Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
27 juillet 2021 2 27 /07 /juillet /2021 16:12
Toute pression pour obliger quelqu'un à participer à des essais cliniques contre son gré relève du Code Pénal (art 223-8)

Toute pression pour obliger quelqu'un à participer à des essais cliniques contre son gré relève du Code Pénal (art 223-8)

 

Source : Hélène Palma

Partager cet article
Repost0
27 juillet 2021 2 27 /07 /juillet /2021 13:48
Source : https://remnantnewspaper.com/web/index.php/articles/item/5499-global-chaos-vigano-on-man-s-war-against-god

Source : https://remnantnewspaper.com/web/index.php/articles/item/5499-global-chaos-vigano-on-man-s-war-against-god

Lundi 26 juillet 2021

 

Écrit par + Carlo Maria Viganò

 

Discours d'ouverture de la Conférence du Document de Venise

 

Mgr Carlo Maria Viganò

 

17 juillet 2021

 

Chers amis,

 

Loué soit Jésus-Christ.

 

Cette conférence a le privilège d'être basée dans une ville au passé glorieux, dans laquelle ses dirigeants ont su appliquer avec sagesse le bon gouvernement de chaque règne temporel qui trouve ses principes d'inspiration et d'information dans la religion.

 

La République "Sérénissime" a unifié tous les aspects positifs de la monarchie, de l'aristocratie et de la démocratie, dans un système destiné et conçu pour favoriser la pratique de la religion, le bien-être honnête de ses citoyens, le développement des arts et de l'artisanat, la promotion des métiers et des les échanges culturels, la gestion prudente des affaires publiques et l'administration prudente de la justice.

La trahison des idéaux, de la culture, de la civilisation, du savoir et des arts trouve sa cause dans l'apostasie de la foi, en ayant rejeté deux millénaires de christianisme et en voulant en effacer jusqu'à la mémoire historique avec la cancel culture.

Tant que Venise a été attentive à sa haute vocation, elle a prospéré dans tous les domaines. Lorsque le dernier de ses Doges (gouverneurs) s'est laissé soudoyer par la Franc-Maçonnerie et par la fausse philosophie du mouvement des Lumières, il a coulé en quelques années, condamné à être envahi, pillé puis dépouillé de ses trésors.

 

De l'histoire de la Sérénissime, nous pouvons tirer une grande leçon pour les temps présents, et un avertissement sévère pour le sort de notre pays et des nations en général. Ce qui indique la déchéance d'un empire, c'est la trahison des idéaux qui l'ont fait grand, la perversion de l'autorité, la corruption du pouvoir, la résignation du peuple.

 

Jamais comme à cette époque on n'a vu que le destin du monde entier, et en particulier de l'Europe et des nations occidentales, soit irrémédiablement marqué par tous ces éléments qui préludent à sa chute et à sa ruine.

 

La trahison des idéaux, de la culture, de la civilisation, du savoir et des arts trouve sa cause dans l'apostasie de la foi, en ayant rejeté deux millénaires de christianisme et en voulant en effacer jusqu'à la mémoire historique avec la "cancel culture" (la "culture à annuler". Ndlr.)

Les promesses étonnantes de démocratie, de liberté et de souveraineté populaire ont été brisées en l'absence de moralité civique, d'un sens du devoir ou d'un esprit de service.

Ce qui a été façonné à l'ère chrétienne du sang des martyrs, du témoignage des confesseurs, de l'enseignement des docteurs de l'Église, du magistère des papes et de tout un système de charité industrieuse qui imprégnait tous les domaines de la vie est aujourd'hui rejetée avec l'embarras agacé de ceux qui sont liés au pouvoir.

 

La perversion de l'autorité a fait que les dirigeants, tant dans la sphère civile que dans la sphère religieuse, ne remplissent pas le but pour lequel elle existe, s'écartant du bien commun de sorte que, après avoir rejeté le droit divin des souverains et revendiqué l'origine populaire du pouvoir de l'Etat républicain, au nom de prétendus droits humains et citoyens, la nouvelle classe politique révolutionnaire s'est montrée prête à se vendre au plus offrant, rebelle à Dieu et à ceux qu'elle prétend représenter.

 

Les promesses étonnantes de démocratie, de liberté et de souveraineté populaire ont été brisées en l'absence de moralité civique, d'un sens du devoir ou d'un esprit de service. Née comme une application sociale des principes révolutionnaires inspirés de la franc-maçonnerie, la notion d'"État moderne" s'est avérée être une autre tromperie colossale contre les masses dont la consolation d'une justice divine qui modérerait les excès du tyran a également été arrachée. C'est le cri méchant du "Crucifige" (condamnation) perpétué dans le temps.

 

Après 200 ans, nous comprenons comment cette fraude a été ourdie pour faire croire aux masses qu'elles peuvent déterminer, sur la base de la simple majorité numérique, ce qui est bien et ce qui est mal indépendamment de la loi naturelle et des commandements dont le Seigneur est le maître.

Dans cette prison grise sans barreaux tangibles, la liberté d'expression n'est reconnue qu'au péché, au vice, au crime, à l'ignorance et à la laideur, car ce qui est unique en chaque homme, ce qui le rend spécial, ce qui l'élève au-dessus de la masse informe est une manifestation intolérable de la toute-puissance de Dieu.

Cette tour impie de Babel montre l'effondrement de ses fondations juste au moment où elle semble la plus puissante et destructrice, et c'est une source d'espoir pour nous.

 

L’idole de l’égalité s’effondre aussi, une négation blasphématoire de l’individualité et de l’unicité de chaque homme au nom d’un aplatissement où la diversité est considérée avec suspicion, l’autonomie de jugement est stigmatisée comme antisociale, les compétences intellectuelles sont une faute, l’excellence professionnelle est une menace, et le sens du devoir est un obstacle haineux.

 

Dans cette prison grise sans barreaux tangibles, la liberté d'expression n'est reconnue qu'au péché, au vice, au crime, à l'ignorance et à la laideur, car ce qui est unique en chaque homme, ce qui le rend spécial, ce qui l'élève au-dessus de la masse informe est une manifestation intolérable de la toute-puissance de Dieu, de la sagesse infinie de sa création, de la puissance de sa grâce, de la beauté incomparable de son œuvre.

 

Le mythe de la fausse science s'effondre aussi, rebelle comme son inspirateur à l'harmonie du cosmos divin. L'humble recherche des règles qui régissent la création a été remplacée par la présomption luciférienne de démontrer d'une part l'inexistence de Dieu et son inutilité pour le salut de l'humanité, et d'autre part la divinisation insensée de l'homme qui se considère maître du monde alors qu'il ne peut en être que le gardien, selon les règles éternelles établies par le Créateur. Là où la sage conscience de sa propre fragilité avait permis de grandes découvertes pour le bien de l'humanité, aujourd'hui l'orgueil de la raison enfante des monstres assoiffés de pouvoir et d'argent, quitte à décimer la population mondiale.

L’illusion s’évanouit qu’il peut y avoir une justice où les lois des États ne sont pas inspirées par le bien commun mais par le maintien d’un pouvoir corrompu et la dissolution de l’État social, et où la loi de Dieu est interdite par les tribunaux.

Les fausses idéologies du libéralisme et du communisme s’effondrent, languissant déjà avec d’énormes désastres politiques, sociaux et économiques et aujourd’hui, unis et alliés comme des fantômes d’eux-mêmes dans le projet fou du nouvel ordre mondial. Les paroles prophétiques des Papes sur ces fléaux des nations sont confirmées par l’observation que les deux étaient les deux faces de la même pièce, la pièce de monnaie de l’inégalité sous le couvert de l’équité, et la monnaie de l’appauvrissement des peuples sous l’espèce de la juste répartition des richesses, de l’enrichissement de quelques-uns avec la promesse de plus grandes opportunités pour la multitude.



Les partis politiques s’effondrent aussi, tout comme la prétendue opposition entre droite et gauche, enfants de la Révolution et tous deux instrumentaux à l’exercice du pouvoir. Ayant renoncé aux idéaux qui les inspiraient encore, au moins nominalement, jusqu’aux dernières décennies du XXe siècle, les partis se sont transformés en entreprises, finissant par créer un fossé infranchissable entre l’agenda qui les demande et les besoins réels des citoyens. En l’absence de principes inspirants et de valeurs non négociables, ces partis se sont tournés vers leurs nouveaux maîtres, vers ceux qui les financent, vers ceux qui décident de leurs candidats et les orientent vers l’action, imposent leurs choix et, si la rhétorique attribuait au peuple souverain le pouvoir de nommer celui qui les représentait dans les parlements et reconnaissait la plus haute expression de la démocratie dans le vote, aujourd’hui ceux qui gouvernent regardent avec méfiance et ennui ceux qui voudraient les évincer et les chasser juste avec le vote.

L'illusion s'effondre qu'il peut y avoir une justice où les lois des états ne sont pas inspirées par le bien commun mais par le maintien d'un pouvoir corrompu et la dissolution de l'état social, et où la loi de Dieu est interdite par les tribunaux, l'injustice est en vigueur, l'honnêteté est punie, le crime et le délit sont récompensés. Là où la justice n'est pas rendue au nom de Dieu, les magistrats peuvent légiférer contre le bien en se faisant ennemis de ceux qu'ils doivent protéger et complices de ceux qu'ils doivent condamner.

C'est le royaume de l'antéchrist où le transhumanisme défie le ciel et la nature, dans l'éternel cri de l'ennemi, "Non serviam" (je ne servirai pas).

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2021 1 26 /07 /juillet /2021 19:16
Partager cet article
Repost0
26 juillet 2021 1 26 /07 /juillet /2021 19:04
Source: https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/03/la-floride-interdit-le-passeport-vaccinal-au-nom-des-libertes-individuelles_6075448_3244.html

Source: https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/03/la-floride-interdit-le-passeport-vaccinal-au-nom-des-libertes-individuelles_6075448_3244.html

Le « passeport vaccinal », un document certifiant que son détenteur a été vacciné contre le Covid-19, a été interdit en Floride au nom du respect des « libertés individuelles », a annoncé vendredi 2 avril le gouverneur républicain de cet Etat très touristique. Le décret du gouverneur Ron DeSantis interdit aux services administratifs de cet Etat du sud-est du pays de délivrer des « passeports vaccinaux », ou tout type de « document visant à attester » qu’une personne a reçu un vaccin contre le Covid-19.

 

Le texte empêche aussi les entreprises du « Sunshine State » d’exiger de leurs clients ce type de « passeport vaccinal » ou une preuve d’immunisation au virus. Pour M. DeSantis, proche allié de l’ancien président Donald Trump, « les “passeports vaccinaux” limitent les libertés individuelles » et menacent le secret médical.

 

« C’est totalement inacceptable qu’un gouvernement ou que le secteur privé vous impose de montrer une preuve de vaccination simplement pour participer à la société », avait asséné lundi Ron DeSantis lors d’une conférence de presse. « Vous voulez aller au cinéma ? Est-ce vous devrez montrer ça ? Non. Vous voulez aller voir un match ? Non. Vous voulez aller dans un parc d’attraction ? Non. Nous ne sommes pas d’accord avec ça », avait-il poursuivi.

 

Une hypothèse étudiée par l’administration Biden

Cette annonce survient après la publication d’un article du Washington Post selon lequel l’administration de Joe Bien travaillerait à la mise en place de normes gouvernementales pour un futur passeport vaccinal en vue d’accompagner la levée des restrictions sanitaires dans le pays.

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2021 1 26 /07 /juillet /2021 19:00
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/dr-kierzek-le-passe-sanitaire-pourrait-aggraver-l-epidemie-20210726

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/dr-kierzek-le-passe-sanitaire-pourrait-aggraver-l-epidemie-20210726

Extrait :

 

Ce virus est un virus respiratoire qui évolue finalement de manière assez classique. Par vagues et de manière préférentielle en automne-hiver. Ces vagues d'ampleur successives se succèdent sans que l'Homme ne puisse éradiquer le virus ; la stratégie « Zéro COVID » est donc peu pertinente et d'ailleurs les nombreux pays l'ayant prônée en reviennent. L'air ne peut être supprimé !

 

Dès lors, il est fort probable que nous vivions avec le virus avec une immunisation progressive de la population, naturelle post-infection ou post-vaccinale. Et là encore, le virus va se comporter comme tous les virus depuis des millénaires dont l'unique objectif est de se reproduire en infectant des êtres vivants : il mute pour survivre. Moins la population rencontrée est naïve, c’est-à-dire qu'elle laisse pénétrer le virus facilement, plus le virus cherche à contourner les défenses, se réplique, fait des erreurs et des mutants.

 

Ces mutants ou variants n’en sont pas forcément plus virulents ; souvent, c'est même l'inverse par affaiblissement. Le variant Delta n'est ni le premier ni le dernier ! Chaque année, des virus respiratoires produisent des variants. La différence est que leur séquençage et identification ne font pas la Une des médias, créant une véritable psychose. De la même manière, chaque année meurent des patients d'atteintes virales respiratoires directes ou indirectes par décompensation de comorbidités.

 

[...]

 

Le passe sanitaire est une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom. L'objectif est de rendre la vie des non-vaccinés tellement difficile que cela les pousserait à la vaccination. Hormis le fait que je préférerais convaincre plutôt que contraindre, le passe sanitaire et ses conséquences posent de nombreux problèmes, dont certains pourraient aggraver l'épidémie. D'abord sur le plan éthique et sociétal, il s'agit d'une rupture du secret médical et d'une discrimination sur des données médicales extrêmement graves. Imaginez qu'il faille montrer une sérologie VIH avant d'accéder à la piscine par exemple ? Que penser de l'obligation d'un passe pour se faire soigner à l'hôpital ou rendre visite à un proche ? Comme le rappelle le Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG), « fermer les portes du soin aura des conséquences dramatiques ». Le contrôle de ce passe réalisé par d'autres citoyens, le flicage systématique pour des activités quotidiennes ou encore les volte-faces politiques sur le sujet ou l'excès d'autoritarisme médical n'inspirent pas une société d'apaisement et de confiance…

 

Plus grave encore, conditionner le relâchement des gestes barrières par le passe sanitaire et la vaccination est dangereux. Le vaccin ne protège pas à 100 % ni à titre individuel (formes graves) ni collectif (transmission). Dès lors, supprimer le port du masque en intérieur ou relâcher les gestes simples et faciles à mettre en œuvre comme le lavage des mains va conduire inévitablement à des clusters et potentiellement à un redémarrage épidémique régulier, notamment parce que le passe n'incite pas les bonnes personnes à se faire vacciner :ce sont les jeunes pour lesquels la balance bénéfice-risque est la moins favorable qui le font et ceux à risque (plus de 50 ans avec comorbidités, plus de 65 ans et obèses quel que soit l'âge) ne sont toujours pas vaccinés exhaustivement.

 

Il n'y a pas d'un côté les bons citoyens immunisés (les vaccinés) qui peuvent vivre normalement et les mauvais citoyens, non vaccinés, de l'autre. Chacun doit continuer des gestes barrière : port du masque en intérieur si densité de population et peu de ventilation, lavage des mains, aération… En revanche, finissons-en définitivement avec le masque en extérieur ou la désinfection de toutes les surfaces ou encore les pseudo-distances de sécurité dans les lieux publics ou sens de circulation !

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2021 1 26 /07 /juillet /2021 15:32
https://uncutnews.ch/der-neueste-film-jfk-revisited-von-oliver-stone-kommt-dem-establishment-sehr-ungelegen/

https://uncutnews.ch/der-neueste-film-jfk-revisited-von-oliver-stone-kommt-dem-establishment-sehr-ungelegen/

La semaine dernière, au Festival de Cannes, Oliver Stone a présenté en avant-première son nouveau documentaire sur l'assassinat de John F. Kennedy, intitulé "JFK Revisited : Through the Looking Glass", qui est complètement ignoré par les médias. Un signe indubitable que le film a quelque chose à offrir.

 

Au Festival de Cannes, les grands médias célèbrent des films étranges et sexuellement chargés, mais ignorent la nouvelle version d'Oliver Stone sur l'inquiétant assassinat du président américain John F. Kennedy. Je me demande : pourquoi ?

 

Il faudrait supposer que cela ferait des vagues dans les médias si Oliver Stone, le polarisant double lauréat de l'Oscar du meilleur réalisateur - dont le premier film de JFK a fait un tel émoi que le gouvernement américain s'y est forcé en 1992 a vu le passage d'une loi sur les dossiers d'enquête sur le meurtre de JFK - un film documentaire explosif sur ce meurtre présenté en avant-première à Cannes. Mais ce serait faux. Lors de la première de "JFK: Revisited" le 12 juillet, le film n'était pas digne d'être reconnu ou critiqué par les médias institutionnels. Ils l'ont simplement ignoré comme s'il n'avait jamais été produit.

 

On aurait pu penser que la présentation à Cannes d'un documentaire explosif sur l'assassinat de JFK par Oliver Stone, double lauréat de l'Oscar du meilleur réalisateur, dont le premier film sur le thème de JFK a suscité un tel émoi que le gouvernement américain a été contraint d'adopter une loi sur les dossiers d'enquête relatifs à l'assassinat de JFK en 1992, aurait fait grand bruit dans les médias. Mais c'est faux. Lors de la première de "JFK : Revisited", le 12 juillet, le film n'a pas mérité d'être apprécié ou même critiqué par les médias. Ils l'ont simplement ignoré comme s'il n'avait jamais été produit.

