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18 novembre 2023 6 18 /11 /novembre /2023 18:26
Surmortalité en 2023 : La mortalité des jeunes adultes augmente de 20 pour cent

Les experts et actuaires de l’assurance-vie estiment que les chiffres sont alarmants :

les assureurs-vie ont payé un montant record de sinistres en 2021, soit

la plus forte augmentation annuelle depuis 1918.

 

Ils ont versé un montant record de 100,28 milliards de dollars en prestations de décès.

 

Le taux de mortalité chez les jeunes adultes augmentera de 20 pour cent en 2023

 

Center of Disease Control montrant une augmentation alarmante des taux de mortalité pour diverses catégories.

La hausse de la mortalité a pris les assureurs au dépourvu.

 

15 à 19 ans de différence par rapport à 2019

 

2018, 1%

2020, 21%

2021, 28%

2022, 21%

2023 (janvier-mai), 24 %

30 à 34 ans de différence par rapport à 2019

 

2018, -1%

2020, 30%

2021, 42%

2022, 30%

2023 (janvier-mai), 23 %

40 à 44 ans de différence par rapport à 2019

 

2018, -2%

2020, 30%

2021, 45%

2022, 30%

2023, (janvier – mai), 25 %

Les données sur les causes de décès montrent une augmentation de la mortalité cardiaque dans tous les groupes d'âge.

 

Si les causes liées à la COVID-19 ont diminué en 2022,

d’autres causes ont augmenté, notamment les accidents vasculaires cérébraux, le diabète et les maladies rénales et hépatiques.

Source: https://uncutnews.ch/ueberschuss-an-sterbefaellen-2023-sterblichkeit-junger-erwachsener-steigt-um-20-prozent/

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18 novembre 2023 6 18 /11 /novembre /2023 17:51

Un article du media mainstream britannique titre : "Le véritable scandale du vaccin Covid émerge enfin" :

https://www.telegraph.co.uk/news/2023/11/09/the-real-covid-jab-scandal-is-finally-emerging/

https://www.telegraph.co.uk/news/2023/11/09/the-real-covid-jab-scandal-is-finally-emerging/

Les jeunes et les personnes en bonne santé, qui couraient un risque minime de Covid, n’auraient pas dû être informées qu’elles devaient se faire vacciner

Je ne suis pas un anti-vaccin mais... Le 29 avril 2021, Lisa Shaw, une présentatrice intelligente, sensible, créative, espiègle et primée à BBC Radio Newcastle, a reçu sa première vaccination contre le Covid... 

 

La suite de l'article est soumis à abonnement mais un compte rendu en est proposé en allemand sur le site UncutNews.ch

Traduction automatique :

 

Steven O'Connor

 

"Le véritable scandale du vaccin Covid éclate enfin au grand jour". Un commentaire paru dans le Telegraph du 9 novembre fournit une bonne introduction aux raisons pour lesquelles nous vaccinons les enfants contre le COVID-19, même si le risque est faible. La conclusion est contenue dans le sous-titre de l’article : « On n’aurait pas dû dire aux enfants jeunes et en bonne santé présentant un risque minime de Covid qu’ils devaient se faire vacciner ». On apprend que Lisa Shaw, présentatrice primée de la BBC, a reçu sa première vaccination contre le COVID-19 le 29 avril 2021. La mère de 44 ans croyait qu’elle pouvait faire sa part pour protéger les autres. En quelques jours, Shaw a développé « des maux de tête et des douleurs lancinantes derrière les yeux qui ne disparaissaient pas ». Le 16 mai, elle a été admise à l’hôpital avec des caillots sanguins dans le cerveau. Elle pouvait à peine parler et une partie de son crâne a été retirée pour soulager la pression. Puis, le 21 mai, Mme Shaw est décédée ; le médecin légiste a déterminé que le décès était dû au vaccin contre la COVID-19 d’AstraZeneca. Mme Shaw était auparavant en vie et en bonne santé, mais il a été "clairement établi" qu’elle est décédée d’une rare "thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT)". Le TTIV est "une nouvelle maladie qui provoque un gonflement et des saignements dans le cerveau". En 2021, le ministre britannique de la Santé, Matt Hancock, avait déclaré que le produit d’AstraZeneca était "une grande réussite britannique" dans le cadre d’un "effort intensif" pour apaiser les inquiétudes du public. Le Premier ministre Boris Johnson a même tweeté : "C’est une nouvelle vraiment fantastique – et un triomphe pour la science britannique…". Hier, TrialSite a fait état d'un procès majeur contre le même vaccin du fabricant britannique - le plaignant : VITT Litigation Group.

 

"Grave lésion cérébrale."

 

Notre prochain point de vue nous vient de la BBC, également le 9 novembre : "AstraZeneca fait face à une contestation judiciaire concernant le vaccin Covid". Il rapporte que Jamie Scott, père de deux enfants, a été vacciné en avril 2021 et a subi une "grave lésion cérébrale". Son procès s’appuie sur la loi sur la protection des consommateurs et prétend que le produit est "défectueux" parce qu’il est plus dangereux que ce que l’on laisse croire. 80 autres victimes du vaccin porteront plainte en 2023. Elles travaillent tous avec le groupe de litige VITT susmentionné.

 

...

 

Ironiquement, la BBC est la cible d'un procès impliquant TrialSite – un membre clé de la Trusted News Initiative ou « TNI ».

 

Cette cabale médiatique, composée d'entreprises médiatiques et technologiques de premier plan, a travaillé ensemble pour garantir que les informations critiques dont TrialSite rendait compte soient cachées à la vue du public.

 

Après que le candidat présidentiel Kennedy ait appelé le fondateur de TrialSite, Daniel O'Connor, pour discuter d'un éventuel procès, TrialSite s'est joint à lui pour soutenir ce qui était à la fois une censure et une plate-forme potentielle pour détruire la concurrence.

 

Alors que la BBC a désormais le feu vert pour rendre compte des incidents liés aux vaccins, TrialSite a été l’un des seuls médias à rendre compte de tels événements début 2021. La BBC et les grands médias ont suivi un scénario d’urgence nationale et ont ignoré le véritable journalisme. Il en va de même pour la presse spécialisée pharmaceutique, concurrente directe de TrialSite. À ce jour, pas un seul mot n’a été dit sur certaines des externalités insidieuses du COVID-19.

 

TrialSite a rapporté que de nombreux médecins de première ligne affirmaient que la grande majorité des cas de COVID-19 étaient légers à modérés, en particulier chez les jeunes. Ce groupe de médecins plutôt indépendant et critique s’est prononcé contre la nécessité de la vaccination contre le COVID-19.

 

En d’autres termes, ce groupe estime que les risques de la vaccination l’emportent sur les avantages. Les principaux arguments contre la vaccination étaient l’augmentation des hospitalisations d’enfants pendant la phase delta et la survenue du MIS-C. Toutefois, des leaders d’opinion tels que Geert Vanden Bossche ont affirmé que cela ne justifierait jamais une vaccination massive des plus jeunes membres de la société.

 

TrialSite a noté à plusieurs reprises qu'à ce jour, la Food and Drug Administration (FDA) n'a pas été en mesure de vérifier la sécurité du vaccin Pfizer pour les enfants et les femmes enceintes du public américain.

 

...

 

L'OMS fixe les priorités pour la vaccination des jeunes

 

Certains pays, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une coalition de responsables de la santé, commencent à comprendre. Le 29 mars 2023, CNN a proposé un autre regard sur le vaccin contre la COVID-19 pour les adolescents : "Les experts de l'OMS révisent les recommandations de vaccination contre la COVID-19, affirmant que les enfants et les adolescents en bonne santé courent un faible risque." Il indique : "Les experts en vaccination de l’Organisation mondiale de la santé ont révisé leurs recommandations mondiales en matière de vaccination contre le COVID-19, et les enfants et adolescents en bonne santé qui sont considérés comme à faible risque n’auront peut-être pas besoin d’être vaccinés." La "feuille de route" mise à jour vise à "donner la priorité aux vaccinations contre le COVID-19 pour ceux qui courent le plus grand risque de décès et de maladie grave", selon le Groupe consultatif stratégique sur les vaccins (SAGE) de l’Organisation mondiale de la santé. Un communiqué de presse du SAGE indique : "L’impact sur la santé publique de la vaccination des enfants et des adolescents en bonne santé est, en comparaison, bien moindre que les avantages prouvés des principaux vaccins infantiles traditionnels – tels que les vaccins conjugués contre le rotavirus, la rougeole et le pneumocoque."

...

 

La science et la médecine sont devenues complètement politisées pendant la pandémie. Nous ne reviendrons pas à une époque plus sensée et rationnelle où les professionnels respectaient leurs parcours respectifs.

 

Les mandats de l'administration Biden (dont certains ont été déclarés inconstitutionnels) ont été annoncés pour 2021 alors que nous savions déjà que les vaccins contre le COVID-19 ne parvenaient pas à arrêter la transmission du virus et étaient associés à certains effets secondaires dangereux, bien que relativement rares. Avec les variétés de plus en plus douces sur lesquelles Omicron travaille, cela n’a plus d’importance. Bien entendu, il existe encore de sérieuses valeurs aberrantes et les personnes âgées restent plus à risque.

 

L'auteur soupçonne que la décision de Biden était un jeu de pouvoir en coulisses pour contenir un mouvement naissant pour la liberté médicale identifié par la structure du pouvoir à Washington comme allié de MAGA et de Trump. Après tout, les tensions entre positions politiques opposées s’étaient déjà intensifiées avant les actions scandaleuses du 6 septembre. Il semble que la société américaine n’ait pas été aussi divisée depuis la guerre du Vietnam, peut-être même depuis la guerre civile. Les médias sociaux et l’évolution des dynamiques culturelles ont favorisé un environnement de division tribale basé sur des modes de vie et des clics auto-définis.

 

L’administration Biden continue d’exploiter la pandémie même si elle est terminée – il n’y a plus d’urgence – et dépense au moins 5 milliards de dollars de l’argent des contribuables pour que les bureaucrates de Washington puissent choisir des vaccins et d’autres contre-mesures médicales. C’est comme si nous étions dans un état d’urgence permanent ou, pour le dire autrement, dans une nouvelle réalité politisée.

 

Cela ne veut pas dire que Trump a également politisé la pandémie. Il l’a fait en tentant dans un premier temps de nier le risque confirmé dans les entretiens avec Woodward. L’opération Warp Speed ​​​​est devenue un jeu corrompu dans lequel des milliards de dollars des contribuables ont changé de mains.

Source : Telegraph, "The real Covid jab scandal is finally emerging"

https://www.telegraph.co.uk/news/2023/11/09/the-real-covid-jab-scandal-is-finally-emerging/

via https://uncutnews.ch/der-wahre-skandal-um-den-covid-impfstoff-kommt-endlich-ans-licht-keine-covid-19-spritzen-mehr-fuer-jugendliche-mehr-politisierung-hinter-covid-19/

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3 novembre 2023 5 03 /11 /novembre /2023 17:49
https://www.lifesitenews.com/news/canadian-doctor-turbo-cancers-young-people-covid-jabs/?

https://www.lifesitenews.com/news/canadian-doctor-turbo-cancers-young-people-covid-jabs/?

Un médecin canadien a lancé un cri d'alarme concernant l'émergence de "turbo-cancers" chez les jeunes, qui semblent être associés à la réception des "vaccins" Pfizer ou Moderna COVID-19.

‘Je n'ai jamais rien vu de tel", a déclaré le Dr William Makis à propos des "cancers du sein de stade quatre chez des femmes d'une vingtaine d'années", des "cancers du côlon de stade quatre chez des hommes et des femmes d'une vingtaine d'années" et des "leucémies qui vous tuent en quelques jours, voire en quelques heures après le diagnostic".

"Je n'ai jamais rien vu de tel", a déclaré le Dr William Makis lors d'une interview accordée le 20 octobre. "Je n'ai jamais vu de cancers du sein au stade 4 chez des femmes de 20 ans. Je n'ai jamais vu de cancer du côlon au stade 4 chez des hommes et des femmes de 20 à 30 ans, des leucémies qui vous tuent en quelques jours, voire quelques heures après le diagnostic, des lymphomes à nouveau qui vous tuent en quelques mois."

Makis est le chef du service de médecine nucléaire et d'oncologie de la Wellness Company, qui compte dans ses rangs des experts médicaux de renom tels que Peter McCullough, Paul Alexander, Roger Hodkinson et Harvey Risch. Sa biographie indique qu'il est chercheur en cancérologie, formé à la médecine nucléaire, à la radiologie et à l'oncologie, et qu'il est l'auteur de plus de 100 publications évaluées par des pairs dans des revues médicales internationales, tout en entretenant une chaîne Substack très populaire.

S'adressant à l'animateur Jim Ferguson, le médecin basé à Edmonton a décrit comment il a commencé à suivre les décès soudains chez les personnes touchées par le COVID à la fin de 2021 lorsqu'il a remarqué qu'un grand nombre de médecins mouraient subitement après leur injection de rappel. Alors que beaucoup sont décédés en raison de problèmes cardiaques pendant qu'ils faisaient de l'exercice, “un assez grand sous-ensemble de médecins” a développé “des cancers extrêmement agressifs.”

 

"Par exemple, un médecin a développé un cancer de l'estomac dans la trentaine [et] s'est présenté au stade quatre. Il est décédé en moins d'un an", a indiqué le docteur Makis. "Des cancers du cerveau très rares sont apparus chez des jeunes de 20 à 30 ans, y compris des étudiants en médecine et des internes en médecine. Ces cancers se présentaient toujours au stade 4 et les tuaient toujours en quelques mois".

Alors qu'il suivait ces cas tragiques, il a remarqué que le terme "turbo-cancer" était appliqué au phénomène sur les médias sociaux. "Ces cancers se comportent de manière totalement différente, contrairement à tout ce que j'ai vu auparavant dans ma carrière, et j'ai diagnostiqué plus de 20 000 patients atteints de cancer.

De plus, "ces turbo-cancers semblent apparaître spécifiquement chez les personnes qui ont reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer ou de Moderna. Il semble qu'un seul vaccin suffise si l'on n'a pas de chance. Mais, bien sûr, plus on prend de vaccins, plus on court de risques. Et ces cancers se présentent toujours au stade quatre. Ils sont toujours détectés très tard. Ils se développent très rapidement. Ils prennent donc les oncologues au dépourvu", a-t-il déclaré.

Outre sa tendance à se propager rapidement dans l'organisme, "l'autre caractéristique de ces cancers est qu'ils sont très résistants aux traitements conventionnels", a déclaré M. Makis. "Ils sont résistants à la chimiothérapie, à la radiothérapie, et les patients semblent très mal supporter les traitements conventionnels.

En conséquence, les oncologues sont "déconcertés", tentent les traitements conventionnels qui ne fonctionnent pas, et "le patient meurt en quelques mois".

Mécanismes possibles dans les injections de COVID susceptibles de provoquer un "turbo-cancer" mortel

 

L'une des explications avancées par Makis est qu'avec le pic de production de protéines de pointe résultant des injections de COVID, le corps réagit en produisant une quantité excessive d'anticorps IgG4, ce qui compromet la "surveillance du cancer". Le corps devient alors très vulnérable aux cellules cancéreuses, car le système immunitaire commence à ne plus prêter attention aux cellules cancéreuses.

D’autres mécanismes susceptibles de provoquer un "turbo-cancer" incluent la possibilité que les protéines de pointe "interfèrent avec les gènes et les protéines suppresseurs de tumeurs", ainsi que la réplication de l’ADN, qui se produit régulièrement dans tout le corps. Lorsque ce processus n’est pas mené à bien, il peut favoriser la formation de cellules cancéreuses.

Une troisième cause possible de ces graves maladies pourrait être liée aux "anneaux d'ADN plasmidique" qui contaminent les flacons de Pfizer et de Moderna. Comme l'explique le chercheur, ces anneaux "contiennent la séquence complète de la protéine spike", qui pourrait potentiellement s'intégrer dans le génome de la personne à qui l'on a injecté le produit, ce qui l'amènerait à produire "la protéine spike potentiellement indéfiniment, et il n'y a pas de 'bouton d'arrêt'".

En outre, "si elle s'intègre au mauvais endroit, elle risque de détruire un gène suppresseur de tumeur et d'éliminer l'un des mécanismes de protection contre le cancer", a déclaré M. Makis. "Il s'agit donc d'une cause potentielle de cancer qui pourrait être à l'origine de l'augmentation de certains de ces turbo-cancers.

Dans son reportage Substack, Makis a relaté des dizaines de cas récents de "turbo-cancer" chez des jeunes âgés de 18 à 24 ans, de jeunes médecins canadiens, des infirmières, des adeptes du fitness et des stars des médias sociaux.

Il a également fourni des commentaires sur les traitements possibles des lésions vaccinales et même des "turbo-cancers", notamment la mélatonine, les périodes de jeûne prolongé, l'ivermectine et peut-être le fenbendazole.

Augmentation catastrophique des cancers et des taux de mortalité excessifs corroborée par de nombreuses sources depuis le début de l'année 2021

Dès mars 2021, le Dr Ryan Cole, pathologiste certifié, a signalé qu'il constatait une "augmentation" massive de diverses maladies auto-immunes et de cancers chez les patients qui avaient été "vaccinés" contre le COVID.

"Depuis le 1er janvier [2021], en laboratoire, je constate que le nombre de cancers de l'endomètre a été multiplié par 20 par rapport à ce que je vois chaque année", déclara-t-il.

En janvier 2022, la base de données épidémiologiques médicales de la défense américaine a révélé des pics considérables dans des dizaines de maladies à la suite de l'utilisation du COVID dans l'armée américaine. Le nombre de cas de cancer chez les militaires et leurs familles a notamment triplé, avec une augmentation de 487 % du nombre de cas de cancer du sein.

Le même mois, Scott Davison, président de OneAmerica Insurance à Indianapolis, a attiré l'attention sur l'augmentation de 40 % des taux de mortalité dans le secteur au troisième trimestre 2021, qui étaient les plus élevés que l'entreprise ait « vu dans l'histoire de l'entreprise ».

 

"Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigmas ou d'une année sur 200 correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période prépandémique", a-t-il déclaré. "Donc, 40 %, c'est du jamais vu."

 

Peu après cette révélation, l'ancien entrepreneur devenu journaliste Steve Kirsch a analysé les chiffres et expliqué en détail pourquoi ces décès excédentaires non liés à COVID étaient très probablement causés par les vaccins COVID. Le diplômé du MIT a expliqué qu'une telle catastrophe ne se produirait par pur hasard que tous les 2,8e à 32 ans, c'est-à-dire "quasiment jamais".

 

"En d’autres termes, l’événement qui s’est produit [qui a provoqué cela] n’est pas un 'hasard' statistique. Quelque chose a provoqué un très grand changement", a-t-il déclaré.

L'augmentation significative du nombre de décès est également corroborée par un rapport publié en janvier 2022 par l'Institut de recherche de la Society of Actuaries (SOA), qui montre que les demandes d'indemnisation au titre de l'assurance-vie excédentaire ont augmenté de 37,7 % au troisième trimestre 2021 par rapport à la situation de référence antérieure à la pandémie (2017-2019). Ce chiffre comprenait une répartition approximative de 50-50 entre les sinistres liés au COVID-19 et ceux causés par d'autres facteurs.

 

Depuis lors, des taux de surmortalité "incroyablement élevés" ont également été signalés dans de nombreux autres pays, notamment en Australie, au Canada , en Allemagne , en Irlande et au Royaume-Uni .

Les médecins et les scientifiques prédisent une forte augmentation des décès après la distribution du vaccin

 

Pour de nombreux médecins qui ont examiné ces injections expérimentales de COVID-19, dès 2020, de tels taux de mortalité étaient malheureusement prévisibles.

Geert Vanden Bossche, ancien haut responsable de la Fondation Bill et Melinda Gates, a attiré l’attention en mars 2021 lorsqu’il a publié une lettre ouverte et une vidéo mettant en garde contre une "catastrophe mondiale sans égal" due aux programmes expérimentaux de "vaccination" contre le COVID-19.

À peu près à la même époque, le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires, a déclaré : "Si quelqu'un souhaitait nuire ou tuer une proportion significative de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place en place actuellement le permettra."

"À mon avis, il est tout à fait possible que ce [système de vaccination généralisée par transfert de gènes] soit utilisé pour un dépeuplement à grande échelle", déclara-t-il.

D’autres ont déclaré que cette substance était "une technologie conçue pour empoisonner les gens", et le Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud a conclu que le but de la pandémie et des campagnes de vaccination est de "contrôler et tuer une grande partie de notre population sans que personne ne s’en doute". que nous avons été empoisonnés.

De plus, "les décès censés suivre les vaccinations ne pourront jamais être imputés au poison. Ils seront trop divers, il y en aura trop et ils s’étendront sur une période trop large pour que nous puissions comprendre que nous avons été empoisonnés."

En sanctionnant sévèrement les professionnels de la santé, les autorités créent des tabous empêchant de poser des questions évidentes

 

Les observations de Makis montrent que les autorités médicales ont réussi à imposer un tabou aux médecins qui posent des questions de bon sens sur le lien apparent entre les injections de COVID-19 et les taux de mortalité excessifs, en particulier chez les jeunes, qui ont également entraîné une baisse considérable de l'espérance de vie de trois ans aux États-Unis.

"Le problème est que les oncologues refusent de reconnaître ce phénomène [des 'turbo-cancers'] et ne l'étudient donc pas, parce qu'ils ont peur pour leurs licences médicales", a-t-il déclaré.

Les médecins qui se sont prononcés sur ces questions ont été punis par la perte de leur carrière, de leur licence médicale et bien plus encore, a expliqué Makis. Et les médecins qui s’expriment en respectant leur serment d’Hippocrate et l’éthique médicale appropriée sur ces questions "doivent être prêts à tout perdre, et donc peu de recherches sont menées".

Source: https://www.lifesitenews.com/news/canadian-doctor-turbo-cancers-young-people-covid-jabs/?

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27 octobre 2023 5 27 /10 /octobre /2023 19:07

Le peloton cycliste est sous le charme de problèmes cardiaques : les cyclistes professionnels les uns après les autres doivent abandonner

En quelques mois seulement, quatre cyclistes ont dû mettre fin prématurément à leur carrière en raison de problèmes cardiaques. Après Sep Vanmarcke, Nathan Van Hooydonck et Wesley Kreder, c'est désormais le Danois Niklas Eg qui doit arrêter le cyclisme.


 

Le site Internet Wielerkrant rapporte que le peloton cycliste est frappé par des problèmes cardiaques. ZB a remarqué lors d'une séance d'entraînement que sa fréquence cardiaque montait en flèche. Le Danois de 28 ans n'est plus autorisé à courir.

 

Comment cela a-t-il pu arriver ?


 

"C'est étrange, comment cela peut-il arriver ?", s'interroge à haute voix le député Pepijn van Houwelingen (FVD).

 

Le neurologue Jan Bonte passe en revue les explications possibles : "Vous devez faire du vélo trop vite. Ou est-ce qu'il fait plus chaud aujourd'hui qu'avant ? Ou plus froid ? Les montagnes sont-elles plus abruptes, les vallées plus profondes ? Est-ce qu'il pleut plus ou est-ce qu'il fait trop sec ? Y a-t-il trop de PFAS dans les pneus des vélos ? De l'amiante dans les plaquettes de frein ? Des métaux lourds dans le cadre ?"

 

"Bien sûr, presque tout le monde a été vacciné contre le SRAS-CoV-2, donc le COVID-19 ne peut pas en être la cause. Vraiment, c'est un mystère absolu pour moi : un cœur qui bondit comme un fou. Ce doit être le choc de l'éléphant rose, qui trône régulièrement assis au milieu de la route. Et quelque chose qu'on ne peut pas éviter facilement", poursuit-il.


 

Le leader du FVD, Thierry Baudet, s'interroge : "Un vaccin ?"


 

L'analyste de données Cees van den Bos rappelle que les chauffeurs de poste américains se demandaient parfois combien de drogues ils avaient consommée. "Aujourd'hui, la question est plus intéressante de savoir s'ils ont eu le vaccin Covidien", explique Van den Bos.

SOURCE : https://www.wielerkrant.be/nieuws/2023-10-21/hartproblemen-wurmen-zich-in-het-peloton-28-jarige-renner-moet-fiets-aan-de-haak-hangen#ixzz8H01bhjWn

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27 octobre 2023 5 27 /10 /octobre /2023 19:02

deux pilotes pilotant un avion

Maurice Patenaude, pilote d'Air Canada et de l'Aviation canadienne, 54 ans, est décédé le 26 septembre 2023 d'un "carcinome rénal terminal" (turbo cancer).


 

Les pilotes qui doivent recevoir le vaccin à ARNm contre la COVID-19 souffrent en silence des blessures causées par le vaccin jusqu'à ce que nous en entendions parler dans les nécrologies.


 

Encore des décès de pilotes :


 

Sep. 2023 – Pilote d'Alaska Airlines – Le capitaine Eric McRae, 37 ans, est décédé subitement dans sa chambre d'hôtel lors d'une escale et devait voler ce matin-là.

Août 2023 – Un élève-pilote du US Army Aviation Center (Alabama) a subi un arrêt cardiaque en plein vol (18 août 2023). L'instructeur a fait atterrir l'avion - le pilote est resté mort pendant 18 minutes !

Août 2023 – Vol IndiGo (NAG-PNQ) de Nagpur à Pune, Inde – Le pilote Manoj Subramanium, 40 ans, est décédé après s'être effondré à la porte d'embarquement, sur le point d'embarquer.

Août 2023 – Vol QR579 de Qatar Airways (DEL-DOH) de Delhi à Doha, Qatar – Le pilote de 51 ans s'est effondré en tant que passager du vol et est décédé, l'avion a été détourné vers Dubaï.

Août 2023 - Vol LATAM LA505 (MIA-SCL) de Miami à Santiago, Chili - 2 heures après le début du vol de 8 heures, le capitaine Ivan Andaur, 56 ans, s'est effondré dans les toilettes et est décédé - l'avion a été détourné vers Panama City !

Juillet 2023 – Un Piper Meridian 2006 volant au départ de Westchester NY s'est écrasé à l'aéroport de Martha's Vineyard après que le pilote a subi une urgence médicale en approche finale et qu'un passager a pris le contrôle de l'avion et a tenté un atterrissage. Le pilote, Randolph Bonnist, 79 ans, est décédé plus tard à l'hôpital.

Juin 2023 – Le Cessna Citation N611VG a volé du Tennessee à Long Island, des avions de combat ont découvert le pilote inconscient dans le cockpit, l'avion s'est écrasé et tout le monde à bord est mort.

Je surveille l'invalidité et les décès des pilotes en 2023.


 

SOURCE : WILLIAM MAKIS, MD

https://twitter.com/MakisMD/status/1716528632158650414

https://uncutnews.ch/welle-von-pilotentodesfaellen-im-jahr-2023-beunruhigt-die-luftfahrtindustrie/

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27 octobre 2023 5 27 /10 /octobre /2023 18:30

L'image sélectionnée

Santé Canada note que même si la séquence complète d'ADN du plasmide Pfizer a été soumise au moment de la demande initiale, le promoteur n'a pas identifié spécifiquement la séquence SV40.

 

La présence du polyomavirus Simian Virus 40 (SV40), une séquence d'ADN associée aux singes connue pour provoquer le cancer lorsqu'elle est utilisée dans d'anciens vaccins contre la polio, a été identifiée par Santé Canada comme étant présente dans le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer, un fait que le fabricant du vaccin n’avait pas divulgué aux autorités.

 

Comme Epoch Times l’a rapporté pour la première fois la semaine dernière, les scientifiques débattent encore de ces résultats, certains affirmant que le SV40 présente un risque de cancer et a été intentionnellement caché, tandis que d’autres affirment qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter.

 

Un courriel envoyé à Epoch Times disait : "Santé Canada s'attend à ce que les promoteurs identifient toutes les séquences d'ADN biologiquement fonctionnelles dans un plasmide (comme un activateur SV40) au moment de la soumission."

 

"Bien que la séquence complète d'ADN du plasmide Pfizer ait été rendue disponible au moment de la soumission initiale, le promoteur n'a pas identifié spécifiquement la séquence SV40", a poursuivi Santé Canada.

 

Santé Canada a noté que Kevin McKernan, microbiologiste et ancien chercheur et chef d'équipe du projet du génome humain du MIT, et le Dr. Phillip J. Buckhaults, professeur de génomique du cancer et directeur du laboratoire de génétique du cancer à l'Université de Caroline du Sud, a publiquement souligné la présence du SV40 dans les vaccins plus tôt cette année.

 

Santé Canada a ensuite pu confirmer la présence de l'amplificateur à l'aide de la séquence d'ADN plasmidique soumise par Pfizer et de la séquence de l'amplificateur SV40 publiée.

 

SV40 est utilisé pour améliorer la transcription des gènes lors de l’administration de vaccins.

 

Dans une correspondance avec Epoch Times, McKernan a déclaré que Pfizer n’avait pas révélé que le SV40 était inclus dans les vaccins contre la COVID, car il a été utilisé dans les vaccins contre la polio il y a des décennies et a été associé au cancer.

 

McKernan a partagé ses inquiétudes concernant le SV40, mais a également déclaré qu'il n'y avait pas encore de preuve claire qu'il était cancérigène en soi. Il a averti le public que les promoteurs du SV40 restaient préoccupants en raison du risque qu'ils "s'intègrent dans le génome humain à proximité des oncogènes, des gènes qui ont le potentiel de provoquer le cancer", a déclaré Epoch Times.

 

Selon Buckhaults, les gens ont le droit que leurs préoccupations soient prises au sérieux et traitées par des scientifiques compétents et attentionnés, même si elles s'avèrent finalement infondées. Nous devrions chercher des monstres sous le lit et rapporter honnêtement les résultats.

 

Le porte-parole de Santé Canada, Mark Johnson, a déclaré que les données actuellement disponibles sur le SV40 ne montrent aucun lien avec les soi-disant "turbo cancers" liés au vaccin contre le COVID, selon The Epoch Times.

 

Dr. Joseph Mercola, dans un article d'opinion publié sur LifeSiteNews en juin, a mentionné une discussion entre le Dr. Steven E. Greer et McKernan et le Dr. Sucharit Bhakdi sur la contamination par le vaccin COVID.

 

Selon l'équipe de McKernan, une contamination par l'ADN SV40 a été trouvée dans les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna, et les résultats ont été publiés dans OSF Preprints début avril 2023.

 

Greer a constaté que "les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques ont trompé le monde à une échelle bien plus grande qu’on ne le pensait auparavant", a déclaré Mercola. "Les vaccins modifient en fait le génome humain et provoquent la production permanente de la protéine Spike mortelle", et cette production interne de la protéine Spike à son tour "amène le système immunitaire à attaquer ses propres cellules".

 

Mercola a écrit que l'apparition du SV40 dans les vaccins COVID "semble être liée à un mauvais contrôle de qualité pendant le processus de fabrication, bien qu'il ne soit pas clair à quel stade du développement le SV40 a pu s'introduire".

 

"Les déficiences du contrôle qualité peuvent également être responsables du taux élevé de réactions anaphylactiques que nous avons observé", a déclaré Mercola.

 

Le mois dernier, Santé Canada a approuvé une injection COVID révisée à base d’ARNm de Moderna, même si des études ont montré qu’un receveur sur 35 du rappel présentait des lésions du muscle cardiaque.

 

Il existe de plus en plus de preuves que le vaccin contre le COVID a des effets indésirables chez de nombreuses personnes, y compris les enfants.

