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Christ Roi

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7 novembre 2021 7 07 /11 /novembre /2021 10:00
https://gript.ie/highest-covid-numbers-in-hospital-since-march-despite-91-jabbed/

https://gript.ie/highest-covid-numbers-in-hospital-since-march-despite-91-jabbed/

L'Irlande compte désormais le plus grand nombre de patients hospitalisés atteints de Covid-19 depuis mars, malgré le fait que plus de 91% de la population de plus de 12 ans soit vaccinée – le taux de vaccination le plus élevé de l'UE.

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5 septembre 2021 7 05 /09 /septembre /2021 07:31

Les vérités sortent pour de bon !

 

En Irlande, la une des journaux annonce : "vaccine deaths soar". "Les décès dus aux vaccins augmentent".

 

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4 juillet 2020 6 04 /07 /juillet /2020 12:19

Liam Gibson, responsable politique de la Société pour la protection des enfants à naître (SPUC) a qualifié les chiffres de "vraiment choquants".

Source: LifeSiteNews

 

Des militants pro-avortement devant les chambres du Parlement en 2018 lorsque le gouvernement britannique était sous pression pour libéraliser les lois sur l'avortement en Irlande du Nord après que la République d'Irlande a voté pour abroger sa loi pro-vie lors d'un référendum le 25 mai 2018.

Des militants pro-avortement devant les chambres du Parlement en 2018 lorsque le gouvernement britannique était sous pression pour libéraliser les lois sur l'avortement en Irlande du Nord après que la République d'Irlande a voté pour abroger sa loi pro-vie lors d'un référendum le 25 mai 2018.

(traduction)

 

Mer.1 juil.2020 - 10h18 HNE

 

Par Martin Bürger

 

DUBLIN, Irlande, 1er juillet 2020 ( LifeSiteNews ) - 6666 bébés à naître ont été tués l'année dernière en Irlande, suite à la légalisation de l'avortement dans l'ancien pays catholique. Le nombre d'avortements rappelle étrangement le "nombre de la bête" biblique du livre de l'Apocalypse : "C’est ici qu’on reconnaît la sagesse. Celui qui a l’intelligence, qu’il se mette à calculer le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme, et ce chiffre est six cent soixante-six."

 

Selon les données du gouvernement irlandais , 6 542 avortements ont été pratiqués au début de la grossesse. La loi de 2018 sur la santé (réglementation de l'interruption de grossesse) définit que "au début" signifie "la grossesse qui n'a pas dépassé 12 semaines de grossesse".

 

Seuls 24 avortements ont été pratiqués en raison d'un risque approprié pour la vie ou la santé de la mère. 100 autres bébés ont été tués parce que les fournisseurs d'avortement ont déterminé "une condition affectant le fœtus qui est susceptible de conduire à la mort du fœtus avant ou dans les 28 jours suivant la naissance".

 

Liam Gibson, responsable politique de la Société pour la protection des enfants à naître (SPUC) a qualifié les chiffres de "vraiment choquants".

 

"Il serait facile d'être submergé par le grand nombre d'avortements ou d'être horrifié par ce que le massacre d'enfants de cette envergure nous apprend sur la société irlandaise", a-t-il déclaré. "Cependant, nous ne devons jamais perdre de vue le fait que chacun de ces 6666 avortements était un acte délibéré de violence meurtrière dirigée contre un être humain entièrement innocent et unique."

 

Se référant au fait que l'avortement avait été légalisé en Irlande à la suite d'un référendum en mai 2018, avec seulement un tiers de la population votant contre l'avortement, Gibson a déclaré: "Aucun gouvernement, aucun État, indépendamment d'un référendum, ne peut abroger le droit donné par Dieu à la vie d'un seul membre de la famille humaine."

 

Selon le représentant du SPUC, "l'avortement n'est jamais justifié, [et] chaque enfant a le droit de naître quel que soit son stade de développement, son handicap ou les circonstances de sa conception".

 

Jusqu'en 2018, la loi irlandaise avait déclaré: "L'État reconnaît le droit à la vie de l'enfant à naître et, dans le respect du droit égal à la vie de la mère, garantit dans ses lois le respect et, dans la mesure du possible, par ses lois. pour défendre et faire valoir ce droit. "

 

"Ce paragraphe", a concédé la loi, "ne restreindra pas la liberté de voyager entre l'État et un autre État. Cette sous-section ne limite pas la liberté d'obtenir ou de mettre à disposition, dans l'État, sous réserve des conditions fixées par la loi, les informations relatives aux services légalement disponibles dans un autre État."

 

 

Maintenant, cependant, la loi stipule simplement: "Des dispositions peuvent être prévues par la loi pour réglementer l'interruption de grossesse." Cela a été fait avec la loi de 2018 sur la santé (réglementation de l'interruption de grossesse).

 

"Les Irlandais pro-vie ont mené une longue et difficile bataille pour protéger les femmes et les enfants de l'avortement", a raconté Liam Gibson. "Il est très important qu'ils ne [restent] pas silencieux face à cette terrible injustice. Leur engagement à défendre chaque enfant à naître en dénonçant l'avortement à chaque occasion se révélera finalement décisif."

 

En février 2019, peu de temps après le début des avortements, le 1er janvier, les militants de l'avortement ont commencé à prendre des mesures légales sur l'île d'Émeraude pour empêcher les vigiles devant les centres d'avortement, en restreignant la liberté d'expression et de parole.

