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19 février 2021 5 19 /02 /février /2021 23:23
Docteur Fouché, "gardien" #resistance

S'il y avait une chose à retenir de cette épidémie et de cette situation :

 

"C'est un appel à la Résistance. Il y a un appel qui était déjà là. Il a été lancé plusieurs fois, bien avant le Covid et qui disait 'il y a quelque chose qui ne va pas dans le système, lève-toi, et fais ce qu'il y a à faire. Comme Samuel, comme Zachée, comme pleins d'autres personnages dans l'histoire biblique où d'autres personnages ont reçu l'appel.

 

Pour tout te dire, moi je pensais partir vivre dans le Haut-Languedoc et faire de la permaculture bio à mi-temps et anesthésiste à mi-temps, et je l'ai pas fait, je suis ici et, maintenant parce que je pense qu'il n'y a rien de plus utile que je sois ici et maintenant. Je n'ai rien à gagner, j'ai tout à perdre. Et donc, cet appel dit 'abandonne tout'. Et accepte d'aller vers autre chose, et cette autre chose est extrêmement savoureux. Je n'ai jamais été aussi joyeux, je n'ai jamais rencontré autant de gens, je n'ai jamais rencontré autant de visages de gens qui souhaitaient un monde meilleur et le Bien commun. Et en face, je vois plutôt des gens qui ont peur, qui sont dans la culpabilité, qui ne veulent pas regarder la réalité en face, parce qu'ils ont peur de se faire éjecter du système."

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17 février 2021 3 17 /02 /février /2021 18:23

"Si vous prenez soin de votre … famille, vous êtes essentiel", a déclaré Bill Fehr, co-fondateur de l'épicerie indépendante JW Foods.

L'image sélectionnée

 

TORONTO, Ontario, 17 février 2021 (LifeSiteNews) - Un épicier local de l'est de Toronto, qui a adopté une politique de "masque facultatif" pour son magasin, a donné une puissante entrevue pour défendre les libertés fondamentales face aux verrouillages gouvernementaux et aux mandats de masques.

 

Bill Fehr, le co-fondateur de JW Foods, a défendu la dignité de chaque personne et son droit naturel de travailler afin d'assurer un gagne-pain en disant à David Menzies de Rebel News que toutes les personnes "sont essentielles".

 

"Tout le monde dans ce pays devrait être autorisé à ouvrir maintenant", et les entreprises "n'auraient jamais dû être fermées, car si vous prenez soin de votre… famille, vous êtes essentiel", a-t-il déclaré.

 

En tant qu'épicier, Fehr a été autorisé à rester ouvert tout au long des confinements des 11 derniers mois.

 

"Je ne suis pas meilleur qu'un magasin à un dollar, je ne suis pas meilleur qu'un salon de manucure, je ne suis pas meilleur que quiconque ne l'est en affaires", a déclaré Fehr. "Je ne devrais pas être autorisé à être 'essentiel' alors que d'autres endroits ne le sont pas (essentiels). Vous n'avez pas une chose pour un groupe et une chose pour un autre. C'est faux. Nous sommes Canadiens, nous sommes des gens libres, nous sommes tous essentiels."

 

L'entretien vidéo a été réalisé avec environ 25 clients présents. Aucun d'entre eux ne portait de masque, malgré les mandats du gouvernement à l'effet contraire. Interrogé sur la politique de masques de son magasin en option, Fehr a précisé: "Nous ne violons aucune loi. Vous voyez, un mandat n'est pas une loi, un mandat est une suggestion. Une loi est quelque chose qui 'doit être votée par le parlement et doit en fait aller à la reine. C'est pourquoi nous avons un représentant de la reine."

 

"Le plus triste ici est que nous avons tous une liberté de choix, nous l'avons toujours fait. Nous leur avons simplement permis de nous enlever cela. Lorsque vous permettez à quelqu'un de vous enlever quelque chose, c'est là que vous renoncez à votre liberté. Nous n'autoriserons pas cela ici. Je refuse de tomber dans ce piège. Je refuse que cela se produise. Cela se produit dans d'autres entreprises et je ne permettrai pas à mes clients de se sentir indésirables ici."

 

Mais Fehr a souligné que "ce n'est pas un combat de masque sans masque… Nous avons tous des peurs dans la vie. Vous devez trouver votre démon et vous devez vous en occuper. Mais je vous dis tout de suite, [si] vous violez mes droits, vous violez notre Charte [canadienne], vous violez notre constitution, vous violez tout ce qui est précieux pour notre société en tant que groupe unifié qui va de l'avant.

 

"Il y a des limites à ce que vous pouvez nous imposer, il y a des limites à ce que vous pouvez faire, et je serai la voix, et je mettrai mon cou en jeu pour pouvoir être fort, et dire que Dieu m'a mis sur cette terre pour une raison [et] c'est peut-être la raison", a-t-il dit.

 

En discutant de sa réponse résolue à ces mandats gouvernementaux, Fehr est devenu ému de larmes en discutant de la tragédie d'un «client de 45 ans» qui «s'est pendu à son chalet».

 

En discutant de sa réponse résolue à ces décrets gouvernementaux, Fehr a eu les larmes aux yeux en évoquant la tragédie d'un "client de 45 ans" qui "s'est pendu à son chalet".

 

"Tu veux savoir pourquoi je suis comme je suis? Quand cela se produit et que vous voyez votre client [la femme de l'homme] tomber par terre et ... pleurer et vous voyez que ses enfants n'ont plus de père parce qu'il ne pouvait plus le supporter ... parce qu'il a perdu ses deux entreprises à cause de ces fermetures, et [qu'il pensait] qu'il n'avait pas d'avenir, et [par conséquent] il pensait que le meilleur moyen de s'en sortir était de se pendre à son chalet, on doit défendre "notre avenir et celui de cet enfant qui doit grandir sans leur père."

 

"Ce sont des choses que nous n'entendons pas aux nouvelles. Ce sont des choses que nous ne voyons pas aux nouvelles", a déclaré Fehr.

 

En discutant plus avant des grands médias, il a rappelé : "Au début, quand ce virus a commencé, nous étions tous concernés. Nous ne savions pas contre quoi nous nous battions. Nous ne savions pas [qui] croire. Mais maintenant, je ne regarde plus les informations, je ne regarde plus la télévision ... parce que c'est un lavage de cerveau. Si quelque chose nous a réveillé quant à l'avenir de notre société, c'est que nous avons subi un lavage de cerveau et que maintenant nous devons avoir des médias d'information qui doivent aller sur Internet".

 

 

S'adressant directement aux dirigeants publics, Fehr a déclaré: "Je prie tellement que nous, en tant que nation, vous tenions responsable de ce que vous nous avez fait, de ce que vous avez fait à nos familles, à nos entreprises et à notre mode de vie."

 

"Tout ce que nous demandons, c'est [que vous] soyez honnête… mais quand vous mentez et que les statistiques [COVID-19] prouvent que quelque chose n'a tout simplement pas de sens", une nouvelle approche est nécessaire.

 

"S'il vous plaît, pour l'amour de Dieu, soyez honnête avec les gens. Dites-nous simplement ce qui se passe réellement pour que nous puissions tous ensemble travailler et que nous puissions venir en tant que nation et en tant que peuple et travailler ensemble", a-t-il conclu.

 

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7 février 2021 7 07 /02 /février /2021 18:36
Le Cardinal Müller dénonce le Grand Reset

Le cardinal a averti que le but de cette nouvelle force de fusion - la collaboration entre les grandes entités capitalistes avec la Chine - est "le contrôle absolu de la pensée, de la parole et de l'action".

Fri Feb 5, 2021 - 3:37 pm EST

 

5 février 2021 ( LifeSiteNews ) - Le cardinal Gerhard Müller, préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a récemment fait des commentaires à Edward Pentin du National Catholic Register au sujet de la discussion actuelle sur la Grande Réinitialisation, telle que promue par le Forum économique mondial de Davos (WEF). Dans ce contexte, le cardinal a exprimé un avertissement sincère qu'il voit une fusion des organisations capitalistes occidentales avec la Chine, formant un nouveau "capital-socialisme unifié".

 

Le 29 janvier, le prélat allemand a déclaré à Pentin que deux parties - "le capitalisme profiteur, les géants des grandes technologies des pays occidentaux" et le «communisme de la République populaire de Chine" - sont aujourd'hui "en train de converger et de fusionner en un capital-socialisme unifié", produisant un "nouveau colonialisme". Avec ces commentaires, il semble impliquer que nous assistons ici à une fusion de grandes puissances financières avec des États communistes - en grande partie la Chine - qui vise à la direction du monde par des puissances mondiales capitalistes alors que les masses sont détenues dans des sociétés socialistes, contrôlées et réprimées par l’État. On peut se sentir rappelé ici la réponse récente des pays occidentaux à la crise corona qui a conduit à la suppression de nombreuses libertés au nom d’une crise sanitaire. LifeSite a tendu la main au cardinal Müller, lui demandant d’exposer davantage ces questions. Nous rendrons compte de ses commentaires si nous les recevons.

 

Le Great Reset (Grand Reset) est un programme publié par le Forum économique mondial (WEF) qui utilise la crise des coronavirus comme raison pour une refonte fondamentale de la façon dont nous, les humains, vivons ensemble sur cette terre. Le WEF affirme sur son site Web que "les changements que nous avons déjà constatés en réponse au COVID-19 prouvent qu'une réinitialisation de nos fondements économiques et sociaux est possible". À la lumière des crises économiques et environnementales prévues, le WEF propose que "nous devons construire des fondations entièrement nouvelles pour nos systèmes économiques et sociaux". Comment cette reconstruction de nos sociétés devrait se présenter aux yeux de ces acteurs financiers et économiques mondiaux (cliquez ici pour consulter la liste des participants à la réunion du WEF 2020 à Davos, en Suisse) peut être vue dans leur propre vidéo WEF appelé "Huit prédictions pour le monde en 2030".

Cette vidéo prédit que "vous ne posséderez rien et vous serez heureux. Tout ce que vous voulez, vous le louerez et il vous sera livré par drone. A côté de l'abolition de la propriété privée - un objectif typique des idéologies socialistes - le WEF voit aussi la fin des valeurs occidentales qui sont évidemment basées sur le christianisme: «Les valeurs occidentales auront été testées jusqu'au point de rupture.» Il faut se demander quel genre de valeurs remplacera ces «valeurs occidentales» et d'où elles viendront.

 

Dans ce contexte, les commentaires du cardinal Müller sont importants, car il appelle ce nouveau programme idéologique pour notre monde.

 

Alors qu'il accueille des personnes issues des domaines économique et politique pour se réunir et discuter de sujets importants, ce cardinal allemand se demande quelle "image d'humanité" le WEF a en fait. Dans le même temps, le cardinal a averti que le but de cette nouvelle force de fusion - la collaboration entre les grandes entités capitalistes avec la Chine - est "le contrôle absolu de la pensée, de la parole et de l'action".

 

Les commentaires du cardinal Müller soulignent l'importance du monde numérique aujourd'hui et comment il affecte la vie humaine. Il voit qu'un "homme homogénéisé" est en train de se créer, et qu'un tel homme "peut être contrôlé plus facilement".

 

"Le monde orwellien de l'homo digitalis a commencé", a-t-il expliqué. "Grâce à l'intégration, la conformité totale de la conscience des masses doit être obtenue via les médias." Le cardinal Müller a évoqué ici l'écrivain français du XIXe siècle Gustave Le Bon qui avait prédit une telle situation dans son livre Psychologie des foules.

 

Le cardinal Müller a également rejeté l'idée qu'une telle critique de la Grande Réinitialisation et de ses plans idéologiques ne sont que de simples "théories du complot" et a ajouté que les systèmes totalitaires "ont toujours dénigré toute critique comme conspiration et subversion". [En 1789, "le fantasme du 'complot aristocratique' émanait essentiellement des loges maçonniques et du club des Jacobins. La théorie du complot des aristocrates "envahit très vite l'espace du discours révolutionnaire. (...) Il suffit de considérer le flot ininterrompu des dénonciations qui sont adressées au Comité des recherches de l'Assemblée constituante (Pierre Caillet, Comité des recherches de l'Assemblée nationale 1789-1791, Inventaire analytique de la sous-série D XXIX bis, Paris, Archives nationales, 1993.) (...) Il convient de préciser que cette frénésie dénonciatrice témoigne autant de l'irruption de l'esprit révolutionnaire que de la persistance de cette mentalité traditionnelle déjà évoquée et accoutumée à incriminer des conspirateurs." (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 64.). Ndlr.]

 

Il a évoqué dans ses commentaires les nombreux avertissements d'un régime totalitaire au XXe siècle et a expliqué qu'ils "peuvent difficilement être discrédités en tant que théories du complot, car de véritables développements politiques leur ont donné raison".

 

Nous avertissant de ne pas prendre les promesses de la Grande Réinitialisation et des programmes similaires de fondations très riches non comme des efforts innocents, le prélat allemand a déclaré que "la confiance aveugle dans l'attitude philanthropique des dirigeants des grandes fondations et des sociétés ouvertes n'est possible qu'avec un déni complètement naïf de la réalité.''

 

Le cardinal allemand et ancien évêque de Ratisbonne, en Allemagne, a souligné qu'il y avait eu des tentatives dans le passé pour recréer l'homme et inventer à nouveau le monde. Ces tentatives se sont toujours transformées en mouvements totalitaires. Chaque fois que l'homme a voulu "se recréer et se racheter", a-t-il dit à Pentin, un monstre a été créé à la place, citant comme exemple l'"horrible expérience humaine" de l'Union soviétique communiste qui a coïncidé avec la révolution industrielle.

