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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 17:25
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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 17:14

Depuis mars 2020, la France aura "connu une des plus longues périodes de son histoire dans un état d'exception, soit huit mois". 

 

Cet état d'exception est voué à se poursuivre six mois de plus, puisque finalement, le projet de loi prévoit de prolonger l'état d'urgence jusqu’au 1er juin 2021. (Vie publique)

 

 

Dans le cadre des discussions, la député Martine Wonner s'est opposé le 20 janvier à l'article premier du projet de loi autorisant la prorogation de l'état d'urgence sanitaire. 

 

"Un régime qui gouverne par la peur n'est plus légitime".

 

"Imaginons-nous devoir pouvoir organiser des élections présidentielles en 2022 alors que cet article 1er va nous permettre potentiellement de garder la France dans un état d'urgence qui ne permet pas un exercice normal des libertés publiques à seulement quatre mois du scrutin ?", a-t-elle demandé.

___________

Olivier Véran demande la poursuite de mesures sanitaires jusqu’à l’automne" 

 

Auditionné ce jeudi matin par la commission des lois du Sénat, le ministre de la Santé a dévoilé que "même avec la meilleure organisation et tous les approvisionnements qui arriveraient en temps et en heure, nous ne pourrions avoir vacciné tous les publics fragiles d’ici à l’été". Raison pour laquelle, "nous demandons la poursuite de mesures sanitaires jusqu’à l’automne".

Le texte sera au menu du Sénat en première lecture mercredi 27 janvier, en vue d’une adoption définitive avant le 16 février, date actuelle de fin d’application de ce régime d’exception. (PublicSénat / Tv Libertés)

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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 17:05

Morale: on ne stoppe pas une pandémie avec un "vaccin"! Surtout quand il y'a des molécules qui préviennent et qui soignent.

 

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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 16:46
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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 16:39
Il y a les endroits bien ventilés (trains, bus, métros) et les endroits mal ventilés (mers, montagnes, remontées mécaniques)
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21 janvier 2021 4 21 /01 /janvier /2021 10:59
Quelles prières le Bon Dieu exauce-t-il ?

À l'occasion des 150 ans de l'apparition  de Notre Dame à Pontmain, l'abbé Salenave rappelle comment nos prières sont exaucées : 

"Pourquoi nous plaignons-nous tous souvent de cette inefficacité de cette prière ? J'ai demandé à réussir à mes examens, et je n'ai pas réussi. J'ai demandé à gagner tel procès, je n'ai pas réussi. J'ai voulu telle chose et je ne l'ai pas obtenu ! J'ai fait neuvaines sur neuvaines et rien n'est venu. C'est parce que mes biens chers frères, ce que nous demandons n'est pas dans l'ordre des choses. C'est la première raison. Il ne s'agit pas simplement d'avoir la foi, il faut demander ce qui est bon au Bon Dieu. Par exemple, le corse qui demande de réussir dans sa vendetta - dans sa vengeance - : c'est une prière qui offense Dieu.

 

"Quand par exemple vous avez 800 candidats qui se présentent tous à un examen, si tous font la prière pour réussir à leurs examens, Dieu est-il tenu de faire que les 800 réussissent à leurs examens ? Nous voyons bien qu'il y a quelque chose d'indécent. La prière de ces 800 candidats pour un examen, même si elle est entendue de Dieu, ne peut pas être exaucée comme ces candidats l'exigent. Le Bon Dieu est-il tenu de faire réussir aux examens ceux qui son paresseux et ceux qui n'ont pas travaillé ? Non. Cela irait contre sa justice.

 

"Souvent, ce que nous demandons à Dieu, ce sont des miracles. Nous demandons par exemple la guérison d'un malade, alors que l'organisme est déjà arrivé en bout de course. nous demandons à être préservé d'un accident alors que la personne conduit mal. Nous demandons que le train ne déraille pas alors que tous les rails sont dévissés. La Providence pourrait faire ces miracles - elle le fait dans certaines circonstances, on le voit à Lourdes par exemple avec des miracles de guérisons -, mais elle n'est pas tenue de détruire l'ordre de sa Providence, l'ordre normal de la Providence pour faire que tous les malades guérissent. Cela serait une aberration, une anarchie. Imaginez par exemple que toutes les prières seraient exaucées : on aurait des gens de l'âge de Mathusalem, de 800 ans.

 

"Une prière ne peut pas être exaucée lorsqu'elle va contre la loi générale établie par la Providence. Il y a des lois naturelles que Dieu n'est pas tenu de suspendre. Sinon cela s'appelle un miracle. Et Dieu n'est pas tenu de faire tout le temps des miracles à chacune de nos prières.

"Par contre la prière dont on est sûr qu'elle sera exaucée, c'est la prière qui concerne les véritables biens spirituels, l'obtention des biens éternels. Préservez-nous du péché : oui, cette prière sera exaucée. Donnez-nous le Ciel : oui, cette prière sera exaucée. Les progrès de la vertu, c'est la loi du rachat des âmes.

"C'est ce que dit l'apôtre saint Jean, lorsque nous prions selon l'ordre de la volonté de Dieu, Il nous écoute et Il nous exauce." (1 Jn 5,14) Il faut méditer cette phrase pour mériter notre salut éternel.

Voici l’assurance que nous avons auprès de Dieu : si nous faisons une demande selon sa volonté, il nous écoute.

1 Jn 5,14

"Et c'est la raison de l'Incarnation de Notre-Seigneur. Pourquoi Notre-Seigneur est-il venu sur Terre ? Judas, pourquoi a-t-il trahi Notre-Seigneur ? Parce qu'il voulait avoir une sorte de reconnaissance sociale avec Notre-Seigneur Jésus-Christ. Et quand il a vu que non, Notre-Seigneur se laissait crucifier, prêchait l'humilité et les vertus (nous montrait l'exemple à suivre. NdCR.), il a été déçu.

"Et alors que notre Dieu est venu sur Terre, s'est incarné, a souffert et a été crucifié à mort, vous voyez qu'il serait aberrant que nous demandions sans cesse dans nos prières le plaisir et la joie terrestre sans raison. C'est une injure à la grandeur de Dieu. Et c'est ce que ne comprennent pas nos contemporains aujourd'hui : ils veulent la santé, ils veulent le vaccin, parce qu'ils oublient que leur finalité c'est d'abord de posséder le Bon Dieu, donc de connaître la vérité, de l'aimer et d'aller au ciel.

"Priez Dieu. Il vous aidera à trouver le chemin de la sainteté. Il ne va pas forcément vous donner des choses terrestres, comme réussir aux examens. Il vous donnera ce qui est essentiel. Il vous donnera la sainteté.

"Donc, mettons-nous cela à l'esprit, le matin quand nous nous levons, la journée, quand nous travaillons : quels sont les véritables biens pour lesquels je travaille ? Les biens éternels. Tous les autres biens (terrestres) disparaîtront.

"C'est ce que dit Saint Grégoire :   

Réfléchissez donc bien, et voyez si vous priez au Nom de Jésus. Ce n'est pas Jésus que vous demandez dans la demeure de Jésus lorsque dans l'Église, vestibule de l'éternité, vous demandez avec importunité des biens temporels. L'un prie pour obtenir un mariage avantageux, un autre pour obtenir un château, celui-ci demande de beaux habits. Celui-là demande le pain de chaque jour. Ô sans doute, quand ces biens vous manque, sollicitez-les du Dieu Tout-Puissant. Mais n'oubliez pas le commandement du maître : 'Cherchez avant tout le Règne de Dieu et la justice de Dieu (et tout le reste vous sera donné de surcroît.' Matthieu 6,33).

Donc oui, la prière est infaillible. Dieu est un père. Mais pour être efficace cette prière doit être dans l'ordre général établi par la Providence. Et quand elle s'en écarte, ce n'est plus une prière. C'est une désobéissance à la volonté de Dieu, et de fait, elle perd tout ses droits.

"C'est pourquoi les prières des musulmans, les prières des bouddhistes ne valent rien, parce qu'elle ne sont pas dans l'ordre des choses, et elles sont même une offense à Dieu, à la Trinité sainte.

"Donc par exemple, pour nos enfants, ayons surtout la crainte de leurs biens éternels. Et ainsi, ils obtiendront les travaux, le métier, les relations qui seront en conformité avec leurs biens éternels.

"Quand vous faites des sacrifices pour vos enfants pour leurs biens éternels, Dieu vous aide temporellement.

 

"Donc, il y a une imprudence grave à demander des biens dans ce monde sans restriction, sans réserve. C'est comme si on voulait le forcer. C'est ce que dit saint Augustin :

Il est à craindre que sa colère ne nous accorde ce que sa miséricorde nous refuse.

"On peut l'obtenir, oui. Comme les protestants qui demandent la prospérité temporelle. Signe de la bénédiction divine. Oui, mais cela peut aussi être un signe de sa colère.

 

"Donc, prions avec confiance. Prions avec persévérance. Prions notre chapelet en famille. Prier sans jamais nous décourager.

 

"Si nous prions habituellement, jusqu'à la fin de notre vie, et cela c'est certain, c'est ce que dit saint Thérèse d'Avila - celui qui fait oraison tous les jours jusqu'au bout et qui tient dans la prière - nous échapperons certainement aux châtiments éternels.

 

"La vraie prière nous ouvrira les portes du Ciel. C'est ce que dit Notre-Dame de Pontmain:

Mais priez mes enfants, Dieu vous exaucera en peu de temps.

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20 janvier 2021 3 20 /01 /janvier /2021 18:23

Dans un communiqué du 13 janvier la Conférence des évêques de France appelle à quatre vendredi de jeûne et de prière (15 janvier, 22 janvier, 29 janvier et 5 février).

