, avons-nous envie de dire plus précisément ?

 

En mai 2017 nous avions déjà publié un article où nous parlions de cet aspect du macronisme. "Dans la série "déconstruisons les déconstructeurs", nous écrivions : 

 

''Être démocrate, c'est aussi accepter cette indétermination et cette incertitude quant aux fins dernières du combat politique.

 

"Dire que la démocratie n'a pas de fondement qui lui soit extérieur, c'est [...] reconnaître qu'elle est en réalité une an-archie. Elle n'a pas d'arkhè, de commencement et de commandement, elle ne connaît pas d'autorité... Pas même le passé et la tradition n'ont d'autorité absolue dans une démocratie, puisque aucune de leurs règles n'est à l'abri d'un réexamen." (Antoine CHOLLET, Défendre la démocratie directe. Sur quelques arguments antidémocratiques des élites suisses, Presses polytechniques et universitaires romandes, Lausanne 2011, p. 86 in Francis DUPUIS-DERI, La peur du peuple, Agoraphobie et agoraphilie politiques, LUX Humanités, Québec 2016, p. 131-132.)

 

"… Le défaut de ce système est que le pouvoir ne devrait pas avoir de commencement ni de "commandement" supérieur, pas d'"autorité" supérieure, pas de limites. Le choix dans l'offre politique se réaliserait dans un choix entre aucune morale supérieure ou bien aucune morale supérieure, le néant ou le néant. Ainsi, il serait bon que les républicains qui nous parlent sans arrêt de "valeurs de la république" nous expliquent quelles sont ces valeurs, vu qu'"il n'y a pas de fondement ultime à la démocratie" et que le relativisme éthique est la règle ? Un démocrate plus modéré (ou plus lucide) expliquerait que ceci n'est pas un programme politique, mais absence de programme, la porte ouverte au pire. Du Macron durant la campagne présidentielle.'' (Fin de citation de l'article de 2017 que vous pouvez lire ici.)

 

Le vide et le néant. Le pouvoir fondé sur rien, pas même sur le passé et la tradition, ni même sur les droits de l'homme (puisque ceux-ci ont été bafoués par la gestion totalitaire et ségrégationniste du Covid, l'Etat de droit lui-même n'existe plus), la démocratie absolue pour une république absolue : Macron est le parfait représentant de cette attitude démocrate désinvolte, d'indétermination et d'incertitude quant aux fins dernières du combat politique. La nature ayant horreur du vide, ce vide s'effondrera tout seul sous le poids de son inertie et se comblera par d'autres réalités devant la force des événements.

Partager cet article
Repost0
6 mars 2022 7 06 /03 /mars /2022 09:28

Au moment où un certain candidat et ses soutiens disent dans la même phrase qu'ils veulent la "Re-conquête" en disant être CONTRE le Christ - où est leur logique ? Le Christ n'a-t-il pas fait de la France ce qu'elle est fondamentalement ? -, en ce moment où nous entendons chacun dire qu'il faut suivre tel candidat, avec tel programme pour la France, chacun s'est-il demandé si suivre le programme de tel ou tel candidat était ce qu'il y avait de mieux à faire ? 

 

"Eviter le moins pire", entendons-nous également souvent; Chacun a-t-il bien réfléchi à ce qu'il y a de moins pire pour la France ?

 

Pourquoi n'organisons nous donc pas nous-mêmes, là où nous sommes, la société que nous voulons ?

 

En serions-nous incapables, ou bien serions-nous impuissants ?

 

Les déclarations de "peuple souverain" et autre "souveraineté nationale" seraient-elles de pures abstractions ? Serions-nous d'éternels mineurs ?

 

Le système a-t-il mis par écrit ces notions parce que sachant que c'est lui le contrôleur et non les "citoyens", a-t-il voulu par là jeter un écran de fumée magique ? Qui contrôle qui ? 

 

Voici notre programme :

 

Mettre des limites, et des contrôles, à l'enrichissement indéfini des riches. La liberté de l'enrichissement ne doit pas tourner en liberté d'asservir et d'exploiter sans limites les pauvres, tous égaux dans la pauvreté depuis 1789.

 

À l'image de S. Martin de Tours, Apôtre des Gaules, aider les plus démunis. Secourir les plus faibles.

 

"Le Christ Roi : "les derniers seront les premiers." (Lettre de Véronique Lévy aux Insoumis)

 

Être indépendant et souverain collectivement, c'est l'être individuellement.

 

Se retirer de tout ce qui nourrit le système.

 

Là où il y a la division, mettre la paix.

 

Là où est le moteur de la Révolution, là où est la haine, mettre l'amour.

 

Là où il y a la barbarie, mettre la noblesse.

 

Organiser la société parallèle que nous voulons.

 

Se retirer de toute instance oligarchique; ne plus laisser qu'une coquille vide; utiliser la force de l'inertie et laisser faire à la nature son travail.

 

À la place d'un texte soutenu par deux anges aux ailes noires en 1789, louant un "Être suprême"..., plaçons au-dessus du texte, la Croix du Christ, salut du monde, soutenu par deux anges aux ailes blanches.

 

La liberté, l'égalité et la fraternité, notions chrétiennes millénaires dans notre pays doivent à nouveau être placées sous l'aune du vrai, du Beau et du Divin.

 

La France, Fille aînée de l'Église, doit renouer avec son Baptême qui la fit entrer dans la civilisation.

 

Voilà l'authentique Reconquête.

 

Le Christ par droit de conquête a conquis la Couronne au Golgotha.

Saint Martin, priez pour la France.

Saint Martin, priez pour la France.