 

Par exemple, une étude récente menée par des chercheurs de Correlation Research in the Public Interest, basée au Canada, a montré qu'il existe une "relation causale claire" entre les pics de mortalité toutes causes confondues et le déploiement rapide de la vaccination contre la COVID et des vaccinations de rappel dans 17 pays.

 

Le SV40 a été "caché" aux régulateurs par les fabricants de vaccins, selon un médecin

 

Selon le Dr. Janci Lindsay, directrice de la toxicologie et de la biologie moléculaire chez Toxicology Support Services, Pfizer a dissimulé la présence de "promoteurs" du SV40 à Santé Canada ainsi qu'à la Food and Drug Administration américaine et à l'Agence européenne des médicaments.

 

Elle a déclaré, comme l’a rapporté Epoch Times, que la société pharmaceutique l’avait "cachée".

 

"Ce n'est donc pas seulement qu'ils existent, mais aussi qu'ils ont été intentionnellement cachés aux régulateurs", a-t-elle déclaré.

 

Lindsay a expliqué que les images COVID ne contenaient pas l’intégralité du virus SV40, mais seulement une séquence de localisation principale.

 

Elle a déclaré que les promoteurs du SV40 avaient été insérés dans le génome humain – dans un processus connu sous le nom de mutagenèse par insertion – conduisant à des mutations génétiques susceptibles de provoquer le cancer.

 

Lindsay a également déclaré que le SV40 peut "se localiser n’importe où" car c’est un puissant promoteur.

 

L'Agence de la santé publique du Canada affirme qu'en ce qui concerne le vaccin contre la COVID, elle a "conclu que le profil avantages-risques continue de soutenir l'utilisation du vaccin Pfizer-BioNTech".

 

"Santé Canada ne se fie pas aux conclusions des fabricants de vaccins. Santé Canada procède à un examen approfondi et indépendant des preuves fournies par le fabricant pour s'assurer qu'il répond à nos normes élevées de sécurité, d'efficacité et de qualité", a déclaré l'agence.

 

Buckhaults a souligné, selon Epoch Times, que la séquence SV40 du vaccin n'est PAS le grand antigène T SV40 cancérigène, qui présente un risque de cancer énorme.

 

Il a déclaré que l'amplificateur SV40 est un "élément standard de l'ingénierie de biologie moléculaire permettant d'obtenir une expression élevée du marqueur de résistance Neo" qui est utilisé "depuis des décennies".

 

Il a noté que les petits morceaux d’ADN du SV40 présentent toujours un "risque de cancer futur non nul, tout comme toutes les autres séquences d’ADN".

 

"L’inquiétude des régulateurs est justifiée, mais la panique du public est inappropriée (et en fait nuisible)", a-t-il déclaré.

 

Qu’est-ce que le SV40 et pourquoi est-il inclus dans les vaccins ?

 

Le SV40 présent dans les vaccins a été associé à la propagation du cancer chez les personnes exposées au virus par des injections contaminées. Il existe des preuves selon lesquelles les anciens vaccins contre la polio contaminés par le SV40 sont liés à certains types de cancer, selon une étude publiée dans le Lancet en 2002.

 

Les vaccins contre la polio de la fin des années 1950 et du début des années 1960 ont tous été contaminés par le SV40 après la découverte de la présence du virus dans les cellules rénales des singes utilisés par les fabricants de vaccins pour fabriquer les vaccins.

 

Les auteurs de l'étude de 2002 suggèrent que le vaccin contre la polio contaminé par le SV40 pourrait être responsable de jusqu'à la moitié des 55 000 cas de lymphome non hodgkinien diagnostiqués chaque année.

 

SV40, ou le virus du singe comme le Dr. Maurice Hilleman, un des derniers développeurs de vaccins également nommé, a été introduit dans le vaccin contre la polio puis accidentellement mis en circulation par Merck.

 

Comme le note Mercola, il n’a jamais été clair si le SV40 avait été complètement supprimé des vaccins contre la polio, car on sait que des vaccins contaminés étaient en circulation en Italie aussi récemment qu’en 1999.

 

La critique du livre The Lancet intitulée "Le virus et le vaccin : l'histoire vraie d'un virus monétaire causant le cancer, d'un vaccin contre la polio contaminé et des millions d'Américains exposés (des millions d'Américains exposés) détaille le lien entre le SV40 et le cancer.

 

Un expert du livre déclare : "En 1960, les scientifiques et les fabricants de vaccins savaient que les reins des singes étaient des égouts pour les virus des singes. Une telle contamination a souvent ruiné les cultures, y compris celle d'une chercheuse du NIH nommée Bernice Eddy, qui travaillait sur la sécurité des vaccins... Sa découverte... menaçait l'un des programmes de santé les plus importants du pays.

 

Eddy a tenté d'informer ses collègues mais a été réduite au silence, relevée de ses fonctions de responsable des vaccins et expulsée de son laboratoire... » [Deux chercheurs de Merck, Ben Sweet et Maurice Hilleman, ont rapidement identifié le virus Rhésus, plus tard nommé SV40, l'agent cancérigène qui avait échappé à Eddy", indique le livre.

 

À partir de 1963, les autorités sanitaires américaines ont utilisé des singes vervets africains, qui ne sont pas naturellement porteurs du SV40, pour produire des vaccins contre la polio.

 

Les effets indésirables des vaccins contre la COVID augmentent au Canada

 

Les effets indésirables des premières vaccinations contre la COVID ont conduit un plus grand nombre de Canadiens à demander une compensation financière pour des blessures présumées causées par le vaccin par l'intermédiaire du Programme canadien de prévention des blessures causées par les vaccins (VISP).

 

À ce jour, VISP a déjà versé plus de 6 millions de dollars aux personnes lésées par les vaccins contre la COVID, et environ 2 000 réclamations sont toujours en attente.

 

Malgré les risques pour la santé associés aux vaccins contre la COVID, les gouvernements de tout le Canada ont imposé des réglementations strictes, notamment la vaccination obligatoire sur le lieu de travail.

 

Résultat : de nombreux Canadiens qui ne voulaient pas se faire vacciner ont perdu leur emploi. Mais beaucoup résistent.

 

La semaine dernière, LifeSiteNews a rapporté que plus de 700 Canadiens non vaccinés, touchés négativement par les mandats de vaccination contre la COVID du gouvernement fédéral, se sont regroupés pour intenter un recours collectif de plusieurs millions de dollars contre le gouvernement du premier ministre Justin Trudeau.

 

SOURCE : https://www.lifesitenews.com/news/health-canada-confirms-cancer-linked-simian-virus-40-dna-sequence-found-in-pfizer-covid-jab/

https://uncutnews.ch/health-canada-bestaetigt-dass-die-dna-sequenz-des-simian-virus-40-die-im-covid-praeparat-von-pfizer-gefunden-wurde-mit-krebs-assoziiert-ist/

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14 octobre 2023 6 14 /10 /octobre /2023 10:24
Le turbo cancer lié aux vaccinations contre la COVID

Le 7 octobre 2023, la chaine Arte a diffusé un "documentaire" intitulé "Les Aventuriers de l'Arn Messager" que Télé Magazine du 7 au 13 octobre 2023 a ainsi présenté : "Le film ... évoque les perspectives de thérapies ciblées que cette technologie offre pour lutter contre le cancer, les maladies infectieuses, Alzheimer ou le diabète."

Or nous apprenons ailleurs que "Les oncologues signalent une augmentation alarmante des 'turbo cancers' post-vaccination." L'histoire n'est pas la même. Nous n'avons pas souvenir non plus que la chaine Arte ait diffusé en contrepoint un documentaire autour du livre de la généticienne française Alexandra Henrion-Caude, "Les Apprentis sorciers, Tout ce que l'on vous cache sur l'Arn messager" (Albin Michel 2023), qui retrace l'ensemble des essais d'arn-messager qui se sont tous soldés par des échecs.

Traduction d'un article en allemand blog Christ Roi

Le turbo cancer lié aux vaccinations contre la COVID

Un turbo cancer lié aux vaccinations contre la COVID

L'histoire en un coup d'œil

 

Les oncologues signalent une augmentation alarmante des "turbo cancers" post-vaccination, un terme inventé pour désigner les cancers à croissance incroyablement rapide chez les personnes qui ont reçu une ou plusieurs injections de COVID.

Les turbocarcinomes surviennent chez des personnes jeunes, dont beaucoup ont moins de 30 ans et n'ont pas d'antécédents familiaux de cancer. Ils surviennent également chez les femmes enceintes et les jeunes enfants

La plupart des turbocarcinomes sont au stade 3 ou 4 au moment du diagnostic, même si les symptômes sont apparus il y a seulement quelques jours ou semaines. Ils se développent et se propagent si rapidement que de nombreux patients meurent avant même que le traitement puisse commencer. La plupart des turbocarcinomes résistent également aux traitements conventionnels

Il existe plusieurs mécanismes possibles liés aux injections de COVID qui pourraient conduire au cancer chez les personnes sensibles. Le plus important d’entre eux consiste à modifier l’ARNm utilisé. De la Pseudouridine a été insérée pour stabiliser l’ARN. La protéine résultante peut facilement mal se replier, et un mauvais repliement des protéines est une caractéristique de la maladie d'Alzheimer, de la maladie de Parkinson et de l'insuffisance cardiaque.

L'insertion de Pseudouridine peut également supprimer la surveillance immunitaire innée en atténuant l'activité des récepteurs *Toll-like, et une diminution de la surveillance du cancer est un effet en aval de celle-ci.

* Le nom « récepteur Toll-like » (appelé dans la littérature allemande « PRR médiateurs de transduction de signal » ou plus rarement « récepteur Toll-like ») est dérivé d'une protéine de Drosophila melanogaster appelée Toll, qui était à l'origine développé par Christiane Nüsslein-Volhard a été nommé.

 

Dans une interview accordée à Highwire le 22 septembre 2023 (vidéo ci-dessous), l'oncologue et chercheur canadien en oncologie, le Dr. William Makis sur l'augmentation alarmante du « turbo cancer » post-vaccination, un terme inventé pour désigner les cancers à croissance incroyablement rapide chez les personnes qui ont reçu une ou plusieurs vaccinations contre la COVID.

 

Un exemple de ceci est décrit dans un rapport de cas de septembre 2023 réalisé et co-écrit par le Dr. Peter McCullough. Il décrit la détérioration rapide de l'état de santé d'un homme de 56 ans qui a développé la paralysie de Bell quelques jours après sa vaccination contre le COVID, qui évolua vers une tumeur agressive à l'oreille et au visage. Comme indiqué dans le résumé :

 

"La tumeur maligne était d'origine cutanée et le cas présentait des symptômes compatibles avec la paralysie de Bell et la névralgie du trijumeau, qui ont débuté quatre jours après la vaccination... Dans cette étude, nous décrivons tous les aspects de ce cas et discutons des relations causales possibles entre l'apparition rapide de cette maladie métastatique, le cancer et la vaccination par ARNm.

 

Nous plaçons cela dans le contexte de plusieurs déficits immunitaires pouvant être liés aux injections d’ARNm et favorisant une présentation et une progression plus agressives du cancer.

 

Le type de tumeur maligne que nous avons décrit suggère que la population est exposée à un risque d'émergence d'une variété de cellules cancéreuses relativement courantes du phénotype basaloïde, susceptibles de développer une maladie métastatique. Cela peut être évité grâce à un diagnostic précoce et un traitement approprié.

 

Étant donné que la paralysie/douleur faciale est l’un des effets secondaires neurologiques les plus courants après l’injection d’ARNm, un examen minutieux de la peau et des tissus mous doit être effectué pour exclure une tumeur maligne.

 

Une revue complète de la littérature est en cours pour clarifier la toxicité de la vaccination à ARNm qui aurait pu conduire au décès de ce patient. Des examens cliniques de routine préventifs et précis pourraient permettre de prévenir de futurs décès."

 

Un autre rapport de cas publié en novembre 2021 décrivait la progression remarquablement rapide du lymphome angio-immunoblastique à cellules T chez un homme de 66 ans quelques jours seulement après avoir reçu sa troisième injection de Pfizer.

 

Ironiquement, il reçut le vaccin pour se protéger pendant la chimiothérapie, et en huit jours, le cancer a tout simplement explosé et s'est propagé comme une traînée de poudre. Selon Makis, une telle progression prendrait normalement quelques années, voire quelques mois tout au plus.

 

Les turbo-cancers – un nouveau phénomène de l’ère COVID

 

Comme l'a noté Makis, des cancers à croissance rapide surviennent désormais dans le sein, le côlon, l'œsophage, les reins, le foie, le pancréas, les voies biliaires, le cerveau, les poumons et le sang - y compris des cancers extrêmement rares.

 

Mais ce n'est pas tout.

 

Ces cancers surviennent chez des personnes jeunes, dont beaucoup ont moins de 30 ans et n'ont pas d'antécédents familiaux.

 

Ils surviennent chez les femmes enceintes et les jeunes enfants.

 

Tout aussi étrange est le fait que la plupart d’entre eux sont déjà au stade 3 ou 4 au moment du diagnostic, même si les symptômes ne sont apparus que depuis quelques jours ou semaines.

 

Les cancers se développent et se propagent si rapidement que bon nombre de ces patients meurent avant même que le traitement puisse commencer. La plupart d’entre eux résistent aux traitements conventionnels et n’y répondent pas. "Je n'ai jamais vu un cancer se comporter ainsi", déclare Makis, et il devrait le savoir car il a jusqu'à présent diagnostiqué 20 000 patients atteints de cancer au cours de sa carrière.

 

Makis a pris conscience de ce phénomène lorsqu’il a commencé à suivre les décès soudains de médecins canadiens qui ont dû prendre toute la batterie du COVID pour conserver leur emploi. En quelques mois, on a constaté parmi eux une augmentation des morts subites, la plupart dues à des crises cardiaques et à des décès survenus pendant leur sommeil. Mais il y avait aussi un groupe important de médecins qui ont développé des cancers agressifs.

 

Makis souligne que lorsque vous consultez les pages Go Fund Me demandant des dons pour les traitements contre le cancer, une grande partie de ces personnes occupent des emplois qui nécessitent des vaccinations, tels que : B. avec des médecins et des enseignants, des policiers, des pompiers, des militaires et des équipages d'avions.

 

Mécanismes d'action possibles

 

Lorsqu’on lui a demandé comment les injections de COVID pourraient provoquer ces turbocarcinomes, Makis décrit plusieurs mécanismes possibles qui pourraient conduire au cancer chez les individus sensibles. Le plus important d’entre eux consiste à modifier l’ARNm utilisé.

 

Les vaccins contre la COVID ne contiennent pas l’ARNm identique à celui du virus SARS-CoV-2. L’ARNm a été génétiquement modifié selon un processus appelé 'optimisation des codons', dans lequel de la Pseudouridine est insérée pour stabiliser l’ARN et empêcher une dégradation rapide.

 

La raison de l’optimisation des codons est qu’il est difficile d’amener le corps à produire une protéine spécifique en injectant de l’ARNm. Non seulement l’ARNm est détruit rapidement, mais l’injection nécessite également des niveaux d’expression protéique plus élevés que ce qui est possible naturellement.

 

Ils ont contourné ce problème en effectuant des substitutions dans les instructions génétiques. Vous pouvez échanger certains nucléotides (trois nucléotides constituent un codon) et vous retrouver avec la même protéine, mais l’efficacité accrue a un terrible prix.

 

Lorsque des parties du code sont remplacées de cette manière, la protéine résultante peut facilement être mal repliée, ce qui a été associé à un certain nombre de maladies chroniques, notamment la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson et l'insuffisance cardiaque.

 

Comme l'explique Makis, l'insertion de Pseudouridine peut également supprimer la surveillance du système immunitaire inné en atténuant l'activité des récepteurs Toll-like, ce qui entraîne, entre autres, une diminution de la surveillance du cancer.

 

"Plus vous prenez d'injections d'ARNm, plus les dommages causés au système immunitaire sont importants, plus le risque d'altérer la surveillance du cancer est grand, et donc plus le risque de développer un turbo cancer est grand."

 

D'autres mécanismes possibles sont :

 

. L'intégration génomique de l'ARNm modifié par transcription inverse, ce qui pourrait perturber les gènes suppresseurs de tumeurs.

. L'intégration génomique des contaminants de l'ADN dans les enregistrements, ce qui peut perturber les gènes suppresseurs de tumeurs.

. Les tumeurs peuvent ainsi être favorisées par la présence d'un promoteur SV40 dans les contaminants ADN.

. Les nanoparticules liposomales (LNP) propagent l'ARNm de manière systémique dans tous les tissus, ce qui a de graves effets sur la fonction immunitaire. Nous savons maintenant que certaines personnes continuent à produire la protéine Spike pendant au moins six mois et que lorsque le corps est exposé de manière répétée (voire continue) au même antigène, il développe une tolérance. En conséquence, vous devenez plus vulnérable aux infections car votre système immunitaire ne se défend plus contre l’antigène. Cependant, les mêmes anticorps dirigés contre les infections le sont également contre les cellules cancéreuses, de sorte que le risque de cancer augmente également.

. L’ADN plasmidique peut également être absorbé par les bactéries intestinales, ce qui en fait une source de production constante d’antigènes (protéines de pointe).

 

L’augmentation des cas de cancer est probablement une tendance à long terme

 

Au cours de la première année de vaccination contre la COVID-19, la mortalité toutes causes confondues a commencé à augmenter dans les pays du monde entier et, une fois de plus, ce sont les jeunes, en âge de travailler, qui meurent à des taux sans précédent.

 

La bonne nouvelle est que le recours à la vaccination de rappel a fortement diminué au cours des six derniers mois. Au Canada, seulement 5 à 6 % ont effectué un rappel. La mauvaise nouvelle est que l’avalanche de cas de cancer va probablement se poursuivre à long terme.

 

Le nombre de décès par cancer est également susceptible de continuer à augmenter, car si nous ne connaissons pas le mécanisme exact, nous ne pouvons pas le traiter, note Makis, et la chimiothérapie et la radiothérapie s'avèrent inutiles. Elles ne fonctionnent pas contre ces cancers à évolution rapide.

 

Une découverte importante est que plus vous faites d’injections d’ARNm, plus les dommages au système immunitaire sont importants, plus le risque de diminution de la surveillance du cancer est grand et donc plus le risque de turbo-cancer est grand.

 

Lésions cérébrales et au cœur mortelles après une injection

Lésion cérébrale vaccinale. Dr. John Campbell

Le cancer n’est pas le seul danger auquel sont confrontés les personnes vaccinées.

 

Dans la vidéo ci-dessus, John Campbell, infirmier et éducateur à la retraite, rapporte le cas d'un homme de 76 ans atteint de la maladie de Parkinson, décédé trois semaines après sa troisième injection de COVID-19. L'autopsie a révélé d'importantes lésions cardiaques et cérébrales.

 

Il reçut la première vaccination d'AstraZeneca avec un vecteur adénoviral. Les deux injections suivantes provenaient de Pfizer. Comme le note Campbell, alors que certains soutiennent que les lésions cardiaques et cérébrales sont un risque de l'infection COVID, ce rapport de cas prouve clairement que ces dommages ont été causés par les vaccinations et non par une infection naturelle. Comme indiqué dans le résumé :

 

"... les analyses histopathologiques du cerveau ont révélé des résultats jusqu'alors insoupçonnés, notamment une vascularite aiguë... ainsi qu'une encéphalite nécrosante multifocale d'étiologie inconnue avec une inflammation prononcée, notamment des réactions gliales et lymphocytaires.

 

Il y avait des signes de cardiomyopathie chronique au niveau du cœur ainsi qu'une légère myocardite lympho-histiocytaire aiguë et une vascularite. Bien que ce patient n’ait eu aucun antécédent de COVID-19, une immunohistochimie des antigènes du SRAS-CoV-2 (protéines de pointe et nucléocapside) a été réalisée.

 

Étonnamment, seule la protéine Spike, mais aucune protéine nucléocapside, n’a pu être détectée dans les foyers inflammatoires du cerveau et du cœur, en particulier dans les cellules endothéliales des petits vaisseaux sanguins.

 

Puisqu’aucune protéine de nucléocapside n’a pu être détectée, la présence de protéine de pointe doit être attribuée à la vaccination plutôt qu’à une infection virale. Les résultats confirment les rapports antérieurs sur l’encéphalite et la myocardite causées par les vaccins génétiques contre la COVID-19."

 

La fertilité sera-t-elle également affectée ?

 

Des recherches récentes confirment également des rapports antérieurs sur les percées menstruelles chez les femmes avant, pendant et après la ménopause, dont les effets sont encore inconnus.

Comme rapporté par Medical Xpress le 2 octobre 2023 :

 

"Des recherches de l'Institut norvégien de santé publique suggèrent que les vaccins contre le COVID-19 ou la réponse de l'organisme à ceux-ci peuvent provoquer des saignements vaginaux inattendus chez les femmes. Ce phénomène a été observé chez les femmes à différents stades de reproduction.

 

Dans l'article 'Saignements vaginaux inattendus et vaccination contre le COVID-19 chez les femmes non menstruées', publié dans la revue Science Advances, l'équipe de recherche en santé publique décrit ses résultats, qui suggèrent que la protéine de pointe du virus SARS-CoV-2 ciblée par le les vaccins pourraient être impliqués dans ce phénomène ...

 

L'étude a inclus environ 22 000 participants âgés de 32 à 64 ans de l'étude de cohorte norvégienne mère-père-enfant (MoBa) et de la cohorte senior âgée de 65 à 80 ans.

 

Des saignements vaginaux inattendus sont survenus chez 3,3 % des femmes ménopausées, 14,1 % des femmes en périménopause et 13,1 % des femmes préménopausées, soit plus de trois fois plus fréquemment que prévu. 'Pour environ la moitié des femmes qui ont signalé des saignements vaginaux inattendus, ceux-ci sont survenus dans les 28 jours suivant une vaccination contre le COVID-19.'

 

L’étude a révélé que seulement 31 % des femmes ayant signalé des saignements anormaux ont consulté un médecin, et encore moins si le saignement s’est produit après la vaccination contre la COVID. De ce fait, cet effet secondaire n’est pas enregistré dans les bases de données de santé."

 

Avez-vous reçu l'injection ? Agissez pour protéger votre santé

 

Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins et que vous vous inquiétez désormais pour votre santé, que pouvez-vous faire ?

 

Eh bien, avant tout, vous ne devriez plus jamais prendre une autre injection de rappel COVID, une autre injection de thérapie génique à ARNm ou un vaccin ordinaire. Vous devez arrêter l'attaque sur votre système.

 

Si vous avez développé des symptômes que vous n’aviez pas avant la vaccination, je vous encourage à demander l’aide d’un professionnel. Compte tenu de la prévalence du turbocarcinome, les femmes ménopausées qui présentent des saignements intermenstruels après la vaccination contre la COVID devraient être dépistées pour exclure un cancer de l'endomètre.

 

Actuellement, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble disposer de l’un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-vaccination. Il s'appelle I-RECOVER et peut être téléchargé sur covid19criticalcare.com.

 

Le Dr. Pierre Kory, cofondateur du FLCCC, s'est orienté plus ou moins exclusivement vers le traitement des victimes vaccinées. Pour plus d'informations, visitez DrPierreKory.com.

Dr. Peter McCullough effectue également des recherches sur les traitements post-vaccination, disponibles sur PeterMcCulloughMD.com .

 

Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes d’agents qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer la protéine de pointe, qui, selon la plupart des experts, est la principale responsable. Je les ai présentés dans mon article de 2021, "World Council for Health Reveals Spike Protein Detox".

 

Article en PDF

 

Sources:

 

1, 2 Journal EXCLI 2023;22:992-1011

3 Frontiers in medicine, 25 novembre 2021 

Ehden Substack, 20 août 2021

5 Nature Medicine, 6 décembre 2011

6 Autophagie août 2008 

7, 8 Vaccins 2022 

9 Sciences 15 juillet 2022

10 Médical Xpress 2 octobre 2023

11 Avancées scientifiques 22 septembre 2023 

12 Covid19criticalcare.com

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7 octobre 2023 6 07 /10 /octobre /2023 18:51
Chercheurs canadiens : résultats d’une étude sur la mortalité toutes causes confondues : la vaccination contre la COVID-19 a entraîné une surmortalité

Se pourrait-il que la vaccination contre le COVID-19 ait entraîné une augmentation massive de la mortalité toutes causes confondues ? TrialSite a signalé un excès de décès dus au COVID-19 ou à d’autres affections suite à des vaccinations de masse dans des pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, Singapour, l’Irlande et d’autres. Par exemple, il a été rapporté dans les médias qu’en Australie, plus de deux fois plus de personnes sont mortes du COVID-19 au cours des 3,5 premiers mois de 2022, à la suite de la plus grande vague de vaccination contre le COVID-19, qu’en 2020 et 2021 réunis. Qu'est-ce qui explique ce phénomène ? Aujourd’hui, des chercheurs dirigés par le Canada, experts en mortalité toutes causes confondues, prétendent avoir une explication révolutionnaire de l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues à la suite des vaccinations de masse pendant la pandémie. Ils rapportent que leurs récentes analyses des données sur la mortalité toutes causes confondues dans 17 pays montrent que la réponse vaccinale de masse à la pandémie de COVID-19 n’a apporté absolument aucun bénéfice en termes de réduction de la mortalité. En fait, les résultats sont inverses : selon ces auteurs, les vaccins contre la COVID-19 ont considérablement augmenté la mortalité toutes causes confondues.

 

Avec des résultats publiés le 17 septembre par Correlation Research in the Public Interest, l'article, qui n'a pas encore été évalué par des pairs, fait état d'une augmentation sans précédent de la mortalité toutes causes confondues dans tous les pays étudiés. Les niveaux de mortalité toutes causes confondues ont été particulièrement prononcés après le déploiement de la vaccination contre la COVID-19 chez les personnes âgées, en particulier lors des troisième et quatrième doses de rappel.

Source: 

https://www.trialsitenews.com/a/canadian-researchers-all-cause-mortality-study-output-covid-19-vaccination-led-to-mass-excess-mortality-6c406562

https://uncutnews.ch/kanadische-forscher-studienergebnis-zu-all-cause-mortality-covid-19-impfung-fuehrte-zu-massiver-uebersterblichkeit/

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7 octobre 2023 6 07 /10 /octobre /2023 13:27
Les députés européens demandent à l'Agence européenne des médicaments (EMA) le retrait immédiat du marché des vaccins anti-covid

L'évaluation juridique de l’approbation des vaccins Covid a montré que ces vaccins ne répondent pas fonctionnellement aux exigences énoncées et que les fabricants n’ont pas suivi les procédures applicables.

 

Huit députés demandent désormais à l'Agence européenne des médicaments (EMA) de suspendre les approbations des vaccins Pfizer et Moderna.

 

Les lacunes qui s’opposent à l’approbation (des 'vaccins'. Ndt) sont très graves. Il existe une différence entre les produits testés et les produits réellement fabriqués. L'utilisation des vaccins ne correspond pas non plus à l'autorisation accordée. De plus, les tests nécessaires ne sont pas encore terminés.

 

Lors de l'extension de l'autorisation, les effets secondaires observés doivent être pris en compte. Le nombre de cas enregistrés dans lesquels les vaccinations contre le Covid ont entraîné des effets secondaires a fortement augmenté. Cela soulève des doutes sur la sécurité supposée des vaccins. Ces dernières années, les doutes se sont multipliés quant à son efficacité.

 

Compte tenu de l'approche de la saison grippale et du début imminent des campagnes de vaccination dans les États membres, les députés demandent désormais une suspension immédiate de l'autorisation. "Il en va de la santé des citoyens. Les effets secondaires tels que les lésions cardiaques peuvent invalider les personnes pour le reste de leur vie. "C'est pourquoi l'EMA ne devrait prendre aucun risque et retirer immédiatement ces vaccins du marché", a déclaré l'initiateur Marcel de Graaff. *

* Marcel de Graaff est un homme politique néerlandais. Il est député européen (eurodéputé) pour les Pays-Bas depuis février 2020, et a exercé ces fonctions entre 2014 et 2019. Il a représenté le Parti pour la liberté (PVV) et a été co-président de l'Europe des nations et des libertés . De Graaff était membre du Sénat des Pays-Bas pour le PVV de 2011 à 2014.

https://en.wikipedia.org/wiki/Marcel_de_Graaff

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30 septembre 2023 6 30 /09 /septembre /2023 17:32
https://lanuovabq.it/it/che-succede-ai-ciclisti-bella-domanda-ma-nessuno-la-fa

https://lanuovabq.it/it/che-succede-ai-ciclisti-bella-domanda-ma-nessuno-la-fa

Les médias sont au courant d'un autre retrait inexpliqué d'un cycliste pour raison de problèmes cardiaques, mais personne ne se pose de questions: Pourtant, même l'UE a admis le risque accru de myocardite après les vaccins à ARNm sur des sujets masculins, jeunes et sportifs.

Il est vraiment curieux de voir à quel point le système médiatique est à présent complètement imperméable aux questions, pris comme il l'est dans la zone de confort du politiquement correct. Et oui, poser des questions et donner des réponses devrait être la vocation propre d'un journaliste.

 

Mais, évidemment, si les réponses se heurtent à une lecture à sens unique de la réalité, alors tant pis pour elles et à ce stade même tant pis pour les questions.

 

Écoute ça. Fanpage nous informe de la désagréable nouvelle d'un retrait de la compétition d'un champion cycliste en herbe. Son nom est Jarno Mobach, et, à seulement 25 ans, il a dû garer son vélo à cause d'une arythmie cardiaque. Le garçon néerlandais a dit adieu au professionnalisme, une catégorie dans laquelle il venait d'atterrir après avoir remporté tout ce qu'il y avait à gagner dans les groupes des jeunes, avec un message social poignant: “Avec douleur au cœur, je dois annoncer qu'en raison de troubles du rythme cardiaque, je dois arrêter de faire du vélo”.

 

La nouvelle ne serait pas grand-chose, au-delà du chagrin humain, s'il n'y avait pas un détail non négligeable. Mobach n'est en effet pas le seul cycliste contraint d'abandonner la scène en raison de problèmes cardiaques. En effet, il est vraiment en bonne compagnie dans une longue liste de cyclistes qui s’est considérablement allongée au cours des deux dernières années. Des athlètes qui ont dû faire leurs adieux en raison d'arythmies, de douleurs, de décompensation ou de maladies cardiaques.

 

On dirait presque qu’être cycliste professionnel entraîne le risque de souffrir de maladies cardiaques. Est-ce que tout cela est normal ? Évidemment que non, et c'est étrange qu'un journal ne pose pas la question.

 

La bonne nouvelle est que ceux de Fanpage ne sont pas complètement déconnectés de la réalité. Dans le même article, en effet, on lit dès le début: "Les nouvelles inquiétantes continuent concernant l'état de santé général des cyclistes qui, ces derniers temps, sont revenues avec une fréquence impressionnante à la une des journaux sportifs". Et encore: "Le monde du cyclisme vit des moments particuliers, notamment en devant gérer des nouvelles constantes de coureurs souffrant de problèmes cardiaques". Vous trouverez ci-dessous une liste de cyclistes qui ont pris leur retraite pour la même raison : De Van Hooydonk à notre Sonny Colbrelli en passant par Sep Vanmarcke et bien d'autres.

 

Bref, nous ne sommes confrontés qu'à la première étape du journalisme : reconnaître un problème ; et il ne fait aucun doute que Fanpage le reconnaît, à tel point qu'il charge son récit d'adjectifs dramatiques : "Fréquence impressionnante", "Actualités continues".