 

Le site Internet Drogheda Life a rapporté que la conseillère du comté de Louth, Emma Coffey, avait proposé "une zone d'exclusion autour de l'hôpital de Lourdes et d'autres établissements de santé du comté qui fournissent des services d'avortement". Son objectif était de rendre illégale toute manifestation contre les installations d'avortement dans le comté de Louth.

 

Lors d'une réunion du Conseil du comté de Louth tenue à Dundalk, le 18 février 2019, la motion du conseiller Coffey a été adoptée à la majorité. La motion a introduit, par le biais des règlements municipaux existants, une interdiction de toute vigile pro-vie tenue à moins de 500 mètres d'un hôpital ou d'une clinique.

 

Cependant, à l'été 2019, des milliers de pro-vie ont défilé dans les rues de Dublin pour affirmer le caractère sacré de la vie.

 

Organisé le 6 juillet par les groupes pro-vie Life Institute, Precious Life et Youth Defence, le rassemblement annuel pour la vie avait pour but de souligner qu'"aucun vote, aucun acte du Parlement ne peut jamais édicter un droit à tuer un enfant" et élever la "prochaine génération à défendre la vie et à changer la culture".

 

"Des milliers" de participants ont défilé de Parnell Square à Dublin vers la douane (qui abrite la Cour suprême du pays), portant des banderoles déclarant que "l'avortement vole l'espoir" et scandant l'opposition au ministre de la santé pro-avortement Simon Harris, a rapporté l'Irish Times. Toute la page Facebook du Rally for Life d'Irlande a estimé le nombre de participants à 15 000.

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27 mai 2018 7 27 /05 /mai /2018 12:34
Saint Patrick chassant les serpents d'Irlande

Saint Patrick chassant les serpents d'Irlande

Source: K.V. Turley, Life Site news, Samedi 26 mai 

Across the land of St. Patrick, night has fallen

 

À travers le pays de Saint-Patrick, la nuit est tombée

 

26 mai 2018 ( LifeSiteNews ) - En septembre, le pape François doit se rendre en Irlande presque exactement 39 ans après que le premier pontife régnant ait foulé le sol irlandais.

 

Le Saint-Père actuel visiterait cependant un pays qui a beaucoup changé par rapport à celui dans lequel son prédécesseur est venu.

 

L'accueil que le pape Jean-Paul II reçut est celui que l'on attend d'une nation catholique, en particulier celle qui a des antécédents de persécution. On estime qu'environ 1 250 000 personnes, soit un quart de la population de l'île, un tiers de la population de la République, ont assisté à la messe d'ouverture de la visite au Phoenix Park de Dublin. Plus de 250 000 autres personnes ont assisté à un service près de la frontière irlandaise plus tard dans la soirée, la plupart des personnes présentes venant de l'Irlande du Nord sous contrôle britannique. Plus tard encore, des centaines de milliers de personnes ont défilé dans les rues de Dublin alors qu'un cortège de nuit se rendait à la résidence présidentielle. Les deux jours suivants devaient être semblables dans leur exubérance, car c'était plus qu'un simple "accueil"; c'était plus proche d'une célébration nationale, et qui semblait dire que, malgré tout, la Foi avait non seulement survécu mais avait triomphé.

 

La visite a été considérée comme un grand succès, mesurée comme dans les acclamations et les brocantes.

 

Des dignitaires irlandais de haut rang se sont félicités, ainsi que les fidèles irlandais, de la visite papale. Ce devait être une fausse aube, cependant.

 

La visite de 1979 marque une fin. Il fut par la suite résolu, déterminé par des forces vues et invisibles, que le moment était venu, l'Irlande catholique tomberait. Quinze cents ans de fidélité devaient être brisés. En ce jour de septembre, alors que les moteurs du jet papal se mettaient en marche et que le dernier salut de la garde d'honneur militaire était pris, ce qui n'était pas entièrement compris était que le dernier acte d'une histoire se terminait comme le premier d'une autre commençait, de façon appropriée, avec le départ du Vicaire du Christ.

 

Dans le sud de l'Irlande, quand le pape Jean-Paul II a visité, l'avortement était criminel, la contraception indisponible, et le mariage était entre un homme et une femme pour la vie, le divorce étant illégal. Les taux de fréquentation des églises sont restés parmi les plus élevés d'Europe. L'Église contrôlait presque toutes les écoles et une grande partie des services médicaux et sociaux. L'État irlandais était catholique en tout sauf le nom; comme en témoigne sa Constitution, en particulier son préambule, invoquant l'héritage chrétien de la nation: "Au nom de la Très Sainte Trinité, de qui est toute autorité et à qui, comme fin dernière, toutes les actions des hommes et des États doivent être référées ... "

 

Tout semblait être en ordre. Cela s'est avéré une illusion.

 

La fin de la visite papale a marqué le début d'années riches en désastre pour l'Église en Irlande. Dans le Nord, la guerre et la guerre civile se poursuivent, les paroles du Pape pour une cessation de la violence sont largement ignorées; et, même quand enfin un cessez-le-feu est venu, la paix était cruelle avec ses fantômes laissant plus tard des tombes inquiètes pour errer à l'étranger en quête de justice. Il y avait une stagnation dans le discours public, car année après année les choses allaient mal socialement, et guère mieux sur le plan économique. Pendant tout ce temps, l'Église était de plus en plus marginalisée. En tout cas, cela ne devait guère faire de différence, car le scandale a infecté une partie du clergé, avec pour conséquence que ce qui était prêché à la chaire a été ridiculisé publiquement.

