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Christ Roi

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Horloge

20 mai 2023 6 20 /05 /mai /2023 07:38

Une illustration de la chute vertigineuse de la société occidentale vers la folie collective due à l'inversion du langage a été la covidodémence où les mesures les plus irrationnelles et antiscience les unes que les autres furent prises, au nom de la science

 

ExemplesLes policiers municipaux ne peuvent pas contrôler les identités mais les restaurateurs devront contrôler le 'Pass Sanitaire'; les "vaccinés les premiers, c'est-à-dire en janvier et février, verront prochainement leurs taux d'anticorps baissés, et leurs immunités diminuées ... Je veux ici les rassurer, dès la rentrée, une campagne de rappels sera mise en place pour vous permettre de bénéficier d'une nouvelle injection selon le même système et dans les mêmes conditions" (Macron le 16 juillet 2021)la consommation debout dans les bars est interdite ; boire un café debout dans un bar est mortel, le boire assis est sans danger, mais pas dans les cinémas, théâtres et transports longue distance où il est "interdit de manger assis ; Les "plages dynamiques" où être assis à la plage est mortel mais pas si on est debout en train de marcher; Les repas limités à 6 personnes (pas à 5, ni à 7 mais à 6); Les grands-parents laissés en cuisine pour le repas de Noël ; La fermeture des rayons sous-vêtements et jouets pour enfants mais les clubs échangistes laissés ouverts... ; marcher dans la rue avec un bout de tissu magique sur le nez ; se taire dans le métro, etc., etc. Liste non exhaustive.

 

 

Mais une autre illustration de la chute vertigineuse de l'Occident vers la folie est la volonté d'endoctriner les enfants avec des mensonges quant à leur sexe.

Pourquoi sombrons-nous dans la folie et la barbarie ?

L’exploitation de nos enfants dans les écoles publiques

 

Source de l'article suivant : https://catholicexchange.com/stolen-innocence-the-exploitation-of-our-children-in-public-schools-and-what-to-do-about-it/

Traduit par : https://lecatho.fr/actualite/lexploitation-de-nos-enfants-dans-les-ecoles-publiques/ 

 

Pourquoi l’exploitation sexuelle des enfants est-elle si importante pour les impies ?

 

Jésus répondit : « N’avez-vous pas lu que celui qui les a faits dès l’origine les a faits homme et femme… ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas. » (Matt 19:4)

 

Depuis le commencement. Il y a une explosion cosmique de l’amour trinitaire. Le jardin d’Eden a été préparé pour un festin de noces. Dieu dit alors : « Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance. Dieu créa l’homme à son image : il le créa à l’image de Dieu, il le créa homme et femme. Souriant aux nouveaux époux, Dieu les bénit et leur dit :

 

« Soyez féconds et multipliez, remplissez la terre » (Gn 1,26-28), donnez naissance à des enfants, car ils sont très bons !

 

C’est alors qu’entre en scène le tentateur, le Mysterium Iniquitatis, une expression latine qui signifie le mystère du mal. Satan n’a pas d’argile propre. Il ne peut que tordre, déformer et chercher à détruire l’Imago Dei, le signe que Dieu a créé le bien.

 

Or, le serpent était le plus rusé de tous les animaux que le Seigneur Dieu avait créés. Le serpent demanda à la femme :

 

« Dieu t’a-t-il vraiment dit de ne manger d’aucun des arbres du jardin ?

 

La femme répondit au serpent :

 

Nous pouvons manger du fruit des arbres du jardin ; c’est seulement au sujet du fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin que Dieu a dit :

 

« Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez pas, de peur que vous ne mouriez« .

 

Le serpent dit à la femme :

 

« Tu ne mourras pas ! Tu ne mourras certainement pas ! Non, Dieu sait bien qu’au moment où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux qui savent ce qui est bon et ce qui est mauvais » (Gn 3,1-5).

 

Je suis de tout cœur avec les jeunes qui sont pulvérisés par une culture tordue, déformée et très toxique. On leur a menti à maintes reprises sur les fondements mêmes du mariage, de la famille, de l’amour authentique, de la véritable signification du sexe et de la sexualité, et bien d’autres choses encore.

 

L’endoctrinement sexuel, l’exploitation et la manipulation des enfants à grande échelle dans les écoles publiques sont particulièrement inquiétants. C’est pourquoi je présente « Stolen Innocence« (L'Innocence volée. Ndlr) , un événement de sensibilisation de la communauté, avec l’enquêteur Thomas Hampson, sur ce qui arrive réellement à nos enfants dans le système scolaire public.

 

La question qui revient le plus souvent au cours de la période de questions qui suit est la suivante :

 

Pourquoi ? Pourquoi une institution chargée d’éduquer les enfants de notre pays se concentre-t-elle plutôt sur la préparation et l’exploitation sexuelles des enfants dont elle a la charge ? En bref, la réponse est le Mysterium Iniquitatis. Avons-nous oublié que nous vivons dans un monde déchu ? Avons-nous oublié que le mal et ses conséquences, le péché et la mort, sont entrés dans le monde après la chute ? Avons-nous également oublié que Dieu a apporté la solution et a vaincu le péché et la mort dans le Mysterium Pietatis, le mystère de l’incarnation, de la passion, de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ ? Non, nous n’avons pas oublié. C’est que l’homme moderne s’est à nouveau trouvé devant l’arbre de la connaissance du bien et du mal et a choisi librement de rejeter Dieu. « L’innocence volée » est la conséquence de ce choix.