Partager cet article
Repost0
27 février 2022 7 27 /02 /février /2022 16:38
"PC Jupiter" https://www.ouest-france.fr/politique/emmanuel-macron/guerre-en-ukraine-ce-qu-il-faut-retenir-de-l-allocution-d-emmanuel-macron-63e3a446-9568-11ec-9ce0-a8acd3395b1a

"PC Jupiter" https://www.ouest-france.fr/politique/emmanuel-macron/guerre-en-ukraine-ce-qu-il-faut-retenir-de-l-allocution-d-emmanuel-macron-63e3a446-9568-11ec-9ce0-a8acd3395b1a

"Les évènements ... auront des conséquences durables, profondes sur nos vies", a déclaré Emmanuel Macron le 24 février, dans le "PC JUpiter", le bunker situé sous l'Elysée", à propos de la démilitarisation de l'Ukraine par la Russie.

 

Dans un communiqué commun, l'avocat Fabrice Di Vizio et et Florian Philippot expliquent qu'il s'agit "exactement des mêmes phrases qu'en mars 2020"..., lorsque Macron avait annoncé que la France était en "guerre" contre un virus... "Est-ce que c'est un narratif de communication pour le candidat Emmanuel Macron ou est-ce que c'est le chef de l'Etat qui en tant que chef des Armées fait la guerre ?", s'interroge Fabrice Di Vizio.

 

Dans une série de Tweets, Fabrice Di Vizio détruit le narratif que tente de construire "Jupiter" :

 

"Avant de faire la guerre à l’extérieur il faut signer l’armistice à l’intérieur !

 

"Nulle envie pour ma part de me laisser berner par un président de la république qui cherche juste à nous confisquer une élection, qui cherche à augmenter un état de siège pour augmenter ses pouvoirs !

 

"Il n'est pas question d'être dupe.

 

"Et à ce titre, non, la guerre, elle est faite sur notre territoire; la guerre, c'est ceux qui la subissent depuis deux ans, les soignants qui ont été virés ("suspendus" sans salaires, sans revenus, sans allocations, jetés à la rue. NdCR.)

 

"Nous avons ce 'Pass vaccinal' qui a isolé encore plus tout une partie de la population; nos enfants (masqués) sont encore les victimes de guerre.

 

"Non, nous avons livré la France entre les mains de McKinsey et compagnie.

 

"Nous avons une première guerre qui a été menée par des cabinets privés, celle qui a été menée sur notre territoire.

 

"Ce qui nous engage dans cette guerre à l'extérieur de nos frontières, est-ce que c'est l'industrie pharmaceutique ou l'industrie de l'armement, ou les Cabinets privés ? Qui gouverne ce pays ?

 

"Ce qui m'intéresse c'est que cette guerre qui est menée contre le peuple de France soit enfin achevée, que des excuses soient présentées, et que l'armistice soit signé ! Tant que celle-ci n'est pas faite, pas question de passer à autre chose !" (Source)

 

"La dernière fois que Emmanuel Macron a mis (les mots) protection et guerre dans la même phrase, cela s'est terminé en confinements et en discrimination des personnes non vaccinées ! ... Et on y est encore deux ans après ! Il n'y a rien à attendre de ce gouvernement; il a échoué sur toute la ligne sur le plan diplomatique. Il joue les forts avec la population française à défaut d'avoir réussi à imposer quoique ce soit, contrairement à ce qu'il avait suggéré. (En Ukraine, la moindre diplomatie eut été de demander d'appliquer les Accords de Minsk signés par Kiev et que Kiev n'a jamais respecté, à savoir l'arrêt des opérations armées contre les populations civiles russes du Donbass. NdCR.)".

 

"Ne pas soutenir la guerre en Ukraine, c'est être 'égoïste'. Encore?!

 

"Décidément je suis le roi de l'égoïsme. Je suis anti ce vax, et anti cette guerre. Désormais, aller tuer des gens c'est devenu un acte de générosité ! C'était quand la dernière fois qu'en géo-stratégie on a été généreux ? La libye, l'Irak, l'Afghanistan, la Syrie ? Les généreux qui veulent faire la guerre sont les mêmes qui voulaient nous piquer !".

"La dernière fois que Emmanuel Macron a mis les mots protection et guerre dans la même phrase, cela s'est terminé en confinements et en discrimination des personnes non vaccinées ! ... Et on y est encore deux ans après" (Fabrice Divizio)

"Cela pose une question : est-ce que finalement on peut mettre en berne la démocratie lorsqu'il y a un virus, puis lorsqu'il y a une guerre, cette guerre s'exerçant à 2000 KMS de chez nous ?

 

"Est-ce que désormais nous allons vivre de coups d'Etats politiques en coups d'Etat médiatiques ?

 

"C'est l'enjeu des citoyens de ne pas l'accepter et de faire preuve de rationalité."

 

"La dernière fois que Emmanuel Macron a mis les mots protection et guerre dans la même phrase, cela s'est terminé en confinements et en discrimination des personnes non vaccinées ! ... Et on y est encore deux ans après" (Fabrice Divizio)
Partager cet article
Repost0
21 février 2022 1 21 /02 /février /2022 21:24

Le 19 février, des Canadiens des Convois de la liberté se sont mis à genoux et ont prié ensemble à 8:37 PM sur Vigilant Fox Twitter.

À Ottawa, les manifestants s'agenouillent en prière et demandent de la force face à une police brutale et à un régime autoritaire.

 

Quinze minutes plus tard, une croix est apparue dans le ciel d'Ottawa, à 8:52 PM  : 

Sources

https://twitter.com/pandapetit5/status/1495123761997266945?t=xYIEtz0G_T_qcIg1zPYk1w&s=19

https://twitter.com/NathalieS008/status/1495124233663520770?t=wncdM8OOgP_1zRkKjfDlyQ&s=19

https://twitter.com/lille_sonia/status/1495667532157657088?t=oIdTPtynOKF3dD6PEnJS6A&s=19

https://nouveau-monde.ca/malgre-la-police-trudeau-et-les-medias-desinformateurs-le-mouvement-de-la-liberte-se-poursuit-au-quebec-et-ailleurs-au-canada/

Partager cet article
Repost0
21 février 2022 1 21 /02 /février /2022 08:00

Partager cet article
Repost0
12 février 2022 6 12 /02 /février /2022 22:24

Note du Blog Christ-Roi. Macron change le Contrat social tout seul.