 

Les médias irlandais ont senti le sang et ont attaqué ce qu'ils craignaient autrefois. Tous les prêtres ont été ternis indépendamment de l'innocence ou de la culpabilité. Silencieuse, l'Église se tenait là et regardait une "nouvelle Irlande" érigée, une très différente de tout ce qui avait été vu auparavant.

 

Le dernier jour de la visite en Irlande, le pape Jean-Paul a parlé d'un choix clair entre le Christ et le monde. En ce jour couvert de 1979, il présenta à l'Irlande ce choix, l'un entre le Christ et toutes les vaines promesses du prince de ce monde. Ce devait être le dernier jour de sa visite, et presque la dernière pour l'Irlande catholique.

 

L'année suivante, le Parlement irlandais a légalisé la contraception. C'était le début d'un processus, certains pourraient dire une "guerre" et, à la fin, les forces du "progrès" avaient gagné toutes les batailles. Aujourd'hui, quelque 30 ans après le départ du pape Jean-Paul d'Irlande, le tissu social de la nation semble tout aussi désastreux que n'importe quel autre pays européen. L'Irlande a en effet fait son choix.

 

Peut-être, rétrospectivement, il n'est pas surprenant que, comme la foi a décliné, la prospérité a augmenté. Et tandis que la fréquentation de l'église chutait et que les paroisses fermaient, le crime montait, tout comme l'effondrement des familles, tout aussi l'illégitimité, les malheurs de différentes nuances commençaient à se rassembler. Mais alors, quand les choses semblaient ne pas pouvoir empirer, il y eut le coup de grâce .

 

La bataille la plus récente et la plus décisive de cette "guerre" a été livrée le 25 mai 2018. Telle était l'ampleur de la défaite que l'Irlande catholique a cessé d'exister.

 

A partir de maintenant, chaque année à cette date, une cloche devrait sonner comme les prêtres d'Irlande habillés en noir, monter à l'autel avant d'offrir la messe "funèbre" pour la mort spirituelle d'une nation et de réparer l'extinction d'enfants irlandais indicibles qui n'ont pas été autorisés à voir la lumière du jour.

 

Pour l'instant, alors que les serpents reviennent une fois de plus à travers la terre de Saint-Patrick, la nuit est tombée.

 

***

Irlande : Licence de tuer

Irlande : Licence de tuer

L'Irlande vote pour légaliser l'avortement: «une tragédie aux proportions historiques»

 

Claire Chretien

Life Site News

Samedi 26 mai 2018

 

IRLANDE, 26 mai 2018 ( LifeSiteNews ) - Des citoyens irlandais ont voté vendredi pour légaliser l'avortement, mettant fin à l'héritage de l'Irlande comme l'une des nations les plus pro-vie au monde.

 

Les votes sont toujours comptés officiellement, mais la campagne pro-avortement déclare la victoire et les pro-vie appellent cela une "tragédie de proportions historiques".

 

"Le 8ème amendement n'a pas créé un droit à la vie pour l'enfant à naître - il a simplement reconnu qu'un tel droit existe, a toujours existé et existera toujours", a déclaré la campagne pro-vie Sauver le 8e amendement dans un communiqué. "Ce que les électeurs irlandais ont fait hier est une tragédie aux proportions historiques. Cependant, un tort ne devient pas simplement juste parce qu'une majorité le soutient."

 

L'Irlande a l'un des taux de mortalité maternelle les plus faibles au monde. Le huitième amendement de sa Constitution garantit l'égalité des droits pour les bébés nés avant leur naissance et leurs mères.

 

L'abrogation du huitième amendement était un objectif depuis plusieurs décennies du mouvement de l'avortement. Les Irlandais ont voté par 67 pour cent pour ajouter le huitième amendement à leur constitution de 1983, faisant de l'île d'émeraude un endroit sûr pour les bébés avant leur naissance unique, contrairement au reste des régimes d'avortement libéral de l'Occident.

 

[Depuis 35 ans. NdCR.] Il y a eu cinq votes précédents sur l'abrogation du huitième amendement, qui ont tous échoué. Le premier était en 1983, trois autres en 1992 et un autre en 2002.

 

Davantage de personnes à Dublin où la majorité des habitants ont soutenu la campagne "d'abrogation" ont voté lors de ce référendum qu'en 2015 sur le "mariage" entre personnes du même sexe et lors de leur élection générale.

 

Un syndicat d'étudiants à Dublin a créé une "zone froide" où les étudiants pouvaient "déstresser" à mesure que les résultats tombaient. Il est devenu évident que les défenseurs de l'avortement avaient gagné et seulement 14 étudiants ont utilisé la salle, a rapporté The Guardian. Les sondages de sortie ont montré qu'environ 87 pour cent des 18-24 ans ont voté pour l'avortement.

 

Au début de 2018, le gouvernement irlandais a approuvé le vote sur le huitième amendement de mai avec la promesse que s'il était adopté, une législation autorisant l'avortement à la demande serait introduite. La législation proposée - qui pourrait être introduite la semaine prochaine - devrait être l'avortement sur demande pendant les 12 premières semaines de grossesse pour les bébés en bonne santé et plus tard pendant la grossesse pour des raisons de santé nébuleuses, pour les bébés handicapés et les bébés conçus pour le viol.

 

Les activistes pro-vie ont répondu au référendum par une vaste campagne de prospection et de sensibilisation du public sur le nombre de vies sauvées par le huitième amendement, comment un bébé sur cinq en Angleterre est avorté, le fait que l'avortement tue un être humain vivant, et que la légalisation engendrerait beaucoup de préjudices aux femmes et à la société.