 

Jusqu'à présent, le New York Times a couvert le Festival de Cannes en onze articles, dont la plupart se sont concentrés sur des films au contenu obscène tels que "Benedetta", une histoire sensuelle sur des nonnes lesbiennes ; "Annette", une comédie musicale dans laquelle Adam Driver chante le sexe oral sur Marion Cotillard et "Titane", un film dans lequel une femme a des relations sexuelles avec une voiture et lactate de l'huile moteur. Mais pas une seule fois "JFK Revisited" n'a été mentionné dans le prétendu "journal faisant autorité pour l'actualité".

 

Il en va de même pour le Washington Post , le Boston Globe , le Los Angeles Times, le Chicago Tribune, le British Guardian, l' Atlantic, le New Yorker et toutes les autres publications grand public que j'ai parcourues. Aucun de ces journaux ne reconnaît la simple existence du film "JFK Revisited".

 

Les seules mentions médiatiques que j'ai pu trouver étaient dans des magazines américains comme Variety et le Hollywood Reporter, ainsi que dans la presse britannique, le Times et le Daily Telegrap . Les avis sur le film étaient partagés, Variety et le Times donnant des critiques négatives, tandis que le Hollywood Reporter et le Daily Telegraph louaient le film.

 

Alors que la méchanceté présumée des agences de renseignement cubaines et les théories du complot font la une des journaux et que la maigre évaluation critique de ce documentaire a été divisée, il semble étrange que les médias maintiennent le statu quo en célébrant la dépravation sexuelle dans les films plutôt que de débattre du film d'Oliver Stone à découvrir la vérité sur le meurtre.

 

[...]

 

Stone est devenu un paria de l'establishment lorsqu'il a longuement interviewé Fidel Castro en 2002 et le président russe Vladimir Poutine entre 2015 et 2017 pour des projets de films sur les deux personnalités. Stone a parlé aux ennemis de l'Amérique au lieu de simplement réciter le mantra officiel inutile. Un péché impardonnable aux yeux des médias grand public qui croient qu'il n'y a qu'une seule façon de voir les choses et qu'il ne faut pas la compliquer en écoutant au lieu de crier sur l'ennemi.

 

La manière polarisante de Stone et sa loyauté envers la vérité sur les points de vue officiels sont la raison pour laquelle "JFK Revisited" est délibérément ignoré. Chaque presse est une bonne presse. Même la mauvaise note d'un film fait prendre conscience de son existence. Par conséquent, appuyer sur le bouton ignorer est le meilleur moyen pour l'establishment de faire taire Stone et de maintenir le statu quo dans le récit de JFK. Et jusqu'à présent, le black-out des médias fonctionne comme prévu, car "JFK Revisited" n'a pas encore trouvé de distributeur sur le marché américain avide de contenu.

 

Source: DE.RT | UncutNews

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2021 1 26 /07 /juillet /2021 08:56

Afin d'interdire aux personnes qui ne veulent pas se vacciner Covid de précisément faire le choix de ne pas se vacciner, Emmanuel Macron est venu sur le terrain de la philosophie morale et a déclaré que "la liberté s'arrête là où commence celle des autres".

Sur sa chaîne YouTube, l'avocat Fabrice Di Vizio, revient longuement sur cette parole du président afin d'expliquer en profondeur la notion de "liberté" et sa conclusion est que la liberté proposée par le président de la république n'est pas une liberté : "Les conditions pour un choix libre ne sont pas réunies. Les conditions d'exercice de ma liberté ne sont pas réunies, et aujourd'hui le choix d'une vaccination n'est pas un choix libre, mais un choix intrinsèquement mauvais."

Extrait :

 

"J'ai été choqué par le mot de Macron qui a dit que la liberté était une fiction. [Ndlr. Précisément : "La liberté où je ne dois rien à personne n'existe pas. Que vaut votre liberté si vous me dites que vous ne voulez pas vous faire vacciner? Si demain vous contaminez votre père, votre mère ou moi-même, je suis victime de votre liberté (...) Ça, ce n'est pas la liberté, ça s'appelle l'irresponsabilité, l'égoïsme". [...] J’assume totalement d’avoir pris des décisions éclairées pour protéger les Français et les Françaises." Fin de citation.]

https://www.lindependant.fr/2021/07/25/vaccination-la-liberte-ou-je-ne-dois-rien-a-personne-est-une-fiction-estime-emmanuel-macron-9692813.php

https://www.lindependant.fr/2021/07/25/vaccination-la-liberte-ou-je-ne-dois-rien-a-personne-est-une-fiction-estime-emmanuel-macron-9692813.php

"La liberté c'est le cœur de la philosophie morale.

 

La philosophie morale, je vous le rappelle, c'est ce qui conditionne l'agir de l'homme, c'est ce qui fait que l'homme est homme. Et c'est ce qui fait que l'homme est incliné vers le bien, et l'inclinaison de l'âme vers le bien.

 

La liberté est-elle une fiction ?

 

C'est déjà très inquiétant qu'il dise cela. Parce que en fait, non, la liberté est d'abord une réalité. Elle n'est pas une fiction, elle n'est jamais une fiction. Ce qu'il aurait dû dire c'est que la liberté totale est une fiction.

 

Réfléchissons sur un point. Je me vaccine pour les autres. Si je ne me vaccine pas je mets en danger les autres. Dès lors effectivement, je suis libre de ne pas me faire vacciner mais il faut que j'accepte les conséquences de ma liberté. Et dès lors, il est naturel que l'on me restreigne ma liberté, puisque si je l'exerçais sans entrave, je me verrais me constituer un danger pour les autres, ce qui naturellement est inacceptable.

 

Réfléchissons-y un instant. Commençons par le commencement. C'est quoi la liberté ?

 

La liberté, faculté naturelle pour l'homme de choisir

 

La liberté, je prends Saint Thomas. Les commentateurs de Saint Thomas disent en substance que la liberté, c'est une faculté naturelle pour l'homme de choisir. C'est vraiment la première étape.

 

Il est libre lorsque il ne dépend pas des autres et lorsqu'il a la faculté de choisir, c'est-à-dire que notre liberté suppose un choix.

 

Cette notion de choix est intéressante parce que pour qu'il y ait un choix, il faut qu'il y ait une orientation vers le bien. Je choisis le bien, et évidemment je peux choisir le mal. Mais ma liberté est tout entière orientée vers le bien. Et pour qu'elle soit orientée vers le bien, il y a des conditions, il faut que mon choix soit prudent. Il faut qu'il soit conforme à la vertu de prudence, vertu cardinale, au sens où c'est une inclinaison naturelle de l'homme, consubstantielle à l'homme, et l'homme est le seul être de la création à en disposer.

Je viens faire un choix libre lorsque je fais un choix qui est prudent.

 

La prudence permet de discerner en toutes circonstances quel est le bien, et du coup, d'adapter les moyens pour y parvenir. Elle est complètement liée à l'intelligence. C'est la raison pratique, celle qui, effectivement, va se guider vers l'action. Il n'y a pas d'action bonne s'il n'y a pas d'exercice de la vertu de prudence.

 

Pour qu'il y ait une vertu de prudence, pour que vous fassiez un choix libre, il vous faut trois conditions. Un, il faut une délibération. Je dois préalablement peser les conséquences de mon choix; je vois si, effectivement, je me remémore la fin que je vise. Quel est le but ? Est-ce que ma fin est juste et bonne ? Si ma fin n'est pas bonne, c'est un problème. Exemple : Je pose un acte non pas par solidarité mais juste pour moi (Exemple : la vaine gloire. Je viens effectivement accomplir non pas un acte de charité envers mon frère parce que c'est bien pour lui, l'aider, mais je le fais par vaine gloire (mon but est d'en tirer une gloire). 

 

À l'inverse, si la fin est bonne, si le but est bon (aider mon frère), il va falloir que je vérifie si mes moyens sont proportionnés. Exemple : ici, la vaccination. Pourquoi je me vaccine ? Est-ce que je me vaccine parce que c'est important pour mes frères et pour la communauté ? Ou est-ce que je me vaccine pour aller au restaurant ? Si je me vaccine pour aider mes frères, ma fin est bonne. Si je me vaccine pour aller au restaurant, c'est un problème parce que là, j'oriente ma liberté vers un bien matériel. Et donc ma fin n'est pas bonne, elle n'est pas celle visée par la vaccination.

 

Deuxième étape, une fois que nous avons délibéré, nous devons choisir. En effet, là, c'est le moment où nous nous posons la question de savoir si les moyens que je vais utiliser sont bons, le moment où je vais peser toutes les conséquences du choix que je vais faire, le moment où je vais vérifier que ce choix n'est pas entravé par la passion, par l'émotion, mais qu'il est bien un choix rationnel, et qu'il est un choix que j'ai pris le temps de réfléchir. Il n'y a pas de choix libre dans l'impulsion. Le choix nécessite une raison, la raison est le contraire de l'impulsion. Exemple : Je me fais vacciner parce que j'ai entendu Emmanuel Macron et que tout à coup j'ai peur, j'ai peur de ce qu'il dit. Ou bien : Je vais me faire vacciner parce que j'ai un pistolet sur la tempe et que j'ai peur. Mon choix n'est pas libre

 

[Chez Saint Thomas, l'homme n'est pas libre lorsqu'il est contraint par une force extérieure à agir d'une certaine façon. De même, l'homme n'est pas libre lorsqu'il ne possède pas le libre arbitre et la volonté libre. La liberté est la faculté de se mouvoir vers le bien, c'est l'auto-mouvement, l'engagement vers une fin métaphysique (le bien), un choix en vue d'une fin que la volonté peut ne pas vouloir. (Cf. Pdf. "La liberté humaine chez Thomas d'Aquin".) Ndlr.]

 

 

Avons-nous le droit de coopérer à la tyrannie "sanitaire" en recevant un vaccin ?

 

Là, en l'occurrence je n'exerce pas un choix prudentiel la deuxième étape - celle du discernement - manque. Ce n'est pas possible car il manque la raison. Je ne peux pas poser un acte libre si c'est un acte passionné ou émotif.

 

Troisième étape. Je décide.

 

Tout cela, cette prudence, ce choix, cette liberté, c'est pour mon bien. Soyons clair : il n'existe pas de choix libre qui soit orienté uniquement vers le bien de l'autre sans que mon bien soit pris en compte.

 

Ce qui est mal pour moi n'est jamais bien pour l'autre. Cela n'existe pas car je ne peux pas faire un choix mauvais.

 

Si mon choix est bon pour l'autre, c'est qu'il est bon pour moi. Et il n'existe pas de choix qui serait mauvais pour moi mais bon pour les autres. Il existe des choix qui seraient bons pour moi et mauvais pour les autres, cela est possible, mais il n'existe pas de choix qui serait mauvais pour moi et bon pour les autres. Donc, si je fais un choix qui est bon pour les autres, c'est que j'ai fait le choix d'un renoncement finalement (à un confort, à ce que vous voulez) pour moi, mais, effectivement, c'est parce qu'il me procure un plus grand bien. Ce renoncement me procure un plus grand bien.

 

Donc, lorsque Emmanuel Macron dit 'votre liberté est une fiction', il se trompe.

 

Quand on vous dit, 'écoutez, vous devriez vous vacciner pour protéger les autres', ce n'est pas possible. Ce n'est pas un acte bon. Cet acte n'est bon que s'il est bon pour moi.

 

Je le dis autrement. Si effectivement je viens me vacciner pour protéger les autres sans que je n'y retire un bien personnel, mon bien personnel ce sera le bien des autres, cela est possible, mais cela il ne peut pas me l'imposer. Cela n'est pas possible philosophiquement. Il ne peut pas m'imposer un acte qui n'a aucune espèce de bien pour moi mais qui a un bien uniquement pour les autres et que je tirerai par la force du canon. Exemple : la collectivisation soviétique. Le Parti m'impose un choix sans considérer mon bien personnel, je ne suis plus personne, je suis rien, je suis un numéro au milieu d'une foule, et ce qui m'importe c'est le bien de la foule et mon bien à moi ne compte pas. Cela n'est pas possible parce qu'effectivement, en philosophie morale, la recherche de mon bien n'est pas égoïste, au contraire c'est la première étape vers la recherche d'un bien commun. Le Bien commun se nourrit du bien individuel et il n'y a pas en soi d'opposition entre mon bien propre et le bien de la communauté. Cela n'existe pas. Il n'y a pas de bonheur de la collectivité tiré du malheur de ses individus

 

Le bonheur de la communauté, le bien de la communauté est toujours issu de la rencontre des bonheurs individuels. Cela n'existe pas une société où il y aurait une communauté, une collectivité un intérêt général préservé, une nation heureuse avec des gens malheureux. C'est n'importe quoi. [Nldr. C'est d'ailleurs la première phrase de la déclaration des droits de l'homme de 1789 : "Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que [...] les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous."]

 

Si je me vaccine, est-ce que j'en tire un bien personnel ?

 

Oui, parce que cela évite de faire des formes graves (nous dit-on) si je suis une personne à risque.

Si votre plus grand bien est d'éviter les formes graves, alors, vous devez vérifier si la probabilité d'en faire, c'est-à-dire le moyen que vous allez adopter - qui est la vaccination - est le moyen le plus proportionné et les plus adéquat ?

 

Lire : Le nombre de décès quotidiens dus au COVID atteint zéro en Suède, alors que d’autres pays se préparent à de nouveaux verrouillages 

USA. Un procès fédéral demande l’arrêt immédiat des vaccins COVID, le CDC ayant sous-estimé les décès dus aux vaccins

La vaccination contre la grippe aviaire "n'avait eu aucun 'effet barrière'", et "une vaccination supplémentaire itérative" n'est "pas sans conséquence à terme sur le système immunitaire" (Rapport du Sénat n° 685 session extraordinaire 2009-2010)

Pour la deuxième semaine consécutive, il y a eu plus de décès aux États-Unis après la vaccination Covid que de décès dus au virus lui-même  

En Angleterre, plus les gens sont vaccinés, plus ils décèdent

Pr Perronne: “Tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts, ce sont des pays qui ont vacciné massivement”

RTL: "Des chiffres qui commencent à faire douter les autorités sanitaires sur l’efficacité du vaccin Pfizer sur le variant delta"

Données israéliennes : Les personnes nouvellement infectées - celles qui ont été vaccinées en premier

 

Telegraph : études britanniques sur la Covid. La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par ceux qui ont reçu deux doses du vaccin, représentant respectivement environ 60 et 70 pour cent de la vague

Telegraph : études britanniques sur la Covid. La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par ceux qui ont reçu deux doses du vaccin, représentant respectivement environ 60 et 70 pour cent de la vague

Un rapport britannique urgent demande l'arrêt complet des vaccins COVID chez l'homme

Un rapport britannique urgent demande l'arrêt complet des vaccins COVID chez l'homme

La liberté, "une fiction" ? Se vacciner est-il un acte vertueux ?
La liberté, "une fiction" ? Se vacciner est-il un acte vertueux ?
La liberté, "une fiction" ? Se vacciner est-il un acte vertueux ?
Les personnes vaccinées décèdent 6,6 fois plus du variant delta que les personnes non vaccinées.

Les personnes vaccinées décèdent 6,6 fois plus du variant delta que les personnes non vaccinées.

Je pourrais très bien décider de mettre des masques FFP2, de respecter de la distanciation sociale, d'adopter tout moyen qui serait effectivement proportionné et dont j'estimerai qu'au regard de la fin visée et de la probabilité pour qu'elle se réalise et du risque qu'il se réalise (développer des formes graves), j'adapte des moyens à la fin que je vise, qui est la protection des formes graves (Cf. Les liens d'articles ci-dessus), j'estime que le vaccin n'est pas le moyen le plus proportionné.

 

Si j'ai 70 ans, je pourrais me dire que la vaccination est un moyen proportionné parce que je suis susceptible de faire une forme grave si je l'attrape, et le vaccin, potentiellement m'en empêche et donc ce serait le moyen le plus proportionné. Mon bien n'est pas le même, la probabilité de faire une forme grave n'est pas la même à 30 ans, à 40 ans, à 20 ans, à 12 ans qu'à 70 ans, c'est incontestable. Donc l'argument consistant à dire que le but de la vaccination c'est de me protéger de faire des formes graves cela ne marche plus. Et dans ces cas là aussi la solidarité n'a plus rien à voir.

 

Mais on nous dit aussi 'c'est pour protéger les autres'.

 

Qui ? Je protège qui ? Je ne peux par nature protéger que les personnes non-vaccinées. Puisque les personnes vaccinées sont protégées par leur vaccin. Le président de la république l'a dit encore ce matin en Polynésie française : 'si vous l'attrapez vous ne ferez pas de forme grave.' Donc protéger les personnes vaccinées n'a aucun sens. La cause finale du vaccin ne peut pas être par nature de protéger les personnes vaccinées.

La liberté, "une fiction" ? Se vacciner est-il un acte vertueux ?

[...] J'ai 20 ans, j'ai 30 ans, j'ai 40 ans, l'État m'oblige en me disant tu te vaccines par solidarité avec les autres et ne pas te vacciner est un acte égoïste.

 

D'abord, ce n'est pas vrai. Si je ne tire aucun bénéfice personnel de ce bien ce n'est pas de l'égoïsme. La vertu, je vous le redis, c'est la recherche du bien, l'inclinaison au bien et un bien qui m'est propre. Cela n'existe pas un bien collectif sans bien propre [Cela n'existe pas un bien collectif sans les droits naturels. Cf. L'introduction à la déclaration des droits de l'homme de 1789 citée un peu plus haut... Ndlr.]Sinon c'est du communisme, sinon effectivement c'est du fascisme, sinon c'est de la dictature. Sinon c'est du contrôle des populations à la coréenne. Cela ne marche pas. En philosophie morale, mon bien personnel compte. Je suis un homme, et j'ai un droit, un droit naturel à avoir une inclinaison au bien, puisque c'est de cela qu'il s'agit et que c'est cela qui me caractérise. 