Des devoirs avant des droits : c'est la définition de l'esclavage.

Partager cet article
Repost0
6 février 2022 7 06 /02 /février /2022 21:49

Avons-nous un devoir (pouvoir) de résistance dans la crise actuelle et si oui, comment devrions-nous, en tant que Chrétien, le manifester ? Une question brûlante d'actualité à laquelle les intervenants de l'émission "En Dieu Seul", Fabrice DI VIZIO et le Pasteur Daniel VINDIGNI, répondent dans cette vidéo. 

 

Nous disions sur ce blog en 2012 : "Au lieu d'être toujours dans le contre ... soyons dans le pour !" "La contre-révolution ne sera point une révolution contraire, mais le contraire de la révolution" (Joseph de Maistre, Considérations sur la France, fin du chapitre X, in J. de Maistre, Oeuvres, Edition établie par Pierre Glaudes, Bouquins Robert Laffont, p. 276.) Et en 2014 nous écrivions : ''Comment lutter efficacement contre l'engrenage révolutionnaire ? Ce n'est pas le fond qui importe, c'est la forme qu'on va lui donner. La révolution ne demande pas autre chose de ses opposants que de 'lui faire la politesse, la gentillesse, voire la charité, de venir contester contre elle'. C'est que l'opposition à l'intérieur de son terrain est vivifiante pour la révolution. Je vous invite chez moi : rite vital, obligatoire de la révolution. L'absence est-elle donc un devoir du contre-révolutionnaire ? L'absence n'est pas tout le devoir - mais elle est le premier devoir."

 

C'est ce que dit Maître Di Vizio dans cette émission : "si je me définis par une résistance je me définis par une opposition. On ne se définit pas par une négation. Je ne me définis pas par rapport à. Je ne me définis pas par rapport à l'adversaire. Tout l'enjeu est de passer de résistant à existant."

Extrait

 

"Je n'aime pas ce mot de résistance. Je ne me définis pas comme un résistant, je me définis comme un existant. Ce qui m'intéresse, c'est moins la résistance que l'existence. Le chrétien n'est pas un résistant, il est un existant [Le chrétien est un vivant, il vit de la vie du Christ. Ndlr.].

 

Ce qui est en train de se passer sous nos yeux, ce n'est pas que l'on casse une résistance, on casse une existence. Et donc tout l'enjeu est de revenir des existants. Tout l'enjeu au fond n'est pas de se dire comment je résiste, mais comment j'existe. ... Exister alors que l'on veut me censurer, ce n'est pas résister : je ne me définis pas en opposition. Je n'ai pas besoin de l'autre pour exister. J'existe. C'est une utopie de croire que l'État peut me supprimer de mon existence ! C'est une utopie finalement de croire qu'un gouvernement, une communauté, un tyran, peut me priver de mon existence. Évidemment qu'ils me privent de libertés, mais pour autant, je ne me définis pas par une résistance, parce que si je me définis par une résistance je me définis par une opposition. On ne se définit pas par une négation. Je ne me définis pas par rapport à. Je ne me définis pas rapport à l'adversaire. Tout l'enjeu est de passer de résistant à existant.

 

"La liberté est consubstantielle à la vérité. Tant que je suis dans la vérité, je demeure libre. Et ma liberté, personne ne peut m'en priver.

 

"Regardez la Passion du Christ. Dans la formule liturgique catholique, vous avez quelque chose de saisissant. 'Au moment d'entrer librement dans Sa Passion, le Christ prit du pain et du vin.' Et c'est Jésus qui dira : 'Ma vie, personne ne la prend. C'est moi qui la donne.' Il y a donc une liberté de l'être jusqu'au bout du bout. Toute l'histoire nous enseigne cela : les gens qui ont été emprisonnés [comme Saint Paul ou Saint Pierre, emprisonnés. Ndlr.], les martyrs sont des gens qui ni plus ni moins ont été des existants. Jusqu'au bout du bout ils ont existé en tant qu'homme, créé à l'image et à la ressemblance de Dieu. Si je suis créé à l'image et à la ressemblance de Dieu, personne ne peut me ravir mon existence, parce que je tire mon existence même de Dieu, parce que par le baptême je suis configuré au Christ.

 

"Exister c'est être libre. Être libre c'est vouloir ce que l'on fait. Bossuet l'exprime. Et donc j'assume les conséquences de ce que je fais.

 

"Pourquoi je parle de l'existence plus que de la résistance ? Vous prenez le malade cloué sur son lit d'hôpital, il est un résistant à la maladie, mais il est un résistant en existant. Or, notre société a cette tentation de vouloir le faire disparaître, comme elle fait disparaître les inutiles ou ce qu'elle qualifie d'inutiles[Par ex les professions non-essentielles qu'il fallait confiner]. On est résistant si on est existant. En tant que chrétien je ne m'oppose à personne. Je n'ai pas d'animosité à l'égard du gouvernement, ou presque pas.

 

"Martin Luther King, apôtre de la non-violence, écrit (dans "A testament of hope", un témoignage d'espoir, édité par James M. Washington rassemblant Les écrits et les prédications essentielles de Martin Luther King : 'La lutte doit être dirigée contre les forces du mal plutôt que contre les personnes qui font le mal. Il ne s'agit pas de lutter contre des individus. Le problème qu'il faut gérer n'est pas un problème entre Noirs et Blancs, mais entre la justice et l'injustice, entre les forces des ténèbres et les forces de la lumière."

 

Le Pasteur Vindigni remarque : "On a toujours le choix face à ce qui nous est proposé ou imposé." [Nous sommes toujours seuls maîtres de notre âme. Ndlr.]

 

Fabrice Di Vizio ajoute : "Le chrétien doit être un existant. Il ne peut pas résister s'il n'est pas un existant. Si je n'existe pas en tant que chrétien, je ne résiste pas en tant que chrétien. Donc cela interroge de savoir si je suis chrétien.