 

“L'enfant à naître n'a plus de droit à la vie reconnu par l'état Irlandais,” l'enregistrement de la 8e défaite de la déclaration de suite.

"L'enfant à naître n'a plus de droit à la vie reconnu par l'Etat irlandais", poursuit le communiqué de la défaite du 8e amendement. "Peu de temps après, une loi permettra aux bébés d'être tués dans notre pays. Nous allons nous opposer à cette loi. Si et quand les cliniques d'avortement sont ouvertes en Irlande, en raison de l'incapacité du gouvernement à tenir sa promesse d'un service dirigé par un généraliste, nous nous opposerons à cela aussi. Chaque fois qu'un enfant à naître aura sa vie terminée en Irlande, nous nous opposerons à cela et nous ferons entendre notre voix."

 

Le pays autrefois connu pour son fort héritage catholique et son identité a voté en 2015 pour modifier sa constitution afin de permettre le mariage homosexuel. Malgré le mouvement de l'Irlande vers le sécularisme et l'approbation de la redéfinition du mariage, les sondages sur le vote du huitième amendement étaient extrêmement serrés vers la fin.

 

Les sondages de sortie le jour du vote, cependant, ont commencé à suggérer une victoire de "glissement de terrain" pour l'avortement.

 

En 2012, une femme nommée Savita Halappanavar, qui était enceinte de 17 semaines, est morte d'une septicémie (empoisonnement du sang) à l'hôpital universitaire de Galway.

 

Trois enquêtes officielles ont révélé que la femme de 31 ans étaite mort d'une infection sanguine causée par des "bactéries extrêmement virulentes", E. coli BLSE. Selon les lois irlandaises sur l'avortement, la femme aurait été autorisée à avorter si les médecins avaient réalisé à quel point elle était malade lorsqu'elle est venue à l'hôpital.

 

Ils n'ont pas réalisé, et sa mort a été due à la négligence médicale, pas au manque d'avortement, selon ce que les enquêtes officielles ont révélé. Selon l'Autorité d'information et de la qualité de la santé, qui a enquêté sur sa mort, les médecins ont raté 13 occasions de lui sauver la vie.

 

Les activistes irlandais de l'avortement ont exploité le cas de Savita et ont menti au sujet de sa mort, culminant dans le vote de vendredi.

 

Les politiciens irlandais qui ont poussé à l'abrogation du huitième amendement se sont opposés lorsque ils ont été interrogés sur la proposition d'avortement qu'ils défendaient. Certains défenseurs de l'avortement irlandais, comme le ministre lesbien pour les enfants du pays, ont simplement nié l'humanité de ceux qui sont encore dans l'utérus. D'autres encore ont admis que les pré-nés sont des humains, mais ont plaidé pour les tuer.

 

Le premier ministre ouvertement homosexuel de l'Irlande, Leo Varadkar, a fait campagne sur une plate-forme pro-vie, mais a soutenu ensuite l'avortement et renversé le huitième amendement.

 

Varadkar "a déclaré que la victoire écrasante attendue pour le oui était "l'aboutissement d'une révolution tranquille en Irlande", a rapporté The Guardian. La "révolution tranquille" est une expression utilisée dans une situation comparable au Québec il y a 60 ans, où une culture traditionnellement catholique a été libéralisée en peu de temps.

 

"Nous aurons une constitution moderne pour un pays moderne", a déclaré Varadkar, qui a déclaré en 2014: "Je me considère comme pro-vie en ce sens que j'accepte que l'enfant à naître est une vie humaine avec des droits."

 

Amnesty International, George Soros et d'autres groupes d'extrême gauche ont injecté de l'argent dans la campagne "oui" à l'avortement. Les médias internationaux - en particulier les médias britanniques - ont soutenu la campagne du "oui" avec constamment des histoires de femmes qui voyageaient à l'étranger, généralement en Angleterre, pour avorter leurs enfants.

 

Les stars de la culture pop irlandaise comme U2 et Ed Sheeran n'ont été d'aucune aide. Le premier, bien que dirigé par le profès Christian Bono, soutenait ouvertement l'abrogation du huitième amendement et celui-ci s'est plaint que les pro-vie auraient utilisé une chanson qu'il a écrite sur un bébé "à naître" pour promouvoir leur message.

 

Le leader pro-vie, John McGuirk, a déclaré qu'il était "navré" à l'annonce du résultat, et a averti que les implications du vote iront au-delà de l'avortement.

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15 janvier 2018 1 15 /01 /janvier /2018 21:24
Dolores O'Riordan, la chanteuse du groupe The Cranberries est décédée

La chanteuse irlandaise Dolores O'Riordan, à Londres pour "une courte session d'enregistrement", est décédée aujourd'hui "soudainement", selon son agent. 

Elle avait chanté un Ave Maria avec Pavarotti en 1995. Elle était pro-vie, anti-avortement, anti-féministe.

Repose en paix +++

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24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 13:41
Referendum irlandais : quand les catholiques lâches rejouent Ponce Pilate

On nous explique au lendemain du referendum positif irlandais ouvrant le mariage civil aux homosexuels, qu'il s'agirait-là d'une "brillante" démonstration des catholiques d'Irlande qui aurait montré que l'isoloir et l'encensoir ne vont pas de concert (sic)... La blague du jour !... Sans doute une illumination franc-maçonnique qui leur tombe dessus le jour de la Pentecôte !

Une blague reprise - sans rire - sur un certain nombre de sites soit-disants "catholiques"...