Bioéthique aveuglée : la Conférence des évêques de France appelle à quatre vendredi de jeûne et de prière

Dans le Document de la CEF vous trouverez les intentions de prière avec une synthèse de la Loi Bioéthique :

 

Le projet de loi révisant la loi de bioéthique revient bientôt devant le Sénat, en deuxième lecture. Le Gouvernement voudrait le faire aboutir sans retard. Ce projet de loi entraîne des risques graves pour notre société en bouleversant l’ordre de la filiation humaine, en ouvrant de fait un droit à l’enfant au lieu de défendre les droits de l’enfant, et en organisant sur les embryons humains des recherches qui ne respectent pas leur intégrité et qui n’ont pas pour première visée leur santé, mais plutôt une amélioration des succès de la technique de procréation médicalement assistée.

 

N’assistons-nous pas à un aveuglement diffus sur la dignité de tout être humain qui vient gratuitement à l’existence et qui doit être accueilli fraternellement ? Les évêques de France, réunis en assemblée plénière, ont souhaité appeler tous les catholiques ainsi que les hommes et femmes de bonne volonté à se tourner vers Dieu en priant et en jeûnant pour Lui demander la grâce de nous ouvrir les yeux à tous et d’être ensemble des artisans du respect de tous les êtres humains dès leur conception.

 

La Conférence des évêques de France (CEF) publie ce document préparé par son Groupe bioéthique afin d’aider chacun à vivre entre janvier et début février quatre vendredis (15, 22, 29 janvier et 5 février) de jeûne et de prière. Cette démarche spirituelle pourra se vivre chacun chez soi, seul ou en famille, ou, si les normes sanitaires le permettent, en communauté.

 

Avec un cœur paisible mais sans relâche, les catholiques souhaitent aider notre société française à être une société de l’amour et de l’espérance dans la vérité et le respect de la dignité humaine, sans quoi la fraternité prônée dans notre devise républicaine ne serait qu’illusion.

 

Jejomau le Forum Catholique

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20 janvier 2021 3 20 /01 /janvier /2021 13:23

En 1792 les "républicains" parlaient d'un "complot" des gens de Vendée contre la république, mais l'inverse ne pouvait être qu'une fake news !

Source: GloriaTv

Assassinat de Louis XVI : prémédité par la Franc-Maçonnerie en 1785. D’après « La Franc-Maçonnerie et la Révolution française » de Maurice Talmeyr, paru en 1904)

 

Quel a été, en 1789, en 1792 et en 1793, le rôle exact de la Franc-Maçonnerie dans la Révolution française ? s’interroge en 1904 l’historien et essayiste Maurice Talmeyr. Rapportant que la Franc-Maçonnerie consiste, dans un premier en temps et en apparence, surtout en bals, en banquets et en démonstrations de bienfaisance, il explique qu’il s’agit d’une simple façade, les philosophes des Lumières, et en tête Voltaire, s’appliquant méthodiquement à « maçonniser » les hautes classes de la société afin de préparer la Révolution et le renversement du régime monarchique, tandis qu’en 1785, un congrès de la Franc-Maçonnerie prémédite l’assassinat du roi Louis XVI...

Les documents authentiques, émanant de la Maçonnerie elle-même, ne peuvent pas, on le comprend, ne pas être rares sur le rôle exact de la Franc-Maçonnerie dans la Révolution française, écrit Maurice Talmeyr. Une société secrète ne serait pas une société secrète, si elle ne prenait pas le plus grand soin de cacher tout ce qui peut renseigner sur elle, et les témoignages positifs, là où par principe on les supprime, ne peuvent nécessairement pas abonder.

Néanmoins, si le véritable témoignage nous fait souvent ainsi défaut, il n’en est pas de même de certains faits, singulièrement saisissants, et qui en arrivent, rapprochés les uns des autres, à produire une lumière presque aussi probante que la lumière même des documents. Or ces faits-là sont innombrables, et la démonstration qui en résulte, c’est qu’il n’est peut-être pas une seule des grandes journées de la Révolution qui n’ait pas été, plus ou moins longtemps à l’avance, machinée et répétée dans les Loges, comme on répète et comme on machine une pièce dans un théâtre...

 

Suivez donc avec un peu d’attention les faits qui vont vous être exposés, et vous verrez, comme de vos yeux, tout un grand pays violemment transformé, par la plus évidente des conspirations, en une immense et véritable Loge. Vous le verrez jeté par force dans toute une succession d’épreuves maçonniques graduées, dont les premières dissimulaient soigneusement le secret final, mais dont la dernière, dès le début, avait toujours dû être le meurtre du roi, pour aboutir au but suprême et caché, c’est-à-dire à la destruction de la nationalité elle-même !

 

Avant d’en arriver aux faits particuliers, nous constaterons d’abord un grand fait général, c’est que l’histoire de la Révolution a toujours joui, jusqu’ici, du privilège singulier d’être acceptée comme histoire, sans que personne, au fond, l’ait jamais expliquée. D’après les documents les moins niables, et contrairement à une légende audacieusement fabriquée, la nation française, comme masse populaire, en dehors d’une certaine noblesse, d’un certain clergé et d’une certaine bourgeoisie, était alors profondément catholique et royaliste.

 

Au moment même où on massacrait les prêtres, où l’on détruisait avec le plus de rage tout ce qui était de la Religion traditionnelle, on avait dû renoncer à interdire les processions dans Paris, où le peuple, comme l’établissent aujourd’hui les témoignages les plus précis, obligeait, en pleine Terreur, les patrouilles de sectionnaires à rendre dans la rue les honneurs au saint Sacrement.

 

Taine, dans La conquête jacobine, explique qu’alors, si un prêtre portant le viatique passe dans la rue, on voit la multitude « accourir de toutes parts pour se jeter à genoux, tous, hommes, femmes, jeunes et vieux, se précipitant en adoration ». Le jour où la châsse de Saint-Leu est portée en procession rue Saint-Martin, « tout le monde se prosterne : je n’ai pas vu, dit un spectateur attentif, un seul homme qui n’ait ôté son chapeau. Au corps de garde de la section Mauconseil, toute la force armée s’est mise sous les armes. » En même temps, « les citoyennes des Halles se concertaient pour savoir s’il n’y aurait pas moyen de tapisser. Dans la semaine qui suit, elles obligent le comité révolutionnaire de Saint-Eustache à autoriser une autre procession, et, cette fois encore, chacun s’agenouille ».

 

Quant au culte envers le prince, poursuit Talmeyr, il se prouve par les manifestations mêmes dirigées contre sa personne. Pendant deux ans, la Révolution se fait au cri de Vive le Roi ! Ensuite, la plupart même des hommes et des femmes d’émeute, soldés pour outrager le souverain, sont tout à coup ressaisis, en face de lui, de l’insurmontable amour de leur race, pour le descendant de ses monarques. Toute leur exaltation, en sa présence, tourne, comme en octobre 1789, en respect et en tendresse.

 

Que voit-on, au retour de Varennes, pendant que la famille royale prend son repas ? On voit le député révolutionnaire Barnave se tenant respectueusement debout derrière le roi, et le servant comme un valet de chambre ! Et ce sentiment catholique et royaliste, presque général à cette époque, se confirme, de façon certaine, par les chiffres mêmes des élections. Dès 1790, les ennemis de la Religion et de la Monarchie ne sont plus élus partout que par le dixième, puis par le quinzième, puis par le vingtième des électeurs. Taine constate, à Paris, aux assemblées primaires de 1791, un an déjà avant le 10 août, plus de soixante-quatorze mille abstenants sur quatre-vingt-un mille deux cents inscrits !

 

N’est-il pas rigoureusement vrai, en conséquence, que la Révolution, considérée comme mouvement national, ne peut pas s’expliquer ? On comprend une nation comme l’Amérique, chez qui la domination anglaise est impopulaire, et qui s’en débarrasse. On ne comprend pas une nation qui a la Religion et la Monarchie dans le sang, qui les veut, qui ne veut qu’elles, et qui les renverse avec fureur. Et cette Révolution-là est tellement inexplicable que tous les historiens, quels qu’ils soient, renoncent, en réalité, à l’expliquer, car les explications par la « fatalité », la « Providence », la « force des choses », le châtiment divin, ou l’ « anarchie spontanée », les seules qu’on nous ait encore données, ne sont pas des explications.

 

Plus loin, notre essayiste s’interroge : où en était, au dix-huitième siècle, la Franc-Maçonnerie en France ? Elle y daterait, exactement, d’après ses propres annuaires, de soixante-quatre ans avant la Révolution, de 1725, et ses deux premiers grands maîtres auraient été deux Anglais, lord Derwentwater, et lord Harnouester. Elle est ensuite présidée par un grand seigneur français, le duc d’Antin, puis par un prince du sang, Louis de Bourbon, comte de Clermont, puis, de 1771 à 1793, par le duc de Chartres, plus tard duc d’Orléans, et, plus tard encore, Philippe-Égalité (père de Louis-Philippe, roi des Français de 1830 à 1848).

 

Comme en témoigne la liste de ses grands maîtres, la Franc-Maçonnerie, dans la période immédiatement antérieure à la Révolution, ne cesse pas de suivre, malgré ses crises, une marche ascendante rapide. Elle devient à la mode, finit par faire fureur et le Grand Orient en arrive à créer ces fameuses Loges d’adoption où les femmes étaient admises. Les récipiendaires femmes, nous apprend M. d’Alméras, auteur d’une histoire de Cagliostro, et qui ne semble l’ennemi ni de Cagliostro, ni des Loges, sont des « actrices, des danseuses, des bourgeoises ou des grandes dames sans préjugés ».