 

"[...] C'est prier comme si l'action était inutile et agir comme si la prière était inefficace.

 

"Aujourd'hui, être témoin dans cette crise que nous traversons, c'est extrêmement exigeant. Être résistant c'est un mot qui me dérange. Car c'est facile de se définir comme résistant, être témoin c'est beaucoup plus compliqué. Je m'interroge sur le point de savoir si dans cette crise je suis témoin de la vérité, témoin de l'amour, témoin de l'espérance. Si c'est oui, cela va. Si c'est non, alors je suis embêté, alors il faut que je me replonge dans la prière, il faut que j'arrête de bouger, que j'arrête de parler. Il faut que je me taise pour me laisser aimer, me laisser enseigner. Vous parliez de leader tout à l'heure. Je ne peux leader, je ne peux diriger que si je suis moi même dirigé. Je ne peux aimer que si je suis moi même aimé. Je ne peux faire exister l'autre que si j'existe aux yeux de quelqu'un. C'est cela tout l'enjeu de la résistance que je qualifierai volontiers de spirituel." Aujourd'hui nous arrivons dans l'ère de l'amour, jamais plus qu'aujourd'hui.

 

"Aimer. Est-ce que nous sommes capables d'aimer ce qui sont persécutés ? Mais est-ce que nous sommes capables d'aimer ceux qui les persécutent ? Et résister en étant capable d'aimer l'autre, vouloir sur lui le Bien fondamental, c'est déjà une résistance."

 

Le Pasteur Vindigni ajoute : "Nous ne sommes pas des résistants par nature. Nous ne sommes pas des révolutionnaires. Notre nature et notre façon de fonctionner n'est pas une nature de résistants qui nous opposons toujours à tout et qui voulons des révolutions. Pas du tout. Nous résistons simplement à un moment à quelque chose qui veut nous être imposé et qui veut nous voler nos libertés. Nous résistons mais nous ne sommes pas des résistants dans l'âme."

 

"La résistance non violente ne vise pas à vaincre ou à humilier l'adversaire mais à gagner son amitié et sa compréhension", conclut Maître Di Vizio en citant le Pasteur Martin Luther King. Celui qui résiste par la non violence peut très bien participer à des boycotts ou à des grèves. Il y a des services civiques qui nous sont possibles. Il y a des résistances factuelles, matérielles, qui passent par des actes. Mais 'j'ai conscience que ces grèves et ces boycotts, poursuit Maître Di Vizio en citant Martin Luther King, ne sont pas des fins en soi, mais elles visent à susciter de la honte chez l'adversaire par son comportement. Le but recherché n'est pas l'humiliation de l'autre qui génèrent violences et amertumes mais c'est toujours la réconciliation, la création d'une communauté bien-aimée, une communauté régie par l'amour divin.

 

"Voilà une résistance basée sur la foi, une résistance basée sur le signe. Une résistance discrète qui accepte de prendre l'homme à contre-pieds, de renverser ses certitudes, une résistance qui ne s'oppose plus au monde avec ses armes, mais qui lui oppose une autre vérité, une autre Espérance. ... Nous avons le monopole de la joie. La mort est vaincue. Le Christ est ressuscité !" 

 

(Fin de citation)

 

Note du blog Christ Roi. Si on n'a pas la foi, on ne pourra pas défendre la liberté jusqu'au bout, on ne pourra pas résister jusqu'au bout, on ne tiendra pas.

Demandons donc chaque jour à Dieu d'avoir la foi.

_____________________

Lire aussi :

 

Contre le Nouvel Ordre mondial : en finir avec la "révolution" (Ière partie)

 

Partager cet article
Repost0
2 février 2022 3 02 /02 /février /2022 14:20

Rien par force, tout par amour.

Saint François de Sales († 1622), Docteur de l'Eglise

Maître Fabrice Di Vizio et le Pasteur débattent de cette question : "où est l'Église dans cette crise" (sanitaire)? Dans la crise sans précédent qui touche de façon dramatique l'histoire de notre humanité, cette émission filmée sur le site YouTube "En Dieu seul", se propose d'"apporter des solutions concrètes pour faire face à la crise." 

Extrait de l'émission :

 

Maître Fabrice Di Vizio :

 

"Il y a deux questions : quelle devrait être la place de l'Église ? Et quelle a été et quelle est réellement la place de l'Église? A la question quelle a été la place de l'Église, je dirais aucune : l'Église n'a pris aucune place, en tous les cas pour l'Église catholique à laquelle j'appartiens. Je suis consterné et frappé de constater qu'elle n'a rien apporté et quand elle a pris la parole, ce fut à peu près pour raconter n'importe quoi."

 

[Note de Christ Roi. C'était précisément notre propos il y a un an dans cet article :

Covid-19 : l’Église a clairement manqué son rendez-vous avec l'histoire ]

 

"Nous avions et avons une Église dont on attendait beaucoup, une Église dont on espérait beaucoup, et qui ou elle s'est tu, ou lorsqu'elle a pris la parole, ce fut littéralement pour raconter n'importe quoi.

 

"À la question quelle devrait être la place de l'Église, j'ai envie de répondre, j'aurais envie de répondre par la formule consacrée que l'Église est mère et enseignante. L'Église doit être mère, c'est-à-dire qu'elle doit accompagner le peuple de Dieu dans la souffrance. On a traversé une souffrance : la souffrance du confinement, la souffrance du deuil, la souffrance de l'inconnu, la souffrance des familles qui se sont séparées, la souffrance que ce Pass a généré. Et son rôle c'était d'aimer. C'est la première réalité, c'est d'aimer. La deuxième réalité c'est d'enseigner, en disant voilà ce qu'il y a lieu de tirer de cette crise et voilà comment on vit une crise, voilà ce que le Christ nous enseigne, voilà ce que la Parole nous enseigne, voilà comment on nourrit l'Espérance. Et donc, je suis particulièrement surpris de voir qu'elle (l'Église) n'a ni aimé ni enseigné. De sorte que l'on pourrait se poser une question : l'Église existe-t-elle encore ? Est-ce que, dans cette affaire, l'Église qui est l'épouse du Christ existe encore ? L''Église en tant qu'institution, elle sait faire, il n'y a pas de doute, elle sait très bien être institutionnelle, mais quand il s'agit d'être Église épouse (du Christ), c'est plus compliqué.

