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Christ Roi

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20 septembre 2020 7 20 /09 /septembre /2020 11:43

Le 23 août 2020, ville de Québec, lors de la "marche contre le port du masque obligatoire pour les enfants" un grand journal interrogea Giovanna sur les mesures sanitaires et le masque imposés par le gouvernement. À la grande surprise du journaliste, elle était beaucoup plus informée qu'il s'y attendait. Ayant pour but de discréditer les manifestants, le journal a frappé un mur en la personne de Giovanna. Le "journal" n'a jamais publié l'interview, mais un manifestant a capté la scène.

La video a été regardée plus d'un million de fois sur facebook.

 

Extraits :

 

"Cela fait des milliers d'années que l'on vit avec des virus de toutes sortes, grippes sévères, pneumonies. L'influenza a tué plus de morts que la covid. Encore une fois on a perdu l'objectivité et on l'a remplacé par l'irrationnalité.

 

"Les 'morts' de la covid sont-ils vraiment morts de la covid ou avec la covid ? Il n'y a pas de tests fiables, il n'y a pas d'autopsie, donc on présume qu'ils sont morts de la covid. Mais ce n'est pas réel, ce n'est pas vrai.

 

"[...] Je fais mes recherches seule, je suis intelligente, je fais mes recherches moi-même depuis le mois d'avril, des heures et des heures. J'écoute les experts médicaux et scientifiques qui prouvent avec des faits et des données, pas les medias traditionnels.

 

"Le principe de précaution ? Mais il était où ton masque en 2017-2018 quand l'influenza faisait plus de morts ?

 

"[...] J'ai commencé à me poser des questions parce qu'il y avait des choses qui me semblaient bizarres. Comment au départ a-t-on géré la situation ? Quand on te dit qu'il y a un virus mortel (une pandémie en vue. Ndlr.) la première chose que tu fais c'est de fermer les frontières. Ce qui n'a pas été fait. Et je n'ai vu aucun journaliste poser cette question-là à Justin Trudeau. 

 

"[..] Les incohérences, les changements de discours, [...] ont fait que j'ai vu que quelque chose se passait.

"D'abord les masques ne servent à rien (en mars), puis au mois de juin, là il faut absolument que tu mettes un masque dans ton visage.

"Et aussi, on a commencé à censurer les médecins...

 

"Santé publique ? Pourquoi tu ne m'as pas parlé de mon système immunitaire, de ce que je pouvais faire pour l'augmenter, de ce que je pouvais faire pour être en meilleure santé ? Santé publique, pourquoi m'as-tu interdit d'aller à l'extérieur quand on sait très bien que le soleil au printemps (est très bon), que d'aller et venir à l'extérieur c'est ce qui fait diminuer les virus au lieu d'être toujours enfermé ? Et l'alimentation, on interdit à tout ce qui est médecine nutritionniste, les naturopathes, pourquoi ?

 

"Pourquoi lorsqu'on est dans une pandémie, c'est-à-dire que les gens sont en train de mourir, et qu'un médecin ou plusieurs médecins arrivent et disent qu'il y a un médicament, l'hydroxychloroquine, qui fonctionne, on ne l'a pas essayé, et laissé le choix aux patients de le prendre puisque de toutes façons les patients sont en train de mourir ? Non on n'a pas laissé le choix aux patients, et les médecins ont été censurés ! Pourquoi ?"

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20 septembre 2020 7 20 /09 /septembre /2020 09:48

Alors qu'en France, tout l'été 2020 le port du masque était obligatoire et que le nombreux de "cas" (testés positifs) explose, la Suède qui n'a imposé ni confinement ni port du masque, enregistre depuis un mois peu de nouvelles contaminations :

 

 

Depuis la mi-juillet, le nombre de cas a sensiblement diminué en Suède.

Depuis la mi-juillet, le nombre de cas a sensiblement diminué en Suède. (Reuters)

Source: Le JDD

 

La Suède est-elle en passe de gagner sa bataille contre le Covid-19?

09h23 , le 5 septembre 2020, modifié à 09h33 , le 5 septembre 2020

Par Louis de Briant

 

Pointée du doigt avant l'été pour son absence de mesures fortes contre le coronavirus, la Suède enregistre depuis un mois peu de nouvelles contaminations, alors même que le port du masque n'y est que volontaire.

 

Depuis la mi-juillet, le nombre de cas a sensiblement diminué en Suède. (Reuters)

 

Au printemps dernier, la Suède était l'homme malade de l'Europe - plus encore que les autres. Près de 2.500 morts du Covid-19 rien que pour le mois d'avril pour 10 millions d'habitants, des voisins qui fermaient leurs frontières aux habitants du royaume, et aucune mesure de confinement mise en place. Mais depuis la mi-juillet, le nombre de contaminations comme le nombre de morts a sensiblement diminué : 771 nouveaux cas et 25 décès du 28 août au 4 septembre, contre près de 40.000 contaminations et 131 morts en France. Alors que les contaminations augmentent de nouveau en Europe, comment le royaume est-il parvenu à ce résultat?

 

Une stratégie controversée mais qui a le mérite de la cohérence

 

Le nombre de contaminations et de morts du Covid-19 en Suède, selon les données de l'OMS.

Le nombre de contaminations et de morts du Covid-19 en Suède, selon les données de l'OMS.

(OMS)

 

[...]

 

Imposer des restrictions plus dures tel que le masque quand les transmissions diminuent n'est pas cohérent

 

En Suède, le masque n'est pas obligatoire, pas même officiellement recommandé. "Les écoles sont ouvertes, personne n'y porte de masques, personne non plus dans les transports, [...]. Généraliser le masque à ce stade de l'épidémie serait [...] contre-productif, estime Helena Nordenstedt. "La stratégie suédoise a consisté essentiellement à rester cohérente, pour que tout le monde comprenne les règles appliquées. Imposer des restrictions plus dures tel que le masque quand les transmissions diminuent n'est pas cohérent."

 

[...]

 

L'immunité collective, stratégie secrète du gouvernement?

Au pic de l'épidémie, Jan Lötvall et Anders Vahlne avaient signé une tribune avec 20 autres de leurs collègues accusant les autorités de chercher à atteindre l'immunité collective, ce seuil de 50 à 70% de la population à partir duquel le pays est immunisé. "Ils tentent toujours de l'atteindre", affirme Anders Vahlne, alors que l'Agence de santé publique a démenti à plusieurs reprises. Sa collègue en santé publique, elle, pointe toutes les mesures déjà prises par la Suède, comme les regroupements limités à 50 personnes, les restaurants fermés pour non-respect des consignes sanitaires, ou la promotion du télétravail par l'Agence de santé publique. "Il est clair que la stratégie n'est pas de laisser le virus se répandre librement. Autrement, tant que les services de santé ne seraient pas dépassés, nous n'aurions pas de restrictions du tout", déclare-t-elle.

 

Dans une conférence de presse tenue vendredi, Karin Tegmark Wisell a annoncé que "7% des donneurs de sang au niveau national possédaient des anticorps" au Covid-19 et 12% à Stockholm. Si ces chiffres sont très loin du seuil nécessaire, ils pourraient conférer "un certain degré d'immunité à la population", estime Helena Nordenstedt : "Cela fait sens que les personnes les plus à risques - les chauffeurs de bus, de taxi, les vendeurs - aient déjà été infectées et disposent donc d'un certain niveau d'immunité, ce qui aide à freiner les transmissions."

 

L'institut public met clairement en avant dans son dernier compte-rendu daté du 3 septembre que "la propagation de l'infection en Suède est en baisse", alors qu'aucun des 2.500 participants à leur dernière étude n'était porteur du Covid-19, contre 0,9% en avril et 0,3% en mai

 

[...]

 

Pour l'instant, cette stratégie semble fonctionner auprès du public. D'après une étude de l'Institut Kantar, 73% des Suédois déclarent avoir confiance en l'Agence de santé publique. "Sans la confiance de la population, vous ne pouvez pas contenir une épidémie", se réjouit Helena Nordenstedt.

 

___________

AddEt si la Suède avait trouvé la stratégie gagnante face au coronavirus?

RMC.BFMTV

 

REPORTAGE RMC - Comment est gérée la crise sanitaire du Covid-19 dans le reste du monde ? Chaque matin cette semaine sur RMC gros plan sur des mesures prises à l'étranger pour lutter contre le Covid.

La Suède a suivi une méthode unique en Europe face à l'épidémie de Covid : pas de confinement, pas de fermeture de bars ou de restaurants, pas de masque obligatoire. Seulement une distance d'un mètre à respecter, pas de groupes supérieurs à 50 personnes et pas de visite dans les Ehpad. Cette dernière mesure a même été retirée le 15 septembre grâce aux bons résultats du pays scandinave ces derniers mois.

 

Selon l'agence nationale de santé de Suède, 5.870 personnes sont mortes du Covid depuis le début de la pandémie. Ca reste le pire bilan des pays scandinaves mais depuis le mois de juillet les chiffres baissent. Un décès par jour ces deux dernières semaines.

 

Le nombre de cas est désormais plus faible que dans les pays voisins, et la Suède semble éviter un retour de l'épidémie. Très décriée au début de l'épidémie, la méthode suédoise semble porter ses fruits.

 

"Ca a toujours été cohérent car on a toujours eu les mêmes règles"

Et si la Suède avait trouvé la stratégie gagnante face au virus ? Dans la capitale, Stockholm, aucun masque sur les visages des passants. Comme Sara et Ellen, deux avocates qui nous expliquent qu'elles n'ont que quelques règles simples à suivre.

 

"Je prends le vélo, j'évite de prendre les transports en commun. Si on a le moindre symptôme on reste à la maison et on ne rencontre personne", détaille Ellen. "Je travaille à la maison et je garde mes distances avec les gens, ça a toujours été cohérent car on a toujours eu les mêmes règles", poursuit Sara.