 

Alors, en résumé, la Franc-Maçonnerie, au moins en apparence, consiste surtout en bals, en banquets, en démonstrations de bienfaisance. En 1775, la duchesse de Bourbon recevait le titre de grande maîtresse de toutes les Loges d’adoption de France, le duc de Chartres l’installait lui-même dans ce pontificat féminin, au milieu de fêtes magnifiques, et on faisait une quête, à la fin du banquet, en faveur « des pères et mères retenus en prison pour n’avoir pas payé les mois de nourrice de leurs enfants ».

 

Telle est, pendant toute cette période, la façade de la Franc-Maçonnerie. Elle est à la fois somptueuse et amusante, avec la promesse d’un mystère, probablement inoffensif, et peut-être même agréable, à l’intérieur de la maison. Sous prétexte de philanthropie, on s’y divertit énormément. On s’y mêle entre gens de la bonne société et de la moins bonne, dans l’illusion d’une égalité sociale qui ne manque pas toujours de piment. On se donne la sensation d’une vie en double où l’on s’appelle de noms de guerre, en échangeant des mots de passe. On se procure le petit frisson d’attendre quelque chose de secret qui sera peut-être défendu.

 

On joue en grand, en un mot, à ces jeux innocents qui ne le sont pas toujours, et un prodigieux enjouement jette toute la société dans ce jeu-là. Les plus honnêtes gens s’en mettent, et Marie-Antoinette écrit, à cette époque, à Mme de Lamballe : « J’ai lu avec grand intérêt ce qui s’est fait dans les loges franc-maçonniques que vous avez présidées, et dont vous m’avez tant amusée. Je vois qu’on n’y fait pas que de jolies chansons, et qu’on y fait aussi du bien. »

 

N’existait-il donc, cependant, aucun motif de se méfier ? Si, et certains Etats, dès le milieu du dix-huitième siècle, chassaient assez rudement ces francs-maçons qui s’attachaient en France, avec une si extraordinaire activité, à amuser les Français, à les faire danser, à chatouiller leur frivolité. Le pape Clément XII, en outre, avait lancé contre eux une bulle assez suggestive, dans laquelle il les comparait « aux voleurs qui percent la maison ». On pouvait donc, dès ce moment-là, ne pas déjà voir dans les Loges de simples lieux d’amusements, comme la malheureuse Marie-Antoinette.

 

Une société « maçonnisée », c’est donc bien celle qui précède immédiatement la Révolution. Elle s’est « maçonnisée » pour s’amuser, mais elle s’est « maçonnisée ». C’est l’atmosphère en dehors de laquelle il ne faut pas même essayer de voir cette époque, sous peine de n’en rien voir de vrai. Et Talmeyr d’expliquer que le « maçonnisme », dès trente ou quarante ans avant 1789, est si bien déjà devenu l’ambiance générale, que les philosophes, en réalité, ne répandent pas simplement leur philosophie par leurs écrits, mais se conjurent maçonniquement pour la répandre, et dans le sens rigoureux du mot...

 

Ecoutez Voltaire dans sa correspondance : « Il faut, écrit-il, agir en conjurés, et non pas en zélés... Que les philosophes véritables fassent une confrérie comme les Francs-Maçons... Que les mystères de Mithra ne soient pas divulgués... Frappez, et cachez votre main... »

 

En 1789, entre les atrocités de la prise de la Bastille et celles des massacres d’octobre, un certain Leroy, lieutenant des chasses royales, s’écriait avec des sanglots, lors d’un dîner qui avait lieu chez d’Angevilliers, intendant des Bâtiments du Roi : « J’étais le secrétaire du Comité à qui vous devez cette Révolution et j’en mourrai de douleur et de remords !... Ce Comité se tenait chez le baron d’Holbach... Nos principaux membres étaient d’Alembert, Turgot, Condorcet, Diderot, La Harpe, et ce Lamoignon qui s’est tué dans son parc !... La plupart de ces livres que vous avez vus paraître depuis longtemps contre la religion, les mœurs et le gouvernement étaient notre ouvrage, et nous les envoyions à des colporteurs qui les recevaient pour rien, ou presque rien, et les vendaient aux plus bas prix... Voilà ce qui a changé ce peuple, et l’a conduit au point où vous le voyez aujourd’hui... Oui, j’en mourrai de douleur et de remords... »

 

Les lettres de Voltaire en date de mars 1763 confirment ces faits : « Pourquoi les adorateurs de la raison, écrivait-il alors à Helvetius, restent-ils dans le silence et dans la crainte ? Qui les empêcherait d’avoir chez eux une petite imprimerie et de donner des ouvrages utiles et courts dont leurs amis seraient les seuls dépositaires ? C’est ainsi qu’en ont usé ceux qui ont imprimé les dernières volontés de ce bon et honnête curé Meslier... » Et il ajoute : « On oppose ainsi, au Pédagogue chrétien et au Pensez-y bien, de petits livres philosophiques qu’on a soin de répandre partout adroitement. On ne les vend point, on les donne à des personnes affidées qui les distribuent à des jeunes gens et à des femmes... »

 

 

En réalité, poursuit Maurice Talmeyr, la conjuration philosophique n’avait que très peu perverti le peuple, et par une excellente raison, c’est que le peuple ne savait pas lire. Elle avait surtout empoisonné les hautes classes. Mais cette philosophie qui est une conjuration, et qui machine, dans le mystère, avec des masques et des trahisons, l’application de ses préceptes, n’est-elle pas, pour une époque, toute une caractéristique ?

 

Notre essayiste rapporte la tenue à Wilhelmsbad (Allemagne), en 1781, d’un grand congrès de la Franc-Maçonnerie universelle, où les délégations arrivaient en masse, de France, de Belgique, de Suède, d’Italie, d’Angleterre, d’Espagne, d’Amérique, de tous les points du globe ! Est-il exact, comme on l’a dit, qu’on ait arrêté, dix ans d’avance, dans cette tenue de Wilhemsbad, la mise à mort de Louis XVI et presque toute la Terreur ? On peut affirmer, dans tous les cas, que, trois ans plus tard, la mort du roi de Suède et celle de Louis XVI étaient décidées dans une tenue de Francfort, en 1785, comme l’atteste une lettre du cardinal Mathieu, archevêque de Besançon :

 

« Il y a dans mon pays, écrit le cardinal Mathieu, un détail que je puis vous donner comme certain. Il y eut à Francfort, en 1785, une assemblée de Francs-Maçons où furent convoqués deux hommes considérables de Besançon, qui faisaient partie de la Société, M. de Reymond, inspecteur des postes, et M. Maire de Bouligney, président du Parlement. Dans cette réunion le meurtre du roi de Suède et celui de Louis XVI furent résolus. MM. de Reymond et de Bouligney revinrent consternés, en se promettant de ne jamais remettre les pieds dans une Loge, et de se garder le secret. Le dernier survivant l’a dit à M. Bourgon... Vous avez pu en entendre parler ici, car il a laissé une grande réputation de probité, de droiture et de fermeté parmi nous. Je l’ai beaucoup connu, et pendant bien longtemps, car je suis à Besançon depuis quarante-deux ans. »

 

Ce qu’on sait aussi, et avec certitude, c’est que la réunion de Wilhemsbad avait un épilogue dans le genre des révélations désespérées du malheureux M. Leroy. Le comte de Virieu, sur qui les Illuministes avaient cru pouvoir compter, et qui avait fait partie de la délégation française, revenait terrifié du Congrès, déclarait quitter la secte, et disait au baron de Gilliers : « Je ne vous révélerai pas ce qui s’est passé ; ce que je puis seulement vous dire, c’est que tout ceci est autrement sérieux que vous ne pensez. La conspiration qui se trame est si bien ourdie qu’il sera pour ainsi dire impossible à la Monarchie et à l’Église d’y échapper. »

 

Enfin, c’est également encore à cette époque que l’écrivain Cazotte, qui avait appartenu aux Illuministes français (alliés à la Franc-Maçonnerie), faisait un soir, dans un dîner, cette soi-disant prophétie dont la réalisation devait, évidemment, comporter une part de coïncidence, mais qui était aussi, avant tout, comme celles de Cagliostro, et sans aucun doute possible, de l’information anticipée. Il disait aux convives qui s’en amusaient beaucoup, trois ou quatre ans avant 1789 :

 

« Vous, Monsieur Bailly, et vous, Monsieur de Malesherbes, vous mourrez sur l’échafaud... Vous, Madame, on vous conduira en charrette, les mains liées derrière le dos, à la place des exécutions. — Mais, Monsieur le prophète, lui répondait en riant la duchesse de Grammont, ne me laisserez-vous pas au moins un confesseur ? — Non, Madame, non, lui répondait Cazotte énigmatique, non, vous n’en aurez pas, et le dernier supplicié qui en aura un, ce sera le roi !... », rapporte Louis Blanc dans son Histoire de la Révolution française.

 

Source: La France pittoresque

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20 janvier 2021 3 20 /01 /janvier /2021 08:05

Dans un tweet, Martine Wonner, médecin psychiatre, députée Libertés et Territoires, demande : "Combien de personnes doivent décéder encore, avant que @Sante_Gouv décide de suspendre la #vaccinationCovid ?"

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19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 21:08
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19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 20:47

Sidney Powell a publié un classeur de 270 pages de documents qui prouvent hors de tout doute raisonnable que l’ingérence étrangère directe et la fraude ont entaché l’élection présidentielle du 3 novembre.

 

L’illusion de la victoire de Joe Biden était basée sur des bulletins de vote frauduleux et des programmes informatiques. Le président Donald Trump a été le véritable vainqueur de l’élection. La fraude électorale a été orchestrée par des États socialistes étrangers, dont entre autres la Chine.