Il va de soi que malgré l'argument de la "séparation" du mariage civil et du mariage religieux en Irlande où le prêtre irlandais est un officier public qui tient les registres d’état civil, les Irlandais pouvaient et devaient voter non à ce referendum. Ne serait-ce que pour la simple raison que dans le cadre de la guerre de subversion du langage (novlangue) et la guerre médiatique qui nous est faite depuis deux siècles, on n'abandonne pas le vocabulaire à l'ennemi (le mot "mariage" signifie l'union entre un homme et une femme. POINT.) Dieu premier servi, le "oui" n'a aucune excuse. Surtout pas celle de Pilate qui se lave les mains !

Rejeter après coup la faute sur César est une attitude irresponsable venant de la part de catholiques "engagés dans la cité" qui d'ordinaire nous bassinent tous les jours pour voter et participer, mais rejettent la faute sur les autres et sur César quand les catholiques votent mal... Un peu trop facile ! Et même dangereux. Le vote "oui" des catholiques mériteraient même une analyse psychologique de fond pour comprendre ce qui s'est passé dans leur tête. Cet esprit de Ponce Pilate est très grave venant de la part de sites soit-disant "catholiques", que nous ne citerons pas. C'est indigne et lâche, surtout un jour de Pentecôte.

De toutes façons, le vote était biaisé compte tenu du fait qu'il y avait une seconde question dans le même referendum : "Que l’on abaisse les limites d’âge électorales". Dans ce cas-là, où deux questions demandent une seule réponse..., il fallait bien évidemment répondre non.

Malgré ce résultat catastrophique, les partisans du referendum sur ce sujet en France, concluent sans en démordre, qu"il faut "poser la question par referendum" ! Comme si on pouvait mettre Dieu et Satan en balance !... Sachant qu'en Irlande, Satan a gagné.

Alors, de deux choses l'une : soit ces gens sont sourds et aveugles et nous envoient tous à l'abîme, soit ils sont parfaitement conscients de ce qu'ils font, mais franc-maçonnisés et laïcistes cachés, il occupent la sphère catholique pour mieux nous tromper.

On n'a pas assez de se défendre contre les francs-maçons, il faut en plus qu'on se tape les mauvais catholiques qui nous poignardent dans le dos.

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23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 13:12

"De Deus non irredetur." De Dieu on ne se moque pas.

Galates VI, 7.

Le referendum irlandais sur le "mariage" homosexuel : une preuve qu'on ne met pas Dieu en balance avec Satan

Les résultats définitifs ne sont pas encore connus, cependant la victoire du oui est reconnue par tous les camps, partisans comme opposants.

L'un des principaux responsables de la campagne du non au mariage homosexuel en Irlande a concédé samedi la défaite de son camp après le référendum historique sur la légalisation de ces unions organisé la veille dans le pays. Hier, plus de 3,2 millions d'Irlandais ont été appelés à se prononcer [1] en faveur de la phrase suivante : « Le mariage peut être contracté suivant la loi entre deux personnes sans distinction de sexe. » [2]

Le ton a été donné en milieu de matinée, quand l'un des principaux responsables de la campagne du «non», David Quinn, a concédé la défaite de son camp. «C'est une claire victoire pour le camp du oui», a déclaré le directeur de l'Institut Iona, un groupe défendant les intérêts de la communauté catholique. Selon ce responsable, le «oui» aurait remporté environ deux bulletins sur trois. «C'est objectivement une victoire impressionnante pour le oui», a ajouté David Quinn, adressant ses «félicitations» aux partisans du mariage homosexuel. [3]

Nous avons dans ce résultat deux preuves.

La première : le referendum n'est pas une solution pour la défense du droit divin ni du droit naturel parce qu'une question volontairement posée positivement comme ici ("Le mariage peut être contracté suivant la loi entre deux personnes sans distinction de sexe") entraîne majoritairement une réponse positive. Les rédacteurs des questions référendaires le savent très bien. C'est pourquoi ils n'ont pas demandé au peuple irlandais : "Êtes-vous pour la défense du mariage naturel et sa constitutionnalisation ?", question où les gens auraient répondu oui à une écrasante majorité. Ce referendum est donc biaisé.

Cette preuve entraîne la seconde : les droits de Dieu et le droit naturel ne vont pas ensemble avec le suffrage universel et la souvaineté dite "nationale" (article 3 de la déclaration des droits de l'homme de 1789). C'est l'une ou l'autre souveraineté. Entre la "souveraineté de la nation" et la souveraineté de Dieu, il faut choisir. Il faudra bien que les défenseurs du vote au sein du système démoncratique et de la "participation politique" "comme si Dieu n'existait pas"... [4] nous expliquent les fondements de leur positionnement politique.

Imaginez-vous la représentation suivante :


La "démocratie" libérale moderne fait descendre Notre Seigneur dans l'arène des fauves durant les persécutions romaines ... et demande aux spectateurs de choisir : "choisissez, votez", êtes-vous pour le bien ou êtes-vous pour le mal, êtes-vous pour la vie ou pour la mort ? Qu'est-ce que le vote lorsqu'il met en balance Jésus et le monde, la vérité et le mensonge, Dieu et Satan et demande que l'on choisisse entre les deux ?  Une scène satanique.