 

Dans son livre Toward Soviet America (1932), William Z. Foster, président national du parti communiste américain, ne laisse planer aucun doute sur l’objectif du parti en matière d’éducation américaine. « Parmi les mesures élémentaires que le Soviet américain adoptera pour faire avancer la révolution culturelle, on trouve … un ministère national de l’éducation … les études seront révolutionnées, nettoyées des aspects religieux, patriotiques et autres de l’idéologie bourgeoise. On enseignera aux étudiants les bases du marxisme et du matérialisme (Awake, Not Woke, par Noelle Mering, p. 173).

 

À peu près à la même époque, John Dewey, peut-être la figure la plus influente de l’éducation américaine moderne, a transféré l’École de Francfort, fondée par des marxistes, à l’Université de Columbia. Socialiste et athée convaincu, Dewey a passé du temps en Union soviétique et, à son retour aux États-Unis, il a écrit un livre dans lequel il exprimait son admiration et son désir de reproduire la manière dont leur système était utilisé comme outil politique.

 

Comment ils ont pu si rapidement inculquer un état d’esprit collectiviste aux enfants et comment ils ont commencé à démanteler la nécessité d’une cellule familiale.

 

« Nous nous intéressons tout particulièrement au rôle des écoles dans la mise en place de forces et de facteurs dont l’effet naturel est de saper l’importance et le caractère unique de la vie familiale » (cf. Awake, Not Woke, p. 174).

 

Dewey a fini par être connu comme le père de l’éducation progressive. Son incompréhension de la dignité de la personne humaine et son dédain de la religion ont animé et nourri sa vision de l’éducation. Dewey pensait que, plus qu’un simple apprentissage de la lecture, de l’écriture et de l’arithmétique, l’éducation devait être un outil d’ingénierie sociale et d’éveil de la conscience des enfants à l’activisme. Il a enseigné la philosophie de l’éducation au Teacher’s College de Columbia, où il a pu avoir un impact vaste et profond. En 1950, un tiers des directeurs et des surintendants des grands districts scolaires du pays y avaient été formés et étaient retournés dans leurs districts pour répandre ces théories dans tout le pays (cf. Awake, p. 174).

 

Ce sentiment a été repris par Chester M Pierce, éminent professeur d’éducation et de psychiatrie à Harvard et consultant pour des émissions éducatives pour enfants telles que Sesame Street :

 

« Chaque enfant américain qui entre à l’école à l’âge de cinq ans est mentalement malade parce qu’il vient à l’école avec certaines alliances avec nos pères fondateurs, avec nos élus, avec ses parents, avec la croyance en un être surnaturel et avec la souveraineté de cette nation en tant qu’entité distincte« , a déclaré Pierce. « C’est à vous, enseignants, qu’il incombe de guérir tous ces enfants malades en créant l’enfant international de demain » (Awake, p. 177).

 

La National Education Association (NEA), le plus grand syndicat d’enseignants du pays, s’est développée sous la houlette d’organisateurs marxistes et communistes dans sa volonté de passer outre l’influence des parents sur leurs enfants. (cf. Awake, p. 177-78)

 

Nous avons ici la réponse à la question du POURQUOI.

 

Entrez dans le tentateur, le Mysterium Iniquitatis. Satan n’a pas sa propre argile. Avec les hommes et les femmes qui ont rejeté Dieu, il ne peut que tordre, déformer et chercher à détruire l’Imago Dei, le signe de l’Amour Trinitaire – le mariage et la famille – que Dieu a créé très bon. Ce qui est le plus profané par Satan est ce qui est le plus saint. Quel meilleur moyen d’effacer Dieu que de souiller la belle innocence des enfants par le biais de l' »éducation sexuelle complète » et d’autres perversions qui leur ont été imposées ?

 

Quelle ironie, à notre époque dite moderne, que nous soyons tombés une fois de plus dans le piège de ce très vieux mensonge : « vous pouvez être comme des dieux« . Il semble que les mots d’Aldous Huxley sonnent juste une fois de plus : « Le fait que les hommes n’apprennent pas grand-chose des leçons de l’histoire est la plus importante de toutes les leçons que l’histoire a à enseigner. » Car sans le Créateur, la créature disparaîtrait… Mais quand on oublie Dieu, la créature elle-même devient inintelligible (Gaudium et spes, n° 36).

 

Pourtant, Dieu, le Père de Miséricorde, souhaite se réconcilier avec ses enfants perdus. L’histoire du salut – le salut de l’humanité tout entière ainsi que de chaque être humain à quelque époque que ce soit – est l’histoire merveilleuse d’une réconciliation. C’est la réconciliation par laquelle Dieu, en tant que Père, dans le sang et la croix de son Fils fait homme, réconcilie le monde avec lui-même et fait ainsi naître une nouvelle famille de réconciliés (Réconciliation et pénitence, Jean-Paul II, n° 4.8).

 

C’est l’heure de la décision ! L’histoire enseigne que, dans un certain sens, chaque personne se trouve devant l’arbre intemporel de la connaissance du bien et du mal. La question posée à chaque individu de chaque génération est la suivante : « Est-ce que j’utilise mon intelligence et ma raison pour construire ma vie et le monde qui m’entoure sur la vérité éternelle, sur Dieu, ou est-ce que je gaspille ma liberté et choisis plutôt…d’être comme des dieux qui savent ce qui est bon et ce qui est mauvais ?« . (Gn 3,5).