Source: Pdf à télécharger de 270 pages. MirastNewsLes Observateurs 

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19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 20:39
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19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 20:36
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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 20:26
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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 20:14
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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 20:02

Hervé Guihard dénonce une absence de concertation de la part du gouvernement alors que la mesure est en vigueur depuis samedi sur tout le territoire métropolitain.

 

le maire de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), Hervé Guihard, l'assure : dans sa commune, "on ne va rien changer". Il s'explique, samedi sur franceinfo : "On va continuer à ouvrir les écoles, les crèches, les centres de loisirs, les centres d'accueil jusqu'aux horaires classiques. Parce que sinon, ce sont toujours les plus défavorisés qui trinquent." (Franctvinfo)

 

Lire l'étude de Stanford qui confirme les propos du maire de Saint Brieuc et que nous avons traduit, ainsi que les déclarations d'un des co-auteurs de l'étude de Stanford, le Dr. Jay Battacharya : "Les confinements ont protégé les riches, les personnes qui peuvent travailler à domicile sans perte de revenus, ils n'ont pas protégé tous les autres." (Info NTD)

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 19:54
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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 18:54
Alerte : hécatombe dans les EHPAD et accélération de la vaccination des personnes trisomiques

On est le 18 janvier 2021. Dans Nice-Matin, en couverture, on nous dit qu'il y a une hécatombe dans les Ehpad, parmi les personnes très âgées. 

À Nice, exactement là où le maire a demandé une campagne agressive de vaccination "pour tout le monde le plus vite possible", pour "rentrer sur la vaccination généralisée". "L’heure n’est pas à la polémique. ... Le gouvernement fournit maintenant des vaccins à un rythme acceptable, on vaccine", a déclaré au Figaro, mercredi 13 janvier, le maire de Nice Christian Estrosi.

 

Résultat : on dénombre 50 morts du Covid-19 en trois jours sur la Côte d'Azur.

 

Georgia Pouliquen a pensé à la seconde guerre mondiale et aux mêmes catégories de personnes qui étaient pourchassées durant la Seconde guerre mondiale, les handicapés, les personnes âgées, et les personnes vulnérables qui ne sont pas en état de donner leur consentement libre et éclairé, qui ne connaissent pas les conséquences - et personne ne les connaît - de ces soit-disant vaccins qui ne sont en réalité, selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude que des thérapies géniques. Cf. Voir la dernière video censurée hier de Alexandra Henrion-Caude. Puisque aucune étude n'a encore présenté les effets secondaires (pour les confinements il aura fallu attendre plusieurs mois pour voir sortir l'étude de l'Université de Stanford démontrant que les confinements n'ont aucune effet significatif sur la réduction de Covid-19).

 

"Donc on est allé beaucoup trop vite. Mais ce qui pose problème, c'est la cible de ces vaccins. On ne doit pas fermer les yeux, on me pardonnera la comparaison, mais cette catégorie de personnes visées par le vaccin est exactement la même que celle des personnes qui ont été exterminées par les nazis durant la Seconde guerre mondiale.

 

"La comparaison pose question. La volonté d'accélérer pose question. les chiffres des décès post vaccination en Norvège" (posent question). Va-t-on encore longtemps fermer les yeux sur ce qui est en train de se passer ? Je rappelle qu'il y a des gens qui ont longtemps fermer les yeux pendant la Seconde guerre mondiale pendant qu'on exterminait des gens de ces mêmes catégories", explique justement Georgia Pouliquen. 

 

"Je rappelle les mots de Sophie Marceau sur le film Hold-up, lorsqu'elle a fait ce message sur instagram : 'Ils nous appellent inutiles !' "

https://www.nicematin.com/sante/covid-19-cinquante-morts-supplementaires-recenses-en-trois-jours-dans-les-ehpad-de-la-cote-dazur-631580

https://www.nicematin.com/sante/covid-19-cinquante-morts-supplementaires-recenses-en-trois-jours-dans-les-ehpad-de-la-cote-dazur-631580

https://www.nicematin.com/sante/les-maisons-de-retraite-des-alpes-maritimes-payent-un-lourd-tribut-a-la-pandemie-de-covid-19-632000

https://www.nicematin.com/sante/les-maisons-de-retraite-des-alpes-maritimes-payent-un-lourd-tribut-a-la-pandemie-de-covid-19-632000

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-pourquoi-les-personnes-atteintes-de-trisomie-21-seront-vaccinees-a-partir-de-lundi_4257565.html

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-pourquoi-les-personnes-atteintes-de-trisomie-21-seront-vaccinees-a-partir-de-lundi_4257565.html

"Rappelons les mots de Macron "au début de son mandat, allant dans une gare et croisant des gens : 'il y a les gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien.' Vous comprenez ?"

Alerte : hécatombe dans les EHPAD et accélération de la vaccination des personnes trisomiques

"Des gens qui ne sont rien". Ca, c'était aussi des mots qui étaient utilisés pendant la Seconde guerre mondiale

 

Il faut lancer l'alerte là-dessus absolument ! Les personnes les plus fragiles et qui ne sont pas en état de donner leur consentement libre et éclairé sont les cibles de ce vaccin.

 

Cela rappelle la Seconde guerre mondiale. On ne peut pas fermer les yeux.

 

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Et partagez cette information. Il faut absolument faire quelque chose. Merci.

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 16:16

Tim Brown 18 janvier 2021

Alors que la désobéissance civile se développe non seulement aux États-Unis mais dans le monde entier, c'est un rappel important des moments incroyables de l'histoire où les hommes se sont opposés à la tyrannie.

 

Lawrence W. Reed de la Fondation pour l'éducation économique nous rappelle 11 des actes de désobéissance civile les plus mémorables de l'histoire.

 

La «désobéissance civile» suscite une gamme de réactions lorsque les gens entendent le terme. Certains grimacent instinctivement, la considérant comme antisociale ou subversive.

 

D'autres, comme moi, veulent en savoir plus avant de juger. Qu'est-ce qui pousse quelqu'un à s'y engager? Qui sera affecté et comment? Qu'est-ce que la personne «désobéissante» espère accomplir? Existe-t-il des actions alternatives qui pourraient être plus efficaces?

 

Un de mes premiers souvenirs d'enfance était un acte de désobéissance civile. Ma famille résidait près de Beaver Falls, en Pennsylvanie, à environ 18 km de la ville frontalière de l'Ohio de Negley. À l'époque, la Pennsylvanie interdisait l'introduction et la vente non autorisées de lait de l'Ohio. Lors de nombreux samedis de la fin des années 50 et du début des années 60, mon père et moi nous rendions à Negley et remplissions la banquette arrière de notre voiture avec du lait bon marché. Pendant le trajet de retour à la maison, il m'a averti de "garder couvert et de ne rien dire si les flics nous arrêtent".

 

Pour moi, la contrebande de lait était une aventure passionnante. C'était carrément excitant de se soustraire à une loi stupide tout en gardant un œil sur un flic qui n'aurait peut-être rien de mieux à faire que de démanteler quelques marchands laitiers notoires. Je sais que mon père a gagné quelques dollars en revendant le lait à des voisins heureux. Nous n’avons jamais eu de regrets ni de douleurs de conscience pour avoir commis ce crime sans victime. Nous soutenions simplement une cause que même Abraham Lincoln aurait peut-être soutenue lorsqu'il déclara: "La meilleure façon de faire abroger une mauvaise loi est de l'appliquer strictement."

 

Les représentants du gouvernement détestent la désobéissance civile parce que c'est la façon d'un citoyen mécontent de lever le nez. Si nous ne sommes pas satisfaits des lois ou des politiques stupides, destructrices, corrompues, contre—productives, inconstitutionnelles ou indéfendables, ils nous conseillent de faire la chose “démocratique” - ce qui signifie espérer le meilleur lors d'une élection future, se présenter en ligne pour être condescendu à une audition publique ennuyeuse, ou tout simplement se taire.

 

Mon expert en la matière n’est ni un politicien, ni un prédicateur, ni un universitaire. C'est Henry David Thoreau, qui a demandé : "Le citoyen doit-il jamais pour un moment, ou dans une moindre mesure, démissionner de sa conscience au législateur? Pourquoi chaque homme a-t-il alors une conscience? Je pense que nous devons d'abord être des hommes, et des sujets ensuite."

 

Si le choix est l'obéissance ou la conscience, je fais de mon mieux pour choisir la conscience.

 

Historiquement, la désobéissance civile - le refus de se conformer à une loi ou à un commandement d'une autorité politique - est extrêmement courante. Parfois, elle est calme et largement invisible. D'autres fois, elle est bruyante et publique. Pour qu'un acte soit un acte de désobéissance civile, il doit être accompagné d'objections de principe ou philosophiques à une loi ou à un ordre (pour exclure des actes tels que le simple vol, la fraude, etc.).

 

Certains théoriciens politiques soutiennent que pour être qualifié de désobéissance civile, un acte doit être pacifique; d'autres autorisent la violence dans leur définition du terme. Les révolutions sont certainement des actes de désobéissance, même si, du fait qu'elles ont tendance à s'accompagner de violence, elles ne sont souvent pas très "civiles". En tout état de cause, la violence indéfendable de cette semaine à Washington ne doit pas nous aveugler sur l’histoire très honorable d’une véritable désobéissance civile et ses motivations plus élevées.

 

Voici une courte liste de ce que j'appelle «de grands moments de désobéissance civile». Il n'y a pas d'ordre particulier autre que chronologique, et je ne dirais même pas que ce sont tous parmi les «meilleurs» exemples de l'histoire. Ils sont, au moins, matière à réflexion intéressante. Voyez combien d'entre eux vous pourriez approuver.