 

Mais ce qui manque, c'est la deuxième étape : essayer de donner une réponse. Parce que soit le cyclisme est aujourd'hui en proie à une mystérieuse épidémie extraterrestre qui a frappé l'organe vital qui pompe le sang des pieds vers le cerveau, soit le nez du journaliste pourrait également tenter de s'aventurer vers la recherche d'autres causes, peut-être en trouvant d'autres retours.

 

Une suggestion, en fait pas difficile : Si les journalistes se promenaient dans Bruxelles, ils découvriraient peut-être que la Commission européenne et l'EMA viennent d'inclure l'obésité, la myocardite et la péricardite parmi les effets indésirables graves les plus courants des vaccins anti-covid.

 

L'annexe 1 du nouveau registre des médicaments autorisés, mis à jour en septembre, indique qu'une augmentation du risque de périmyocardite a été observée dans les vaccins à ARNm (donc ceux de Moderna et Pzifer, les plus répandus en Europe), dans certains cas mortels.

 

Maintenant. Au-delà de la commodité politique et de l'intérêt de promouvoir le vaccin, la question intéressante est la suivante : pourquoi, face à un phénomène, à savoir une augmentation de cas suspects de maladies cardiaques dans une catégorie très spécifique - les cyclistes - personne ne se demande si les vaccins ont quelque chose à voir avec cela ??

 

Il n'y aurait même plus d'excuse pour être qualifié d'anti-vax, étant donné que tout le monde, des fabricants aux institutions, est désormais obligé d'admettre que le vaccin "entraîne un risque accru de contracter une périmyocardite". Au lieu de cela, nous préférons continuer à maintenir l’opinion publique sous contrôle, pour éviter qu’elle n’ait peur, évidemment. Ou pour éviter d’avoir à admettre que la liste des réactions indésirables aux vaccins n’était pas aussi imaginative que les gens voulaient le croire ? Bref, cela n’a plus de sens d’aborder le problème comme s’il s’agissait du troisième secret de Fatima. La myocardite est diagnostiquée sur la base de tests que n'importe quel cardiologue peut réaliser. Et les arythmies, parmi les principales causes de ces abandons aux sports de compétition, sont les premiers symptômes de la myocardite.

 

Nous ne savons évidemment pas si les cyclistes en question ont été vaccinés, mais cela pourrait être le prochain contrôle. En attendant, il suffirait cependant de se poser deux questions simples et d’essayer de relier les points. Au moins, cela démontrerait qu’ils se soucient du problème qui est vraiment gigantesque. Et à partir de là, qu'ils commenceraient à interroger les médecins et les professionnels.

 

Car voir les choses, mais ne pas se poser les bonnes questions sur les causes, n’est qu’une autre façon de cacher la poussière sous le tapis. Tapis sur lequel est ensuite montrée une réalité manquante d'une de ses parties principales, toujours avec le style des premiers de la classe et des maîtres du journalisme.

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22 août 2023 2 22 /08 /août /2023 08:08
Le développement exceptionnel de la civilisation occidentale est principalement dû à sa morale chrétienne, et en particulier à l'imposition du mariage monogame et exclusif (Joseph Henrich)

Une partie considérable du public de droite en France n'arrive pas à comprendre les bienfaits absolument décisifs et nécessaires de la foi et de la morale chrétienne dans l'ordre temporel. Laissez-moi vous expliquer pourquoi c'est une erreur à tous les niveaux.

 

Ce qui a fait la supériorité de l'Occident chrétien, ce qui nous a permis de dominer le monde pendant des siècles, c'est précisément la force morale tout à fait unique de la civilisation chrétienne. Et ceci se vérifie en tout premier lieu dans le mariage chrétien.

 

En 2010, l'anthropologue Joseph Henrich (qui n'est pas du tout catholique) a publié une thèse très intéressante dans laquelle il démontre que le développement exceptionnel de la civilisation occidentale est principalement dû à sa morale chrétienne, et en particulier à l'imposition du mariage monogame et exclusif.

 

🔗 https://ifstudies.org/blog/from-weird-monogamy-to-informal-polygamy

 

Selon Henrich, l'élimination des mœurs païennes traditionnelles, telles que les mariages incestueux, le divorce et le remariage libres ou encore la polygamie ont permis de mettre fin aux tendances tribales des sociétés antiques et de permettre la création de liens sociaux supérieurs à partir de la cellule familiale jusqu'à la formation de la Nation, en passant par de multiples corps intermédiaires.

 

Henrich montre que le modèle chrétien du mariage monogame et exclusif a poussé l'homme à focaliser son temps et son énergie pour soutenir sa famille. Ceci a permis de réduire drastiquement le crime et la violence et de favoriser la société de confiance, la société du temps long et donc de favoriser la croissance économique des sociétés chrétiennes.

 

Henrich arrive à une conclusion (déjà établie par les papes et les théologiens un siècle plus tôt) : la société déchristianisée retourne à des formes de paganisme, ce qui se remarque par le retour factuel de formes de polygamie (la culture du sexe sans lendemain, du divorce libre, des couples sans liens, etc). D'où le délitement social et anthropologique que nous observons : retour au tribalisme, polarisation extrême, baisse de la natalité et de la fertilité.

 

 

Source

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31 juillet 2023 1 31 /07 /juillet /2023 00:00
Le Petit Livre des Saints, Éditions du Chêne, tome 1, 2011, p. 85.

Le Petit Livre des Saints, Éditions du Chêne, tome 1, 2011, p. 85.

Un militaire

 Saint Ignace naquit en 1491 au château de Loyola, en Espagne. Il était le dernier de douze enfants, et il donna dès son bas âge des marques d'une grande vivacité d'esprit. Sa jeunesse fut celle d'un homme nourri des maximes du monde. Il fut d'abord page du roi Ferdinand V; puis il embrassa la carrière des armes. Il ne le céda en courage à personne, mais négligea complètement de vivre en chrétien, dirigé uniquement par l'orgueil et l'amour des plaisirs. De ce chevalier mondain, Dieu allait faire l'un des premiers chevaliers chrétiens de tous les âges. 



Au siège de Pampelune, un boulet de canon brisa la jambe droite du jeune officier, qui en peu de jours fut réduit à l'extrémité et reçut les derniers sacrements. Il s'endormit ensuite et crut voir en songe saint Pierre, qui lui rendait la santé en touchant sa blessure. A son réveil, il se trouva hors de danger, quoique perclus de sa jambe.



Pour se distraire, il demanda des livres; on lui apporta la Vie du Christ de Ludolphe le Chartreux (ou "de Saxe") et La Vie des Saints, La Légende dorée de Jacques de Voragine. Il les lut d'abord sans attention, puis avec une émotion profonde. Il se livra en lui un violent combat; mais enfin la grâce l'emporta, et comme des hommes de cette valeur ne font rien à demi, il devint, dans sa résolution, un grand Saint dès ce même jour. Il commença à traiter son corps avec la plus grande rigueur; il se levait toutes les nuits pour pleurer ses péchés. Une nuit, il se consacra à Jésus-Christ par l'entremise de la Sainte Vierge, refuge des pécheurs, et Lui jura une fidélité inviolable. Une autre nuit, Marie lui apparut environnée de lumière, tenant en Ses bras l'Enfant Jésus.

Saint Ignace de Loyola, fondateur de la Compagnie de Jésus

Rédacteur des "Exercices Spirituels"

Peu après, Ignace fit une confession générale et se retira à Manrèze dans une grotte écarlate, pour s'y livrer à des austérités qui n'ont guère d'exemple que dans la vie des plus célèbres anachorètes: vivant d'aumônes, jeûnant au pain et à l'eau, portant le cilice, il demeurait tous les jours six ou sept heures à genoux en oraison.

 

Le démon fit en vain des efforts étonnants pour le décourager. C'est dans cette solitude qu'il composa ses Exercices spirituels, l'un des livres les plus sublimes qui aient été écrits par la main des hommes. "Exercices, dit le sous-titre, pour amener l'homme à se vaincre, à se dégager de toute affection désordonnée, à se faire une vie chrétienne". Un tel programme est exactement celui que tout baptisé doit se proposer, et il est bien vrai que n'importe qui, pourvu qu'il soit croyant, trouve dans les Exercices de quoi alimenter sa vie religieuse, l'aider à se mieux connaître et à régir son âme. Saint François de Sales, dans son Traité de l'amour de Dieu (1616), conseillera aux évêques, aux prêtres et religieux de les utiliser.

"Ignace se place, dans le prolongement du Connais toi toi-même de l'Imitation de Jésus-Christ." (Pierre Chaunu, Église, Culture et Société, Essais sur Réforme et Contre-Réforme 1517-1620, S.E.D.E.S, Paris 1981, p. 390.)

Saint Ignace de Loyola, fondateur de la Compagnie de Jésus

Fondateur de la Compagnie de Jésus (Jésuites)

Passons sous silence son pèlerinage en Terre Sainte et différents faits merveilleux de sa vie, pour rappeler celui qui en est de beaucoup le plus important, la fondation de la Compagnie de Jésus (1534), que l'on pourrait appeler la chevalerie du Christ et le boulevard de la chrétienté. Cette fondation est assurément l'une des plus grandes gloires de l'Église catholique; sciences profanes et sciences sacrées, enseignement, apostolat, rien ne devait être étranger à la Compagnie d'Ignace. Les vertus du fondateur égalaient ses grandes oeuvres; elles avaient toutes pour inspiratrice cette devise digne de lui: Ad majorem Dei gloriam! "A la plus grande gloire de Dieu!".
Il s'associa neuf compagnons, qui firent avec lui le voeu de renoncer à tout pour travailler au salut des âmes. Aucune bonne oeuvre n'étrangère à cet institut. Ses membres s'occupent aux missions, à la visite des malades et des prisonniers. Ils ont pour but principal d'instruire la jeunesse dans les sciences et dans la piété, et d'aller prêcher en quelque lieu qu'il plaira au pape de les envoyer.

 

D'une grande indulgence envers les hérétiques

"Ignace de Loyola écrit dès les années 1530, ..., dans l'avis préalable de ses Exercices Spirituels, que le chrétien doit être plutôt disposé à sauver une proposition de son prochain qu'à la condamner. Vingt ans plus tard il donne aux religieux de sa Compagnie de Jésus cette directive : 'En classe comme en chaire [...], ils ne démontreront la fausseté des principes de nos adversaires que la le simple exposé de notre croyance. Que jamais, une parole d'injure ne soit sur leurs lèvres, et qu'ils ne témoignent aucune indignation envers les hérétiques.'" [6]

 

"Cet homme que si souvent, on représentera dur, rigide, impitoyable, lorsqu'il veut résumer en trois lignes toute sa doctrine - comme c'est le cas dans une lettre aux scolastiques de Coïmbre -, il ne parle ni de discipline, ni de crainte sacrée de Dieu, mais il dit simplement : "Par-dessus tout, je voudrais exciter en vous le pur amour de Jésus-Christ, le désir de son honneur et celui du salut des âmes qui furent rachetées par lui." [7] 

 

Le saint fondateur mourut en 1556.

 

PRATIQUE. Faites toutes vos actions pour la plus grande gloire de Dieu.

 

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Saint Ignace de Loyola, fondateur de la Compagnie de Jésus

Extrait des Exercices spirituels : Les Deux Etendards 
 

Quatrième jour : LES DEUX ETENDARDS

Méditation de deux étendards : l'un de Jésus-Christ, notre chef souverain et notre Seigneur ; l'autre de Lucifer, ennemi mortel de la nature humaine.

136 ‹ L'oraison préparatoire est toujours la même.

137 ‹ Le premier prélude consiste à se rappeler le fait historique de la méditation. Ici c'est, d'un côté, Jésus-Christ qui appelle tous les hommes et veut les réunir sous son étendard ; de l'autre, c'est Lucifer qui les appelle sous le sien.

138 ‹ Le second prélude est la composition de lieu. Ici, on se représentera une vaste plaine près de Jérusalem, au milieu de laquelle se trouve Notre Seigneur Jésus-Christ, chef souverain de tous les hommes vertueux, et une autre plaine près de Babylone, où est Lucifer, le chef des ennemis.

139 ‹ Le troisième prélude consiste à demander ce que je veux obtenir. Dans cet exercice ce sera, premièrement, la connaissance des ruses du chef des méchants et le secours dont j'ai besoin pour m'en défendre ; secondement, la connaissance de la véritable vie, qui nous est montrée par le chef souverain et légitime, et la grâce nécessaire pour l'imiter.

Première partie :

140 ‹ Dans le premier point, je me représenterai le chef du parti ennemi dans cette vaste campagne de Babylone, assis dans une chaire élevée, toute de feu et de fumée, sous des traits horribles et d'un aspect épouvantable.

141 ‹ Dans le second point, je considérerai comment il appelle autour de lui des démons innombrables ; comme il les répand, les uns dans une ville, les autres dans une autre, et ainsi dans tout l'univers, n'oubliant aucune province, aucune condition, aucun lieu, aucune personne en particulier.

142 ‹ Dans le troisième point, j'écouterai le discours qu'il leur adresse, comme il leur ordonne avec menaces de jeter des filets et des chaînes. Ils doivent tenter les hommes, en leur inspirant d'abord le désir des richesses, comme il fait le plus souvent lui-même, afin de les conduire plus facilement à l'amour du vain honneur du monde, et de là à un orgueil sans bornes.. Suite

 

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Expansion de la Compagnie de Jésus et conceptions

 

La Compagnie de Jésus témoigna en Europe et plus encore en Asie ou en Amérique d'un respect pour les peuples et leurs cultures qui n'avait d'égal nulle part ailleurs.

 

En 1541, saint François-Xavier s'embarquait pour les Indes.

 

En 1548, les jésuites débarquait au Maroc.

 

En 1549, ils s'installaient au Brésil.

 

En 1555, Jules III désignait plusieurs pères pour aller créer une hiérarchie catholique en Ethiopie. Ignace de Loyola leur conseillait de se faire éthiopiens avec les Ethiopiens.

 

Au Japon

 

En 1563, quinze ans après le départ de François-Xavier, la communauté catholique japonaise comptait 150 000 membres.

 

En Chine

 

Quand les jésuites pénètrent pour la première fois en Chine à la fin du XVIème siècle ils découvrent une civilisation en pointe dans l'observation du ciel et la conception de calendriers. 

 

Après une premier voyage de François-Xavier en Chine au milieu du XVIe siècle, en 1582, les pères Ruggieri et Ricci arrivaient en Chine à Macao. Ils gagnent Nankin puis Pékin, possèdent une vaste culture encyclopédique; ils sont à l'avant-garde de leur époque pour les connaissances mathématiques, astronomiques et cosmologiques. Ils parlent et écrivent le chinois. Ils se sont rendus compte de la valeur humaine du confucianisme, religion de l'empereur et de l'élite du pays. Ils s'efforcent d'intégrer au christianisme un certain nombre de concepts confucéens de telle sorte que la révélation chrétienne puisse devenir une réalité intellectuelle pour cette élite.

Étudier les étoiles nous rapproche un peu plus de Dieu.

Matteo Ricci

Portrait de Matteo Ricci par le frère chinois Emmanuel Pereira

Portrait de Matteo Ricci par le frère chinois Emmanuel Pereira

Demeuré seul Ricci s'avance très loin dans cette voie, particulièrement dans le domaine de la liturgie qui est par excellence celui des symboles. Ayant adopté un nom chinois, il s'habille à la manière des mandarins dont il respecte strictement les usages.

Lui et un de ses compagnons jésuites, Michele Ruggieri, s'habillent d'abord en moines bouddhistes, puisqu'ils sont religieux, mais adoptent plus tard le vêtement des lettrés, ayant appris que les bonzes étaient généralement incultes et mal considéré. (Philippe Oswald, Ce jésuite qui ouvrit les portes de la Chine, Famille chrétienne no 1686, 8-14 mai 2010) 

 

Pour les Chinois d'autrefois, le temps avait une signification particulière. Ils voulaient faire chaque chose au moment approprié. Ils pensaient que ce moment approprié était déterminé par le rythme de la nature. Pendant la dynastie Ming, pour asseoir, la légitimité impériale, l'empereur était proclamé "fils du ciel". Il représentait le peuple devant le ciel et le ciel devant le peuple. Il était donc l'intermédiaire entre le peuple et le ciel. Le pouvoir suprême de l'empereur provenait naturellement du pouvoir de la guerre, de la conquête d'un territoire ou d'un pays, mais une fois cela accompli, s'il voulait devenir un souverain légitime, il devait être investi du "mandat du ciel".

 

Matteo Ricci et son ami mandarin, Xu Guangqi

 

Le calcul du temps et du calendrier était la prérogative de l'empereur. Le soleil symbolisant l'empereur, la prévision des éclipses de soleil était essentielle. 

 

Matteo Ricci fut formé à Rome au Collège romain et eut comme professeur le mathématicien et astronome, le jésuite allemand Christophe Clavius, surnommé l'"Euclide du XVIe siècle", qui fut à l'origine du calendrier grégorien, nouveau calendrier qui corrigeait l'erreur du calendrier Julien (1582).

  

Au cours de son périple, Matteo Ricci découvre par hasard l'ancien observatoire de Nankin, avec ses étonnants instruments astronomiques. Dans son journal, il note : "J'ai découvert quelque chose qui dépassait tout ce que je pouvais imaginer." Les instruments chinois utilisaient un système de coordonnées équatoriales, alors qu'en Europe, depuis la Grèce antique jusqu'au XVIe siècle, les astronomes ont toujours utilisé le système de coordonnées écliptiques. "Observer le ciel au moyen de l'écliptique, c'est se référer à la trajectoire du soleil, mais les calculs sont moins précis alors qu'il est plus simple de se référer à l'Equateur pour déterminer la position des corps célestes. Je ne pouvais pas imaginer que la Chine avait un système astronomique si complet", écrit Matteo Ricci dans son journal.

 

Système de coordonnées écliptiques

Après 20 ans d'activité missionnaire, Matteo Ricci arrivait enfin aux portes de la capitale Pékin, aux portes de la Cité interdite (1601). Il se rendit compte que les Chinois étaient intéressés par tout ce qui concerne les sciences mathématiques et en particulier l'astronomie, qui était une activité officielle organisée par l'État. Les astronomes étaient des fonctionnaires qui faisaient partie intégrante de la bureaucratie. Il comprit vite que l'art de mesurer le temps et de prévoir les phénomènes célestes, notamment les éclipses lunaires et solaires, était aux sources de l'autorité impériale. Lorsqu'il y avait des erreurs de prévision dans le calcul d'une éclipse de soleil ou de lune, cela indiquait qu'il y avait un problème de gouvernement du pays. L'empereur devait faire son examen de conscience et revoir sa politique. 

Certains ne comprennent pas pourquoi nos missionnaires doivent parler de science et de mathématiques avec les Chinois, mais si nous voulons que les Chinois s'intéressent à nos enseignements religieux, le meilleur moyen est de leur donner de la science avec de la religion. Cela retient mieux leur attention que tout le reste, et ils voient que notre science est construite sur des preuves solides. C'est ce qui leur fait penser que notre religion doit être aussi bien fondée.

Matteo Ricci, cité dans le documentaire "Chine, l'empire du temps (1/2) Les jésuites à la conquête de la Cité interdite"

 

Quand Ricci est arrivé en Chine, depuis des années les calendriers officiels traversaient une crise et il y avait eu plusieurs tentatives de réforme infructueuses. Ricci, qui n'était pas lui-même un spécialiste, a donc adressé une lettre à Rome pour demander que soient envoyés en Chine des jésuites qui soient formés en astronomie : "Je répète avec insistance une requête que j'ai déjà formulée et qui est restée sans réponse. Il serait très bénéfique d'avoir à la cour de Pékin un père ou un frère qui soit astronome. Je connais suffisamment l'astronomie, l'horlogerie, et les astrolabes, et j'ai les ouvrages nécessaires. Mais les Chinois attachent moins d'importance à ces sciences qu'au mouvement des planètes, au calcul des éclipses, et en fait, au calendrier. J'espère que vous traiterez de cette question qui est de la plus haute importance pour la Chine avec le père général." (Lettre au Pape Paul V, 1607)

 

Mappemonde de Matteo Ricci

Ricci dessina des mappemondes qui firent connaître aux Chinois le reste du monde, traduisit en chinois des livres de philosophie, de mathématiques et d'astronomie. Sa rencontre avec les proches de l'empereur fut à l'origine de l'essor de l'horlogerie moderne en Chine. 

 

Le lettré mathématicien et astronome Xu Guangqi dont Ricci devint grand ami, se convertit au christianisme et fut baptisé en 1603 sous le nom de Paul. Il traduira en chinois de nombreux ouvrages scientifiques occidentaux, principalement en astronomie et mathématiques (notamment les Éléments d'Euclide). 

 

Les ouvrages de Ricci aidèrent à faire progresser la cartographie chinoise, participant à la popularisation de la représentation de la Terre comme étant une sphère. [Timothy Brook (trad. Odile Demange), Sous l’œil des dragons : La Chine des dynasties Yuan et Ming, Paris, Payot, 2012, p. 233-237]

La chaine Arte diffuse ces jours-ci un documentaire sur les Jésuites en Chine, intitulé "Chine : L'empire du temps". S'appuyant sur des reconstitutions historiques soignées, cet éclairant documentaire-fiction bénéficie d'un accès sans précédent à de nombreux laboratoires et installations astronomiques chinois comme le FAST, le plus grand radiotélescope du monde, mis en service en 2016. 

 

Ce documentaire est visible en rediffusion sur le site d'Arte du 28 juillet 2018 au 05 août.

 

Bande-annonce: 

Chine, l'empire du temps (1/2) Les jésuites à la conquête de la Cité interdite :

En 1610, année de la mort de Matteo Ricci, le Bureau astronomique impérial à Pékin échoue à prévoir convenablement une éclipse de très forte magnitude. Être capable de prévoir une éclipse était le test suprême d'un système astronomique en Chine, et le plus difficile était de prédire une éclipse de soleil. Après cet échec, il devint vital pour l'empereur de lancer une nouvelle réforme du calendrier

 

Les connaissances scientifiques et techniques en astronomie et en horlogerie de Matteo Ricci lui valurent les faveurs de l'empereur et une influence si grande à la cour que lorsqu'il mourut en 1610 à Pékin, on lui fit des funérailles nationales. Il fut inhumé avec une permission spéciale de l'empereur, à proximité de la Cité interdite (palais impérial à Pékin des dynasties Ming et Qing). 

 

Son travail et ses activités ont toujours eu une perspective d'évangélisation en profondeur, même s'il n'a pas cherché à baptiser en masse. On estime à 2 500 le nombre de chrétiens chinois à sa mort. Et 9 des 18 jésuites œuvrant en Chine étaient chinois.

 

Ricci est considéré comme le fondateur de l'Église chinoise. Aujourd'hui, au "Millennium Center" de Pékin, le bas-relief consacré à l'histoire de la Chine ne comporte que deux étrangers, tous deux italiens : Marco Polo à la cour de Kubilaï Khan et Matteo Ricci scrutant le ciel et habillé comme un mandarin confucéen.

 

Dans la religion populaire chinoise, Matteo Ricci est vénéré comme maître des horloges et protecteur des horlogers. Sa cause en béatification est maintenant étudiée à Rome par la Congrégation pour la Cause des Saints.

 

Les successeurs jésuites de Ricci en Chine eurent la même ligne de conduite. En 1626, le jésuite allemand Johann Adam Schall von Bell écrivit le premier traité chinois sur le télescope, le Yuanjingshuo.

 

Les idées de Johannes Kepler et de Galilée pénétrèrent lentement en Chine grâce au jésuite polonais Michał Piotr Boym (1612–1659) en 1627 et au traité d'Adam Schall von Bell en 1640. Les travaux de Boym incluront une traduction du texte se trouvant sur la stèle nestorienne découverte dans Sian (Xi'an) en 1625, qui témoigne de la présence du christianisme nestorien dans la Chine du VIIIe siècle. Cette traduction est publiée dans le China illustrata d'Athanasius Kircher.

 

La "méthode Ricci" se caractérisait par quatre principes directeurs : une politique d'ajustement ou d'adaptation à la culture chinoise; la propagation de la Foi et l'évangélisation par "le haut" : les jésuites s'adressent à l'élite instruite; la propagation indirecte de la Foi : l'exposé des sciences et techniques européennes doit attirer l'attention des chinois instruits et les persuader du degré d'avancement de la civilisation européenne; l'ouverture aux valeurs chinoises et la tolérance à leur égard : Ricci considère qu'il côtoie une société aux hautes valeurs morales, pour laquelle il éprouve une profonde admiration. Suivant la tradition humaniste, il estime que Confucius (552-479 av J.-C.) est tout à fait comparable à "un autre Sénèque". Il plaide pour un retour au confucianisme initial qu'il considère comme une philosophie fondée sur la loi naturelle et qui contient l'idée de Dieu. Enfin, il adopte une attitude de tolérance envers les rites confucéens tels que le culte des ancêtres ou la vénération de Confucius, considérés comme des "rites civils".

 

Pour calculer l'éclipse de 1629, Xu Guangqi collabore avec Johann Schreck, un jésuite astronome allemand envoyé par Rome et ami de Galilée. À la suite de cette éclipse, l'empereur Chongzhen (1627-1644) - dernier empereur de la dynastie Ming, renversé par une révolte qui amena au pouvoir la dynastie mandchoue Qing - approuva les résultats obtenus par Xu Guangqi grâce aux méthodes occidentales, et confia à Xu Guangqi la réforme du calendrier.

Sur le moment du calcul de l'éclipse, les Chinois étaient à une minute et les européens à quinze minutes, mais la magnitude calculée par les Européens était plus précise. Ce n'était pas la compétence des Chinois qui était en cause, mais leur système. Les Européens les aidèrent à le corriger. 

 

Xu Guangqi fit venir à Pékin deux missionnaires, l'allemand Johann Adam Schall von Bell (1592-1666) et le jésuite italien Giacomo Rho (1593-1638), qui commencèrent la rédaction du nouveau calendrier selon la méthode occidentale. Ce sont eux qui ont jouèrent le rôle le plus important dans la réforme du calendrier chinois. Après le renversement de la dynastie Ming en 1644, Adam Schall von Bell ne put se résoudre à voir réduit à néant le travail accompli depuis l'arrivée de Matteo Ricci. Il décida de rester à Pékin.

Chine, l'empire du temps (2/2) Le procès des jésuites :

Bien que les Mandchous aient eu une armée très puissante et qu'ils aient vaincu les Ming, culturellement ils étaient relativement en retard. Pour régner sur un grand pays comme la Chine, ils devaient assurer la continuité de certaines choses, comme le confucianisme et l'idée de "mandat du ciel".

 

Une éclipse du soleil fut annoncée pour le 1er septembre 1644; le nouveau pouvoir eut besoin d'une prévision fiable. Schall y vit l'occasion de relancer la mission des jésuites en Chine. Il écrivit à l'empereur : "Votre sujet, soumet à votre grandeur, des prédictions concernant une éclipse de soleil, qui aura lieu le premier jour du huitième mois, calculée selon la nouvelle méthode occidentale. [...] Les données ayant servi à cette prédiction sont dans la présente lettre. Votre sujet prie humblement votre grandeur de publier un décret pour que le ministère des rites examine publiquement la précision de cette prédiction de l'éclipse de soleil." Le régent Dorgon, durant la minorité du nouvel empereur, accorda la permission. Pour cette éclipse, comme pour toutes les autres éclipses, un fonctionnaire du Bureau astronomique impérial surveillait les observations. Von Bell fut déclaré vainqueur. La méthode chinoise fut moins précise. L'erreur maximale de la méthode occidentale était de 9 minutes, alors qu'elle se situait entre 21 et 30 minutes pour la méthode chinoise. L'observation prouva que la méthode occidentale était plus précise et que les méthodes chinoises lui étaient nettement inférieures. Schall von Bell se vit offrir la direction du Bureau impérial d'astronomie. Pour la première fois dans les missions jésuites, un missionnaire occupait un poste au sein du mandarinat chinois. Quelques années plus tard, pour obéir à l'ordre de l'empereur, Adam Schall introduisit le système selon le calendrier occidental.

 

Lorsque en 1650 à la mort du régent Dorgon, le jeune empereur mandchou Shunzhi, accéda au trône, il était très lié à Adam Schall depuis sa tendre enfance, et l'appelait grand-père.

 

Schall enseignait que la terre était sphérique, ce qui lui valut les pamphlets de Yang Guangxian, un chinois musulman confucéen, à la tête du Bureau de l'astronomie de 1665 à 1669. Il abandonna le calendrier occidental pour revenir au calendrier chinois : "Schall dit que la terre est sphérique. Ceux qui vivent dans l'hémisphère supérieur se tiendraient debout, donc à l'opposé de ceux qui vivent dans l'hémisphère inférieur. Comment des gens pourraient être la tête en bas ? Je n'ai entendu parler que de gens qui se tiennent debout, jamais de gens qui se tiendraient horizontalement ou la tête en bas.

 

Plus grave, Yang Guangxian soutint que Adam Schall était responsable de la mort du régent Dogon, en choisissant un jour défavorable pour l'enterrement de son fils en 1658. En avril 1665, Schall et sept de ses assistants chinois, accusés de sédition, furent reconnus coupables et condamnés à mort. Lors du procès, Verbiest, répondant pour Schall, alors malade, déclara: "Si nous étions des traîtres, nous aurions un appui militaire et un arsenal, mais où sont ces forces ? Où sont ces armes ? Nous avons toujours conseillé au peuple de vénérer l'empereur et de respecter la loi. C'est un non-sens absolu que de nous qualifier d'agitateurs."

 

Finalement, seulement cinq chinois chrétiens furent exécutés: tous les missionnaires chrétiens furent exilés à Macao, seulement quatre jésuites restant à Pékin. Adam Schall, mort en 1666, ne vécut pas assez longtemps pour voir l'interdiction levée en 1671. En 1668, Yang Guangxian fut démis de son poste et remplacé par le collaborateur de Schall von Bell, le jésuite flamand Ferdinand Verbiest, parce qu'il ne put pas produire un calendrier valide lors d'une compétition avec les astronomes jésuites.

 

Le Pere Ferdinand Verbiest.gifEn cette année 1668 en effet, Kangxi, fils de Shunzhi, devenu officiellement empereur à l'âge de quatorze ans, trouva des moyens pour renforcer son pouvoir: l'astronomie. Il demanda aux jésuites de vérifier le calendrier qui devait être publié l'année suivante. On alla donc chercher le collaborateur de Schall, Ferdinand Verbiest. Sa réponse fut que le calendrier était truffé d'erreurs et qu'il avait de solides éléments pour le prouver. L'empereur décida qu'il ne voulait plus jamais voir de chose aussi honteuse à sa cour dans un domaine qui avait autant de conséquences. En 1669, Kangxi nomma Ferdinand Verbiest à la tête du Bureau de l'astronomie pour garder le contrôle sur le calendrier. Verbiest devint le nouveau président du tribunal mathématique. C'est lui qui modernisa l'observatoire de Pékin et fit traduire en chinois saint Thomas d'Aquin.

 

Sur les instruments astronomiques fabriqués par Verbiest en 1673 - 1674 et conservés à Pékin, en dépit de leur caractère occidental, on relève des motifs de dragons et phénix, symboles du pouvoir impérial. On a donc une union entre l'astronomie avancée de l'Occident et le pouvoir de l'empereur Kangxi. Ces instruments symbolisent ces deux dimensions. Verbiest devint l'ami de Kangxi, à qui il enseigna la géométrie. Mort en 1688, Verbiest sera enterré près de ses prédécesseurs Matteo Ricci et Adam Schall.