 

"Cela aurait dû nous convaincre que l'utopie d'un paradis sur terre sous quelque forme que ce soit entraîne les plus grands crimes contre l'humanité (déni de la liberté des dissidents, destruction de main-d'œuvre, réduction de la population par avortement et euthanasie), a-t-il ajouté. La nature de l'homme, blessée par le péché, a besoin du pardon divin. Seule la grâce de Dieu peut nous racheter et nous donner 'la liberté et la gloire des enfants de Dieu'."

 

Nous rappelons ici à nos lecteurs que le président américain Joseph Biden est en alliance avec le programme de la Grande Réinitialisation et appelle même son nouvel agenda "Reconstruire mieux", un slogan également utilisé par le Forum économique mondial. Le Forum économique mondial s'est aligné en même temps sur la Chine et a invité son président Xi Jingping à présenter une conférence lors de la journée d'ouverture de sa réunion annuelle (virtuelle) en 2021. Le WEF lui-même a qualifié sa participation au forum d'"opportunité historique pour la collaboration."

 

En octobre 2020, le cardinal Müller avait déjà averti que l'élection de Biden à la présidence des États-Unis pourrait avoir de graves effets sur les États-Unis ainsi que sur les démocraties du monde, notamment à la lumière de la puissance croissante de la Chine.

 

S'adressant à Breitbart News, le cardinal allemand a déclaré: "Le résultat des élections américaines déterminera si les États-Unis restent la première puissance dans le monde - pour la liberté et la démocratie - ou si une dictature communiste assumera ce rôle pour la communauté mondiale." Parlant de la dictature chinoise et de sa puissance croissante dans le monde, le cardinal Müller a expliqué qu'"en Chine, la devise de l'Allemagne nazie se répète: vous n'êtes rien - l'État est tout. Et pourtant, la vérité est l'inverse: les gens sont tout et l'État n'existe que pour servir le bien commun."

 

Lire : Désobéissance civile. Rémi Brague : "Il faut obéir aux lois tant qu’elles assurent la plus élémentaire justice, et donc l’ordre public et la paix civile. S’il la transgresse, on a le droit, et même le devoir ... de lui désobéir"

 

"Et parce que les États-Unis sont la première puissance du monde libre, ils doivent également mettre un terme à l'emprise impérialiste d'une superpuissance communiste qui cherche la domination du monde et permettre au peuple chinois et aux autres peuples opprimés d'entrer dans la communauté et la solidarité des peuples libres."

 

En parfaite adéquation avec la prédiction du WEF selon laquelle les "valeurs occidentales" arriveront bientôt à leur point de rupture, le cardinal Müller a exprimé en janvier 2021 sa préoccupation que le nouveau régime Biden mène désormais une campagne pour "déchristianiser la culture occidentale". S'adressant au site d'information catholique autrichien Kath.net, le prélat a expliqué que l'administration Biden, "avec sa puissance politique, médiatique et économique concentrée, est à l'avant-garde de la campagne la plus subtilement brutale des 100 dernières années pour déchristianiser la culture occidentale." Ses commentaires étaient liés au fait que le président Biden a déjà pris des mesures pour promouvoir l'avortement, ainsi que l'agenda LGBT.

 

Le Forum économique mondial lui-même promeut également l'agenda LGBT ainsi que l'agenda de l'avortement .

 

Le cardinal Müller s'oppose fermement à ces agendas anti-chrétiens et a déclaré à Kath.net que quiconque "en tant que chrétien se positionne contre le courant dominant de la propagande LGBT, l'avortement, la consommation de drogues légalisée, la dissolution de la sexualité masculine ou féminine, est connu pour être insulté comme étant 'd'extrême droite' ou même en tant que 'nazi', même si ce sont précisément les nationaux-socialistes avec leur idéologie biologiste et sociale darwiniste qui ont été la contradiction la plus ouverte à l'image chrétienne de l'homme.

 

Les chrétiens en politique doivent s'opposer à ces agendas, a-t-il dit, même s'ils ne peuvent pas suffisamment influencer les lois qui sont élaborées. "Mais ils ne doivent jamais participer, activement ou passivement, au mal", a-t-il ajouté. "À tout le moins, ils doivent protester contre cela et - dans la mesure où ils peuvent - y résister, même s'ils sont victimes de discrimination pour le faire."

 

 

Source: LifeSiteNews

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7 février 2021 7 07 /02 /février /2021 18:21
Désobéissance civile. Rémi Brague : "Il faut obéir aux lois tant qu’elles assurent la plus élémentaire justice, et donc l’ordre public et la paix civile. S'il (l'Etat ou César) la transgresse, on a le droit, et même le devoir ... de lui désobéir"

Le philosophe et théologien analyse la déclaration du ministre de l’Intérieur selon qui « la loi de la République est supérieure à la loi de Dieu ». Rémi Brague est membre de l’Institut, normalien, agrégé de philosophie et professeur émérite de philosophie à l’université Panthéon-Sorbonne, Rémi Brague est notamment l’auteur d’Europe, la voie romaine (3e édition, Folio essais, 1999) et Le Règne de l’homme. Genèse et échec du projet moderne (Gallimard, 2015). Il s’entretient ci-dessous dans les colonnes du Figaro.

 

« Pour les chrétiens, Dieu parle par la conscience, inscrite dans la nature de l’homme, que Dieu a créé animal rationnel », explique Rémi Brague.

 

[…]

 

Si l’on suppose que deux lois sont face à face, l’une de la République, l’autre de Dieu, il est bien clair que la première ne fera pas le poids. Aucune loi humaine ne tient devant une loi divine. Votée par un Parlement régulièrement élu dans une démocratie civilisée ou imposée par le plus cruel des tyrans, peu importe.

 

Reste la question essentielle : quel genre de divinité entre en jeu et comment légifère-t-elle ? Pour les chrétiens, Dieu parle par la conscience, inscrite dans la nature de l’homme, que Dieu a créé animal rationnel. Rousseau appelait la conscience « instinct divin, immortelle et céleste voix ». Il faut prendre ces mots tout à fait au sérieux. Il me faut ici mettre en garde contre une façon galvaudée d’en appeler à sa « conscience ». Souvent, on la confond avec le caprice irréfléchi. Dire que seule sa conscience doit décider, c’est souvent une façon de dire : « Mêlez-vous de vos affaires ! Je fais ce que je veux ! » Quelle naïveté, d’ailleurs. La plupart du temps, est-ce bien moi qui veux ce que je crois vouloir ?

 

La conscience doit s’éduquer, un peu comme le goût. Le gourmet a appris à distinguer un grand cru d’un médiocre vin de table. L’alcoolique, lui, ne fera pas la différence, du moment que cela soûle. De même, la délicatesse de la conscience s’acquiert. Par l’exemple des parents, quand ils sont à la hauteur. Par la fréquentation des honnêtes gens. Par la grande littérature. Mais, en dernière analyse, c’est toujours moi qui déciderai de me former et d’acquérir une conscience exigeante ou, au contraire, de m’abandonner aux influences de mille facteurs : les souvenirs de pouponnière, la coutume, la pub, la mode, le politiquement correct, etc.

 

— Quand Antigone décide de braver les lois de Créon pour enterrer son frère, ne place-t-elle pas les droits de la conscience au-dessus de ceux des hommes ?

 

— Cela ne fait pas de mal de retourner aux sources de temps en temps, et, en l’occurrence, de relire Sophocle. Dans Antigone, l’héroïne vient d’enterrer son frère, considéré comme rebelle à la cité. Le chef, son oncle Créon, avait ordonné de punir le coupable en abandonnant son cadavre aux fauves et aux rapaces. Arrêtée, elle ne fait pas appel à sa conscience. La notion de « conscience » n’est pas clairement dégagée dans la pensée grecque. Le mot grec dont on s’est servi plus tard pour la désigner ne signifie pas la conscience morale, mais la conscience psychologique, celle dont il est question quand on dit « perdre conscience ».

 

Antigone oppose aux décrets de Créon non pas la conscience, mais des lois venant des dieux et « à chaque fois vivantes ». Ce qui montre leur divinité, c’est, ce qui est paradoxal pour nous, formés dans une religion de révélation, que « nul n’a jamais su d’où elles étaient apparues » (vers 456-457). Pour les Grecs, le divin est évident, aussi manifeste que l’Olympe, et sans origine. Ainsi, les rumeurs sont des déesses parce que personne ne les a mises en circulation. Ces lois divines, non écrites, priment sur toutes les décisions humaines.

 

[...]

 

— Dans l’Évangile, le Christ déclare qu’il faut rendre à César ce qui est à César. Faut-il en déduire l’obéissance des chrétiens aux lois en toutes circonstances ?

 

— Le passage des Évangiles où se trouve la formule (Matthieu 22, 21 et parallèles) est souvent mal compris. On s’imagine que César, le pouvoir politique, serait parfaitement indépendant de Dieu. Or, il en dépend comme tout le reste de la Création, ni plus ni moins. Il n’a pas de domaine réservé à l’intérieur duquel il pourrait n’en faire qu’à sa tête. Nul « sécularisme » là-dedans. Dieu est présent dans le domaine politique comme partout ailleurs.

 

Seulement, là aussi, il faut se demander de quelle façon Il s’invite chez César. Pour le christianisme, il est là d’abord dans la loi morale. Dans la Bible, Abraham craint que les Amalécites n’aient aucune « crainte de Dieu » (Genèse 20, 11) et ne le tuent pour lui prendre sa femme. La « crainte de Dieu » n’est autre ici que la common decency d’Orwell, ce qui « ne se fait pas ».

 

Il faut obéir aux lois tant qu’elles assurent la plus élémentaire justice, et donc l’ordre public et la paix civile. Saint Paul faisait prier pour l’empereur. C’était alors Néron, qui allait d’ailleurs le faire décapiter. Mais César est soumis à la loi morale. S’il la transgresse, on a le droit, et même le devoir, d’abord de le lui rappeler, ensuite de lui désobéir.

 

Source : Le Figaro | Pour une école libre

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6 février 2021 6 06 /02 /février /2021 10:50
"Depuis que l'on porte des masques, tous les masques sont tombés !" Le rabbin Dinovitz remballe Gog et Magog et vire full complotiste !

Le rabbin Dinovitz remballe Gog et Magog et vire full complotiste !

 

Des propos éveillés que nous partageons depuis toujours ici, depuis la création de ce blog : 

Selon les dires de Dinovitz : 

 

"Je pense que les gouvernants et les médias font tout pour nous jeter dans un flou inimaginable.

 

"Je vous signale qu'en ce moment en Israël on nous met en quarantaine pour au minimum quinze jours et ils commencent déjà à nous dire que cela sera peut-être plus que quinze jours.

 

"On vit quelque chose de catastrophique en Israël depuis le début du corona, l'effondrement de toute l'économie, des classes moyennes, etc., les gens n'ont plus de travail, beaucoup n'ont plus à manger, et tout le monde, les êtres humains véritables ressentent qu'il y a une conspiration derrière toutes ces horreurs inimaginables.

 

"Et malheureusement, il nous aura fallu des années et des années pour se rendre compte, à nous aussi, peuple juif en Israël, que le gouvernement en Israël était à la solde de tous les gouvernements mondiaux occidentaux et faisait partie d'un groupe de conspiration qui n'était pas différent ici (en Israël) de ce qu'il est ici en France, ou de qu'il est ailleurs. Malheureusement il nous aura fallu des décennies pour arriver à ouvrir les yeux. Et c'est toujours ce que je dis : depuis que l'on porte des masques, tous les masques sont tombés !

 

"Et donc, nous sommes des centaines de milliers à ne plus avoir confiance du tout, du tout, dans nos politiciens ici en Israël, parce qu'ils font partie du monde occidental et de la démocratie qui n'est qu'une vitrine pour arriver à dominer le monde entier ! Et le projet avance à une rapidité qu'on ne peut même pas imaginer."

 

(Fin de citation)

___________

 

Source video"Après les bonnets rouges, les gilets jaunes, les masqués , voici les chapeaux noirs !" Gloria.tv

 

L'éveil de tous est en train de se réaliser. Nous vivons un moment unique. Mais continuons de prier chaque jour notre chapelet.

 

Prions les Saintes Plaies du Seigneur, que Dieu vienne en aide à tous les peuples de la planète. Qu'Il anéantisse la Plandémie, et convertisse les personnes derrière le Grand reset et le nouvel ordre mondial.

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5 février 2021 5 05 /02 /février /2021 14:39
La fin du Covid

Si vous êtes de ceux et celles qui croient que la gestion actuelle de la crise sanitaire laisse à désirer, que les mesures imposées sont incohérentes, insensées et abusives, mais qui n'en comprenez pas les réels motifs, vous trouverez des réponses à vos questions sur ce site d'informations non censurées :

http://lafinducovid.com/

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26 janvier 2021 2 26 /01 /janvier /2021 10:51

Tweet épinglé d'Ariane Walter, agrégée de lettres, dramaturge, romancière, blogueuse : 

La "théorie du complot" c'est le fait de s'interroger sur la véracité des discours politiques, et se demander à qui profite le crime", certes, mais avec cette nuance qu'aujourd'hui la tendance à s'interroger sur la véracité des discours, le questionnement et la mise en doute de la narrative qui nous est présentée vient non pas des conspirateurs réels (la franc-maçonnerie, et la finance travaillant au Great Reset, ou la "Grande réinitialisation" fondée sur la destruction de nos sociétés) mais du peuple réel, qui en est diabolisé pour cela. Et la différence est que cette fois-ci le complot est réel.