 

"(Dans cette crise sanitaire) les catholiques, à l'exception de quelques communautés, se sont complètement laissés happer par l'esprit du monde. Mais ce n'est pas nouveau. Le pape François en instaurant un Pass sanitaire, en appelant à la vaccination, en venant dire qu'on manquait de générosité et que (la vaccination) c'était un acte de charité [alors qu'un acte d'amour contraint et non consenti n'est pas un acte d'amour..., c'est un viol. Note de Christ Roi.]

 

"Le problème de l'Église c'est d'annoncer l'Évangile, son premier devoir c'est de remplir les églises. L'Église ne se soucie plus du témoignage. Et c'est cela le problème. Nous avions une occasion en or de venir témoigner de l'Espérance qui nous habite. Nous ne l'avons pas fait parce que, peut-être, nous n'avons pas d'Espérance qui nous habite et alors cela, c'est beaucoup plus grave.

 

Pasteur Daniel Vindigni :

 

"C'est peut-être cela aujourd'hui le rôle de l'Église. La Bible dit que c'est la vérité qui affranchit. Et on ne peut pas faire avancer l'humanité, faire avancer les hommes, on ne peut pas faire avancer l'Église si on n'a pas l'humilité de reconnaître nos problèmes et nos faiblesses. Et effectivement ce n'est pas le rôle d'un serviteur de Dieu, d'un homme de Dieu, de pouvoir influencer les chrétiens dans une direction (la vaccination) qui serait la direction officielle, sachant que cette direction officielle peut être largement remise en question."

 

Maître Fabrice Di Vizio :

 

" Et puis il y a un autre problème. L'Église est là pour accueillir tout le monde. On peut par exemple avoir les positions qu'on veut sur l'immigration, mais quand l'Église dit, moi je ne fais pas de politique, et j'accueille chacun de mes enfants sans regarder d'où ils viennent, il y a une dimension d'accueil inconditionnel.

 

Pasteur Daniel Vindigni :

 

"Le grand problème que l'on a dans cette crise c'est que les politiques font de la religion et les religieux font de la politique !"

 

Maître Fabrice Di Vizio :

 

" Depuis un an et demi, on essaye de nous vendre une espèce de dogme, une vérité (qui serait une vérité absolue), alors que la vérité scientifique on voit bien qu'elle est mouvante, qu'elle n'est pas évidente; ce que l'on savait il y a six mois n'est pas ce que l'on sait maintenant. Le problème est que vous avez fait du 'vaccin', du confinement, du masque, un dogme. Or nous ne savons pas assez de choses pour pouvoir affirmer des vérités. 

 

"Et (inversement), l'Église s'est introduite dans une sorte de relativité, en disant la relativité, cela n'existe plus, il faut s'adapter à l'esprit du temps...

 

"Quand vous pensez qu'aux Etats-Unis, au Texas, certains évêques ont interdit à leurs prêtres d'aller donner le sacrement des malades aux mourants dans les hôpitaux pour cause de Covid, sauf à faire un Pass sanitaire.

 

Pasteur Daniel Vindigni :

 

"C'est très juste que vous êtes en train de dire, c'est pour cela qu'il faudrait peut-être dire que le rôle de l'Église aujourd'hui, évidemment, c'est de prêcher la Bonne parole,, de donner l'Espérance du salut et de la vie éternelle, rassurer les gens, et surtout peut-être de résenseigner les Chrétiens, et réenseigner les représentants du culte pour leur dire ATTENTION, il est temps que vous ayez la foi, vous avez perdu la foi. Et vous n'avez plus un discours qui se tient dans l'Espérance de la foi. Mais de plus en plus, nous voyons un discours basculer dans la crainte, la peur, parce que l'on accepte que ce qui nous est servit sur un plateau comme solution par les gouvernements et le Nouvel Ordre Mondial doit être pris pour argent comptant. On ne peut plus discuter et on ne peut plus remettre cela en question. Et on ne laisse plus le libre choix à chacun.

 

"Et le problème est que dans l'Église on commence progressivement à retirer le libre choix à chaque individu dans l'expression de sa foi.

 

L'Eglise ayant manqué ces derniers mois à sa mission, comment pourrait-elle venir en aide à ces gens qui sont désespérés, qui ont peur de l'avenir ?

 

Pasteur Daniel Vindigni :

 

"En réactivant un dialogue de foi. Il faut croire que Dieu existe. Il faut croire que Dieu est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. Il faut croire que Jésus-Christ a donné Sa Vie à la Croix, qu'il a versé Son Sang, et que par Ses meurtrissures nous trouvons la guérison. Il y a donc une part de miraculeux que nous devons saisir aujourd'hui à travers le message de Jésus, dans cette crise, en portant ce message aux malades et en leur disant qu'il y a les solutions humaines, médicales, que nous ne renions pas, mais nous voulons aussi apporter le message spirituel, le message de la foi. Et redire : priez le Seigneur, croyez que Dieu peut vous protéger et que Dieu peut encore vous guérir aujourd'hui. La Parole le dit : Jésus n'a pas changé, il est le même hier, aujourd'hui et éternellement.

 

"Donc le pouvoir que nous pouvons trouver dans le coeur de Jésus et dans la Communion du Seigneur est un pouvoir qui d'abord va tuer nos craintes, détruire nos manques d'Espérance, et qui va ouvrir un chemin très large à la foi et à l'Espérance. Parce que la foi sans les oeuvres n'est rien, il faut pratiquer, il faut que les représentants du culte prient pour les malades, qu'ils puissent aussi leur apporter un soutien spirituel dans leurs discours, un discours rempli de Foi et d'Espérance. Parce que c'est prouvé, un malade qui a le moral va guérir beaucoup plus vite qu'un malade qui n'a pas le moral et qui est désespéré.