 

Notes

 

[1] Mariage homosexuel en Irlande : le "oui" l'emporte, Le Figaro, Home ACTUALITE Flash Actu, Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 23/05/2015 à 13:12 Publié le 23/05/2015 à 12:06

[2] Les Irlandais approuvent le mariage homosexuel, Le Monde.fr | 23.05.2015 à 11h47 • Mis à jour le 23.05.2015 à 13h03 | Par Eric Albert (Londres, correspondance)

[3] Les Irlandais votent pour l'ouverture du mariage aux homosexuels, Le Figaro Home ACTUALITE International, Par Blandine Le Cain Mis à jour le 23/05/2015 à 13:53 Publié le 22/05/2015 à 06:00

[4] "À la racine de la perte de l'espérance se trouve la tentative de faire prévaloir une anthropologie sans Dieu et sans le Christ. Cette manière de penser a conduit à considérer l'homme comme « le centre absolu de la réalité, lui faisant occuper faussement la place de Dieu. On oublie alors que ce n'est pas l'homme qui fait Dieu, mais Dieu qui fait l'homme. L'oubli de Dieu a conduit à l'abandon de l'homme », et c'est pourquoi, « dans ce contexte, il n'est pas surprenant que se soient largement développés le nihilisme en philosophie, le relativisme en gnoséologie et en morale, et le pragmatisme, voire un hédonisme cynique, dans la manière d'aborder la vie quotidienne ». La culture européenne donne l'impression d'une « apostasie silencieuse » de la part de l'homme comblé qui vit comme si Dieu n'existait pas." (Saint Jean-Paul II, Ecclesia in Europa, 9, 28 juin 2003.)

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 15:34

 

Dans un enregistrement incroyable d'une conversation téléphonique datant de 2008, un bankster se vante d'avoir grugé les Irlandais en ayant sorti des chiffres de son cul ! Cet enregistrement fait scandale en Irlande depuis quelque jours... Et le gouvernement irlandais parle de faire des lois pour aider à faire la lumière sur les causes de la crise financière.

 

The Central Bank on Dame Street,

La Banque centrale d'Irlande sur Dame Street


Après son spectaculaire effondrement en 2008, l'AIB, première banque irlandaise (en 2009), a été nationalisée en janvier 2009 (le coût de sauvetage et de recapitalisation s'évalue à 34 milliards d'euros...)  Puis finalement, l'AIB a été mise en liquidation par les députés irlandais, le 7 février 2013, pour délester les banques du pays de leurs actifs toxiques. Les deux autres banques irlandaises, Allied Irish Banks et Irish Nationwide, ont également été recapitalisées par l'Etat irlandais, c'est-à-dire, comme en France en 2008, par les contribuables... Une «bad bank», la National Asset Management Agency (Nama), fut montée de toutes pièces pour racheter les actifs risqués des banques afin de les isoler des entités saines. Selon les analystes de Standard & Poor's, la facture totale du sauvetage bancaire atteint 90 milliards d'euros, soit 58 % du PIB irlandais. 50 milliards dédiés aux recapitalisations, dont 39 milliards pour le seul sauvetage d'Anglo Irish Bank. Le solde de 40 milliards serait dépensé dans le rachat des actifs toxiques par la «bad bank».

Or, pendant que leur banque plongeait au paroxysme de la crise financière en 2008, que l'Irlande elle-même croulait sous le poids d'une dette colossale, que les Irlandais payaient le renflouement de la banque endettée, les cadres banksters de l'AIB se sont réjouis de pouvoir «taper du blé» à l'institut d'émission, avec la garantie implicite de Berlin ! On peut même les entendre chanter l'ancienne version de l'hymne national allemand, Deutschland Uber Alles ("l'Allemagne au-dessus de tout"). C'est ce que révèle un enregistrement qui fait scandale en Irlande depuis quelques jours...

 

En septembre 2010, Dublin affirma que la facture d'Anglo Irish Bank "sera supportable car elle sera étalée dans le temps..."

 

Les Irlandais ne sont pas les seuls à se sentir grugés. Selon le Figaro, la chancelière Merkel a affiché aujourd'hui son «mépris» pour les banquiers de l'île, piégés au téléphone pendant qu'ils ridiculisaient la banque centrale de Dublin et le gouvernement allemand, venus à leur secours à coups de milliards d'euros...

 

Source: http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/06/28/20002-20130628ARTFIG00409-merkel-affiche-son-mepris-pour-les-banquiers-irlandais.php


C’est à la suite de l'effondrement de l'AIB que Dublin a été obligé de voler au secours de ses banques à la fin de 2008, au prix d’un énorme endettement qui a finalement contraint le pays à solliciter une aide internationale en 2011... La facture d'Anglo Irish Bank a fait exploser la dette publique à plus de 100% de son PIB, contre contre 64% fin 2009. Ici, en France, après le sauvetage des banques en 2008, on n'en est pas loin puisque la dette atteint aujourd'hui 91,7% du PIB. Il est bon ici de se rappeler du mensonge du siècle du Premier ministre de l'époque, François Fillon, et de ce vol du siècle : "sauf accident majeur, cette opération (de renflouement) n'aura pas de coût pour le contribuable" !

 

Le peuple irlandais qui a sacrifié sa souveraineté et des milliards d’euros s’est réveillé lundi 24 juin avec la gueule de bois, compte tenu des révélations de l’Independent.  Le journal a publié l’enregistrement sonore d’une conversation téléphonique entre deux cadres de haut niveau de l’Anglo Irish Bank, John Bowe, qui dirigeait le service des marchés de capitaux, et le directeur du département de banque de détail, Peter Fitzgerald. Au cours de la conversation, Bowe, qui a participé aux négociations avec la banque centrale pour le sauvetage de l’Anglo Irish Bank, lui raconte en riant comment l’équipe de direction de la banque a convaincu le gouvernement de se porter à son secours pour des milliards d’euros, n’hésitant pas à employer des chiffres fantaisistes pour s’assurer de son accord (Fitzgerald n’avait pas participé à ces tractations). L’enregistrement provient du propre système téléphonique de la banque et il date du cœur de la crise financière de 2008. 