 

1. Défier un pharaon dans l'Égypte ancienne

Le premier chapitre du livre de l'Exode de l'Ancien Testament fournit ce qui est probablement le plus ancien exemple enregistré de désobéissance civile. Cela remonte à environ 3 500 ans. Deux sages-femmes en Égypte, nommées Shiphra et Pouah, ont désobéi à l'ordre du pharaon de tuer tous les bébés hébreux mâles à la naissance. Lorsqu'elles ont été appelées à rendre des comptes, elles ont menti pour couvrir leurs traces. Le récit de l'Exode dit que leur défiance a plu à Dieu, qui les a récompensées pour cela. Donc, quiconque dit que Dieu est toujours du côté des politiciens doit lutter contre cet exemple, ainsi que le suivant.

 

2. La représentation d'Antigone par Sophocle *

Le dramaturge Sophocle a écrit de nombreuses tragédies littéraires, dont l'une (bien que fictive) raconte l'histoire d'Antigone. Créon, le roi de Thèbes, tente de l'empêcher de donner à son frère Polynice un enterrement convenable. Antigone a déclaré que sa conscience était plus importante que n'importe quel décret royal. Elle a été condamnée à mort pour son mépris mais ne s'est jamais rétractée.

 

3. La Judée et le massacre des innocents

Le livre de Matthieu dans le Nouveau Testament révèle que lorsqu'on lui a dit qu'un Messie juif était né à Bethléem, le roi Hérode s'est senti personnellement menacé. Il a ordonné aux mages (les trois sages en visite) d'aller en ville, de trouver le bébé, puis de lui faire rapport. Comme nous le savons tous, les mages se sont effectivement rendus à Bethléem où ils ont présenté des cadeaux à Joseph, Marie et l'enfant Jésus, mais ils ont ensuite désobéi à Hérode et ont disparu. Dans un accès de colère, le roi ordonna alors l'exécution de tous les garçons de moins de deux ans dans les environs de Bethléem. Si Joseph et Marie et les autres qui les ont aidés n'avaient pas refusé de se plier, l'histoire du christianisme serait bien différente.

 

4. Robert Bruce défie un pape

En 1317, le pape a exigé que le roi Robert I d'Ecosse (mieux connu sous le nom de Robert Bruce) embrasse une trêve avec les Anglais lors de la première guerre d'indépendance écossaise. Pour son refus de suivre les ordres du pape, Robert a été excommunié. Les nobles écossais ont porté le défi de leur roi au niveau supérieur en 1320 dans une lettre connue sous le nom de Déclaration d'Arbroath. C'était la première fois dans l'histoire qu'un groupe organisé de personnes affirmait que c'était le devoir d'un roi de gouverner avec le consentement des gouvernés et le devoir des gouvernés de se débarrasser de lui s'il ne le faisait pas. "Ce n'est pas pour les honneurs, la gloire ou la richesse que nous combattons", déclarèrent- ils, "mais pour la liberté seule, à laquelle aucun homme bon ne renonce que par sa vie." Voir Sept siècles depuis William Wallace.

 

5. Le stand de Flushing pour les quakers

Le gouverneur Peter Stuyvesant des colonies hollandaises d'Amérique du Nord n'aimait pas les Quakers. En 1656, il a commencé à les persécuter et a exigé la participation des autorités locales. L'année suivante, les citoyens de Flushing (aujourd'hui Queens, New York) ont rédigé et signé un document connu sous le nom de Flushing Remonstrance. Comme je l'ai récemment écrit, ces braves gens ont essentiellement dit à Stuyvesant: "Vous nous commandez de persécuter les Quakers. Nous ne le ferons pas. Alors prends ton intolérance et mets-la là où le soleil ne brille pas." Le gouverneur a fermé le conseil municipal de Flushing et a arrêté certains des signataires du document, mais la Compagnie des Indes occidentales néerlandaises lui a finalement ordonné d'annuler sa politique de persécution.

 

6. Smashing Tea Party de Boston
Personne ne prend le thé comme les colons mécontents de Beantown. En 1773, le Parlement britannique a conféré à la Compagnie britannique des Indes orientales un monopole commercial sur le commerce du thé. Cela, ainsi que la "taxation sans représentation", a incité les Fils de la Liberté à organiser le célèbre Boston Tea Party, un événement organisé par Samuel Adams et d'autres patriotes américains. Sous le couvert de la nuit, les colons montèrent à bord d'un navire britannique et jetèrent sa cargaison de thé dans le port de Boston. Trois ans plus tard, la désobéissance civile avait évolué vers une Déclaration d'indépendance et une guerre ouverte entre la Grande-Bretagne et ses colonies américaines.

 

 

7. L'évasion audacieuse de Robert Smalls

Robert Smalls est né esclave en Caroline du Sud en 1839. Vingt-trois ans plus tard, lors d'une audacieuse évasion, lui et d'autres amis esclaves ont réquisitionné un navire de transport confédéré dans le port de Charleston. Ils l'ont fait passer devant les canons confédérés et se sont engagés dans l'étreinte du blocus de l'Union. Je partage cet exemple comme étant emblématique de la désobéissance civile historique de tous les esclaves en fuite, ainsi que du soutien courageux qu'ils ont reçu de la part d'autres personnes qui ont défié les lois sur les esclaves en fuite et leur ont apporté une aide vitale. Le combat pour la liberté des Noirs américains ne s'est pas terminé avec la guerre de Sécession. N'oublions pas ceux qui ont résisté aux lois Jim Crow, comme Rosa Parks. Elle a commis une désobéissance civile en refusant de céder son siège d'autobus à Montgomery, en Alabama.

 

 

8. Partout, aux États-Unis

De 1920 à 1933, l'Amérique s'est engagée dans la croisade quichotte à l'échelle nationale contre l'importation, la fabrication, le transport et la vente de boissons alcoolisées connue sous le nom de Prohibition. Les gens ont bu quand même. Les femmes, qui auparavant ne se présentaient presque jamais dans les bars, mangeaient maintenant dans les bars clandestins et les ruelles de tout le pays. Les hommes ont construit leurs propres alambics illégaux et se sont tirés dessus pour gagner des parts de marché. Les taux de criminalité ont grimpé en flèche. Les jurys ont souvent refusé de condamner des contrevenants évidents, et au moins un jury a bu la preuve avant de déclarer l'accusé innocent. Lorsque Woodrow Wilson a quitté la Maison Blanche en janvier 1921, il a emporté sa réserve d'alcool avec lui. Son successeur, Warren Harding, en a amené un autre. Au moment où tout a été aboli, les gens avaient vraiment besoin de la bonne boisson dure qu'ils buvaient depuis le début. (Voir Les ennemis de la prohibition.)

 

9. La fameuse marche du sel de Gandhi
En Inde, sous domination britannique, les entreprises britanniques jouissaient de privilèges de monopole. En 1882, la loi sur le sel a interdit aux Indiens de collecter ou de vendre le sel, un aliment de base. Le ressentiment contre la loi et la domination britannique en général a finalement donné lieu à la célèbre Marche du sel de Mohandas Gandhi en 1930. Un grand nombre d'Indiens ont suivi Gandhi dans une manifestation pacifique sur une distance de 240 miles jusqu'à la mer d'Arabie. Plus de 55 000 personnes ont été arrêtées, mais l'Inde a finalement obtenu son indépendance en 1947.

 

10. Le stand héroïque de Sophie et Hans Scholl

Sophie Scholl et son frère Hans étaient étudiants à l'Université de Munich lorsque, au plus fort du pouvoir d'Hitler en 1942, ils formèrent le Mouvement de la Rose Blanche. Par milliers, ils ont imprimé et distribué des tracts dénonçant la domination nazie et les atrocités contre les juifs. Ils ne se sont jamais livrés à la violence alors qu'ils s'efforçaient de saper le soutien au régime. Ils ont finalement été découverts, arrêtés, traduits en justice et décapités. Leur histoire est tristement mais joliment racontée dans le film de 2005, Sophie Scholl: Les derniers jours.

 

11. La "révolution du chant" en Europe de l'Est

L'"empire du mal" de l'Union soviétique s'est effondré au cours de l'année charnière de 1989, mais avant cela, les citoyens des États baltes jusqu'en Roumanie ont rendu la vie impossible pour les seigneurs communistes. En Estonie, la "Révolution chantante" a mis en musique une désobéissance civile généralisée. En Pologne, une clandestinité florissante a produit des marchés noirs massifs jusqu'à ce que le régime communiste déclare le pays "ingouvernable" et organise des élections libres. Lorsque le dictateur roumain Nicolae Ceausescu a envoyé des troupes pour arrêter un pasteur à Timisoara, des fidèles non armés ont appelé l'église pour le défendre. Les soldats ont refusé de tirer sur eux et la révolution roumaine était en cours; le dictateur était mort en un mois.

 

___________

 

Je vous demande maintenant, cher lecteur, où vous situez-vous à chacune de ces occasions historiques de désobéissance civile ? Personnellement, je peux dire que j'applaudis chacune d'elles, de tout cœur et sans réserve. Mais en tant qu'ancien contrebandier de lait, je suis peut-être partial.

 

Les sermons du prédicateur colonial américain, le révérend Jonathan Mayhew (1720-1766), sont à l'origine de la devise révolutionnaire "La résistance aux tyrans, c'est l'obéissance à Dieu".

Je voterais pour Mayhew en un instant - deux fois, si je le pouvais.

Aujourd'hui, plus que jamais, le monde lui-même est confronté à un assaut de tyrannie, comme nous n'en avons jamais vu auparavant.  Il appartient aux hommes et aux femmes de conviction et de principes moraux de s'opposer à la tyrannie, et c'est ce que nous ferons par la grâce de Dieu !  Ce que les morts-vivants nous ont appris sur l'Islam.