 

[...] Mais ici (dans la configuration de Macron. Ndlr.], je ne tire aucun avantage de mon bien, plus exactement, je ne tire aucun avantage à me faire vacciner, aucun avantage pour ce qui me concerne, mais je vais devoir faire ce choix, pour 'protéger', par 'solidarité' des gens dans une tranche d'âge qui refusent, eux, de poser un acte libre, qui pour eux est bon potentiellement, et qui donc les incline au bien.

 

Vous comprenez l'idée ? 

 

Il y a ce paradoxe, ce renversement de situation, qu'au fond, c'est à moi, et écoutez bien le mot que je vais employer, de me sacrifier. C'est un sacrifice. La nation me demande un sacrifice, à moi. Et parce que je ne veux pas me sacrifier, elle me restreint mes libertés, dans l'espoir que ceux qui ne veulent pas se faire vacciner, et qu'y trouveraient un bien en ce qui les concerne, le fassent finalement parce que contraints par les circonstances à défaut d'être libres intérieurement. 

 

En d'autres, termes, on me parle d'égoïsme, mais qui est égoïste dans l'histoire ? Est-ce que c'est moi qui est égoïste ou est-ce que c'est l'État qui est profondément égoïste, lorsqu'il vient faire en sorte que (1) je sois vacciné non pas parce que c'est bien pour moi mais parce que je le fais sous la peur. Donc déjà je ne suis plus libre, je ne suis plus dicté par la raison mais par la contrainte. Et (2) l'État le fait pour protéger des populations qui ne veulent pas se faire vacciner et qu'il n'est pas je ne suis pas capable de convaincre que c'est conforme à leur bien.

 

Parce que au fond, si tous les fragiles étaient vaccinés, il n'y aurait pas de problème. Ce débat (le discours du président de la république ce matin en Polynésie), on ne l'aurait pas.

 

[...]

 

Je devrais me faire vacciner, et faire vacciner mes enfants pour protéger des personnes âgées, fragiles, qui considèrent - et c'est leur droit le plus élémentaire, je ne le débats pas -, que finalement elles ne tirent pas avantage à la vaccination, ne le souhaitent pas, parce que elles considèrent que ce n'est pas le moyen le plus proportionné pour leur plus grand bien, ou alors n'ont pas fait un choix libre parce que on ne les a pas aidées à le faire. Et bien, cela n'est pas possible.

 

[...] Dès lors, le président de la république qui vous dit ensuite qu'il y a douze fois moins de chance qu'un vacciné contamine douze fois moins, c'est faux. C'est une projection, une hypothèse. Il ne peut pas se baser sur une projection pour affirmer une vérité. Donc on voit que le président de la république ment. Et s'il ment, ce ne peut pas être un choix en vérité. S'il ne mentait pas, il n'aurait pas besoin d'utiliser la contrainte. Tous ces gouvernements qui échouent à vacciner la population c'est parce qu'ils mentent en permanence. À partir du moment où vous mentez pour obtenir l'adhésion, il y a un problème, cela veut dire que votre choix n'est plus libre.

 

Aujourd'hui, celui qui décide de se vacciner sur la base des déclarations d'Emmanuel Macron fait un choix qui concrètement est un choix qui n'est pas libre.

 

Le choix libre c'est celui qui consiste à dire je ne sais pas si le vaccin va empêcher la transmission ou dans quelles proportions; je ne sais pas si c'est bien douze fois ou pas, j'en sais rien, mais je choisis avec ces inconnues néanmoins de le faire quand même parce que je considère que cela me protège moi, même si je ne suis pas à risque, parce que je considère qu'il est proportionné; je veux bien considérer qu'il protège les autres même si je ne suis pas sûr, et qu'en plus cela me permets d'avoir une petite médaille et cela fait de moi un mec bien. ok, je le fais. Mais concrètement ici, les conditions ne sont pas réunies pour qu'un choix soit libre.

 

Et je suis très étonné que le président de la république vienne employer ce mots de liberté parce que concrètement dans cette histoire de la vaccination (obligatoire contre la Covid. Ndlr.), on ne peut pas faire un choix libre.

 

Pourquoi on ne peut pas faire un choix libre ?

 

Dernier élément. Parce qu'un choix libre est un choix qui est fait en fonction des considérations dont je dispose pour pouvoir discerner. Aujourd'hui, je n'ai pas assez de données pour dire que ce choix est bon, qu'il est incliné au bien. J'ai une autorisation d'urgence, une autorisation de mise sur le marché (AMM) 'conditionnelle'. L'autorité sanitaire n'a pas encore d'idée précise du point de savoir si le vaccin est totalement favorable sur le plan de la balance bénéfices risques, et si les données dont nous disposons sont complètes. Or, ces données ne sont pas complètes. Et donc, je ne peux pas faire un choix libre sur la base d'un manque de données. Je ne sais pas encore quels sont les inconvénients du choix que je vais faire, ni d'ailleurs les avantages du choix que je vais faire. Exemple: est-ce que si j'avais su en janvier 2021 qu'il fallait faire trois doses de vaccin je l'aurais fait ? Les gens n'ont pas été prévenus qu'il faudrait une troisième dose. Ceux qui ont fait le choix de se vacciner en janvier 2021 sans savoir qu'il faudrait une troisième dose n'ont pas fait un choix libre. Puisque (1) on leur a menti. (2) Il leur manquait des données, et ils n'ont pas pu faire un discernement libre sur ces données.

 

Donc aujourd'hui, la liberté, elle est complètement battue en brèche. La condition d'un choix bon, c'est un choix libre et la condition d'un choix libre, c'est un choix bon. Et donc je n'ai pas suffisamment d'éléments pour faire un choix, qui est celui de la vaccination.

 

[...]

 

Donc ici, à la question égoïsme versus générosité, je réponds émotion versus raison. Je suis un être de raison. Et aujourd'hui, la raison commande (1) de ne pas me faire vacciner si je ne suis pas dans les conditions d'un choix libre, d'un choix prudent. Si je posais un tel acte serait désordonné, il serait mauvais puisque je n'ai pas tous les éléments, toutes les données. (2) de ne pas me faire vacciner parce que l'autorité sanitaire elle-même dit qu'elle n'est pas sûre.

 

[...]

 

Les conditions pour un choix libre ne sont pas réunies. Les conditions d'exercice de ma liberté ne sont pas réunies, et aujourd'hui le choix d'une vaccination n'est pas un choix libre, mais un choix intrinsèquement mauvais." (Fin de citation)

____________

Un grand merci à Maître Fabrice Di Vizio pour cette démonstration.

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2021 7 25 /07 /juillet /2021 22:57

La nouvelle version du texte amendé dans la soirée au sénat ne mentionne finalement plus de motif de licenciement. Cependant, le salarié pourrait toujours s'exposer à une suspension de salaire. Or, la suspension du salaire revient à une suspension du contrat, si bien que si le licenciement n'est pas explicite, la situation pourrait être pire. Le salarié n'étant pas licencié, mais simplement "suspendu" sans salaire, pourrait être amené à devoir démissionner sans indemnités. Un peu comme si on le condamnait à une mort à petit feu sans échappatoire. 

https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/07/25/passe-sanitaire-deputes-et-senateurs-parviennent-a-un-accord_6089503_3244.html

https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/07/25/passe-sanitaire-deputes-et-senateurs-parviennent-a-un-accord_6089503_3244.html

Selon les informations du Monde, les parlementaires se sont accordés pour que le projet de loi s’applique jusqu’au 15 novembre plutôt que jusqu’au 31 décembre, comme le souhaitait l’exécutif. Principal changement obtenu par les sénateurs : le refus de se conformer à l’obligation vaccinale ou de présenter un passe sanitaire ne constituera pas, pour les professions concernées, un motif de licenciement (il pourra toutefois donner lieu à une suspension de salaire). Cette mesure, très décriée, faisait partie des principales récriminations des manifestants qui ont défilé en nombre samedi contre le projet de loi et la politique sanitaire du gouvernement. (Le Monde)

 

Le pass sanitaire s'appliquerait ainsi toujours sur les terrasses des bars et restaurants, en extérieur. Alors que les Sénateurs souhaitaient que le pass ne s'applique qu'aux personnes majeures, le compromis repousse plutôt qu'annule l'application du pass sanitaire aux mineurs. Il entrerait en vigueur pour les 12-17 ans qu'à partir du 30 septembre.

 

Les centres commerciaux ne seraient également plus concernés par le pass sanitaire. Cela ne concerne pas les restaurants au sein de ces lieux, qui sont eux, toujours soumis à ce contrôle. (Lci)

 

Un amendement gouvernemental de dernière minute a habilité de manière très encadrée les préfets à imposer le passe pour certains centres commerciaux, une mesure dont ne voulaient pas les sénateurs et qui avait disparu en commission mixte. Une chose est sûre en revanche, les employés des bars et restaurants non vaccinés ne pourront être licenciés. Enfin, les sanctions administratives seront privilégiées aux sanctions judiciaires. Dans la soirée, le texte devait être définitivement adopté par l'Assemblée et par le Sénat. (Le Figaro)

 

Si la mise à l'isolement en cas de diagnostic positif du Covid reste obligatoire, le contrôle devrait être effectué par l'Assurance maladie, comme le Sénat le souhaitait, avec une intervention des forces de l'ordre, si besoin. Les contrôles relèveront de la police administrative et non du pénal dans un premier temps, ont détaillé des sources parlementaires. Enfin, au-delà du 15 novembre, le dispositif de pass ne pourra se poursuivre qu'avec un nouveau vote du Parlement. (Lci)

 

Parmi les autres points d'accord, les parlementaires sont revenus sur la menace de renvoi des salariés en cas de refus du pass sanitaire. Finalement, un salarié ne pourra pas être licencié s'il n'a pas de pass sanitaire ou s'il n'est pas vacciné, mais une suspension de salaire devra être appliquée. Cette mesure inclurait aussi bien aux soignants qu'aux personnes travaillant dans les établissements qui accueillent du public comme les restaurants ou les cinémas. Ce point avait été âprement discuté dans les deux chambres et avait entraîné de nombreuses contestations. (Lci)

 

C'est une mesure que de nombreux avocats et défenseurs des salariés dénonçaient, évoquant des atteintes au droit du travail. 

 

Cette mesure était pourtant souhaitée par le gouvernement. D'abord évoquée pour inciter les soignants à se faire vacciner, elle avait été étendue aux personnes travaillant dans les établissements recevant du public dans le projet de loi voté par l'Assemblée nationale dans la nuit de jeudi à vendredi. Les concernés avaient alors jusqu'au 31 août prochain pour obtenir le pass sanitaire, sous peine de licenciement.

 

La nouvelle version du texte ne mentionne finalement plus ce motif de licenciement. Cependant, le salarié pourrait toujours s'exposer à une suspension de salaire. Or, la suspension du salaire revient à une suspension du contrat, si bien que si le licenciement n'est pas explicite, la situation resterait la même. [La situation, en fait, serait pire puisque le salarié n'étant pas licencié, mais simplement "suspendu" sans salaire pourrait être amené à devoir démissionner sans indemnités. Un peu comme si on le condamnait à mourir à petit feu sans échappatoire. Note du blog Christ-Roi.]

 

De nombreux juristes ont également dénoncé des atteintes multiples au droit. Le respect de la vie privée et de secret médical était notamment évoqué. L'avocat Bruno Sévilla a aussi évoqué d'une évolution "surréaliste" du droit qui remettrait en cause "toutes les conventions internationales, nos normes constitutionnelles internes" et "la jurisprudence de 30 ans de la Cour de cassation sur le principe de non-discrimination et de respect de la vie privée". Une fois voté, le projet de loi sanitaire sera transmis au Conseil constitutionnel. (Lci)

 

Voici les lieux où l'on devra désormais présenter un pass sanitaire.

 

Les lieux de loisirs et de culture

Il s'agit essentiellement de lieux ou d'établissements prévus pour des "activités culturelles, ludiques, sportives ou festives ainsi que les foires ou salons professionnels", selon le texte de ce décret. Les musées et bibliothèques ont toutefois ajoutés à la liste de ces lieux précédemment définie par le décret d'origine.

 

Sont concernés notamment les salles de conférences, de spectacles, les cinémas, les chapiteaux, les parcs de loisir, les salles de jeux et de danse, les foires-expositions ou des salons ayant un caractère temporaire, ainsi que les établissements sportifs couverts. Sont également concernés par cet abaissement de la jauge, "les événements culturels, sportifs, ludiques ou festifs organisés dans l'espace public ou dans un lieu ouvert au public". Enfin, tombent sous le coup du décret les navires et bateaux de croisière, à passager avec hébergement ou effectuant des liaisons internationales, entre des collectivités ou vers la Corse.

 

Cafés, restaurants, trains...

Le projet de loi sanitaire adopté par le Parlement dimanche soir prévoit de son côté l'extension du pass à tous les établissements recevant du public. Sont donc concernés les cafés et les restaurants, même en terrasse. Il faudra aussi présenter le pass sanitaire à l'entrée des maisons de retraite et des hôpitaux, que ce soit pour les patients comme pour les visiteurs, sauf pour les urgences.

 

Le contrôle du pass sanitaire sera effectué par les personnes travaillant dans ces lieux. Les contrôles relèveront dans un premier temps de la police administrative et non du pénal, établissant un échelonnement des sanctions contre les établissements qui reçoivent du public et qui refusent de contrôler le pass sanitaire.

 

Le pass sanitaire sera également nécessaire pour tout trajet de longue distance. Il sera donc demandé pour ces trajets, que ce soit en avion, en train ou en bus. Enfin, dans les lieux de culte, le pass sanitaire sera nécessaire pour les visiteurs qui s'y rendent, mais pas pour les activités cultuelles qui s'y déroulent, comme les cérémonies religieuses. (Lci)

 

Passe sanitaire : plus de licenciement pour les salariés refusant l’obligation vaccinale mais une suspension de salaire
https://www.europe1.fr/economie/covid-les-salaries-sans-pass-sanitaire-pourront-prendre-des-rtt-ou-des-conges-selon-borne-4058835

https://www.europe1.fr/economie/covid-les-salaries-sans-pass-sanitaire-pourront-prendre-des-rtt-ou-des-conges-selon-borne-4058835

Mis à jour le 27/0/2021

 

Source : https://www.lefigaro.fr/societes/l-obligation-vaccinale-pour-les-adultes-reste-une-hypothese-souligne-elisabeth-borne-20210727

 

À compter de fin août, les employés des établissements soumis au passe sanitaire devront eux-mêmes en présenter un. Invitée à s'exprimer sur les sanctions qui s'appliqueront aux travailleurs qui refuseront de s'y conformer, Élisabeth Borne s'est montrée claire : «Il ne faut pas laisser croire aux salariés qu'il ne peut pas y avoir de licenciements. «Le droit commun du Code du travail s'appliquerait», le cas échéant, a-t-elle noté.

 

[...]

 

Le licenciement moins encadré

Si au 30 août un individu n'est pas en mesure de fournir un passe sanitaire valide, la ministre a rappelé que la loi prévoyait «un entretien avec l'employeur pour voir comment il peut répondre à son obligation, qu'il peut prendre des RTT, qu'il peut prendre des jours de congé et qu'il peut aussi voir avec l'employeur s'il peut être repositionné sur un poste qui ne nécessite pas de passe sanitaire». En derniers recours, le salarié peut-être suspendu de son poste le temps de se mettre en conformité. Ce qui implique automatiquement une suspension «du versement de la rémunération» sur la période.

 

Si le projet de loi n'évoque pas le licenciement, cette solution n'est pas exclue. Au contraire Élisabeth Borne, rappelle que le but de la rédaction initiale proposée par le gouvernement, modifiée par les parlementaires, était de protéger le salarié : «on souhaitait encadrer le licenciement (...) en disant, notamment, qu'il ne pouvait pas intervenir avant deux mois». Le Sénat ayant supprimé cette mention cette possibilité d'un licenciement est désormais «moins encadrée», a mis en garde la ministre. «Peut-être qu'il pourra intervenir plus tôt», a-t-elle ajouté.

 

Pour l'heure, l'exécutif va laisser le texte en l'état, estimant que l'écrasante majorité des salariés iront se faire vacciner. Néanmoins, si ces dispositions devaient être prolongées au-delà de novembre, «il faudra qu'on revienne vers le Parlement pour bien encadrer cette procédure de licenciement», a noté Élisabeth Borne.

_________________________

Projet de loi sanitaire : "un fort risque d'inconstitutionnalité" selon le juriste Dominique Rousseau

 

"Le licenciement était une sanction manifestement disproportionnée. La suspension du contrat avec suspension du salaire reste une sanction disproportionnée et une sorte de licenciement déguisé ou retardé, puisqu'elle ne s'accompagnera d'aucune garantie indemnitaire. Donc, il y a une atteinte au principe de droit du travail. Les règles du contrat de travail entre l'employeur et le salarié sont bousculées de manière unilatérale et disproportionnée par le législateur en introduisant cette sanction. Au regard de la jurisprudence du Conseil constitutionnel relative au droit du travail et à la relation employeur-salarié, il y a donc, à nouveau, un fort risque d'inconstitutionnalité sur cette disposition."