 

L'affaire précédente contre les Jésuites fut réexaminée et toutes les conclusions furent inversées. 

 

Les jésuites brilleront également en médecine et obtiendront en 1692, après avoir guéri l'empereur Kang Hsi avec de l'écorce de quinquina ("l'écorce des jésuites"), l'autorisation de prêcher publiquement dans tout le pays.

 

Vers 1700, il y avait plus de 300 000 Chinois baptisés et l'embryon d'un clergé indigène. Cela marque un échange unique et sans précédent de connaissances scientifiques entre deux civilisations, unique parce qu'il s'est déroulé sur un pied d'égalité.

 

Le 29 septembre 2016, la Chine a inauguré le FAST, le plus grand radiotélescope du monde. À la différence d'un télescope traditionnel qui reçoit de la lumière visible, le radiotélescope reçoit des signaux radios de l'espace comme le rythme impulsé par un pulsar et en déduire les micro-variations de cet astre dans l'univers. Et si l'on traduit le pulsar en son, cela ressemble au battement du coeur, très régulier. C'est même plus stable qu'une horloge atomique. Ici, les Chinois ont installé une scène parfaite pour les scientifiques. Bientôt ils pourront y réaliser leur projet et montrer leur talent.

 

Aux Indes entre 1606 et 1656

Robert de Nobili, missionnaire jésuite parmi les brahmes d'Inde du Sud

Robert de Nobili, missionnaire jésuite parmi les brahmes d'Inde du Sud

Roberto de Nobili (1577-1656) était admis à Maduré dans la caste supérieure des brahmanes. Connaissant le sanskrit et le tamoul, il abandonna jusqu'à son nom pour se faire appeler Tatuva Podapar Suami, "le maître des 96 perfections du sage".

 

En 1609, 70 brahmanes de la province se convertirent au catholicisme sans avoir le sentiment d'être infidèles à l'enseignement des vedas ni renoncer à leurs pratiques rituelles (bains, encensement au santal, etc.)

 

A Lisbonne, le tribunal de l'Inquisition saisi de l'affaire par les adversaires de la Compagnie, donna raison à de Nobili.

Le pape Grégoire XV confirma le jugement et décida qu'il y aurait désormais plusieurs rites (c'est par impropriété de terme qu'on les a qualifiés de "rites malabars" au lieu de rites de Maduré).

 

Malheureusement, en 1780 en Chine, à la mort du père Martial Cibot, l'un des derniers jésuites qui survécurent quelques années en Chine après la destruction de leur ordre en 1773, la pénétration du christianisme avait été totalement interrompue dans les milieux lettrés du fait de l'interdiction par Rome en 1739 des rites locaux indiens malabars et chinois quelques années plus tard.

 

Il faudra attendre 1942 pour que Pie XII, se référant explicitement à l'autorisation de Paul V en 1615, permît à nouveau de célébrer la messe en langue littéraire chinoise !

 

Actuellement les contacts de la Compagnie de Jésus avec la Chine continentale restent sporadiques.

 

Au Paraguay et en Uruguay, entre 1600 et 1725

 

La confusion est complète entre les pouvoirs religieux et civil. La politique est en fait dirigée de Madrid par le Conseil des Indes. La confusion du spirituel et du temporel, grave dans son principe et dans ses effets, recèle néanmoins ici quelques avantages. Les jésuites, en effet, ont reçu de Madrid la charge d'administrer les régions que n'habitaient pas encore les Blancs. Ils y jouissaient d'une large autonomie à laquelle ils devraient bientôt renoncer si les colons espagnols s'installaient. Or l'expérience leur montra les conséquences fâcheuses du contact entre indigènes et colons. Ces derniers, par leur racisme et leur avidité au gain, donnaient le plus mauvais exemple et ne provoquaient que ressentiment. Tout poussa donc ces évangélisateurs à perpétuer un isolement si favorable à leur dessein. Ainsi fondent-ils en 1610 le tout premier village chrétien composé uniquement d'Indiens guaranis, la "réduction" de Saint-Ignace.

 

En 1700, il y aura trente réductions d'environ 3000 à 4000 habitants. Ces villages où les Européens n'étaient donc pas admis étaient tous constitués sur le même modèle: l'église et la résidence des pères était construite au centre; autour étaient installées l'école et les bâtiments sociaux, puis venait le cercle des habitations (une par famille), enfin, à la périphérie, il y avait les ateliers. Au-delà, les terres labourables étaient propriété collective. Le maire, indigène, était élu par les habitants. La justice était rendue par les jésuites, la peine la plus grave étant l'expulsion du village. Ces petites républiques guaranis formaient un véritable Etat jésuite, à la fois collectiviste et théocratique. Elles prospérèrent jusqu'au jour où un accord conclu entre l'Espagne et le Portugal fera passer treize des plus importantes réductions sous l'autorité fort peu libérale du gouvernement de Lisbonne. La rébellion indienne qui suivra l'emprise maladroite des fonctionnaires portugais sera imputée aux jésuites. Quant aux réductions demeurées sous la tutelle espagnole, elles tomberont après la dissolution de la Compagnie de Jésus en des mains peu scrupuleuses qui les exploiteront sans vergogne et l'aventure se terminera misérablement.

Les jésuites partirent en mission également en Turquie, au Moyen-Orient.

Au Canada et en Amérique du Nord de 1634 à 1760

 

C'est notamment les Saints Martyrs Canadiens, missionaires († 1642/1649), Jean de Brébeuf, Isaac Jogues, Gabriel Lalemant, Charles Garnier, Antoine Daniel, Noël Chabanel, René Goupil, Jean de la Lande, Patrons du Canada.

 

La Compagnie utilisait les cultures locales pour donner à l'Evangile et à la foi un support, une expression, un langage qui soient compris des populations. Cet effort pour intégrer au christianisme des civilisations exotiques (que reprend saint François-Xavier) avait été jadis celui de l'Eglise palestinienne à l'égard de Rome ou celui des premiers évangélisateurs de la Gaule, saint Martin, saint Hilaire qui firent construire des lieux de culte catholiques sur d'anciens sanctuaires druidiques.

 

Au XVIe siècle, la Compagnie de Jésus arrivait dans un contexte où les conceptions luthérienne et calvinienne du péché originel faisaient prévaloir l'idée que la faute initiale de l'humanité avait totalement détruit dans l'homme la faculté du libre arbitre et vicié toutes ses entreprises à la base.

 

Luther affirmait que nul homme ne pouvait être "juste" aux yeux de Dieu. Même baptisé et élu, disait-il, un chrétien conserve sa tare fondamentale de pécheur. Au contraire de cette position, les Jésuites (Jacques LainezAlfonso Salmeron) affirmaient que la faute du péché originel n'avait pas complétement détruit dans l'homme la faculté du libre arbitre et que les mérites du Christ et son amour pouvaient apporter cette "justification inhérente" qui permet d'espérer une pleine participation à la divinité du Fils. Sous l'influence directe de saint Ignace de Loyola, l'humanité recevait une promesse inouïe de divinisation par la voie même du Concile de Trente (1542-1563) qui proclama que tout homme, fût-il non baptisé, avait la possibilité d'agir sans déplaire à Dieu.

Jacques Lainez (1512-1565) - Jacques Lainez, deuxième Supérieur Général des Jésuites

Jacques Lainez (1512-1565) - Jacques Lainez, deuxième Supérieur Général des Jésuites

Pendant le Concile de Trente, de Lainez et Salmeron au belge Lessius en 1587, et aux espagnols Molina, Banez ou Escobar, cible préférée de Pascal, les jésuites s'efforcèrent d'affirmer la prééminence de la liberté humaine contre des doctrines, souvent défendues par l'ordre rival des Dominicains, qui tendaient à subordonner au bon vouloir divin l'exercice du libre arbitre humain. Ces débats nous font maintenant l'impression d'un dialogue de sourds car les interlocuteurs ne parlaient pas de la même chose. Les jésuites, bien entendu, ne mettaient pas en question la toute-puissance de Dieu comme on les en accusait, ni le "néant" de la créature réduite à elle-même. Ils se contentaient de reconnaître implicitement ce qu'admettent aujourd'hui la plupart des théologiens, à savoir que cette toute-puissance ne s'exerce que dans le sens de l'Amour infini. L'homme, certes, ne peut se sauver que par la grâce de Dieu, mais cette grâce ne lui est jamais refusée. Dans le mécanisme du salut, c'est donc la volonté de l'homme qui est "souveraine" : elle, seule, peut faire obstacle à un Dieu qui ne se refuse pas (en enfer, il n'y a que des volontaires, pourrait-on résumer).

 

La doctrine inverse (défendue par les protestants et les jansénistes), qui subordonnait au bon vouloir divin l'exercice du libre arbitre aurait pu être le rappel d'une vérité évidente dans l'ordre de l'ontologie. Mais elle n'avait de sens que si elle supposait un Dieu qui ne veut pas le salut de tous les hommes. La logique de cette doctrine conduira les jansénistes à défendre contre les jésuites la thèse de la prédestination.

 

Les conceptions jansénistes ne pouvaient être que méfiantes, voire hostile à l'égard des cultures locales et profanes alors que les conceptions jésuites sur le libre arbitre et la "justification" portaient la marque foncièrement prophétique, accueillante et optimiste de la Compagnie de Jésus. Cette porte ouverte sur l'humanité non chrétienne permit à la Compagnie d'adopter des coutumes, des symboles et même des liturgies que l'on considérait jusqu'alors comme païennes, c'est-à-dire foncièrement mauvaises.

 

Cette audace lui fit adopter (dans la liturgie) les langues et les coutumes exotiques de ces peuples et qu'elle appliqua à la confession pour l'appréciation des cas de conscience (casuistique) faillit lui coûter la vie. En 1773, le pape Clément XIV, cédant à la pression des Bourbons de France, d'Espagne et de Naples, décidera de suspendre ses activités pour des motifs qui n'avaient rien à voir avec la Foi (voir plus bas).

 

Pendant plus de deux siècles, le jansénisme a profondément marqué le catholicisme français. Son rigorisme a été repris et adopté par le clergé qui a écarté des sacrements une grande partie des croyants et arraché de leur esprit la figure du Christ miséricordieux au profit d'un Dieu vengeur. La confession a été le lieu de ce véritable drame qui a éloigné les uns de la religion et a stérilement culpabilisé les autres. La question du délai ou du refus de l'absolution a constitué l'enjeu de ce que l'on a appelé improprement la querelle du laxisme; des millions d'hommes et de femmes en ont été les victimes.

 

C'est l'assemblée du clergé dominée par Bossuet et réunie à Saint-Germain-en-Laye, qui, en 1700, orienta l'Eglise gallicane vers un rigorisme qui, sur le plan de la fréquentation des sacrements, n'avait rien à envier à celui de Port-Royal. Bossuet, tout en rejetant la doctrine janséniste, n'hésitait pas à en approuver la rigueur envers les pécheurs. Si le régime de l'absolution refusée, ou différée (quelques fois pendant plusieurs années) s'est implanté, c'est à lui et à l'assemblée de clergé gallican qu'on le doit. Sous leur influence, les évêques de France et les confesseurs refuseront l'absolution à des pécheurs repentants et "en progrès", parce que la sincérité de leur contrition n'est pas certaine. Le délai d'absolution était encore recommandé par les manuels des séminaires au milieu du XIXe siècle. On devra attendre 1832 et la publication par l'abbé Thomas Gousset (futur cardinal) d'une Justification de la Théologie morale de saint Alphonse de Liguori (fondateur de l'ordre des Rédemptoristes) pour que le clergé de France commence à en revenir à une tradition évangélique, qui se matérialisera plus tard dans la recommandation de la pratique fréquente de l'Eucharistie. C'est Thomas Gousset, alors prefesseur au séminaire de Besançon, qui s'attaquera d'une manière décisive aux doctrines rigoristes et permettra leur reflux. C'est aux pécheurs récidivistes les plus enfoncés dans leurs faiblesses qu'il faut rendre facile l'accès à la confession, un "aliment pour les faibles" dira le pape jésuite François dans son Exhortation évangélique Evangelii Gaudium, n°47 (sur le fondement de saint Ambroise, De sacramentis, IV, 6, 28 : PL 16, 464 ; SC 25, 87 : « Je dois toujours le recevoir pour que toujours il remette mes péchés. Moi qui pèche toujours, je dois avoir toujours un remède » ; IV, 5, 24 : PL 16, 463 ; SC 25, 116 : « Celui qui a mangé la manne est mort ; celui qui aura mangé ce corps obtiendra la rémission de ses péchés ». saint Cyrille d’Alexandrie, In Joh. Evang. IV, 2 : PG 73, 584-585 : « Je me suis examiné et je me suis reconnu indigne. À ceux qui parlent ainsi je dis : et quand serez-vous dignes ? Quand vous présenterez-vous alors devant le Christ ? Et si vos péchés vous empêchent de vous approcher et si vous ne cessez jamais de tomber – qui connaît ses délits ?, dit le psaume – demeurerez-vous sans prendre part à la sanctification qui vivifie pour l’éternité ?). Au XIXe siècle, le point de vue de saint Alphonse de Liguori et du cardinal Gousset était celui des jésuites au XVIIe. Il allait exactement à l'encontre de la morale janséniste et gallicane du clergé français. C'était la faculté pour le confesseur de tenir compte des situations; de ne pas décourager le repentir par une exigence qui serait conforme aux principes moraux, mais inapplicable. C'est faire confiance au discernement humain et à la miséricorde divine; en deux mots : à la raison et à la grâce. Cette voie était celle d'Ignace de Loyola et ce sera l'un des mérites des jésuites que d'avoir contribué à la rouvrir à la suite d'Alphonse de Liguori et contre l'école des moralistes religieux français du XVIIIe siècle.

 

Leurs adversaires au XVIIe siècle trouvèrent en Blaise Pascal un polémiste de génie qui sut faire descendre le débat du plan théologique où il se situait au niveau de la morale pratique, domaine dans lequel la Compagnie était beaucoup plus vulnérable pour avoir voulu donner forme écrite et systématiser ce qui ressortissait à la seule conscience du confesseur. Le succès des Lettres à un Provincial contribua à imposer dans l'esprit public une caricature du jésuite qui n'est pas encore totalement effacée.

 

Le rôle des jésuites dans l'éducation et l'enseignement

 

Le jésuite Pierre Canisius organisa la défense de l'Eglise par le livre et l'école. Chacun des grands collèges créés par lui devint un centre de résistance aux thèses luthériennes et calvinistes. Canisius n'avait à son arrivée en Allemagne en 1550 que deux compagnons pour le seconder. Près de mille deux cents jésuites y exerçaient leur activité trente ans plus tard. Et dans toute l'Europe, suivant une ligne stratégique qui traversait le nord de la France, la Belgique, l'Allemagne, la Hongrie et la Pologne, furent fondés les universités et les collèges de la Contre-Réforme.

 

"Le triomphe de la papauté, a estimé l'historien anglais Macaulay, a été dû principalement à un grand reflux de l'opinion publique... Cinquante ans après la séparation des luthériens, a-t-il écrit, le catholicisme pouvait à peine se maintenir sur les rives de la Méditerranée. Cinquante ans plus tard, le protestantisme pouvait à peine se maintenir sur les rives de la Baltique."

 

Ce résultat fut, en grande partie, l'oeuvre de la Compagnie de Jésus, de ses collèges, de ses prédicateurs, de ses théologiens.

 

Dès 1590, les jésuites consacraient plus des trois quarts de leur activité à la formation des jeunes. L'accent était mis sur les humanités gréco-latines parce qu'elles constituaient alors la culture de l'honnête homme. Diverses congrégations plus ou moins liées à la Compagnie permettaient à celle-ci d'étendre son influence au-delà de la sphère universitaire. Charles Borromée, auteur du fameux catéchisme connu sous le nom de Catéchisme du Concile de Trente (1566), fut un de leurs membres et contribua à l'installation des jésuites dans les cantons catholiques de Suisse. C'est sur son insistance que le pape Clément XIII ordonna à la Compagnie de fonder des collèges à Lucerne et à Fribourg (en Suisse).

 

Un tel développement et une telle influence devait fatalement inquiéter les pouvoirs régants et la Compagnie aura longtemps à souffrir de leur méfiance.

 

Pourtant, dès l'origine, elle tentera de se prémunir contre l'hostilité des princes en interdisant formellement à ses membres de se mêler de la politique intérieure des pays.. L'auteur de cette consigne, le père Claudio Aquaviva, cinquième général de l'ordre (1581), ira même plus loin en conseillant au pape de se soumettre aux injonctions de la République de Venise qui exigeait l'expulsion des jésuites comme condition de sa fidélité aux Saint-Siège.

 

En France, les jésuites, comme serviteurs de la papauté ne pouvaient qu'être suspects aux yeux du Parlement gallican et de la Sorbonne. Néanmoins, vers 1610, au nombre de 1400 environ, ils possédaient déjà trente-six collèges, l'un des plus célèbres étant celui de La Flèche où sera formé Descartes.

 

La défense de "l'unité du peuple français", la défense du pouvoir monarchique

 

On trouve dans l'ouvrage "Histoire du Peuple français, De la Régence aux trois Révolutions", de Pierre Lafue quelques développements instructifs sur le rôle positif des Jésuites dans la défense de "l'unité du peuple français et pour l'extension du pouvoir monarchique" contre les Gallicans et les Jansénistes au XVIIIe siècle.

 

Ainsi, "lors de la réaction des ordres privilégiés, ont-ils été l'objet de l'hostilité de nombreux prélats - particulièrement des 6 cardinaux jansénistes dont le Cardinal de Noailles, archevêque de Paris, est le chef relativement modéré. En outre, l'Université et le Parlement se sont prononcés contre les partisans de l'ultramontanisme (les jésuites NDLR.).

 

... La coalition formée contre eux va toutefois demeurer assez longtemps impuissante par suite de l'attitude du roi qui leur sait gré, non seulement de fournir des confesseurs à toute sa famille, mais encore de désavouer la coterie parlementaire dressée contre le trône qui a tenté d'imposer la loi commune en matière d'impôt." [8]

 

 

La Compagnie de Jésus, cible de la franc-maçonnerie

 

Le Principal ministre de Louis XV entre 1758 et 1770, le comte de Choiseul, "allié des magistrats, fera alors pression pour obtenir l'expulsion des Jésuites." [9]

 

Comme par hasard, Choiseul était franc-maçon, "Vénérable de la Loge Les Enfants de la Gloire" en 1761. [10]

 

Tout en se disant "l'artisan du renouveau français et de la revanche contre l'Angleterre" [11], cet esprit des Ténèbres qui s'illustrait dans la destruction méthodique de la Nouvelle-France (Amérique française), était lié aux "philosophes" [12], et il était le complice des Parlements dans leur obstruction au roi... [13]

 

Les jésuites subirent ainsi les attaques conjuguées des jansénistes, des gallicans, des parlementaires et des "philosophes" de l’"Encyclopédie".

 

Le 6 août 1761, le parlement de Paris ordonna que les écrits de 23 jésuites dont Bellarmin, Toledo et Lessius fussent bannis comme "contraires à la morale et nuisibles à la jeunesse". Interdiction leur fut faite de recevoir des novices. Dans les villes où existaient d’autres écoles, les collèges jésuites durent fermer le 1er octobre 1761, et ailleurs ils furent fermés en avril 1762. Louis XV, favorable aux jésuites, intervint plusieurs fois, temporisa et obtint quelques délais. Cela tourna au conflit politique entre le parlement et le roi. Des compromis successifs, tous à tendance gallicane (pratiquement une séparation vis-à-vis de Rome), furent proposés aux jésuites et furent rejetés comme inacceptables.

 

Défiant le roi, le parlement de Paris, le 6 août 1762, déclara que la Compagnie de Jésus "nuit à l’ordre civil, viole la loi naturelle, détruit la religion et la moralité, corrompt la jeunesse" et la bannit de France. Certains parlements régionaux (comme celui de Flandre) refusèrent d’emboiter le pas ; la plupart temporisèrent. Le roi, de nouveau, obtint un délai. Mais malgré l'intervention du pape Clément XIII, pape de 1758 à 1769 qui défendit vigoureusement la Compagnie de Jésus, il dut finalement s’incliner tout en mitigeant les mesures prises. En novembre 1764, Louis XV édicta ce qui devint la mesure pour toute la France : la Compagnie de Jésus était proscrite en France, et ses biens étaient confisqués. Les jésuites furent cependant autorisés à y demeurer comme "bons et fidèles sujets", sous l’autorité des évêques. Les jésuites anglais de Saint-Omer durent également partir : ils s’installèrent dans les Pays-Bas méridionaux (alors autrichiens).

 

Si l’exécution de l’édit royal se passa moins dramatiquement qu’au Portugal les conséquences en furent tout aussi graves. L’enseignement en France fut désorganisé, de nombreux jésuites ayant choisi de partir en exil. Outremer, les missions des jésuites français furent confiées aux pères de Missions étrangères de Paris, mais ils ne suffisaient pas à la tâche. De nombreux postes furent fermés.

 

L'alliance de circonstance entre jansénistes, gallicans et philosophes des Lumières eut raison des jésuites. En 1761, dans une lettre à Voltaire, D’Alembert écrivit : "Que la canaille janséniste nous débarrasse des polissons jésuites. Ne fais rien pour empêcher que ces araignées se dévorent les unes les autres". En 1763 il triompha : "Les jésuites étaient les troupes régulières et disciplinées luttant sous l’étendard de la Superstition […] Les jansénistes ne sont que des cosaques dont la Raison va vite se débarrasser maintenant qu’ils doivent se battre seuls."

 

L’"affaire Lavalette" (scandale financier à la suite de la banqueroute du prêtre jésuite Antoine Lavalette) contraint Louis XV à interdire la Compagnie et à la bannir de France en 1763-1764, en fermant ses deux cents collèges. Déjà chassés du Portugal en 1759 par le ministre portugais franc-maçon, le marquis de Pombal, ils le furent encore d'Espagne en 1767 et du duché de Parme et de Plaisance en 1768. Cependant le roi Stanislas, avant 1766, les accueillit dans son duché de Lorraine, resté théoriquement indépendant du royaume de France.

 

Supérieur des Missions Françaises de l'Amérique du Sud en 1754, mais avec un ordre explicite d'arrêter toute entreprise commerciale, le Père Antoine Lavalette ignora cet ordre et poursuivit sa compagnie commerciale. Quelque temps plus tard, il emprunta pour acheter des terres. Or une épidémie en 1756 décima les ouvriers qui devaient les défricher et les mettre en culture pour exploiter la canne à sucre puis plusieurs de ses navires furent saisis par les pirates anglais à leur retour en Europe. La guerre de Sept Ans interrompant le trafic de sa maison de commerce avec la métropole, cette dernière fit faillite qui s'élevait à deux millions quatre cent mille livres. Deux de ses créanciers, de gros négociants marseillais, Gouffre et Lionci, poursuivirent La Valette devant le parlement à Aix qui le condamna. Le provincial des Jésuites fit appel, l'affaire remonta au Parlement de Paris. Ce dernier sous prétexte de se prononcer sur cette simple faillite, ordonna aux Jésuites de déposer au greffe un exemplaire des Constitutions de leur ordre et prononça un arrêt le 6 août 1762 qui déclarait la Compagnie de Jésus "inadmissible par sa nature dans tout État policé". [14]

 

Fritz Hochwälder a popularisé leur tragédie dans sa pièce Sur la terre comme au Ciel, véritable drame de l'obéissance. Les jésuites étaient soupçonnés à juste titre de fidélité romaine. La soumission ne leur épargna pas le bannissement qui précédera de peu la dissolution de la Compagnie !

 

L'opposition des cours européennes fut si forte que le pape Clément XIV en vint, le 21 juillet 1773, à supprimer la Compagnie de Jésus partout dans le monde ; c'est le bref Dominus ac Redemptor, qui dit que la Compagnie a souvent été sévèrement critiquée (mais ne dit pas si ces critiques étaient justifiées ou pas).

 

Leur salut viendra de l'Est. En Russie, la tsarine orthodoxe Catherine II interdit la promulgation de la bulle papale, et en Prusse le roi protestant Frédéric II fit de même, heureux de marquer sa désapprobation au Pape, tout en profitant de l'aubaine que constituaient tous ces savants et ces professeurs pour organiser l'enseignement et la recherche dans ses États.

 

En France, les maisons d'éducation des Jésuites furent fermées, et cette victoire fut représentée audacieusement par les partisans de l'opposition à la monarchie comme une mesure 'libérale'... [15] Dans sa lutte pour la domination politique, l'oligarchie parlementaire s'appuyait sur la secte religieuse des Jansénistes, grâce à laquelle elle s'est emparée de l'opinion publique, qui sans cela n'eût sans doute pas été abusée par son faux libéralisme.

 

La calomnie joua son rôle. On réédita de prétendus statuts secrets, Monita Privata Societatis Jesu, imprimés à Cracovie en 1614. Ce document republié sous le titre Monita Secreta, voulait prouver les visées temporelles (pouvoir, domination) de la Compagnie de Jésus. Il s'agissait d'un faux dont l'auteur était un ex-jésuite polonais, Jérôme Zahorowski. [16]

 

Au XVIIIe siècle toute la magistrature était devenue janséniste. C'est cette secte religieuse, alliée de la franc-maçonnerie qui empêchera toute saine réforme de l'Etat royal et obstruera la volonté du roi d'établir l'égalité devant l'impôt et sera à l'origine de la Révolution dite française.

 

Lire : La guerre des juges contre l'Eglise et la monarchie au XVIIIe siècle (Marion Sigaut)

 

La politique de la Compagnie au-delà des mers fit éclater la crise. Les jésuites ayant toujours défendu les droits et valeurs des civilisations indigènes sur les territoires de leurs missions, leur attitude, combattue par les protestants et les jansénistes, provoqua la haine des colons, commerçants ou négriers des possessions d'Asie, d'Afrique et d'Amérique, et n'avait pas été complètement comprise par Rome.

 

Restauration de la Compagnie et nouveaux ennuis

 

Après les guerres napoléoniennes, le climat politique changea. Les monarques qui avaient expulsé les Jésuites n'étaient plus au pouvoir. Le pape Pie VII procèda à la restauration universelle de la Compagnie en promulguant le décret Sollicitudo omnium ecclesiarum (en français: la sollicitude pour toutes les Églises) du 7 août 1814.

 

Pie VII avait d'abord discrètement approuvé son existence en Russie (bref Catholicae fidei du 7 mars 1801) et dans le royaume de Naples en 1804.

 

Le 7 août 1814, le pape Pie VII célébra une messe solennelle dans l'église du Gesù à Rome où se trouve le tombeau de saint Ignace, le fondateur de la Compagnie de Jésus. Ensuite, il fit lire la bulle qui autorisait à nouveau l'existence de l'Ordre dans le monde entier. En même temps, il nomma le supérieur des jésuites de Russie, Tadeusz Brzozowski, "Supérieur général de la Compagnie de Jésus". La Bulle fut promulguée le lendemain, le 8 août.

 

En 1828 néanmoins, Charles X expulsa les jésuites. De 1835 à 1845, la Compagnie se développa jusqu'à ce que Louis-Philippe et la Deuxième république leur imposent de nouvelles épreuves. Le Second empire et les tout débuts de la Troisième république seront une période plus heureuse.

 

En 1880, lorsque Jules Ferry ordonna le 29 mars la "dissolution et l'évacuation" des collèges que la Compagnie de Jésus "occupe sur la surface du territoire de la République", ceux-ci étaient au nombre de 29.. Ils enseignaient près de 11 000 élèves et réunissaient 815 professeurs.

 

Le conservatisme des jésuites était l'objet des quolibets des polémistes et des attaques d'un Edgar Quinet ou d'un Jules Michelet qui dénonçaient le "jésuitisme" et s'en prenaient aux visées "secrètes" de la Compagnie.

 

Précisons simplement que les Constitutions de l'Ordre, dont le document définitif n'a été promulgué qu'en 1594, ont subi de nombreuses modifications car la souplesse est une marque de la Compagnie qui a toujours su rester maîtresse de sa règle fondamentale, notamment par des décrets qui vinrent périodiquement en corriger les archaïsmes. Les Constitutions ne devaient pas être considéres comme une loi figée. Chaque congrégation avait le pouvoir de modifier les Constitutions, de les compléter et même de les abroger... Cette charte est donc loin d'avoir le caractère sacré d'autres documents du même genre, par exemple les Constitutions d'Anderson, qui fondent les loges maçonniques.

 

Bien des adversaires de bonne foi ignorent encore, par exemple, que "les Constitutions n'obligent pas sous peine de péché." Autrement dit, leur violation par un jésuite n'est pas en soi une faute aux yeux de Dieu. Cette disposition relativise considérablement les règles de l'Ordre, y compris, évidemment, celles qui impliqueraient les visées "secrètes" de la Compagnie.

 

Aujourd'hui: les attaques et les calomnies contre les Jésuites persistent

 

La Compagnie de Jésus est accusée d'être à l'origine du Nouvel ordre mondial.., au prétexte qu'un ex-jésuite fonda l'ordre maçonnique des Illuminati.

 

Or, Adam Weishaupt, le fondateur des Illuminati, était né dans une famille juive le 6 février de 1748 à Ingolstadt. Converti, il devint jésuite. Il tomba dans la pratique de la sorcellerie et se sépara de l'Eglise. Professeur de droit à l'Université d'Ingolstadt en Allemagne, il fut accepté dans la franc-maçonnerie en 1778; mais il avait créé deux ans plus tôt l'ordre occulte des Illuminati, les Illuminés, ceux qui ont la lumière, ceux qui savent (Illuminisme) en copiant certains statuts des Jésuites. Il croyait être appelé à "régénérer" l'humanité.

 

L'Abbé Barruel, prêtre jésuite, dans ses Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme (1798), indique que "dans les jours où ce conspirateur conçut ses projets (+) il ne connaissait point encore l'objet de la Franc-Maçonnerie: il savait seulement que les Francs-Maçons tenaient des assemblées secrètes: il les voyait unis par un lien mystérieux, se connaissant pour frères à certains signes, à certaines paroles, de quelque nation & de quelque religion qu'ils fussent..." (Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 13)

 

En 1785, après la découvertes des papiers de la secte illuminée par la police bavaroise, Adam Weishaupt fut destitué de sa chaire professorale, "proscrit de sa patrie comme traître à son Souverain & traître à l'Univers" (Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 2), il s'exila lui-même; se réfugia d'abord à Regensburg, puis dans l'état du prince Ernest-Louis, duc de Saxe-Gotha, "nourri de pensions sur le Trésor public, décoré du titre de conseiller honoraire."

 

Weishaupt recruta à Weimar, le duc Charles-Auguste (Eschylus), Goethe (Abaris), Herder (Damasus pontifex), Shardt (Appollonis), von Fritsh (Werner), le duc Ernest II de Saxe-Cobourg-Gotha, le baron de Dalberg, le duc Ferdinand de Brunswick, le comte (futur prince) de Metternich.

 

De nos jours, les attaques et des diffamations faites par la franc-maçonnerie contre les jésuites continuent par tous les moyens (média, musiques).