 

Jésus a dit à ses disciples :

 

« Quiconque accueille en mon nom un de ces enfants, c’est moi qu’il accueille ; mais si quelqu’un fait pécher l’un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui attache au cou une grande meule de moulin et qu’on le noie au fond de la mer » (Mt 18,5-6).

 

Notre espoir pour les hommes et les femmes d’aujourd’hui est qu’ils puissent surmonter l’endurcissement de leur cœur, se remettre de la perte du sens du péché, se tourner à nouveau vers Jésus-Christ et être sauvés.

 

Cet article a été publié originellement par Catholic Exchange (Lien de l’article).

Note du Blog Christ Roi.

Contrairement à ce qu'affirme le conformisme contemporain, l'Humanisme de la Renaissance n'a pas établi la raison, il l'a perdue en faisant primer la raison humaine sur la Raison divine.

Alain PASCAL, La Renaissance, cette imposture, La Guerre des Gnoses ***, éd. CIMES, Paris 2021, p.13

Le Concile Vatican II, Gaudium et spes 36 avait averti :

 

"si, par « autonomie du temporel», on veut dire que les choses créées ne dépendent pas de Dieu et que l’homme peut en disposer sans référence au Créateur, la fausseté de tels propos ne peut échapper à quiconque reconnaît Dieu. En effet, la créature sans Créateur s’évanouit. Du reste, tous les croyants, à quelque religion qu’ils appartiennent, ont toujours entendu la voix de Dieu et sa manifestation, dans le langage des créatures. Et même, l’oubli de Dieu rend opaque la créature elle-même."

 

Toute la misère de notre monde vient du fait qu'il s'est séparé de Dieu dans la culture, l'économie, le droit, la politique. Cette séparation inédite issue de la philosophie moderne qui entendait comprendre et organiser le monde comme si Dieu n'existait pas est LE mensonge. Cette profonde erreur nous fait régresser à l'état primitif archaïque, et à la barbarie.

 

"La Révélation chrétienne a offert l'Intelligence au monde, la Révolution moderne la lui fait perdre. Le vocabulaire moderne est donc une inversion. Au nom du progrès, l'humanité régresse et la cause est métaphysique. ... Le christianisme représente une révolution par rapport au monde antique. ... Il affirme le dualisme de l'Être - une distinction entre l'Être de Dieu et l'Être créé -, ce qui fait dépendre la connaissance humaine d'une intelligence supérieure à l'intelligence humaine. Il y a donc un critère transcendantal du rationnel.

 

"Le dualisme métaphysique conditionne la connaissance et le christianisme est la seule religion à le respecter. ... L'intelligence est dans la nature humaine. Elle est la faculté de connaissance. ... Le problème de la validité de son exercice réside dans son fondement." (Alain PASCAL, L'Intelligence du christianisme, tome 1, L'Humanité en quête de Dieu, éd. du Verbe Haut 2022, p. 22-23.)

 

"La vraie mystique et le vrai rationalisme ne sont possibles que dans un dualisme métaphysique, c'est-à-dire une distinction entre l'Être Créateur et l'être créé (la nature). Il faut que Dieu ait un Être, ce qui n'est pas le cas dans le déisme philosophique, ni le maçonnisme.

 

"Le 'dieu' des philosophes et le Grand Architecte de l'Univers (GADLU) ne sont pas Dieu.

"Les maçons font référence à un Grand Architecte de l'Univers qui n'est pas le Dieu chrétien, mais un Esprit cosmique, donc qui n'a pas d'Être. Or on ne peut pas s'unir ou contempler un Dieu qui n'a pas d'Être (c'est la mystique), ni atteindre la raison sans la Révélation chrétienne (c'est le vrai rationalisme). La franc-maçonnerie usurpe le langage chrétien." (Alain PASCAL, La Révolution des Illuminés, Les droits de l’homme contre Dieu, La Conspiration des philosophes, 4e tome, éd. Cimes, Paris 2023, p. 34.)

 

"Depuis la Révolution, la société est coupée du Sacré. Le religieux est passé du conscient à l'inconscient et le langage a été inversé par la philosophie moderne, qui offre à l'homme non pas la liberté, mais l'esclavage et la mort.

"La philosophie moderne est une régression mentale qui entraîne une régression sociale." (Alain PASCAL, La Renaissance, cette imposture, La Guerre des Gnoses ***, éd. CIMES, Paris 2021, p.15.)

 

Le langage moderne est inversé, et cette régression horrible s'appelle "progrès".

 

"Le langage moderne est une inversion du langage traditionnel (Cf. l'inversion des mots Raison, Révélation, Lumière, Vérité, Dieu, liberté ...), ce pourquoi son rationalisme est un irrationalisme. Cette inversion explique que le progressisme soit une régression vers la barbarie. Les deux cents millions de morts du XXe siècle sont la (triste) démonstration de l'échec moderne, à savoir que les temps modernes ouverts par la Révolution n'ont pas fait le bonheur de l'humanité, mais son malheur. Pourquoi ? Parce que la philosophie moderne est anti-chrétienne, donc anti-divine. ... La philosophie moderne sert l'Adversaire de Dieu, c'est-à-dire est diabolique. Les temps modernes sont diaboliques par le mensonge politique ..., mais aussi par leur amoncellement de cadavres. Silence, on exploite et on tue. ... Parce que la Révolution a fait revenir le sacrificiel archaïque. Le moderne vit une ''crise sacrificielle'', comme l'a mis en évidence René Girard.