Source : https://www.franceinter.fr/projet-de-loi-sanitaire-un-fort-risque-d-inconstitutionnalite-selon-le-juriste-dominique-rousseau

Source : https://www.franceinter.fr/projet-de-loi-sanitaire-un-fort-risque-d-inconstitutionnalite-selon-le-juriste-dominique-rousseau

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2021 7 25 /07 /juillet /2021 22:39
Le nombre de décès quotidiens dus au COVID atteint zéro en Suède, alors que d’autres pays se préparent à de nouveaux verrouillages

Source: fee.org – 22 juillet 2021

 

Traduction : Strategika

 

La Suède ne fait pas beaucoup parler d’elle ces derniers temps. Il y a une raison à cela.

 

Plus de 100 000 personnes ont envahi les rues de France pendant le week-end et plusieurs centres de vaccination COVID ont été vandalisés alors que l’opposition à la dernière stratégie gouvernementale de lutte contre la pandémie s’intensifie. Dans le cadre de la dernière version des mesures de confinement prises par le président Emmanuel Macron, les responsables gouvernementaux ont décrété que les personnes non vaccinées ne seraient plus autorisées à entrer dans les cafés, les restaurants, les théâtres, les transports publics, etc.

 

Inutile de dire que les gens n’étaient pas contents.

 

L’approche de la France est unique, mais ce n’est qu’un des nombreux pays du monde qui imposent de nouvelles restrictions en raison des craintes croissantes suscitées par une nouvelle variante du COVID-19. Les récentes restrictions imposées par l’Australie ont placé la moitié du pays en état de lockdown strict – alors que 82 000 tests, un record, n’ont permis d’identifier que 111 nouveaux cas de coronavirus – tandis qu’au Portugal, les restaurants luttent pour survivre dans le cadre des nouvelles restrictions imposées.

 

Un pays qui ne fait pas beaucoup parler de lui est la Suède.

 

La Suède, bien sûr, a été critiquée en 2020 pour avoir renoncé à un confinement strict. The Guardian a qualifié son approche de “catastrophe” en devenir, tandis que CBS News a déclaré que la Suède était devenue “un exemple de la façon de ne pas gérer le COVID-19”.

 

Malgré ces critiques, le laisser-faire suédois face à la pandémie se poursuit aujourd’hui. Contrairement à ses voisins européens, la Suède accueille les touristes. Les entreprises et les écoles sont ouvertes sans presque aucune restriction. Et en ce qui concerne les masques, non seulement il n’y a pas de mandat en place, mais les autorités sanitaires suédoises ne les recommandent même pas.

 

Quels sont les résultats de la politique de laisser-faire tant décriée de la Suède ? Les données montrent que la moyenne mobile sur 7 jours des décès de COVID hier était de zéro (voir ci-dessous). Comme dans nada. Et c’est à zéro depuis environ une semaine maintenant.

 

Il y a un an déjà, il était évident que les affirmations hyperboliques sur la “catastrophe suédoise” étaient fausses ; il suffit de demander à Elon Musk ; just ask Elon Musk (voir aussi : ici, ici, et ici). Un an plus tard, les preuves sont accablantes : la Suède a en grande partie bien géré la pandémie. En 2020, le taux de mortalité global de la Suède était inférieur à celui de la plupart des pays européens et son économie a beaucoup moins souffert. Parallèlement, la Suède est aujourd’hui plus libre et en meilleure santé que pratiquement tous les autres pays d’Europe.

 

Alors qu’une grande partie du monde reste saisie par la peur et que les nations conçoivent de nouvelles restrictions pour limiter les libertés fondamentales, la Suède reste un brillant exemple rappelant qu’il existe une meilleure voie.

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2021 7 25 /07 /juillet /2021 15:22

"Le Diable existe-t-il réellement ? Peut il emprunter les réseaux numériques ?" Entretien avec le Père Jean Pascal DULOISY, Prêtre, exorciste officiel de l'Archevêché de Paris, avec l'Assemblée générale EBG, le 29 juin 2017.

Extrait :

 

"La question du diable n'est pas une question réservée à la confession religieuse, catholique ou de ce que vous voulez. C'est une réalité qui existe de partout parce que d'abord il y a la peur. Les gens ont peur. Et quand on a peur, on croit en tout ce qui passe, et on est prêt à faire n'importe quoi.

"[...] On peut faire ce que l'on veut avec qui que ce soit. Il suffit de le décider et je peux emmener monsieur là où je le veux si je le veux, du moment que j'applique la règle du diable. Il y a une règle systématique qui marche à tous les coups. Première étape : suggestion, pour créer ensuite une délectation, et une fois que l'on passe de la suggestion à la délectation, c'est foutu, c'est hormonal. Et l'on obtient ce que l'on veut, on obtient le consentement. Une bonne affiche publicitaire a ces trois éléments. Un bon commercial a ces trois éléments. Les curés fonctionnement différemment : 'commandement, confiance, obéissance, joie.'

"Le démon est une intelligence. [...] et il est plus intelligent que moi, donc on ne se propose de s'affronter à lui, car on sera perdant.

"[...] L'enfer est irrémédiable. D'ailleurs c'est cela l'enfer, il déteste ce qui lui est destiné.

"[...] Quand j'étais gosse, j'avais trouvé un truc génial, quand un copain m'avait fait une vacherie, j'allais lui faire un côté sympathique, j'allais lui rendre service, et là, il en pouvait plus, il disait 'casse-toi, casse-toi, casse-toi'. Donc le bien vous devient insupportable. Il reste dans le bien mais il en souffre. L'enfer c'est de souffrir du bonheur au lieu d'être heureux du bonheur."

 

Cette video entretien date de 2017 et ce que dit l'exorciste de l'archevêché de Paris au sujet de la suggestion de la peur comme arme du diable, c'est exactement ce qu'a fait Macron, la macronie et le système mondialiste covidiste qui a instillé la peur dans les populations du monde entier dans le cadre de la pLandémie dans le but de dominer, contrôler et amener les populations vers leur nouvel ordre mondial. 

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2021 7 25 /07 /juillet /2021 10:07

Samedi 24 juillet , une marée humaine de gens venus de tous les horizons, de toutes les classes sociales, et dans toutes les villes de France, a contesté le projet de loi Passe sanitaire du 21 juillet, qui a été introduit dans le dos des Français  en pleines vacances. 

La Une Tv, 2e émission du samedi 24 juillet 2021 21h-23h

Visionnez la 2e grande émission "La Une Tv" du journaliste Richard Boutry (France soir, La Minute de Ricardo) sur la manifestation qui selon les organisateurs a réuni  plus de deux millions de personnes dans toutes les villes de France (161 000 pour les grands médias...)

 

Parmi les intervenants, retrouvez les avocats Carlo Alberto Brusa, Virginie Araujo-Recchia, les journalistes Pierre Jovanovic, Natacha Werup (ex D8 qui a rejoint "La Une Tv" de Richard Boutry, qui parle de "lois génocidaires" à propos du pass sanitaire, "un abus de pouvoir", d'"un pouvoir qui nous fait basculer dans le totalitarisme", un monde où "des enfants peuvent se faire vacciner à partir de douze ans sans l'autorisation des parents", "un monde où il n'y a plus de droits, plus de droit naturel, de droits des parents sur l'enfant, c'est un monde inversé, totalement inversé où l'État nous propose tout sauf une vie en bonne intelligence") , Salim Laïbi (Le libre penseur), Chloé FrammeryAlexis Cossette-Trudel, le capitaine de gendarmerie Juving, des infirmières, des médecins, des psychologues; le Dr Klaus Schustereder (Suisse), le Dr Benoit Ochs (Luxembourg) (qui récemment a déclaré : "en Israël il y avait zéro mort avant le vaccin, chez les enfants, il y a déjà vingt-huit morts") pour qui "on va avoir une mortalité supérieure avec le vaccin par rapport au virus" ; la psychologue Barbara Houbre, pour qui "chez les plus jeunes, chez les moins de quinze ans, on a observé une augmentation de 95% des hospitalisations psy et un doublement des tentatives de suicide. Donc, effectivement, que ce soit les enfants, les adolescents ou les étudiants, ce sont eux qui payent le plus lourd tribut des différentes mesures qui ont été prises.

 

"Concernant les adultes, aussi, on voit littéralement sur le site 'Epi-Phare' qui recense les prescriptions médicales, on peut voir les consommations de psychotropes sur un an, littéralement s'envoler, qu'il s'agisse d'hypnotiques, des antidépresseurs, ou des anxiolytiques, sur un an, il y a plus 3,4 millions de prescriptions supplémentaires, juste pour les anxiolythiques. Le moral des Français est particulièrement affecté. Il n'y a pas que le Covid qui fait des dégâts. À travers cette crise, on voit que l'être humain ne peut pas se réduire à son organisme. Toutes les mesures qui ont été prises ne pouvaient pas avoir été prises sans avoir été mises en balance avec les risques colatéraux, qu'ils soient psychiques, économiques, ou autres, effectivement. La jurisprudence européenne du principe de précaution soutient largement ces aspects-là.

 

"Il va falloir que notre société réapprenne à vivre avec le risque que représente la mort. La mort c'est ce qui soutient la vie. Si vous prenez l'exemple de Dracula, on ne peut pas dire que cela soit un modèle de santé psychique. Lorsque les gens reculent face à la mort il y a une certaine forme de minéralisation, c'est-à-dire une inhibition qui s'installe. On ne peut pas dire qu'un caillou soit quelque chose de très vivant. Et c'est ce que l'on observe vis-à-vis de la société, c'est-à-dire que plus elle va reculer face à la mort, plus elle se minéralise. Il faut être très prudent face à cela parce que dans les politiques de santé, i l peut y avoir une passion de l'ordre et de l'harmonie, mais l'harmonie c'est surtout quelque chose que l'on peut retrouver dans la nature, mais cela ne se transpose pas comme cela, très facilement, à l'homme."

 

Un lieutenant-colonel de gendarmerie qui n'a pas voulu témoigner à visage découvert a lancé un "appel à tous les citoyens, soignants, gérants, employés, et les forces de l'ordre elles-mêmes" : "il est temps de désobéir civilement aux ordres illégaux et aux lois scélérates qui oppriment le peuple français".

 

"Premièrement, indique-t-il, les soignants, n'acceptez pas l'obligation vaccinale.

 

"Deuxièmement, gérants, employés de commerces, de cafés et de restaurants, ne respectez pas l'obligation de contrôler le 'pass'. 

 

"Les forces de l'ordre, ne contrôlez pas le pass. C'est un outil de discrimination, de ségrégation, d'aliénation. Protégez le peuple. Nous sommes au service du peuple. Nous agissons ensemble pour la paix et la tranquillité de l'ordre public.

 

"Pourquoi désobéir ?

 

["Pour la mise sur le marché d'un vaccin il faut qu'il n'y ait pas de traitement efficace, et il doit y avoir un avantage à faire ce traitement (vaccin). S'il n'y a pas d'avantage à faire ce traitement (vaccin), on n'a pas le droit de le donner... On n'a pas le droit de donner un traitement où les risques sont plus importants que les bénéfices. On n'a pas le droit de faire un vaccin Covid chez un enfant de moins de vingt ans. Et on peut calculer qu'à partir de 50 ans déjà on a des désavantages", précise le Dr Benoit OchsNdlr.]

 

"Première, la thérapie est expérimentale. Elle a fait des centaines de morts en France, plus de 10 000 en Europe. Elle devrait être arrêtée par 'principe de précaution'. Son autorisation ne tient que parce qu'on dit qu'il n'y a pas d'autres moyens. Or c'est faux. L'Institut Pasteur vient de publier que l'Ivermectine fonctionnait en traitement dès les premiers symptômes. Et la bi-thérapie de l'IHU est aussi testée dans le monde et fonctionne."

Source: https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/ivermectine-attenue-symptomes-covid-19-modele-animal

Source: https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/ivermectine-attenue-symptomes-covid-19-modele-animal

"Deuxièmement, la discrimination induite par le pass est attentatoire aux fondements de notre démocratie, de l'égalité devant la loi, et de la liberté d'aller et venir.

 

"Elle risque de nous dresser les uns contre les autres. Donc elle met aussi en péril le troisième principe de notre devise, la fraternité."

La Une Tv, 2e émission du samedi 24 juillet 2021 21h-23h
Partager cet article
Repost0
24 juillet 2021 6 24 /07 /juillet /2021 22:09

Dans sa Lettre aux diocésains sur l'épidémie de Covid-19, l'évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, Mgr Marc Aillet, pose les bonnes questions :

http://diocese64.org/actualites/item/2200-communique-sur-la-crise-sanitaire

http://diocese64.org/actualites/item/2200-communique-sur-la-crise-sanitaire

Extrait

 

 

Comme évêque, c’est-à-dire comme pasteur appelé à prendre soin du troupeau qui m’a été confié par le Seigneur, je partage l’inquiétude d’un nombre croissant de personnes désemparées devant l’affolement sanitaire actuel. Les solutions préconisées par le Gouvernement pour endiguer l’épidémie, avec force moyens médiatiques et législatifs, si elles partent de l’intention louable de garantir la sécurité publique, engendrent chez beaucoup un état de détresse psychologique et morale. Si la vaccination est présentée par le pouvoir politique et les autorités de santé comme le seul moyen de stopper l’épidémie, les contraintes mises en place par décret ou en discussion au Parlement – vaccination obligatoire pour certaines professions, pass-sanitaire pour certains lieux ou activités de la vie quotidienne – suscitent des interrogations chez un nombre non négligeable de personnes qui craignent pour la sauvegarde de leurs libertés.

 

Si de très nombreux citoyens se sont laissés convaincre par les incitations gouvernementales et sur le conseil de très nombreux médecins de bonne foi, d’autres recourent au vaccin, contraints et forcés, pour ne pas perdre leur travail, ne pas mettre en péril leur famille ou pour jouir de la liberté d’aller au restaurant, au cinéma ou en voyage… L’obligation du pass-sanitaire n’est pas sans interroger beaucoup, y compris des élus de tous bords, sur le régime de discriminations, de suspicion ou de contrôle mutuel qui sera ainsi mis en place. Les discussions animées à l’Assemblée Nationale en témoignent. Un député de la Majorité, s’opposant au pass- sanitaire, a même dénoncé devant la commission des lois le risque de « fractionner la société ».

 

La pression quotidienne du discours médiatique, qui fonctionne comme un appel incitatif à la vaccination, les approximations et les contradictions de la parole publique, ont conduit nombre de nos concitoyens au doute, au scepticisme, voire à des durcissements et des réactions qui ne laissent pas d’inquiéter. Il serait préjudiciable à la paix et à la cohésion sociale d’instaurer une situation de « discrimination » entre vaccinés et non vaccinés, incitant même les uns à culpabiliser les autres, à les marginaliser et à les condamner à une quasi mort sociale. D’un côté comme de l’autre, il arrive que l’on joue sur le ressort de la peur et que l’on verse dans l’irrationnel.

 

Il ne se passe pas un jour où je ne ressente pas ce profond malaise, ce climat de tension voire de dépit qui affecte nombre de personnes que je rencontre. Je ne vous cache pas non plus mon inquiétude en constatant des germes de division dans les familles, les communautés, les groupes où la question de la vaccination devient peu à peu un sujet tabou, tant elle apparaît comme une question qui fâche.

 

Une information au service de la liberté de conscience

 

Vous aurez compris qu’il ne s’agit pas pour moi de dicter sa conduite à quiconque, ni de prendre position, de manière dogmatique, pour ou contre le vaccin. Mais il est de mon devoir de pasteur de vous inviter à la sérénité, dans le plus grand respect de tous, quelle que soit votre option, en vous refusant à stigmatiser ceux qui font d’autres choix. C’est la mission de l’Eglise de prendre de la hauteur et d’inviter à un débat apaisé, mieux : d’éclairer les consciences pour favoriser le « consentement libre et éclairé » exigé par la Loi. En reprenant la trilogie bien connue de la pensée sociale de l’Eglise – voir, juger, agir –, il s’est agi pour moi, avec l’aide de membres de « l’Académie diocésaine pour la vie », de procéder à un gros travail de recherche, en faisant le choix de n’utiliser que des informations référencées, provenant des services officiels de l’Etat français, d’autres Etats ou des Institutions internationales. Même s’il ne manque pas de scientifiques éminents, de médecins et autres professionnels de santé et de juristes pour alerter, de manière sereine et constructive, les pouvoirs publics et les populations sur les moyens alternatifs au vaccin et au pass-sanitaire pour endiguer l’épidémie et atteindre l’immunité collective, sans attenter aux libertés publiques.

 

Il n’est pas question pour moi de nier que la sécurité sanitaire soit un élément fondamental du Bien commun que l’Etat doit prendre à bras le corps, mais nul ne peut être contraint d’agir contre sa conscience. Car c’est bien la liberté de conscience qui est ici en jeu. Encore faut-il que la conscience soit éclairée et informée. Or l’enquête menée par l’Académie diocésaine pour la vie, m’a permis de découvrir une masse d’informations sur l’épidémie mondiale, impactant les populations depuis près de deux ans, et sur les moyens préconisés pour l’éradiquer, qui ne sont pas toujours portées par les grands médias à la connaissance du public.

 

Il y a des actes ou des choix qui sont toujours mauvais et qu’aucune loi ne saurait justifier. Il y a plus simplement un discernement à opérer sur la proportion des moyens mis en œuvre pour atteindre la fin, même louable, que l’on s’est fixé.

 

La posture du questionnement

 

[...]