 

"Il y aussi une lassitude car ça fait plusieurs mois que ça dure"

La même méthode depuis le début de la crise: pas de confinement et le gouvernement fait confiance à chaque citoyen pour respecter les règles de distanciation sociale. Une méthode plutôt appréciée par les habitants.

 

"J'ai pu continuer à travailler. C'est une très bonne chose. je peux tomber malade mais je fais tout pour l'éviter avec la distance, le lavage de mains", confie Jurge. "Il y aussi une lassitude car ça fait plusieurs mois que ça dure. C'est plus difficile de garder la distance dans les transports par exemple."

 

"On sait que ce virus sera présent longtemps donc on a cherché des mesures qui seraient acceptées par tous"

Après un pic au mois de mai et le pire bilan des pays scandinaves, les chiffres de l'épidémie sont aujourd'hui très encourageants selon Anders Tegnell, épidémiologiste en chef. C'est lui qui communique aux Suédois l'évolution de la maladie dans le pays.

 

"Aujourd'hui dans toute la Suède nous n'avons que quinze patients Covid en réanimation. C'est très peu, on doit mettre en place des mesures à long terme. On ne peut pas espérer régler tout ça en confinant toute la société. On sait que ce virus sera présent longtemps donc on a cherché des mesures qui seraient acceptées par tous. Et je crois qu'on a trouvé une bonne voie. Si on continue comme ça la situation devrait être stable dans le pays."

 

"C'est pas du tout comme en France. Dans la rue je fais confiance aux autres citoyens pour qu'ils respectent les recommandations"

Et même si cette méthode a suscité le débat elle est très largement respectée par les Suédois ce qui ne surprend pas Lars Tragardh, historien à l'université d'Ersta.

 

"La Suède est un pays avec une confiance forte. Pas du tout comme en France. Dans la rue je fais confiance aux autres citoyens pour qu'ils respectent les recommandations. Les Suédois font aussi confiance aux décisions prises par le gouvernement. Et le gouvernement fait confiance aux citoyens. une telle gestion aurait été impossible sans ça."

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19 septembre 2020 6 19 /09 /septembre /2020 13:24
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19 septembre 2020 6 19 /09 /septembre /2020 12:59

L'image sélectionnée

L'acteur catholique Jim Caviezel, surtout connu pour avoir joué Jésus dans le film de 2004, a évoqué des chrétiens "tièdes" dans une récente interview de Fox News.

 

LifeSiteNews

 

Ven 18 sept. 2020 - 20 h 12 HNE

 

18 septembre 2020 ( LifeSiteNews ) - L'acteur catholique Jim Caviezel, surtout connu pour avoir joué Jésus dans le film de 2004 La Passion du Christ , a fustigé les chrétiens "tièdes" dans une interview à Fox News, disant que c'était "une honte sanglante", on ne peut pas faire la différence "entre un prêtre, un évêque ou un politicien".

 

"Je dois jouer Jésus, certains d'entre nous aiment Pierre ou Paul, mais nous sommes nombreux en ce moment, ce sont des Judas à fond, d'accord? Ou ce sont Ponce Pilates ou ce sont les pharisiens, d'accord? Caviezel a déclaré hier à Shannon Bream dans l'émission Fox News FOX @ Night.

 

"C'est vraiment dommage de ne pas faire la différence entre un prêtre, un évêque ou un politicien. C'est vraiment triste, mais cela s'appelle la tiédeur, et le Christ a une place très spéciale pour eux, et ils le savent.

 

Caviezel est apparu en tant qu'invité sur FOX @ Night pour discuter de son dernier film, Infidel, qu'il a décrit à Bream comme un "thriller bien exécuté". Caviezel a fait ces remarques lorsqu'on lui a demandé quelles étaient ses préoccupations concernant le rôle de la foi et ce que les gens devraient faire à ce sujet dans le monde d'aujourd'hui.

 

Il a été franc avec Bream, lui disant que son nouveau film n'est pas un "film chrétien bête", mais plutôt un film sur "ce qui se passe réellement aujourd'hui" en termes de persécution des chrétiens au Moyen-Orient.

 

"Eh bien, c'est [le film Infidel] pertinent parce que nous avons cette chose appelée culture de l'annulation, et si les chrétiens ne regardent pas, cela annulera aussi le christianisme, parce que beaucoup de nos pasteurs, d'accord, nos évêques, nos prêtres - ils se sont couchés juste à côté", a déclaré Caviezel à Bream.

 

"Ils ont laissé incendier leurs églises, d'accord? Comment savons-nous cela? Eh bien, c'est juste là dans les nouvelles. Des statues arrachées. Ils ne disent rien.

 

Infidel a Caviezel dans le rôle d'un journaliste américain nommé Doug Rawlins, qui est kidnappé au Caire, en Égypte, alors qu'il s'exprimait lors d'une conférence. Rawlins se retrouve dans une prison iranienne sous de fausses accusations d'espionnage.

 

Dans le film, l'épouse de Rawlins essaie d'obtenir des fonctionnaires du département d'État américain pour l'aider à récupérer son mari, mais ils refusent de s'impliquer.

 

Le film présente la persécution chrétienne en cours aujourd'hui dans de nombreux pays du Moyen-Orient et se concentre sur la clandestinité chrétienne à l'intérieur de la nation iranienne.

 

Caviezel a également déclaré à Bream que la fermeture des églises n'aidait pas les personnes ayant des problèmes de santé mentale, disant qu'il avait perdu des amis à cause du suicide.

 

"Cela aurait-il aidé de pouvoir entrer dans une église, surtout pendant cette période? Absolument. Et est-ce bon pour la maladie mentale? Oui, c'est vrai", a déclaré Caviezel à Bream.

 

Il a également déclaré que la situation dans laquelle les "collaborateurs" ne tiennent pas tête aux gouverneurs ou aux maires est le point de départ de la "persécution".

 

"Donc les collaborateurs dans notre foi, d'accord, c'est là que la persécution commence. Vous devez avoir des collaborateurs dans votre foi qui ne tiendront pas tête aux gouverneurs, qui ne tiendront pas tête aux maires", a déclaré M. Caviezel.

 

"C'est pourquoi les Évangiles sont très vivants en ce moment."

 

Dans une interview sur Breitbart News Daily pour promouvoir son nouveau film la semaine dernière, Caviezel a fustigé la fermeture d'églises aux États-Unis en raison des restrictions imposées par le coronavirus.

 

"Il y a actuellement des chrétiens persécutés pour leur foi, que ce soit en Iran, en Chine ou ailleurs dans le monde", a déclaré Caviezel. "Et nous n'avons pas besoin d'aller plus loin que les États-Unis, où vous n'êtes pas autorisé à aller dans les églises."

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17 septembre 2020 4 17 /09 /septembre /2020 07:22

Marco Tosatti

Chers amis et ennemis de Stilum Curiae, d'après le profil de mon ami Cesare Sacchetti (@CesareSacchetti, retrouvez-le sur twitter, c'est une mine de nouvelles intéressantes, normalement négligées par les médias du régime) j'ai pris la capture d'écran que vous voyez. Et puis, minutieusement, je l'ai écrit sous forme de texte, pour vous éviter d'avoir à vous crever les yeux en le lisant. (Et ne dites pas que je ne vous aime pas, Stilumcuriali, mon peuple!).

Je pense que ce qui suit est très intéressant. Aussi parce que les Konformi paranoïdes doivent m'expliquer de qui ceux que je vois marcher, seuls, avec une muselière, dans la rue, se défendent. Ou des maris et des femmes se tenant la main dans la rue, inutilisés. Et je suppose qu'à ce stade, ils le font aussi à la maison. Ou encore - mais les exemples de folie ordinaire sont infinis - parce que je dois entrer dans le bar ou le restaurant avec le masque, après quoi je suis libre de l'enlever et d'infecter - selon les marionnettistes paranoïaques - ce monde et cet autre. Quos vult Deus perd dementat priusBonne lecture.

 

1.

 

Aucune étude ne dit qu'un masque en tissu ou un masque N95 a un effet sur la transmission de Covid 19

 

En fait, la recherche, publiée dans les Annals of Internale Medicine le 1er avril, a indiqué que «les masques chirurgicaux et en coton semblent être inefficaces pour prévenir la propagation du SRAS-CoV 2 et la toux des patients. avec Covid 19

 

(texte de référence: Efficacité des masques en coton pour bloquer le Sars-CoV 2. Une comparaison contrôlée chez 4 patients.

 

2.

 

Dans une analyse de février 2020 de six essais contrôlés randomisés portant sur 9171 patients, il n'y avait pas de différences statistiquement significatives dans la prévention de la grippe ou de l'infection virale, en utilisant des respirateurs N95 et des masques chirurgicaux (Texte de référence: Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe. Une revue systématique et une méta-analyse.

 

3.

 

Une étude de mai 2020 portant sur 159 travailleurs de la santé âgés de 21 à 35 ans a révélé que le port d'un masque facial, 81% développaient des maux de tête.

 

(Texte de référence: Maux de tête associés aux équipements de protection individuelle - Une étude transversale parmi les agents de santé de première ligne pendant Covid 19)

 

4.

 

Une étude de 2008 sur les masques chirurgicaux portés par 53 chirurgiens, les chercheurs ont constaté que le masque réduisait considérablement les niveaux d'oxygène dans le sang, créant une condition connue sous le nom d'hypoxie. (Texte de référence: Rapport préliminaire sur la désoxygénation induite par les masques chirurgicaux lors d'une intervention chirurgicale majeure)

 

5.

 

Une étude de 2015 a indiqué que l'hypoxie inhibe les lymphocytes T (les principales cellules immunitaires utilisées pour lutter contre les infections virales) en augmentant le niveau d'un composé appelé facteur 1, indescriptible par l'hypoxie (HIF 1).