 

En 1789, en revanche, "le fantasme du 'complot aristocratique' émanait essentiellement des loges maçonniques et du club des Jacobins. La théorie du complot des aristocrates "envahit très vite l'espace du discours révolutionnaire. (...) Il suffit de considérer le flot ininterrompu des dénonciations qui sont adressées au Comité des recherches de l'Assemblée constituante (Pierre Caillet, Comité des recherches de l'Assemblée nationale 1789-1791, Inventaire analytique de la sous-série D XXIX bis, Paris, Archives nationales, 1993.) (...) Il convient de préciser que cette frénésie dénonciatrice témoigne autant de l'irruption de l'esprit révolutionnaire que de la persistance de cette mentalité traditionnelle déjà évoquée et accoutumée à incriminer des conspirateurs." (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 64.)

 

"Voyez en 1792 la république du soupçon des "Argus, Surveillants, Dénonciateurs, Sentinelles et Aveugles clairvoyants" (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 70) repose tout entière et seulement dans l'exercice du soupçon."

 

En vue du changement promis", "l'idéologie révolutionnaire est à la recherche d'auteurs, de responsables, d'un ou plusieurs 'individus' à désigner." (Lucien Jaume, Le Discours jacobin et la démocratie, Fayard, Saint-Amand-Montrond 1989, note 65, p. 170.)

 

En 1789, "l'imaginaire du complot remplit une autre fonction encore. "La crainte du 'complot aristocratique' est en effet le vecteur par lequel la nation se constitue. (...) La nation [révolutionnaire de 1789. NdCR.] se définit par ce qu'elle rejette; elle prend forme matérielle, consistance et réalité, à travers la mobilisation qu'entraînent les rumeurs sur les complots qui le menacent." (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 65.)

 

Le discours républicain, dès le début de la république en 1792 se constitue contre, il n'y a rien de positif là-dedans.

 

Ce qu'ils appellent "théorie du complot" s'appelait autrefois esprit critique et était considéré comme salutaire pour une démocratie

En juin 2013, dans l'Appel à la résistance ! Ce message qui se lève, "la Résistance ... s'exprime de différentes façons"...

 

Le mouvement de la Résistance aux mondialistes, initié en 2013, respecte le libre arbitre et la loi naturelle, "cette force mystérieuse, immuable, qui rend l'homme capable de raison, de justice et d'équité. Ce droit naturel est lui aussi d'origine divine; mais indépendant des lois révélées. La loi naturelle représente ce qui est tacitement commun aux chrétiens et aux non-chrétiens... Une loi de déraison ou d'iniquité n'engage pas en conscience les sujets." (François BLUCHE, Louis XIV, Fayard, Paris 2002, p. 191.)

 

L'unité dans la diversité était une des richesses de l'Ancien Régime et ses libertés concrètes, innombrables. "Les libertés sous la Monarchie se déclinaient au pluriel" (François Bluche, Louis XIV) 

Sous l'"Ancien Régime", du XVIe siècle à 1789, la France était un "pays hérissé de libertés" (F. Funck-Brentano, Ce qu'était un Roi de France, Librairie Hachette 1940, p. 179), au point que pour Tocqueville, "les libertés (françaises)... offraient une résistance à l'arbitraire 'plus efficace,... que celle des lois" (cité in Frantz Funck-Brentano, L'Ancien Régime, Les Grandes études Historiques, Librairie Arthème Fayard, Paris 1926, p. 528).

 

"Les rois voulaient unir en respectant les traditions et les particularités locales, sans user de violence. Ils cherchaient à supprimer de façon graduelle, et tout en les tolérant d'abord, les frontières administratives, financières, douanières, etc., qui séparaient les diverses provinces de France.

 

"Les révolutionnaires, sans comprendre que la variété est une forme de la liberté, et peut-être la plus essentielle pour chacun, s'orientaient vers une unité dans l'uniformité. Le niveau, emblème de la Maçonnerie, correspondait à leur projet principal. "(Bernard Faÿ, La Grande révolution 1715-1815, Le Livre contemporain, Paris 1959, p. 244.)

 

"Une loi de déraison ou d'iniquité n'engage pas en conscience." (François Bluche, louis XIV). Le mouvement actuel de désobéissance civile. Les 11 actes de désobéissances civiles les plus mémorables de l'histoire étaient tous fondés sur le respect de cette loi naturelle, elle-même d'origine divine.

 

C'est sans doute cette pensée constitutive d'une unité dans la diversité face à l'uniformité du projet mondialiste qui sous-tend aujourd'hui encore l'ensemble du mouvement de la Résistance s'opposant à la mondialisation de la grande réinitialisation.

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23 janvier 2021 6 23 /01 /janvier /2021 08:10
Les professionnels de la montagne devant la préfecture de Savoie interpellent le gouvernement

Bus, métros, trains sont des endroits ventilés pour le gouvernement et ne nécessitent pas de fermeture, en revanche, mers et plages, montagnes et remontées mécaniques sont des endroits non ventilés et doivent être fermées! 

Professions essentielles et professions non essentielles, rupture de l'égalité... Deux poids deux mesures.

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23 janvier 2021 6 23 /01 /janvier /2021 07:55
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22 janvier 2021 5 22 /01 /janvier /2021 17:16
L'archevêque de San Francisco répond à Pelosi : "Aucun catholique en bonne conscience ne peut favoriser l'avortement"

Dans un podcast diffusé le 18 janvier avec l'ancienne sénatrice et candidate à la présidence Hillary Clinton, la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi a déclaré que le soutien des électeurs pro-vie à l'ancien président Donald Trump était une question qui "me chagrine beaucoup en tant que catholique"

 

San Francisco, Calif.., 21 janvier 2021 / 01:20 pm (CNA). L'archevêque de San Francisco a répondu jeudi au président de la Chambre des représentants qui accusait les électeurs pro-vie de Trump d'être des vendus.

 

"Je pense que Donald Trump est président à cause de la question du droit des femmes à choisir", a-t-elle déclaré à propos de l'avortement, laissant entendre que les électeurs pro-vie ont poussé Trump à la victoire en 2016.

 

Jeudi, l'archevêque de Pelosi a répondu à ses commentaires sur l'avortement et le vote : "Aucun catholique en bonne conscience ne peut être favorable à l'avortement", a déclaré l'archevêque Salvatore Cordileone de San Francisco, le diocèse de Pelosi, dans un communiqué publié jeudi. "Notre terre est trempée du sang des innocents, et cela doit cesser."

 

Pelosi soutient depuis longtemps l’avortement en dépit de sa foi catholique. En 2008, elle a déclaré sur la chaîne NBC "Meet the Press" concernant le moment où la vie commence, "au fil des siècles, les médecins de l’église n’ont pas été en mesure de faire cette définition." Elle a dit que sa foi catholique "ne devrait pas avoir d’impact sur le droit de choisir d’une femme".

 

Jeudi, Mgr Cordileone a précisé que " Nancy Pelosi ne parle pas au nom de l’Eglise catholique".

 

"Et sur la question de l’égalité de dignité de la vie humaine dans l’utérus, elle [Pelosi] parle aussi en contradiction directe avec un droit humain fondamental que l’enseignement catholique défend depuis 2 000 ans", a déclaré Cordileone.

 

L’archevêque a ajouté que l’utilisation par Pelosi de l’expression "droit de choisir" en référence à l’avortement "était un écran de fumée pour perpétuer toute une industrie qui profite de l’un des maux les plus odieux imaginables".

 

En 2010, l’ancien archevêque de San Francisco, George Niederauer, avait qualifié le soutien de Pelosi à l’avortement de "totalement incompatible avec l’enseignement catholique".

 

Pelosi a indiqué en août qu’elle avait l’intention de présenter en 2021 des projets de loi de dépenses qui n’incluent pas l’amendement Hyde, permettant ainsi des avortements financés par les contribuables à Medicaid. Il n’est pas clair si les démocrates auraient les voix dans les deux chambres du Congrès pour finalement abroger Hyde.

 

Dans sa déclaration de jeudi, M. Cordileone a déclaré qu'il ne "présumerait pas" des raisons pour lesquelles des personnes ont voté pour Trump. "Il y a de nombreuses questions aux conséquences morales très graves que les catholiques doivent peser en toute conscience lorsqu'ils votent", a-t-il déclaré.

 

Cordileone a également soutenu Mgr Jose Gomez, président de la Conférence épiscopale des États-Unis, qui a adressé une déclaration de prière et de félicitations au nouveau président Joe Biden, et a noté des points d’accord et de désaccord entre Biden et les évêques.

 

Gomez, dans sa déclaration sur l’investiture de Biden, a réitéré que la fin de l’avortement est la "priorité prééminente" de la conférence en raison de sa menace pour les familles et le grand nombre de victimes de l’avortement.

 

Le langage sur l’avortement a reçu l’opposition de l’intérieur de la conférence, y compris par le cardinal Blasé Cupich de Chicago qui a publié une déclaration cinglante de la critique des paroles de Gomez, l’AIIC a rapporté.

 

Le langage sur l'avortement a suscité une opposition au sein de la conférence, notamment de la part du cardinal Blase Cupich de Chicago qui a publié une déclaration cinglante critiquant les paroles de Gomez, rapporte CNA.

 

Cordileone a remercié jeudi Gomez d’avoir réaffirmé la priorité de la conférence et a ajouté que ce n’est pas parce que l’avortement est une préoccupation "prééminente" qu’il s’agit de la "seule" préoccupation de la conférence.

 

"Dans son discours inaugural d’hier, le président Biden a lancé un appel émouvant à l’unité et à la guérison", a déclaré Cordileone, et a ajouté que les accusations de Pelosi contre les pro-vie n’étaient pas "le langage de l’unité et de la guérison. Elle doit des excuses à ses électeurs."

 

Les chrétiens ont toujours compris que le commandement "Tu ne tueras pas" s'applique à toute vie, y compris la vie dans l'utérus", a déclaré Mme Cordileone. "Le pape François poursuit cet enseignement ininterrompu."

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20 janvier 2021 3 20 /01 /janvier /2021 08:05

Dans un tweet, Martine Wonner, médecin psychiatre, députée Libertés et Territoires, demande : "Combien de personnes doivent décéder encore, avant que @Sante_Gouv décide de suspendre la #vaccinationCovid ?"

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19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 20:36
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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 20:02

Hervé Guihard dénonce une absence de concertation de la part du gouvernement alors que la mesure est en vigueur depuis samedi sur tout le territoire métropolitain.

 

le maire de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), Hervé Guihard, l'assure : dans sa commune, "on ne va rien changer". Il s'explique, samedi sur franceinfo : "On va continuer à ouvrir les écoles, les crèches, les centres de loisirs, les centres d'accueil jusqu'aux horaires classiques. Parce que sinon, ce sont toujours les plus défavorisés qui trinquent." (Franctvinfo)

 

Lire l'étude de Stanford qui confirme les propos du maire de Saint Brieuc et que nous avons traduit, ainsi que les déclarations d'un des co-auteurs de l'étude de Stanford, le Dr. Jay Battacharya : "Les confinements ont protégé les riches, les personnes qui peuvent travailler à domicile sans perte de revenus, ils n'ont pas protégé tous les autres." (Info NTD)

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 18:54
Alerte : hécatombe dans les EHPAD et accélération de la vaccination des personnes trisomiques

On est le 18 janvier 2021. Dans Nice-Matin, en couverture, on nous dit qu'il y a une hécatombe dans les Ehpad, parmi les personnes très âgées. 

À Nice, exactement là où le maire a demandé une campagne agressive de vaccination "pour tout le monde le plus vite possible", pour "rentrer sur la vaccination généralisée". "L’heure n’est pas à la polémique. ... Le gouvernement fournit maintenant des vaccins à un rythme acceptable, on vaccine", a déclaré au Figaro, mercredi 13 janvier, le maire de Nice Christian Estrosi.

 

Résultat : on dénombre 50 morts du Covid-19 en trois jours sur la Côte d'Azur.

 

Georgia Pouliquen a pensé à la seconde guerre mondiale et aux mêmes catégories de personnes qui étaient pourchassées durant la Seconde guerre mondiale, les handicapés, les personnes âgées, et les personnes vulnérables qui ne sont pas en état de donner leur consentement libre et éclairé, qui ne connaissent pas les conséquences - et personne ne les connaît - de ces soit-disant vaccins qui ne sont en réalité, selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude que des thérapies géniques. Cf. Voir la dernière video censurée hier de Alexandra Henrion-Caude. Puisque aucune étude n'a encore présenté les effets secondaires (pour les confinements il aura fallu attendre plusieurs mois pour voir sortir l'étude de l'Université de Stanford démontrant que les confinements n'ont aucune effet significatif sur la réduction de Covid-19).

 

"Donc on est allé beaucoup trop vite. Mais ce qui pose problème, c'est la cible de ces vaccins. On ne doit pas fermer les yeux, on me pardonnera la comparaison, mais cette catégorie de personnes visées par le vaccin est exactement la même que celle des personnes qui ont été exterminées par les nazis durant la Seconde guerre mondiale.

 

"La comparaison pose question. La volonté d'accélérer pose question. les chiffres des décès post vaccination en Norvège" (posent question). Va-t-on encore longtemps fermer les yeux sur ce qui est en train de se passer ? Je rappelle qu'il y a des gens qui ont longtemps fermer les yeux pendant la Seconde guerre mondiale pendant qu'on exterminait des gens de ces mêmes catégories", explique justement Georgia Pouliquen. 