SOURCES

 

[1] Vie des Saints pour tous les jours de l'année avec une pratique de piété pour chaque jour et des instructions sur les fêtes mobiles, Alfred Mame et Fils éditeurs, Tours 1867, p. 212;

[2] www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20090731&id=5666&fd=0

[3] fr.wikipedia.org/wiki/Ignace_de_Loyola

[4] www.christ-roi.net/index.php/Exercices_spirituels

[5] sanctoral.com/fr/saints/saint_ignace_de_loyola.html

[6] Pachtler, Ratio studiorum (Mon. Germ. paed., Berlin 1887-1897, t. III, p. 470-474 cité in Jean DUMONT, L'Eglise au risque de l'Histoire, Préface de Pierre Chaunu de l'Institut, Editions de Paris, Ulis 2002, p. 325-326)

[7] Daniel-Rops, Histoire de l'Eglise du Christ, tome VI, La Réforme catholique, Librairie Arthème Fayard, Éditions Bernard Grasset, Paris 1965, p. 45

[8] Histoire du Peuple français, De la Régence aux trois Révolutions, Pierre LAFUE, Nouvelle Librairie de France, tome 3, Paris 1960, p. 36, 37

[9] Histoire du Peuple français, De la Régence aux trois Révolutions, Pierre LAFUE, ibid., p. 37

[10] Sur l'appartenance maçonnique de Choiseul : Grande Loge Suisse Alpina http://www.freimaurerei.ch/f/alpina/artikel/artikel-2006-4-01.php

[11] Choiseul avait "en réalité, par calcul personnel,[...] laissé la crise morale et institutionnelle se développer jusqu'à mettre le royaume en péril" : Pierre PLUCHON, Histoire de la colonisation française, tome 1er, Le Premier empire colonial, Des origines à la Restauration, Fayard, Saint-Amand-Montrond 1996, p. 294.

[12] Pierre GAXOTTE de l'Académie française, Le siècle de Louis XV, Texto, Paris 2015, p . 295.

[13] Choiseul "de coeur avec les Parlements et presque leur complice" in P. GAXOTTE, ibid., p. 343.

[14] François RIBADEAU THOMAS, Grandeur et misère des Jésuites, Dervy, 1994, p. 262

[15] Histoire du Peuple français, De la Régence aux trois RévolutionsPierre LAFUE, ibid., p. 37

[16] Alain GUICHARD, Les Jésuites, Club français du livre, Editions Grasset et Fesquelle, Ligugé 1974, p. 70

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29 juillet 2023 6 29 /07 /juillet /2023 12:58

Un autre épisode narré par la Bible se voit confirmé par la science.

 

Joel P. Kramer, archéologue, auteur de ''Where God Came Down: The Archaeological Evidence" ("Où Dieu Est Descendu: Les Preuves Archéologiques", 2020), présente dans cette video des boules de soufre intactes à Sodome et Gomorrhe (sud de la mer Morte, dans l'actuelle Jordanie), ainsi que des ossements humains et les cendres d'un incendie sur les lieux.

 

Les boules de soufre sont combustibles, mais celles qu'il présente ici sont intactes pour la simple raison qu'elles sont alors tombées dans l'eau, les préservant ainsi de la combustion !

 

Il y a donc eu à cette époque et dans cet évènement décrit dans la Bible, une pluie de soufre tombé du ciel !

 

Le récit fait partie de la Genèse : Dieu, alerté par « le cri contre Sodome », dont le « péché est énorme », est résolu à détruire la ville pour punir ses habitants (Genèse 18:20-21). Il envoie alors deux anges vérifier si le « péché » est avéré. Ces anges arrivent à Sodome et Loth, le neveu ou le frère d'Abram1, les invite à loger chez lui. Tous les hommes de la ville entourent la maison de Loth en demandant qu'il leur livre les deux étrangers pour qu'ils les « connaissent » (Genèse 19:5). Dans ce passage, les habitants de Sodome disent à Loth : « Où sont les hommes qui sont venus chez toi cette nuit ? Amène-les nous pour que nous les connaissions. » (yada’ en hébreu). Loth propose ses deux filles vierges en échange mais les habitants refusent.

 

Convaincu de leur crime, Dieu détruit la ville par « le soufre et le feu » en même temps que la cité voisine de Gomorrhe.

Source video : https://gloria.tv/post/DWVwBvmgDyZd6LE1PnGsVnDoD/replies

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27 juin 2023 2 27 /06 /juin /2023 10:35

Extraits :

 

"Bonjour à tous. Dans cette nouvelle video nous allons parler de Descartes. De René Descartes, tout le monde connaît le cogito ergo sum, le 'Je pense, donc je suis', que Descartes formulera de différentes façons.

Par ex : il dira, 'Je doute, donc je suis.'

Cela, tout le monde connaît, mais peu de personnes savent qu'il n'est pas de Descartes, il est déjà bien plus clairement exprimé par Aristote.

Et si l'on doit rechercher une formule à peu près identique, bien que cela soit l'idée qui importe et pas la formule, nous avons Saint Augustin. Descartes dit 'etiam sum si me fallit', 'aussi je suis si l'on me trompe' (Descartes, Méditations II). C'est une différente façon d'énoncer son âme principe qu'il donne à un autre endroit, et en fait Saint Augustin avait dit 'Si fallor, sum', 'si je me trompe, je suis'. (S. Augustin, Cité de Dieu XI, 26). Donc l'idée est déjà chez Aristote, elle est à peu près énoncée de la même façon par S. Augustin. Et notamment aussi si l'on veut le même 'Je pense, donc je suis', on a Gómez Pereira (1500-1567) qui, cent ans avant Descartes, dit : 'Je pense connaître quelque chose, or tout ce qui pense est, donc je suis.' (G. Pereira, De Immortalitate Animæ, p. 277) 

 

Or pourquoi j'insiste sur cela ? Et bien parce que Descartes a mis à la poubelle tous ses prédécesseurs, qui avaient déjà fait le travail !

 

Voilà ce que dit Descartes : 

 

'De ceux qui ont commencé par l'ancienne philosophie, que d'autant ils qu'ils ont plus étudié, d'autant ils ont coutume d'être moins propres à bien apprendre la vraie.' (Descartes, Les Principes de la philosophie, Préface)

 

Donc, là, ce qu'il nous dit, c'est que S. Thomas d'Aquin, etc., il faut le mettre à la poubelle parce que de toutes façons plus on l'étudie moins on est propres à étudier la philosophie. Que l'on ne soit pas d'accord en tout avec ses prédécesseurs, cela se comprend et S. Thomas n'a pas été d'accord en tout avec ses prédécesseurs, mais qu'on les mette comme cela à la poubelle... Or, en réalité, que voit-on ? Chez S. Thomas d'Aquin, par exemple dans le De Veritate, le cogito est beaucoup mieux exprimé ! Il reprend Aristote, mais il ne s'en cache pas ! 

 

Et chez Descartes il y a deux choses. Soit c'est bien, mais cela n'est pas nouveau, c'était déjà chez ses prédécesseurs. Soit c'est nouveau mais ce n'est pas bien. Et en fait, Descartes cela ne sert à rien ! Ne perdez pas votre temps avec Descartes ! Et nous allons voir cela.

 

Nous allons commencer par nous demander si Descartes a bien compris son principe ? Il y a les partisans du Cogito déduction et les partisans du Cogito intuition.

 

Les partisans du Cogito déduction disent que Descartes a compris son Cogito comme une déduction lorsqu'il dit 'Je doute, je doute de tout, etc., mais il y a une chose dont je ne puis plus douter c'est que je doute. Si je doute c'est donc que je pense, et si je pense c'est donc que je suis. Les donc sont chez Descartes et l'on serait là en fait dans un syllogisme, mais très souvent l'on n'énonce pas la majeure du syllogisme. Et là, pour Descartes, cela aurait été : 

 

Maj. Tout ce qui pense est

Min. Or je pense

Clsn. Donc je suis

 

Si Descartes a ainsi compris son Cogito, dans une déduction, et bien sa conclusion 'je suis', est une conclusion, ce n'est plus un premier principe. Le premier principe serait la majeure : 'tout ce qui pense est'. Et à la limite, la mineur aussi serait un premier principe, mais la conclusion n'est pas le premier principe.

 

Un autre problème qu'on soulevé les partisans du Cogito déduction est que l'on serait dans un cercle vicieux de la pensée. C'est-à-dire que normalement, dans un syllogisme, vous ne devez pas retrouver en acte la conclusion. Donc la conclusion 'Je suis' ne doit pas se retrouver dans les prémisses, l'on ne doit pas la retrouver dans la majeure ou dans la mineure ! Et quand la mineure dit 'je pense', elle affirme 'je' et 'je' cela veut dire que l'on affirme déjà sa propre existence. Le 'je pense', ce serait en fait 'je suis pensant (Cogito)'. Il y aurait déjà le 'Je suis' dans le 'je'. Le 'je' est essentiellement ontologique.

 

Ce qui est sûr, c'est que si le Cogito est déduction, le 'je pense, donc je suis' n'est pas le premier principe, le premier principe c'est 'Tout ce qui pense est'.

 

Les partisans du Cogito intuition disent que Descartes a compris ce Cogito, comme un premier principe indémontrable et donc qui ne résulte pas d'une déduction. Ici, attention, le mot intuition ce n'est pas 'j'ai l'intuition que demain il va pleuvoir, j'en suis pas sûr'. Ce n'est pas cela. L'intuition, c'est l'intuition des premiers principes et c'est la certitude des premiers principes qui est à la base de toutes les sciences, les vraies sciences. Parce que pour Aristote, etc., l'histoire n'est pas une pré-science, c'est une quasi science, tout comme la science physico-expérimentale, ce que l'on appelle la physique d'aujourd'hui. Ce n'est pas une vraie science, c'est une quasi science. Mais j'en parlerai dans une prochaine video.

 

L'argument fort pour dire que son Cogito est intuition, c'est que Descartes lui-même dira que ce n'est pas déductif c'est intuitif. Cependant les partisans du Cogito déduction disent non, non, c'est bien une déduction, quoi qu'en disent Descartes ! C'est exprimé comme cela, il y a un donc, etc. Or, effectivement, il y a un autre passage dans lequel Descartes écrit : 'de cela même que je pensais à douter de la vérité des autres choses, IL SUIVAIT très évidemment et très certainement QUE J'ÉTAIS'. Donc ils disent que si cela suit, on est bien dans une déduction : cela suit ! On n'est pas dans un premier principe.

 

Alors qu'en est-il au juste ? Et bien il y a eu des livres écrits par les partisans des deux côtés. Mais peu importe qu'il l'ait entendu dans un sens ou dans un autre, cela prouve au minimum une chose, c'est qu'il s'est mal exprimé ! C'est le minimum. Alors que ses prédécesseurs, par exemple, Saint Thomas d'Aquin s'était beaucoup mieux exprimé, lorsqu'il dit : 'Personne ne peut pas penser avec assentiment qu'il n'existe pas, en effet, dans l'acte de penser, il perçoit qu'il existe !' Ici c'est beaucoup plus clair, parce qu'il n'y a pas de donc et il n'y a pas de risque de confusion avec une déduction, etc.

 

Voilà, Descartes au minimum n'a pas été clair et pour lui c'est une tache forte. Parce que s'il peut arriver à tout le monde de ne pas être clair dans un ouvrage, etc., là le problème c'est que c'est le premier principe qui n'a pas été clair, celui sur lequel repose toute sa 'connaissance' de la philosophie !

 

Et puis Descartes n'était pas le premier à formuler cette idée, il y avait tout un travail des prédécesseurs qui avait été fait auparavant, mais Descartes l'a mis à la poubelle avec le plus grand dédain, comme quelque chose de dangereux ! Or si il avait écouté ses prédécesseurs, s'il s'était basé sur ses prédécesseurs, cela ne serait pas arrivé et aujourd'hui on n'aurait pas des ouvrages entiers des deux côtés pour dire 'non, c'est déductif', 'non, c'est intuitif, etc.' !

 

Maintenant, le plus gros problème avec ce principe (Cogito, ergo sum), c'est que Descartes a voulu en faire la base de toute la connaissance humaine. Et cela est un très gros problème parce que chez Saint Thomas, tout comme chez Aristote, nous avons une connaissance qui est stellaire, qui repose sur divers principes, ils acceptent tous les principes qui sont certains d'une certitude absolue. Par exemple, ils acceptent que 2 + 2 = 4. Ils acceptent 'Nemo dat quod non habet, personne ne peut donner ce qu'il n'a pas'. 

 

Le problème de Descartes, est que lui n'accepte qu'un seul principe à la base de toute la connaissance. C'est le 'Je pense, donc je suis'. Il dira par exemple ... qu'il y en a qui commettent des erreurs en mathématiques. Mais c'est parce que l'on ne pénètre pas les termes du calcul. Tout cela a été très bien expliqué chez S. Thomas, etc., et donc le 'Je pense, donc je suis', pourquoi ne pas en douter aussi sous prétexte qu'il y en a qui se tromper en philosophie ?

 

Il y en a qui se trompent en mathématiques, c'est vrai, mais il y en a aussi qui se trompent en philosophie !

 

Donc il dit deux et trois, je ne suis pas sûr du résultat [''Il se peut faire qu'il (Dieu) ait voulu que je me trompe toutes les fois que je fais l'addition de deux et de trois". Première Méditation], parce que il y en a qui se trompent. Mais pourquoi alors il est sûr du 'Je pense, donc je suis' ? Parce que c'est un premier principe me direz-vous ? Oui mais deux et deux font quatre c'est aussi un premier principe évident que l'on ne peut pas démontrer à partir d'un principe antérieur, si vous voulez.

 

À la limite chez les thomistes, s'il y a un premier principe c'est le principe de non contradiction. Mais même cela, Descartes n'en veut pas ! Il ne le veut pas comme premier principe. Et il donne diverses raisons à divers endroits. Par exemple il dira parce que ce n'est pas pratique. Mais la philosophie n'est pas faite pour être pratique. On ne connaît pas la philosophie dans le but d'agir, on connaît la philosophie dans le but de connaître. C'est une connaissance pour connaître et non pas une connaissance pour agir. En mathématiques c'est connaître pour connaître et de même en philosophie c'est connaître pour connaître.

 

Mais il y a d'autres principes premiers chez les thomistes. Par exemple : les faits ne précèdent pas la cause. Tous ces principes certains, ils les prennent. Ils ont raison parce que dans une science, toutes certitudes va fonder la science. C'est important, sinon l'on ampute la connaissance de toute une partie de la connaissance.

 

Et cela c'est le problème de Descartes, parce que Descartes n'est pas un sceptique comme certains l'ont dit, parce qu'il ne remet pas en cause toute la connaissance humaine, comme les sceptiques, il part du premier principe 'Je pense, donc je suis'. Mais, en réalité, il ampute le champ de la connaissance humaine, et c'est une grande amputation parce qu'il ne part que d'un seul principe.

 

Et donc quelque part, Descartes est plus dangereux que les sceptiques, parce que les sceptiques disent que l'on ne peut rien connaître, mais si vous voulez, l'intelligence humaine a besoin de connaître, elle a besoin de savoir, et donc dire que nous ne savons rien, l'intelligence peut difficilement s'y résoudre. Alors que Descartes apporte un peu, il va faire des adeptes parce que oui on peut connaître, par contre il ressert le champ de la connaissance humaine de façon extrême.

 

Donc, en conclusion du Cogito, il n'est pas sûr que Descartes l'ait compris convenablement. En tous les cas, il l'a très mal énoncé ! Et vouloir en faire le seul pilier de la connaissance humaine est une très grave erreur.

 

Et du reste, s'il y en a qui nient le principe de non-contradiction ou le principe du deux et deux font quatre, il y en a beaucoup plus qui nie le principe de Descartes ! Parce que si vous prenez par exemple les bouddhistes qui sont environ 600 000 dans le monde, pour eux, il n'y a pas de subsistance de soi, le je est une illusion. D'où le yoga, exercice physique et mental pour prendre connaissance que nous ne sommes pas. Or, comme le dit S. Thomas d'Aquin, 'personne ne peut penser avec un sentiment qu'il n'existe pas'. Ce n'est que dans un second temps que l'on peut le nier, mais au moment même où l'on pense, l'on s'aperçoit forcément que l'on est. Et ce n'est pas parce que beaucoup de personnes le nient que cela le prouve. Car il y a beaucoup de vérités philosophiques qui sont niées pour des raisons morales. En effet, c'est bien pratique de dire que l'on n'existe pas, parce que si l'on n'existe pas, le péché n'existe plus non plus. Ou c'est pas nous qui le commettons, c'est Brahmā, etc. (ou une autre âme dans le cadre de la réincarnation... Ndlr.). Parce que les Hindous ne sont pas clairs non plus avec le je. Ils admettent un je mais il y a le panthéisme, donc je n'est pas en réalité mon je. C'est un jeu panthéiste. Et ce n'est pas sûr qu'ils entendent le Cogito comme Descartes, ou comme Saint Thomas d'Aquin ou Aristote ! Ils l'entendent certainement d'une autre façon et les Hindouistes, c'est un milliard. Donc il y a 1,5 milliards de personnes sur la planète qui ne sont pas vraiment d'accord avec le Cogito.

 

Au niveau philosophique, Descartes est volontariste, il pense que Dieu peut faire les contradictoires. Vous avez le droit d'être volontariste en théologie, l'Eglise n'a jamais condamné cette position qui est par exemple celle des Scotistes qui n'ont jamais été condamnés. Mais, c'est faux philosophiquement, pas parce que Dieu ne le pourrait pas faire les contradictoires comme une entorse à son infinie puissance, mais parce que cela ne veut rien dire, cela ne rime à rien. Et cela avait déjà été dit avant lui. Les premiers principes de la science doivent être tenus avec certitude absolue, pas d'une certitude morale. Sinon tout le reste de la science devient du probable.

 

Conclusion

 

Descartes il y a des choses bien, mais qui ne sont pas nouvelles et sont déjà chez ses prédécesseurs. Et il y a des choses nouvelles qui sont catastrophiques parce que Descartes nous a amenés à un scepticisme par sa manie de contester les premiers principes, que l'on peut voir ensuite chez ses successeurs. Et maintenant n'importe qui peut contester n'importe quel premier principe parce qu'il y a ce doute méthodique mais qui ne rime à rien parce qu'il n'est pas plus légitime de douter qu'un carré à quatre côtés plutôt que le 'Je pense donc je suis', pas plus légitime.

Même sa pensée fausse, on retrouve beaucoup de sa pensée fausse chez Gómez Pereira. Et certains ont accusé Descartes d'avoir repris Gómez Pereira.

Descartes a eu un mauvais enseignement d'Aristote et de S. Thomas d'Aquin. Apparemment il ne savait pas ce qu'était le thomisme. Il a eu un enseignement thomiste, mais qui était soit-disant thomiste. Et ce qu'il pense réfuter du thomisme n'est pas dans le thomisme. Et cela est très courant encore aujourd'hui de voir des gens cracher sur Aristote ou S. Thomas, non pas parce qu'ils n'ont pas été clairs, mais parce que cela demande des pré requis qui n'ont pas été assimilés. 

 

(Fin de citation)

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1 juin 2023 4 01 /06 /juin /2023 06:16

Source: LifeSiteNews

 

La FDA voulait des décennies pour ralentir la publication des données qu'elle a utilisées pour approuver les vaccins à ARNm.

 

mer. 24 mai 2023 - 17 h 30 HAE

 

 

FORT WORTH. Texas ( LifeSiteNews ) - Un juge fédéral a ordonné à la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis de publier ses données sur la sécurité des injections COVID-19 à base d'ARNm de Pfizer et Moderna d'ici la fin juin 2025, plutôt qu'au cours des 23 prochaines années.

 

Pendant plus d'un an, la FDA a résisté aux efforts visant à forcer la publication des données qu'elle a utilisées pour approuver les vaccins controversés plus rapidement que pour n'importe quel autre vaccin de l'histoire, affirmant qu'il lui faudrait jusqu'à 55 ou potentiellement même 75 ans pour publier les vaccins à peu près 329 000 pages de documents en sa possession sur le sujet.

 

Le 9 mai, le juge de district américain Mark Pittman a ordonné à la FDA "de produire tous les documents relatifs aux deux vaccins d'ici le 31 juin 2025", jugeant qu'elle avait "refusé à tort" la demande fédérale sur la liberté d'information (FOIA) déposée par le groupe Professionnels de la santé publique et de la médecine pour la transparence (PHMPT) et ordonnant aux parties de se réunir d'ici le 23 mai de cette année pour "conférer et soumettre un taux de production conjoint qui réduit au maximum" le fardeau de la préparation du matériel pour la publication.

 

"La démocratie meurt à huis clos", a déclaré le juge, notant que si la FDA est confrontée à des contraintes logistiques légitimes pour rassembler et publier de grandes quantités d'informations avec des ressources limitées, cette réalité "ne dicte pas les limites des droits FOIA d'un individu", et les demandes doivent être satisfaites en temps opportun, car" les informations obsolètes ont peu de valeur".

 

La décision "incroyable" de Pittman oblige effectivement la FDA à publier le matériel à un "taux d'au moins 180 000 pages par mois", selon l'avocat de la liberté médicale et de la transparence Aaron Siri, qui représente les plaignants. "En effet, c'est un autre coup dur pour la transparence et la responsabilité."

 

Les preuves étayent les doutes que de nombreux Américains continuent d'entretenir quant à la sécurité et à la nécessité des vaccins COVID-19, qui ont été développés et publiés dans le cadre de l'initiative Operation Warp Speed ​​de l'ancien président Donald Trump en une fraction du temps que prennent habituellement les vaccins .

 

Le système fédéral de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) signale 35 387 décès, 200 669 hospitalisations, 19 666 crises cardiaques et 26 955 cas de myocardite et de péricardite au 12 mai. Une étude d'avril 2022 en Israël indique que l'infection au COVID elle-même ne peut pas entièrement expliquer le nombre de myocardites, malgré l'insistance commune à l'effet contraire. Les défenseurs de l'injection n'hésitent pas à souligner que les rapports soumis au VAERS ne sont pas confirmés, car tout le monde peut en soumettre un, mais les chercheurs des Centers for Disease Control & Prevention (CDC) des États-Unis ont reconnu un "taux de vérification élevé des rapports de myocardite au VAERS après le COVID à base d'ARNm -19 vaccination", conduisant à la conclusion que "la sous-déclaration est plus probable" que la sur-déclaration.

 

De plus, le VAERS n'est pas la seule source de données contenant des drapeaux rouges. Les données de la base de données d'épidémiologie médicale de la défense (DMED) du Pentagone montrent que 2021 a vu des pics drastiques dans une variété de diagnostics de problèmes médicaux graves par rapport à la moyenne des cinq années précédentes, y compris l'hypertension (2 181 %), les troubles neurologiques (1 048 %), la sclérose en plaques (680 %), syndrome de Guillain-Barré (551 %), le cancer du sein (487 %), l'infertilité féminine (472 %), l'embolie pulmonaire (468 %), les migraines (452 %), le dysfonctionnement ovarien (437 %), le cancer des testicules (369 %) et la tachycardie (302 %).

 

En septembre dernier, la Société japonaise de vaccinologie a publié une étude évaluée par des pairs menée par des chercheurs de Stanford, UCLA et de l'Université du Maryland, qui a révélé que "l'essai Pfizer présentait un risque 36 % plus élevé d'événements indésirables graves dans le groupe vacciné" tandis que "l'essai Moderna a montré un risque 6% plus élevé d'événements indésirables graves dans le groupe vacciné", pour un "risque 16% plus élevé d'événements indésirables graves chez les receveurs de vaccins à ARNm".

 

En décembre 2022, le sénateur Ron Johnson (R-WI) a organisé une table ronde au cours de laquelle l'avocat des droits civiques Aaron Siri a détaillé les données du système de rapport V-Safe du CDC révélant que 800 000 des 10 millions de participants au système, soit environ 7,7 %, ont rapporté ayant besoin de soins médicaux après l'injection de COVID. "25% de ces personnes avaient besoin de soins d'urgence ou ont été hospitalisées, et 48% supplémentaires ont demandé des soins d'urgence", a ajouté Siri. "En outre, 25% supplémentaires en plus des 7,7% ont déclaré ne pas pouvoir travailler ou aller à l'école."

 

Une autre étude menée par une équipe de chercheurs américains, britanniques et canadiens, publiée en décembre dernier par le Journal of Medical Ethics, a révélé que les mandats de rappel COVID pour les étudiants universitaires – un groupe relativement en bonne santé et relativement peu exposé au virus – font beaucoup plus de mal que de bien : "par hospitalisation COVID-19 évitée, nous prévoyons au moins 18,5 événements indésirables graves liés aux vaccins à ARNm, dont 1,5 à 4,6 cas de myopéricardite associée au rappel chez les hommes (nécessitant généralement une hospitalisation)".

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31 mars 2023 5 31 /03 /mars /2023 07:57
Réintégration des soignants "suspendus" : les "complotistes" avaient deux ans d'avance !

Dernière au monde, la Haute Autorité pour la Santé se rend finalement hier à l'avis des autres pays et recommande enfin la levée de l’obligation vaccinale des professionnels de santé, en vigueur depuis l’automne 2021. Motif : la "faible efficacité de la vaccination contre l'infection et la transmission"... Cet avis sonne le glas d'une mesure controversée imposée à 2,7 millions de personnes: soignants mais aussi personnels des hôpitaux et des maisons de retraite, ambulanciers, aides à domicile ou encore pompiers.

 

La HAS avance plusieurs raisons : le contexte épidémique favorable, la faible efficacité de la vaccination contre l’infection et la transmission, le fait que plusieurs pays étrangers ont déjà pris une telle décision, etc. "Ces recommandations sont rendues sur la base d’éléments strictement médicaux et scientifiques", insiste Dominique Le Guludec, sa présidente.

 

https://www.leparisien.fr/societe/sante/lobligation-vaccinale-des-soignants-contre-le-covid-ne-se-justifie-plus-pour-la-haute-autorite-de-sante-30-03-2023-BRYXFFNRHJDZ3F76JP5IHEECOA.php#xtor=AD-1481423553 )

Réintégration des soignants "suspendus" : les "complotistes" avaient deux ans d'avance !

Les injections covid ne sont pas efficaces, les "complotistes" le disaient depuis deux ans. Ils avaient simplement deux ans d'avance.

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24 mars 2023 5 24 /03 /mars /2023 22:19
https://www.washingtontimes.com/news/2023/mar/1/vaccines-dont-work-masks-dont-work-everything-gove/

https://www.washingtontimes.com/news/2023/mar/1/vaccines-dont-work-masks-dont-work-everything-gove/

Article du Washington Times

 

Vous souvenez-vous quand le gouvernement fédéral vous a dit que les masques étaient efficaces contre le COVID-19 ?

Oui ils ne sont pas.

Vous vous souvenez quand le gouvernement vous a dit que les vaccins vous protégeraient du virus ?

Oui, ils ne le font pas.

Et vous vous souvenez quand le gouvernement fédéral vous a dit que le COVID ne provenait pas d'un laboratoire à Wuhan, en Chine ? Eh bien il en est venu. Qui dit ça? Le gouvernement fédéral.

 

Le récit mis en avant par les administrations de l'ancien président Donald Trump et du président Biden s'est rapidement effondré ces dernières semaines.

 

Le New York Times a publié la semaine dernière un article intitulé "Les mandats sur les masques n'ont rien donné. Des leçons seront-elles tirées ?" Cet article a été rédigé par Bret Stephens, un éditorialiste du Times qui a reçu le prix Pulitzer pour ses commentaires en 2013.

 

"L'analyse la plus rigoureuse et la plus complète des études scientifiques sur l'efficacité des masques pour réduire la propagation des maladies respiratoires - y compris Covid-19 - a été publiée à la fin du mois dernier. Leurs conclusions, selon Tom Jefferson, l'épidémiologiste d'Oxford et auteur principal de l'étude, sont sans équivoque.

 

"'Il n'y a tout simplement aucune preuve qu'ils' - les masques - 'font une différence'", a-t-il déclaré à la journaliste Maryanne Demasi. Point final.'"

 

"Mais, attendez une minute. Qu'en est-il des masques N-95, par opposition aux masques chirurgicaux ou en tissu de qualité inférieure ? "Cela ne fait aucune différence - rien du tout", a déclaré Jefferson."

 

Restez à l'écoute.

 

Au début de la pandémie, des études après études ont été menées pour confirmer l'efficacité des masques et inciter les législateurs à tous les niveaux de gouvernement à promulguer des réglementations sur les masques. Cependant, Jefferson dit que ces études étaient "non randomisées" et "imparfaites".

 

La question se pose donc : Qu'en est-il de l'étude de M. Jefferson ? Oui, non. M. Jefferson et 11 de ses collègues ont mené 78 essais contrôlés randomisés avec un total de 610 872 participants dans de nombreux pays.

 

"Les réglementations de masque ont été une erreur depuis le début", a écrit Stephens. "Ils ont peut-être créé un faux sentiment de sécurité - et avec lui, la permission de reprendre une vie raisonnablement normale. Ils n'ont presque rien contribué à la sécurité elle-même. Le rapport Cochrane devrait être le dernier clou dans ce cercueil particulier."

 

Cette semaine également, des chercheurs ont examiné l'efficacité des schémas de vaccination locaux contre le COVID-19 introduits aux États-Unis en 2021 et ont constaté qu'ils ne fonctionnaient pas.

 

"Ces réglementations ont imposé de sévères restrictions à la vie de nombreux citoyens et propriétaires d'entreprises", ont déclaré les chercheurs dans une étude menée par le Mercatus Center de l'université George Mason. "Pourtant, nous n'avons trouvé aucune preuve de l'efficacité de ces réglementations pour atteindre les objectifs fixés, à savoir réduire le nombre de cas et de décès dus au COVID-19".

 

Les chercheurs ont examiné le district de Columbia, New York, Los Angeles, Boston, Chicago, la Nouvelle-Orléans, Philadelphie, San Francisco et Seattle.

 

"Nous n'avons trouvé aucune preuve que l'annonce ou la mise en œuvre de réglementations sur la vaccination à l'intérieur dans les villes répertoriées ait eu un impact significatif sur l'adoption du vaccin, les cas de COVID-19 ou les décès par COVID-19, et cela est globalement cohérent dans toutes les villes américaines qui ont mis en œuvre la réglementation", écrivent les chercheurs.

 

Lorsque COVID-19 nous a frappés au début de 2020, les principaux dirigeants de la ville - presque tous démocrates - ont imposé de vastes fermetures, forçant les entreprises à fermer et à fermer les lieux de divertissement et de sport. Ils ont également ordonné à tout le monde de porter des masques. Alors que les vaccins étaient en cours de développement, ces politiciens ont émis des décrets obligeant des millions de personnes à les prendre.

 

Par exemple, le maire de Philadelphie, Jim Kenney, un démocrate, a déclaré en août 2021 que la science montre que les exigences en matière de masque et de vaccination ralentiraient la propagation.

 

Cependant, les chercheurs n'ont trouvé aucune preuve à l'appui de cette affirmation.

 

"Nos résultats remettent en question l'efficacité des politiques de vaccination au niveau de la ville", ont déclaré les chercheurs. "Les réglementations sur la vaccination en intérieur ont entraîné des perturbations majeures pour de nombreux particuliers et entreprises. La ville de New York, par exemple, a licencié 1 430 employés de la ville pour ne pas avoir respecté le mandat de vaccination. Une enquête a révélé que plus de 90 % des restaurants de New York ont ​​signalé des problèmes liés aux clients, tels que B. la perte de clients qui étaient contre le mandat et 75 % pour des problèmes liés au personnel. Ce n'est qu'une petite partie des perturbations causées par la réglementation.