"... La philosophie moderne ne peut pas être rationnelle dès lors qu'elle dérive de la gnose et de la Kabbale, ésotérismes qui nient la Raison révélée par le Fils de Dieu et dont la meilleure expression est la grande scolastique du XIIIe siècle. Le véritable rationalisme est le rationalisme scolastique, ... 'cathédrale de la pensée' parce que, en soumettant la raison humaine à la Révélation, il protège l'Occident de la gnose et de la Kabbale, et en inscrivant le rationalisme dans la métaphysique dualiste de la Bible.

"... Or les humanistes de la 'Renaissance" se sont inscrits contre la scolastique... C'était une régression au monisme sur le plan métaphysique (l'Être Un) et par conséquent une régression épistémologique. La 'Renaissance' ne pouvait donc pas être un rationalisme. ... Ce pourquoi la philosophie moderne est l'anti-Raison.

"On ne peut pas ignorer le Sacré et prétendre maîtriser la violence, délaisser le dualisme métaphysique et prétendre à la Raison..., etc." 

 

En premier lieu, la cause de notre malheur est le doute (c'est-à-dire l'homme) substitué à ‘’la vérité’’, l"homme qui raisonne avant de croire. C'est toujours le "crois pour comprendre" de S. Augustin qui est premier, avant le "comprends pour croire" qui est bien évidemment possible aussi dans le christianisme, mais qui arrive en second dans la méthode de la connaissance.

 

La cause de nos malheurs publics c'est de poser en premier l’homme (et son doute, la raison humaine) à la place de la raison divine.

 

Le "comprends pour croire" dans la civilisation chrétienne arrive après le "crois pour comprendre" ; la foi en Dieu est placée en premier (avant l'homme et sa raison). Cette méthode a donné le grand siècle de la raison scolastique du XIIIe siècle avec S. Thomas d'Aquin.

 

C'est dorénavant l'homme qui est le ''premier servi'' (expression de Sainte Jeanne d'Arc) et non plus Dieu.

 

"Voltaire (...) héritier de Descartes (...) a achevé de couper la foi de la raison et a ainsi créé une nouvelle sorte de foi (...) puisque c'est l'anti-foi. Ce n'est plus 'croire pour comprendre', c'est croire de ne pas croire pour ne plus comprendre" ! (...) La croyance est passée à l'inconscient et la raison est devenue irraison."

Alain PASCAL, Le Siècle des Ténèbres, Vers la Révolution maçonnique en France, La Conspiration des philosophes, 3e tome, éd. Cimes, Paris 2019, p. 463.)

 

"...Le Cogito (de Descartes) est une inversion de la métaphysique chrétienne, car un chrétien doit dire : Je suis donc je pense. [Le "puisque je sais que je suis, je sais également que je suis" de S. Augustin. Ndlr.] Dieu m'a créé et m'a fait don de la pensée, et par suite, le monde existe hors de moi, comme un objet soumis à ma faculté de connaissance. C'est (une question de) logique. On ne pense pas rien, on pense ce qui est avant que l'on pense. L'Être doit donc être avant la pensée. Car le réel ne dépend pas de l'idée, il est avant l'idée. Or, avec le 'je pense, donc je suis', Descartes nie l'Être qui précède l'idée. Par suite, sa méthode ne peut accéder à la connaissance du réel. ... L'idéalisme cartésien est ainsi utopie cognitive sur le plan épistémologique (parce qu'il inverse la démarche scolastique) ... et pis encore, péché originel, car substitution de l'Homme à Dieu sur le plan ontologique.

 