 

On nous dit que la vaccination est le seul moyen, dans la situation actuelle, de stopper l’épidémie et d’atteindre l’immunité collective. Mais qu’en est-il des traitements qui existent et qui sont efficaces ou des autres moyens de prévention préconisés pour renforcer nos défenses immunitaires naturelles ? Est-il avéré que l’hydroxychloroquine, qui a été frappée d’interdiction en France par décret, a été autorisée dans d’autres pays européens ? Qu’en est-il de l’Ivermectine dont il semble que l’efficacité soit démontrée ? Qu’en est-il de la liberté des médecins de prescrire des traitements contre la covid-19 ?

 

Le mot « vaccin » résonne dans l’inconscient collectif comme un progrès indéniable qui a apporté de grands bienfaits à l’humanité. Que l’on pense au vaccin contre le Tétanos, pour lequel on n’a toujours pas trouvé de traitement pour éviter une mort inéluctable. L’épidémie de Covid-19 est-elle du même ordre, le risque d’en mourir est-il comparable ? Le taux de mortalité est-il particulièrement inquiétant ? Le nombre de contaminations fait-il croitre de manière exponentielle le nombre de décès ? Les vaccins protègent-ils contre les « variants » ?

 

https://twitter.com/Enfantdabord2/status/1418689643021807617?s=20

 

Les vaccins mis sur le marché actuellement en France sont-ils des vaccins à proprement parler ou des « thérapies géniques » innovantes ? Pourquoi l’Agence européenne du médicament, suivie par l’Agence Nationale de sécurité du médicament en France, n’a-t-elle accordé qu’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) « conditionnelle » et pourquoi les firmes pharmaceutiques ont-elles été exemptées d’indemnisation pour leurs effets indésirables ? Si la phase expérimentale 3 ne s’achèvera pour Pfizzer par exemple qu’en octobre 2023, cela signifie-t-il qu’il faille craindre pour la sécurité du médicament à moyen ou long terme ? Des effets indésirables, voire mortels, ont-ils été recensés depuis l’utilisation de ces « vaccins » et les médecins traitants ont-ils été invités à informer leurs patients de ces risques ? Pourquoi n’invoque-t-on pas le « principe de précaution » si présent dans le discours public quand il s’agit de la protection de l’environnement ?

 

 

La dernière question concerne l’utilisation avérée, au moins pour le vaccin Astrazeneka, puisqu’il n’existe aucune notice d’information sur la composition des trois autres vaccins – ce qui est pour le moins étrange –, de cellules issues de fœtus avortés. La Congrégation pour la Doctrine de la foi a publié, le 20 décembre 2020, une « Note sur la moralité de l’utilisation de certains vaccins ». La question n’est pas nouvelle puisque d’autres vaccins qui circulent depuis les années 1960 (contre la rubéole, la varicelle, l’hépatite A et le zona), ont déjà suggéré à l’Eglise de se prononcer par le passé. Le dernier document en date, cité par la Note de 2020, est l’Instruction de la Congrégation pour la doctrine de la foi, Dignitas personae, du 8 décembre 2008. Si l’Eglise porte évidemment un jugement négatif sur l’utilisation de cellules issues de fœtus avortés dans l’expérimentation et la fabrication des vaccins, qu’en est-il de la coopération au mal des utilisateurs de ces vaccins ? C’est une question éthique que l’on ne saurait éluder.

 

Lire : Vaccins ne faisant usage de lignées de cellules foetales dans aucune des trois étapes de l'élaboration d'un vaccin (IEB)

 

Enfin, le pass-sanitaire est présenté souvent de manière altruiste, comme nécessaire pour éviter que des non vaccinés contaminent les autres, par exemple les clients d’un restaurant ou les personnes les plus vulnérables que nous côtoyons ? Mais si ceux-ci sont vaccinés, que risquent-ils ? D’ailleurs le vaccin anti-covid protège-t-il de la contamination et de la transmission du virus ? La parole publique n’est pas claire : dans un mémoire au Conseil d’Etat du 28 mars 2021, le Ministre de la Santé affirme, arguments à la clé, qu’il y a toujours un risque pour les personnes vaccinées, mais le Premier Ministre dans son allocution du 21 juillet sur TFI, affirme sans ambages que l’on est protégé. Qui croire ? Et si le vaccin ne protège pas, pourquoi les vaccinés seraient-ils davantage admis dans certains lieux que les non-vaccinés ? A-t-on évalué les contraintes que le pass-sanitaire fera peser sur les citoyens dans la vie quotidienne ? Ne représente-t-il pas en fin de compte une obligation vaccinale déguisée ?

 

Comment concilier les textes de loi, depuis le Code de Nuremberg, qui interdisent toute obligation vaccinale ? Si le 8 avril 2021, un arrêt de la CEDH (Cour Européenne des droit de l’homme) a autorisé la vaccination obligatoire à certaines conditions, une résolution du Parlement Européen, votée le 27 janvier 2021, par tous les pays de la Communauté, y compris la France, demande « de s'assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n'est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s'il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » (7.3.1) et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » (7.3.2). Qu’en penser ?

 

Lire : Vaccin obligatoire contraire au Code de Nuremberg

Conseil européen: la vaccination ne sera PAS obligatoire et personne ne pourra faire l'objet de discrimination pour ne pas l'avoir

 

Ce sont les questions que j’entends et que je fais miennes volontiers. Ceux qui souhaiteraient consulter la Note informative de l’Académie diocésaine pour la Vie pourront la demander à l’adresse-mail suivante : academiepourlavie@yahoo.fr Comme tout citoyen, nous ne saurions trancher sur ces questions sans réflexion, comme nous ne saurions accorder notre confiance aux pouvoirs publics et aux autorités de santé sans information suffisante et sans discernement. Des choix présentés comme aussi décisifs pour la sécurité publique ne peuvent être posés qu’en conscience.

 

En vous invitant à ne pas céder à la division entre nous, à éviter tout jugement les uns sur les autres et à rechercher toujours la vérité dans la charité, je prie le Seigneur de nous éclairer sur les bonnes attitudes, en vue du Bien commun et de la défense de nos libertés fondamentales qui en constituent le socle.

 

Prions pour les autorités publiques, afin qu’elles prennent de bonnes et justes décisions, et demandons au Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie, de mettre un terme à cette épidémie.

 

 

+ Marc Aillet, le 23 juillet 2021

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2021 6 24 /07 /juillet /2021 17:47

Lors de la première manifestation à Paris le 17 juillet, après la déclaration de guerre inimaginable d'Emmanuel Macron à la France le 12 juillet et son ultimatum aux non-vaccinés , l'avocat Fabrice DI VIZIO déclare : “Si macron veut la guerre, nous ferons la guerre. Il n'y a aucun problème, aucune difficulté.”

"Et nous nous battrons avec les armes de la connaissance, nous nous battrons avec les armes de la démocratie. Et nous les ferons plier. Il n'est pas question que nous acceptions une société fondée sur la discrimination, d'une part, et d'autre part, il n'est pas question que le secret médical à valeur absolue soit encore une variable d'ajustement."

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2021 6 24 /07 /juillet /2021 17:39

Quand un gouvernement menace son peuple, c'est parce qu'il est illégitime et sur le point d'échouer.

https://twitter.com/infosvuesduciel/status/1418868011184926722/photo/1

https://twitter.com/infosvuesduciel/status/1418868011184926722/photo/1

Source: https://www.bfmtv.com/politique/olivier-veran-sur-les-centres-commerciaux-si-ca-flambe-et-que-nous-ne-pouvons-pas-utiliser-le-pass-sanitaire-attendez-vous-a-ce-que-nous-les-fermons_VN-202107230397.html

Source: https://www.bfmtv.com/politique/olivier-veran-sur-les-centres-commerciaux-si-ca-flambe-et-que-nous-ne-pouvons-pas-utiliser-le-pass-sanitaire-attendez-vous-a-ce-que-nous-les-fermons_VN-202107230397.html

Le ministre de la Santé Olivier Véran est ce vendredi soir au Sénat, pour continuer les débatsautour de l'extension du pass sanitaire. Plus tôt; en commission, le Sénat a enlevé du projet de loi la disposition demandant le pass sanitaire à l'entrée des grands centres commerciaux. Olivier Véran, devant les sénateurs, est revenu sur cette décision. Il a estimé que "si ça flambe et que nous ne pouvons pas utiliser le pass sanitaire, attendez-vous à ce que nous les fermons", ajoutant "ne pas souhaiter les fermer".  

Source: La vérité vaincra | BfmTv

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2021 6 24 /07 /juillet /2021 17:29

En décembre 2020, face aux protestations suscitées par un texte qui réservait au premier ministre la possibilité d'imposer une obligation vaccinale de fait, le gouvernement proposa ''de reporter le texte de plusieurs mois", ce qui signifiait, comme nous l'écrivions, qu'ils n'abandonnaient pas leur projet de "vaccination obligatoire". Sept mois plus tard, en effet : 

Source: https://planetes360.fr/la-loi-du-21-juillet-dextension-du-pass-sanitaire-etait-deja-dans-les-tuyaux-il-y-a-7-mois/

Source: https://planetes360.fr/la-loi-du-21-juillet-dextension-du-pass-sanitaire-etait-deja-dans-les-tuyaux-il-y-a-7-mois/

 

Rappelez-vous, le 21 décembre 2020 (par ailleurs date d’anniversaire de notre président actuel), le premier ministre Jean Castex déposait un projet de loi souhaitant instituer un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires. Prévue au départ pour être débattue rapidement, la présentation de ce projet de loi a finalement été repoussée de quelques mois suite aux vives critiques du texte à droite, à gauche et à l’extrême droite, que certains interprétaient alors comme une obligation vaccinale détournée. Cette fois, ce n’est plus avant Noël, mais le 21 juillet 2021, soit une semaine avant le mois d’août que le Gouvernement revient à la charge. Au mot près. Sans susciter cette fois beaucoup de vagues au sein de la classe politique… Comparons.

 

Première tentative d’un « régime pérenne de gestion des urgences sanitaires »

21 décembre 2020, le projet de loi n°3714 arrive au bureau de l’Assemblée nationale. Son ambition, explique le premier ministre est de « bâtir un cadre robuste et cohérent à partir des dispositions qui préexistaient à la crise et de celles mises en place à cette occasion ». En clair « de substituer à ces dispositions, conçues dans des circonstances particulièrement contraintes et pour faire spécifiquement face à l’épidémie de Covid 19, un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles ».

 

« La refonte prévue par le présent projet de loi distingue deux niveaux d’intervention selon la gravité de la situation et la nature des mesures à prendre pour y faire face : l’état de crise sanitaire, d’une part, et l’état d’urgence sanitaire, d’autre part. Ces deux régimes pourront rester parfaitement autonomes mais ils pourront également s’inscrire dans le prolongement l’un de l’autre, car l’état de crise sanitaire pourra être déclenché avant comme après l’état d’urgence sanitaire, soit pour juguler une crise naissante qui n’a pas encore l’ampleur d’une catastrophe sanitaire, soit pour mettre un terme durable aux effets d’une catastrophe qui n’aura pu être empêchée. Pendant la catastrophe sanitaire elle même, c’est le régime de l’état d’urgence sanitaire qui s’appliquera avec ses prérogatives propres auxquelles s’ajouteront celles de l’état de crise sanitaire, applicables de plein droit », précise le premier ministre.

 

Qui ajoute : « Il est en outre proposé de bâtir un cadre pérenne des systèmes d’information de crise, une disposition législative étant nécessaire pour autoriser, dans la stricte limite nécessaire à leur objet, des dérogations au secret médical, comme c’est actuellement le cas pour les systèmes créés pour la crise de la Covid 19 ».

 

Exit le secret médical ?

Le projet de loi prévaut notamment l’ajout dans le Code de Santé publique d’un chapitre spécifique aux « Systèmes d’informations » comprenant une « sous-section qui établit un régime pérenne autorisant la création, par décret en Conseil d’État, après avis de la Commission nationale de l’Informatique et des Libertés, de traitements de données personnelles dérogeant au secret médical dans les situations sanitaires exceptionnelles qui le justifient ».

 

Mais c’est une autre disposition que celles « des dérogations au secret médical » ou celles, nouvelles, de la mise en quarantaine ou en isolement des personnes contaminées ou cas contact, qui va particulièrement faire débat et entrainer le report du projet de loi. Celle de « subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, (…) au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin ».

 

Retrait en décembre

Car fin décembre 2020, les réactions au projet de loi 3714 se sont multipliées au sein de la classe politique, certains n’hésitant pas à exprimer leurs craintes quant à la mise en place d’un « passeport sanitaire » pour pouvoir se déplacer ou pratiquer certaines activités, alors que l’expression ne figure pas dans le texte.

 

Ces critiques sont d’abord liées à une phrase qui cristallise l’opposition : « subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif ».

 

Après les vives polémiques suscitées par son projet de loi sur la gestion pérenne des crises sanitaires, l’exécutif décide finalement le jour-même ou presque de mettre le pied sur le frein. Annonçant repousser de quelques mois l’examen de ce projet de loi. Et ces quelques mois… c’est maintenant !

 

… Retour en juillet ?

Le ton est donné avec l’article 1 du projet de loi sur l’adaptation de nos outils de gestion de la crise sanitaire. Présenté au conseil des ministres le 19 juillet, puis à l’assemblée nationale le 21 juillet 2021, ce texte prévoit de : « Subordonner l’accès des personnes à certains lieux, établissements ou événements à la présentation soit du résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19, soit d’un justificatif de statut vaccinal concernant la covid-19, soit d’un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19 pour :

« a) Les activités de loisirs ;

« b) Les activités de restauration ou de débit de boisson ;

« c) Les foires ou salons professionnels ;

« d) Les services et établissements accueillant des personnes vulnérables, sauf en cas d’urgence ;

« e) Les grands établissements et centres commerciaux ».

 

La feuille de route a été divulguée le 12 juillet dernier. Et l’examen par le Conseil d’État de ce nouveau projet de loi est en cours.

 

Regardons les mots employés entre les versions de décembre et de juillet. C’est à dire à peine 7 plus tard. Les similitudes sont frappantes. Le procédé aussi. Exit en revanche la référence à une « gestion pérenne », place cette fois à « l’adaptation de nos outils de gestion ». Si l’intitulé a changé, le contenu des mesures restent étonnamment proche. Quand à la période choisie, il ne s’agit plus non plus de la période de Noël cette fois, mais bien du cœur des vacances d’été. Il est certain que cette période est la plus représentative d’une vie démocratique exemplaire.

 

Il est toujours question de pass sanitaire, mais aussi d’isolement. Ce qui concerne le secret médical a disparu en revanche de l’avant-projet de loi du 21 juillet 2021.

 

Un plan bien préparé ?

Premièrement, on l’aura compris, ce qui nous arrive est en fait tout sauf improvisé, ni fignolé à la va-vite.

 

Le cadre annoncé le 12 juillet s’avère en réalité proposé dès le 21 décembre 2020.

 

Et le projet de loi du 21 décembre 2020 soumis à l’avis du Conseil d’État le 3 décembre.

 

Et en ce qui concerne la dérogation au secret médical, le projet de loi du 21 juillet 2021 bénéficie fort opportunément de l’avis de la CNIL remis le 1er juillet dernier. Délibéré faisant suite à une demande de modification de décret datant du 12 mai 2021 et pour laquelle la CNIL rappelle, « qu’en principe, elle n’est pas favorable à la constitution, pour les médecins, de listes de leurs patients non vaccinés. » La CNIL « estime néanmoins que le contexte sanitaire peut justifier l’envoi aux médecins traitants, de façon sécurisée, de la liste de leurs patients non vaccinés à la COVID-19, mais uniquement s’ils en font la demande (…) l’obligation pour le médecin de détruire la liste à l’issue de la campagne de sensibilisation ».

 

Des mesures disproportionnées

Une autre réflexion porte sur la proportionnalité des mesures annoncées. L’avis du conseil d’état du 20 décembre 2020, ne cesse de le rappeler les mesures doivent être proportionnées, et que seule une menace ou une crise sanitaire « grave » peut justifier de telles décisions.

 

Alors que le nombre de décès ne cesse de diminuer, et que le taux de vaccinés « prémunis » contre les formes graves du virus augmentent, voire que les traitements précoces font de mieux en mieux la preuve de leur efficacité, sommes nous dans une situation sanitaire « grave » justifiant ces mesures autoritaires et restrictives ? La menace justifie-t-elle l’instauration d’un « État policier » pour reprendre les mots du philosophe et député européen François-Xavier Bellamy, chef de file des Républicains à Bruxelles ? Comme beaucoup, je le ne crois pas.

 

Et c’était aussi officiellement l’avis du gouvernement en décembre 2020. « À Matignon, on insiste sur le fait que ces mesures ne s’appliqueront pas forcément pour l’épidémie que nous vivons actuellement », rapportait, rassurant, le quotidien 20 minutes le 22 décembre dernier.

 

C’était aussi l’avis du Conseil d’État le 20 décembre 2020. « En repoussant l’étude de ce texte, le gouvernement a ainsi suivi les recommandations du Conseil d’État », expliquait Capital le 23 décembre 2020. Dans son avis publié en début de semaine, l’institution a jugé ce texte un peu prématuré. Elle « estime que la réflexion engagée pour définir un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires devra être poursuivie à l’issue de l’épidémie afin de tirer les enseignements de l’évaluation de la gestion de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19 ».

 

La suite, vous la connaissez. Elle a été annoncée sur les ondes le 12 juillet 2021. Elle s’appelle désormais « pass sanitaire », « incitation vaccinale » et « accompagnement à la vaccination », dans le silence aussi surprenant qu’assourdissant des ténors politiques pourtant vent debout sept mois plus tôt.