 

"La plupart des partisans de la réglementation affirment que l'augmentation associée des taux de vaccination et la réduction associée de la propagation du COVID-19 l'emportent sur les coûts des perturbations. Cependant, nous constatons que l'impact des réglementations sur les résultats escomptés n'est statistiquement évident dans aucune des villes où elles ont été introduites, pour toutes les stratégies empiriques utilisées", indique le rapport.

 

Puis, la semaine dernière, nous avons appris que la pandémie mondiale de COVID-19 provenait d'un laboratoire de virologie exploité par le régime communiste chinois, selon un nouveau document du département américain de l'Énergie récemment présenté aux membres clés du Congrès et de la Maison Blanche.

 

Vous souvenez-vous quand les médias sociaux ont supprimé toute mention de ce sujet ?

 

Nous savons donc maintenant que le gouvernement ne savait rien de la COVID-19. Ils nous ont dit des choses pour nous faire faire ce qu'ils voulaient que nous fassions, mais rien de tout cela n'était scientifiquement fondé. Et cela devrait vous effrayer à mort.

 

SOURCE : LES VACCINS NE FONCTIONNENT PAS, LES MASQUES NE FONCTIONNENT PAS : TOUT CE QUE LE GOUVERNEMENT NOUS A DIT SUR LE COVID-19 ÉTAIT FAUX

 

https://uncutnews.ch/der-mainstream-macht-kehrtwenden-impfstoffe-funktionieren-nicht-masken-funktionieren-nicht-alles-was-uns-die-regierung-ueber-covid-19-erzaehlt-hat-war-falsch/

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19 mars 2023 7 19 /03 /mars /2023 09:28

Source: Video https://www.covidhub.ch/ministre-allemand-degats-consternants/

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12 février 2023 7 12 /02 /février /2023 12:58

La généticienne Alexandra Henrion-Caude annonce sur Twitter la publication de son livre "Les Apprentis sorciers, Tout ce que l'on vous cache sur l'ARN messager", chez Albin Michel. En librairie le 8 mars 2023.

 

Elle explique que si elle "écrit ce livre", c'est parce qu'elle voulait "bénéficier d'un temps long" qui l'affranchissait "de la caricature des médias traditionnels". Cela lui permet aussi de "partager" avec nous ce qu'elle connait de l'ARN, ce qu'elle comprend, "ce qu'on sait, ce qu'on ne sait pas", dire son "admiration pour le vivant qui passe par cette molécule de l'ARN", expliquer que "ces vaccins à ARN messager, technique pour le moins inédite, a été pourtant massivement injectée", décrire "les effets indésirables que nous avons rencontrés, et qui avaient été très précocement listés par Pfizer, plus de 15 000 maladies différentes listées par Pfizer".

 

"Ce livre, explique-t-elle, c'est donc un instant de partage, de vérité et de main tendue, de partage de mes connaissances mais aussi de mes sources, et enfin de l'intégralité de mes droits d'auteurs que j'ai l'honneur de reverser à ceux qui ont énormément souffert pendant cette crise, ceux qui ont fait des choix, qui les ont exclus de la société. Certains les appellent les 'suspendus', je préfère les appeler les essentiels !"

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20 décembre 2022 2 20 /12 /décembre /2022 20:34

Bill Gates a été surpris en train de cibler des adolescents et des enfants dans un exercice de préparation dystopique appelé Catastrophic Contagion. Gates cherche désespérément à empêcher la fuite d'informations sur cette réunion au sommet troublante, mais malheureusement pour lui, il y a maintenant trop de personnes courageuses déterminées à exposer son mal au monde.

 

Grâce aux courageux lanceurs d'alerte, nous avons toutes les informations dont vous avez besoin sur la contagion catastrophique, mais examinons d'abord la forme de Gates en ce qui concerne ce qu'il appelle les "exercices de préparation".

 

Rappelez-vous « Event 201 », un exercice de préparation à la pandémie de coronavirus organisé en octobre 2019 sous les auspices du Forum économique mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates et auquel ont participé les suspects habituels tels que l'Organisation mondiale de la santé, le CDC chinois, Anthony Fauci et d'autres étaient impliqués?

 

Le moment était idéal et la pandémie de COVID-19 a commencé quelques semaines après l'exercice, se déroulant exactement comme ils l'avaient prédit. L'élite mondialiste était aux anges. Le Forum économique mondial n'a pas pu s'empêcher de s'extasier sur la situation et de chanter les louanges des confinements "brutalement efficaces".

 

Le citoyen moyen a été terrifié et maîtrisé par les médias grand public, qui ont sans vergogne servi de faire-valoir de l'élite. Nous avons été emprisonnés, punis, rendus malades, injectés et appauvris. Les conséquences économiques pour les gens ordinaires ont été catastrophiques et ne font qu'empirer.

 

Si vous doutez que l'élite soit satisfaite de cela, regardez le sourire psychopathe de Bill Gates lorsque le présentateur de CNN Fareed Zakaria dit qu'il faudra beaucoup de temps avant que l'économie ne se redresse.

 

Bien sûr, les riches sont devenus plus riches. L'élite est maintenant plus élite que jamais.

 

Et, bien sûr, les élites elles-mêmes n'ont pas eu à subir de blocages punitifs. L'Organisation mondiale de la santé et le Forum économique mondial sont tous deux basés en Suisse, qui se trouve être l'un des rares pays à ne pas avoir imposé de fermetures et de commandes de masques.

 

Une règle pour vous, une autre pour moi.

 

Compte tenu de ce que l'humanité a dû traverser ces dernières années, il est impératif que nous surveillions de très près les actions de ceux qui ont bénéficié de la pandémie.

 

Il faut notamment savoir que le 23 octobre 2022, Bill Gates a mené un autre exercice précisément nommé Catastrophic Contagion . (https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/exercises/2022-catastrophic-contagion/index.html ) 

 

Bill lui-même a semblé mener l'exercice "sur table" avec des sommités du monde de la biosécurité et de la santé publique mondiale, dont dix ministres de la santé actuels et anciens et hauts responsables de la santé publique de divers pays infiltrés par le WEF, dont l'Allemagne, Singapour et l'Inde.

 

 

Qu'est-ce que Catastrophic Contagion a prévu? Le plan prévoyait une pandémie grave, pire que la COVID-19, ciblant les jeunes et les enfants.

 

 

Selon Gates, les « leçons » penchent vers une répression bien plus forte de la soi-disant « désinformation » que lors de la pandémie de Covid. Comment cela se passe-t-il dans le monde réel ? Cela signifie qu'il y aura encore plus de censure et de suppression de la liberté d'expression lors de la prochaine pandémie.

 

Enfin, dans cette pandémie, les sceptiques du Covid ont prévalu, ce qui n'est PAS acceptable pour Bill Gates. Malgré le poids des médias grand public et de l'infrastructure de contrôle autocratique mondiale contre nous, nous avons gagné en refusant d'être intimidés et réduits au silence par leurs tactiques autoritaires.

 

Bill Gates prépare donc la prochaine pandémie de contagion catastrophique qui tuera les jeunes et aura un contrôle beaucoup plus grand sur la désinformation. Gates a déclaré que les pays doivent prioriser les efforts pour améliorer la confiance dans le gouvernement et la santé publique.

 

 

Si vous vous demandez à quoi cela ressemble, jetez un œil à la Nouvelle-Zélande infiltrée par le WEF, où l'autoritaire de gauche Jacinda Ardern s'inspire directement du livre de jeu de Klaus Schwab.

 

Le gouvernement est votre "seule source de vérité", selon Ardern, qui soutient que "ce n'est pas la vérité si vous ne l'entendez pas de nous".

 

Ce serait la même Jacinda Ardern qui se vantait d'avoir un accès direct au portail de censure de Facebook.

 

Il est logique que l'élite mondiale soit déterminée à réprimer encore plus la liberté d'expression. Bill Gates et ses partenaires ont reconnu que les sceptiques du Covid vont gagner la bataille et s'emparer de réseaux sociaux entiers.

 

C'est Bill qui parle lors de son événement Catastrophic Contagion. Il a pris soin de s'assurer qu'il n'y a aucune trace de ce qu'il a dit.

 

 

Gates sait maintenant que nous sommes sur lui. Avouons-le, il y a tout simplement beaucoup trop de coïncidences en ce qui concerne Gates pour lui permettre de travailler tranquillement en secret sans l'observer de près.

 

Il a l'étrange capacité de "prédire" les futures pandémies. En plus de se préparer à la pandémie de Covid-19 via l'événement 201, il a également mené un « exercice de préparation à la variole du singe » en 2021, qui a prédit l'apparition de la variole du singe au mois !

 

Bill Gates est un brillant investisseur, à égalité avec Nancy Pelosi. Il a acheté des actions dans une startup biotechnologique peu connue appelée BioNTech deux mois seulement avant le déclenchement de la pandémie de Covid-19, gagnant bien plus d'un milliard de dollars. Pour rappel, BioNTech fournit le vaccin Covid de Pfizer – bien qu'il n'ait jamais fonctionné sur les vaccins avant la pandémie.

 

 

Le timing de son investissement témoigne de sa prévoyance exemplaire ! Il faut se demander : que savait Bill ?

 

Je recommande donc d'écouter attentivement lorsque Bill Gates prédit une future pandémie. Il sait quelque chose dont nous ne sommes peut-être pas conscients.

 

Et il ne peut s'empêcher de se réjouir du "prochain".

 

Alors que le monde continue de s'éveiller aux crimes de l'élite mondialiste et que le sentiment public s'aggrave, l'élite lance l'idée d'une "amnistie Covid" pour les décideurs d'élite qui ont ruiné des millions de vies en imposant des confinements draconiens, des masques pour les enfants et les règlements de vaccination barbare appliqués.

 

Selon un article viral d'Atlantic, l'élite, dont le Dr. Anthony Fauci, Bill Gates et Joe Biden, pour n'en nommer que quelques-uns, recevront un laissez-passer gratuit et une amnistie des poursuites alors que davantage de preuves de leurs actes répréhensibles et de leur criminalité flagrante font surface.

 

Il semble que l'élite soit consciente que le mur du barrage est sur le point de se rompre et que leur plan de crimes démoniaques sera bientôt dévoilé. Et les élites ont à juste titre peur que les masses se réveillent et se soulèvent contre elles.

 

Après tout ce que nous avons traversé ces dernières années, devrions-nous vraiment pardonner à l'élite qui s'est constamment révélée au mieux incompétente et, dans de nombreux cas, carrément tyran ? Pas du tout. Va-t-on effacer les dossiers des responsables d'enfants malades qui croupissent seuls dans les hôpitaux, de conjoints séparés, de familles ne pouvant tenir les mains des mourants ou se rassembler à leurs funérailles ? Non, non, et encore une fois non.

 

Après que les mandats aient chassé les gens de leur emploi et détruit leurs moyens de subsistance et leurs vies, et que le vaccin devenu thérapeutique n'ait pas réussi à arrêter la transmission, devons-nous vraiment arrêter de nous interroger sur les effets secondaires possibles ou les relations entre les grandes sociétés pharmaceutiques et la FDA ?

 

Devrions-nous vraiment oublier le passé en ce qui concerne les dissimulations et les interdictions qui ont fait reculer les étudiants d'une décennie, fermé des entreprises à travers le pays et multiplié les morts par désespoir ?

 

Nous devons rester vigilants et garder un œil sur ce que fait l'élite mondialiste. Compte tenu de leur duplicité, ce n'est pas une tâche facile et nécessitera une armée de chercheurs de vérité. Ici, à Voice of the People, nous espérons continuer à faire notre part pour éduquer les masses sur ce qui se passe réellement dans le monde. Mais nous avons besoin de votre aide. Si vous appréciez notre travail, veuillez vous abonner à cette chaîne et diffuser largement cette vidéo.

 

Nous devons toucher le plus de monde possible avant qu'il ne soit trop tard.

 

SOURCE : BILL GATES SURPRIS EN TRAIN DE PLANIFIER UNE « CONTAGION CATASTROPHIQUE » QUI TUE DES « MILLIONS D'ENFANTS » DANS LE CERCLE INTÉRIEUR

https://uncutnews.ch/bill-gates-bei-der-planung-einer-katastrophalen-seuche-ertappt-die-millionen-von-kindern-im-inneren-kreis-toeten-soll/

https://newspunch.com/bill-gates-caught-planning-catastrophic-contagion-that-kills-millions-of-children-to-inner-circle/

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19 décembre 2022 1 19 /12 /décembre /2022 14:13
https://brownstone.org/articles/how-lockdowns-made-us-sicker/

https://brownstone.org/articles/how-lockdowns-made-us-sicker/

Au début du confinement en 2020, alors que tous les médias marchaient au pas de la mesure politique la plus abjecte de notre vie, deux médecins de Bakersfield, en Californie, ont osé se jeter à l'eau et s'opposer. 

 

Leurs noms : Dan Erikson et Artin Massihi de Accelerated Urgent Care. Ils ont tenu une conférence de presse au cours de laquelle ils ont affirmé que le confinement ne ferait que retarder le virus, mais ne le maîtriserait pas définitivement. Ils ont également prédit que nous finirions par être plus malades que jamais, car nous ne serions alors plus exposés aux agents pathogènes endémiques. 

 

On pourrait dire qu'ils étaient courageux, mais pourquoi faudrait-il du courage pour partager une sagesse conventionnelle qui fait partie de tout bagage médical  antécédent ? L'idée qu'une moindre exposition aux agents pathogènes entraîne une plus grande vulnérabilité aux maladies a été apprise à l'école à chaque génération au cours des cent dernières années. 

 

Comme je me souviens bien de l'indignation ! Ils ont été traités comme des fous séditieux et les nouveaux médias ont stigmatisé leurs commentaires comme radicalement hétérodoxes, bien qu'ils ne disaient rien que je n'ai appris en cours de biologie en 9e année. C'était absolument bizarre de voir à quelle vitesse les confinements sont devenus une orthodoxie qui, comme nous l'apprenons maintenant, a été imposée par les médias et par les plateformes technologiques qui travaillent en étroite collaboration avec les agences gouvernementales pour fausser la perception de la science parmi le public.

 

Parmi ces distorsions, il y avait un incroyable black-out sur les bases de l'immunité naturelle. Mon Dieu, pourquoi cela s'est-il produit ? Ce n'est pas un complot, pour donner une raison évidente : ils voulaient vendre un vaccin. Et ils voulaient répandre l'idée que le Covid était universellement mortel pour tout le monde afin qu'ils puissent justifier leur approche "toute la société" des confinements.

 

Aujourd'hui, trois ans plus tard, les gros titres sont de retour sur toutes les lèvres.

 

On dirait que tout le monde va tomber malade cet hiver ~ CNN

Tout le monde est malade en ce moment ~ Yahoo

Pourquoi semble-t-il que tout le monde soit malade maintenant ? ~ MSNBC

Pourquoi tout le monde est malade ? ~ WIRED

Et ainsi de suite.

 

N'est-il pas temps de donner du crédit à ces médecins, et peut-être de regretter leur traitement vicieux fait par la presse ?

 

En attendant, il est temps que nous ayons quelques notions de base. Personne ne pourrait mieux les expliquer que la plus grande épidémiologiste théorique vivante, Sunetra Gupta. Je pense qu'une façon de comprendre sa contribution est de la considérer comme le Voltaire ou l'Adam Smith des maladies infectieuses. L'essence de l'économie politique libérale, et de la théorie libérale en général, des Lumières à nos jours, est l'affirmation que la société se gère elle-même. Cela ne nécessite pas de plan du haut vers le bas, et toute tentative de planifier l'économie ou la culture de manière centralisée a toujours des conséquences imprévues.

 

Il en va de même pour le problème des maladies infectieuses. Le Dr Gupta constate que nous avons évolué dans une danse délicate avec les agents pathogènes, partageant la même écosphère et souffrant à la fois de notre implication avec eux et profitant de leur présence. Une perturbation de cet équilibre peut détruire le système immunitaire et nous rendre plus vulnérables et plus malades que jamais. 

 

Elle écrit dans le Telegraph : "J'ai l'habitude de regarder les maladies infectieuses d'un point de vue écologique. Cela ne m'a donc pas surpris que certaines maladies respiratoires saisonnières non-Covid aient été boostées presque immédiatement pendant le confinement. Beaucoup ont pris cela comme une indication que le confinement stoppait la propagation de la maladie, oubliant que l'impact du confinement sur les maladies établies ou "endémiques" est très différent de celui d'une nouvelle maladie dans sa phase "épidémique".

 

Elle explique que l'évitement des agents pathogènes à l'échelle de la société conduit à une "dette immunitaire", un écart dans le niveau de protection que l'on a développé à partir d'une exposition précédente. Il existe un "seuil d'immunité dans la population auquel les taux de nouvelles infections commencent à baisser – connu sous le nom de seuil d'immunité collective. Si nous sommes en dessous de ce seuil, nous avons une dette d'immunité, si nous sommes au-dessus, nous avons un crédit - au moins temporairement.

 

Pour les maladies normales, nous avons des dettes d'immunité en hiver, de sorte que le seuil d'immunité collective augmente. Il y a alors plus d'infections. Comme le souligne le Père Naugle, cette réalité se reflète dans notre calendrier liturgique pendant les mois d'hiver, lorsque le message est de se méfier des dangers, de rester en bonne santé, d'être avec ses amis et sa famille et de s'intéresser plus intensément aux questions de la vie et de la mort. 

 

Cependant, cette saison de maladies courantes entraîne un excès d'immunité à l'approche du printemps et peut aborder nos vies avec plus de confiance et une attitude légère, d'où le symbolisme de Pâques comme début d'une nouvelle vie. Et pourtant, les mois de soleil, d'exercice et de fête contribuent progressivement à accumuler une autre dette immunitaire dans la population qui devra être remboursée pendant les mois d'hiver.

 

Notez que ce schéma se répète chaque année et chaque génération, sans l'aide des responsables de la santé publique. Cependant, écrit Gupta, "une perturbation de cet ordre peut avoir des effets profonds sur la capacité d'un individu à résister à la maladie. Plus que tout, il est clair que nous vivons une perturbation tout à fait prévisible dans notre relation écologique délicatement équilibrée avec les organismes capables de provoquer des maladies graves."

 

Les confinements n'ont rien fait pour modifier ces processus saisonniers et naturels, si ce n'est rendre notre dette immunitaire plus profonde et plus effrayante que jamais. Certes les mesures de confinement n'ont pas stoppé l'agent pathogène du Covid. Au lieu de cela, ils n'ont forcé qu'un seul groupe à être exposé plus tôt et plus fréquemment que les autres groupes, et cette répartition de l'exposition était basée uniquement sur un modèle politiquement établi.

 

Comme nous l'avons vu, la classe ouvrière a été exposée en premier et la classe dirigeante ensuite. Cette politique a établi une hiérarchie politique de contagion sombre et médiévale. Plutôt que d'encourager les populations vulnérables à se protéger et d'encourager tout le monde à acquérir une immunité grâce à une vie normale, la politique de confinement a éloigné la classe ouvrière de l'agent pathogène pour protéger les classes dirigeantes.

 

Mais les résultats sont maintenant disponibles. Ceux qui ont retardé la contamination le plus longtemps possible ou qui ont tenté de manipuler d'une autre manière l'équilibre écologique prudent avec des vaccins réinventés ont non seulement fini par contracter le Covid, mais se sont également rendus plus vulnérables à des maladies déjà endémiques dans la population. 

 

Ce que Gupta a expliqué avec tant d'érudition était en fait la compréhension courante des générations précédentes. Et rien dans l'innovation dangereuse de l'idéologie des confinements n'a changé ces processus naturels. Ils n'ont fait que nous rendre plus malades que jamais. Il n'est donc pas dénué d'une certaine ironie de lire des rapports alarmants dans les meilleurs médias. La bonne réponse à une telle inquiétude est simplement de dire : qu'espériez-vous d'autre ?

 

Les médecins de Bakersfield avaient toujours raison. Tout comme ma mère, sa mère et sa mère avant elle. Ensemble, ils avaient beaucoup plus de connaissances sur les maladies infectieuses qu'Anthony Fauci et tous ses collègues.

 

SOURCE : COMMENT LES CONFINEMENTS NOUS ONT RENDUS PLUS MALADES

 

https://brownstone.org/articles/how-lockdowns-made-us-sicker/

 

https://uncutnews.ch/wie-abriegelungen-uns-kraenker-machten/

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19 décembre 2022 1 19 /12 /décembre /2022 13:49
https://uncutnews.ch/wollte-uns-die-tv-serie-akte-x-warnen/

https://uncutnews.ch/wollte-uns-die-tv-serie-akte-x-warnen/

Des extraits de la série X-Files circulent sur les réseaux sociaux et ressemblent de façon frappante à la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Celui qui a écrit le scénario de cet épisode est soit un voyageur temporel, soit un agent de haut niveau de Deep State, plaisante l'entrepreneur Kim Schmitz, mieux connu sous le nom de Kim Dotcom.

 

L'agent Scully affirme dans la série que l'ADN des gens peut être manipulé pour désactiver le système immunitaire. Elle s'inspire des théories du présentateur de télévision Tad O'Malley, joué par Joel McHale.

 

C'est un virus à l'intérieur d'un virus qui est injecté aux gens par le biais du vaccin contre la variole. Dans ce cas, le vaccin est utilisé comme une arme. "L'arme ultime. La capacité de dépeupler la planète. Pour tuer tout le monde sauf quelques élus." En d'autres termes, en manipulant leur ADN.

Source: https://uncutnews.ch/wollte-uns-die-tv-serie-akte-x-warnen/

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27 novembre 2022 7 27 /11 /novembre /2022 14:06

"Tous vaccinés, tous protégés ?" Une information initialement publiée par le WashingtonPost le 23 novembre dernier sous le titre ‘’Le Covid n’est plus principalement une pandémie de non-vaccinés. Voici pourquoi’’, mais encore largement non traitée par nos medias dits d’‘’information’’ ici en France rapporte qu’il y a désormais plus de décès par Covid parmi les vaccinés que parmi les non-vaccinés.

 

Une video du docteur Dr. John Campbell sur YouTube titre également : "More vaccinated deaths than unvaccinated deaths from covid (US)", Plus de décès par covid chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (US) :

 

''58 % des morts Covid en août (2022) furent des gens vaccinées ou boostés.''

"Pour la première fois aux Etats-Unis nous avons des chiffres qui disent que nous avons plus de morts covid parmi les gens vaccinés que parmi les non-vaccinés." Docteur John Campbell / Washington Post

"Maintenant pour la première fois aux Etats-Unis nous avons des chiffres qui disent que nous avons plus de morts Covid parmi les gens vaccinés que parmi les non-vaccinés.

 

"Cinquante-huit pour cent des décès par coronavirus en août étaient des personnes vaccinées ou boostées, selon une analyse menée pour The Health 202 par Cynthia Cox, vice-présidente de la Kaiser Family Foundation", rapporte le Washington Post.

 

"C'est la continuation d'une tendance troublante qui a émergé au cours de la dernière année. À mesure que les taux de vaccination ont augmenté et que de nouveaux variants sont apparus, la part des décès de personnes vaccinées n'a cessé d'augmenter. En septembre 2021, les personnes vaccinées ne représentaient que 23 % des décès par coronavirus. En janvier et février de cette année, c'était jusqu'à 42 % , selon nos collègues Fenit Nirappil et Dan Keating", poursuit le Washington Post.

 

 "Nous ne pouvons plus dire qu'il s'agit d'une pandémie de non vaccinés", a déclaré Cox à The Health 202.

 

(Fin de citation)

Le dernier argument pro vax arm tombe inexorablement (for true and humane medicine Twitter). 

Add. Prof Shmuel C. Shapira MD MPH Tawitter 4:43 PM · 25 nov. 2022 : "Selon un rapport récent de Public Health England, les personnes vaccinées sont plus nombreuses à mourir du COVID que les personnes non vaccinées." 

SOURCES

 

(1) https://www.cdc.gov/vaccines/covid-19/effectiveness-research/protocols.html

(2) https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#rates-by-vaccine-status

(3) https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/effectiveness/monitoring.html

(4) https://data.cdc.gov/Public-Health-Surveillance/Rates-of-COVID-19-Cases-or-Deaths-by-Age-Group-and/d6p8-wqjm

(5) https://www.washingtonpost.com/politics/2022/11/23/vaccinated-people-now-make-up-majority-covid-deaths/

 

 

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4 novembre 2022 5 04 /11 /novembre /2022 21:14

De plus en plus de médecins tirent la sonnette d’alarme – Mystérieuse augmentation des décès…

De plus en plus de médecins tirent la sonnette d’alarme – Mystérieuse augmentation des décès…

 

4 novembre 2022

 

 

Les médecins norvégiens s'inquiètent de la situation.

 

Il se passe quelque chose d'étrange que les médias grand public ne rapportent pas. Beaucoup de gens meurent et les médecins ne savent pas pourquoi.

 

Cependant, ils savent une chose. Cela ne se produit pas seulement dans un pays. Cela se passe dans de nombreux pays en même temps. Partout en Europe, les taux de mortalité sont très élevés cette année (alors que les taux de natalité ont aussi mystérieusement chuté cette année).

 

Et bon nombre des décès en excès ne sont pas liés à Covid.

 

Les médecins et les hôpitaux norvégiens tirent maintenant la sonnette d'alarme à propos d'une mystérieuse augmentation du nombre de patients, et ils n'ont pas de Covid.

 

Nous n'avons jamais moins de 100 patients par jour. Ce sont des adultes avec toutes sortes de maux. Nous ne comprenons pas pourquoi", déclare Jørn Einar Rasmussen, directeur de l'Organisation norvégienne pour la médecine d'urgence.

 

C'est choquant.

 

La Norvège a un taux de mortalité supérieur de plus de 10% à la normale cette année. Ce n'est pas normal !

 

En fait, c'est tellement grave que le démographe de Statistics Norway, Anders Sønstebø, a averti que l'espérance de vie pourrait en fait chuter cette année - la première fois depuis 1997.

 

Mais ce n'est pas seulement le cas en Norvège.

 

Dans toute l'Europe, la surmortalité est choquante : la Grèce a enregistré 24,3 % de décès de plus que la normale en août de cette année. En Finlande, le taux de surmortalité était de 16,3 %. En Allemagne, le taux de surmortalité était de 16,5 %.

 

C'est insensé. Qu'est-ce qui se passe ici?

 

Il y a quelques mois, j'ai écrit un article sur ce sujet, notant qu'en une seule semaine cet été en Europe, il y a eu un nombre choquant de 10 000 décès non liés au Covid par rapport à l'année dernière. C'est vraiment mauvais. Vous pouvez lire mon article précédent à ce sujet ici .

 

Et ça n'a pas l'air bon.

 

Il y a maintenant plus de 1 000 décès non liés à la covidose en une seule semaine en Angleterre et au Pays de Galles. Quelle est la raison pour ça?

 

Après d'innombrables heures de recherche, je pense avoir trouvé des réponses qui pourraient vous choquer.

 

Il y a un problème de santé particulier qui a considérablement augmenté ces derniers temps et qui semble être un facteur majeur du taux de mortalité excessif.

 

Presque personne dans les médias grand public n'en parle, alors je vais le faire.

 

Regardons de plus près pour voir si nous pouvons comprendre ce qui se passe...

 

J'ai passé beaucoup de temps à rechercher et à écrire pour cette partie, elle est donc exclusive à mes abonnés payants. Si vous n'avez pas encore d'abonnement payant, envisagez d'en devenir un, car cela m'aide à continuer à écrire des articles importants comme celui-ci, et vous bénéficiez également d'un accès exclusif à tous mes articles de fond. Votre soutien est grandement apprécié et m'aide beaucoup, et ne manquez pas la suite de cet article !

 

Commençons donc par un autre regard sur le taux de mortalité gonflé et comparons-le au nombre de personnes décédées de Covid. On sait déjà que le médecin norvégien a affirmé que les patients qu'il soigne n'ont aucun lien avec le Covid. Pourtant, il remarque une augmentation du nombre de patients, et il ne sait pas pourquoi.

 

Regardons le taux de surmortalité.

 

Voici une carte de l'UE montrant la surmortalité pour le mois d'août 2022 par rapport aux décès mensuels moyens des années précédant la pandémie.

 

Capture d'écran de ec.europa.eu/eurostat

Waouh, c'est mauvais. Nous avons des taux de surmortalité extrêmement élevés dans toute l'Europe. Cela se produit non seulement dans un pays, mais dans TOUS les pays en même temps. Quelques pays qui se distinguent par une surmortalité particulièrement élevée :

 

Finlande : 16,3 %.

Grèce : 24,3 %.

Allemagne : 16,5 %

Île : 17,6 %.

En revanche, d'autres pays comme la France, la Pologne et la Norvège ont une surmortalité d'un peu plus de 10 %. Seuls quelques pays, principalement en Europe de l'Est, ont des taux relativement bas. La Hongrie est à 2,4% et la Slovaquie à 3,9%.

 

Le nombre total de décès en excès à travers l'Europe est en effet très inquiétant. Jusqu'à présent cette année, 283 457 décès supplémentaires ont été enregistrés en Europe. Ce nombre est supérieur à celui des années pandémiques 2020 et 2021, avec 257 760 décès excédentaires enregistrés en 2021 sur la même période.

 

Capture d'écran de l'EuroMOMO (euromomo.eu) 2022

Alors pourquoi plus de personnes meurent-elles maintenant, même si peu de personnes meurent de Covid et que tout le monde est vacciné ?

 

Il y a des quantités folles de décès excessifs à travers l'Europe. Quelle est la raison pour ça? Eh bien, j'ai peut-être trouvé des informations à ce sujet...

 

Augmentation massive des crises cardiaques.

 

Une nouvelle étude évaluée par des pairs de Cedars Sinai montre que les États-Unis ont connu une augmentation sans précédent des crises cardiaques mortelles au cours des années pandémiques, les jeunes groupes d'âge étant les plus durement touchés.

 

Entre le 1er avril 2020 et le 31 mars 2021, la première année de la pandémie, il y a eu une augmentation de 14 % des décès par crise cardiaque par rapport à l'année précédente.

 

Cependant, au cours de la deuxième année de la pandémie, il y a eu une augmentation choquante de 29,9 % des crises cardiaques mortelles chez les jeunes adultes âgés de 25 à 44 ans.

 

Nous savons donc que les crises cardiaques ont considérablement augmenté, mais pourquoi ? Et pourquoi y a-t-il une si forte augmentation chez les jeunes, un groupe d'âge où les crises cardiaques ne sont pas très courantes. Eh bien, selon Cedars Sinai, il y a plusieurs explications...

 

La première est que cela a quelque chose à voir avec la maladie de Covid elle-même. Covid semble causer des problèmes cardiaques et cardiovasculaires dans certains cas, ce qu'un cardiologue renommé en Norvège m'a également confirmé (mais il a également dit qu'autre chose provoquait également des problèmes cardiaques…).

 

Je connais aussi personnellement des membres de ma famille qui ont eu des problèmes cardiovasculaires après avoir pris Covid, donc je pense certainement que cela expliquerait une partie de l'augmentation.

 

Et cela aurait aussi du sens. Beaucoup de gens soupçonnent depuis longtemps que Covid est né dans un laboratoire. Bien sûr, vous ne pouviez pas dire cela. Mais maintenant, vous êtes soudainement autorisé à le dire, car un nouveau rapport du Sénat américain indique que la théorie des fuites de laboratoire est l'origine la plus probable de Covid.