... Si la pensée du sujet, le 'je' précède l'existence, ce n'est plus l'Esprit de Dieu (Sa Parole, Son Verbe) qui a créé le monde 'au commencement', c'est la pensée humaine qui crée l'Être du monde. ... Et par conséquent, le monde n'est plus un objet extérieur à l'homme, il devient le fruit de sa pensée. Le monde est parce qu'il est perçu, expérimenté, construit par l'homme, qui devient ainsi le véritable créateur. ... Dieu devient le fruit de la pensée humaine. Dieu n'Est plus... C'est d'ailleurs ce que dit Descartes : 'Je suis, donc Dieu est', et 'je pense Dieu, donc Dieu est' ? ... Le Dieu mathématique de Descartes étant une abstraction de l'esprit humain..., il est logique qu'en loges les athées aient finalement supplanté les spiritualistes... La 'mort de Dieu' étant la conséquence finale et inéluctable du cartésianisme, cette philosophie est plus diabolique que la théosophie de Bœhme... En réduisant le rationalisme à l'homme, Descartes détruit le socle divin du rationalisme, il offre la raison au Diable. Descartes pense en initié rosicrucien. ... Sa 'méthode' n'en devient pas scientifique pour autant, puisqu'elle tire la vérité du 'moi'. Son 'rationalisme' passe ainsi de l'objectif (critère scientifique) au subjectif, donc sa 'méthode' renie le fondement même de la démarche scientifique... une sorte d'onanisme intellectuel dont vont pouvoir naître les pires utopies... Cette raison inversée est la 'raison' du Diable, la 'lumière' de Lucifer, le Maître des Roses-Croix... (qui) a fait commettre à l'homme moderne le 'péché originel' épistémologique. Saint Thomas partait des choses,... en dédaignant l'objet, Descartes perd toute intelligibilité du réel. Avec Descartes l'objet est méprisé et la raison humaine fonctionne sur du vide. Elle s'illusionne sur le réel que l'individu 'reconstruit ' artificiellement à la place de son Créateur... Désormais perdu dans un verbiage qu'il prend pour une 'science', l'homme moderne a perdu la Raison et avec elle la connaissance du Réel créé par Dieu. Descartes est à la source de tout l'absurde langage moderne, ce verbiage qui dit 'raison' pour irraison, 'réel' pour irréel, etc. Liberté, à l'égard de l'objet... qui nous rend, pour n'être mesurés par rien, également soumis à n'importe quoi... L'homme moderne est perdu dans un 'entre-monde' qui est constitué d'artificialités, car il utilise un langage dénué de sens, ... qui lui fait prendre le vrai pour le faux (c'est une inversion), donc le pousse à détruire la Nature, alors qu'il la vénère (c'est l'absurdité de l'écologie). ... Avec le Cogito, l'objet doit son existence au sujet pensant et le monde n'est plus hors de l'homme, il est par l'homme... Le rationnel devient dépendant de l'évolution de la connaissance humaine. Quand le doute est substitué à la certitude, la vérité est variable, donc il n'y a plus de vérité... Le réel n'est plus, il est construit; c'est le sujet qui fonde la connaissance, ce que dira Kant en tirant la conséquence du 'rationalisme' de Descartes. Le Cogito est une transcription en philosophie du nominalisme et de l'empirisme, deux doctrines condamnées depuis des siècles par l'Eglise.

...Et l'idéalisme cartésien implique une métaphysique moniste, même si Descartes affirme le contraire. En effet, ce n'est plus l'Esprit de Dieu qui crée seul, puisque l'existence de l'objet dépend également du Cogito, l'esprit humain... Suite logique, les successeurs de Descartes diront que le monde n'est plus l'œuvre de Dieu, mais de la pensée humaine. C'est incompatible avec le christianisme, mais c'est compatible avec la gnose et la kabbale... Le matérialisme athée est l'aboutissement logique de la philosophie moderne qu'inaugure Descartes...

Et la logique de la philosophie moderne est d'aboutir à un collectivisme cosmopolite...

Descartes crée une nouvelle mythologie, celle du progrès rationnel dû à la philosophie ... Descartes vint, puis les 'Lumières' et est arrivé ce qui devait arrivé, la Révolution et les Temps modernes, les pires horreurs de toute l'histoire de l'humanité. Car le monde sans Dieu est le pire de tous pour l'homme." (Cf. Alain PASCAL, Le Siècle des Rose-Croix, Pascal contre Descartes, La Conspiration des philosophes tome 2, éd. Cimes, Paris 2018, p. 9-10; 15-17; 187-193; 195; 197-202; 211; 222; 224; 227.)

 

"En créant le mythe des Lumières, l'histoire officielle inverse la réalité. Car le XVIIIe siècle est le Siècle des Ténèbres et la responsabilité ... incombe aux philosophes, mais également à la franc-maçonnerie. En effet, le siècle dit "des Lumières" n'a pas marqué un progrès de la raison, il se caractérise au contraire par le retour de superstitions qui ont été véhiculées par des philosophes qui ont imposé des croyances irrationnelles d'un autre âge avec la complicité des loges maçonniques.

"Le XVIIIe siècle n'a pas vu la naissance d'idées nouvelles, mais la victoire de vieux cultes du cosmos sur la tradition chrétienne. Cette régression explique que la Révolution de 1789 ait fait couler le sang du sacrificiel archaïque et qu'à sa suite, les Temps modernes soient les pires de tous ceux vécus par l'humanité tant ils ont amoncelé les cadavres.

 

[''Refaisons l'addition des pertes dues à la Révolution et à l'Empire:

 

400 000 morts pour les guerres jusqu'en 1800;

un million pour les guerres napoléoniennes;

600 000 pour les guerres intestines;

et l'échafaud pour mémoire. Voilà nos deux millions de morts.

 

Près de 80% des personnes guillotinées sous la Révolution étaient des petites gens. Les ouvriers ont été envoyés par charrettes entières à la guillotine. Les décapitations [...] concernent pour 28% des paysans, pour 31% des artisans et des ouvriers, sans doute pour plus de 20% des marchands ... 8 à 9% des nobles, pour 6 à 7% des membres du clergé..." (René SÉDILLOT, Le coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin Mesnil-sur-l'Estrée 1987, p. 24-28).]

 

Lire : 

"Le Coût de la Révolution française". Deux MILLIONS de morts. René Sédillot

Le complot républicain de 1792 et le génocide vendéen

 

"... L'ère démocratique et la Démocratie ... régression ... vers la barbarie.