 

(Texte de référence: Cutting EdgeHipoxia-inductive Factor 1 Negatively regulates the Function)

 

En d'autres termes, le port d'un masque facial, qui s'est avéré provoquer une hypoxie, peut en fait préparer le terrain pour contracter Covid 19 et en aggraver les conséquences.

 

 

 

6.

 

L'HYPOXIE favorise l'inflammation qui peut favoriser la croissance, l'invasion et la propagation de TUMEURS.

 

L'hypoxie est également un facteur important de l'athérosclérose, elle augmente donc le risque d'accident vasculaire cérébral et de crise cardiaque.

 

LireMasques : Hypoxie, anoxie et hypercapnie. Les effets néfastes pour la santé

 

7.

 

L'avertissement sur l'emballage des masques chirurgicaux indique clairement: CE PRODUIT NE FOURNIT AUCUNE PROTECTION CONTRE COVID.t9 (Corononavirus) OU AUTRES VIRUS OU CONTAMINANTS.

 

8.

 

QUI PORTE LE MASQUE EN RESPIRE CONSTAMMENT LES VIRUS. AUGMENTATION DE LA CONCENTRATION DU VIRUS DANS LES POUMONS ET LES PASSAGES NASAUX. En portant un masque, les virus expirés sont incapables de s'échapper et se concentrent donc dans les voies nasales. ILS ENTRE DANS LES NERFS OLFACTIFS ET PEUVENT VOYAGER ET ATTEINDRE LE CERVEAU.

 

9.

 

Anthony Fauci directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) a donné une entrevue de 60 minutes dans laquelle il a déclaré: «LES GENS NE DEVRAIENT PAS ALLER EN PORTANT LE MASQUE.

 

dix.

 

L'Organisation Mondiale de la Santé déclare que LES PERSONNES EN SANTÉ NE DOIVENT PAS PORTER DE MASQUES FACIAUX. L'organisation mondiale de la santé recommande que les personnes en bonne santé ne portent des masques que lorsqu'elles s'occupent d'une personne infectée par Covid 19.

 

11.

 

Le chirurgien général Jerome Adams a déconseillé au grand public de porter des masques faciaux, déclarant qu '«ils n'ont pas prouvé leur efficacité pour empêcher la contraction de Covid 19».

 

12.

 

Bien que le CDC recommande de porter des masques, il a admis qu'il ne dispose d'aucune donnée pour confirmer que le port d'un masque réduit le risque de contracter ou de propager Covid 19.

 

CONCLUSION: le port d'un masque est une mesure de sécurité d'une «option psychologique»; c'est-à-dire qu'il ne s'agit pas de protection, mais d'une étude de cas sur la "pensée de groupe" et la pensée "magique". Le résultat, cependant, est qu'en raison de la terreur induite par les principaux médias sur Covid 19, la population se sent obligée de porter le masque:

 

MALGRÉ LE FAIT QUE SUR L'EMBALLAGE DES MASQUES IL EST EXPLICITEMENT ÉCRIT: «LE MASQUE NE PROTÈGE PAS DU COVID 19».

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16 septembre 2020 3 16 /09 /septembre /2020 18:55

STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle.

Source: FRANCE SOIR

 

Publié le 11/09/2020

 

TRIBUNE : Nous ne sommes pas seuls à protester contre les mesures médicalement stupides et inefficaces, socialement et économiquement suicidaires que les gouvernements ont imposé aux peuples sous prétexte sanitaire. Une union mondiale des professionnels de santé s’est créée et lance cet appel très complet qu’il faut diffuser autant que possible :

 

STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle.

 

Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde (liste à la fin de l'article qui croit de minutes en minutes) :

 

1 - Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.

 

Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.

 

2 - On nous dit :« Mais, le SARS-CoV-2 est très contagieux » et nous répondons : C’EST FAUX.

 

Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale. Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée2,3. Ce sont des maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole.

 

3 - « Mais, c’est un virus nouveau» et nous répondons : H1N1 et les autres virus qu’on a cités était aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

 

De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte.

 

4 -« Mais, on n’a pas de vaccin» et nous répondons : au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

 

5 - « Mais, ce virus est beaucoup plus mortel » et nous répondons : C’EST FAUX. Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises- : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts en épidémiologie

 

. Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%).

 

6 - «Mais, la COVID-19 est une maladie grave» et nous répondons : C’EST FAUX. Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe6 et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe»

 

.-«Mais, il y a des personnes asymptomatiques» et nous répondons : dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus

 

. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000.

 

7 - «Mais, ce virus entraîne une saturation des hôpitaux» et nous répondons : C’EST FAUX.

 

La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe et qu’à cette époque, on parlait même de : "tsunami" de patients dans les hôpitaux, "d’hôpitaux saturés", de tentes érigées à l'extérieur des hôpitaux, de "zones de guerre", "d’hôpitaux effondrés" et d’un "état d'urgence". Et pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

 

8 - Nous disons : STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés comme ça été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure (peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13,000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord), graves conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de déclenchement de guerres.

 

Un editorial publié dans l’European Journal Of Clinical Investigation a dénoncé, dès le début, les méfaits : des mesures extrêmes prises non fondées sur des preuves, des informations exagérées sur la dangerosité réelle du virus et des fake news propagées (y compris par des grandes revues). Certains ont même comparé cette pandémie à la celle de la grippe de 1918, ce qui est un MENSONGE et une manipulation puisqu’elle a tué 50 millions de personnes, ce qui n’a absolument rien à voir avec le nombre de morts de ce coronavirus.

 

9 -. Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.

 

10 - Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).

 

11 - Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques.

 

Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition d’un cas en épidémiologie est : «la survenue de nombreuses issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services d’urgence». Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter de les mélanger.

 

12 - Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi12

 

. Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen13 ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu'un patient qui a été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l'hôpital, sera toujours compté comme un décès COVID même s'il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard. Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au coronavirus.

 

13 - Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts14

 

14 - Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques. Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatre coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie, le taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux positifs ont été censurés15

 

15 - Nous disons donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

 

16 - Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque. Si les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas. Un article scientifique, SARS-CoV-2 : fear versus data (SARS-CoV-2 : peur versus données), publié dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, a démontré que le danger du virus était surestimé et que la peur pourrait être plus dangereuse que le virus lui-même.

 

17 - Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace. Mais, porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé publique mais c’est de la folie. Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé16 et le transforme en nid à microbes. "Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l'enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager", a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste. Lorsqu'on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu : «En raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se mettre plus en danger». Même les dentistes ont récemment mis en garde contre les effets graves sur la santé bucco-dentaire car ils constatent que le port de masque de façon prolongée entraîne des maladies telles que des caries, des maladies parodontales ou une très mauvaise haleine. «Nous voyons beaucoup de gens avec plus d'inflammation, plus de caries et de maladies des gencives…Nous constatons une inflammation des gencives des gens qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n'en ont jamais eu auparavant… Environ 50% de nos patients sont impactés par cela», déclare le Docteur Rob Ramondi, un dentiste. « Les gens ont tendance à respirer par la bouche plutôt que par le nez lorsqu'ils portent un masque…La respiration buccale provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive. La salive est ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents…Les patients nous disent : ‘Wow, mon haleine sent, j'ai besoin d'un nettoyage’. [Mais] quand vous avez une mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries sur votre langue à cause de la bouche sèche…Les maladies des gencives -ou les maladies parodontales- entraîneront éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque », explique le Docteur Marc Sclafani, un autre dentiste. De plus, beaucoup d’entre vous se plaignent de ces masques, surtout dans cette période estivale. Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués. Ce que vous portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité. D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS.

 

En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

 

18 - Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste. Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias. Faire cela relève de la folie. Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été manipulés.

 

19 - Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale, etc) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique. Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque. Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit : «Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale». Le Professeur Didier Raoult dit : «La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques…». Les Docteurs Lisa Brosseau et Margaret Sietsema, expertes en protection respiratoire, disent : «Nous ne recommandons pas d'exiger du grand public qui ne présente pas de symptômes de maladie de COVID-19 de porter régulièrement des masques en tissu ou chirurgicaux car : il n'y a aucune preuve scientifique qu’ils sont efficaces pour réduire le risque de transmission du SARS-CoV-2…». Le Professeur Maël Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : «politique, pas scientifique». Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. D’autre part, avec les 8 millions de tonnes de plastique qui sont déjà déversées chaque année dans les océans, les masques et les gants viennent ajouter une nouvelle menace et constituent une pollution particulièrement dangereuse pour notre santé et pour la faune. Rien qu’en Italie, si seulement 1% des masques actuellement utilisés étaient jetés dans la nature, ce sont 10 millions de masques qui finiraient chaque mois dans l’océan. De plus, les masques chirurgicaux mettent jusqu’à 450 ans à se décomposer ! Nous disons donc aux gouvernements : STOP à ces mesures illégales et dangereuses du port obligatoire du masque.

 

20 - Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. Soyez du côté des citoyens et suivez le bel exemple des policiers Américains qui ont soutenu les citoyens en s’agenouillant avec eux. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

 

21 - Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veux pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques, sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent : «Il n'y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous».

 

22 - Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.

 

Les succès de l'OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s'accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme. L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels -surtout pharmaceutiques- et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine.

 

Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous-estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes)19 a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.

 

À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, a critiqué l'influence de l'industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l'OMS, déclarant qu'elle a conduit à la situation où "inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés" et que, pour une souche de grippe, elle était "beaucoup moins nocive" que toutes les épidémies de grippe précédentes

 

. Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une "fausse pandémie", l’a qualifiée de "l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle" et a demandé l’ouverture d’une enquête.