 

"Je rappelle les mots de Sophie Marceau sur le film Hold-up, lorsqu'elle a fait ce message sur instagram : 'Ils nous appellent inutiles !' "

https://www.nicematin.com/sante/covid-19-cinquante-morts-supplementaires-recenses-en-trois-jours-dans-les-ehpad-de-la-cote-dazur-631580

https://www.nicematin.com/sante/covid-19-cinquante-morts-supplementaires-recenses-en-trois-jours-dans-les-ehpad-de-la-cote-dazur-631580

https://www.nicematin.com/sante/les-maisons-de-retraite-des-alpes-maritimes-payent-un-lourd-tribut-a-la-pandemie-de-covid-19-632000

https://www.nicematin.com/sante/les-maisons-de-retraite-des-alpes-maritimes-payent-un-lourd-tribut-a-la-pandemie-de-covid-19-632000

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-pourquoi-les-personnes-atteintes-de-trisomie-21-seront-vaccinees-a-partir-de-lundi_4257565.html

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-pourquoi-les-personnes-atteintes-de-trisomie-21-seront-vaccinees-a-partir-de-lundi_4257565.html

"Rappelons les mots de Macron "au début de son mandat, allant dans une gare et croisant des gens : 'il y a les gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien.' Vous comprenez ?"

Alerte : hécatombe dans les EHPAD et accélération de la vaccination des personnes trisomiques

"Des gens qui ne sont rien". Ca, c'était aussi des mots qui étaient utilisés pendant la Seconde guerre mondiale

 

Il faut lancer l'alerte là-dessus absolument ! Les personnes les plus fragiles et qui ne sont pas en état de donner leur consentement libre et éclairé sont les cibles de ce vaccin.

 

Cela rappelle la Seconde guerre mondiale. On ne peut pas fermer les yeux.

 

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Et partagez cette information. Il faut absolument faire quelque chose. Merci.

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 16:16

Tim Brown 18 janvier 2021

Alors que la désobéissance civile se développe non seulement aux États-Unis mais dans le monde entier, c'est un rappel important des moments incroyables de l'histoire où les hommes se sont opposés à la tyrannie.

 

Lawrence W. Reed de la Fondation pour l'éducation économique nous rappelle 11 des actes de désobéissance civile les plus mémorables de l'histoire.

 

La «désobéissance civile» suscite une gamme de réactions lorsque les gens entendent le terme. Certains grimacent instinctivement, la considérant comme antisociale ou subversive.

 

D'autres, comme moi, veulent en savoir plus avant de juger. Qu'est-ce qui pousse quelqu'un à s'y engager? Qui sera affecté et comment? Qu'est-ce que la personne «désobéissante» espère accomplir? Existe-t-il des actions alternatives qui pourraient être plus efficaces?

 

Un de mes premiers souvenirs d'enfance était un acte de désobéissance civile. Ma famille résidait près de Beaver Falls, en Pennsylvanie, à environ 18 km de la ville frontalière de l'Ohio de Negley. À l'époque, la Pennsylvanie interdisait l'introduction et la vente non autorisées de lait de l'Ohio. Lors de nombreux samedis de la fin des années 50 et du début des années 60, mon père et moi nous rendions à Negley et remplissions la banquette arrière de notre voiture avec du lait bon marché. Pendant le trajet de retour à la maison, il m'a averti de "garder couvert et de ne rien dire si les flics nous arrêtent".

 

Pour moi, la contrebande de lait était une aventure passionnante. C'était carrément excitant de se soustraire à une loi stupide tout en gardant un œil sur un flic qui n'aurait peut-être rien de mieux à faire que de démanteler quelques marchands laitiers notoires. Je sais que mon père a gagné quelques dollars en revendant le lait à des voisins heureux. Nous n’avons jamais eu de regrets ni de douleurs de conscience pour avoir commis ce crime sans victime. Nous soutenions simplement une cause que même Abraham Lincoln aurait peut-être soutenue lorsqu'il déclara: "La meilleure façon de faire abroger une mauvaise loi est de l'appliquer strictement."

 

Les représentants du gouvernement détestent la désobéissance civile parce que c'est la façon d'un citoyen mécontent de lever le nez. Si nous ne sommes pas satisfaits des lois ou des politiques stupides, destructrices, corrompues, contre—productives, inconstitutionnelles ou indéfendables, ils nous conseillent de faire la chose “démocratique” - ce qui signifie espérer le meilleur lors d'une élection future, se présenter en ligne pour être condescendu à une audition publique ennuyeuse, ou tout simplement se taire.

 

Mon expert en la matière n’est ni un politicien, ni un prédicateur, ni un universitaire. C'est Henry David Thoreau, qui a demandé : "Le citoyen doit-il jamais pour un moment, ou dans une moindre mesure, démissionner de sa conscience au législateur? Pourquoi chaque homme a-t-il alors une conscience? Je pense que nous devons d'abord être des hommes, et des sujets ensuite."

 

Si le choix est l'obéissance ou la conscience, je fais de mon mieux pour choisir la conscience.

 

Historiquement, la désobéissance civile - le refus de se conformer à une loi ou à un commandement d'une autorité politique - est extrêmement courante. Parfois, elle est calme et largement invisible. D'autres fois, elle est bruyante et publique. Pour qu'un acte soit un acte de désobéissance civile, il doit être accompagné d'objections de principe ou philosophiques à une loi ou à un ordre (pour exclure des actes tels que le simple vol, la fraude, etc.).

 

Certains théoriciens politiques soutiennent que pour être qualifié de désobéissance civile, un acte doit être pacifique; d'autres autorisent la violence dans leur définition du terme. Les révolutions sont certainement des actes de désobéissance, même si, du fait qu'elles ont tendance à s'accompagner de violence, elles ne sont souvent pas très "civiles". En tout état de cause, la violence indéfendable de cette semaine à Washington ne doit pas nous aveugler sur l’histoire très honorable d’une véritable désobéissance civile et ses motivations plus élevées.

 

Voici une courte liste de ce que j'appelle «de grands moments de désobéissance civile». Il n'y a pas d'ordre particulier autre que chronologique, et je ne dirais même pas que ce sont tous parmi les «meilleurs» exemples de l'histoire. Ils sont, au moins, matière à réflexion intéressante. Voyez combien d'entre eux vous pourriez approuver.

 

1. Défier un pharaon dans l'Égypte ancienne

Le premier chapitre du livre de l'Exode de l'Ancien Testament fournit ce qui est probablement le plus ancien exemple enregistré de désobéissance civile. Cela remonte à environ 3 500 ans. Deux sages-femmes en Égypte, nommées Shiphra et Pouah, ont désobéi à l'ordre du pharaon de tuer tous les bébés hébreux mâles à la naissance. Lorsqu'elles ont été appelées à rendre des comptes, elles ont menti pour couvrir leurs traces. Le récit de l'Exode dit que leur défiance a plu à Dieu, qui les a récompensées pour cela. Donc, quiconque dit que Dieu est toujours du côté des politiciens doit lutter contre cet exemple, ainsi que le suivant.

 

2. La représentation d'Antigone par Sophocle *

Le dramaturge Sophocle a écrit de nombreuses tragédies littéraires, dont l'une (bien que fictive) raconte l'histoire d'Antigone. Créon, le roi de Thèbes, tente de l'empêcher de donner à son frère Polynice un enterrement convenable. Antigone a déclaré que sa conscience était plus importante que n'importe quel décret royal. Elle a été condamnée à mort pour son mépris mais ne s'est jamais rétractée.

 

3. La Judée et le massacre des innocents

Le livre de Matthieu dans le Nouveau Testament révèle que lorsqu'on lui a dit qu'un Messie juif était né à Bethléem, le roi Hérode s'est senti personnellement menacé. Il a ordonné aux mages (les trois sages en visite) d'aller en ville, de trouver le bébé, puis de lui faire rapport. Comme nous le savons tous, les mages se sont effectivement rendus à Bethléem où ils ont présenté des cadeaux à Joseph, Marie et l'enfant Jésus, mais ils ont ensuite désobéi à Hérode et ont disparu. Dans un accès de colère, le roi ordonna alors l'exécution de tous les garçons de moins de deux ans dans les environs de Bethléem. Si Joseph et Marie et les autres qui les ont aidés n'avaient pas refusé de se plier, l'histoire du christianisme serait bien différente.

 

4. Robert Bruce défie un pape

En 1317, le pape a exigé que le roi Robert I d'Ecosse (mieux connu sous le nom de Robert Bruce) embrasse une trêve avec les Anglais lors de la première guerre d'indépendance écossaise. Pour son refus de suivre les ordres du pape, Robert a été excommunié. Les nobles écossais ont porté le défi de leur roi au niveau supérieur en 1320 dans une lettre connue sous le nom de Déclaration d'Arbroath. C'était la première fois dans l'histoire qu'un groupe organisé de personnes affirmait que c'était le devoir d'un roi de gouverner avec le consentement des gouvernés et le devoir des gouvernés de se débarrasser de lui s'il ne le faisait pas. "Ce n'est pas pour les honneurs, la gloire ou la richesse que nous combattons", déclarèrent- ils, "mais pour la liberté seule, à laquelle aucun homme bon ne renonce que par sa vie." Voir Sept siècles depuis William Wallace.

 

5. Le stand de Flushing pour les quakers

Le gouverneur Peter Stuyvesant des colonies hollandaises d'Amérique du Nord n'aimait pas les Quakers. En 1656, il a commencé à les persécuter et a exigé la participation des autorités locales. L'année suivante, les citoyens de Flushing (aujourd'hui Queens, New York) ont rédigé et signé un document connu sous le nom de Flushing Remonstrance. Comme je l'ai récemment écrit, ces braves gens ont essentiellement dit à Stuyvesant: "Vous nous commandez de persécuter les Quakers. Nous ne le ferons pas. Alors prends ton intolérance et mets-la là où le soleil ne brille pas." Le gouverneur a fermé le conseil municipal de Flushing et a arrêté certains des signataires du document, mais la Compagnie des Indes occidentales néerlandaises lui a finalement ordonné d'annuler sa politique de persécution.

 

6. Smashing Tea Party de Boston
Personne ne prend le thé comme les colons mécontents de Beantown. En 1773, le Parlement britannique a conféré à la Compagnie britannique des Indes orientales un monopole commercial sur le commerce du thé. Cela, ainsi que la "taxation sans représentation", a incité les Fils de la Liberté à organiser le célèbre Boston Tea Party, un événement organisé par Samuel Adams et d'autres patriotes américains. Sous le couvert de la nuit, les colons montèrent à bord d'un navire britannique et jetèrent sa cargaison de thé dans le port de Boston. Trois ans plus tard, la désobéissance civile avait évolué vers une Déclaration d'indépendance et une guerre ouverte entre la Grande-Bretagne et ses colonies américaines.

 

 

7. L'évasion audacieuse de Robert Smalls

Robert Smalls est né esclave en Caroline du Sud en 1839. Vingt-trois ans plus tard, lors d'une audacieuse évasion, lui et d'autres amis esclaves ont réquisitionné un navire de transport confédéré dans le port de Charleston. Ils l'ont fait passer devant les canons confédérés et se sont engagés dans l'étreinte du blocus de l'Union. Je partage cet exemple comme étant emblématique de la désobéissance civile historique de tous les esclaves en fuite, ainsi que du soutien courageux qu'ils ont reçu de la part d'autres personnes qui ont défié les lois sur les esclaves en fuite et leur ont apporté une aide vitale. Le combat pour la liberté des Noirs américains ne s'est pas terminé avec la guerre de Sécession. N'oublions pas ceux qui ont résisté aux lois Jim Crow, comme Rosa Parks. Elle a commis une désobéissance civile en refusant de céder son siège d'autobus à Montgomery, en Alabama.

 

 

8. Partout, aux États-Unis

De 1920 à 1933, l'Amérique s'est engagée dans la croisade quichotte à l'échelle nationale contre l'importation, la fabrication, le transport et la vente de boissons alcoolisées connue sous le nom de Prohibition. Les gens ont bu quand même. Les femmes, qui auparavant ne se présentaient presque jamais dans les bars, mangeaient maintenant dans les bars clandestins et les ruelles de tout le pays. Les hommes ont construit leurs propres alambics illégaux et se sont tirés dessus pour gagner des parts de marché. Les taux de criminalité ont grimpé en flèche. Les jurys ont souvent refusé de condamner des contrevenants évidents, et au moins un jury a bu la preuve avant de déclarer l'accusé innocent. Lorsque Woodrow Wilson a quitté la Maison Blanche en janvier 1921, il a emporté sa réserve d'alcool avec lui. Son successeur, Warren Harding, en a amené un autre. Au moment où tout a été aboli, les gens avaient vraiment besoin de la bonne boisson dure qu'ils buvaient depuis le début. (Voir Les ennemis de la prohibition.)

 

9. La fameuse marche du sel de Gandhi
En Inde, sous domination britannique, les entreprises britanniques jouissaient de privilèges de monopole. En 1882, la loi sur le sel a interdit aux Indiens de collecter ou de vendre le sel, un aliment de base. Le ressentiment contre la loi et la domination britannique en général a finalement donné lieu à la célèbre Marche du sel de Mohandas Gandhi en 1930. Un grand nombre d'Indiens ont suivi Gandhi dans une manifestation pacifique sur une distance de 240 miles jusqu'à la mer d'Arabie. Plus de 55 000 personnes ont été arrêtées, mais l'Inde a finalement obtenu son indépendance en 1947.

 

10. Le stand héroïque de Sophie et Hans Scholl

Sophie Scholl et son frère Hans étaient étudiants à l'Université de Munich lorsque, au plus fort du pouvoir d'Hitler en 1942, ils formèrent le Mouvement de la Rose Blanche. Par milliers, ils ont imprimé et distribué des tracts dénonçant la domination nazie et les atrocités contre les juifs. Ils ne se sont jamais livrés à la violence alors qu'ils s'efforçaient de saper le soutien au régime. Ils ont finalement été découverts, arrêtés, traduits en justice et décapités. Leur histoire est tristement mais joliment racontée dans le film de 2005, Sophie Scholl: Les derniers jours.