 

"La place aujourd'hui des représentants du culte est de ranimer ce message d'Espérance et de Foi. Et de dire que oui, Dieu guérit encore aujourd'hui. Et que oui, il faut espérer dans la Seigneur et mettre sa confiance dans la foi en Jésus-Christ, parce qu'il est mort pour nos péchés, parce qu'il aussi souffert sur le Chemin de la Croix (la Via dolorosa), il a souffert sous le coup du fouet des soldats romains et Ses meurtrissures sont pour nous une guérison." 

Vous aussi, comme pierres vivantes, entrez dans la construction de la demeure spirituelle, pour devenir le sacerdoce saint et présenter des sacrifices spirituels, agréables à Dieu, par Jésus Christ.

1P 2,5

Partager cet article
Repost0
30 janvier 2022 7 30 /01 /janvier /2022 16:19

Le seul "complot" qui existe pour nos médias officiels c'est le "complot russe", y compris s'agissant du "convoi des camionneurs de la liberté ... au Canada" :

Freiheitskonvoi in Kanada: Während Trudeau sich versteckt, wird wiedermal Putin beschuldigt, hinter all dem die Fäden zu ziehen (Videos)

Des images prises samedi montrent l'arrivée des premiers camionneurs à Ottawa.

 

Trudeau a quitté la ville et s'est rendu dans un endroit secret. A proprement parler, c'est la fin de l'exercice pour lui.

C'est peut-être l'une des meilleures vidéos de l'hymne canadien jamais créées :

Le gouvernement canadien a mobilisé la police et les forces de sécurité nationales pour renforcer la présence policière à Ottawa alors que le "convoi de la liberté" des camionneurs qui protestent contre la vaccination obligatoire entre dans la capitale. On estime qu'environ 50 000 camionneurs font partie du groupe qui organisera des manifestations au cours du week-end.

Le ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a déclaré vendredi à CBC News que différents services de répression et des membres de la "communauté du renseignement" étaient prêts à faire face à d'éventuelles "menaces".

Il a déclaré à la chaîne publique que des "limites" seraient fixées entre la liberté d'expression et les risques pour la sécurité publique, ajoutant que le convoi "ne concernait pas la liberté" et "certainement pas les camionneurs". Parmi les signes d'extrémisme signalés par Mendicino, des manifestants auraient assimilé les prescriptions de vaccination à la politique des nazis, brandi des drapeaux confédérés américains et appelé à renverser le gouvernement par la force.

Le convoi des camionneurs canadiens a commencé à arriver près de la colline du Parlement à Ottawa, en faisant retentir leurs klaxons pour protester contre les restrictions imposées par le gouvernement en matière de Covid et les mandats de vaccination.

Entre-temps, les médias contrôlés et favorables à l'État rapportent que Poutine pourrait une fois de plus être derrière tout cela.

Alors que dans un monde normal, cela serait au-delà de la satire et de la moquerie, il n'est peut-être pas du tout surprenant que la responsabilité de l'instigation du "convoi de la liberté" soit déjà attribuée à des soi-disant "acteurs russes"...

"...étant donné le soutien du Canada à l'Ukraine... Je ne sais pas si c'est tiré par les cheveux de demander cela, mais on craint que des acteurs russes ne continuent à enflammer les choses alors que cette protestation prend de l'ampleur..."

 

Comme l'écrit Brian Lilley dans le Toronto Sun, "dans cette affaire, les médias n'agissent pas en tant qu'observateurs neutres et transmetteurs de nouvelles, la plupart ont décidé que le convoi de camionneurs est l'ennemi et le traitent comme tel. Regardez l'une des chaînes d'information ou, plus important encore, lisez les comptes Twitter des journalistes prétendument objectifs ou écoutez le mépris dans leur voix lorsqu'ils posent des questions pour voir qu'ils ont clairement pris parti".

Apparemment, les journalistes de la colline parlementaire pensent aujourd'hui que leur rôle est de demander des comptes à l'opposition et non au gouvernement. Il semble également qu'il soit de leur devoir de soutenir certains mouvements de protestation et d'en attaquer d'autres, selon les préférences personnelles des journalistes.

La propagande semble avoir été reçue par certains, mais pas par d'autres...

Alors que Trudeau a déménagé dans un endroit secret, le Premier ministre du Saskatchewan, une province canadienne située à la frontière avec les États-Unis, demande la fin de l'interdiction transfrontalière des chauffeurs de camion non vaccinés.

L'une des figures clés du convoi, Tamara Lich, aurait déclaré dans des vidéos sur Facebook que les manifestants ne quitteraient pas Ottawa tant que leurs revendications ne seraient pas satisfaites. Cependant, elle a également appelé les manifestants et les personnes qui les soutiennent à respecter la loi et à ne pas faire de vagues.

L'objectif principal du Convoi de la liberté était de faire pression sur le gouvernement Trudeau pour qu'il abroge les dispositions exigeant que les chauffeurs de camion soient vaccinés afin d'éviter une quarantaine de 14 jours après avoir franchi la frontière en provenance des États-Unis. Entre-temps, la protestation semble s'être étendue à d'autres mesures de santé publique.

 

Source : UncutNews

Partager cet article
Repost0
29 janvier 2022 6 29 /01 /janvier /2022 20:06
"C'est une erreur de parler de 'théorie du complot' car, sur tous les points importants, on a affaire à une PRATIQUE DU COMPLOT" (Etienne Chouard). La tendance des comploteurs à appeler "complotisme" la vertu de vigilance des citoyens, par rapport à tous les pouvoirs, est née en 1789

"C'est une erreur de parler de "théorie du complot" car, sur tous les points importants, on a affaire à une PRATIQUE DU COMPLOT.