 

En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde. Selon un rapport21 de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS : «gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé…De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique». L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan

 

. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : « c’est une réunion privée» …

 

23 - Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables de l’OMS soient interrogés en particulier celui qui a fait la promotion internationale du confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une arnaque qui a égaré le monde. En effet, le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation internationale du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à l’épidémie23. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes « à l’ancienne », a souligné que «le monde avait besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine ! Une fois, il a aussi qualifié la Chine24 de « très ouverte » et «très transparente».

 

Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que la lutte de l’épidémie doit se faire avec des "méthodes à l’ancienne" ?

 

Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations et le rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes chinoises sont : "agiles et ambitieuses"), les pays du monde ont mis en place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité massive alors que ce n'est absolument pas le cas.

 

Heureusement, une interview réalisée avec lui a montré une partie importante de la vérité et les conflits d’intérêts de l’OMS avec la Chine lorsqu’une journaliste lui a posé une question sur le refus de l’adhésion de Taiwan (qui est en conflit avec la Chine) par l’OMS : il a fait semblant de ne pas entendre la question puis quand cette dernière lui a été reposée, il a coupé la communication ! (la vidéo a été visionnée plus de 8 millions de fois)

 

. C’est lui aussi qui a dit fin Février : «Il n’existe actuellement qu’un seul médicament duquel nous pensons qu’il pourrait avoir une réelle efficacité : le remdesivir». Comment peut-il dire cela avant même la sortie des résultats ? Et pour quelles raisons l’a-t-il dit ?

 

Des élus Canadiens de la Chambre des communes ont même sommé ce responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le chef intérimaire du Parti conservateur Canadien a mis en doute l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement. En plus, des mois après : le monde a découvert que ces chiffres n’étaient même pas vrais !

 

Récemment, trois pays Africains ont expulsé des représentants de l’OMS parce que, selon certains de ces états, ils falsifiaient le nombre de cas en les gonflant. Les gens qui sont derrière le confinement, la psychose et la terreur mondiales, lorsqu’ils voient la ruée des gens vers les magasins, les gens se disputer pour des pâtes ou du papier toilette, les distances d’1 mètre comme si c’était la peste, les gens confinés comme s’ils étaient des animaux, les rues désinfectées, les policiers frappant les citoyens qui sortent, les drones et les hélicoptères mobilisés, les gens sortant avec des attestations, le port de masque malgré la fin de l’épidémie et le fait que les gens ne soient pas malades, il n’est pas exclu qu’ils soient en train de rire de la facilité avec laquelle ils ont manipulé des pays entiers et peut être même qu’ils les traitent de moutons.

 

La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l'eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l'étranger ont été "isolés" !

 

Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent.

 

L'OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une copie conforme de la Chine. Quelques pays seulement ont refusé d’imiter bêtement les autres, comme la Suède ou la Biélorussie qui peuvent être félicités. Le président d’un pays européen a eu raison de dire : « Il ne s'agit que d'une psychose plus dangereuse que le virus lui-même ». Des experts de renommée internationale ont qualifié l’alerte mondiale de « disproportionnée ». Le Professeur Jean-François Toussaint a dit : « Il me semble que l’OMS a une très grande responsabilité en n’ayant pas su établir la priorité, en ayant continué inlassablement à répéter qu’il s’agissait d’une menace pour l’humanité » (Journal International de Médecine, 13 Juin 2020).

 

24 - Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS car elle n’est pas une société savante et loin d’être indépendante, comme on l’a vu. Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins obligatoires, une ancienne ministre de la santé27 d’un pays européen a répondu : « C’est une décision de santé publique qui répond, en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins nécessaires ».

 

Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui les conseille et d’éviter ceux qui ont des liens avec les laboratoires pharmaceutiques ;

 

Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur certains experts d’un pays européen : « Un membre éminent de la commission Maladies transmissibles de ce Haut Conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont 16,563 euros de [un laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce Haut Conseil qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants…je ne vois pas de trace dans cet avis du respect de la procédure de gestion des conflits d’intérêts...Si un membre présente un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas participer aux débats ni à la rédaction de l’avis...Or en bas de cet avis, on ne mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant participé au vote. C’est un grave manquement au règlement ».

Un ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine a déclaré : «La profession médicale est achetée par l'industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d'enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d'être les agents rémunérés de l'industrie pharmaceutique. Je pense que c'est honteux». Ceci ne doit bien sûr pas être généralisé sur tout le monde.

 

25 - Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies- les modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises et ont servi de justification aux politiques folles de confinement. En effet, une université européenne qui a des liens forts avec l’OMS avait dit que :

 

-50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés.

 

-la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés.

 

-la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont décédés

 

. Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1 s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité beaucoup de gens à d énoncer l'argent, le temps et les ressources considérables déployés pour une grippe bénigne. À l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette université30, qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de 116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1. Et aujourd'hui, c'est sur la base du même modèle défectueux, développé pour la planification de la pandémie de grippe, qu'ils ont donné leurs prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000 mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et entre 300,000 et 500,000 en France ! Qui peut croire ces chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie ces modélisations de : « forme moderne des divinations ».

 

Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux. De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui leur préconisait. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée auprès de certains responsables de cette université européenne. Le

 

Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement : « Il faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures fantaisies ». Le fameux slogan international : « Restez chez vous, sauvez des vies » était une affirmation tout simplement mensongère. Au contraire, le confinement a tué beaucoup de gens.

 

 

 

26 - Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons suivantes :

 

-Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus, une grande partie de la population est déjà protégée contre le SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus saisonniers

 

. Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes sur la durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant à protéger le business plan du vaccin.

 

-C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace.

 

-Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation34 et certains appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux, ce qui est risqué. Tester les vaccins sans prendre le temps de bien comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie et à l'avenir.

 

-Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants : en 2004, l'un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre vaccin en phase de test avait causé de graves lésions pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de futures infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus. Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d'autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS.

 

-Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît ni les bénéfices ni les risques pour la santé. -La recherche de profit financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux dépens de la santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité).

 

Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires lors de la grippe H1N1 : « Ce vaccin, ça sera une opportunité significative en termes de revenus. C’est un joli coup de fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow ».

 

L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 : « Quand il y a une épidémie comme le COVID, nous on voit : mortalité, quand on est médecin,…ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui voient : dollars…vous avez des grands laboratoires qui disent : c’est le moment ou jamais de gagner des milliards ».

 

Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le coronavirus : « On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire purement commerciale ». Le site internet du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit : « L’épidémie est terminée en France…en tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : Il faut non seulement refuser ces vaccins [contre la COVID-19], mais dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production ».

 

-Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques : comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de médicaments et de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où des expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre connaissance et sans leur consentement. Le rapport36 rédigé par Irene Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique, par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts.

 

-Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent des citoyens ! À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé. Il faut refuser cette utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont été « choqués » par cet accord.

 

-Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes, évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause les découvertes d’Edward Jenner) :

 

Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été exprimées en Finlande et en Suède concernant une éventuelle association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la vaccination chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et presque tous dans les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi. Au total, ce vaccin dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des victimes sont des enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été touchée aussi par la narcolepsie.

 

La narcolepsie est une maladie neurologique chronique et incurable où les patients s’endorment de façon incontrôlable, ils subissent des accès brusques de sommeil de quelques minutes qui surviennent n’importe où et n’importe quand dans la journée (somnolence diurne) et ils sont victimes aussi de crises impressionnantes de cataplexie (brusque relâchement du tonus musculaire engendré par une émotion forte comme un éclat de rire, de colère ou de surprise. Cela peut provoquer une faiblesse au niveau des genoux, une impossibilité à articuler ou parfois même une chute pendant quelques secondes). Elle endommage la fonction mentale et la mémoire et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales.

 

Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants, déclarait au Sunday Times : "Il n'y a jamais eu de cas comme celui-là auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et auront besoin de nombreux médicaments". Parmi les enfants victimes du vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments antinarcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l'aider à rester éveillé pendant la journée à l’école. "Si vous le faites rire, il s'effondre. Sa mémoire est abattue. Il n'y a pas de remède. Il dit qu'il souhaite qu'il ne soit pas né. Je me sens incroyablement coupable duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice. Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, c’est les états qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen !

 

Le scandale du vaccin mortel contre la dengue dans un pays asiatique, en 2018 : Selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades. Certains ont besoin d'opérations, pour résorber le sang après des hémorragies sévères. La plupart des familles n'en ont pas les moyens. Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu "un vaccin dangereux" et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination "massive et indiscriminée", dans des conditions déplorables. Le docteur Erwin Erfe, qui travaillait pour le bureau du procureur, pratiquait des autopsies d'enfants deux à trois par semaine avec toujours les mêmes résultats : "Des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et des poumons…et des organes enflés". Ce vaccin s'annonçait pourtant comme un triomphe planétaire ; en 2015, le laboratoire confirmait en grande pompe la mise sur le marché d'un vaccin révolutionnaire contre la dengue. C'était une première mondiale, le produit de vingt ans de recherche et 1,5 milliard d'euros d'investissements. Pourtant dès le début, des voix se sont élevées dans la communauté scientifique :

 

Le docteur Antonio Dans a tenté d'alerter sur les résultats non concluants des premiers essais cliniques. Aux Etats-Unis, le Professeur Scott Halstead, un spécialiste mondialement reconnu de la maladie, qui s'inquiétait, a même envoyé une vidéo diffusée au Sénat du pays en question pour l’exhorter à suspendre le programme de vaccination. L'ancienne ministre de la Santé du pays en question a été inculpée dans ce scandale.

 

"C'est l'appât du gain, qui a tué ces enfants", estime la procureure Persida Acosta.