 

11. La "révolution du chant" en Europe de l'Est

L'"empire du mal" de l'Union soviétique s'est effondré au cours de l'année charnière de 1989, mais avant cela, les citoyens des États baltes jusqu'en Roumanie ont rendu la vie impossible pour les seigneurs communistes. En Estonie, la "Révolution chantante" a mis en musique une désobéissance civile généralisée. En Pologne, une clandestinité florissante a produit des marchés noirs massifs jusqu'à ce que le régime communiste déclare le pays "ingouvernable" et organise des élections libres. Lorsque le dictateur roumain Nicolae Ceausescu a envoyé des troupes pour arrêter un pasteur à Timisoara, des fidèles non armés ont appelé l'église pour le défendre. Les soldats ont refusé de tirer sur eux et la révolution roumaine était en cours; le dictateur était mort en un mois.

 

___________

 

Je vous demande maintenant, cher lecteur, où vous situez-vous à chacune de ces occasions historiques de désobéissance civile ? Personnellement, je peux dire que j'applaudis chacune d'elles, de tout cœur et sans réserve. Mais en tant qu'ancien contrebandier de lait, je suis peut-être partial.

 

Les sermons du prédicateur colonial américain, le révérend Jonathan Mayhew (1720-1766), sont à l'origine de la devise révolutionnaire "La résistance aux tyrans, c'est l'obéissance à Dieu".

Je voterais pour Mayhew en un instant - deux fois, si je le pouvais.

Aujourd'hui, plus que jamais, le monde lui-même est confronté à un assaut de tyrannie, comme nous n'en avons jamais vu auparavant.  Il appartient aux hommes et aux femmes de conviction et de principes moraux de s'opposer à la tyrannie, et c'est ce que nous ferons par la grâce de Dieu !  Ce que les morts-vivants nous ont appris sur l'Islam.

 

Article publié avec l'autorisation de Sons of Liberty Media

 

Source : Dcdirtylaundry 

___________

* Lire : Lorsque l’ordre institué par les mortels viole la loi de la nature, faut-il se soumettre au droit positif, fut-il inique ? L’ordre injuste et le réveil des consciences

Du devoir de résistance : Antigone, héroïne de la loi naturelle

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16 janvier 2021 6 16 /01 /janvier /2021 22:36
 Le Texas envisage de quitter les Etats-Unis pour rejoindre d'autres états intéressés

La volonté du Texas de se séparer des États-Unis rejoint celle d'autres États. 

 

Lundi, le représentant du Texas, Kyle Biedermann, a rejoint le présentateur de NewsmaxTv, Chris Salcedo. Kyle Biedermann dirige le mouvement de sécession au Texas et mène une action pour sauver le Texas des marxistes démocrates qui ont volé le pouvoir à Washington DC lors des élections de 2020.  Il a déclaré à Christ Salcedo que les législateurs du Texas avaient reçu des appels de plusieurs autres états exprimant leurs intérêts à rejoindre également le mouvement de sécession.

 

Ils ont analysé que puisque le communisme est une violation de la constitution américaine il pourrait être difficile pour les tribunaux américains de s'opposer à la sécession du Texas. Biedermann a déclaré que les corps législatifs du Texas présenteraient un projet de loi qui soulèverait la question de savoir si le Texas devrait devenir un état indépendant, et que si la majorité de la population du Texas choisissait l'indépendance du Texas, le gouverneur, le président de la chambre de l'état et les membres du sénat de l'état mettraient en place un comité chargé d'examiner les questions qui devraient être résolues pour former cet état indépendant. Un processus qui prendrait deux ans, au cours duquel la population du Texas pourrait se plaindre si elle n'est pas satisfaite. Et le comité devrait examiner la possibilité de se retirer des États-Unis. Son équipe qui a fait de nombreuses études dans ce domaine depuis des années affirme que la sécession est tout à fait réalisable.

 

Selon Biedermann le Texas est dans une position unique. Non seulement il a un esprit indépendant. 95% des terres sont privées, mais il possède aussi des ressources naturelles, son propre réseau électrique et son propre trésor. "Nous avons beaucoup de choses que les autres états n'ont pas", a-t-il dit.

 

En effet, en examinant l'histoire du Texas on peut voir que c'était une réponse parfaitement naturelle pour le Texas que celle de demander la sécession de l'Union dans ces circonstances.

 

Le Texas est un état différent des autres, en ce sens qu'il est le seul état à avoir été intégré aux États-Unis en tant que nation par le biais de négociation pacifique.

 

Au début du XIXe siècle, le Texas faisait partie du Mexique. C'était une prairie sauvage et inhabitée. Afin d'encourager davantage de personnes à la développer, le gouvernement mexicain a promulgué la loi générale de colonisation et la loi sur l'immigration qui ont incité un grand nombre d'immigrants à s'y installer. Quelques années plus tard, le gouvernement mexicain a interdit aux étrangers à s'installer au Mexique, a abrogé la loi générale de colonisation, a rendu le régime foncier accessible uniquement aux citoyens mexicains et à renforcer les règlementations concernant les Américains locaux en les obligeant à apprendre l'espagnol et à pratiquer le catholicisme romain.

 

En 1832 les immigrants américains ont lancé un mouvement de désobéissance et peu après le lancement du décret mexicain le Texas a entamé une énorme marche de protestation mais celle-ci a été violemment réprimée par le gouvernement mexicain. Cependant le conflit entre les deux parties n'a pas diminué avec la répression de l'armée mexicaine mais s'est au contraire aggravé avec le temps.

 

En 1835, sous la direction de Sam Houston, le Texas a officiellement déclaré son indépendance du Mexique et les troupes mexicaines stationnées au Texas ont été expulsées. Le gouvernement mexicain a envoyé des troupes et la milice texane pour commencer de lourds combats à Alamo en 1836. Une bataille qui a duré un demi mois. L'armée texane avait à peine gagné la bataille au Texas mais en même temps le gouvernement mexicain avait complètement perdu le Texas. La bataille d'Alamo a complètement poussé les texans à la rébellion. Et un peu plus tard en 1836 les Texans ont pu vaincre l'armée mexicaine après plusieurs victoires et capturé le plus haut responsable militaire du Mexique. Le gouvernement mexicain a été officiellement contraint à signer un traité renonçant formellement à son intervention au Texas. Dès lors le Texas a acquis un statut indépendant mais le président des États-Unis Jackson n'a pas accepté la demande d'adéhsion du Texas aux États-Unis par crainte d'une intervention européenne et d'une nouvelle attaque mexicaine.

 

Pendant les huit années suivantes le Texas a existé en tant qu'état indépendant et a été reconnu par la Grande-Bretagne et la France.

 

Bien que le Texas ait finalement rejoint les États-Unis en 1845, le Texas a déclaré sa sécession de l'Union le 1er février 1861. Et après neuf ans de guerre civile, le Texas a pleinement rejoint l'Union le 30 mars 1870 et le reste jusqu'à aujourd'hui.

 

Ces dernières années l'économie du Texas a été la deuxième plus importante des États-Unis derrière la Californie. Et comme les forces de gauche en Californie ont infiltré différents domaines de la société dans l'état, de grandes entreprises ont quitté la Californie pour s'installer au Texas, faisant du Texas le deuxième état le plus riche des États-Unis, après la Californie. Ce qui a donné au Texas une base plus solide pour son indépendance.

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16 janvier 2021 6 16 /01 /janvier /2021 10:26
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15 janvier 2021 5 15 /01 /janvier /2021 10:41

C'est la même stratégie que celle des russes en 1989-1991 lorsque l'URSS s'est effondrée sur elle-même, comme une coquille vide. Il ne restait plus à l'intérieur des institutions communistes que les vieux apparatchiks gérontocrates. 

 

Pour notre situation aujourd'hui, dans cet immense camp de confinement et de vaccination que deviennent nos sociétés, voici les mots d'un médecin. Le docteur Fouché le dit, avec ces mots :

"Notre culture n'est pas d'être à la fin le cobaye de Big Pharma, ce n'est pas vrai. Et donc vous savez très bien que ce système va s'effondrer parce que ce n'est pas viable. Et il faut juste le laisser s'effondrer tout seul, et tenir.

 

"Tenir, cela ne veut pas dire se laisser faire. Vous ne devez pas vous laisser vacciner si vous êtes contre le fait de vous faire vacciner. Vous ne devez pas vous retrouver confiné dans un camp de confinement si vous ne voulez pas être dans un camp de confinement.

 

"[...] N'essayez pas de convaincre l'autre, mais au contraire essayez d'être dans l'empathie maximale.

 

"L'autre, il défend la narration gouvernementale, sans même savoir pourquoi. Sans même savoir qu'elle est fausse parfois. Ou il ne veut pas voir qu'elle est fausse, et il va s'aveugler parce qu'il cherche à rester en lien. Et cela est juste. Et il faut plutôt aller appuyer sur ce qui est juste chez l'autre, l'écouter.

 

"Parlez en souveraineté. En communication non violente, on dit parler au jeu parce que cela ne crée pas de violence. Au contraire, cela crée les conditions d'une écoute. Tenez le rapport de force.

 

"Mettez-vous en lien avec des gens qui pensent comme vous, regroupez-vous, et là vous allez voir que vous avez une puissance d'agir dans le réel qui est très importante.

 

"Donc ne restez surtout pas seuls, et transformez la colère en courage."

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14 janvier 2021 4 14 /01 /janvier /2021 08:05

Le 9 janvier, un collectif de médecins, de soignants et de scientifiques qui ne partagent pas la vision de la gestion de la crise sanitaire Covid-19 (confinements, couvre-feu, privations de libertés) a créé une coordination indépendante "Santé Libre" pour supprimer l'état d'urgence sanitaire.

Cette coordination de personnels de la santé, sans liens et sans conflits d'intérêt avec les labos, représente "plus de 30 000 médecins, autant de soignants et plus de 100 000 citoyens".

Martine Wonner, député, membre de la coordination demande la suppression de l'état d'urgence, l'impact social étant énorme, le libre accès aux soins, la liberté de prescription et la permission pour les citoyens d'avoir "la liberté de se vacciner ou non, sans extorsion de liberté, et avec un véritable consentement éclairé."

La coordination demande également un débat sur ce fameux décret passé avant Noël limitant la liberté d'expression des médecins.   

 

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13 janvier 2021 3 13 /01 /janvier /2021 10:25
On est carrément dans le totalitarisme, ce n’est plus la peine de parler de démocratie

D'Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie :

 

"Je m’appelle Ariane Bilheran, je suis psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie. [...] Et je m’intéresse tout particulièrement depuis des années à la question de la déviance du pouvoir au niveau psychopathologique, c’est-à-dire aux pathologiques que sont la perversion et la paranoïa essentiellement, et je dirai qu’il y a un point d’étude qui m’interpelle tout particulièrement car il n’est quasiment pas travaillé or il me paraît essentiel, c’est la question de la contagion délirante dans les collectifs, comment ça opère…

 

En fait on sait que le délire paranoïaque peut être contagieux, et comment opère cette contagion d’un psychisme à un autre ?

 

Et ceci me paraît essentiel pour expliquer les dérives totalitaires dans l’Histoire, que l’on ne peut pas simplement expliquer par des tyrans.

 

C’est qu’à un moment donné il y a dans le peuple quelque chose qui s’active et qui participe au phénomène de façon complice.

 

[...] [L]a paix n’est qu’un moment d’accalmie dans toute l’Histoire de l’humanité, c’est-à-dire que l’humanité elle n’est aux prises qu’avec des complots contre elle-même. C’est intéressant parce que j’ai indiqué à des personnes autour de moi, voilà je vais participer etc., de quoi il faudrait que je parle à votre avis ?

 

Et on m’a répondu : « surtout, surtout tu ne parles pas du complot ».

 

Alors évidemment j’ai envie de commencer par ça !

 

[...] Premièrement, il y a une constante dans l’Histoire de l’humanité, c’est que ceux qui ont des privilèges au détriment de ceux qui n’en ont pas, se sentent persécutés par ceux qui n’en ont pas, parce que ceux qui n’en ont pas et qui sont plus nombreux pourraient éventuellement se rendre compte qu’ils ont confisqué des privilèges, et même, pourquoi pas les tuer.

 

Et donc, ils organisent des complots contre ceux qui n’en ont pas.

 

[...] C’est l’Histoire de l’humanité, sauf qu’il y a quelque chose d’absolument inédit aujourd’hui, c’est qu’on n’a pas le droit de le penser.

 

Et que toute pensée sur cette question est criminalisée.

 

Alors, pourquoi la pensée elle est criminalisée ?

 

Pour éviter de penser les crimes. C’est tout simplement cela.

 

 

[...] Les tyrans ont plus d’un tour dans leur sac pour soumettre les foules.

 

Et cette année est le symptôme d’une dégénérescence dans laquelle nous sommes depuis très longtemps.

 

Moi déjà en 2010, dans un livre, je parlais de « démocratie totalitaire »,

 

Bah aujourd’hui, je vais vous le dire : on est carrément dans le totalitarisme, ce n’est plus la peine de parler de démocratie, car l’opinion du peuple et son consentement : on s’en fout !

 

L’État décide pour vous. Ce que vous faites, où vous allez, ce que vous avez le droit de boire ou pas, puisque maintenant ici, en tout cas il y a eu la loi sèche, interdiction de vendre de l’alcool.

 

L’État décide qui vous avez le droit de voir, qui vous n’avez pas le droit de voir, l’État décide pour vous.

 

L’État pense pour vous.

 

L’État s’intruse dans l’intime pour vous.

 

[...]

 

A partir du moment où l’on vient nous expliquer que « ceci est pour notre bien », ça doit déclencher des alarmes… très importantes, très importantes…

 

Lire : La société de l'injonction au bonheur ou du bonheur obligatoire

 

Donc quatrième stratégie, il y en a beaucoup mais on peut énumérer les essentielles.

 

La stratégie de la division. Je n’aurai confiance en des gouvernants que le jour où ils auront des discours d’union des peuples.