 

Si Covid est né dans un laboratoire, il serait logique qu'il puisse causer des problèmes inattendus et étranges, inhabituels avec d'autres maladies comme la grippe. Surtout si c'est une maladie d'origine humaine. Mais cela ne signifie pas que nous devrions tous avoir peur, comme nous le disent les médias. Au contraire, nous devons reprendre une vie normale et ne jamais oublier la tyrannie qui a eu lieu.

 

Ceux qui sacrifient la liberté pour la sécurité n'en auront pas. Nous avons eu des confinements pendant plusieurs années et pourtant ils sont tous devenus gratuits.

 

Nouvelles indépendantes…

 

Je peux vous dire que j'ai eu des problèmes de palpitations cardiaques ces derniers temps. Cela m'inquiétait un peu, alors j'ai pris rendez-vous avec l'un des meilleurs cardiologues de Norvège. Je ne révélerai pas son nom mais je peux vous dire qu'il est l'un des meilleurs du pays.

 

Je me suis donc rendu à la clinique pour faire vérifier mon cœur, avec un échocardiogramme, un électrocardiogramme et un test d'effort pour l'exercice. Le programme complet.

 

L'une des premières choses qu'il m'a demandées lors du rendez-vous était de savoir si j'avais pris le tu-sais-quoi, car il m'a dit que cela et Covid pourraient être à l'origine de ces problèmes. Gardez à l'esprit que c'est l'un des meilleurs cardiologues de Norvège qui m'a dit cela, ce n'est pas quelque chose que je dis.

 

Quant à mes arythmies, heureusement, elles ont été diagnostiquées comme bénignes et n'étaient pas préoccupantes. C'est une bonne nouvelle pour moi.

 

Pour en revenir au rapport Cedars Sinai, une autre explication qu'ils donnent est que l'augmentation des problèmes cardiaques peut être liée à "des défis psychologiques et sociaux dans le contexte de la pandémie". Autrement dit, ils parlent de fermetures, d'assignations à résidence et de pertes d'emplois.

 

C'est étrange que l'actualité en parle à peine, quel est le vrai coût des fermetures ? Combien de personnes ont développé des problèmes cardiaques en raison du stress d'avoir été enfermées chez elles pendant des mois sans possibilité de socialiser ou de faire de l'exercice ?

 

Et autre chose devrait être considéré. S'il est vrai que Covid peut causer des problèmes cardiaques, y a-t-il autre chose, quelque chose d'artificiel conçu pour imiter Covid qui pourrait causer les mêmes problèmes, quelque chose que presque tout le monde a eu ?

 

Surmortalité inquiétante en Angleterre.

 

Il est rapporté que les décès dus aux arythmies cardiaques sont probablement une des principales raisons de la mystérieuse augmentation des taux de surmortalité en Angleterre et au Pays de Galles.

 

Examinons d'abord le taux de surmortalité. Voici les dernières statistiques pour la semaine terminée le 14 octobre.

 

Capture d'écran du site Web du gouvernement britannique.

Nous voyons donc qu'en une semaine seulement, il y a eu 1 608 décès en excès, soit 15,9 % de plus que la normale. Seuls 4,8% de tous les décès étaient dus au Covid (565 personnes). A noter que dans 66,2% de ces décès, le Covid était la cause réelle du décès.

 

Ainsi, dans près de 34% des décès liés à Covid, Covid ne semble pas être la principale cause de décès. Donc, si nous regardons simplement le nombre de personnes décédées avec Covid comme cause de décès, c'était 374 décès. C'est important. Mais soyons prudents et utilisons le chiffre de 565 décès où Covid était un facteur.

 

Vient maintenant la partie intéressante. Sur les 1 608 décès excédentaires, seuls 565 étaient liés à Covid, ce qui signifie qu'il y a eu 1 043 décès excédentaires non liés à Covid en une seule semaine.

 

Plus de 1 000 décès supplémentaires non liés au Covid en Angleterre et au Pays de Galles en une seule semaine. Qu'est-ce qui se passe ici? Des gens meurent, et pas à cause de Covid, comme le préviennent les médecins norvégiens.

 

Selon les statistiques, de nombreuses personnes meurent à domicile, avec 26,8 % de personnes de plus que la normale. 14,3% au-dessus de la normale sont décédés dans les hôpitaux et 10,6% au-dessus de la normale sont décédés dans des maisons de retraite.

 

Les décès en excès ne sont pas principalement dus à Covid. En juin, il y a eu 3 516 décès excédentaires, dont 82% n'étaient pas liés à Covid.

 

Pourquoi plus de gens meurent chez eux ? Cela semble indiquer que davantage de personnes meurent subitement. Nous avons vu beaucoup de reportages dans les médias ces derniers temps sur des personnes décédées soudainement et sans explication, sans parler des nombreux athlètes qui se sont soudainement effondrés en jouant. Il est clair qu'il se passe quelque chose d'étrange qui n'est pas normal.

 

Le nombre d'arythmies cardiaques augmente rapidement.

 

Quelle est donc la cause de ce nombre excessif de décès que nous constatons ? Eh bien, il semble que les problèmes cardiaques soient une raison majeure, ce qui serait cohérent avec tous les athlètes dont nous avons entendu parler qui s'effondrent avec des crises cardiaques.

 

Les décès dus à l'arythmie cardiaque avaient le deuxième taux de surmortalité le plus élevé en Angleterre et au Pays de Galles en mars et avril de cette année. En mai, le nombre de décès dus à l'arythmie cardiaque était de 39 % et en juin, il était de 17,9 % supérieur à la normale.

 

Les mois de mars, avril et mai ont vu une augmentation des décès dus aux arythmies cardiaques, principalement chez les plus de 80 ans », a déclaré Sarah Caul de l'ONS.

 

Cela ressemble à ce dont nous parlions plus tôt aux États-Unis, où il y a eu une augmentation spectaculaire des crises cardiaques ces derniers temps.

 

Si ces problèmes se produisaient dans un seul pays, on pourrait conclure qu'il y a une anomalie. Mais lorsque la même chose se produit dans différents pays d'outre-Atlantique, il semble y avoir une tendance, quelque chose d'étrange se passe. Quel est le facteur commun ici? Sommes-nous même autorisés à poser cette question?

 

Vous souvenez-vous de la fois où on nous a dit de nous enfermer et de rester à la maison pour sauver notre grand-mère ? Si cela ne faisait que sauver une vie, cela en valait la peine. Mais maintenant, à travers l'Europe, des milliers et des milliers de plus meurent chaque semaine que la normale et personne ne semble plus s'en soucier, du moins pas les médias. Ceci est largement ignoré. Des gens meurent, leur vie vaut autant que celle de leur grand-mère il y a deux ans.

 

Pourquoi les gouvernements n'ordonnent-ils pas des enquêtes sur les causes de ces problèmes cardiaques ? Pourquoi les médias ne posent-ils pas de questions et ne tiennent-ils pas ceux qui sont au pouvoir responsables ? Tant de questions, si peu de réponses.

 

La vérité est qu'ils ne veulent pas, sinon ils l'auraient fait.

 

Vous souvenez-vous du médecin norvégien qui a tiré la sonnette d'alarme sur la mystérieuse augmentation du nombre de patients ? Une interview de lui a même été publiée sur la radio d'État norvégienne. De plus en plus de personnes sont admises aux urgences des hôpitaux et de plus en plus de personnes meurent. Cela a incité les Norvégiens à spéculer si le "vous-savez-quoi" en était la cause, et de nombreux Norvégiens se sont tournés vers les réseaux sociaux pour poser des questions.

 

Espen Nakstad, le directeur adjoint de l'Autorité sanitaire norvégienne, a bien sûr immédiatement réfuté cela ! Il dit que l'augmentation des hospitalisations d'urgence est plus importante dans le sud de la Norvège que dans le nord du pays. Donc ça ne peut pas être à cause du vaccin, dit-il.

 

Son explication est que la population norvégienne a augmenté et que, par conséquent, davantage de personnes sont hospitalisées et meurent.

 

Plus de questions à se poser, l'expert a parlé !

 

Par ailleurs, l'Agence norvégienne des médicaments vient de répertorier les "saignements menstruels abondants" comme effet secondaire du vaccin, avec 5000 femmes signalant des saignements. Considérez que la population de la Norvège n'est que de 5,4 millions de personnes. Combien d'entre elles sont des femmes en âge de menstruer ? Pas tant que ça. 5 000 est un nombre important.

 

Une autre nouvelle est que le taux de natalité a mystérieusement chuté cette année, tandis que le nombre de décès excessifs a mystérieusement augmenté.

 

Le nombre de décès en excès est si élevé que les médecins tirent désormais la sonnette d'alarme. Les taux de natalité ont mystérieusement chuté partout dans le monde en même temps.

 

Les problèmes cardiaques sont un facteur majeur de la mystérieuse augmentation du taux de mortalité.

 

C'est inquiétant et une enquête plus approfondie doit être menée pour savoir exactement ce qui se passe ici, mais je doute fort que cela se produise parce que les raisons...

 

C'est une tragédie à grande échelle et elle est ignorée.

 

SOURCE: LES MÉDECINS TIRENT LA SONNETTE D'ALARME - MYSTÉRIEUSE AUGMENTATION DES DÉCÈS EXCESSIFS

 

https://uncutnews.ch/immer-mehr-aerzte-schlagen-alarm-mysterioeser-anstieg-der-sterbefaelle/

____________

Note du Blog Christ-Roi.

 

Un début de réponse ? Le PDG de Pfizer lors d'une réunion du WEF (World Economic Forum, Forum économique mondial) avait déclaré : "Notre rêve et notre objectif est de réduire la population humaine de 50% d'ici 2023".

 

 

Plusieurs tweets ces derniers jours évoquent ce drame en cours. Dans de nombreux pays vaccinés en même temps, il y a une surmortalité très élevée cette année (dans le même temps, le taux de natalité s'effondre aussi mystérieusement cette année).

Sur cette surmortalité les députés Européens commencent à se poser des questions :

 

 

***

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30 septembre 2022 5 30 /09 /septembre /2022 16:24
Histoire du Covid. La vérité sur la pandémie la plus manipulée de l'histoire de l'humanité

Source: Marco Tosatti 

 

https://www.marcotosatti.com/2022/09/29/covid-story-la-verita-sulla-pandemia-piu-manipolata-della-storia-umana/

 

29 septembre 2022

 

(Traduction)

 

Marco Tosatti

Chers amis et ennemis de Stilum Curiae, je pense qu'il est intéressant d'offrir à votre attention cet article écrit par Russel L. Blaylock, neurochirurgien américain, spécialisé dans la recherche en neurochirurgie, car il représente, à ma connaissance, le panorama le plus exhaustif des mécanismes qui ont été mis en place ces deux dernières années, et notamment des mensonges propagés diffusés violemment. Notez l'argumentation très riche de notes. Et pour passer des faits globaux aux exemples minimes, hier un ami de l'inspecteur PS, tridosato, m'a téléphoné en me disant qu'il avait pris l'injection Covid pour la deuxième fois cette année... Et le cirque continue parlant de quatrième et de cinquième dose ! Bonne lecture et diffusion.

 

§§§

 

La pandémie de COVID-19 est l'un des événements liés aux maladies infectieuses les plus manipulés de l'histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flot incessant conduit par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales [3,6,57]. [Nous avons été témoins d'une longue série d'intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris d'attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins qui refusent de participer au meurtre de leurs patients, et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des individus non qualifiés disposant d'une richesse et une influence énormes.

 

Pour la première fois dans l'histoire américaine, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d'hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les soins médicaux non pas sur la base d'informations précises, scientifiquement fondées ou même basées sur l'expérience, mais plutôt pour forcer l'acceptation de conditions spéciales de soin et de "prévention" - y compris le remdesivir, l'utilisation de respirateurs et, enfin, une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l'histoire des soins médicaux, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l'expérience des médecins qui traitent avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt d'individus et de bureaucraties qui n'ont jamais traité un seul patient - dont Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, CDC, OMS, les responsables de la santé publique des États et les administrateurs d'hôpitaux [23,38].

 

Les médias (TV, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les commissions médicales d'État et les propriétaires de médias sociaux se sont identifiés comme la seule source d'information sur cette soi-disant "pandémie". Des sites Web ont été supprimés, des cliniciens et des experts scientifiques hautement accrédités dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toutes les informations dissidentes ont été qualifiées de "désinformation" et de "mensonges dangereux", même lorsqu'elles proviennent d'éminents experts en les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l'épidémiologie. Ces obscurcissements de la vérité se produisent également lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde.

 

Incroyablement, même des personnes comme le Dr Michael Yeadon, ancien scientifique en chef et vice-président de la division scientifique de Pfizer Pharmaceutical Company au Royaume-Uni, qui a accusé la société de produire un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorées et diabolisées. De plus, avec d'autres scientifiques hautement qualifiés, il a déclaré que personne ne devrait prendre ce vaccin.

 

Le Dr Peter McCullough, l'un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2 000 patients COVID en utilisant un protocole de traitement précoce (que les soi-disant experts ont complètement ignoré), a été victime d'une agression particulièrement féroce par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, faisant état d'une réduction de 80 % des hospitalisations et de 75 % des décès grâce au recours à un traitement précoce.[44] Malgré cela, il fait l'objet d'une série d'attaques incessantes de la part de contrôleurs de l'information, dont aucun n'a traité un seul patient.

 

Ni Anthony Fauci, ni le CDC, ni l'OMS, ni aucune institution médicale gouvernementale n'ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l'hydratation et l'appel d'une ambulance en cas de difficulté respiratoire. C'est sans précédent dans toute l'histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir de graves complications. Non seulement ces organisations médicales et leurs serviteurs fédéraux n'ont même pas proposé un traitement précoce, mais ils ont attaqué quiconque tentait d'initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition : perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de la réputation et même arrestation [2]

 

Un bon exemple de cet outrage à la liberté d'expression et à la fourniture d'informations sur le consentement éclairé est la récente suspension de la licence médicale du Dr Meryl Nass par la Maine Medical Association et l'ordre de lui faire subir une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l'ivermectine et partagé son expérience dans [9,65] Je connais personnellement le Dr Nass et je peux témoigner de son intégrité, de son intelligence et de son dévouement à la vérité. Ses références scientifiques sont sans faille. Ce comportement d'une commission médicale rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l'époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

 

Une autre tactique sans précédent consiste à retirer les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs et de réviseurs de revues et à retirer leurs articles scientifiques des revues, même après que ces articles ont été imprimés. Jusqu'à cet événement pandémique, je n'avais jamais vu autant d'articles de magazines se rétracter, dont la plupart faisaient la promotion d'alternatives au dogme officiel, surtout s'il s'agissait d'articles remettant en cause la sécurité des vaccins. Habituellement, une étude ou un article soumis est examiné par des experts dans le domaine, ce que l'on appelle l'examen par les pairs. Ces examens peuvent être assez intensifs et minutieux dans les détails, insistant pour que toutes les erreurs dans l'article soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu'une fraude ou d'autres problèmes graves cachés ne soient découverts après la publication, l'article reste dans la littérature scientifique.

 

Aujourd'hui, nous voyons un nombre croissant d'excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts du domaine, qui sont retirés par les principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en cause les dogmes acceptés par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l'efficacité des vaccins [12,63]. Ces revues dépendent de la publicité importante faite par les entreprises pharmaceutiques pour leurs revenus. Il y a eu plusieurs cas où de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour retirer des articles qui remettaient en question de quelque manière que ce soit les produits de ces sociétés.[13,34,35]

 

Pire encore est la conception réelle d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques impliquant de fausses études, les soi-disant articles fantômes. [49,64] Richard Horton est cité par le Guardian comme disant que "les magazines se sont transformés en opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique". [13:63] Des articles "fantômes" frauduleux avérés, parrainés par des géants pharmaceutiques, sont régulièrement parus dans des revues cliniques de haut niveau, telles que JAMA et le New England Journal of Medicine, pour ne jamais être supprimés malgré des abus scientifiques et des manipulations de données prouvés. [49,63]

 

Les articles écrits par des fantômes impliquent le recours à des cabinets de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées à l'appui d'un produit pharmaceutique, puis à les faire accepter par des revues cliniques à fort impact - les revues les plus susceptibles d'influencer les décisions cliniques de médecins. De plus, ils fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés.

 

 

The Guardian a trouvé 250 entreprises engagées dans cette activité d'écriture fantôme. L'étape finale de la conception de ces articles pour publication dans les revues les plus prestigieuses consiste à recruter des experts médicaux reconnus issus d'institutions prestigieuses pour ajouter leur nom à ces articles. Ces auteurs médicaux recrutés sont rémunérés lorsqu'ils acceptent d'ajouter leur nom à ces articles pré-écrits ou le font pour le prestige d'avoir leur nom dans un article d'une revue médicale prestigieuse [11].

 

L'observation par des experts dans le domaine de l'édition médicale que rien n'a été fait pour mettre fin à cet abus est d'une importance capitale. Les experts en éthique médicale se sont plaints qu'en raison de cette pratique répandue, "on ne peut faire confiance à rien". Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d'informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les ignorent, et de nombreuses revues rendent la divulgation plus difficile en exigeant que le lecteur trouve les déclarations de divulgation ailleurs. De nombreuses revues ne vérifient pas ces affirmations, et les omissions des auteurs sont courantes et ne sont pas punies.

 

Quant aux informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias sont sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou autres qui profitent de cette "pandémie". Leurs histoires sont toutes les mêmes, tant dans le contenu que dans la formulation. Chaque jour, des dissimulations orchestrées se produisent et des données massives sont cachées au public, exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l'information. Toutes les données qui proviennent des médias nationaux (TV, journaux et magazines), ainsi que les informations locales que vous regardez tous les jours, ne proviennent que de sources "officielles", dont la plupart sont des mensonges, des distorsions ou sont complètement fabriquées de toutes pièces en visant à tromper le public.

 

Les médias télévisés reçoivent l'essentiel du budget publicitaire des sociétés pharmaceutiques internationales : cela crée une influence irrésistible en rapportant toutes les études inventées à l'appui de leurs vaccins et autres soi-disant traitements [14]. Les sociétés pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité rien qu'en 2020. [13,14] La publicité télévisée des sociétés pharmaceutiques s'élevait à 4,58 milliards de dollars, soit 75 % de leur budget. Cela signifie avoir beaucoup d'influence et de contrôle sur les médias. Les experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont interdits de l'exposition médiatique et des médias sociaux s'ils devaient s'écarter de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions inventés par les fabricants de ces vaccins. En outre, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions de dollars en publicité sur les médias sociaux, Pfizer étant en tête avec 55 millions de dollars en 2020[14].

 

Si ces attaques contre la liberté d'expression sont suffisamment terrifiantes, pire encore est le contrôle pratiquement universel que les administrateurs d'hôpitaux ont exercé sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux. Ces employés indiquent maintenant aux médecins les protocoles de traitement qu'ils doivent suivre et les traitements qu'ils ne doivent pas utiliser, sans tenir compte de la nocivité des traitements "approuvés" et des avantages des traitements "non approuvés"[33,57].

 

Jamais dans l'histoire de la médecine américaine les administrateurs d'hôpitaux n'ont dicté à leurs médecins comment pratiquer la médecine et quels médicaments utiliser. Le CDC n'a pas le pouvoir d'imposer un traitement médical aux hôpitaux ou aux médecins. Pourtant, la plupart des médecins ont obéi sans opposer la moindre résistance.

 

La Federal Care Act a encouragé cette catastrophe humaine en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu'à 39 000 $ pour chaque patient en soins intensifs qui avait appliqué des respirateurs, même s'il était évident dès le départ que les respirateurs étaient l'une des principales causes de décès de ces patients confiants et sans méfiance. De plus, les hôpitaux ont reçu 12 000 $ pour chaque patient admis en soins intensifs - ce qui explique, à mon avis et à d'autres, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout leur possible pour empêcher le traitement qui pourrait sauver des vies.[46] Laisser les patients se détériorer au point de devoir être hospitalisés signifiait beaucoup d'argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d'hôpitaux sont menacés de faillite et beaucoup ont fermé leurs portes, avant même cette "pandémie"[50]. La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des entreprises nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires.[10]

 

Il est également intéressant de noter qu'avec l'arrivée de cette "pandémie", nous avons assisté à une augmentation des chaînes d'hôpitaux qui ont acheté un certain nombre de ces hôpitaux financièrement à risque [1,54]. Des milliards d'aides fédérales ont été constatées. Le Covid est utilisé par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement à risque, augmentant encore le pouvoir de la médecine d'entreprise sur l'indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux ont du mal à trouver d'autres membres du personnel hospitalier à rejoindre, car eux aussi peuvent appartenir au même géant. En conséquence, les politiques de mandat de vaccination impliquent un nombre beaucoup plus important d'employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de rejeter un vaccin expérimental dangereux et essentiellement non testé [51,57]. La Mayo Clinic a agi de la sorte malgré le fait que beaucoup de ces employés travaillaient au pire de l'épidémie et ont été licenciés alors que la variante Omicron est la souche dominante du virus, qu'elle a le pouvoir pathogène d'un simple rhume pour la plupart des gens et que les vaccins sont inefficaces pour prévenir l'infection.

 

De plus, il a été démontré qu'une personne vaccinée asymptomatique avait un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu'une personne infectée non vaccinée. Si le but du mandat de vaccination est de prévenir la propagation du virus entre le personnel hospitalier et les patients, alors ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non vaccinés. La différence est qu'un malade non vacciné n'irait pas travailler, alors que le vacciné asymptomatique le ferait.

 

En outre, il a été démontré qu'une personne vaccinée asymptomatique présentait un titre nasopharyngé du virus tout aussi élevé qu'une personne infectée non vaccinée. Si l'objectif du mandat de vaccination est de prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non-vaccinés. La différence est qu'une personne malade non vaccinée n'irait pas au travail, tandis que les vaccinés asymptomatiques le feraient.

 

Ce que nous savons, c'est que les principaux centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions du NIH et en fonds des sociétés pharmaceutiques qui fabriquent ces "vaccins" expérimentaux. À mon avis, c'est la véritable considération qui motive ces politiques. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs qui ont imposé ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

 

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus grave en raison des mandats de vaccination des hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier des infirmières, qui en résultent, qui refusent de se faire vacciner de force [17.51] C'est sans précédent dans l'histoire des soins médicaux. Les médecins des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec eux et leurs familles pour initier ces traitements. Les organisations externes, telles que le CDC, n'ont pas le pouvoir d'intervenir dans ces traitements, ce qui expose les patients à de graves erreurs de la part d'une organisation qui n'a jamais traité un seul patient atteint de COVID-19.

 

Lorsque la pandémie a commencé, le CDC a ordonné aux hôpitaux de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si un traitement adéquat avait été autorisé [43,44]. La plupart de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient pu utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l'ivermectine, l'hydroxychloroquine et un certain nombre d'autres médicaments et composés naturels sûrs. On a estimé, sur la base des résultats obtenus par les médecins qui ont traité avec succès le plus grand nombre de patients atteints du Covid, que sur les 800 000 personnes qui, selon les rapports, sont mortes du Covid, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais dans de nombreux cas, ils auraient pu retrouver leur état de santé antérieur à l'infection si un traitement précoce obligatoire avec ces méthodes éprouvées avait été utilisé. Ne pas traiter tôt constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 personnes mourraient en fait, bien moins que celles qui sont mortes aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des commissions médicales qui ont refusé de défendre leurs patients. Selon des études sur le traitement précoce de milliers de patients par des médecins courageux et attentionnés, soixante-quinze à quatre-vingts pour cent des décès auraient pu être évités.[43,44]

 

Incroyablement, ces médecins expérimentés ont été empêchés de sauver ces personnes infectées par le Covid-19. Ce devrait être un embarras pour la profession médicale que tant de médecins aient suivi sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

 

Il faut aussi garder à l'esprit que cet événement n'a jamais rempli les critères d'une pandémie. L'Organisation mondiale de la santé a changé les critères pour en faire une pandémie. Pour être qualifié de pandémie, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des gens, ce qui ne s'est pas produit (avec un taux de survie de 99,98%), et il ne doit avoir aucun traitement connu - quelque chose que ce virus avait en effet avec un nombre croissant de traitements très réussis. 

 

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette "pandémie" inventée n'ont jamais fait leurs preuves, comme le masquage public, les fermetures et la distanciation sociale. Une série d'études minutieuses menées au cours des saisons grippales précédentes a montré que les masques, quels qu'ils soient, n'ont jamais empêché la propagation du virus au sein de la population [60].

 

Au contraire, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient en fait le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d'autres facteurs, comme l'observation que les gens enfreignaient constamment la technique stérile en touchant le masque, en le retirant de manière inappropriée et en laissant échapper des aérosols infectieux sur les bords du masque. En outre, des masques ont été jetés dans des parkings, sur des trottoirs, posés sur des tables dans des restaurants et mis dans des poches et des sacs.

 

Quelques minutes après l'utilisation du masque, un certain nombre de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, exposant les personnes immunodéprimées à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite.[16] Une étude menée par des chercheurs de l'Université de Floride a mis en culture plus de 11 bactéries pathogènes à l'intérieur du masque porté par les écoliers.[40]

 

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de contracter le virus ou de le transmettre.

 

Par ailleurs, il était également connu que le port du masque pendant plus de 4 heures (comme dans toutes les écoles) provoque une hypoxie importante (faible taux d'oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux élevé de CO2), qui ont de nombreux effets délétères sur la santé, y compris le développement altéré du cerveau de l'enfant.[4,72,52]

 

LireMasques : les effets toxiques sur la santé d'un excès de dioxyde de carbone

Masques : Hypoxie, anoxie et hypercapnie. Les effets néfastes pour la santé

Les masques causent des dommages au cerveau, dit une neurologue

 

Le développement du cerveau est connu pour continuer même après l'école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la "pandémie" ont un QI nettement inférieur - pourtant, les conseils scolaires, les directeurs et les autres bureaucrates de l'éducation sont évidemment indifférents. [18]

 

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INSTRUMENTS DU COMMERCE D'ENDOCTRINATION

 

Les planificateurs de cette pandémie ont anticipé une réaction de l'opinion publique et que des questions très embarrassantes seraient posées. Pour éviter que cela ne se produise, les contrôleurs ont fourni une série de tactiques aux médias, l'une des plus utilisées était et est toujours l'arnaque du "fact check". A chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les "vérificateurs des faits" des médias ont répondu par l'accusation de "désinformation" et par une accusation infondée de "théorie du complot" qui a été, dans leur lexique, "démystifiée". On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs ou la source de leurs informations "démystifiées" : nous n'avions qu'à croire les "vérificateurs". Une récente affaire judiciaire a établi sous serment que les vérificateurs de faits de Facebook utilisaient les opinions de leur personnel et non de vrais experts pour vérifier les "faits".[59] Lorsque les sources ont été révélées, il s'agissait invariablement du CDC corrompu, de l'OMS ou d'Anthony Fauci ou simplement de leur opinion. Voici une liste de choses qui ont été qualifiées de "mythes" et de "désinformation" et qui se sont avérées plus tard vraies :

 

- Les personnes vaccinées asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les personnes infectées symptomatiques non vaccinées.

 

- Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.

 

- L'immunité naturelle est de loin supérieure à l'immunité vaccinale et très probablement à vie.

 

- Non seulement l'immunité vaccinale s'estompe après quelques mois, mais toutes les cellules immunitaires sont compromises pendant de longues périodes, exposant les vaccinés à un risque élevé d'infections et de cancer.

 

- Les vaccins COVID peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d'autres effets secondaires graves.

 

- Les défenseurs des vaccins appelleront à de nombreux rappels à mesure que chaque variant apparaîtra sur la scène.

 

- Fauci insistera sur le vaccin covid pour les jeunes enfants et même les nourrissons.

 

- Un passeport de vaccination sera exigé pour entrer dans une entreprise, prendre l'avion et utiliser les transports en commun.

 

- Il y aura des camps d'internement pour les non vaccinés (comme en Australie, en Autriche et au Canada).

 

- Les personnes non vaccinées se verront refuser du travail.

 

- Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions d'élite et les fabricants de vaccins.

 

- Pendant la pandémie, de nombreux hôpitaux étaient vides ou peu occupés.

 

Lire : "En 2020 seulement 2% des hospitalisations étaient liées au Covid, 5% en Réa" (ATIH - C-News - LCP) - "La peur a été instrumentalisée"

 

- La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau cellulaire, altérant la fonction de réparation de l'ADN cellulaire.

 

- Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup d'autres ont subi des dommages permanents.

 

- Un traitement rapide aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes décédées.

 

- La myocardite induite par le vaccin (initialement refusée) est un problème important et se résout en peu de temps.

 

- Des lots spéciaux mortels (lots) de ces vaccins sont mélangés à l'essentiel des autres vaccins Covid-19.

 

 

 

Beaucoup de ces affirmations de ceux qui s'opposent à ces vaccins apparaissent maintenant sur le site Web du CDC, la plupart d'entre elles étant encore identifiées comme des "mythes". Aujourd'hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant "mythes" était en réalité vrai. Beaucoup ont également été admis par le "saint des vaccins", Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même par notre président qui avait des problèmes cognitifs, qu'une fois le vaccin sorti, toutes les personnes vaccinées pouvaient enlever leur masque. Oops! Peu de temps après, on nous a dit que les personnes vaccinées avaient des concentrations élevées (titres) du virus dans le nez et la bouche (nasopharynx) et pouvaient transmettre le virus à d'autres personnes avec lesquelles elles entrent en contact, en particulier les membres de leur famille. Il est bon de remettre les masques, en effet, il est recommandé d'utiliser un double masque.

 

Une autre tactique des défenseurs des vaccins consiste à diaboliser ceux qui refusent de se faire vacciner pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l'esprit critique d'"anti-vaccins", de "négationnistes des vaccins", de "résistants aux vaccins", de "tueurs", d'"ennemis du bien commun" et de ceux qui prolongent la pandémie. J'ai été horrifié par les attaques féroces, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les réseaux sociaux lorsqu'un parent ou un proche raconte l'histoire de la terrible souffrance et de la mort subies par eux ou leurs proches à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu'ils sont heureux que leur proche soit mort ou que la personne vaccinée décédée soit un ennemi du bien pour avoir raconter l'événement et qu'ils devraient être bannis. C'est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et indique l'effondrement d'une société morale, décente et compatissante.

 

C'est déjà assez grave que le public soit si bas, mais les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d'hôpitaux, les associations médicales et les conseils médicaux se comportent d'une manière toute aussi dysfonctionnelle et cruelle.

 

LA LOGIQUE, LE RAISONNEMENT ET LES PREUVES SCIENTIFIQUES SE SONT PRODUITS DANS CET ÉVÉNEMENT

 

Les preuves scientifiques, les études minutieuses, l'expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un effet sur l'arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas! Les efforts draconiens pour vacciner tous les habitants de la planète se poursuivent (sauf l'élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés).[31,62]

 

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs en cours d'examen par la FDA, les décès autrement inexpliqués de 50 personnes ou moins entraînaient l'arrêt de la distribution du produit, comme cela s'est produit en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021 et 139 126 blessés graves (y compris les décès) pour la même période, il n'y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccination mortelle. [61] Pire encore, il n'y a pas d'enquête sérieuse menée par une agence gouvernementale pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et souffrent de blessures graves et permanentes à cause de ces vaccins [15, 67]. Ce que nous voyons, c'est une série continue de dissimulations et d'évasions de la part des fabricants de vaccins et de leurs promoteurs.

 

La guerre contre les médicaments et composés naturels efficaces, peu coûteux et très sûrs, qui se sont avérés sans aucun doute avoir sauvé des millions de vies dans le monde, s'est non seulement poursuivie, mais s'est intensifiée [32,34,43].