 

Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent chaque jour : une adolescente s’est suicidée en Grande Bretagne parce que le confinement pour elle durait 300 ans 41, une femme enceinte a souffert le martyre lors de son accouchement en France, un adolescent aux États-Unis nécessitera une intervention chirurgicale après avoir été agressé par un couple à qui il a demandé de porter le masque, une infirmière a également été agressée en France et un chauffeur de bus est même mort à cause aussi de ces mesures illégales du port obligatoire de masques, 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à cause des retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays, des entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits - touchant particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux Etats-Unis,etc. Même les oiseaux souffrent de ces mesures dangereuses et se retrouvent piégés et tués à cause des masques : «Le pauvre animal trébuchait et tombait sans cesse, les élastiques du masque s’étaient resserrés autour de ses pattes, dont les articulations étaient gonflées et le faisaient souffrir…J’ai bien peur que ce goéland soit la première d’une longue série de victimes», ont déclaré des employés de la société royale pour la prévention de la cruauté animale, à la BBC le 20 Juillet et l’oiseau a subi ce supplice pendant une semaine ! Il faut préciser aussi que la cause initiale et première du drame de George Floyd est le confinement : s’il n’y avait pas de confinement, il n’aurait pas perdu son emploi, il aurait été le 25 Mai à son travail, il n’aurait pas été assassiné, les pillages de magasins et les incendies comme les affrontements avec la police ne se seraient jamais produits, le chaos aux Etats-Unis aurait été évité et George Floyd serait aujourd’hui encore vivant parmi nous.

 

27 - Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et cette prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle. Le professeur Carl Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la normale n'est pas fondée, selon l'Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alarme ?». Le maire d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du coronavirus] est particulièrement lourd et devient suspect». Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre intitulé : «Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou».

 

Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à propos des mesures prises, y compris celles du confinement : "mesures grotesques, absurdes et très dangereuses...un impact horrible sur l'économie mondiale...autodestruction et suicide collectif…". Une enquête internationale et indépendante doit être ouverte et les responsables doivent être jugés.

 

28 - Nous disons aux citoyens : pour vous maintenir dans le troupeau, il est possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous les moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et documentées.

 

29 - Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT. Chers citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller ! Si vous ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales « made in China » seront imposées. Vous devez REFUSER ça. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la folie. Le Docteur Anders Tegnell a dit : « Le monde est devenu fou » en mettant en place les confinements qui « vont à l'encontre de ce que l'on sait sur la gestion des pandémies de virus ».

 

30 - Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre dans le collectif : United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes :

 

prénom, nom, profession et pays à : join.unitedhealthprofessionals@gmail.com La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.

 

Albert Einstein disait : "le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire".

 

 

 

Signataires

 

Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine specialist, Austria

 

Ghislaine Gigot, general practitioner, France

 

François Pesty, pharmacist, France

 

Catherine Raulin, general practitioner, France

 

Laurent Hervieux, general practitioner, France

 

Geneviève Magnan, nurse, France

 

Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg

 

Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium

 

Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile

 

Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France

 

Daniele Joulin, general practitioner, France

 

Mohamed Zelmat, clinical biologist, France

 

Nadine Blondel, nurse, France

 

Hélène Banoun, clinical biologist, France

 

Estelle Ammar, speech therapist, France

 

Caroline Durieu, general practitioner, Belgium

 

Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland

 

Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America

 

Fabien Quedeville, general practitioner, France

 

Michel Angles, general practitioner, France

 

Dominique Carpentier, general practitioner, France

 

Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium

 

Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America

 

Tasha Clyde, nurse, United States of America

 

Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany

 

Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician,

 

Belgium

 

Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France

 

Karim Boudjedir, hematologist, France

 

Caroline Heisch, osteopath, France

 

Eric Blin, physiotherapist, France

 

Vincent Schmutz, dental surgeon, France

 

Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa

 

Virginie Merlin, nurse, Belgium

 

Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium

 

Marie-José Eck, general practitioner, France

 

Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France

 

Christine Villeneuve, psychotherapist, France

 

Philippe Voche, plastic surgeon, France

 

Gérard Bossu, osteopath, France

 

Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America

 

Richard Amerling, nephrologist, United States of America

 

Phil Thomas, general practitioner, South Africa

 

Manfred Horst, allergologist and immunologist, France

 

Sybille Burtin, public health physician, France

 

Chantal Berge, nurse, France

 

Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France

 

Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium

 

Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon

 

Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium

 

Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic

 

Cerise Gaugain, midwife, France

 

Delphine Balique, midwife, France

 

Marion Campo, midwife, France

 

Olivier Chailley, cardiologist, France

 

Johan Sérot, physiotherapist, France

 

Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium

 

Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak

 

Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America

 

Pascal Leblond, nurse, France

 

Sybille Morel, nurse, France

 

Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France

 

Graziella Mercy, nurse, France

 

Pierre Maugeais, general practitioner, France

 

Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America

 

Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico

 

Martin Boucher, nurse, Canada

 

Evelyne Nicolle, pharmacist, France

 

Agnès Dupond, general practitioner, France

 

Azad Mitha, general practitioner, France

 

Ines Heller, physiotherapist, France

 

Marie Laravine, nurse, France

 

Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak

 

Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America

 

Mary Baty, dental hygienist, United States of America

 

Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru

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14 septembre 2020 1 14 /09 /septembre /2020 20:50

Source: Guy Boulianne

À Büchelberg, en Rhénanie-Palatinat, une urgence s’est produite lundi vers 13h45, selon la police. Une élève de 13 ans rentrait chez elle dans le bus scolaire avec ses 32 camarades de classe lorsqu’elle s’est soudainement effondrée. Pendant que les pompiers volontaires de Büchelberg s’occupaient des camarades de classe, l’étudiante était soignée par des secouristes et emmenée à l’hôpital de Karlsruhe. L’étudiante y est morte tragiquement. La cause du décès est actuellement inconnue, c’est pourquoi le procureur responsable a fait ouvrir une enquête sur la mort. Selon les autorités, les premiers résultats de l’enquête sont attendus sous peu.

 

Action rapide requise

Dr. Birgit Malsack-Winkemann — membre du Bundestag allemand, présidente du groupe parlementaire Alternative pour l’Allemagne (AfD), avocate et ancienne juge — demande sur les réseaux sociaux si le masque aurait pu être responsable de l’événement tragique. En outre, elle a appelé à une clarification rapide du cas, après tout, il s’agissait de la santé et de l’intégrité des enfants, qui sont déjà devenus des objets de test dans les écoles en raison des règles du COVID-19.

 

La crainte que l’exigence du masque ait pu jouer un rôle dans le terrible incident trouve maintenant un nouveau terrain. Un expert autrichien assermenté par un tribunal a prouvé que les valeurs de CO2 sous les masques faciaux dépassent apparemment même les valeurs limites légalement autorisées et sont donc susceptibles d’être nocives pour la santé.

 

Les valeurs de CO2 sous les masques sont nocives

L’expert assermenté Ing. Dr Helmut Traindl a mesuré les valeurs de CO2 devant la caméra sous un masque de protection COVID-19 fabriqué soi-même et deux masques de protection disponibles dans le commerce. Il s’est avéré que les valeurs maximales autorisées pour les lieux de travail étaient dépassées plusieurs fois. Cela signifie non seulement que les citoyens se sont vu prescrire une condition illégale, selon toutes les connaissances médicales, cet air respirable est également considéré comme extrêmement anesthésique et dangereux pour la santé.

 

Les connaissances acquises dans l’étude sont présentées exclusivement par Mme Edith Brötzner de l’initiative « L’Autriche est libre » et le Wochenblick.

 

Il y a toujours eu des reportages prudents dans les médias, mais aussi des déclarations sur les réseaux sociaux selon lesquelles l’air que nous respirons sous les masques de protection COVID-19 pourrait être nocif pour la santé. Les soi-disant vérificateurs de faits qui — cependant — se révèlent souvent être des agents tendancieux des gouvernements et sont tout sauf financés de manière indépendante, ont jusqu’à présent vivement protesté et dénoncé ces déclarations comme des « fausses nouvelles ». Les mesures en direct punissent des « réalisations journalistiques » telles que les contes de fées autoritaires.

 

Dépassement massif des valeurs limites légalement autorisées

L’ingénieur Dr. Traindl, expert assermenté par le tribunal, ingénieur pour la protection technique de l’environnement, la chimie technique et les sciences de la terre effectue non seulement des mesures dans cette vidéo, mais explique également en détail les bases juridiques en Autriche et en Allemagne. Si les valeurs limites autorisées sur un lieu de travail étaient dépassées même brièvement comme cela se produit sous les masques COVID-19, il faudrait compter avec des conséquences graves jusqu’à la fermeture de l’entreprise. En Autriche, par exemple, conformément à l’ordonnance sur les valeurs limites de 2018, une valeur maximale de 0,5% est autorisée avec de courts dépassements d’environ 1%. Ces valeurs limites ont été prescrites pour des heures de travail de 8 heures par jour ou 40 heures par semaine. Il en résulte un excès de 10 à 20 fois les valeurs autorisées.

 

Allemagne : « inacceptable » de 2 pour mille CO2

Les directives et études pertinentes sont également disponibles gratuitement sur Internet depuis l’Allemagne. Dans un article détaillé de 2008, l’Agence fédérale de l’environnement a déclaré que les concentrations inférieures à 1000 ppm sont inoffensives. La valeur limite pour les espaces de vie en Allemagne est de 1500 ppm. Les valeurs supérieures à 2000 ppm sont toutefois considérées comme « inacceptables ». Ppm signifie « parties par million », donc un pour cent équivaut à 10 000 ppm. Les 50 000 ppm mesurés en direct dépassent ainsi de vingt-cinq fois la valeur « inacceptable ».