Au cours de la conversation, Bowe explique à son collègue comment la banque a rusé en ne réclamant initialement qu’une somme de 7 milliards d’euros à l’Etat irlandais, alors que ses dirigeants savaient déjà que le montant réellement nécessaire était largement supérieur à cette somme. La stratégie des banquiers était de convaincre l’Etat d’accepter de se porter au secours de la banque, et de faire payer cette charge aux contribuables, en leur expliquant que c’était pour leur propre bien.

 

Ils ont spéculé qu’une fois que l’Etat aurait commencé à payer, il n’aurait plus été capable de s’arrêter. Ce qui importait donc, c’était de convaincre le gouvernement que ce sauvetage était faisable. Alors qu’on lui demande comment ils ont déterminé le chiffre de 7 milliards d’euros, Bowe se met à rire et il on l’entend dire sur l’enregistrement : « Comme Drummer [David Drumm, qui était alors le CEO de l’Anglo Irish Bank] le dirait lui-même, il est sorti de mon cul ».

 

« S’ils [la banque centrale] voient d’emblée l’énormité [des difficultés de la banque], ils vont peut-être décider qu’ils ont un choix à faire. Tu vois ce que je veux dire ? Ils pourraient dire que le coût pour le contribuable est trop élevé… Si ça ne semble pas trop important au début, assez pour être important, mais pas au point de tout remettre en cause, alors je pense que l’on a une chance. Je pense donc qu’il pourra être augmenté sournoisement », explique Bowe. « Ouais », répond Fitzgerald. « Ils mettent leur peau en jeu, et c’est ça, la clé ».

 

Dans l’enregistrement, on entend également Bowe et Fitzgerald rire ensemble en se disant qu’il serait irréaliste de croire que les prêts accordés à la banque pourraient être remboursés un jour.

 

« Pour la première fois, les contribuables peuvent avoir un aperçu exclusif des manigances banquières qui ont coûté sa souveraineté à l’Irlande », conclut amèrement le journal.


Source: http://www.express.be/business/fr/economy/un-chiffre-sorti-de-mon-cul-comment-les-cadres-de-langlo-irish-bank-ont-dupe-le-gouvernement-irlandais-pour-le-convaincre-de-se-porter-au-secours-de-la-banque/192230.htm


Selon le Monde, les contribuables du pays ont aujourd'hui la certitude d'avoir été "pigeonnés" par des financiers sans scrupule. En témoignent les conversations d'anciens dirigeants d'Anglo Irish Bank révélées par le quotidien Irish Independent, lundi 24 et mardi 25 juin. 

 

Les bandes, en écoute sur le site du journal, font état d'une conversation téléphonique entre une personne identifiée comme John Bowe, ancien chef du département des marchés de capitaux, et Peter Fitzgerald, ex-directeur de la banque de détail. Ainsi qu'un autre enregistrement entre M. Bowe et David Drumm, l'ancien directeur de l'établissement.


Entre deux éclats de rire et grossièretés, MM. Bowe et Fitzgerald confient avoir floué "la centrale", la Banque centrale, pour obtenir l'argent du sauvetage. " Un prêt relais, dit M. Bowe. Donc, donc... un relais jusqu'à ce que nous puissions vous rembourser. Ce qui veut dire jamais", poursuit-il sans réprimer un fou rire. Ces propos auraient été échangés le 18 septembre 2008, quelques jours après la faillite de la banque américaine Lehman Brothers. Une période où le monde financier était tétanisé par la crise des "subprimes". 


Le cynisme des dirigeants ne s'arrête pas là. Quand M. Fitzgerald demande à M. Bowe d'où vient ce chiffre de 7 milliards d'euros, il se voit répondre : "Comme dirait Drummer, [David Drumm], tout droit sorti de mon c...". 


Sur la seconde bande son dévoilée, l'ancien patron d'Anglo Irish, M. Drumm témoigne de la perversité de cette garantie. Sûr que les dépôts d'épargnants européens, notamment allemands, vont affluer sur l'île, il ricane tandis que M. Bowe entonne "Deutschland, Deutschland über Alles" (l'ancien hymne allemand). Il faut "récupérer ce p... d'argent", ajoute M. Drumm.

 

Source: http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/06/26/les-revelations-sur-le-sauvetage-en-2008-d-anglo-irish-font-scandale-en-irlande_3436795_3234.html

 

La Banque centrale d'Irlande étudie actuellement soigneusement les transcriptions diverses des conversations...


Deux des plus grands services de presse du monde, Reuters et Bloomberg, ont couvert le scandale. Le gouvernement irlandais est déterminé à mettre en oeuvre de nouvelles lois pour aider à lancer la première grande enquête sur les causes de la crise bancaire.

 

Source: http://www.independent.ie/business/irish/anglo/irish-blood-is-boiling-the-second-instalment-29372458.html

 

Remarque de Christ-roi. Cette histoire d'un enregistrement sorti du chapeau 5 ans après, et tombé miraculeusement entre les mains d'un journaliste, sent la manoeuvre destinée à dédouaner de toute responsabilité dans la crise de la dette les gouvernements impliqués dans le renflouement des banques en 2008, en jetant le discrédit sur des banquiers malhonnêtes alors que les gouvernements en place étaient complices. Rappelons-nous comment ils ont traité Chypre (blocus monétaire) quand le parlement de l'Île annonça le 19 mars 2013 qu'il refusait le "plan de sauvetage" de la troïka qui comprenait une taxe sur les dépôts bancaires.