 

Article publié avec l'autorisation de Sons of Liberty Media

 

Source : Dcdirtylaundry 

___________

* Lire : Lorsque l’ordre institué par les mortels viole la loi de la nature, faut-il se soumettre au droit positif, fut-il inique ? L’ordre injuste et le réveil des consciences

Du devoir de résistance : Antigone, héroïne de la loi naturelle

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 08:02

12/07/20

 

The Defender

 

 

Cette étude s'ajoute à une liste croissante d'articles publiés à comité de lecture qui comparent la santé des enfants vaccinés à la santé des enfants non vaccinés. Ces études suggèrent que nous avons longtemps sous-estimé l'ampleur des effets néfastes des vaccins et que l'épidémie de maladies chroniques chez les enfants n'est guère un mystère.

 

Par

Alix Mayer, MBA

 

Les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que les enfants vaccinés, selon une nouvelle étude publiée dans l'International Journal of Environmental Research and Public Health. L'étude - "Incidence relative des visites de bureau et taux cumulatifs des diagnostics facturés le long de l'axe de la vaccination" - par James Lyons-Weiler, PhD et Paul Thomas, MD, a été menée auprès de 3300 patients du cabinet de pédiatrie du Dr Thomas Oregon, Integrative Pédiatrique.

 

Cette étude s'ajoute à une liste croissante d'articles publiés à comité de lecture ( Mawson, 2017 ; Hooker et Miller, 2020) qui comparent la santé des enfants vaccinés à la santé des enfants non vaccinés. Ces études suggèrent que nous avons longtemps sous-estimé l'ampleur des effets néfastes des vaccins et que l'épidémie de maladies chroniques chez les enfants n'est guère un mystère.

 

L'étude que le CDC a refusé de faire

 

Depuis 1986, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont légalement tenus de mener des études de sécurité et de publier un rapport de sécurité sur la vaccination des enfants tous les deux ans. En 2018, il était déterminé qu'ils ne l'avaient jamais fait. Il incombe donc aux groupes non gouvernementaux de faire le travail que le CDC refuse de faire.

 

En tant que principale organisation gouvernementale responsable de la vaccination chez les Américains, le CDC refuse de s'incriminer dans l'épidémie de maladie chronique infantile. C'est un cas classique du renard gardant le poulailler. Ils sont complices de la création d'un vide de preuves pour gérer délibérément la possibilité que le public se retourne contre la vaccination.

 

Étant donné que l'étude de Lyons-Weiler et Thomas démontre que les enfants vaccinés ont plus de maladies chroniques et étaient également plus susceptibles de contracter des infections respiratoires, ceux qui minimisent les risques liés aux vaccins seront envoyés dans une autre série de machinations apoplectiques pour tenter d'invalider les résultats.

 

[...]

 

Résultats de l'étude basés sur l'incidence relative des visites au cabinet

 

L'étude Lyons-Weiler et Thomas a été menée sur des dossiers de patients pédiatriques s'étendant sur 10 ans, issus de la pratique de Thomas dans l'Oregon. Au lieu d'utiliser les rapports de cotes des diagnostics dans les deux groupes, les auteurs ont constaté que l'incidence relative des visites au bureau était plus puissante. Même après avoir contrôlé l'exposition aux soins de santé, l'âge, les antécédents familiaux d'auto-immunité et le sexe, les associations de la vaccination avec de nombreux mauvais résultats pour la santé étaient solides.

 

Les enfants non vaccinés ont moins de fièvre, recherchent 25 fois moins de soins pédiatriques en dehors des visites d'enfants en bonne santé

 

L'étude a révélé que les enfants vaccinés de l'étude voient le médecin plus souvent que les enfants non vaccinés. Le CDC recommande 70 doses de 16 vaccins avant qu'un enfant n'atteigne l'âge de 18 ans. Plus un enfant de l'étude a reçu de vaccins, plus l'enfant a de la fièvre lors d'une visite au bureau.

 

[...]

 

Toute inquiétude selon laquelle les enfants non vaccinés ou moins vaccinés éviteraient le médecin est sans fondement et met en perspective la différence extrêmement grande des visites au cabinet - en dehors des visites d'enfants en bonne santé, les enfants qui ont reçu 90 à 95% des CDC -Les vaccins recommandés pour leur groupe d'âge étaient environ 25 fois plus susceptibles que le groupe non vacciné de voir le pédiatre pour un rendez-vous lié à la fièvre.

 

 

 

Par rapport à leurs homologues non vaccinés, les enfants vaccinés de l'étude étaient trois à six fois plus susceptibles de se présenter au cabinet du pédiatre pour un traitement lié à l'anémie, l'asthme, les allergies et la sinusite. Les graphiques frappants ci-dessous montrent les visites de bureau cumulées par âge pour diverses affections parmi les personnes entièrement vaccinées par rapport aux non vaccinées.

 

 

 

Pas de TDAH chez les non vaccinés

 

Dans une découverte étonnante qui ne manquera pas de secouer la communauté psychiatrique, pas un seul enfant non vacciné de l'étude n'a été diagnostiqué avec un trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention (TDAH), tandis que 0,063% du groupe vacciné a reçu un diagnostic de TDAH. Probablement en raison de la prise de décision de la dyade parent-médecin du plan favorable aux vaccins au cabinet du Dr Thomas, les taux globaux de TDAH et d'autisme dans la pratique étaient environ la moitié des taux trouvés dans la population générale des enfants américains.

 

[...]

 

Les vaccinés sont 70% fois plus susceptibles d'avoir une infection respiratoire

 

Les vaccinations semblent rendre les receveurs plus généralement vulnérables aux infections, il est donc ironique, mais pas surprenant que les enfants vaccinés dans l'étude se soient présentés au cabinet du médecin pour des infections respiratoires 70% plus souvent que les non vaccinés. Cette découverte explique probablement pourquoi les enfants vaccinés se présentent si souvent au pédiatre avec de la fièvre. Votre grand-mère avait raison lorsqu'elle a demandé pourquoi les enfants de nos jours semblent être malades tout le temps, malgré une forte vaccination.

 

Antécédents familiaux d'auto-immunité en corrélation avec une infection de l'oreille et des affections allergiques

 

Le Dr Yehuda Shoenfeld et d'autres ont décrit une maladie appelée syndrome auto-immun induit par des adjuvants (ASIA), où la génétique et les antécédents familiaux d'auto-immunité semblent prédisposer les patients vaccinés à des risques plus élevés de développer une maladie auto-immune. Dans cet esprit, les auteurs ont comparé les dossiers de patients de ceux ayant des antécédents familiaux de maladies auto-immunes - telles que la sclérose en plaques, le diabète de type I ou la thyroïdite de Hashimoto - à des patients dont les familles ne sont pas auto-immunitaires. Les résultats étaient frappants. La vaccination chez les enfants auto-immunitaires de leur famille semble augmenter le risque d'infection de l'oreille, d'asthme, d'allergies et d'éruptions cutanées par rapport aux non-vaccinés ayant des antécédents familiaux d'auto-immunité.

 

[...]

 

Conclusion

 

Étant donné que l'étude a révélé que le comportement de recherche de soins de santé ne pouvait pas expliquer les taux de vaccination, la seule explication restante de la raison pour laquelle les patients vaccinés ont besoin de plus de soins pour les symptômes de maladie chronique associés à la vaccination est que les vaccins ne sont pas seulement associés à des résultats défavorables pour la santé - ils sont également associés à plus effets indésirables graves et chroniques sur la santé. Rappelant que 54% des enfants et des jeunes adultes aux États-Unis ont des maladies chroniques qui conduisent à des prescriptions pharmaceutiques à vie, il semble que beaucoup de douleur et de souffrance humaines pourraient être réduites en adhérant à un choix éclairé concernant les vrais risques de la vaccination, et en tenant compte signes de sensibilité au vaccin.

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 08:02

Les usines françaises pourraient introduire des `` colliers de chien '' pour garder les travailleurs à distance physiquement

 

Source

L'image sélectionnée

Les colliers ou ceintures dont la direction d'Essity veut équiper ses effectifs émettraient un bruit ou un signal si deux ouvriers se rapprochent trop.

 

Fri Jan 15, 2021 - 4:12 pm EST

 

15 janvier 2021 ( LifeSiteNews ) - L'entreprise suédoise de produits d'hygiène Essity a suscité de nombreuses critiques en France pour avoir prévu d'équiper ses travailleurs de colliers ou de ceintures qui sonneraient s'ils étaient trop proches les uns des autres, dans un effort visant à éviter le COVID- 19 infections. Le plan a été présenté comme un moyen de «renforcer la sécurité des collaborateurs» en limitant autant que possible «la transmission du virus».

 

Essity, spécialisée dans les produits tels que les couches, le papier hygiénique, les cotons démaquillants, les bas de contention et autres produits paramédicaux, est implantée dans plus de 100 pays, avec huit usines et plus de 2800 salariés rien qu'en France. Tous seraient concernés par la mesure. Son initiative a attiré beaucoup d'attention dans les principaux médias, tandis que les commentateurs des médias sociaux ont décrit avec colère les «dispositifs de distanciation sociale» comme des colliers de chien.

 

Le syndicat socialiste CFDT a comparé les colliers à «un système utilisé pour dissuader les chiens d'aboyer» et a critiqué «l'infantilisation» que le dispositif impliquerait.

 

Des colliers spéciaux sont en effet utilisés pour empêcher les chiens d'aboyer, grâce à une impulsion électrique. Les colliers ou ceintures dont la direction d'Essity veut équiper ses effectifs émettraient un bruit ou un signal si deux ouvriers se rapprochent trop.

 

Selon Mark Specque, directeur de la communication d'Essity pour l'Europe du Sud, l'entreprise a opté pour un panneau vibreur en cas de non-respect de la règle des 2 mètres adoptée par ses sites de production en France, au lieu d'un bip de 85 décibels (le niveau de décibel d'un restaurant bruyant), comme initialement annoncé par la presse.