 

Les gens perçoivent l’air qu’ils respirent comme 1 pour mille CO2 comme insatisfaisant

Dans un document du ministère autrichien intitulé « Directives pour l’évaluation de l’air intérieur », il a été déclaré que les personnes dont la teneur en CO2 est d’au moins 1 000 ppm commencent à percevoir leur air respirable comme « insatisfaisant ». À 3 000 ppm, 50% des personnes perçoivent l’air comme insatisfaisant. Le graphique ci-dessous illustre les valeurs limites qui s’appliquent en Autriche.

 

De 4 pour cent « anesthésique », de 8 pour cent mortel

La vidéo explique également les graves conséquences de valeurs de CO2 excessivement élevées pour les personnes, les valeurs guides étant toujours valables pour des personnes en bonne santé. Les personnes ayant des problèmes de santé peuvent déjà rencontrer des problèmes avec des valeurs inférieures. Le CO2 est en fait non toxique pour l’homme, mais à des concentrations trop élevées, il empêche l’absorption d’oxygène. Ce qui suit s’applique : Une concentration de huit pour cent ou plus de CO2 dans l’air que vous respirez sur une période de 30 à 60 minutes peut entraîner la mort. Avant cela, des maux de tête, une mauvaise concentration et une perte de conscience se développent. Le problème physique est que le CO2 est un gaz lourd et a tendance à couler et à s’accumuler dans des éviers appropriés.

 

Quatre à cinq pour cent sont considérés comme « anesthésiants ». Dans un article sur les risques des gaz de fermentation, les scientifiques DI Harald Scheiblhofer et l’ingénieur Herbert Stifter ont expliqué en détail les niveaux de danger : selon cela, la somnolence et une mauvaise concentration peuvent survenir à partir de 0,5%, la fréquence respiratoire et le pouls sont augmentés de 2% et le centre respiratoire est irrité. À partir de quatre pour cent, des problèmes de circulation sanguine dans le cerveau se produisent, des étourdissements, des nausées et des bourdonnements dans les oreilles sont possibles. La chose perfide à propos du CO2 est le fait que vous ne pouvez pas le sentir, donc il se ruine en grande partie sans avertissement. En Allemagne, après la mort tragique d’une écolière de 13 ans, les premières questions se sont posées, qui ne peuvent être élucidées que par l’autopsie.

 

Certains « effets corona à long terme » coïncident avec des symptômes d’empoisonnement au CO2

Un sujet secondaire est souligné dans la vidéo. C’est ce qui s’est exprimé le 6 septembre. Plusieurs médecins généralistes évoquent les effets à long terme d’une infection corona dans le Kronen Zeitung : « Les personnes concernées – beaucoup d’entre elles ont été infectées lors d’un séjour au ski, sont plutôt jeunes et ont été jugées en forme « avant » – se plaignent surtout d’essoufflement, de maux de tête douloureux et de fatigue constante. » Cependant, tous ces symptômes coïncident également avec les conséquences médicalement prouvées auxquelles il faut s’attendre si la concentration de CO2 dans l’air est trop élevée.

 

___________

 

RÉFÉRENCES :

 

Ralf Wittenmeier : 13-Jährige bricht in Schulbus zusammen und stirbt. Rheinpfalz, 07. September 2020.

Allgemein : Tragisch: Starb Schülerin in Deutschland wegen Masken-Pflicht?. Wochenblick, 8. September 2020.

Allgemein : Sachverständiger beweist live: CO2-Werte unter Masken gesundheitsschädlich. Wochenblick, 9. September 2020.

Q SCOOP : Allemagne: Une écolière de 13 ans s’est écroulée dans un bus!. Qactus, 10 septembre 2020.

Martina Prewein : Sieben Ärzte zu Corona und seinen schlimmen Folgen. Kronen Zeitung, 06.09.2020.

Ludwigshafen : Ermittlungen zum plötzlichen Tod einer Schülerin dauern an. SWR, 9.9.2020.

Von Lars Wienand : AfD-Politikerin instrumentalisiert totes Kind für Kampf gegen Masken. t-0nline, 11.09.2020.

Boris Reitschuster : Wie der Tod einer 13-Jährigen instrumentalisiert wird. Zeitung attackiert nach Tragödie « Querdenker ». Reitschuster, 11. September 2020.

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Une video sur cette information :

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8 septembre 2020 2 08 /09 /septembre /2020 12:12
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7 septembre 2020 1 07 /09 /septembre /2020 14:10
Valeurs Actuelles du 3 septembre 2020, n° 4371

Valeurs Actuelles du 3 septembre 2020, n° 4371

1793-1794 est un épisode terroriste et génocidaire

 

Quand la France reconnaîtra le génocide vendéen, elle sera réconciliée avec son histoire. C'est le but que poursuit l'historien Jacques Villemain, qui apporte dans Génocide en Vendée les preuves irréfutables de son déroulement.

 

Entretien

 

Propos recueillis par Solange Bied-Charreton

 

La première question qui s'impose, en commençant votre ouvrage, est celle qui l'ouvre : pourquoi parler d'un génocide, pour les actes commis en Vendée en 1793-1794 par l'armée républicaine ?

 

La meilleure raison, sinon la seule pour en parler, est que les faits constatés en particulier lors de l'épisode des "colonnes infernales" (janvier - mai 1794) s'encadrent parfaitement dans la définition juridique du crime de génocide, telle que posée par la convention de l'ONU en 1948 et précisée ensuite par la jurisprudence des tribunaux pénaux internationaux institués par cette organisation pour juger les coupables des atrocités commises au Rwanda (1994). Cette définition, qui reprend et approfondit les acquis des tribunaux militaires internationaux de Nuremberg et de Tokyo, a ét encore reprose, voire précisée, dans le Statut de Rome (1968) qui crée la Cour pénale internationale, et par sa jurisprudence subséquente. C'est le référentiel juridique auquel je confronte les faits de la guerre de Vendée sur la période qui va de mars 1793 à la fin de 1794. Dans une spirale de violence croissante, on est passé des "crimes de guerre" (mars-août 1793), à une phase de crimes contre l'humanité d'août 1793 au début de 1794, puis, à partir de janvier 1794 jusqu'à la mi-mai, l'expédition des "colonnes infernales" constitue un véritable génocide.

 

En quoi les crimes commis en Vendée sont-ils comparables à ceux de la Seconde guerre mondiale ?

 

Les deux choses ne sont pas entièrement comparables mais il y a des points de contact entre les deux histoires. Le nazisme est, en tant qu'idéologie raciste, intrinsèquement criminel et on ne peut pas être surpris des crimes qu'il a fait concevoir et commettre. Au contraire, la Révolution française porte des idéaux universalistes de liberté et d'égalité: comment, à partir de la poursuite de tels idéaux (1789), en arrive-t-on en cinq ans (1794) à commettre un génocide ? La réponse se trouve dans la grande question que se posent les révolutionnaires parisiens : "Comment toute la population d'une région peut-elle se soulever aussi massivement, unanimement, contre une Révolution faite en principe à son bénéfice, ce qu'on ne voit nulle part ailleurs en France ?" Ce mystère de l'"inexplicable Vendée" (Barère) va recevoir une explication bien dans l'esprit du XVIIIe siècle. Les Vendéens sont alors stigmatisés comme une population "dégénérée", une "race maudite", "race exécrable", "à exterminer jusqu'au dernier", abrutie par des siècles de domination nobiliaire et cléricale, définitivement impropre au progrès politique et social que représente la Révolution : il faut donc les faire disparaître en totalité. C'est un peu comme les nazis qui estimaient que les Juifs étaient une population inférieure et dégénérée, et constituaient une pollution de l'espèce humaine, mais un peu aussi comme Staline pour qui les koulaks, notamment en Ukraine, étaient un obstacle à l'avènement d'une économie socialisée, il fallait les "liquider en tant que classe", autrement dit pour ce qu'ils étaient, ce qui caractérise l'intention génocidaire. 

 

[...] Et puis il y a les rapports des représentants en mission, des membres de la Convention mandatés pour aiguillonner les généraux. Garnier de Saintes écrit ainsi au Comité de salut public, qui encore une fois s'abstient de réfréner son action : "Tout est exécrable dans ce malheureux pays et cette race doit être anéantie jusqu'au dernier." Les représentants Hentz et Francastel écrivent le 9 mars 1794 au Comité de salut public (qui encore une fois se garde bien de protester) : "La bonne preuve que la Vendée ne sera jamais redoutable, c'est qu'elle ne contient plus d'habitants, qu'une quinzaine ou une vingtaine de mille habitants de l'ancienne population, qui devait être de plus de 160 000 habitants." Si c'était vrai, cela voudrait dire qu'on a déjà massacré environ 90% de la population. Il se trouve que c'est faux, les chiffres cités sont fantaisistes, mais cela montre bien que l'extermination complète était le but poursuivi. 

 

Les historiens pensent aujourd'hui que c'est plutôt 170 000 personnes, soit environ 20 et 25% de la population de la "Vendée militaire", qui ont été tuées au cours de la guerre : à peu près la même proportion que celle de la population cambodgienne massacrée par les Khmers rouges. Les quelques généraux qui protestent contre cette politique de massacres ou ne la mènent pas avec assez d'énergie sont dénoncés par Turreau et les représentants en mission, et sanctionnés par les autorités parisiennes."

 

(Fin de citation)

Pourquoi évoquer un génocide en parlant du groupe des "Vendéens" ?

 

Voici, ci-dessous, quelques citations (non-exhaustives) de révolutionnaires, conventionnels, membres en mission, réduisant le groupe des Vendéens à des "brigands", des "sangs impurs", "une race rebelle", "des monstres", "le vieux sang", "une race infâme à purger", "à détruire", "à épuiser", "à anéantir", "détruire totalement", "la race maudite des fanatiques et des traîtres", etc.