 

Dans cette histoire, il y une double moquerie qui premièrement, consiste à dire qu'un gouvernement européen comme l'Allemagne de Merkel ne vaut pas mieux qu'une mère de famille qui se trompe en faisant ses comptes... Et deuxièmement, vu que nous-mêmes, nous disions ici en 2008 que ces plans de "recapitalisation" n'étaient que des plans de vols organisés en réunion et à grande échelle..., à combien plus forte raison ces gouvernements avec leurs outils de calcul... savaient-ils ce qui se passait et de quoi il en retournait ! Ou bien c'est qu'ils sont vraiment incompétents !...

 

 

- Goldman Sachs, La banque qui dirige le monde (Arte) (reportage d'Arte diffusé le 4 septembre 2012 et dont apparemment Angela Merkel n'était pas au courant...)

- Mario Draghi pourrait un jour se retrouver devant un tribunal international ou non (Jacques Sapir) (21 mars 2013)

- Banksters : le vol du siècle (14 octobre 2008)

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30 décembre 2009 3 30 /12 /décembre /2009 07:49

PARIS (NOVOPress) – Après six ans de séparation, le groupe de rock celtique irlandais a repris les chemins de la scène pour une grande tournée européenne. Pas moins de dix-huit concerts auront lieu en France. Entre le 1er mars (Lille) et le 14 avril (Amiens), le groupe se produira notamment à Saint-Herblain, près de Nantes (5 mars), Toulouse (8 mars), Lyon (21 mars), Paris (22 mars et 12 avril), Rennes (2 avril) ou Nice (10 avril).

La spécificité des Cranberries provient avant tout de la personnalité de sa chanteuse, Dolores O’Riordan, qui est aussi l’auteur de la plupart des textes du groupe. Pacifiste (comme dans Zombie ou Bosnia), elle est aussi une patriote irlandaise intransigeante (God be with you - Ndlr. "Dieu avec toi Irlande") et une fervente catholique qui n’hésite pas, avec The Icicle Melts, à pleurer le « bébé défunt », celui qui a été arraché, avant son terme, au ventre de sa mère. Elle est également l’interprète d’Ave Maria, chanson titre du film de Mel Gibson, La Passion du Christ.

En décembre 1994, elle avait accordé aux Inrockuptibles un entretien qui tranchait avec le discours habituellement tenu par les « pop stars ». A la question : « Parler comme le National Front, à 23 ans, ne vous dérange pas ? », Dolores O’Riordan avait répondu :
« Ça ne me pose aucun problème. Je me souviens de ces mots : “Œil pour œil, dent pour dent.“ Si je devais commettre un crime un jour, j’accepterais volontiers la peine de mort. Il est temps que les choses soient reprises en main sur cette planète, que le crime soit puni à sa juste valeur. Si on perdait moins de temps avec les criminels, on pourrait s’occuper des vrais problèmes, comme les famines. Je suis sur cette terre pour aider les autres, car il y aura un Jugement dernier. »
 

The Cranberries, c’est du rock engagé, agréable à écouter et qui, surtout, a su séduire le plus grand nombre grâce à ses qualités musicales. En attendant que les groupes français partageant le même engagement ne soient plus condamnés à jouer dans des caves ou des arrière-salles de bistrot, sachez qu’il reste encore des places pour les dix-huit « grand-messes » des Cranberries en France. Et pas forcément pour très longtemps…


Source : Novopress

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The Cranberries est un groupe engagé pro-vie, contre l'avortement, et pour la peine de mort pour les criminels et les pédophiles... Cela devient si rare..

Souvenir :

The Cranberries - 05 The Icicle Melts " Live In Paris "
Cettre chanson pleure le « bébé défunt », celui qui a été arraché, avant son terme, au ventre de sa mère..
 

The Cranberries - Linger
 

The Cranberries - 04 Ode To My Family " Live In Paris "

sans oublier le titre Zombie (live) dénonçant la guerre civile en Irlande

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. Augmentation de la pratique religieuse en Irelande
. God be with you Ireland

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27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 18:09

Alors que les medias "français" n'ont de cesse depuis trois quatre jours de répéter en boucle, avec des titres différents un jour après l'autre, le scandale des prêtres pédophiles en Irelande, une autre information nous venant d'Irelande semble moins les concerner.

Tout récemment, un sondage de l'institut Iona a signalé que la pratique religieuse y a vait fortement augmenté en 2009: désormais les deux tiers des Irlandais assistent au Saint-Sacrifice au moins une fois par mois, contre 54% l'année dernière!

Souhaitons que l'exemple irlandais soit largement repris!

- God be with you Ireland

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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 18:35


The Cranberries, God be with you Ireland


Ireland Music and Photos
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21 juillet 2009 2 21 /07 /juillet /2009 13:15
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18 mars 2007 7 18 /03 /mars /2007 20:34

18/03/2007 17:45

 

LONDRES, 18 mars 2007 (AFP) - Plusieurs milliers de personnes ont célébré dimanche la St Patrick à Londres

 

Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées dimanche en plusieurs endroits de la capitale britannique pour participer aux festivités organisées pour célébrer la Saint Patrick, le saint patron des Irlandais, a indiqué à l'AFP une porte-parole de Scotland Yard.

Mais c'est à Dublin que les festivités ont été les plus importantes. Selon un porte-parole de la police de la capitale irlandaise, environ 650.000 personnes ont pris part samedi aux festivités.

 

 

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