 

On a bien vu que tout ce qui s’est passé en 2020, ce sont des stratégies de division du corps social.

 

C’est-à-dire, la ligne de fracture n’est plus entre ceux qui ont des privilèges, et ceux qui n’en ont pas, c’est-à-dire entre les maîtres qui confisquent tout, et les esclaves à qui on laisse les restes, mais elle devient une ligne de fracture tout à fait invisible, puisque c’est un ennemi invisible.

 

Ça, c’est très très raffiné aussi, c’est un ennemi invisible.

 

Donc la ligne de fracture c’est au sein du corps social, chacun peut devenir mon ennemi. Chacun peut être contagieux.

 

Et au sein de ma propre famille, je peux avoir des ennemis. Et d’ailleurs, ils sont tellement mes ennemis, qu’on va venir les mettre en quarantaine, comme dans certains pays, et on va venir les arracher à leur groupe d’appartenance.

 

Et ça, c’est très totalitaire.

 

Hannah Arendt avait bien précisé que le totalitarisme, pour fonctionner, il a besoin de casser les groupes d’appartenance.

 

En particulier les classes sociales, mais bien sûr la famille est un groupe d’appartenance.

 

Donc on a cette stratégie de division, où en fait on oriente les gens vers des divisions internes, est-ce qu’il faut porter le masque ou pas le masque, est-ce qu’on est noir ou on est blanc, est-ce qu’on est chrétien ou musulman, etc. etc.

 

Or la question est plutôt : est-ce que nous avons des privilèges ?

 

Ou pas ? Et à qui profite le crime ? Alors « à qui profite le crime ? », maintenant il paraît que c’est une question « conspirationniste ».

 

Donc, j’annonce à tout le monde que Cicéron, le grand philosophe romain, était « conspirationniste », c’est important !

 

C’est une question essentielle en matière d’investigation : à qui profite le crime ?

 

A qui profite l’orchestration de la paralysie de l’humanité cette année ?

 

C’est une question essentielle.

 

 

 

ReinfoCovid

___________

Le peuple continue d'apprendre de ces événements à se réapproprier le pouvoir qu'il peut avoir sur la décision politique. Ce qui est le propre de la démocratie organique, celle qui existait avant 1789 où le peuple avait plus de prise sur la décision qu'il n'en allait avoir après...

 

Depuis 1789, "(e)n théorie, le nouveau citoyen se voit reconnaître un pouvoir de contribuer à la formation des décisions, ... Mais en réalité, il a moins de prise sur la décision qu'il n'en a jamais eu (Voir P. Gueniffey, Le Nombre et la raison, p. 208-213). En effet, la participation démocratique transfère le pouvoir théoriquement possédé par les individus à une oligarchie composée de professionnels de la politique. Cette oligarchie trie les problèmes et définit les termes dans lesquels ils peuvent être résolus, médiation indispensable pour transmuer la poussière des volontés individuelles en 'volonté collective'. La toute-puissance de la 'machine', ou du parti, est la réalité de la liberté du citoyen moderne. ...[L]e pouvoir réel se trouve entre les mains du 'cercle intérieur'. ... [L]e peuple est réellement dépossédé de son pouvoir au profit du parti indispensable au fonctionnement de la démocratie. ... [L]e mensonge: la dictature d'une minorité prétendant énoncer la Volonté générale au nom du peuple mais à la place du peuple." (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 206-207).

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La première logique totalitaire apparaît sous la "Révolution française" (Stéphane Courtois)

La démocratie n'a jamais existé

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2 janvier 2021 6 02 /01 /janvier /2021 12:46

LIBERTÉ DE RELIGION

02-01-2021

La Nuova Bussola Quotidiana

Roberto Marchesini

(Ma traduction)

 

Un article de La Stampa accuse un cours de la faculté de psychologie de l'Université européenne de Rome parce qu'il adopte le manuel de bioéthique du cardinal Sgreccia, qui reflète fidèlement la doctrine de l'Église sur les questions de l'avortement et de l'homosexualité. Et au nom de la laïcité, on attend de l'Église qu'elle n'enseigne plus ces vérités. Cette position est de plus en plus explicitement affirmée, ce qui montre à quel point le dialogue avec la culture moderne est une grande déception. En réalité, la laïcité a déclaré la guerre aux catholiques, il n'y a pas de possibilité de dialogue, il faut en prendre note et faire des choix. Autant que possible.

Université européenne de Rome

Ces derniers jours , un article signé par le célèbre avocat spécialisé en divorce Bernardini De Pace est apparu en première page de La Stampa, dirigée par Massimo Giannini (cliquez ici). Pour résumer: l'auteur de l'article a découvert (elle l'a appris en lisant un article de Libero de Giulia Sorrentino) que la célèbre et estimée professeure de philosophie morale de l'Université européenne de Rome Claudia Navarini a adopté, comme texte de bioéthique, un livre écrit par le cardinal Elio Sgreccia, théologien et moraliste de premier ordre. Dans ce livre, il est écrit que la seule union sexuelle moralement licite est le mariage et que l'avortement est mauvais.

 

Je répète et résume: un cardinal de l'Église catholique a divulgué la morale catholique dans un livre de bioéthique. En fait, d'un certain point de vue, on pourrait aussi le considérer comme une actualité mais, ironie mise à part, l'article propose des idées bien plus intéressantes.

 

Je cite : "L'Église catholique, qui exprime son magistère au sein de notre État laïque [...] a-t-elle le droit d'enseigner ouvertement comment s'opposer aux lois ? Le texte cité enseigne-t-il ouvertement comment s'opposer aux lois ? Dans les extraits cités dans l'article, cela ne semble pas être le cas. Il dit que l'Organisation mondiale de la santé a corrigé le DSM (qui est le manuel de diagnostic de l'Association psychiatrique américaine, mais ne soyons pas subtils) dépathologisant l'homosexualité, mais il ne semble pas que le manuel de diagnostic d'une organisation américaine ait force de loi en Italie. Il est fait référence à "l'histoire des femmes [de toutes?] dans les années 60 et 70" ; l'histoire est-elle un droit ? Le cardinal Sgreccia affirme que la seule union sexuelle moralement licite est celle du mariage ; quelle loi cette affirmation inviterait-elle à être violée ? Pourquoi sommes-nous passés du livre d'un cardinal aux relations entre l'Église et l'État ?

 

Ensuite: "Notre État critique-t-il et se moque-t-il de l'Église?". Je crois que l'implication implicite est "Alors pourquoi l'Église critique-t-elle et se moque-t-elle de notre État?" Le saut est maintenant terminé: le sujet, maintenant, est la relation entre l'Église et l'État italien. L'Église critique-t-elle et se moque-t-elle de l'État italien? À mon humble avis, il le critique que trop peu, et ne se moque pas du tout de lui, je ne pense pas. Je comprends, cependant, que l'État italien mette continuellement l'Église dans une position inconfortable avec une attitude très peu coopérative.

 

Oubliez la mise en œuvre de 194, euthanasie masquée et la question des unions homosexuelles; voulons-nous parler de l'imposition de l'idéologie du genre dans les écoles primaires ? Ou du projet de loi Zan contre l'homotransphobie ? Non seulement il (ce projet de loi) introduit la propagation de l'homosexualité dans les écoles ( compris les écoles primaires); mais il place une épée de Damoclès menaçante sur la tête des catholiques. Les prêtres en chaire, les évêques dans leur magistère peuvent-ils divulguer ce que la Bible, le Catéchisme et la morale catholique affirment sur l'homosexualité ? C'est un piège qui peut être déclenché à tout moment, mais même s'il n'est pas tendu, il a toujours un effet menaçant. Même si indirectement (jusqu'à quand ? À la discrétion de qui ?), la loi Zan est en fait une loi qui restreint la liberté d'expression.

 

Allons-y et allons droit au but: "Est-il correct de former de jeunes psychologues en les couvrant d'une éducation vétéro-catholique, paternaliste et, oserais-je le dire, dictatoriale ? Je reformule : est-il exact qu'il existe une éducation catholique ? Est-il exact qu'il existe un enseignement gratuit et alternatif à l'enseignement laïc ? Est-il tolérable que l'Eglise enseigne, s'exprime ? Ma réponse est : évidemment oui. C'est l'une des tâches fondamentales de l'Église.

La réponse de l'avocat Bernardini De Pace est: absolument pas. Ce qui veut dire que l'Église est tolérée (jusqu'à quand?), Mais n'a pas le droit de parler. Les catholiques peuvent (malheureusement?) penser comme ils veulent, mais ils n'ont aucun droit d'expression.

 

C'est le point clé. Nous avons une culture moderne qui utilise des termes tels que "liberté", "tolérance", "pluralisme", "débat", "droits", etc. Mais ce n'est que de l'hypocrisie. Toutes ces choses s'appliquent à l'Église, et seulement tant qu'elle dispose d'un certain pouvoir. Ensuite, on enlève le masque : censure, interdiction de manifester et d'enseigner, prison. Je l'ai écrit (cliquez ici) et je le répète : chercher un dialogue avec la culture moderne signifie se faire mettre un pied dans la porte par quelqu'un qui veut voir les catholiques dans les catacombes.

 

Le Magistère de l'Église, immuable et éternel, serait-il le "vétéro-catholicisme" ? Bien sûr, parce que l'Église doit (j'insiste : doit) se mettre à jour. Évidemment, dans le sens qui plaît à ses messieurs. Le "paternalisme", je n'en parle pas : c'est un oubli ou un insert comique dans une déclaration de guerre dramatique. J'avoue que j'étais un peu confus quant à l'utilisation de ce mot dans ce contexte et j'ai eu recours au dictionnaire Garzanti : "attitude politique de souverains absolus qui ont accordé des lois ou des mesures favorables au peuple, mais en les considérant comme des actes de bienveillance personnelle, et non comme une reconnaissance de droits". C'est bon, ne nous fâchons pas.

 

Le dernier mot de l'article reste : "dictatorial". Mais comment : vous voulez empêcher l'Eglise de remplir l'une de ses principales missions, vous voulez la priver de la liberté d'expression ... et vous l'accusez d'être dictatoriale ? Ah, oui, nous l'avons déjà dit. L'invocation de la dictature n'est qu'un artifice rhétorique hypocrite ; ce n'est qu'une matraque avec laquelle on peut matraquer les catholiques. C'est la même vieille rhétorique (au moins cinq cents ans) du "tyran" qui, après tout, est celui qui s'oppose aux plans des révolutionnaires.

 

J'espère maintenant que c'est clair : nous sommes en guerre, il n'y a pas de possibilité de dialogue. il s'agit de faire un choix, tant que c'est possible.

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1 janvier 2021 5 01 /01 /janvier /2021 16:06

L'américaine Catherine Austin Fitts, éditrice du rapport Solari, explique la technocratie qui se met en place en Chine. Une technocratie dont dont nous pouvons voir que le "passeport sanitaire" en Europe servirait les intérêts, au détriment de notre liberté :

 

Merci à Quadrillage traduction

Mis à jour le 29-01-2022 :

Source: Gloria.Tv

Extrait :

 

"[...] La deuxième tactique est alors très efficace, celle du diviser pour régner.

"Si vous pouvez utiliser les médias, ceux-ci jouent un rôle très important. Et si vous pouvez monter les hommes les uns contre les autres, les Noirs contre les Blancs, et l'une des raisons pour laquelle vous importez beaucoup d'immigrants en Europe est de monter la population générale contre les immigrants. Il faut que le gouvernement se trouve au milieu.

"Il y a donc des divisions et des tactiques, mais aussi des ennemis invisibles.

"Ce sont autant de moyens d'instaurer la peur et d'amener les gens à accepter les choses. 

"Bien sûr, le virus invisible permet de mettre en place d'énormes mécanismes de contrôle. Vous pouvez les empêcher de se rassembler. Vous pouvez empêcher les gens de s'organiser, vous pouvez empêcher les gens de se réunir et de parler de ce qui se passe. Si vous les numérisez avec des contrats de traçage, vous pouvez contrôler qui parle à qui. Si vous pouvez les amener à faire tout leur travail et éducation en ligne, vous pouvez littéralement écouter tout ce qu'ils se disent. Vous pouvez mettre en place une surveillance extraordinaire, tout cela en partant du principe que nous vous protégeons du virus.

 

"[...] C'est un système de contrôle.

"Si chaque banque centrale sort une monnaie numérique, elle a la possibilité d'activer et de désactiver votre argent. Donc, si vous ne vous comportez pas correctement, c'est fini.

 

"Elles veulent combiner cela avec le transhumanisme, ce qui signifie que je prends des injections qui peuvent instituer l'équivalent d'un système de fonctionnement dans mon corps et je suis donc connecté au système financier littéralement, physiquement... Et quel est l'effet réel du confinement ?"

 

"[...]Dans une technocratie vous avez deux visions différentes du monde.

"Ma vision du monde est que les humains sont des individus souverains dont la liberté vient de l'autorité divine. C'est ce que la déclaration des droits de l'homme, la Déclaration d'Indépendance, la Constitution disent. Tout tourne autour de l'image d'un individu souverain comme quelque chose qui est libre par l'autorité divine (libre arbitre de l'homme. Ndlr.)

"(En revanche) dans la vision de la technocratie, un humain est une ressource naturelle comme un gisement de pétrole et doit être utilisé comme tel. Il n'est pas un individu souverain. Son travail est soit plus efficace, soit moins efficace qu'un robot dans différentes fonctions. En conclusion, ce que je veux dire c'est que Mr Global considère la race humaine comme du bétail et non comme quelqu'un avec qui il partage de l'empathie.