 

 

 

sources :

 

21 décembre 2020 : Franceinfo relate le tollé politique qui accompagne le projet de loi sur le « régime pérenne des gestion des urgences sanitaires »

Projet de loi nº 3714 du 21 décembre 2020 instituant « un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires »

La citation de 20 minutes rappelant la position de Matignon

L’avis du Conseil d’État du 20 décembre 2020, sur le projet de loi du 21 décembre…

L’article de Capital du 23 décembre 2020, qui rappelle les réserves du Conseil d’État

L’avant-projet de loi du 21 juillet 2021, relatif à « l’adaptation de nos outils de gestion de la crise sanitaire »

La délibération de la CNIL du 1er juillet 2021

 

source : https://www.nexus.fr | Planetes360

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2021 5 23 /07 /juillet /2021 17:50

Nous publions ci-dessous un extrait d'un texte rédigé par l'Abbé Olivier Rioult, prêtre catholique sédévacantiste ne reconnaissant pas l'autorité des "papes de Vatican II'', mais dont la position sur la question grave (que nous partageons) de savoir si l'on doit ou non "coopérer à la tyrannie sanitaire en recevant un vaccin" doit être lue par tous, pour faire un choix libre et véritablement éclairé.

Un texte publié sur le site La Sapinière.

Le document entier en format PDF est téléchargeable ici.

______________

Avons-nous le droit de coopérer à la tyrannie "sanitaire" en recevant un vaccin ?

Le projet politique n’a en fait rien à voir avec la vaccination. Le but est de contrôler numériquement les hommes comme du bétail. Le but est de contrôler les mouvements de chaque personne et de pouvoir interdire à n’importe qui le déplacement ou l’entrée dans un lieu, privé ou public. La vaccination est le moyen de faire accepter à la population son propre traçage : ta vie appartient à l’Etat ! Très vite, ce système de contrôle va intégrer de nouveaux paramètres. Grâce au passeport intérieur hypocritement appelé vaccinal, le système pourra débrancher n’importe qui de la société : pour un commentaire sur les réseaux sociaux, une accusation de racisme en milieu multiculturel, une critique contre les sodomites, ou un refus de vaccination, ce sera l’impossibilité de payer quoi que ce soit ou de se déplacer si le système le décide. Bref le totalitarisme dans toute sa laideur. La terre comme antichambre de l’enfer, c’exactement le but des anges déchus.

 

Petit à petit, le gouvernement, grâce à l’intelligence artificielle, aura un pouvoir quasi total sur les individus. Et quand une monnaie numérique et le passeport sanitaire seront en place, n’importe qui pourra être socialement mis à mort en deux clics. Ce que nous vivons n’est pas une crise sanitaire mais un changement de monde, un changement de paradigme voulu par les puissants pour chambouler tous les systèmes humains afin de les réinitialiser selon leur vue, et ce but est satanique : l’asservissement total de l’espèce humaine annoncée par les Saintes Ecritures : en langage politique on parle de coup d’état ou d’un hold-up mondialiste mais en langage théologique on parle du pouvoir de la bête antéchrist qui exerce sa domination universelle (pour un temps qui sera abrégé par le retour du Christ). Le danger ce n’est pas le coronavirus mais la république totalitaire qui, avec une police complice et infantilisée… car cette police n’a pas hésité à dresser 2,2 millions de procès-verbaux contre les Français qui ont refusé la séquestration arbitraire chez soi et qui sortaient normalement sans cette absurdité des certificats d’auto-autorisation de sortie, etc. contrôle et organise un monde d’esclaves.

 

Ce plan criminel ne peut se mettre en place que grâce au mensonge et à la terreur. Car si les gens se soumettaient à la vérité et à la réalité, ils comprendraient que rien n’oblige à recevoir un faux traitement médical pour une maladie que je n’ai pas ; d’autant plus que je peux m’en protéger en renforçant naturellement mon système immunitaire, et qu’au pire des cas, je peux toujours me soigner de l’infection virale en prenant des vitamines ou des médicaments ayant fait leur preuve, comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Mais une masse abrutie ou apostate méritent d’être dirigée par les Mammonites. Car pour empêcher la construction du Goulag, il faut vivre dans la vérité et savoir que la vie ici-bas n’est pas la vraie vie.

 

[...]

 

Et c’est là que le bât blesse. Avec l’imposture du Covid, on n’est pas dans le domaine de l’opinion plus ou moins contestable mais dans le domaine des faits suffisamment constatables ! Le professeur Christian Perronne écrivait dans son message au Français : « Toutes ces mesures [de peur] sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse. Le pire est que les premiers “vaccins” qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique… On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme… Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées “vaccins” sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). »

 

L’utilisation de cellules de fœtus avortés, tout dramatique que cela soit, n’est qu’un problème de coopération matérielle éloignée acceptable dans certains cas. Mais en l’espèce, ce n’est pas le problème et ce n’est pas en traitant de ce problème annexe et secondaire qu’on éclairera les consciences sur l’obligation morale que nous avons de refuser ces « thérapies géniques, faussement appelées “vaccins”. » Nous n’avons pas le droit de nous laisser injecter une substance inconnue par des commerçants mafieux, pas plus que d’accepter d’être des cobayes aux mains des apprentis sorciers. Répétons-le avec Pie XII : « Dieu seul est le Maitre de la vie et de l’intégrité de l’être humain… L’homme n’est pas le propriétaire : il en a l’usufruit, il devra donc rendre compte au Créateur de l’usage qu’il en aura fait. » (Pie XII, Allocution à “Union médico-biologique Saint Luc, le 12 novembre 1941.)

 

[...] 

 

L’Abbé Lang un prêtre allemand de la FSSPX, lui, est beaucoup plus clair et direct. D’abord il rappelle qu’avec la grippe aviaire en 2005, la grippe porcine en 2009, le virus Ebola en 2014, le virus Zika en 2016, à chaque fois, le monde politico-médiatique nous a fait peur en nous présentant ces virus comme très dangereux avec comme solution ultime et unique remède : la vaccination… A chaque fois, ce fut un mensonge, mais entre-temps des millions de doses de vaccins avaient engendré des milliards de bénéfices pour l’industrie pharmaceutique. Après ces coups d’essais ratés, le coup de maître du « Coronavirus 2019 » est arrivé : on reste dans le même genre de mensonge mais avec une dimension transhumaniste et de marchandisation de l’être humain en plus, c’est-à-dire que le mensonge ne sert plus seulement les intérêts des commerçants mafieux sans scrupules mais aussi, dit lucidement l’abbé Lang, « des puissances d’arrière-plan d’essence satanique voulant installer un nouvel ordre mondial mondialiste et communiste sur les ruines de l’ordre actuel. Un nouvel ordre délibérément sans Dieu, sans ordre naturel, sans Loi et sans Justice. »

 

Enfin un prêtre qui a la bonne idée de replacer le problème dans tous ces aspects et enjeux en rappelant que nous avons à lutter contre des forces « d’essence satanique » ! Le transhumanisme est en effet un projet satanique visant à s’affranchir, par le progrès technique de manière utopique et donc destructrice, de notre condition de créature mortelle et limitée. Ce péché contre Dieu c’est le fameux péché de l’homme qui se fait Dieu, dans la même veine que celui de Lucifer et d’Adam… Rien de nouveau sous le soleil…

 

Toujours aussi lucidement, l’abbé écrit : « il faut donc s’attendre à ce que nous soyons bientôt, par un moyen ou par un autre, contraints à cette vaccination, certains pays offrant notamment déjà des facilités de voyage aux individus qui ont été vaccinés (la contrainte sera donc essentiellement sociale : ceux qui la refuseront seront alors désignés comme des “égoïstes téméraires” ou des “dangers pour eux-mêmes et leurs semblables”). »

 

L’abbé Lang est encore très pertinent en donnant un argument essentiel pour refuser en conscience les prétendus vaccins anti-Covid ; argument compréhensible par toute personne raisonnable qui n’aurait pas la foi et à qui la profondeur théologique de la situation échapperait : « Le seul facteur de la négligence flagrante avec lequel fut développé le vaccin contre la Covid-19 devrait déjà être suffisant pour rejeter catégoriquement l’injection de ce vaccin. Personne ne peut et ne doit être contraint à subir les conséquences de l’irresponsabilité avec lequel ce vaccin fut développé… Aux investisseurs, on parle clairement. Mais pas à nous, les humains, les cobayes. Dans le cas de la Covid-19, c’est donc la toute première fois dans l’histoire de la vaccination qu’une méthode à base d’ARNm est employée… [Rem : Qui ayant acheté un nouveau produit et en ignore les effets ne l’essaie pas d’abord sur une petite surface et attend de constater les effets avant d’en faire un emploi massif ?] L’administration de ce vaccin à ARNm n’est rien d’autre qu’une révolution contre Dieu et contre l’ordre qu’Il a mis dans la nature. L’homme se prend pour Dieu. Face au “vaccin” contre la Covid-19, ce que nous, les catholiques, devons faire ne fait donc plus aucun doute : le rejet catégorique. »

 

[...]

 

Nous pensons que notre humanité apostate et impie, rebelle aux commandements de Dieu, asservie à Mammon et ennemie du Christ, s’approche de ce moment annoncé par saint Jean dans son Apocalypse : l’humanité a voulu la liberté sans et contre son Dieu créateur et rédempteur, elle aura, et c’est justice d’une certaine manière, la servitude de Satan. Une société qui voit la vie ici-bas et la santé publique comme un absolu est une société idolâtre prête à tous les compromissions et excès. Elle est prête à l’esclavage. Et pour garder sa vie d’esclave, elle est prête à se soumettre à l’Etat tout-puissant.

 

« Et l’on adora le dragon [Satan], parce qu’il avait donné l’autorité à la bête [pouvoir temporel mondialiste], et l’on adora la bête, en disant : “Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ?” Et il lui fut donné une bouche proférant des paroles arrogantes et blasphématoires, et il lui fût donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois… Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre ; et il lui fût donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation. Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, dès la fondation du monde. Que celui qui a des oreilles entende ! […] C’est ici la patience et la foi des saints. Puis je vis monter de la terre une autre bête [pouvoir spirituel apostat], qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon [les antipapes de Vatican II]. Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la plaie mortelle avait été guérie. […] Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne pût acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom… c’est un nombre l’homme et ce nombre est six cent soixante-six. » (Apoc 13, 4-17)

 

[...] 

 

La marque de la bête : le vaccin et ses nanoparticules couplé avec la 5G et son formidable débit d’informations permettant de contrôler tous les objets connectés en temps réel, car le but du vaccin est de nous transformer en objet connecté ; acheter ou vendre : gouvernement totalitaire de terreur grâce au projet de monnaie numérique unique aux mains de la mafia satanique et kabbaliste pour asservir l’humanité…

 

Tout est lié et l’abbé Lang est l’un des rares à avoir manifesté cette dimension apocalyptique et démoniaque du problème. Honneur à lui : « Bill Gates a déjà déposé un brevet aux Etats-Unis en 2017, appelé Luciférase, qui consiste à ajouter une enzyme à un vaccin qui rend la vaccination “lisible” chez l’homme. Le 26 mars 2020, Microsoft a déposé un brevet international numéro 060606 [Cf. Pierre Hillard, Chroniques du mondialisme, Culture et racines, 2014, p. 285 & 343.], qui va encore plus loin. […] Rendre la vaccination “lisible” permettrait d’accomplir ce dont parlent les Ecritures, à savoir que seul celui qui a la marque sur sa main ou sur son front peut acheter ou vendre. Ainsi par exemple, si le capteur de la porte d’entrée d’une épicerie détecte qu’une personne n’est pas vaccinée, la porte restera fermée. »

 

[...]

 

L’abbé Lang conclut donc avec raison au « rejet catégorique de ce vaccin intrinsèquement mauvais. Ce vaccin provient d’une science sans conscience, c’est-à-dire d’une science sans Dieu, qui ne se soucie pas le moins du monde des lois naturelles et qui transgresse effrontément et avec arrogance toutes les limites fixées par Dieu. Quiconque se laisse volontairement injecter ce vaccin accepte d’une part cette science sans conscience et d’autre part, le système satanique et dictatorial (060606), qui est en train de remodeler le monde dans son sens. Cela signifie qu’il ne peut y avoir aucune raison valable pour accepter ce vaccin [sorte de “baptême” satanique] même si cela devait impliquer que le père de famille perde son emploi, que l’hypothèque de la maison ne pourrait plus être remboursée, que la famille perde tout et doive aller mendier pour survivre. [À nous d’être fidèles à la grâce du martyr] L’ennemi d’aujourd’hui se tient devant nous non pas comme une idole, non pas avec une mitrailleuse, mais comme une dose de vaccin anti-divin qui transgresse toutes les lois de la nature, sous prétexte de nous sauver et de nous venir en aide. Difficile de penser un plan plus brillant (au sens satanique du terme). Celui qui persévère jusqu’à la fin sera sauvé. Le temps de la tribulation ne durera pas éternellement. Dieu humiliera ses ennemis. »

 

Nous ne savons pas si nous sommes face à la dernière et terrible persécution, celle de l’antéchrist. Mais ce que nous savons c’est que Dieu nous donnera la force du martyr et la gloire dans son royaume si nous luttons avec lui contre ces antéchrists. La persécution s’en vient parce qu’elle a déjà commencé.

 

[...]

 

Dieu reste Dieu et le Christ, l’agneau immolé, ne meurt plus mais il donne la vie. Soyons prêt à tout perdre pour trouver la vie !

 

Source : "Avons-nous le droit de coopérer à la tyrannie « sanitaire » en recevant un vaccin ?", La Sapinière

____________________

Vaccin obligatoire contraire au Code de Nuremberg

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2021 5 23 /07 /juillet /2021 14:28
https://www.lefigaro.fr/social/passe-sanitaire-sept-syndicats-de-pompiers-s-opposent-a-la-vaccination-obligatoire-20210720

https://www.lefigaro.fr/social/passe-sanitaire-sept-syndicats-de-pompiers-s-opposent-a-la-vaccination-obligatoire-20210720

Tout comme le personnel des hôpitaux, cliniques et Ehpad, les pompiers sont également sommés de se faire vacciner avant la fin de l'été. Une décision qui suscite des remous au sein de la profession : plusieurs syndicats de sapeurs-pompiers s'y opposent, dénonçant dans un communiqué, «une atteinte aux libertés individuelles». 

 

Dans une lettre adressée aux parlementaires, sept syndicats de sapeurs pompiers demandent le retrait de l'obligation vaccinale pour leur profession. La mesure est inscrite dans le projet de loi portant sur les nouvelles restrictions sanitaires qui détaille les annonces faites par Emmanuel Macron le 12 juillet dernier. «La pression et la menace de suspension et licenciement ne font pas partie des outils managériaux» estiment les syndicats dans le communiqué. Les organisations dénoncent des méthodes éloignées des recommandations de l'OMS qui encourage plutôt les pays à «vacciner sans contraindre» affirment-elles. «Nous ne sommes pas contre la vaccination, mais restons fortement attachés aux libertés individuelles» précisent les syndicats représentatifs.

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2021 5 23 /07 /juillet /2021 09:23
Source : https://www.letelegramme.fr/france/covid-19-pour-le-dr-gerald-kierzek-il-faut-mettre-tous-les-moyens-sur-la-vaccination-des-personnes-a-risque-22-07-2021-12795045.php

Source : https://www.letelegramme.fr/france/covid-19-pour-le-dr-gerald-kierzek-il-faut-mettre-tous-les-moyens-sur-la-vaccination-des-personnes-a-risque-22-07-2021-12795045.php

"J’entends le Premier ministre dire « On est dans la quatrième vague ». Non, nous sommes dans la crainte d’une quatrième vague. Il utilise une formule rhétorique pour faire peur. On est dans de la pédagogie un peu coercitive pour convaincre les gens. On a certes des départements au-dessus du seuil d’alerte (48 mardi, NDLR), mais ce sont principalement les jeunes qui sont touchés. Du côté des hospitalisations, ça ne bouge pas."

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2021 5 23 /07 /juillet /2021 07:49
Source : https://fr.sputniknews.com/politique-francaise/202107221045908650-le-pass-sanitaire-ne-sera-definitivement-pas-impose-aux-deputes/

Source : https://fr.sputniknews.com/politique-francaise/202107221045908650-le-pass-sanitaire-ne-sera-definitivement-pas-impose-aux-deputes/

Les informations selon lesquelles le gouvernement prévoyait d'imposer le Passe sanitaire aux citoyens, mais pas aux députés, étaient vraies. Le pass sanitaire ne sera définitivement pas imposé aux députés.

 

Le pass sanitaire est entré en vigueur ce mercredi 21 juillet dans les lieux culturels et de loisirs. Alors qu’il devait être étendu début août aux restaurants, aux cafés et aux hôpitaux notamment, environ 50 députés LREM ont déposé le 21 juillet un amendement pour que le #PassSanitaire s’applique aussi aux députés entrant au Palais Bourbon... C'est Philippe Michel-Kleisbauer, député MoDem du Var, qui déposa la veille cet amendement afin de rendre obligatoire la vaccination pour les parlementaires au nom "de l’exemplarité"... 