"Pour masquer ces faits – la Démocratie … est aujourd’hui un ’DOGME’ – l’histoire officielle – c’est-à-dire réécrite par la franc-maçonnerie – a créé un mythe des ’Lumières’ qui fait suite au mythe de la ‘’Renaissance’’, au mythe d’une philosophie ‘moderne’ ‘rationnelle’, etc. Tout le vocabulaire de l’histoire officielle est mensonger, … une inversion des mots." (Alain PASCAL, La Révolution des Illuminés, Les droits de l’homme contre Dieu, La Conspiration des philosophes, 4e tome, éd. Cimes, Paris 2023, p. 11-12.)

 

Lire : Subversion du langage : Un poème d'Armand Robin qui explique le programme des deux derniers siècles

 

"Au XVIIIe siècle, ... quand les faux mystiques seront unis aux faux rationalistes, les ténèbres seront complètes.

Alors la parenthèse tragique des Temps modernes obscurantistes pourra s'ouvrir."

(Alain PASCAL, Le Siècle des Rose-Croix, Pascal contre Descartes, La Conspiration des Philosophes, 2e tome, éd. Cimes, Paris 2018, p. 468)

 

Non plus la raison venant de Dieu, mais la raison dressée contre Dieu

 

C'est cet échec du monde moderne que nous assistons actuellement. La Russie semble vouloir s'extirper de cette folie en revenant à sa culture chrétienne, quand l'Occident continue sa course folle vers l'état primitif.

 

"Aujourd'hui, les modernes ont perdu la Raison parce qu'en faisant table rase de la tradition chrétienne, ils sont revenus à la mentalité primitive. La victoire de la barbarie sur la Civilisation en témoigne", explique Alain PASCAL. (La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, tome 2, Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, éd. Cimes, 2e éd. revue et augmentée, Paris 2015, p. 289.)

 

"Les Temps modernes ne pouvaient pas être un progrès parce que le 'rationalisme' qui les fonde est une régression mentale.

 

"[...] La 'raison' moderne ne peut pas être rationnelle puisqu'elle est individuelle, et que l'expérience individuelle a nécessairement recours aux 'sens' comme l'a montré Saint Thomas. Pour être, la Raison doit transcender l'individu.

 

"[...] Le 'rationalisme' moderne ne peut pas être rationnel puisqu'il est l'expression ultime de croyances primitives traduites en philosophie." (Alain PASCAL, La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, tome 2, Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, ibid., p. 289)

 

"Le lecteur occidental doit donc oublier le langage de la philosophie moderne, qui a récupéré certains mots en les détournant de leur sens originel. [...] Il y a de nos jours une confusion du vocabulaire dont la responsabilité incombe aux loges maçonniques, et contrairement au langage de la philosophie moderne, obscure [...], les grands systèmes scolastiques (fidèles à la tradition chrétienne) [...] sont d'une clarté exemplaire. En un mot, la lumière du langage scolastique s'oppose à l'obscurantisme du mot rationalisme, justement.

 

"Pour un traditionaliste chrétien, le rationalisme consiste à respecter la Raison divine, alors que dans le langage moderne, le rationalisme fait prédominer la raison humaine sur la Raison divine, voire nie la Raison divine.

 

C'est un exemple d'inversion du langage.

 

Nous pourrions donner un autre exemple, à savoir que, dans le langage scolastique, l'empirisme s'oppose au réalisme et au rationalisme, alors qu'en lange moderne l'empirisme se prétend réaliste et rationnel.

 

[...] Le mot rationalisme naît avec la scolastique – la Raison divine est offerte à l'humanité par la scolastique –, et aujourd'hui il signifie le contraire du rationalisme scolastique. [...] Être rationaliste, c'est accorder la Raison divine à la faculté rationnelle humaine. La scolastique donne la qualité à la chose en allant du supérieur (la raison divine. Ndlr.) à l'inférieur (l'humain). [...] Le moderne (au contraire) part de l'inférieur, la Nature, qu'il étudie par une science quantitative, numérique et profane. [...] Le moderne déduit la loi d'une science qui nie le Sacré.

 

[...] La dernière (philosophie) en date est l'existentialisme athée, philosophie qui a conclu à l'absurde, ce qui est un aveu total de perte de sens. Le mot lui-même est utilisé à contresens, par exemple par les marxistes lorsqu'ils osent parler du 'sens de l'histoire' à propos de leur 'progressisme'. C'est le plus grand (et le pire) exemple d'absurdité meurtrière née de l'inversion du langage par la philosophie moderne. Car le marxisme a définitivement démontré son irrationalité, son incapacité à comprendre le réel. Le progressisme marxisme est une régression historique sans précédent. 

 

"[...] Il ne faut cependant pas désespérer car l'Intelligence perdue provoque un tel excès de primitivation que le malheur vécu et le manque spirituel sont à même de rendre évident la nécessité d'une renaissance de l'Intelligence. Au bout de l'absurde, une nostalgie rationnelle et sacrale provoquera la fin des Temps modernes." (Alain PASCAL, La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, tome 2, Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, ibid., p. 139-141.)

 

"La philosophie moderne est stupide – c'est le mot – quand elle dit  que l'homme est rationnel parce qu'il a rejeté Dieu et qu'elle prône une liberté individuelle parce que la raison humaine ne peut venir que de Dieu et que la liberté est impossible à l'individu, puisqu'il est interne au cosmos. Pour preuve, l'homme moderne ne comprend plus rien, il est fou, et de moins en moins libre (il n'y a que les victimes du communisme qui s'en aperçoivent...) [...] Le monisme métaphysique est donc la cause de l'échec moderne. [...] En  régressant à avant la scolastique, la philosophie moderne ne peut pas être nouvelle, elle est nécessairement régressive. 