 

D'autres options incluent un signal lumineux et une émission numérique - cette dernière serait adoptée par Essity afin de suivre et de retracer les «cas de contact» potentiels des travailleurs positifs au COVID-19. Cela fonctionne en centralisant les informations sur les heures, les lieux et la durée de la proximité physique excessive. Bizarrement, la direction de l'entreprise a déclaré que toutes les données seraient anonymes, car les appareils ne porteraient qu'un numéro, tout en annonçant que les mêmes données permettraient d'avertir les personnes à risque après s'être trop rapprochées d'un collègue infecté. «Big Brother» devrait les regarder après tout.

 

Dans une autre tentative pour minimiser les aspects inhumains de ce type de surveillance sur le lieu de travail, le porte-parole Mark Specque a déclaré: «Il sera possible de transporter l'appareil dans une poche ou attaché à votre ceinture, plutôt que autour de votre cou. Ce qui n'est qu'une petite consolation.

 

Par ailleurs, qu'une grande entreprise ait pour objectif de mettre en place ce type de dispositif d'observation numérique pourrait très bien être un avant-goût de choses à venir à plus grande échelle pour le grand public. Si cela peut se faire sous prétexte de sécurité sanitaire, pourquoi ne pas utiliser la technologie dans les rues, les magasins et autres lieux publics?

 

L'inquiétude généralisée concernant le plan «dogwatch» d'Essity en France aura au moins montré que l'irritation du public contre les mesures COVID-19 est exprimée même dans les médias grand public, qui à ce jour ont été pour la plupart dociles en présentant des décisions gouvernementales successives et parfois contradictoires. supprimer les infections.

 

Jeudi seulement, une liste de ministres, dont le Premier ministre Jean Castex, a annoncé un couvre-feu national de 18 heures à 6 heures à compter du samedi 16 janvier pour au moins deux semaines. Il a été présenté par le chef du parti au pouvoir de la LREM, Stanislas Guérini, comme une mesure anti-happy hour, car sous le couvre-feu de 20 heures, les gens pouvaient encore se rencontrer chez eux pour prendre un verre après le travail. La plupart des journaux et des médias ont présenté la nouvelle règle de manière positive, tout en affirmant qu'une grande majorité de citoyens français «accepteraient» un nouveau verrouillage total et s'attendent en fait à sa mise en œuvre prochainement.

 

Alors que les tests PCR pour le COVID-19 restent élevés, le nombre de décès quotidiens attribués au coronavirus est stable et pas très élevé, et le nombre total de patients en soins intensifs (on ne sait pas si ce sont tous des patients COVID) est resté inférieur à 2800 depuis décembre 18e (pour une population de plus de 67 millions d'habitants). Pendant le verrouillage de novembre, un sommet de 4 919 a été atteint bien dans le mois, le 16 novembre.

 

Pour revenir à Essity et à son plan «cols de chien», il apparaît que les salariés de l'entreprise sont convaincus que les mesures sanitaires déjà en vigueur dans les usines après consultation des salariés par les dirigeants des unités sont plus que suffisantes.

 

Selon le quotidien communiste L'Humanité (oui, il y a encore un quotidien communiste en France!), Les syndicats représentés dans les huit usines françaises Essity estiment que la sécurité des travailleurs n'a pas motivé le plan, mais une volonté de suivre chaque mouvement. C'est ironique, étant donné que les dictatures communistes du monde entier ont prospéré grâce à la surveillance et le font toujours, comme dans la Chine communiste où la reconnaissance faciale et la localisation des smartphones sont la norme.

 

Mais il est intéressant de noter que les dispositifs «Smartproximity» développés par la société de technologie belge Phi Data sont destinés à être déployés dans des environnements où le COVID-19 est pratiquement absent. La syndicaliste CFDT Christine Duguet a souligné qu'en près d'un an de vie avec le virus dans une unité de production de 500 personnes, seuls cinq cas positifs ont été enregistrés (apparemment bénins), et pas une seule contamination: «[Tous les contacts de ces derniers les personnes ont eu des tests qui se sont révélés négatifs.

 

Marc Specque a depuis annoncé que son groupe était actuellement en négociation avec les syndicats et espère mettre en place des groupes afin d'essayer le dispositif Phi Data sur le terrain. «Il est de notre responsabilité de le faire tester par des bénévoles. Nous devons avoir le courage d’explorer de nouvelles solutions pour l’avenir. Nous ne sommes pas certains que demain, d’autres variantes ou d’autres épidémies n’apparaîtront pas. »

 

En d'autres termes: cela pourrait être juste un début, un essai pour une technologie qui pourrait devenir à la fois courante et durable.

 

Phi Data a déployé ses premiers appareils «Smartproximity» début mai 2020. La société est spécialisée dans la technologie de traçage et d'identification, ayant été fondée en 1981 pour produire des systèmes de codes à barres. Il a évolué pour créer des systèmes matériels intégrés allant de l'Internet des objets industriel et de la gestion des stocks à l'identification automatique, à la collecte de données et à la localisation de biens et de personnes via des codes-barres, la RFID (identification par radiofréquence) et d'autres appareils, ainsi que «Field Force Automatisation »pour suivre les travailleurs mobiles et vérifier leurs mouvements.

 

Phi Data prétend offrir des «solutions» pour une ère de «transformation numérique». Et c'est mettre les choses et les personnes sur des plans similaires.

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17 janvier 2021 7 17 /01 /janvier /2021 19:42
“Laissons les médecins prescrire” : un collectif de médecins réclame la liberté de prescrire

Lors de son allocution du 28 octobre, le Président de la République a expliqué que face à cette épidémie

il y avait trois voies possibles :

- Ne confiner personne pour compter sur l’immunité collective, ce qui nous obligerait à accepter

une mortalité plus importante.

- Confiner uniquement les plus fragiles puisque la Covid-19 tue surtout les personnes âgées (l’âge

moyen de décès est de 84 ans).

- Confiner tout le monde, solution retenue par le gouvernement. Ce fut aussi la solution choisie

lors de la grande peste au 18e siècle. Notre médecine n’a-t-elle fait aucun progrès depuis 3

siècles ?

Nous, médecins, avons été choqués de constater qu’à aucun moment, notre Président n’ait parlé de

soins précoces par le médecin traitant. Et s’il existait un autre chemin ? Une autre solution aurait dû

être mise sur la table ! Car en tant que soignants nous l’affirmons, il existe une QUATRIÈME VOIE !

Comme pour toutes les maladies infectieuses, il existe des solutions thérapeutiques qui pourraient tout

changer sur le plan sanitaire, économique et social.

Sourcehttps://manifestes-libertes.org/

 

Le manifeste “La quatrième voie”

 

Télécharger le manifeste au format pdf.

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17 janvier 2021 7 17 /01 /janvier /2021 16:00

1/ Une vidéo révèle les propos de Twitter avant la censure

2/ La censure érode les fondements de l’Amérique

3/ Le confinement traduit un manque d’imagination

4/ Un chercheur arrêté pour ses liens cachés avec la Chine

5/ L’immunité naturelle similaire à celle d’un vaccin ?

 

1/ L'organisation à but non lucratif "Project Veritas" a publié une video d'un lanceur d'alerte sur Twitter, où on voit le PDG de Twitter Jack Dorsey avant la censure de Donald Trump et des comptes pro-Trump, en train de dire le 8 janvier "nous nous concentrons sur un seul compte en ce moment mais cela va être bien plus important qu'un seul compte et cela va durer bien plus longtemps que juste aujourd'hui cette semaine et les prochaines semaines. Cela va continuer au-delà de l'inauguration (de Biden le 21 janvier. Ndlr.)

 

Il aurait été filmé en secret par un lanceur d'alerte infiltré chez Twitter. Dorsey suggère qu'ils doivent être prêts à censure un grand nombre de comptes :

 

"Donc l'accent est certainement mis sur ce compte et sur la façon dont il se rattache au monde réel. mais nous devons également à réfléchir à beaucoup plus long terme sur la manière dont cette stratégie se développe dans le temps."

 

Le Project Veritas a tweeté que cette video est la preuve d'une censure devenue sauvage.

 

Censure de Twitter planifiée, et limites du confinement

Dorsey a tweeté le 13 janvier : ''Je crois que c'était la bonne décision pour Tweeter. Nous faisons face à des circonstances exceptionnelles, nous forçant à concentrer nos actions sur la sauvegarde de la sécurité."

 

[Note du blog Christ-Roi. La même théorie des 'circonstances' a pu être brandie par les révolutionnaires en 1792 pour montrer que la riposte était proportionnée à la menace, "car il faut pour cela manipuler ou grossir les faits." Cf. Patrice Gueniffey, Histoires de la Révolution et de l'Empire, Perrin, Collection Tempus, Paris 2011, p. 174; lire aussi : Marseillaise : La fausse nouvelle des armées autrichiennes prêtes à envahir le pays pour enrayer la Révolution]

 

 

Jack Dorsey a indiqué que d'autres informations concernant Twitter seront publiées ultérieurement.

3/ Le confinement est-il bénéfique ou néfaste ?

 

Après des mois d'une politique de confinement des plus strictes avec le message "restez à la maison, sauvez des vies", le message du maire de Chicago et du gouverneur de New York est devenu : "Nous devons nous ouvrir !"

 

Un professeur de médecine de l'université de Standford, le Dr. Jay Battacharya, nous propose un éclairage sur cette question.

 

Les messages contradictoires des médias et des responsables de la santé publique ont semé la confusion dans l'esprit des gens quant à l'utilité réelle du confinement. Le Dr. Jay Battacharya est professeur à l'Université de médecine de Stanford et expert en politique de santé publique. Il qualifie les fermetures d'échec de créativité en matière de politique de la santé publique. Il affirme que l'économie doit reprendre en mettant l'accent sur la sécurité.