 

Les médecins sont informés qu'ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et que, s'ils le font, ils se verront retirés de l'hôpital, leur licence médicale sera retirée ou ils seront punis de nombreuses autres manières. De nombreuses pharmacies ont refusé de remplir des ordonnances d'lvermectine ou d'hydroxychloroquine, alors même que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans pour l'hydroxychloroquine et pendant des décennies pour l'ivermectine [33,36]. Ce sans précédent a été conçu par ceux qui veulent empêcher les méthodes alternatives de traitement, toutes basées sur la protection de l'expansion des vaccins. Plusieurs sociétés d'hydroxy-chloroquine ont accepté de vider leurs stocks de médicaments en les faisant don au Stock National Stratégique, rendant ce médicament beaucoup plus difficile à trouver.[33] Pourquoi le gouvernement aurait dû le faire alors que plus de 30 études bien menées ont montré que ce médicament a réduit les décès de 66% à 92% dans d'autres pays, comme l'Inde, l'Égypte, l'Argentine, la France, le Nigéria, l'Espagne, le Pérou, le Mexique et plus ?[23]

 

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent des millions sur ces vaccins.[48.15]

 

 

 

Pour bloquer davantage l'utilisation de ces médicaments, l'industrie pharmaceutique et Bill Gates / Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l'hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur [34]. Pour prouver cette thèse frauduleuse, les chercheurs ont administré aux patients covid les plus malades une dose quasi mortelle du médicament, à une dose bien supérieure à celle utilisée sur n'importe quel patient covid par les Drs Kory, McCullough et d'autres médecins "vrais" et compatissants qui étaient traitant réellement des patients covidiens.[23]

 


Pour bloquer davantage l'utilisation de ces médicaments, l'industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l'hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur. [34] Pour prouver cette affirmation frauduleuse, les chercheurs ont administré aux patients covidiens les plus malades une dose quasi mortelle du médicament, une dose beaucoup plus élevée que celle utilisée sur n'importe quel patient covidien par les docteurs Kory, McCullough et d'autres médecins "réels" et compatissants, des médecins qui traitaient réellement les patients covidiens.[23]

 

Les médias contrôlés et les cabots, bien sûr, ont martelé le public avec des histoires sur les effets mortels de l'hydroxy-chloroquine, le tout avec un air terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires sur les dangers de l'ivermectine se sont avérées fausses et certaines étaient incroyablement absurdes.[37,43]

 

L'attaque contre l'ivermectine a été encore plus féroce que celle contre l'hydroxychloroquine. Tout cela, et plus encore, est méticuleusement décrit dans l'excellent nouveau livre de Robert Kennedy Jr, The Real Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique.[32] Si vous êtes vraiment intéressé par la vérité et tout ce qui s'est passé depuis le début de cette atrocité, vous devez non seulement lire, mais aussi étudier attentivement ce livre. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets de manière très détaillée. C'est une tragédie humaine aux proportions bibliques, conçue par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l'histoire.

 

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et paralysées, non seulement par ce virus artificiel, mais aussi par le vaccin lui-même et les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour "contrôler la propagation de la pandémie". Il ne faut pas ignorer les "morts du désespoir" causées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. Des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers monde. Aux États-Unis seulement, sur les 800 000 décès signalés par les bureaucraties médicales, bien plus de 600 000 étaient le résultat de l'abandon intentionnel des soins précoces, du blocage de l'utilisation de médicaments hautement efficaces et sûrs, tels que l'hydroxychloroquine et l'ivermectine, et de l'utilisation forcée de traitements létaux, comme le remdesivir et l'utilisation de ventilateurs.

 

Lire : L'OMS déconseille le remdesivir dans le traitement des malades du Covid-19 hospitalisés, la commission europeenne ne veut pas faire annuler sa commande de remdesivir de 1 milliard auprès de Gilead

Remdesivir, Bamlanivilmab, Mulnipiravir, Discovery : Macron et Véran ont détourné des milliards d'euros d'argent public vers des intérêts privés

 

Comme si cela ne suffisait pas, en raison de l'obligation de vacciner tout le personnel hospitalier, des milliers d'infirmières et d'autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés [17,30,51], ce qui a entraîné une grave pénurie de ces agents de santé essentiels et une dangereuse réduction du nombre de lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. Aussi, comme le Lewis County Healthcare System, un système hospitalier spécialisé à Lowville, New York, a fermé sa maternité suite à la démission de 30 employés hospitaliers en raison de réglementations étatiques désastreuses sur les vaccins. L'ironie de toutes ces démissions est que les dirigeants ont accepté sans hésitation ces pertes massives de personnel, malgré les délires de souffrir d'un manque de personnel pendant une "crise". C'est particulièrement déconcertant quand on apprend que les vaccins n'ont pas empêché la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est extrêmement peu pathogène.

 

LES DANGERS DES VACCINS SONT DE PLUS EN PLUS RÉVÉLÉS PAR LA SCIENCE

 

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés et contraints au silence, un nombre croissant de personnes d'une grande intégrité et compétence se sont manifestées pour dire la vérité, que leurs vaccins sont mortels.

 

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d'être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests approfondis et un suivi approfondi. Ces nouveaux soi-disant vaccins ont été "testés" pendant seulement 2 mois et les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d'être tenus secrets. Le témoignage de certains participants à l'étude de 2 mois devant le sénateur Ron Johnson indique que pratiquement aucun suivi des participants à l'étude préalable à la libération n'a jamais été effectué[67]. Les complications des complications ont été ignorées, et malgré les promesses de Pfizer que toutes les factures médicales causées par les "vaccins" seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu'elles n'étaient pas payées.

 

Comme exemple de la tromperie de Pfizer et d'autres fabricants de vaccins à base d'ARNm, on peut citer le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l'étude de sécurité du vaccin Pfizer avant sa sortie. Lors de la présentation du sénateur Johnson aux familles des victimes du vaccin, la mère a raconté les crises récurrentes de l'enfant, qui est désormais confiné dans un fauteuil roulant, doit être alimenté par sonde et souffre de lésions cérébrales permanentes. Dans l'évaluation de l'innocuité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est appelé "douleur à l'estomac". Chaque personne a présenté des histoires similaires et terrifiantes.

 

Les Japonais ont eu recours à un procès en vertu de la loi sur la liberté d'information (FOIA) pour forcer Pfizer à publier l'étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cela reste secret est qu'il a prouvé que Pfizer avait menti au public et aux agences de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (le vecteur nano-lipidique enfermé dans l'ARNm). Pfizer a déclaré que le contenu du vaccin restait au site d'injection (l'épaule), alors qu'en fait sa propre étude a révélé qu'il se propageait rapidement dans tout le corps via la circulation sanguine dans les 48 heures.

 

L'étude a également révélé que ces nano-lipides mortels s'accumulaient à des concentrations très élevées dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des mâles et des femelles, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire important). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces nano-porteurs lipidiques se déposent également dans le cerveau.

 

Le pathologiste de l'Idaho, le Dr Ryan Cole, a signalé un pic spectaculaire de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté dans les médias). Elle a trouvé une incidence effroyablement élevée de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier de mélanomes hautement invasifs chez les jeunes et de cancers de l'utérus chez les femmes.[26] D'autres rapports d'activation tumorale précédemment contrôlée apparaissent chez des patients cancéreux vaccinés [47]. Aucune étude n'a été menée jusqu'à présent pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins celles financées par des subventions des NIH.

 

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l'étude de biodistribution pourrait compromettre la fertilité des jeunes femmes, modifier le cycle menstruel et augmenter le risque de cancer de l'ovaire. La forte concentration dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très préoccupant maintenant que les enfants à partir de 5 ans ont commencé à se faire vacciner. Aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19 n'a mené d'études à long terme, notamment concernant le risque d'induction de cancers. L'inflammation chronique est intimement liée à l'induction, à la croissance et à l'invasion du cancer, et les vaccins stimulent l'inflammation.

 

On dit aux patients cancéreux qu'ils doivent se faire vacciner avec ces vaccins mortels. Ceci, à mon avis, est fou. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine de pointe dans le noyau des cellules immunitaires (et éventuellement de nombreux types de cellules) et, une fois là-bas, inhibe deux enzymes de réparation de l'ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont la tâche est de réparer les dommages à l'ADN de la cellule [29] Les dommages à l'ADN non réparés jouent un rôle vital dans le cancer.

 

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l'ADN sont défectueuses. Ces malheureux développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers d'organes. Ici, nous avons un vaccin qui fait la même chose, mais dans une moindre mesure.

 

L'une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.

 

Il est à noter qu'aucune étude n'a jamais été menée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.

 

- Les effets à long terme n'ont jamais été testés

 

- n'ont jamais été testés pour l'induction de l'auto-immunité

 

- Ils n'ont jamais été correctement testés pour leur sécurité à n'importe quel stade de la grossesse.

 

- Aucune étude de suivi n'a été menée chez les enfants de femmes vaccinées.

 

- Il n'existe pas d'études à long terme sur les enfants de femmes vaccinées pendant la grossesse après leur accouchement (notamment concernant les stades de développement neurologique).

 

Les effets sur une longue liste de conditions médicales n'ont jamais été testés :

 

- Diabète

 

- cardiopathie

 

- Athérosclérose

 

- Maladies neurodégénératives

 

- Effets neuropsychiatriques

 

- Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie

 

- Fonction immunitaire à long terme

 

- Transmission verticale des défauts et perturbations

 

- Cancer

 

- Troubles auto-immuns

 

 

 

 

L'expérience passée avec les vaccins contre la grippe montre clairement que les études de sécurité menées par les chercheurs et les médecins cliniciens liés aux entreprises pharmaceutiques étaient essentiellement toutes mal faites ou délibérément conçues pour démontrer faussement la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de manière spectaculaire avec les fausses études susmentionnées conçues pour indiquer que l'hydroxychloroquine et l'ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser [34,36,37]. Ces fausses études ont causé des millions de décès et des désastres sanitaires majeurs dans le monde entier. Comme nous l'avons mentionné plus haut, 80 % des décès étaient inutiles et auraient pu être évités grâce à des médicaments bon marché, sûrs et réadaptés, ayant un très long historique de sécurité chez des millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie[43,44].

 

Il est plus qu’ironique que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé une série de vaccins mal testés qui ont entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse, lorsqu’on leur a demandé, était : "Nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce que c’était une pandémie mortelle." [28,46]

 

En 1986, le président Reagan a signé la National Childhood Vaccine Injury Act, qui offrait une protection complète aux fabricants de vaccins pharmaceutiques contre les poursuites pour blessures par les familles des personnes endommagées par le vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s'est prononcée en faveur des sociétés de vaccins, permettant effectivement aux fabricants de vaccins de produire et de distribuer des vaccins dangereux et souvent inefficaces à la population sans crainte de conséquences juridiques. Le tribunal a insisté sur un régime d'indemnisation des blessures causées par les vaccins qui ne versait qu'un nombre très limité de primes à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu'il est très difficile de recevoir une telle compensation. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de payer 3 597 primes à 19 098 personnes blessées par le vaccin, pour un total de 3,8 milliards de dollars. C'était avant l'introduction des vaccins Covid-19, dans lesquels les décès à eux seuls l'emportent sur tous les décès associés à tous les vaccins combinés sur une période de trente ans.

 

En 2018, le président Trump a signé la loi "right-to-try" qui autorise l'utilisation de médicaments expérimentaux et de tous les traitements non conventionnels en cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l'avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même avec le refus généralisé par les États d'autoriser l'utilisation de l'ivermectine, de l'hydroxychloroquine ou de toute autre méthode "officielle" non homologuée pour traiter même les cas terminaux de Covid-19, ces individus infâmes ont ignoré cette loi.

 

 

Curieusement, ils n'ont pas utilisé la même logique ou la même loi en ce qui concerne l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, qui ont toutes deux subi des tests de sécurité approfondis par plus de 30 essais cliniques de haute qualité et ont donné des rapports passionnants sur l'efficacité et la sécurité dans de nombreux Villages. De plus, nous avions un dossier d'utilisation de ces médicaments par des millions de personnes dans le monde, sur une période de 60 ans, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu'un groupe de personnes très puissant, en partenariat avec des conglomérats pharmaceutiques, ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option thérapeutique. Le livre de Kennedy illustre ce cas en utilisant de nombreuses preuves et citations [14,32].

 

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausses couches 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés[28]. En regardant son tableau des malformations fœtales, il a constaté une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse qu'avec tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l'American Academy of Obstetrics and Gynecology et l'American College of Obstetrics and Gynecology approuvent la sécurité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

 

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu un financement important de la société pharmaceutique Pfizer. L'American College of Obstetrics and Gynecology, au cours du seul quatrième trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 dollars de la seule société pharmaceutique Pfizer.[70] Le financement des subventions du NIH est beaucoup plus élevé.[20] La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou leurs programmes. Peter Duesberg, pour avoir osé remettre en question la théorie de Fauci sur le sida causé par le virus VIH, n'a reçu aucune des 30 demandes de subvention qu'il avait déposées après avoir rendu la nouvelle publique. Avant cet épisode, en tant que plus grande autorité mondiale sur les rétrovirus, il ne s'était jamais vu refuser une bourse du NIH [39]. C'est ainsi que fonctionne le système "corrompu", même si une grande partie de l'argent des bourses d'études provient de nos impôts.

DES LOTS DE VACCINS CHAUDS ET MORTELS 

 

Un chercheur de l'Université de Kingston à Londres a réalisé une analyse approfondie des données du VAER (un sous-département du CDC qui collecte des données volontaires sur les complications des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite de vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant vaccins eux-mêmes. Les vaccins sont produits en grandes quantités appelées lots. Le chercheur a découvert que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots, et qu'un lot sur 200 est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.

 

Il a examiné tous les vaccins produits, de Fizer, Moderna, Johnson et Johnson (Janssen), etc. Il a découvert que parmi les 200 lots de vaccins de Pfizer et d'autres fabricants, un lot sur les 200 était plus de 50 fois plus mortel que les autres lots de vaccins. Les autres lots de vaccins ont également causé des décès et des incapacités, mais pas dans une mesure significative. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les "vaccins" s'il s'agissait d'un événement involontaire. Cependant, il a révélé que 5% des vaccins étaient responsables de 90% des événements indésirables graves, y compris des décès. L'incidence des décès et des complications graves parmi ces "lots chauds" était supérieure de plus de 1000% à plusieurs milliers de points de pourcentage à celle de lots similaires plus sûrs. Si vous pensez que c'était un coup de chance, détrompez-vous. Ce n'est pas la première fois que des "lots chauds" ont été, à mon avis, délibérément produits et envoyés dans tout le pays, généralement pour des vaccins destinés aux enfants. Dans l'un de ces scandales, des "lots chauds" d'un vaccin se sont retrouvés dans un seul État et les dégâts ont été immédiatement visibles. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n'était pas pour retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de répandre les lots chauds dans tout le pays afin que les autorités ne voient pas l'effet mortel évident.

 

Tous les lots d'un vaccin sont numérotés, par exemple, Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. On a remarqué que les numéros de lot se terminaient par 20A ou 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A présentaient environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines et vingt ou trente pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes ont subi peu ou pas d'effets indésirables après avoir pris le vaccin, alors que d'autres ont été tuées ou ont subi des dommages graves et permanents. Pour consulter l'explication du chercheur, rendez-vous sur https://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/. À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du "vaccin" pour inclure des lots mortels.

 

 

J'ai connu et travaillé avec plusieurs personnes intéressées par la sécurité des vaccins et je peux vous dire que ce ne sont pas les méchants anti-vaccins qu'ils vous disent. Ce sont des gens de grands principes, moraux et compatissants, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau et des personnes qui ont étudié la question à fond. Robert Kennedy, Jr, Barbara Lou Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Dr Steve Kirsch et Dr Peter McCullough, Juste pour en nommer quelques-uns. Ces gens n'ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Ils sont violemment attaqués par les médias, les agences gouvernementales et l'élite des milliardaires qui pensent qu'ils doivent contrôler le monde et tous ses habitants.

 

POURQUOI FAUCI N'A-T-IL PAS VOULU FAIRE DES AUTOPSIES SUR CEUX DÉCÉDÉS APRÈS LA VACCINATION ?

 

De nombreux aspects de cette "pandémie" sont sans précédent dans l'histoire de la médecine. L'un des plus surprenants est qu'au plus fort de la pandémie, il y ait eu si peu d'autopsies, surtout complètes. Un virus mystérieux se propageait rapidement dans le monde, un groupe restreint de personnes dont le système immunitaire était affaibli tombaient gravement malades et beaucoup mouraient, et la seule façon d'obtenir rapidement le maximum de connaissances sur ce virus - une autopsie - était découragée.

 

Guerriero a noté qu'à la fin avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais seulement 16 autopsies ont été pratiquées et rapportées dans la littérature médicale.[24] Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, tandis que les 9 autres étaient partielles ou avec biopsie à l'aiguille ou biopsie incisionnelle. Ce n'est qu'après 170 000 morts du Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d'autopsies a été réalisée, soit plus d'une dizaine. Et ce n'est qu'après 280 000 décès et un mois de plus que la première série d'autopsies, environ 80, a été pratiquée.[22] Sperhake, en invitant sans aucun doute à réaliser des autopsies, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature, avec des microphotographies, est parue dans une revue médico-légale chinoise en février 2020. [41, 68] Sperhake a dit qu'il était confus quant à la raison pour laquelle il était réticent à effectuer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas des pathologistes. La littérature médicale était pleine d'appels de pathologistes pour que davantage d'autopsies soient effectuées.[58] Sperhake a également noté que l'Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) avait au moins initialement déconseillé de pratiquer des autopsies. Il savait également qu'à l'époque, 200 instituts d'autopsie participants aux États-Unis avaient pratiqué au moins 225 autopsies dans 14 États. [58] 

 

Certains ont soutenu que cette pénurie d'autopsies était due à la peur du gouvernement d'infection chez les pathologistes, mais une étude de 225 autopsies de cas de Covid-19 n'a montré qu'un seul cas d'infection chez les pathologistes, qui s'est terminé par une infection acquise ailleurs [19]. Guerriero termine son article en demandant plus d'autopsies avec cette observation : "Au coude à coude, les médecins légistes et cliniciens ont surmonté les obstacles des études d'autopsie sur les victimes du Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l'interaction entre le SARS-CoV -2 et le corps humain, contribuant ainsi à notre compréhension de la maladie" [24].

 

 

La suspicion concernant la réticence des nations du monde entier à autoriser des études post-mortem complètes des victimes du Covid-19 peut être fondée sur l'idée qu'il s'agit là de plus qu'une coïncidence. Il y a au moins deux possibilités qui ressortent. Tout d'abord, ceux qui ont conduit la progression de cet événement "non pandémique" vers une "pandémie mortelle" mondiale perçue comme telle, cachaient un secret important que les autopsies auraient pu documenter. A savoir, combien de décès ont été réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d'entreprises et, enfin, la vaccination forcée obligatoire, il leur fallait un nombre très élevé de décès infectés par le Covid-19. La peur devait être le moteur de tous ces programmes destructeurs de lutte contre les pandémies.

 

Dans leur étude, Elder et al. ont classé les résultats d'autopsie en quatre groupes [22]. 

 

Mort certaine du Covid-19

Mort probable du Covid-19

Décès possible du Covid-19

Non associé au Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui peut-être a inquiété ou même terrifié les ingénieurs de cette pandémie était le fait que les autopsies pouvaient montrer, et ont montré, qu'un certain nombre de ces soi-disant décès de Covid-19 étaient en fait morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des études d'autopsie rapportées, les pathologistes ont noté de multiples conditions comorbides, dont la plupart, aux extrêmes de la vie, pourraient être mortelles par elles-mêmes. On savait auparavant que les virus du rhume avaient une mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

 

De plus, les autopsies ont permis d'obtenir des preuves précieuses pour améliorer les traitements cliniques et démontrer l'effet létal des protocoles imposés par le CDC à tous les hôpitaux, comme l'utilisation de respirateurs et le remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. Les autopsies ont également montré l'accumulation d'erreurs médicales et de soins de mauvaise qualité, car protéger les médecins des unités de soins intensifs des yeux des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de qualité inférieure, comme l'ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces domaines [53-55].

 

Alors que tout cela était négatif, la même chose a été faite dans le cas des décès dus au vaccin Covid : très peu d'autopsies complètes ont été faites pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c'est-à-dire jusqu'à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste hautement qualifié et expert en maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste faisant autorité, professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont récemment pratiqué des autopsies sur 15 personnes décédées après la vaccination. Ce qu'ils ont découvert explique pourquoi tant de personnes meurent et souffrent de lésions organiques mortelles et de caillots sanguins [5].

 

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes sont mortes des vaccins et non d'autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé de nombreuses preuves d'une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des individus subissant une autopsie, en particulier le cœur. Cette preuve incluait une invasion extensive de petits vaisseaux sanguins par un nombre massif de lymphocytes, qui, lorsqu'ils sont déclenchés, provoquent une destruction cellulaire importante. D'autres organes, tels que les poumons et le foie, ont également été observés avec des dommages importants. Ces résultats indiquent que les vaccins ont provoqué une attaque du corps avec des conséquences fatales. On peut facilement voir pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les responsables de la santé publique et quiconque ayant fait la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les vaccinés décédés plus tard. On peut également comprendre que dans le cas de vaccins qui n'ont pas été testés avant d'être approuvés pour le grand public, au moins les agences de réglementation devraient avoir soigneusement surveillé et analysé toutes les complications graves, et certainement les décès, associés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est d'effectuer des autopsies complètes.

 

 

 

Bien que nous ayons appris des informations importantes grâce à ces autopsies, ce qui est vraiment nécessaire, ce sont des études tissulaires spéciales sur les personnes décédées après la vaccination pour vérifier l'infiltration de protéines de pointe dans tous les organes et tissus. Il s'agit d'une information essentielle, car une telle infiltration causerait de graves dommages à tous les tissus et organes concernés, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Des études animales l'ont prouvé. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les nanolipides injectés, qui portent l'ARNm qui produit les protéines de pointe. Il est évident que les autorités sanitaires gouvernementales et les fabricants pharmaceutiques de ces "vaccins" ne souhaitent pas que ces études critiques soient menées.

 

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CONCLUSION

 

Nous vivons l'un des changements les plus radicaux de notre culture, de notre système économique et de notre système politique dans l'histoire de notre nation et du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrons jamais à la "normalité" et qu'une grande réinitialisation a été conçue pour créer un "nouvel ordre mondial". C'est ce qu'a souligné Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, dans son livre sur le "Great Reset"[66]. Ce livre fournit une mine d'informations sur la pensée des utopistes qui sont fiers de revendiquer cette "crise" pandémique comme leur moyen d'inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est dans l'esprit des manipulateurs de l'élite depuis plus d'un siècle [73,74]. Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais aussi dans une grande partie du monde occidental. Dans de précédents articles, j'ai évoqué la lente érosion des soins médicaux traditionnels aux États-Unis et la façon dont ce système est devenu de plus en plus bureaucratique et régimenté[7,8]. Ce processus s'accélérait rapidement, mais l'apparition de cette "pandémie", que je crois artificielle, a transformé notre système de santé du jour au lendemain.

 

Comme vous l'avez vu, une série d'événements sans précédent s'est produite au sein de ce système. Les administrateurs d'hôpitaux, par exemple, ont pris la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles provenant non pas de quelqu'un ayant une vaste expérience dans le traitement de ce virus, mais plutôt d'une bureaucratie médicale qui n'a jamais traité un seul patient COVID-19. L'utilisation obligatoire de respirateurs pour les patients des soins intensifs Covid-19, par exemple, a été appliquée dans tous les systèmes médicaux, et les médecins dissidents ont été rapidement démis de leurs fonctions de soignants, bien qu'ils aient montré qu'ils avaient considérablement amélioré les méthodes de traitement. De plus, les médecins ont été invités à utiliser le médicament remdesivir malgré sa toxicité prouvée. le manque d'efficacité et le taux élevé de complications. On leur a dit d'utiliser des médicaments qui altéraient la respiration et de masquer chaque patient, même si leur respiration était altérée. Dans tous les cas, ceux qui refusaient d'abuser de leurs patients étaient renvoyés de l'hôpital et risquaient même de perdre leur licence, ou pire.

 

Pour la première fois dans l'histoire de la médecine moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré à l'échelle nationale. Des études ont montré qu'un traitement médical précoce a sauvé 80 % du nombre le plus élevé de ces personnes infectées s'il avait été lancé par des médecins indépendants. [43,44] Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies pendant cette "pandémie". Malgré la démonstration de la puissance de ces premiers traitements, les forces de contrôle des soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

 

Les familles n'étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades hospitalisées à affronter seules leur mort. Comme si cela ne suffisait pas, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui ne pouvaient même pas s'asseoir ensemble. Alors que les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, pourraient fonctionner avec des restrictions minimales. Même les patients des maisons de retraite ne pouvaient pas recevoir la visite des membres de leur famille, qui étaient contraints de mourir dans la solitude. Pendant ce temps, dans certains États, dont le plus transparent est l'État de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément déplacées des hôpitaux vers des maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé pour les résidents à domicile. Au début de cette "pandémie", plus de 50 % de tous les décès sont survenus dans les maisons de retraite.

 

Au cours de cette "pandémie", nous avons été nourris d'une série interminable de mensonges, de distorsions et de désinformation de la part des médias, des responsables de la santé publique, des bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et des associations médicales. Les médecins, les scientifiques et les experts en traitement infectieux qui ont formé des associations pour développer des traitements plus efficaces et plus sûrs ont été régulièrement diabolisés, harcelés, humiliés et ont subi la perte de leur licence, la perte de leurs privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, l'ordre de subir un examen psychiatrique.[2,65,71]

 

Anthony Fauci a reçu le contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux lors de cet événement, y compris l'insistance pour que les médicaments dont il a profité soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l'utilisation de masques, bien qu'au début il se soit moqué de l'utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans se poser de questions.

 

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, les fermetures, les tests sur les personnes non infectées, l'utilisation de tests PCR inexacts, la distanciation sociale et la recherche des contacts s'étaient avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives pour rejeter ces méthodes étaient vaines. Certains États ont ignoré ces ordonnances draconiennes et ont eu le même nombre de cas ou moins, ainsi que des décès, que les États avec les mesures les plus strictes. Encore une fois, aucune preuve claire ou preuve à cet effet n'a eu d'effet sur la cessation de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, comme la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, se sont avérés avoir des taux d'infection et d'hospitalisation égaux à ceux des pays ayant les mesures les plus sévères et les plus draconiennes, il n'y a pas eu de changement de politique de la part des institutions de contrôle. Aucune preuve n'a changé cela.

 

Lire : Après un an d'épidémie, la Suède a moins de morts que la France sans confinement et sans masque

Le taux de mortalité de Covid en Suède parmi les plus bas d'Europe, malgré le fait d'avoir évité des confinements stricts (Telegraph, 5 ma 2022)

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont montré que les mesures draconiennes ont un coût énorme sous la forme de "morts de désespoir" et d'une augmentation spectaculaire des affections psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et largement irréversibles.

 

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette "pandémie" ont continué à avancer à toute vitesse. L'augmentation drastique des suicides, l'augmentation de l'obésité, l'augmentation de la consommation de drogue et d'alcool, l'aggravation de nombreuses mesures sanitaires et l'augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, notamment la dépression et l'anxiété, ont été ignorées par les responsables qui ont suivi cet événement.

 

Nous avons finalement découvert que de nombreux décès étaient dus à une négligence médicale. Les personnes souffrant de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et neurologiques ne sont plus suivies correctement dans les cliniques et les cabinets médicaux. Les opérations non urgentes ont été suspendues. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer d'aller à l'hôpital, et beaucoup considéraient les hôpitaux comme des "foyers de la mort".

 

Les registres de décès ont montré une augmentation des décès parmi les personnes âgées de 75 ans et plus, principalement expliquée par les infections au Covid-19, mais pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès ont augmenté bien avant le début de la pandémie.[69] Entre 18 et 65 ans, les dossiers montrent une augmentation choquante des décès non dus au Covid-19. Certains de ces décès ont été expliqués par des infections au Covid-19. Certains de ces décès s'expliquaient par une augmentation spectaculaire des décès liés à la drogue, soit environ 20 000 de plus qu'en 2019. Les décès liés à l'alcool ont également augmenté de manière substantielle, et les homicides ont augmenté de près de 30 % dans le groupe des 18 et 65 ans.

 

Le chef de la compagnie d'assurance OneAmerica a déclaré que ses données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % par rapport à la période pré-pandémique.[21] Scott Davidson, directeur général de la société, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l'histoire des registres d'assurance, qui collectent chaque année des données détaillées sur les taux de mortalité. Davidson a également noté qu'un médecin de l'Indiana, le Dr Lindsay Weaver, a déclaré que les admissions à l'hôpital dans l'Indiana étaient plus élevées qu'à tout autre moment au cours des cinq dernières années. C'est crucial, car les vaccins étaient censés réduire considérablement les décès, mais c'est l'inverse qui s'est produit.

 

Un nombre dramatique de ces personnes meurent, et le pic s'est produit après l'introduction des vaccins. Les mensonges des dictateurs médicaux autoproclamés sont sans fin. D'abord, on nous a dit que l'isolement ne durerait que deux semaines, alors qu'il a duré plus d'un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et ne devaient pas être portés. La chose s'est vite renversée. Puis on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant il ne l'est plus et que tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela un double masque. On nous a dit qu'il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous avons découvert qu'ils étaient inutilisés dans les entrepôts et les décharges de la ville, toujours dans leurs caisses d'emballage. On nous a dit que les hôpitaux étaient pour la plupart remplis de personnes non vaccinées, pour découvrir que c'était exactement le contraire partout dans le monde. On nous a dit que le vaccin était efficace à 95 %, seulement pour découvrir que les vaccins provoquent en fait une érosion progressive de l'immunité innée.

 

 

***

Histoire du Covid. La vérité sur la pandémie la plus manipulée de l'histoire de l'humanité

Au moment de la sortie du vaccin, les femmes ont été informées que les vaccins étaient sûrs à toutes les étapes de la grossesse, pour découvrir qu'aucune étude de sécurité de la grossesse n'avait été réalisée lors des "tests de sécurité" avant la sortie du vaccin. On nous a dit que des tests approfondis sur des volontaires avant l'approbation de l'EUA pour un usage public ont démontré l'extrême sécurité des vaccins, seulement pour constater que ces malheureux sujets n'étaient pas suivis, les complications médicales causées par les vaccins n'étaient pas payées et les médias ont couvert tout cela. Incroyablement, on nous a dit que les nouveaux vaccins à base d'ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA, ce qui était une tromperie, car un autre vaccin a été approuvé (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin communautaire approuvé n'était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont déclaré au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n'était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps d'arrêter cette folie et de traduire ces personnes en justice.

 

une augmentation aussi importante du taux de mortalité n'avait jamais été observée dans l'histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d'une ampleur monumentale n'ont augmenté les taux de mortalité que de 10%, alors que 40% est sans précédent.

 

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Commentaire sélectionné

 

MARIA GIULIA

29 septembre 2022 à 09:43

Tous les éléments énumérés et décrits ci-dessus et surtout "la logique, le raisonnement et les preuves scientifiques ont disparu dans cet événement" sont la preuve que satan est derrière tout cela. Dieu est logique, il raisonne et il est la preuve scientifique que sans lui nous n'allons nulle part.

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