 

"La scolastique est un immense progrès parce qu'elle a sanctifié la philosophie ancienne (qui aspirait à libérer l'homme des croyances irrationnelles des relations cosmiques antiques en accordant à l'humain la faculté rationnelle et la liberté individuelle, mais avait échoué car elle avait persisté dans le monisme de l'Être parce que c'était la seule conception de l'époque, ou parce que les premiers philosophes, s'ils avaient peut-être eu l'échos de la genèse [...] n'en avaient pas compris la métaphysique) en la refondant sur le dualisme métaphysique." (Un Dieu créateur et un monde créé non confondus dans l'Un antique). (Alain PASCAL, Les Sources occultes de la philosophie moderne, De la Gnose à la théosophie, tome 1 de La Conspiration des philosophes, éd. des Cimes, Paris 2017, p. 109-111.)

 

"Dans le catholicisme [...] le Père incarne le Fils pour que l'homme ['fait à l'image de Dieu'. Ndlr.] ait une raison qui lui permette d'étudier scientifiquement la nature. La nature n'est plus [comme dans les anciennes cosmogonies monistes. Ndlr.] le corps de Dieu parce que le Père est transcendant, 'les choses cachées depuis la fondation du monde' sont révélées par le Fils, si bien que l'homme peut étudier le créé sans peur. Par la Trinité, et la Trinité seule, la magie est écartée de la science. La magie est la forme primitive de la science, mais celle-ci n'est véritablement devenue objective (donc rationnelle...) qu'avec l'abandon de la magie, c'est-à-dire lorsque la métaphysique du christianisme a délivré la nature de ses mystères en distinguant l'être créé de l'Être créateur.

 

"Seul à respecter la métaphysique du dualisme de l'Être de la Bible, le dogme catholique est le seul à être rationnel parce qu'il est le seul à exclure toute magie.  [...] Il faut en tirer la conséquence sur notre civilisation. [...] [L]e retour actuel de la magie constitue à l'égard de l'Occident chrétien une menace de mort au même titre que le choix métaphysique moniste." (Alain PASCAL, La Renaissance, cette imposture, La Guerre des Gnoses ***, éd. CIMES, Paris 2021, p. 57-58.)

 

"La philosophie moderne a fait perdre à l'humain toute raison, puisqu'elle a affirmé une fausse raison, qui plus est l'inverse de la Raison. C'est pour cela que l'homme moderne ne domine plus le réel. ... Le modernisme étant une négation du christianisme (il est démontré que la philosophie moderne est une inversion de la scolastique chrétienne), il est une régression et non pas un progrès, ce n'est pas une affirmation de théologien, mais un constat d'historien. L'homme moderne n'est pas raisonnable, il est fou, raison pour laquelle il est violent. Car jamais, y compris dans les temps les plus primitifs, l'humain n'a autant versé le sang humain. Tel est le fait incontestable. En quantité et en proportion d'êtres humains tués par l'homme, les Temps modernes ont battu tous les recors, et ce n'est pas fini..." (Alain PASCAL, L'Intelligence du christianisme, tome 1, L'Humanité en quête de Dieu, éd. du Verbe Haut 2022, p. 49-50.)

 

"Les Temps modernes [...] ont vu la plus forte montée d'irrationnel et la plus forte explosion de la violence de toute l'histoire de l'humanité, y compris la plus primitive...

 

"[L]a cause de la violence moderne est l'abandon de la métaphysique du dualisme de l'Être. [...] Le monisme de l'Être est le problème de la philosophie moderne, la cause métaphysique de l'échec moderne. La philosophie moderne est moniste, car elle nie le Surnaturel, donc présuppose un Être Un, et cette erreur métaphysique s'accompagne obligatoirement d'une résurgence du sacrificiel archaïque. [...] Loin d'être un progrès, l''Éternel retour' au monisme est une régression." (Alain PASCAL, La Renaissance, cette imposture, La Guerre des Gnoses ***, éd. CIMES, Paris 2021, p. 61.)

 

De même, "l'Humanisme qui est une divinisation de l'homme (sans les moyens de Dieu, donc avec les moyens du serpent de la Genèse. Ndlr.), loin de permettre une connaissance rationnelle constitue un obstacle. Car par lui-même, l'homme ne peut avoir qu'une connaissance limitée de l'univers. Certains aspects du réel sont hors de ses sens, donc aussi de sa raison. L'univers tient ses lois d'une Intelligence supérieure à celle de l'homme, donc il faut à la raison humaine que 'Quelqu'un' lui révèle cette Intelligence supérieure. En un mot, pour atteindre la Raison, il faut partir de Dieu et non de l'Homme." (Alain PASCAL, L'Intelligence du christianisme, tome1, L'Humanité en quête de Dieu, éd. Du Verbe haut 2022, p. 384.)

 

"Puisque seul le christianisme respecte la parole de Dieu (et le dualisme biblique avec d'un côté un Être créateur, Dieu, et de l'autre côté, des créatures, à ne pas confondre avec Dieu lui-même, et qui ne sont pas des êtres créateurs. Ce que conteste la philosophie moderne... Ndlr.) [...], mettre fin au christianisme est servir le diable, l'esprit qui veut détruire la Création de Dieu, et c'est pourquoi depuis que la société est antichrétienne, c'est-à-dire depuis le début des Temps modernes, l'homme met en péril la Création.