La vertu première d'un citoyen digne de ce nom est la vigilance par rapport à tous les pouvoirs.

Cette vertu est appelée complotisme par les comploteurs", explique dans un tweet Etienne Chouard. 

Commentaire du blog Christ Roi. 

 

 

Etienne Chouard a raison quand il dit que "la vertu première d'un citoyen digne de ce nom est la vigilance par rapport à tous les pouvoirs. Cette vertu est appelée complotisme par les comploteurs.

 

Je réfléchis, je m'informe, je m'intéresse, je recherche, j'analyse, je me méfie des médias, je doute, j'apprends, je pense, je compare, je suis autonome, je prends du recul, je suis rationnel, je discerne, j'examine, je suis impartial, je suis incontrôlable, je suis libre, indépendant et souverain, je trie, je suis autodidacte, j'approfondis, je ne suis pas manipulable : je suis "complotiste" !

 

 

Mais rappelons que cette tendance des comploteurs à appeler "complotiste" la vertu de vigilance des citoyens par rapport à tous les pouvoirs, est née en 1789, lorsque des Français s'inquiétant des actes de la république naissante plus exactement en 1792-93, furent envoyés en masse à l'échafaud pour "complot", "complotisme aristocratique", en vertu de la loi des suspects (qui inspirera les lois staliniennes).

Cette loi des Suspects, loi de la première "république" désignant des "complotistes", est une "PRATIQUE du complot d'Etat". Elle déclencha l'arrestation de 500 000 suspects, le placement en résidence surveillée de 300 000 citoyens. Les ouvriers furent envoyés par charrettes entières à la guillotine ; Les "décapitations concernent pour 28% des paysans, pour 31% des artisans et des ouvriers, sans doute pour plus de 20% des marchands ... 8 à 9% des nobles, pour 6 à 7% des membres du clergé." (Chiffres donnés par René Sédillot dans Le Coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin, Mesnil-sur-l'Estrée 1984, p. 24.) Près de 80% des exécutés étaient des petites gens. "Le bilan estimé des morts liées à la Révolution demeure toujours incertain. [...] On s'en remet souvent aux calculs de Donald Greer en 1935 qui recense 30 000 à 40 000 victimes des procédures juridiques (fusillées et guillotinées). Il s'agit d'une base minimale à laquelle il faut ajouter environ 170 000 victimes vendéennes." (Patrice Gueniffey in La Révolution française, Préface de Michel Winock, L'Histoire Edition, 2014, p. 119-120.)

 

Retraçons « le fantasme du "complot aristocratique" » qui « envahit très vite l'espace du discours révolutionnaire » :

 

« [...] [I]l suffit de considérer le flot ininterrompu des dénonciations qui sont adressées au Comité des recherches de l'Assemblée constituante (Pierre Caillet, Comité des recherches de l'Assemblée nationale 1789-1791, Inventaire analytique de la sous-série D XXIX bis, Paris, Archives nationales, 1993.)

« [...]. Il convient de préciser que cette frénésie dénonciatrice témoigne autant de l'irruption de l'esprit révolutionnaire que de la persistance de cette mentalité traditionnelle déjà évoquée et accoutumée à incriminer des conspirateurs. (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 64.)

« Voyez en 1792 la république du soupçon des "Argus, Surveillants, Dénonciateurs, Sentinelles et Aveugles clairvoyants" (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, ibid., p. 70) repose tout entière et seulement dans l'exercice du soupçon !

« L'idéologie révolutionnaire est à la recherche d'auteurs, de responsables, d'un ou plusieurs "individus" à désigner. » (Lucien Jaume, Le Discours jacobin et la démocratie, Fayard, Saint-Amand-Montrond 1989, note 65, p. 170.)

« La recherche et la dénonciation nominale des ennemis de la Nation ou du Peuple n'a pas été le propre des Jacobins; il s'agit d'une conduite généralisée dès le début de la Révolution... » (Lucien Jaume, Le Discours jacobin, ibid., p. 192.)

« L'imaginaire du complot remplit une autre fonction encore. La crainte du "complot aristocratique" est en effet le vecteur par lequel la nation se constitue. [...] La nation [révolutionnaire. NdCR.] se définit par ce qu'elle rejette; elle prend forme forme matérielle, consistance et réalité, à travers la mobilisation qu'entraînent les rumeurs sur les complots qui le menacent. » (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, ibid., p. 65.)

Dans ce discours républicain, en fait, dès le début en 1792, la république se constitue contre (il n'y a rien de positif), en désignant des ennemis, « complotistes". »

 

D'autres éléments "proto-totalitaires" autres que l'élément révolutionnaire et la tendance à désigner des "complotistes", sont importants en 1789 :

- La Terreur comme moyen de gouvernement (la guillotine), la Terreur sur une échelle beaucoup plus large : la Vendée. Le terme "populicide" a été inventé par Babeuf en 1794, le terme génocide, beaucoup plus tard en 1944 par le juriste polonais Lemkine. Mais dès 1794, Babeuf écrivant un livre sur les massacres de Vendée avait inventé le mot populicide pour désigner l'extermination complète d'une population considérée comme ennemie.

- La préfiguration de groupes extrémistes, les Jacobins, qui visent à s'emparer du pouvoir par la violence pour imposer leur projet.

- Une Terreur mise en oeuvre par des petits groupes activistes à partir de 1792-1793, qui s'en servent comme moyen pour s'emparer et conserver le pouvoir, préfiguration de la révolution bolchévique de 1917. Ce n'est pas la guerre qui crée la Terreur, mais la Terreur qui crée la guerre... On verra la même chose dans la révolution "russe", qui crée la guerre civile afin de prendre le pouvoir. Bien avant 1917, Lénine ne rêve que de guerre civile et considère qu'on ne pourra pas faire de révolution sérieuse si on n'organise pas la guerre civile. Ce qu'il va réussir à faire.