 

"[...] Les Chinois ont donc un système appelé de crédit social. Ils lient leur capacité financière et leurs possibilité à voyager et à faire d'autres choses à votre comportement. [...] Un homme où comme en Chine, la plupart des gens sont surveillés 24 heures sur 24, sept jours sur sept, et où leurs incitations financières et leur pouvoirs financiers sont liés à leur comportement. Et je décrirai cela essentiellement comme un système d'esclavage, car il n'y a pas de liberté personnelle.

 

"Donc, dans une certaine façon, la technocratie va nous faire évoluer vers un système similaire au système chinois de crédit social.

 

"[...] Il existe une théorie aux Etats-Unis qui existe depuis un certain nombre d'années selon laquelle si je gagne suffisamment d'argent, je peux obtenir une dérogation, je peux en sortir, je peux manger des aliments biologiques, ne pas manger les OGM et mes petits enfants n'auront pas à se faire vacciner..."

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29 décembre 2020 2 29 /12 /décembre /2020 14:51

Publié le 27/12/2020 à 11:40 - Mise à jour à 11:47

 

Auteur(s): Dr Gerard Delépine pour FranceSoir

 

 

 

La volonté dictatoriale de l’exécutif

 

En ce mois qui rappelle les sacrifices de l’équipe de Charlie hebdo pour la liberté d’expression, et pendant que le gouvernement proclame que celle-ci est la première valeur de la France, le premier ministre a décidé de bâillonner les médecins. La propagande n’ayant pas réussi à convaincre suffisamment du bien-fondé de sa politique sanitaire (qui nous a placé dans le top 5 européen des plus fortes mortalités attribuées au Covid19), il tente de recourir à la répression accrue des opposants.

 

Le 21 décembre, il avait présenté un projet de loi donnant le pouvoir aux autorités administratives (les préfets), de supprimer la liberté de circuler, de travailler des citoyens.[1] Devant le tollé soulevé par son projet de loi, il l’a transitoirement retardé en espérant l’imposer à la prochaine occasion, le projet étant sur le bureau de l’assemblée nationale pour les 19 et 20 janvier 2021.

 

Le 24 décembre, jour symbolique s’il en est, il s’est attaqué à la liberté d’expression des médecins en publiant un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle (celle entérinée par le conseil de l’Ordre des médecins).

 

Il restera à savoir quelle est la doxa du conseil de l’ordre, celui-ci n’ayant aucune fonction scientifique ou médicale, et ne devant trancher théoriquement que les problèmes déontologiques entre médecins et entre praticiens et/ou patients. Qui sortira du chapeau la doxa autorisée ?

 

 

 

Le décret du Premier ministre Castex instaurant la censure des médecins

 

1° L’article R. 4127-13 du code de la santé publique est remplacé par les dispositions suivantes :

 

« Art. R. 4127-13. – Lorsque le médecin participe à une action d’information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public. Il ne vise pas à tirer profit de son intervention dans le cadre de son activité professionnelle, ni à en faire bénéficier des organismes au sein desquels il exerce ou auxquels il prête son concours, ni à promouvoir une cause qui ne soit pas d’intérêt général. »

 

2° Le second alinéa de l’article R. 4127-19 est supprimé ;

 

3° Après l’article R. 4127-19, sont insérés les articles R. 4127-19-1 et R. 4127-19-2 ainsi rédigés :

 

« Art. R. 4127-19-1. – I. – Le médecin est libre de communiquer au public, par tout moyen, y compris sur un site internet, des informations de nature à contribuer au libre choix du praticien par le patient, relatives notamment à ses compétences et pratiques professionnelles, à son parcours professionnel et aux conditions de son exercice.

 

« Cette communication respecte les dispositions en vigueur et les obligations déontologiques définies par la présente section. Elle est loyale et honnête, ne fait pas appel à des témoignages de tiers, ne repose pas sur des comparaisons avec d’autres médecins ou établissements et n’incite pas à un recours inutile à des actes de prévention ou de soins. Elle ne porte pas atteinte à la dignité de la profession et n’induit pas le public en erreur.

 

« II. – Le médecin peut également, par tout moyen, y compris sur un site internet, communiquer au public ou à des professionnels de santé, à des fins éducatives ou sanitaires, des informations scientifiquement étayées sur des questions relatives à sa discipline ou à des enjeux de santé publique. Il formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées.

 

« III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le conseil national de l’ordre.

 

 

 

Ignore-t-il que la liberté d’expression est un droit constitutionnel ?

 

Consacré par l’ONU en 1948 et la cour de justice européenne, elle représente le marqueur essentiel des pays démocratiques.

 

La liberté d'expression est définie ainsi par la Déclaration universelle des droits de l'homme de l’ONU en 1948 :

 

« tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »

 

L’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) réaffirme la liberté d'expression en disposant que « toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. »

 

Le Conseil constitutionnel français a précisé en 1994 que la liberté d'expression est une « liberté fondamentale » d’autant plus précieuse que son existence est une des garanties essentielles du respect des autres droits et libertés. »

 

Ainsi, selon ces textes fondamentaux, chacun a le droit d'avoir son opinion, ses idées et de l'exprimer par n'importe quel moyen et sous n'importe quel format, sous réserve qu’il ne soit ni diffamatoire, ni négationniste, ni qu’il appelle au crime.

 

 

 

Un médecin ne peut pas être déchu de ses droits constitutionnels

 

L’ordre des médecins n’a aucune compétence, ni légalement aucun droit, d’émettre des recommandations autres que déontologiques. Il ne peut donc pas être érigé en censeur d’opinions qui ne plairaient pas au gouvernement. Le décret antidémocratique du premier ministre J. Castex qui instaure une telle censure parait donc s’opposer aux droits et à la constitution. Selon la hiérarchie des normes, ce décret s’opposant au contenu d’une loi qui lui est supérieure ne semble pas pouvoir être validée par le conseil constitutionnel. De plus, il établirait une discrimination entre citoyens français, ceux qui auraient le droit de s’exprimer et les autres.

 

 

 

La censure que prône J. Castex s’oppose à l’esprit scientifique et au progrès

 

Les progrès de la science reposent sur des débats contradictoires et libres.

 

Sans le courage de Galilée, nous croirions peut -être encore que le terre est au centre de l’univers et que le soleil tourne autour d’elle. Sans le génie d’Einstein pourtant largement considéré comme fou par la majorité des savants de son époque, nous ignorerions le fonctionnement de l’atome.

 

Tous les grands progrès, ceux qui marquent des ruptures fondamentales dans les connaissances, sont apparus à l’issue de controverses importantes parfois passionnées. La création d’une « science officielle » comme parait vouloir l’instaurer J Castex a été imposée en URSS par Trofim Denissovitch Lyssenko et a stérilisé la recherche dans ce pays pendant près de 40 ans. Est-ce le modèle que veut suivre notre premier ministre ?

 

Le glissement vers la dictature est souvent insidieux par des mesures d’aspect anodin. C’est à ce stade que la défense de la liberté est essentielle. Battons-nous pour faire respecter les droits de l’homme, la liberté d’expression et la tenue de débats contradictoires. Sans débats contradictoires, plus de liberté, plus de justice, plus de science, plus de progrès.

 

 

 

Je réitère ici mes dénonciations de la politique sanitaire infondée que nous subissons :

 

-le confinement aveugle[2], la propagande terrorisante, le renvoi des infectés à domicile, l’interdiction de la chloroquine et des antibiotiques et les prescriptions de Rivotril ont lourdement aggravé la mortalité en France.

 

Près de 35000 morts supplémentaires attribuées au covid19 (par comparaison à l’Allemagne), 5000 morts liées aux urgences non traitées pendant le confinement, 10000 à 30000 morts à venir dans les 5 ans secondaires aux mois de retard de diagnostic et de traitements des maladies chroniques et des cancers apparus pendant le confinement, 10000 suicides à venir dus aux angoisses créées par la propagande catastrophe, le chômage et la misère qu’a entraînés le confinement.

 

-L’efficacité de la chloroquine administrée précocement devient chaque jour de plus en plus évidente malgré les études truquées qui tentent de faire croire le contraire. Les pays d’endémie de paludisme dont les populations prennent chaque jour de la chloroquine souffrent infiniment moins de Covid que nous (mortalité 15 à 100 fois moindre). L’Inde qui est le pays qui comptabilise le plus grand nombre mondial de contaminations (plus de 10 millions) mais qui a utilisé l’HCQ largement, et même en prévention pour les soignants et les personnes les plus exposées, compte huit fois moins de morts par million d’habitants que nous (113/M vs 948/M), la Russie 3 fois moins…

 

- Le port du masque en extérieur ne protège pas ceux qui les portent. La seule étude prospective randomisée publiée (étude DanMasq19) sur le sujet par des médecins danois qui voulaient démontrer son utilité, a néanmoins montré qu’il n’apportait aucune protection statistiquement significative.

 

- Chez les personnes asymptomatiques, les tests PCR actuels lorsqu’ils sont positifs ne permettent d’affirmer ni l’infection ni la contagiosité. Plutôt que de ruiner la sécurité sociale par des tests trompeurs, il eut été beaucoup plus efficace d’isoler réellement les malades (ceux qui souffrent, qui toussent...).

 

-Baser une politique sanitaire sur des estimations totalement fausses[3] de mathématiciens qui ne prennent pas en compte les effets secondaires des mesures qu’ils proposent a été catastrophique. Continuer à suivre leur schéma prévu de confinement jusqu’en décembre 2021 est diabolique.

 

-Les pays qui n’ont pas confiné aveuglément sont dans une bien meilleure situation que nous. Il est urgent de changer de politique, rassurer la population, et stopper ces mesures délétères qui aggravent la situation sanitaire et économique.

 

 

 

Que pouvons-nous faire ?

 

Dénonçons partout et toujours l’instauration de cette censure.

 

Informons tous nos représentants (maires, députés, sénateurs) du caractère illégal et anticonstitutionnel de ce décret Castex et de sa gravité.

 

Préparons les plaintes judiciaires en France et à l’étranger devant les juridictions compétentes comme celles qui se multiplient en Allemagne sous l’impulsion de l’avocat Reiner Fuellmich qui a fait plier Volkswagen, a déposé une plainte le 23 Novembre à Berlin visant le caractère fallacieux des tests PCR[4], complété par une plainte en décembre contre C Drosten le père de la commercialisation de ce test PCR pour le covid en janvier 2020. Rappelons que Drosten[5] est le conseiller direct de Mme Merkel et donc de l’OMS qui impose ses choix au monde occidental.

 

En France, diverses plaintes sont déposées par des cabinets d’avocat[6], et en particulier par maitre Alberto Brusa contre les masques et contre le vaccin génique imposé en l’absence d’études scientifiques approfondies sur les effets positifs, mais surtout sur les effets inconnus d’une thérapie génique jamais appliquée à l’homme comme prévention[7]. Dans d’autres pays, des plaintes se multiplient, parfois se coordonnent comme au Québec. Des juridictions internationales ont déjà tranché des anomalies majeures comme en Autriche : la Cour suprême juge illégal le port obligatoire du masque à l’école.[8]

 

On peut légitimement se demander ce qui justifie cette avalanche de décrets et de textes législatifs entre le 23 décembre et le 26 décembre. L’inquiétude sur l’effet des vaccins et les informations que les médecins pourraient révéler ?

 

La note du 23 décembre du directeur général de la santé est à la fois surprenante et inquiétante ; cette note appelée « Message d’Alerte Rapide Sanitaire » rédigée par Jérôme Salomon demande aux hôpitaux de s’approvisionner en « adrénaline pour faire face aux effets graves et immédiats de la campagne de vaccination »[9]. Sur le site de maitre Brusa vous trouverez la « Déclaration de responsabilité civile et pénale à faire signer à celle ou celui qui veut vous administrer le « vaccin ». Allez la lire et l’imprimer afin de la faire signer à celui qui voudrait vous vacciner ou vacciner votre proche en EHPAD, cela en calmera certains.

 

Mais l’offensive provaccin continue : ce 26 décembre, on apprend par annonce du gouvernement français la création d'un fichier national des vaccinés, ne doutons pas que ce fichier a vocation à devenir international et être utilisé pour faire fonctionner l'apartheid sanitaire. Nous en reparlerons.

 

 

 

REFERENCES

[1] Voir le projet de loi n° 3714, déposé le 21 décembre 2020 par Jean Castex, pour vote en urgence par l'assemblée nationale pour instituer, en procédure accélérée, " un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires ".

 

Cette loi, si elle est votée, permet de subordonner les déplacements des personnes ou leurs activités (...) à l’administration d’un vaccin en France.

 

On peut lire notamment dans la section 2 “ État d’urgence sanitaire ” au paragraphe 6 :

“ Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées.”

Il reste inscrit au calendrier de l'assemblé national pour le 19 et 20 janvier, et pire que cela, certains passages les plus préoccupants de ce projet de loi vont être repris et cachés dans d'autres lois qui devraient être discutées dès les premiers jours de janvier. La mobilisation reste urgente. Écoutez à ce propos la vidéo de Louis Fouché. Louis Fouché - Proposition de loi Castex : faire du problème une opportunité - YouTube

 

[2][2] Voir notre ouvrage : autopsie d’un confinement aveugle chez Fauves éditions septembre 2020

 

[3] Rappelons que Ferguson avait prédit 70000 morts en Suède si elle ne confinait pas ; elle n’a pas confiné et ne compte au 25/12/2020 que 8279 morts attribuées au Covid, que les Pays -Bas menacés de 100000 n’en déplorent que 10828 et qu’aucun des pays qui n’ont pas confiné n’a vu ses services hospitaliers saturés.

 

[4] L'objectif des 5000 cas par jour : encore une énorme arnaque - (ripostelaique.com)

 

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

 

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

 

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de...