 

"Les confinements traduisent un manque d'imagination dans la politique de la santé publique. Et ils ont entraîné des dommages catastrophiques tant au niveau national que mondial. Je pense que nous allons en supporter les coûts pendant longtemps.

 

Battacharya a récemment co-écrit une étude qui a comparé les cas de virus dans des pays avec des politiques strictes comme l'Italie, l'Allemagne et l'Angleterre, avec des pays ayant moins de restrictions comme la Corée du Sud et la Suède. L'étude a montré que les mesures draconiennes de confinement n'ont 'aucun avantage significatif'. 

 

"Les confinements ont protégé les riches, les personnes qui peuvent travailler à domicile sans perte de revenus, ils n'ont pas protégé tous les autres. Ce résultat n'est pas surprenant. Inévitabklement les confinements échoueront juste parce que nous ne sommes pas des rats à mettre dans cages qui peuvent y rester pour toujours."

 

LireÉtude de Stanford: les confinements n'ont aucun effet significatif sur la réduction de COVID-19, et peuvent même la propager

 

Selon lui les mesures de confinement ont affaibli la confiance des gens dans la Santé publique car elles leur ont semblé arbitraires et les responsables de la Santé ont souvent donné des conseils contradictoires. Battacharya encourage l'utilisation de bons arguments de Santé publique pour dire aux gens de maintenir la distanciation sociale et de consacrer des ressources aux populations vulnérables. Il note que la pandémie a été énormément politisée et que les traitements des populations vulnérables devraient être basées sur la science et non sur la politique. Il a lui-même été témoin de la censure dans la communauté scientifique.

 

"Il y a cet esprit de censure au sein de la communauté scientifique envers les personnes qui ne sont pas d'accord avec l'opinion majoritaire. C'est absolument terrible pour la science.

 

Selon lui, pour que la science continue, les gens ne devraient pas diaboliser ceux qui ont des opinions différentes et plutôt privilégier le débat et la discussion scientifique. Il estime que pour aller de l'avant les politiques publiques doivent protéger les personnes vulnérables, ouvrir les écoles et commencer à lever les restrictions en mettant l'accent sur la sécurité.

 

(Fin de citation)

 

 

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17 janvier 2021 7 17 /01 /janvier /2021 10:00

L'effondrement de l’Église était déjà en cours depuis des décennies à cause de choix pastoraux désastreux, mais l'élément extérieur du Covid-19 et les mesures de restrictions du culte ont accéléré le phénomène.

Une analyse de Pro liturgia :

Capture d’écran 2021-01-15 à 09.19.31

L'ACTUALITE

 

* * * * NOUVEAU Vendredi, 15 janvier 2021. Un récent article de « La Croix » nous annonçait qu’un tiers des pratiquants (déjà peu nombreux en temps ordinaire) n’avait pas repris le chemin des églises depuis le début de la pandémie.

L’effondrement de la pratique était prévisible. Nos célébrations paroissiales étaient déjà pour la plupart des moments d’ennui pour beaucoup de fidèles à cause de la fadeur de la liturgie ; elles sont désormais, en plus, devenues des moments barrés d’interdits et de pesantes contraintes qui rendent à peu près impossible à beaucoup de fidèles une participation effective au Mystère célébré. La politique - suicidaire sur le plan pastoral - consistant à rendre obligatoire une pré-inscription des fidèles pour assister aux offices engendre une exclusion des plus démunis, des plus simples et en décourage beaucoup d’autres.

 

Il résulte de tout cela qu’à l’occasion de cette pandémie, et ce malgré le dévouement remarquable d’une minorité de prêtres et de fidèles, l’Église a clairement manqué son rendez-vous avec l'histoire. Une fois de plus.

Nous payons aujourd’hui le prix de décennies de choix pastoraux désastreux qui ont engendré un catholicisme mou, attachés à une doctrine vague, à une spiritualité irénique et niaise, à des liturgies fades, médiocres et indigentes. Il est évident qu’un tel modèle ecclésial ne pouvait que s’effondrer dès qu’un événement un tant soit peu dramatique allait frapper la société. Cet effondrement - ou plutôt cette accélération d’un effondrement déjà en cours depuis longtemps - se réalise aujourd'hui sous nos yeux. Et les catholiques eux-mêmes - à commencer par leurs pasteurs, surtout ceux d’une certaine génération - en sont les premiers responsables.

Covid-19 : l’Église a clairement manqué son rendez-vous avec l'histoire
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16 janvier 2021 6 16 /01 /janvier /2021 22:36
 Le Texas envisage de quitter les Etats-Unis pour rejoindre d'autres états intéressés

La volonté du Texas de se séparer des États-Unis rejoint celle d'autres États. 

 

Lundi, le représentant du Texas, Kyle Biedermann, a rejoint le présentateur de NewsmaxTv, Chris Salcedo. Kyle Biedermann dirige le mouvement de sécession au Texas et mène une action pour sauver le Texas des marxistes démocrates qui ont volé le pouvoir à Washington DC lors des élections de 2020.  Il a déclaré à Christ Salcedo que les législateurs du Texas avaient reçu des appels de plusieurs autres états exprimant leurs intérêts à rejoindre également le mouvement de sécession.

 

Ils ont analysé que puisque le communisme est une violation de la constitution américaine il pourrait être difficile pour les tribunaux américains de s'opposer à la sécession du Texas. Biedermann a déclaré que les corps législatifs du Texas présenteraient un projet de loi qui soulèverait la question de savoir si le Texas devrait devenir un état indépendant, et que si la majorité de la population du Texas choisissait l'indépendance du Texas, le gouverneur, le président de la chambre de l'état et les membres du sénat de l'état mettraient en place un comité chargé d'examiner les questions qui devraient être résolues pour former cet état indépendant. Un processus qui prendrait deux ans, au cours duquel la population du Texas pourrait se plaindre si elle n'est pas satisfaite. Et le comité devrait examiner la possibilité de se retirer des États-Unis. Son équipe qui a fait de nombreuses études dans ce domaine depuis des années affirme que la sécession est tout à fait réalisable.

 

Selon Biedermann le Texas est dans une position unique. Non seulement il a un esprit indépendant. 95% des terres sont privées, mais il possède aussi des ressources naturelles, son propre réseau électrique et son propre trésor. "Nous avons beaucoup de choses que les autres états n'ont pas", a-t-il dit.

 

En effet, en examinant l'histoire du Texas on peut voir que c'était une réponse parfaitement naturelle pour le Texas que celle de demander la sécession de l'Union dans ces circonstances.

 

Le Texas est un état différent des autres, en ce sens qu'il est le seul état à avoir été intégré aux États-Unis en tant que nation par le biais de négociation pacifique.

 

Au début du XIXe siècle, le Texas faisait partie du Mexique. C'était une prairie sauvage et inhabitée. Afin d'encourager davantage de personnes à la développer, le gouvernement mexicain a promulgué la loi générale de colonisation et la loi sur l'immigration qui ont incité un grand nombre d'immigrants à s'y installer. Quelques années plus tard, le gouvernement mexicain a interdit aux étrangers à s'installer au Mexique, a abrogé la loi générale de colonisation, a rendu le régime foncier accessible uniquement aux citoyens mexicains et à renforcer les règlementations concernant les Américains locaux en les obligeant à apprendre l'espagnol et à pratiquer le catholicisme romain.

 

En 1832 les immigrants américains ont lancé un mouvement de désobéissance et peu après le lancement du décret mexicain le Texas a entamé une énorme marche de protestation mais celle-ci a été violemment réprimée par le gouvernement mexicain. Cependant le conflit entre les deux parties n'a pas diminué avec la répression de l'armée mexicaine mais s'est au contraire aggravé avec le temps.

 

En 1835, sous la direction de Sam Houston, le Texas a officiellement déclaré son indépendance du Mexique et les troupes mexicaines stationnées au Texas ont été expulsées. Le gouvernement mexicain a envoyé des troupes et la milice texane pour commencer de lourds combats à Alamo en 1836. Une bataille qui a duré un demi mois. L'armée texane avait à peine gagné la bataille au Texas mais en même temps le gouvernement mexicain avait complètement perdu le Texas. La bataille d'Alamo a complètement poussé les texans à la rébellion. Et un peu plus tard en 1836 les Texans ont pu vaincre l'armée mexicaine après plusieurs victoires et capturé le plus haut responsable militaire du Mexique. Le gouvernement mexicain a été officiellement contraint à signer un traité renonçant formellement à son intervention au Texas. Dès lors le Texas a acquis un statut indépendant mais le président des États-Unis Jackson n'a pas accepté la demande d'adéhsion du Texas aux États-Unis par crainte d'une intervention européenne et d'une nouvelle attaque mexicaine.

 

Pendant les huit années suivantes le Texas a existé en tant qu'état indépendant et a été reconnu par la Grande-Bretagne et la France.

 

Bien que le Texas ait finalement rejoint les États-Unis en 1845, le Texas a déclaré sa sécession de l'Union le 1er février 1861. Et après neuf ans de guerre civile, le Texas a pleinement rejoint l'Union le 30 mars 1870 et le reste jusqu'à aujourd'hui.

 

Ces dernières années l'économie du Texas a été la deuxième plus importante des États-Unis derrière la Californie. Et comme les forces de gauche en Californie ont infiltré différents domaines de la société dans l'état, de grandes entreprises ont quitté la Californie pour s'installer au Texas, faisant du Texas le deuxième état le plus riche des États-Unis, après la Californie. Ce qui a donné au Texas une base plus solide pour son indépendance.

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