 

"L’Assemblée nationale est un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination", ont-ils écrit dans l’exposé des motifs. (La Voix du Nord)

 

Mais le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand était contre et sous-entendant qu'il était faux de dire que les députés ne seraient pas soumis aux passe sanitaire, il allégua des "informations erronées" (!) (sic) : "Contrairement à des information erronées, [...] déformées et amplifiées, l'Assemblée nationale, qui a toujours été exemplaire pendant la crise pandémique, le restera et appliquera la loi que vous voterez, que nous voterons", dit-il au début de la séance du 21 juillet. (Sputnik) L’ancien membre du Parti socialiste indiquait que la proposition risquait d’être invalidée par le Conseil constitutionnel, en raison d’une possible entrave à l’exercice de la démocratie. (CNews)

Une réaction parmi d'autres sur Twitter :

 

Ne pas imposer le #PassSanitaire à l'#AssembléeNationale car "on n’a pas le droit d’interdire à un député d’accéder à l’hémicycle" et, en même temps, l'exiger presque partout en prévoyant de licencier le "gaulois réfractaire". Fascinant (Twitter)

 

Le problème de l'inégalité entre députés et citoyens se pose également pour les policiers :

 

"Les forces de l’ordre sont censées contrôler les pass sanitaires des visiteurs des musées, cinémas ou salles de sport, mais de facto elles peuvent le faire sans être vaccinées, car cette obligation ne leur est pas imposée." (Sputnik)

 

Et pour l'accès aux bureaux de votes pour qui il n'y a pas d'"entrave à l’exercice de la démocratie", bien que soumis à passe sanitaire obligatoire.

 

"En l'état actuel du projet de loi, tous les bureaux de vote - qui sont par essence les lieux d'exercice de la démocratie - pourraient voir leur accès restreints, conditionné par le passe sanitaire." (France soir)

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2021 5 23 /07 /juillet /2021 05:24

L'Assemblée nationale s'est prononcé jeudi sur un amendement et le résultat du vote a donné 70 voix pour l'amendement, 67 contre.

 

"L'Assemblée nationale supprime la nécessité d'un #PasseSanitaire pour entrer dans un hôpital ou tout établissement de santé. Le #PJLSanitaire prévoyait son application hors urgence médicale." (Source: LCP Twitter )

 

"Surprise à l'Assemblée nationale. Contre l'avis du gouvernement, les députés ont voté jeudi 22 juillet contre le recours au pass sanitaire pour les patients non urgents ou les visiteurs dans les établissements de santé et maisons de retraite. Les députés ont soutenu par 70 voix contre 67 des amendements de La France insoumise et des Républicains." (FranceTvInfo)

 

"'Le débat devrait cependant revenir lors de la navette parlementaire", selon le Figaro ... "Le projet de loi sanitaire vise à étendre à partir du début août le recours au passe sanitaire pour les cafés, restaurants, foires et salons professionnels, grands centres commerciaux, ainsi qu'aux trains et autocars longs trajets.'' (Le Figaro)

L'Assemblée nationale supprime puis adopte l'obligation d'un Passe Sanitaire pour entrer dans un hôpital ou tout établissement de santé

 

Le gouvernement a demandé en pleine nuit à 5h40 pendant que les autres députés sont partis dormir, à revoter sur le texte et l'amendement rejeté a été adopté, ainsi que le passe sanitaire dans les hôpitaux

 

"En toute fin des discussions vers 5h du matin, le gouvernement est revenu sur deux amendements votés au cours de l’examen du texte avec un nouveau vote qui a notamment remis l’obligation du pass sanitaire pour les patients non urgents ou les visiteurs dans les établissements de santé et maisons de retraite." (Le Parisien)

Source : https://twitter.com/JulienAubert84/status/1418415898319335426/photo/1

Source : https://twitter.com/JulienAubert84/status/1418415898319335426/photo/1

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 18:02
Source: https://nouveau-monde.ca/usa-un-proces-federal-demande-larret-immediat-des-vaccins-covid-le-cdc-ayant-sous-estime-les-deces-dus-aux-vaccins/

Source: https://nouveau-monde.ca/usa-un-proces-federal-demande-larret-immediat-des-vaccins-covid-le-cdc-ayant-sous-estime-les-deces-dus-aux-vaccins/

America’s Frontline Doctors (AFLDS) a déposé une requête le 19 juillet, demandant une injonction immédiate devant un tribunal de district fédéral de Californie pour arrêter l’utilisation des vaccins COVID à autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization (EUA)) – Pfizer/BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson (J&J) – pour trois groupes d’Américains. Selon un communiqué de presse, AFLDS demande d’arrêter immédiatement l’administration du vaccin expérimental COVID chez toute personne de 18 ans et moins, toutes celles qui se sont rétablies du COVID et ont acquis une immunité naturelle, et tout autre Américain qui n’a pas reçu de consentement éclairé tel que défini par la loi fédérale.

 

La requête de 67 pages demande au juge de délivrer une injonction préliminaire conformément au § 360bbb-3 (b) (1) (C) pour les raisons suivantes :

• Il n’y a pas d’urgence, ce qui est une condition préalable à la délivrance d’EUA et de renouvellement d’EUA pour des vaccins COVID.

• il n’y a « aucune maladie ou affection grave ou potentiellement mortelle ».

• Les vaccins ne diagnostiquent, ne traitent ni ne préviennent le SRAS-CoV-2 ou le COVID.

• Les risques connus et potentiels du vaccin l’emportent sur ses bénéfices connus et potentiels.

• il existe des alternatives adéquates, approuvées et disponibles aux vaccins.

• les professionnels de santé et les candidats vaccins ne sont pas suffisamment informés.

 

Les auteurs de la motion ont joint une déclaration d’un dénonciateur qui s’est présenté alléguant que le nombre de décès survenu dans les 72 heures suivant la vaccination COVID est considérablement sous-déclaré au système de notification des événements indésirables des vaccins (Vaccine Adverse Events Reporting System VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) maintenu par les États-Unis Food and Drug Administration (FDA).

 

Au 9 juillet, le nombre de décès signalés chez les VAERS s’élevait à 10.991, dont 4.593 sont survenus dans les 72 heures suivant la vaccination.

 

La dénonciatrice – une informaticienne qui a développé plus de 100 algorithmes distincts de fraude aux soins de santé et qui possède une expertise dans l’analyse des données de santé qui lui permet d’accéder aux données Medicare et Medicaid obtenues par les Centers for Medicare and Medicaid Systems (CMS) – a déposé une déclaration sous serment sous peine de parjure alléguant le nombre réel de décès liés au vaccin COVID, est plus proche de 45.000.

Elle a affirmé que VAERS, bien qu’extrêmement utile, n’enregistre qu’environ un cinquième des chiffres réels.

Dans sa déclaration, elle a déclaré :

 

« Au 9 juillet 2021, on a enregistré 9.048 décès à VAERS. J’ai vérifié ces chiffres en rassemblant moi-même toutes les données de VAERS, sans me fier à un tiers pour les recenser. Enfin, j’ai interrogé les données des réclamations médicales CMS concernant les décès de vaccins et de patients, et j’ai évalué que les décès survenus dans les 3 jours suivant la vaccination sont supérieurs à ceux rapportés dans VAERS d’un facteur d’au moins 5. Cela indiquerait que le véritable nombre de décès liés au vaccin était d’au moins 45000. Mis en perspective, le vaccin contre la grippe porcine a été retiré du marché alors qu’il n’a fait que 53 décès. »

 

AFLDS a déclaré que les résultats étaient choquants et qu’un consentement éclairé est impossible lorsque les données de sécurité ne sont pas exactes.

Dans un communiqué de presse, a déclaré AFLDS :

 

« Il est illégal et inconstitutionnel d’administrer les agents expérimentaux à des personnes qui ne peuvent pas prendre une décision éclairée quant aux véritables avantages et risques du vaccin sur une base indépendante. Ils doivent avoir l’âge ou la capacité de prendre des décisions éclairées et avoir reçu toutes les informations sur les risques/bénéfices nécessaires pour prendre une décision éclairée. »

 

L’une des plaignantes nommées, Deborah Sobczak, mère d’adolescents de 15 et 17 ans, a déclaré dans le communiqué de presse :

 

« Mon enfant ne fera pas l’objet d’une expérimentation. Quel genre de monstres permettons-nous de nous contrôler ? Des enfants en parfaite santé ont développé une inflammation cardiaque, une hémorragie cérébrale et sont même morts ! J’en ai assez. Je ne sacrifie pas mon enfant pour qu’une société pharmaceutique puisse expérimenter sur elle. Cette folie doit cesser. »

 

Il n’y a pas d’urgence justifiant l’EUA de vaccins COVID, selon le plaignant

 

Selon la plainte, le secrétaire du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) des États-Unis, nommé comme l’un des accusés dans le procès, a déclaré le 24 février 2020 que, conformément au § 360bbb–3(b)(1)(C), SARS-CoV-2 a créé une « urgence de santé publique ».

 

Cette déclaration d’urgence initiale a été renouvelée à plusieurs reprises et reste en vigueur aujourd’hui – une condition légale nécessaire à la délivrance de vaccin EUAs, indique la plainte. L’EUA a autorisé l’utilisation massive du vaccin par le public américain avant l’achèvement du régime standard des essais cliniques et l’approbation de la FDA.

Les plaignants allèguent que la déclaration d’urgence et ses multiples renouvellements sont illégaux car il n’y a pas d’urgence sous-jacente. En utilisant les données des décès HHS COVID, le SRAS CoV-2 a un taux de survie global de 99,8 % dans le monde, qui passe à 99,97 % pour les personnes de moins de 70 ans. Cela correspond à la grippe saisonnière, indique la plainte.

 

Les plaignants soutiennent que le HHS a délibérément gonflé les données COVID

Les plaignants allèguent que les données du HHS sont délibérément gonflées. Le 24 mars 2020, le HHS a modifié les règles applicables aux coroners et autres responsables de la production et de la détermination des certificats de décès « cause de décès » exclusivement pour COVID.

 

Le changement de règle stipule:

 

« COVID-19 doit être signalé sur le certificat de décès pour toutes les personnes décédées où la maladie a causé ou est supposée avoir causé ou contribué au décès. »

 

Selon la plainte, les statistiques du HHS ont montré que 95% des décès classés comme « décès COVID-19 » impliquaient en moyenne quatre comorbidités supplémentaires. Les plaignants affirment que les CDC savaient que les règles de codage et de sélection de la cause sous-jacente du décès feraient en sorte que COVID soit la cause sous-jacente le plus souvent citée.

 

Les plaignants ont déclaré que le nombre réel de cas de COVID est également bien inférieur au nombre signalé en raison de l’utilisation d’urgence des tests de réaction en chaîne par polymérase (PCR), qui sont utilisés comme outil de diagnostic pour COVID. Les tests PCR sont eux-mêmes des produits expérimentaux, autorisés par la FDA sous EUAs séparé. Les notices d’emballage indiquent que le test PCR ne doit pas être utilisé pour diagnostiquer le COVID.

 

La plainte allègue que la manière dont le test PCR est administré en toute connaissance de cause garantit un nombre inacceptablement élevé de résultats faussement positifs.

 

Les risques des vaccin COVID ne sont pas divulgués et sont sous-déclarés, selon la plainte

Les chercheurs médico-légaux d’AFLDS ont analysé les données accumulées sur le risque COVID du vaccin et ont découvert une migration de la protéine pathogène SARS-CoV spike-2 dans le corps. Pourtant, les vaccins ont été autorisés sans aucune étude démontrant où les protéines de pointe ont voyagé dans le corps après la vaccination, combien de temps elles restent actives et quel effet elles ont, indique la plainte.

 

Les chercheurs d’AFLDS ont analysé VAERS et découvert un risque accru de décès par COVID des vaccins. La base de données a indiqué que les décès dus au vaccin au premier trimestre de 2021 représentaient une augmentation de 12000 % à 25000 % des décès dus au vaccin d’une année sur l’autre

 

De 2009 à 2019, il y a eu 1529 décès signalés associés à tous les vaccins signalés à VAERS, selon la motion. Au premier trimestre de 2021, il y a eu, dans le système, plus de 4000 décès signalés dont 99% signalés en 2021 attribués aux vaccins COVID, et seulement 1% attribués à d’autres vaccins.

 

Les plaignants ont également divulgué des preuves de dommages reproductifs, de maladies vasculaires, de maladies auto-immunes, de dommages neurologiques et ils ont souligné un risque accru de dommages pour les enfants atteints de COVID des vaccins pour soutenir leur position.

 

Pourquoi le secret autour des données V-Safe?

La plainte a attiré l’attention sur le secret du V-Safe system du CDC – un système parallèle utilisé pour suivre les événements indésirables signalés via une application pour smartphone contrôlée exclusivement par le CDC.

Les plaignants ont fait part de leurs inquiétudes quant au fait que les informations contenues dans un V-Safe dépassent celles de VAERS. VAERS, selon eux, est inexact car il inclut potentiellement moins de 1% de tous les événements indésirables liés aux vaccins, et le gouvernement fédéral ne fournit pas de données de surveillance provenant d’autres sources telles que V-safe, CMS et l’armée.

 

Les plaignants ont déclaré que le consentement éclairé ne peut être donné sans comprendre les risques. Ils ont déclaré qu’ils ne pouvaient s’empêcher de se demander pourquoi le HHS ne divulguait pas au public des informations critiques relatives aux risques provenant de ses systèmes de déclaration,

 

« en particulier à la lumière du fait qu’ils ont eu le temps et les ressources pour étudier et étendre l’autorisation sur le vaccin, le vaccin construit une énorme machine de marketing et déploie les cliniques de vaccination dans tout le pays. »

 

La poursuite a été déposée par plusieurs cabinets d’avocats, dont RENZ Law. La plainte et la déclaration de dénonciation peuvent être lues ici.

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 15:54

Le "projet" de Macron en 2017 :

La ministre du Travail, Élisabeth Borne, a indiqué mardi que les salariés qui se retrouveraient sans pass sanitaire à des postes où celui-ci sera obligatoire à partir de fin août pourront "prendre des RTT ou des jours de congés". "On introduira demain (mercredi) par amendement du gouvernement dans la discussion du projet de loi" à l'Assemblée nationale "la possibilité pour le salarié de convenir avec son employeur de prendre des RTT ou des jours de congés" et la possibilité "de convenir d'une autre affectation, dans un endroit" où le salarié ne sera "pas soumis à pass sanitaire", a déclaré Élisabeth Borne sur BFMTV.

 

Dans ce projet de loi, "on a introduit une nouvelle procédure" de "suspension du contrat de travail, évidemment sans rémunération." (Europe 1)

https://www.europe1.fr/economie/covid-les-salaries-sans-pass-sanitaire-pourront-prendre-des-rtt-ou-des-conges-selon-borne-4058835

https://www.europe1.fr/economie/covid-les-salaries-sans-pass-sanitaire-pourront-prendre-des-rtt-ou-des-conges-selon-borne-4058835

Deux amendements du gouvernement au projet de loi sur la gestion de la crise sanitaire précisent les modalités pour mettre fin aux fonctions des personnels soignants et des salariés qui ne respectent pas leur obligation vaccinale ou de pass sanitaire.

 

Le projet de loi du gouvernement sur la gestion de la crise sanitaire arrive à l'Assemblée nationale. Pour rappel, ce texte impose la vaccination contre le Covid-19 aux personnels de santé à partir du 15 septembre, ainsi qu’un pass sanitaire valide (vaccination complète contre le Covid-19, test PCR ou antigénique de moins de 48 heures négatif, certificat de rétablissement de moins de six mois) pour les salariés de certains établissements recevant du public à partir du 30 août 

 

Source: https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043806125

 

[Les salariés concernés par l'obligation du pass sanitaire sont ceux des établissements recevant plus de 50 personnes. Il s'agit des professionnels de la restauration (serveurs, cuisiniers), des "lieux de loisirs et de culture" (cinémas, théâtres...), des cheminots (la SNCF est discussion avec le gouvernement sur les professions concernées) en contact avec le public sur des trajets longue distance (lignes TGV et Intercités). Source : BFMTV. Seuls les grands centres commerciaux devraient être soumis à passe sanitaire. Les professionnels du secteur réclament la suppression pure et simple du pass sanitaire à l’entrée des centres. Le Parisien. Ndlr.].

 

Dans son texte d’origine, l’exécutif prévoyait, en cas de non-respect de ces obligations, la possibilité pour l’employeur de suspendre directement le contrat de travail du salarié. Si cette situation durait plus de deux mois, l’employeur pouvait alors décider de licencier le salarié (ou de rompre le contrat de travail en cas de CDD) ou de continuer à suspendre son contrat.

 

Dans ce cadre, le salarié se serait donc retrouvé bloqué, “sans aucune possibilité de toucher le chômage et sans aucune rémunération”, pointe Delphine Robinet, avocate spécialisée en droit social. Le gouvernement a donc tenté de corriger le tir, via deux amendements déposés dans le cadre de l’examen de son projet de loi à l’Assemblée nationale, ce mercredi 21 juillet. Le premier concerne l’obligation de pass sanitaire dans les entreprises recevant du public, et le second l’obligation vaccinale pour les professionnels de santé. Ces amendements apportent également plusieurs précisions sur les modalités qui encadrent la rupture du contrat de travail en cas de non-respect de l’obligation vaccinale ou de pass sanitaire.

 

Comme l’a annoncé Elisabeth Borne, la ministre du Travail, au micro de BFMTV ce mardi, l’idée est d’offrir “la possibilité pour le salarié de convenir avec son employeur de prendre des RTT ou des jours de congés” en cas de pass sanitaire non valide ou de non-respect de l’obligation vaccinale. Cela permettra ainsi au salarié de continuer à percevoir sa rémunération et de ne pas voir son contrat suspendu, le temps de “régulariser la situation”, indique le gouvernement dans ses amendements. Comprendre : le temps que le salarié ou le professionnel de santé effectue les démarches nécessaires pour se faire vacciner contre le Covid-19, ou bien pour être en mesure de présenter un test négatif de moins de 48 heures.