 

"Détruisez la Vendée!" (Barère)

 

"Cette guerre ne finira que par la mort du dernier Vendéen, et tous auront mérité leur sort." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, Editions du Cerf, Paris 2020, p. 125.)

 

"Dans le discours révolutionnaire, surtout à partir du mois d'août 1793, les Vendéens sont stigmatisés comme une 'race" ou comme une 'engeance' nuisible. C'est ainsi que Barère et Billaud-Varenne, membres du comité de salut public, parlent à propos des Vendéens d'une 'race impure'; les représentants en mission Hentz, Garrau, Francastel parlent d'une 'race mauvaise', 'race infernale' ou 'race abominable', 'race impure' et finalement 'race 'qui doit être anéantie jusqu'au dernier.' Carrier parle encore des Vendéens comme d'une 'race ennemie', et donc à exterminer entièrement." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid., p. 125.) 

 

"Il y a bien une 'race vendéenne', dès lors que les Révolutionnaires parisiens étaient persuadés qu'elle existait, qu'elle était mauvaise, et qu'on ne pourrait pas résoudre le problème qu'elle posait à la 'République' d'alors autrement que par une extermination 'comme telle'." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid., p. 139.)

 

"Si cette racialisation en vue de justifier l'extermination est utilisée en haut de la hiérarchie, elle circule dans les troupes révolutionnaires avec une telle intensité qu'on la retrouve tout en bas. On la retrouve sous la plume de celui qui deviendra le grand scientifique et 'saint laïc' républicain : François Broussais. [...] Sa correspondance avec ses parents exsude sa haine à l'égard de ceux-ci. Il leur écrit ainsi le 17 septembre 1793 : "Nous ne rentrerons qu'après en avoir définitivement exterminé toute la race." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid., p. 126.)

 

"Il faut ici entendre 'racial' au sens qu'avait au XVIIIe siècle le terme de 'race', qu'il faut interpréter d'une manière non génétique. Le concept de 'race' vendéenne a été un critère de ciblage d'une population dont on a considéré que l'arriération mentale (et religieuse) était indissolublement liée au 'terroir' vendéen et au mode de vie qui en résultait. [...] Le racisme du XVIIIe siècle, [...] résulte à la fois de la théorie des climats et de la théorie 'sensualiste' de la connaissance. Il y a cette idée qu'en dépaysant les personnes et en agissant sur l'éducation on peut améliorer les races." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid., p. 138-139.)

 

"L'animalisation des Vendéens, [...] est aussi une des constantes du discours 'bleu'." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid., p. 127.)

 

Camille Desmoulins affirme que les Vendéens sont des 'animaux à face humaine', et qu'il 'leur courir sus non pas comme dans une guerre, mais comme dans une chasse.'" (C. DESMOULINS dans son Histoire des Brissotins, cité par A. GERARD, Vendée, Les Archives de l'extermination, 2013, La Roche-sur-Yon, CVRH, 2013, p. 289,  in Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid., p. 127.)

 

Ils sont "une gangrène", une "peste", une "rage" et diverses métaphores animales, soit d'animaux féroces ("lions", "tigres" ou "loups") quand ils sont vainqueurs soit d'animaux de chasse ou de boucherie ("lièvres", "cochons", etc.) quand ils sont en déroute. La réalité rejoint ici la métaphore, car c'est précisément dans un contexte où ils sont systématiquement massacrés ou à massacrer que ces métaphores sont utilisées. (Mme A. ROLLAND-BOULLESTREAU, Les Colonnes infernales - violences et guerre civile en Vendée militaire 1794-1795, Fayard, Paris 2015, p. 49-71.)

 

"Dans le vocabulaire des acteurs et témoins de l'époque le terme 'exterminer' et son substantif 'extermination' sont clairement les plus utilisés." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, Editions du Cerf, Paris 2020, p. 77) "D'une manière générale, 'exterminer' et 'extermination' sont spécialement récurrents dans le lexique révolutionnaire et dans celui de Robespierre." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid., p. 83.) 

 

"Cette volonté de 'purge', de 'saignement', d''anéantissement' constitue le fond de la logique génocidaire de 1793-1794 en Vendée." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid.., p. 89.)

 

"Il n’y a plus que deux partis en France, le Peuple et ses ennemis. Il faut exterminer tous ces êtres vils et scélérats, qui conspireront éternellement contre les droits de l'homme et contre le bonheur de tous le peuple, celui qui a des culottes dorées est l'ennemi né de tous les sans-culottes. Il n'existe que deux partis, celui des hommes corrompus et celui des hommes vertueux." (Robespierre, Discours aux Jacobins, séance du 8 mai 1793).

 

"Les 'êtres vils et scélérats' à exterminer, dans ce discours de Robespierre, sont précisément les Vendéens. [...] La nature de la politique selon Robespierre, c'est la guerre de la Vertu contre le Vice poursuivie par d'autres moyens." (Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, Editions du Cerf, Paris 2020, p. 230-232.)

 

___________

Le professeur Xavier Martin, dans son ouvrage "Régénérer l'espèce humaine. Utopie médicale des Lumières (1750-1850) (Dominique Martin Morin édition, Mayenne 2008, recense d'autres citations :
 

"Je ne juge pas, je tue. Une nation ne se régénère que sur des monceaux de cadavres." (Saint Just)

"Ce que j’ai fait dans le midi, dit Baudot, je le ferai dans le sud. Je les rendrai patriotes, ou ils mourront ou je mourrai." (Marc-Antoine Baudot (1765-1837). Député envoyé en mission dans le sud-ouest et près de l’armée des Pyrénées d’avril 1793 à mars 1794. H. TAINE, Les Origines de la France contemporaine, p. 53.)

"Le Comité de Salut Public a préparé des mesures qui tendent à exterminer cette race rebelle (Vendéens), à faire disparaître ses repères, à incendier ses forêts, à couper ses récoltes. Le vaisseau de la Révolution ne pourra arriver au port que sur une mer de sang." (Bertrand Barrère)

 

"Nous sommes à la Vendée pour exterminer tous ces gens de brigans où ils se sont rassemblé" (Lettre du soldat Bénard du 2 septembre 1793 à sa famille, cité in Jacques VILLEMAIN, Génocide en Vendée, 1793-1794, ibid., p. 78.)



"Il n'y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l'enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay, suivants les ordres que vous m'avez donnés. J'ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux, massacré des femmes, qui au moins pour celles-là n'enfanteront plus de brigands. Je n'ai pas un prisonnier à me reprocher. J'ai tout exterminé... Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant dans plusieurs endroits qu'ils font pyramides." (Général François-Joseph Westermann, cité in Jean-François CHIAPPE, La Vendée en Armes 1793, tome 1, Librairie Académique Perrin, Paris 1982, p. 455.)

"Nous ferons de la France un cimetière, plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé." (Jean-Baptiste Carrier, in G.-A. TRONSON-DUCOUDRAY, La Loire vengée ou recueil historique des crimes de Carrier et du comité révolutionnaire de Nantes, Paris, an III de la République (coll. « Hervé de Bélizal »), p. 232.)

"Vous avez à délivrer le pays d'un chancre qui le dévore. Le poison est plus sûr que toute votre artillerie. Ne craignez donc pas de le mettre en jeu. Faites empoisonner les sources d’eau. Empoisonnez du pain que vous abandonnerez à la voracité de cette misérable armée de brigands, et laissez faire l’effet. Vous avez des espions parmi ces soldats qu’un enfant conduit. Lâchez-les avec ce cadeau et la partie sera sauvée." (Jean-Baptiste Carrier, le 9 novembre 1793, qui préconise d'empoisonner les puits et les sources d'eau...)

"La défaite des brigands est si complète qu'ils arrivent à nos avant-postes par centaines. Je prends le parti de les faire fusiller... C'est par principe d'humanité que je purge la terre de la liberté de ces monstres... J'invite mon collègue Francastel à ne pas s'écarter de cette salutaire et expéditive méthode." (Lettre de Carrier à la Convention nationale, 30 frimaire an II, 20 décembre 1793, lue à l'assemblée le 6 nivôse, 26 décembre; Moniteur, n° 98, 8 nivôse, 28 décembre ("à la une") p. 393, col. 1.)
"Il paraît qu'on a fusillé plus de deux mille brigands. On appelle cela : envoyer à l'ambulance.' (Benaben, commissaire, cité dans Jean-François CHIAPPE, La Vendée en Armes 1793, tome 1, Librairie Académique Perrin, Paris 1982, p. 455.)
"Oui, nous devons l'avouer, nous faisons répandre beaucoup de sang impur, mais c'est par humanité, par devoir." (Lettre de Fouché à la Convention, 27 décembre 1793, cité d'après A. GERARD, Par Principe d'humanité..., La Terreur et la Vendée, Paris 1999, p.
25.)

Il faut "régénérer l'espèce humaine en épuisant le vieux sang" (Le Batteux à Carrier, 21 nivôse an II, 10 janvier 1794: cité dans J. CRETINEAU-JOLY, Histoire de la Vendée militaire (1840-1842), 4 vol., Paris 1979, t. 2, p. 78.)

"La guerre de Vendée est enfin terminée sur la rive droite de la Loire. Un petit séjour dans ses cantons fera disparaître les fantassins qui auraient pu s'évader à la faveur des bois... C'en sera fini de l'engeance fuyarde, de la race maudite, des fanatiques et des traîtres." (Général Marceau, cité in Jean-François CHIAPPE, La Vendée en Armes 1793, tome 1, Librairie Académique Perrin, Paris 1982, p. 455.)