 

"L'humain a perdu la Raison, il sombre dans l'absurde (notre Absurdie actuelle, Ndlr.), parce qu'il a perdu l'Intelligence de la Bible et il a été séduit par celle du diable.

 

"De nos jours, l'écologie illustre cette absurdité. L'écologie est en effet la religion cosmique (moniste archaïque d'un Cosmos un. Nldr.) qui va justifier la dictature mondiale. C'est absurde puisque cette religiosité exprime une nostalgie de la Création (du jardin d'Eden avant la Chute... Ndlr.) alors qu'elle est mise au service d'un mondialisme destructeur de la Création. L'écologie devrait défendre l'Ordre du Cosmos alors qu'elle est l'extrême révolution, l'apologie du chaos. L'écologie est à la fois l'extrême progressisme, l'aboutissement de la révolte contre Dieu, mais aussi l'anti-science qui peut mettre fin au progressisme ! Certains verront dans cette absurdité écologique une volonté supérieure, tant il est vrai qu'après le Chaos revient l'Ordre...

 

"Nous entrons dans l'espérance. Les temps modernes vont se clore et l'Intelligence sera rendue à l'homme avec la mémoire." (Alain PASCAL, La Guerre des Gnoses, Les ésotérismes contre la tradition chrétienne, tome 2, Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, ibid., p. 203.)

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commentaires

A
ALERTE GÉNÉRALE !!!!!!!<br /> <br /> RISQUE DE JIHAD POUR CE VENDREDI 13 OCTOBRE 2023 !!!!!!<br /> <br /> LE CHEF DU HAMAS A PRÔNÉ UN JIHAD MONDIAL POUR CE VENDREDI 13 !!!!!<br /> <br /> PRÉVENEZ LES GENS, ET SURTOUT CEUX QUI SONT DANS LES GRANDES VILLES !!!!<br /> <br /> C'EST URGENT !!!! <br /> <br /> <br /> <br /> https://www.fdesouche.com/2023/10/11/le-fondateur-du-hamas-appelle-tous-les-musulmans-du-monde-a-un-jour-de-colere-ce-vendredi-13-octobre/
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M
Satan est un être malfaisant et féroce mais il n’est pas très courageux car le courage est une vertu ; or, il est l’archétype de celui qui est dépourvu de toute vertu. On le voit à présent s’attaquer aux jeunes enfants, êtres faibles et sans défense comme il s’est attaqué aux vieillards lors de le farce sanitaire en les privant de soins et en les empoisonnant. Dès lors qu’il trouve face à un homme déterminé qui lui dit »recule, Satan ! », Satan recule comme un minable et prend la fuite. Nous assistons exactement à cela en ce moment ; celui de la déroute lamentable de Satan et de ses suppôts qui, mis en pleine lumière, n’ont plus que les petits enfants comme possibilité de victimes de leurs méfaits. Vous avez raison de dénoncer avec force ces monstruosités car elles sont l’œuvre du Malin commise par des dégénérés à sa solde. Tous ces gens sordides ne craignent qu’une chose : la Lumière, la vraie lumière, celle qui lève le voile sur les mensonges et les turpitudes et non les « Lumières », véritable escroquerie de l’Histoire dont ils se revendiquent en permanence.
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P
Le problème c'est que satan est malin (il est “Le malin”), il emploie des moyens détournés et surtout, il sait se faire des alliés, volontaires ou inconscients. L'adage “l'Enfer est pavé de bonnes intentions” s'avère chaque jour.<br /> Au départ, l'argent, bon serviteur, mauvais maître. L'argent est maintenant maître du monde, y compris en Chine communiste.<br /> S'ajoute maintenant un nouveau maître dévoyé de sa bonne intention première : l'Écologie.<br /> <br /> Il a fallu plusieurs siècle pour mettre ça ça en place, mais maintenant, l'Église elle-même non seulement, ne montre plus aucune résistance, mais après un regain d'énergie sous Jean-Paul II et Benoît XVI, est maintenant devenue complice des dérives modernistes. <br /> Le suicide de l'Église a commencé en 1965, l'agonie est lente, mais sans un regain qu'apporterait un nouveau pape réellement catholique, l'acte de décès sera bientôt signé (Synode sur la synodalité, mariage homosexuels “chrétiens”…) <br /> Le catéchisme qui nous enseigne que “Jésus, il est gentil, il est notre ami” et autres balivernes infantilisantes est oublié et délaissé à l'adolescence, comme tous les jouets de gamin. <br /> La réforme de 65 avait déjà vidé de moitié nos églises en quelques mois, mais plus rien n'est fait pour attirer les jeunes. Même pour des adultes, certaines paroisses sont devenues infréquentable tant il est évident que les prêtres n'ont plus la foi.<br /> <br /> La seule limite à cette chute vertigineuse de l'Humanité, c'est que l'argent, ça ne se mange pas : quand il n'y aura plus que des ultra riches (pas ceux de l'industrie, qui ne sont pas les plus riches, mais ceux de la finance), quand il n'y aura plus d'ouvriers et de paysans, il faudra bien remettre les pendules à l'heure.<br /> On aura juste perdu deux siècles…

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