 

RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

 

[5] Christian Drosten : l'heure des comptes ? (Francesoir.fr)

 

[6] Espoir pour les restaurateurs : le judiciaire international (economiematin.fr)

 

[7] Actions juridiques et judiciaires pour lutter contre la pandémie du Covid-19 - Réaction 19 (reaction19.fr)

 

[8] https://planetes360.fr/autriche-la-cour-supreme-juge-illegal-le-port-obl...

 

[9] A la suite de nombreux accidents anaphylactiques survenus après injection de vaccin anticovid. L’un est survenu lors d’une émission de propagande vaccinale en direct ou on voit une des infirmières volontaires tituber et tomber environ 15 minutes après l’injection (il n’a plus été possible de la revoir depuis.)

 

 

 

 

 

 

 

Auteur(s): Dr Gerard Delépine pour FranceSoir

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27 novembre 2020 5 27 /11 /novembre /2020 20:18

Source: Luca Volontè

La Nuova Bussola Quotidiana

27-11-2020

 

En France, le gouvernement impose une limite de 30 fidèles pour les messes, cathédrales comprises. "Ridicule", dit l'évêque de Paris, qui dénonce l'inégalité de traitement et réitère la ligne de quatre mètres carrés par personne. Aux États-Unis, la Cour suprême vote à 5 - 4 contre les restrictions sur les lieux de culte décidées par Cuomo. L'Aiguille d'équilibre: Amy Coney Barrett.

 

 

La bataille de la messe est loin d'être terminée. Le gouvernement Macron se moque de l'Église et des évêques. Après des semaines de veillées de milliers de fidèles sur les places des églises en France, le Premier ministre a confirmé hier après-midi les mesures anti Covid-19 qui se moquent des catholiques: 30 personnes au maximum pourront participer aux messes, quelle que soit la taille de l'église, de la cathédrale à la paroisse du village. Au lieu de cela, aux États-Unis, la Cour suprême suit la ligne "d'Amy Coney Barrett", statuant pour la première fois sur la balance: avec une sentence prononcée mercredi soir, elle abolit les restrictions absurdes imposées par le Gouverneur Cuomo à toute célébration religieuse et qui ils avaient provoqué des protestations de la part de juifs, de catholiques et d'évangéliques.

 

Avec la condamnation du Conseil d'Etat français du 6 novembre dernier, en confirmant la décision du gouvernement de fermer les églises et aussi les hypothèses de réouverture avec seulement 30 personnes qui auraient pu assister aux messes, les juges avaient reporté l'affrontement entre l'exécutif et les Eglises. le point sur la liberté de culte. Dans ces semaines de discussions intenses entre évêques et autorités de l'Etat, les fidèles catholiques se sont rendus présents par des veillées de prière devant les églises de milliers de villes de France, manifestant avec respect et fermeté leur volonté déterminée de ne pas renoncer au Christ et à la Sainte Célébration eucharistique.

 

Le 24 novembre dernier, Macron a annoncé que des cérémonies religieuses pourraient se tenir à nouveau en présence des fidèles, à partir du samedi 28 novembre. Les modalités précises, a ajouté le président, seraient présentées par le Premier ministre, mais toujours avec la limite de 30 personnes pour les messes et les funérailles. La réaction des évêques à la déclaration de Macron a été furieuse, car ils avaient été surpris par une déclaration non conforme à la confrontation qu'ils avaient eue avec divers ministres et irrespectueuse de la réalité. L'Eglise avait proposé l'espace de sécurité de 4 mètres carrés pour chaque fidèle, jusqu'à un maximum de 1/3 de la capacité des églises. Une proposition plus que raisonnable et plus que respectueux des mesures anti-Covid du gouvernement, mais rejetées d'emblée par Macron.

 

Eh bien, les critiques qui sont tombées sur Macron de partout pour persuader le gouvernement de changer d'avis n'en valaient pas la peine . Hier, le Premier ministre Jean Castex a confirmé lors d'une conférence de presse sur les réseaux nationaux que les messes seraient possibles avec une présence maximale de 30 fidèles jusqu'au 15 décembre, et à cette date ce qu'il faut faire sera réévalué. "Les lieux de culte sont des lieux de contamination", dit-il. Une déclaration totalement fausse qui risque de jeter encore plus de discrédit sur Macron et sur un cadre qui, désormais clairement et sans justification, veut éroder la foi des catholiques avec ces interdictions.

 

L'archevêque de Paris, Michel Aupetit , a été le plus direct: "C'est une mesure totalement stupide qui contredit le bon sens. Trente personnes dans une église d'un petit village, on comprend, mais à Saint-Sulpice c'est ridicule! Certains paroissiens viennent 2000 dans certaines paroisses de Paris. On s'arrêtera à trente et un ... C'est ridicule! (...) que certains membres du gouvernement ignorent peut-être la religion, il peut y en avoir, mais qu'ils ignorent la médecine, c'est grave au milieu d'une crise sanitaire! Nous avons proposé d'occuper un tiers de la capacité habituelle, laissant un espace de 4 mètres carrés autour de chaque membre. Cela correspond parfaitement au standard sanitaire exigé de tous les lieux ouverts au public. C'est ce qui est imposé aux commerçants . Cependant, il est surprenant que nous l'autorisions pour les commerçants et que nous ne l'autorisions pas pour l'Église…".

 

Les manifestations se poursuivront, fermes, respectueuses et composées. Et les évêques grandiront - comme l'a déjà annoncé Mgr Monseigneur Norbert Turini - qui inviteront leurs prêtres à "n'empêcher aucun fidèle d'assister à la messe, quel que soit le nombre de personnes présentes, tant qu'ils se tiennent à 4 mètres carrés".

 

Préjudice? Ne nous trompons pas, c'est la guerre aux fidèles du Christ et à Sa Présence sacramentelle. Guerre qui, dans l'État de New York, a également engagé le gouverneur Andrew Cuomo depuis fin octobre contre toute célébration publique, ordonnant la fermeture des églises catholiques, des synagogues et des maisons de prière. Le 12 novembre, l'évêque du diocèse catholique de Brooklyn (New York) avait fait appel directement à la Cour suprême, car il y avait une violation manifeste de la Constitution et du droit à la liberté de culte. "Bien que ce décret exécutif de Cuomo ferme effectivement les églises et autres lieux de culte, toutes les entreprises jugées 'essentielles' par le gouverneur - y compris les supermarchés, les animaleries, les immenses quincailleries et les bureaux de courtage - peuvent rester ouverts sans aucune limitation de capacité, même dans les zones «rouges» les plus restrictives. Dans les zones «orange», même la grande majorité des entreprises non essentielles, y compris les grands magasins, peuvent rester ouvertes sans limites, mais les églises ne le peuvent pas". Tels furent ses mots à l' époque.

 

Mercredi soir est donc une victoire pour la liberté religieuse. La Cour suprême - avec une majorité de 5 à 4 rendue possible grâce au premier vote décisif d'Amy Coney Barrett - a déclaré qu'Andrew Cuomo avait pris des décisions illégitimes, imposant des limites et des fermetures injustes de lieux de culte, sous l'excuse de pandémie. Le tribunal a statué qu'il y avait eu violation du premier amendement de la Constitution. Le rapporteur Neil Gorsuch a qualifié les impositions de Cuomo de défavorables aux lieux de culte. "Il est temps - a écrit le juge Gorsuch- de clarifier que, si la pandémie pose de nombreux défis graves, la Constitution ne tolère aucun moyen d'approuver les décisions d'organes exécutifs qui rouvrent les magasins d'alcool et de vélos, mais ferment les églises, les synagogues et les mosquées". De saints mots ! Et grâce au vote d'Amy Coney Barrett, nommée par Trump à la place de la libérale Ruth Bader Ginsburg, les opinions extravagantes du président et juge, soi-disant conservateur, John Roberts Jr. , sont devenues sans objet :  il est bien sûr frappant qu'elle ait une fois de plus voté avec la troupe des juges libéraux sur un sujet aussi simple et juste.

 

L'ordonnance du tribunal traitait de deux demandes : l'une présentée par le diocèse catholique de Brooklyn, l'autre par deux synagogues, une organisation juive orthodoxe et deux individus. Les deux demandes visaient à dénoncer les restrictions de Cuomo à la liberté de culte. Cette décision pourrait également nous libérer des injustices subies par les églises d'autres États fédérés, comme en Californie, où l'archevêque Salvatore Cordileone est à l'avant-garde de la bataille pour les messes.

 

Pendant ce temps, quatre diocèses du Kentucky se sont rebellés contre un autre gouverneur démocrate qui exige la suspension des célébrations eucharistiques et religieuses jusqu'au 13 décembre prochain. S'exprimant au nom de tous, l'évêque de Louisville, Joseph Kurtz: "Pour le moment, nous ne suspendrons pas les liturgies publiques, mais nous encouragerons chacun à agir de manière responsable, en respectant la gravité de cette pandémie et la santé et la sécurité de tous". Pour un bon connaisseur, même s'il est progressiste de Rome, libéral de Dublin, franc-maçon de Paris ou démocrate de New York, quelques mots devraient suffire : nous ne renonçons pas à la messe.

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20 novembre 2020 5 20 /11 /novembre /2020 20:04

Après neuf jours de manifestations et de sitting devant leur parlement, les Danois ont réussi à pousser leur gouvernement à renoncer à son projet de vaccination obligatoire, de traitement forcés et d'emprisonnement des récalcitrants. Le gouvernement danois a proposé une nouvelle loi sur l'épidémie.

Et cela n'est mentionnée nulle part dans les medias mainstream qui essayent de bloquer cette information car cela ne correspond pas à leur narrative sur le covid-19, parce que cela montre que si vous dites non collectivement, alors vous pouvez les faire changer d'avis et les faire reculer.

On remarquera simplement dans ces images filmées que dans le royaume de Danemark, les gens peuvent manifester joyeusement et pacifiquement sans qu'il y ait de nassages ni d'agents infiltrés chargés de provoquer des troubles, ni de forces de l'ordre pour gazer ou matraquer le peuple qui manifeste : la liberté y est beaucoup plus répandue que sous notre "république" !

Le Danemark montre la voie, mais aujourd'hui le public se montre nettement moins coopératif. Il se rebelle contre les mesures arbitraires qui ne sont soutenues ni par la science ni par le bon sens. Des protestations ont eu lieu sur tout le continent.

 

ALLEMAGNE

Des milliers de personnes se sont rassemblées à Berlin ces derniers jours pour protester contre l’adoption par le gouvernement Merkel d’une nouvelle loi sur le confinement. La police a pointé des canons à eau sur la foule, et près de 200 personnes ont été arrêtées.

Le courant dominant a fait état de “centaines” de manifestants, mais comme le montrent clairement les photos, il s’agissait plutôt de dizaines de milliers :

ESPAGNE

 

Après que le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a déclaré fin octobre un état d’urgence de six mois, des jours de protestations ont eu lieu dans tout le pays.

 

Barcelone, déjà un foyer de sentiment anti-gouvernemental dû à la répression brutale du référendum sur l’indépendance de la Catalogne, a connu de violents affrontements entre la police anti-émeute et les manifestants

 

FRANCE

 

La toute nouvelle “loi sécurité globale” d’Emmanuel Macron, connue par les manifestants sous le nom de “loi bâillon“, militariserait davantage la police française tout en faisant de la capture ou de la diffusion des images de policiers un crime. Elle a suscité une vive résistance sous la forme de manifestations de colère dans les villes à travers le pays.

 

Le gouvernement de Macron a l’habitude de s’attaquer aux libertés civiles, et en réponse à ses “réformes”, le pays a connu des protestations à grande échelle des Gilets Jaunes pendant plus d’un an.

 

ITALIE

 

Les manifestations anti-confinement en Italie ont atteint un niveau de fièvre à la fin du mois d’octobre, et ont probablement été les plus importantes du continent. Des marches ont eu lieu dans des dizaines de villes du pays, dont Rome, Naples, Gênes et Bologne.

 

Les grands médias ont fait tout leur possible pour minimiser et salir les protestations. CNN et Reuters n’ont fait état que de “centaines” de manifestants. 

La politique est allée jusqu’à imputer les protestations à la mafia

 

SLOVAQUIE

 

Le 17 novembre, Bratislava a accueilli une immense marche de manifestants, marquant la fête nationale connue sous le nom de “Journée de la lutte pour la liberté”. Ces marches ont été déclarées illégales en vertu de la loi d’urgence slovaque, théoriquement destinée à prévenir la propagation du coronavirus.

 

DANEMARK

 

Le Parlement danois a subi 9 jours de protestations devant ses portes, en opposition à la proposition de “loi sur la vaccination”, qui permettrait à la police de “forcer physiquement la vaccination par la détention”

 

Après neuf jours de protestations, les médias sociaux ont rapporté que le gouvernement danois avait abandonné la loi.

 

En fait, les médias ont à peine couvert la proposition de loi, et n’ont littéralement pas du tout mentionné les protestations à Copenhague. Une recherche pour “manifestations covid danemark” sur google, n’aboutit à presque aucun résultat sur ce sujet.

 

La raison pour laquelle la protestation danoise est moins couverte que les autres est qu’elle a apparemment fonctionné. Et la dernière chose que l’establishment veut faire voir aux gens est que la désobéissance civile peut tout changer.

 

* * *

 

Il est bon de voir le grand public faire preuve d’une patience effrénée face à un récit du Covid qui n’a jamais eu aucun sens, et à une “réponse pandémique” qui risque de faire bien plus de dégâts qu’elle ne pourra jamais en prévenir.

 

Si les troubles civils sont indéniablement une bonne chose et une chose puissante, c’est aussi le moment de se méfier. Si l’establishment a le sentiment de perdre le contrôle de la situation ou du récit, il est probable qu’il doublera la mise ou tentera quelque chose de désespéré.

 

Source: Soulèvements : Les manifestations anti-confinement s’étendent à toute l’Europe, Aube digitale

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