 

Si le salarié refuse de poser des jours de repos, l’employeur peut notifier “par tout moyen” (par écrit ou par oral), le jour-même, la suspension du contrat de travail (et donc du salaire) de l’employé concerné. Une situation qui peut prendre fin si le salarié régularise la situation (en se faisant vacciner ou en présentant un pass sanitaire valide). Passé trois jours de suspension, “le salarié est convoqué à un entretien afin d’examiner avec lui les moyens de régulariser sa situation”, précise le gouvernement dans ses amendements.

 

Dans le cas des salariés soumis au pass sanitaire, cet entretien peut notamment permettre de discuter des “possibilités d’affectation, temporaires le cas échéant, au sein de l’entreprise sur un autre poste non soumis à cette obligation”, ajoute l’exécutif. Une possibilité qui n’est logiquement pas prévue pour les personnels de santé soumis à la vaccination obligatoire, pour qui une nouvelle affectation n’est pas envisageable.

Source : https://www.capital.fr/votre-carriere/licenciement-ce-que-prevoit-precisement-lexecutif-pour-les-salaries-non-vaccines-ou-sans-pass-sanitaire-1410082

Source : https://www.capital.fr/votre-carriere/licenciement-ce-que-prevoit-precisement-lexecutif-pour-les-salaries-non-vaccines-ou-sans-pass-sanitaire-1410082

La procédure classique d’un licenciement pour motif personnel

Si un employé en CDI refuse de régulariser la situation et si son contrat est suspendu pendant une durée cumulée supérieure à deux mois de journées travaillées, il peut s’agir d’un motif “spécifique constituant une cause réelle et sérieuse de licenciement”, signale le gouvernement dans ses amendements. “Le gouvernement crée ici un nouveau motif de licenciement, non disciplinaire. Il ne s’agit pas d’une faute, mais on fait le constat que le salarié n’est pas en mesure de présenter un pass sanitaire valide ou qu’il n’est pas vacciné”, explique Delphine Robinet.

 

Dans ce cadre, les amendements de l’exécutif prévoient de suivre la procédure classique d’un licenciement pour motif personnel. À savoir l’envoi d’une lettre de convocation à un entretien préalable au licenciement. Ce dernier doit être organisé dans les cinq jours ouvrables suivant la présentation de la lettre. Deux jours ouvrables après la date de l’entretien préalable, l’employeur doit notifier le licenciement par lettre recommandée. “Il ne devrait toutefois pas y avoir de préavis à respecter, puisque le salarié se retrouve dans l’incapacité de travailler”, précise Delphine Robinet. À la date de fin de son contrat, le salarié perçoit une indemnité de licenciement.

 

 

Les contractuels de la fonction publique également concernés

Pour les salariés en CDD ne respectant pas leurs obligations, l’employeur peut décider de rompre le contrat avant son terme, au bout de deux mois d’inactivité en raison de la suspension du contrat. Le salarié peut alors percevoir l’indemnité de fin de contrat, aussi appelée “prime de précarité”. Pour calculer son montant, la période de suspension du contrat est exclue. À noter que ces dispositions sont valables pour les salariés en CDI et en CDD des établissements soumis à pass sanitaire, mais aussi pour les contractuels de la fonction publique travaillant dans ces établissements (soumis au pass sanitaire) ou dans le domaine de la santé (soumis à l'obligation vaccinale).

 

Pour les salariés en contrat de travail temporaire, le principe est le même que pour ceux en CDD : le contrat peut être rompu avant son terme en cas de non-respect des obligations et les salariés touchent alors leur indemnité de fin de mission. Là aussi, la période de suspension du contrat est exclue du montant de l’indemnité.

 

 

Même principe pour les fonctionnaires titulaires

Enfin, les amendements de l’exécutif encadrent la procédure pour les fonctionnaires titulaires (non contractuels) qui ne respecteraient pas non plus leurs obligations. Comme pour les salariés en CDI ou en CDD et les contractuels de la fonction publique, si un fonctionnaire ne respecte pas ses obligations, et s’il ne choisit pas de mobiliser, avec l’accord de son employeur, des jours de congés, ses fonctions (et son salaire) peuvent être suspendues. Cela s’applique à la fois aux personnels de santé soumis à l’obligation vaccinale, mais aussi aux fonctionnaires travaillant dans des établissements soumis à pass sanitaire (piscines municipales, bibliothèques municipales, etc.).

 

Au bout de trois jours de suspension du contrat, l’employeur peut organiser un entretien avec le fonctionnaire, dans le but d’examiner les possibilités de régulariser la situation. Si le fonctionnaire refuse de respecter son obligation pendant plus de deux mois, alors l’employeur peut décider de mettre un terme à ses fonctions. “Cette mesure est prononcée après convocation, par tout moyen, à un entretien préalable et information de l’agent de ce qu’il peut se faire assister par le ou les défenseurs de son choix. L’agent public dispose d’un délai de dix jours francs pour présenter ses observations avant la tenue de l’entretien. A l’issue de l’entretien, la décision lui est notifiée par tout moyen. Elle précise le motif ainsi que la date à laquelle la cessation définitive des fonctions intervient”, détaillent les amendements du gouvernement.

 

À noter que l’examen du projet de loi par les députés vient de démarrer en séance publique, ce mercredi 21 juillet. Il arrivera ensuite au Sénat le 23 juillet. Le texte, et donc les amendements du gouvernement, peuvent donc encore être amenés à évoluer.

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 14:02
Source : https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-pandemie-aura-un-impact-a-long-terme-sur-la-sante-mentale-alerte-l-oms-20210722

Source : https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-pandemie-aura-un-impact-a-long-terme-sur-la-sante-mentale-alerte-l-oms-20210722

«De l'anxiété liée à la transmission du virus, à l'impact psychologique des confinements et de l'auto-isolement, aux conséquences liées au chômage, aux difficultés financières et à l'exclusion sociale, tout le monde est affecté d'une manière ou d'une autre», estime l'OMS, dans un communiqué. La pandémie aura un «impact à long terme et d'une grande portée», prévient l'organisation.

 

L'OMS estime que «ce n'est pas juste la contamination, ou la peur d'être contaminé qui a affecté la santé mentale de la population». Mais «le stress procuré par les inégalités socio-économiques et les effets de la quarantaine, du confinement, de la fermeture des écoles et des lieux de travail ont eu des conséquences énormes», souligne encore l'OMS.

 

«La pandémie a secoué le monde. Plus de quatre millions de vies ont été perdues dans le monde, des revenus ont été détruits, des familles et des communautés ont été séparées, des entreprises ont été mises en faillite...», rappelle Dr Hans Kluge, le directeur de l'OMS en Europe. «La santé mentale et le bien-être doivent être perçus comme des droits humains fondamentaux», poursuit-il, en appelant les États à repenser l'accès aux soins.

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 13:15
Source: https://www.lemondemoderne.media/nous-ne-sommes-ni-pro-ni-anti-vaccin-mais-pour-le-respect-des-libertes/

Source: https://www.lemondemoderne.media/nous-ne-sommes-ni-pro-ni-anti-vaccin-mais-pour-le-respect-des-libertes/

Une centaine d’avocats ont souhaité réagir à l’annonce de la création d’un pass sanitaire et ont rédigé cette tribune, que nous publions ce jour sur Le Monde Moderne.

À l’heure où l’urgence sanitaire est plus que jamais d’actualité et qu’il apparait plus que nécessaire d’y apporter des solutions concrètes et efficaces, le gouvernement souhaite tendre à une généralisation de la vaccination auprès de tous les Français1 et pour y parvenir a annoncé de :

 

– rendre obligatoire le vaccin pour les professionnels en contact avec des personnes vulnérables ;

 

– obtenir la vaccination généralisée de la population par l’extension du PASS SANITAIRE à plusieurs lieux accueillant du public (etc).

 

Toutefois, cela ne peut se faire au détriment du respect de nos droits les plus fondamentaux que sont, notamment, le droit au respect de la vie privée et familiale2, le droit à l’intégrité physique et au principe d’inviolabilité du corps humain3, la liberté de conscience, la liberté d’aller-et-venir, le principe de non-discrimination entre les personnes, le droit au secret médical.

 

En amont, il convient de connaître le réel statut juridique du vaccin COVID-19.

 

Compte tenu de l’urgence sanitaire, ces vaccins bénéficient d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) Conditionnelle renouvelable chaque année avec obligation pour les laboratoires de produire des données complémentaires.

 

En effet, le vaccin n’étant pas un produit de santé comme les autres et puisqu’il reste un médicament soumis à un encadrement juridique strict4, il doit répondre à une exigence de sécurité qui passe par une surveillance à court mais aussi à long terme5, ainsi que par une évaluation régulière des effets indésirables au regard des bénéfices attendus6.

 

Ce n’est qu’une fois que le niveau de sécurité du vaccin, au regard de la balance bénéfice/risque sur le court et sur long terme est obtenu, que l’AMM dite standard est délivrée.

 

Or, concernant les vaccins COVID-19 « les données à long terme sur l’efficacité et la sécurité n’étant pas disponible »7, la Commission Européenne n’a délivré que des AMM conditionnelles.

 

C’est pourquoi et dans la mesure où la pharmacovigilance de ces vaccins aujourd’hui, ne permet pas de s’assurer de la sécurité des vaccins sur le long terme, plus que jamais chacun devrait rester LIBRE de consentir ou non de se faire vacciner. Le rendre obligatoire est par conséquent INCONCEVABLE.

 

A ce titre, concernant l’obligation de recueillir le consentement de tout usager du système de santé, notre corpus juridique bénéficie d’un socle solide passant du Code de Nuremberg à la Résolution 2361 (2021) adoptée le 27 janvier 2021 par l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe8.

 

1 Site du gouvernement : https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus ;

 

2 Article 8 CEDH ;

 

3 Article 16-1 code civil ;

 

4 L.5111-1 du Code de la santé publique et suivants ;

 

5 Notamment sous la tutelle de l’ANSM au niveau national ;

 

6 Dite : balance bénéfice/risque ;

 

7 Site ANSM : https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-vaccins-autorises ;

 

8 Code de Nuremberg, loi bioéthique du 30 juillet 1994, article L521-1 du Code de justice administrative, article 35 du Code de déontologie médicale, article 16-1 du Code civil et article L1111-4 du Code de la santé publique et https://pace.coe.int/fr/files/29004/html ;

 

À titre d’exemple, la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, prévoit que le consentement à tout acte médical doit être libre et éclairé.

 

➢ Libre, cela signifie que la personne doit manifester sa volonté à l’acte médical et donc son accord non équivoque à l’atteinte à l’intégrité de son corps et cela sans contrainte ni pression.

 

➢ Éclairé, cela signifie d’avoir au préalable reçu une information loyale, claire, appropriée, complète9et cela quel que soit le contexte d’urgence10, notamment sur le fait que les données sur le long terme ne sont pas disponibles, sur les risques fréquents ou graves normalement prévisibles en l’état des connaissances scientifiques et des conséquences que ceux-ci pourraient entraîner.

 

Aussi, rappelons que si seul le législateur peut rendre une vaccination obligatoire11, c’est à la double condition que la maladie soit particulièrement bien connue par la médecine12 et comme le rappelle le Conseil d’État que l’ingérence de la vaccination obligatoire dans les libertés individuelles se fasse moyennant un contrôle de proportionnalité prenant acte de l’efficacité certaine des vaccins en cause, au regard du caractère limité de leurs effets indésirables13, ce qui n’est pas le cas en l’espèce.

 

Par ailleurs, obliger la présentation du PASS SANITAIRE, pour l’accès à de nombreuses activités de la vie quotidienne (notamment, se rendre à l’hôpital, dans un centre commercial pour faire ses courses, à un spectacle ou au restaurant) c’est :

 

– nous obliger à divulguer notre statut vaccinal et donc violer notre droit au secret médical ;

 

– introduire de violentes discriminations entre vacciné.e.s et non vacciné.e.s, volontaires ou non. Puisque ne l’oublions pas, certaines personnes ne peuvent pas ou n’ont pas le droit, et cela pour de nombreuses raisons, de se faire vacciner ;

 

– porter atteinte à la liberté de circulation ;

 

– augmenter la fracture économique et sociale à l’égard des plus démunis.

 

C’est d’ailleurs pour toutes ces raisons que, le 21 janvier dernier, l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe a demandé instamment aux États membres et à l’Union européenne « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

 

Ainsi, pour tous ces motifs, nous ne pouvons pas accepter ce chantage déguisé du président de la République justifié, à tort, par sa volonté de faire primer la protection de la santé collective au détriment, en l’état des connaissances scientifiques, de la protection certaine de l’individu et de bon nombre de nos libertés individuelles et collectives.

 

9 L.1111-2 du Code de la santé publique ;

 

10 CCNE avis du 21 décembre 2020 ;

 

11 QPC n°458 du 20 mars 2015 ;

 

12 CEDH 2 mars 2021 ;

 

13 CE 6 mai 2019 n°419242.

 

AVOCATS SIGNATAIRES

-Besma MAGHREBI Barreaux de PARIS et MARSEILLE,

 

-Stéphane MAUGENDRE Barreau de BOBIGNY,

 

-Marine ROGE Barreau de PARIS,

 

-Samir KAHOUL Barreau du VAL DE MARNE,

 

-Flavie De MEERLEER Barreau de TOULOUSE,

 

-Hadjar KHRIS-FERTIKH Barreau de PARIS,

 

-Mélody OLIBE Barreau de PARIS,

 

-Christine CLAUDE-MAYSONNADE Barreau de TARBES,

 

-Shirley DEROO Barreau de PARIS,

 

-Agnès ASCENSIO Barreau de PARIS,

 

-Helena BONDO Barreau des HAUTS-DE-SEINE,

 

-Karine SHEBABO Barreau de PARIS,

 

-Sophie MAZAS Barreau de MONTPELLIER,

 

-Loreleï VITSE Barreau de DUNKERQUE,

 

-Agnès TEISSEDRE du barreau de PARIS,

 

-Julie MAIRE Barreau de PARIS,

 

-Anaïs GALLANTI Barreau de PARIS,

 

-Anne MILEO Barreau de PARIS,

 

-Sarah SCALBERT Barreau de PARIS,

 

-Anne LASSALLE du barreau de BOBIGNY,

 

-Alima BOUMEDIENE THIÉRY Barreau du VAL D’OISE,

 

-Hicham ABDELMOUMEN Barreau de PARIS,

 

-Marianne PIEROT Barreau de PARIS,

 

-Marie Noëlle SPINELLA Barreau de PARIS,

 

-Michael NEUMAN Barreau de PARIS,

 

-Nadine REY Barreau de PARIS,

 

-Sabrina BOUAOU Barreau de l’ESSONNE,

 

-David LIBESKIND Barreau de PARIS,

 

-Anna CHERIF HAUTECOEUR Barreau de PARIS,

 

-Laura ROUSSEAU Barreau de PARIS,

 

-Armide REY-QUESNEL Barreau de DUNKERQUE,

 

-Corinna KERFANT Barreau de VERSAILLES,

 

-Arnaud LIBAUDE Barreau de BOBIGNY,

 

-Maria del pilar motote ARCE Barreau de PARIS,

 

-Audrey AVRAMO-LECHAT Barreau de PARIS

 

-Cynthia BYRAM Barreau de PARIS,

 

-Sabrina ABDENNOUR Barreau des HAUTS-DE-SEINE,

 

-Laure LAYDEVANT barreau d’AIX EN PROVENCE

 

-Lauriane BUNOMANO Barreau d’AIX EN PROVENCE

 

-Aline BRIOT Barreau de CHAMBERY,

 

-Jean-Marc ANDRE ANCIEN BATONNIER Barreau de VERSAILLES,

 

-Stéphanie TOURE-JENNI Barreau de BOBIGNY,

 

-Valérie LEPAGE-ROUSSEL Barreau de PARIS,

 

-Nathalie WOROCH Barreau BETHUNE,

 

-Séverine MANNA Barreau de PARIS,

 

-Fabien GRECH Barreau de NICE,

 

-Sandra MACKAYA Barreau de MARSEILLE,

 

-Stéphane SCHONER Barreau de BETHUNE,

 

-Hugo BOUILLET Barreau de TOULOUSE,

 

-Camille DIRE Barreau de NICE,

 

-Pierre ROUANET Barreau de PARIS,

 

-Mehdi BOUZAIDA Barreau de PARIS,

 

-Dominique GANTELME Barreau de PARIS,

 

-Norbert GRADSZTEJN Barreau de PARIS,

 

-Hakima SLIMANE Barreau de PARIS,

 

-Marine GRINSZTAJN Barreau de PARIS,

 

-Sophia ALBERT-SALMERON Barreau d’AVIGNON.

 

(Liste non définitive)

 

Source: Le Monde moderne

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 12:12

Le Rapport du Sénat n° 685 session extraordinaire 2009-2010 indique (p. 156) que la vaccination contre la grippe aviaire "n'avait eu aucun 'effet barrière', ainsi qu'un effet marginal, voire nul sur le plan indivuel".

Source: https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-11.pdf

Source: https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-11.pdf

De même le texte indique (p. 157) qu'"une vaccination supplémentaire itérative n'est pas sans conséquence à terme sur le système immunitaire."

https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-11.pdf

https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-11.pdf

Partager cet article
Repost0