- et l'apparition de nouvelles élites totalitaires formées d'un type d'homme prêt à pratiquer la terreur et le mensonge pour mieux profiter des gratifications offertes. (Cf. Stéphane Courtois, Les logiques totalitaires en Europe, Editions du Rocher 2006)

"C'est une erreur de parler de 'théorie du complot' car, sur tous les points importants, on a affaire à une PRATIQUE DU COMPLOT" (Etienne Chouard). La tendance des comploteurs à appeler "complotisme" la vertu de vigilance des citoyens, par rapport à tous les pouvoirs, est née en 1789
Partager cet article
Repost0
26 janvier 2022 3 26 /01 /janvier /2022 22:37

Partager cet article
Repost0
26 janvier 2022 3 26 /01 /janvier /2022 22:15

Add. 27-01-2022. 100 000 camionneurs veulent bloquer Ottawa pour libérer le Canada. 

https://cruciforme.net/plus-de-100-000-camionneurs-veulent-bloquer-ottawa-pour-liberer-le-canada/

Partager cet article
Repost0
22 janvier 2022 6 22 /01 /janvier /2022 16:58

Mener une guerre pour la vérité, une guerre spirituelle et informationnelle

 

Le système du mensonge généralisé touche à tous les pans de la société (politique, monétaire, juridique, économique).

Valérie Bugault, docteur en droit et analyste de géopolitique juridique, dénonce cette imposture et l'explique bien dans ses derniers ouvrages, tomes 1 et 2 : "Les Raisons cachées du désordre mondial, Analyses de géopolitique économique, juridique et monétaire". Elle l'explique aussi dans la video ci-dessous.

Le mensonge généralisé tient sur la base de trois grandes impostures : le parlementarisme dit "représentatif", la soit-disant "séparation des pouvoirs", et le pouvoir monétaire laissé aux mains des marchands (coup d'Etat bancaire de 1789), libres de mettre en esclavage toutes les populations du monde entier via le FMI et la Banque des recouvrements internationaux, la loi du plus fort sous les termes de "liberté" et de "démocratie", deux termes qui n'ont jamais été autant subvertis et piétinés.

Le dernier avatar en date de l'esclavage moderne est le Great reset, ou l'Etat de droit et nos libertés se voient anéantis, l'Etat libre et indépendant, volatilisé. 

À côté de la guerre informationnelle à mener, la lutte pour défendre la vérité, il ne faut pas oublier que les soubassements matérialistes de notre contrat social sont en train d'aboutir à leur dernières conséquences où la liberté de l'homme sans Dieu proclamée en 1789 se transforme en esclavage sanitaire (covidisme, passeports vaccinaux, crédit social à la chinoise).

 

Notre salut : restaurer la cité chrétienne. Restaurer la cité où l'esprit surplombe et domine la matière (et non l'inverse...)

 

"Le Concile de Trente définit la vie chrétienne une pénitence continuelle, perpetua pœnitentia ; et notre époque, une jouissance continuelle, la plus large possible et par tous les moyens possible. L'homme devient chair. Inutile d'insister sur ce caractère du règne satanique, dont le développement rapide alarme tous les esprits sérieux." (Mgr Jean-Joseph GAUME, Traité du Saint-Esprit, 1864, Rééd. Éditions Saint-Rémi, 2019, p. 297.) 

Dans son Traité du Saint-Esprit, (ibid., p. 62), Mgr Jean-Joseph GAUME explique ce caractère du règne satanique qui est avant tout une recherche d'une déification de l'homme et du bonheur par des moyens illégitimes, des moyens matérialistes qui sont ceux du démon (envie, désobéissance, gourmandise, orgueil de se sauver par ses propres forces) : 

"L'autre est la Cité du mal. ... Son fondateur et son roi, c'est l'Esprit du mal : ses gouverneurs, les anges déchus; ses citoyens, tous les hommes qui travaillent à leur prétendu déification (par les moyens du diable. NDLR.), conformément aux règles données par Satan. ... Elle se concentre dans les limites du temps, dont les jouissances forment l'unique objet de ces aspirations et de ses travaux. Elle est le désordre universel, parce que rien n'y est à sa place : l'homme en haut, Dieu en bas. Cette cité est le satanisme. Immense et hideuse famille, née de la révolte angélique, composée des démons et des méchants de tous les pays et de tous les siècles, toujours en fièvre de liberté, et toujours esclave, toujours cherchant le bonheur et toujours malheureuse."

En  hébreu, le verbe "pécher" signifie manquer son but, se tromper de cible... Pécher, c'est se tromper de bonheur qui est Dieu.

Et Mgr Jean-Joseph Gaume ajoute :

"... L'homme vit nécessairement sous l'empire du Saint-Esprit, ou sous l'empire de Satan. Bon gré, mal gré, il est citoyen de la Cité du bien, ou citoyen de la Cité du mal." (Constit. apostol. lib IV, c. XXVI.) De là, le mot de saint Hilaire : "Où n'est pas le Saint-Esprit, là est le Diable."

"Quoi qu'il fasse, le monde inférieur (terrestre. NDLR.) ne peut se soustraire à l'influence du monde supérieur (spirituel. NDLR.). S'il rompt avec le Roi de la Cité du bien, il tombe forcément sous l'empire du Roi de la Cité du mal. Dieu ou le diable : pas de milieu." (Mgr Jean-Joseph GAUME, Traité du Saint-Esprit, ibid., p. 302).

"Jésus-Christ, roi; ou Satan, roi. ... Jésus-Christ, roi dans l'ordre temporel, aussi bien que dans l'ordre spirituel; ou Satan, roi dans l'ordre temporel, aussi bien que dans l'ordre spirituel..." (Ibid., p. 279.)

Même César appartient à Dieu. Le Christ doit être Roi

Là est notre salut si l'on veut sortir la France de l'ornière matérialiste, de l'imposture et du mensonge généralisé dans laquelle elle est plongée depuis 1789.

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2022 7 16 /01 /janvier /2022 22:50

Partager cet article
Repost0