"Ce qui constitue une République, c'est la destruction totale de ce qui lui est opposée." (Saint-Just)

"Si nous nous purgeons, dit sous peu son collègue Garnier de Saintes, c'est pour avoir le droit de purger la France. Nous ne laisserons aucun corps hétérogène dans la République." (Garnier de Saintes aux Jacobins, 16 germinal an II, 5 avril 1794 : Aulard, La Société des Jacobins, Recueil de Documents..., t. 6, Paris, 1897, p. 47.)
Couthon bientôt, membre au surplus du Comité de salut public, ne dit guère moins lorsqu'il préconise, pour l'accomplissement du régime nouveau, "la résolution d'exterminer tous ceux qui ne veulent pas de la République." (Couthon aux Jacobins, 6 messidor an II, 24 juin 1794 : ibidem., p. 188.)

D'autres orateurs à la Convention ou aux Jacobins : ce dont "il s'agit", c'est "de faire éprouver au corps politique la sueur immonde de l'aristocratie ; […] aristocratie qualifie ici un état d'esprit. Ou bien ceci : "Le virus aristocratique et sacerdotal circule encore dans les veines de bien des hommes" ; ce sont des "contagieux qu'il faut séparer de la foule, de peur que [leur] mal ne devienne épidémique." Le génocide en raison de la religion (emploi du terme de "sacerdotal").

Le texte de la "Marseillaise" qui est devenu l'hymne de la république indique que le sang impur qui doit abreuver "nos sillons" est celui de cette horde d'esclaves, de "traîtres" (les nobles) et de "rois conjurés" (couplet 2).

"Il ne doit entrer dans sa composition (de la République) que des éléments purs. Dans ses premiers moments de fermentation elle a déjà vomi […] le clergé et la noblesse, il lui reste encore à se purger des égoïstes, des lâches, des traîtres et des ripons." [Fouché aux habitants de la Nièvre, 10 octobre 1793 : Arch. Parlem., 1ère série, t. 76, p. 686, col. 1.]

"La Convention nationale est sublime dans ce moment ; elle vomit de son sein tout qui s'y trouve d'impur." [Couthon, Propos du 29 messidor an II, 17 juillet 1794 : cité de seconde main d'après M. Braconnier, notice « Couthon », dans A. Soboul, dir., Dictionnaire de la Révolution française, Paris, p. 310.]

"Purgeons, purgeons à jamais le pays de cette race infâme (…). Purgeons, mes amis, saignons jusqu'à blanc." [Francastel, représentant en mission, Lettre des 22 et 20 décembre 1793 : cf. notre livre Sur les Droits de l'Homme et la Vendée, éd. DMM, Bouère, 1995, p. 60.] Ce ne sont pas la vaillance, ni les bonnes intentions, qui font défaut à ce philanthrope dévoré de zèle pour le bien public.

[…] Simple parenthèse : un médecin d'Auschwitz, confronté au souvenir du serment d'Hippocrate (par une détenue médecin elle-même), expliquait ceci : "Par respect pour la vie humaine, je pratique l'ablation des appendices purulents." [E. Klee, [Auschwitz. Die NS-Medizin une ihre Opfer, Francfort, 1997], La Médecine nazie et ses victimes (trad. O. Mannoni), s.l. (Actes Sud), 1999, p. 293 ; suite : "Les
Juifs sont un appendice purulent sur le corps de l'Europe » (p. 293-294) (p. 424 : déposition d'Ella Lingens, 19 septembre 1960). - Napoléon, quant à lui, s'estimait fondé à appliquer aux Juifs la qualification de "masse de sang vicié" : cf. infra., p, 229.]
C'est par principe d'humanité que Carrier "purge" la France des asociaux (donc sous-humains) du Bas-Poitou : il l'annonce en précisant fièrement qu'il fait massacrer les naïfs qui se rendent. [Lettre de Carrier à la Convention, 30 frimaire an II, 20 décembre 1793, lue à l'assemblée le 6 nivôse, 26 décembre ; Moniteur, n° 98, 8 nivôse, 28 décembre, ("à la une") p. 393, col. 1 : "C'est par principe d'humanité que je purge la terre de la liberté de ces monstres." "J'invite mon collègue Francastel à ne pas s'écarter de cette salutaire et expéditive méthode". … - Sur la logique intellectuelle qui peut conduire la répression républicaine à méconnaître effectivement les qualités d'hommes et de citoyen chez les insurgés, ou à tendre à le faire, voir notre ouvrage Sur les Droits de l'Homme et la Vendée, Bouère, 1995 ; il s'articule intégralement sur cette problématique. - Sur tout cela voir également A. Gérard , "Par principe d'humanité...", La Terreur et la Vendée, Paris, 1999.]

Fouché, de Lyon, en dit autant : "Oui, nous devons l'avouer, nous faisons répandre beaucoup de sang impur, mais c'est par humanité, par devoir" [Lettre de Fouché à la Convention, 27 décembre 1793 : cité de seconde main d'après A. Gérard, op. cit., p, 25.] Fouché dit "par humanité" ; Carrier dit "par principe d'humanité" ; le médecin du camp (nazi) exprime-t-il autre chose lorsque disant éradiquer "un appendice purulent", il déclare agir "par respect pour la vie humaine" ?

Source de ces citations : Xavier MARTIN, "Régénérer l'espèce humaine. Utopie médicale des Lumières (1750-1850) (Dominique Martin Morin édition, Mayenne 2008.)

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7 septembre 2020 1 07 /09 /septembre /2020 09:23

En s'appuyant sur l'histoire féodale médiévale qui a vu la destruction de la res publica, Aram Mardirossian, professeur agrégé des facultés de droit à l'Ecole de droit de la Sorbonne et directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études, établit dans Valeurs Actuelles du 27 août 2020, n° 4370, pp. 82-85, un lien entre ce qui s'est produit à l'époque des seigneurs du Moyen-Âge et les caïds d'aujourd'hui. Mais ce qui se produit aujourd'hui est "pire encore" :

"Pour la première fois, le système de la personnalité des lois et le processus de décomposition de la puissance frappent en même temps le pays."

Quand la république détruit la France

Quand la république détruit la France

 

Source: Valeurs Actuelles, n° 4370 du 27 août 2020, pp. 82-85

 

Aujourd'hui la République et plus encore les "valeurs républicaines" - resucée novlanguienne du droit-de-l'hommisme - sont devenues un véritable credo qu'égrènent tous ceux qui, avant d'être français, se considèrent comme "républicains". 

 

République versus res publica. Le choc des mots ou l'ironie de l'histoire. À Rome, la res publica constitue une entité supérieure à la personne de ses dirigeants, à la prospérité de laquelle tous doivent œuvrer. Elle exige la primauté de l'utilité commune sur les intérêts privés des gouvernants, mais aussi de la distantiation entre le principe d'autorité perpétuel et la personne qui exerce temporairement celle-ci. Si la res publica désigne classiquement l'État, sa traduction en "république" a fini par endosser une acception réductrice qui vise un type de régime politique. Or, depuis un demi-siècle, cette République et ses "valeurs" démolissent pan après pan la res publica, l'édifice millénaire que représente l'État, et in fine, détruisent la France.

 

[...] Dès la fin du IXe siècle, la généralisation du système féodal sanctionne la dislocation de la puissance publique carolingienne. [...] Les Capétiens vont, au prix d'un intense labeur d'un demi millénaire, forger l'État. [...] [L]a res publica, dès l'époque médiévale, la chose (appelée notamment corona, "couronne") existe avant le mot, qui, se généralise au XVIe siècle. Ainsi, l'État n'a pas fait la France à lui seul, mais il y a fortement contribué. Bientôt le royaume de Louis XIV devient la première puissance mondiale.

 

Et puis, les révolutionnaires, de façon sanglante, et Napoléon, de manière brutale, ont repris l'État capétien en l'arrachant à sa matrice chrétienne. La France ne se remettra jamais réellement de cette rupture paradigmatique. Et puis, les deux guerres mondiales ont fracassé l'Europe, et puis, le poison de la (dé)construction européenne a été insidieusement distillé, et puis des bouleversements démographiques ravageurs se sont enclenchés, et puis, la res publica a muté en "valeurs républicaines".  Le cycle millénaire qui avait débuté avec le relèvement capétien se clôt aujourd'hui dans une atmosphère de guerre civile. Ainsi, la situation de la France "républicaine" de 2020 paraît pire encore que celle de la Francie féodale. Pour la première fois, le système de la personnalité des lois et le processus de décomposition de la puissance frappent en même temps le pays. 

 

Il existe actuellement non pas plusieurs centaines de zones de non-droit, mais plutôt de territoires où s'appliquent d'autres normes que celles de la res publica française, en l'occurence, un mélange de loi islamique et de règles coutumières ethnico-culturelles et criminelles. Ce droit est imposé par des potentats locaux qui se considèrent comme l'unique autorité dans leur district et appréhendent l'État, et ses représentants comme une puissance étrangère hostile. Le recul de la res publica encourage ces groupes séparatistes à sortir de leurs quartiers pour braver son autorité jusqu'au coeur de sa capitale. Alors que le décret du 31 mai 2020 interdisait tout rassemblement de plus de dix personnes dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire, le 2 juin, une manifestation réunissait plusieurs dizaines de milliers de personnes pour "réclamer justice" après le décès d'Adama Traoré lors de son interpellation par les forces de l'ordre en 2016. Les manifestants prétendaient artificiellement lier leur cause à la mort de George Floyd tué lors d'une arrestation de la police aux États-Unis en mai 2020. Ces prétextes fallacieux dissimulent mal une démonstration de force orchestrée par des groupes sécessionnistes promoteurs d'un islam intégral mâtiné de racisme anti-français. Leur silence sur les meurtres récents d'un jeune homme à Sarcelles, ainsi que d'une gendarme et d'un chauffeur de bus dans le sud de la France - d'aucuns parlent d'"incivilités" - tient-il au fait que les trois victimes étaient blanches contrairement à leurs tueurs respectifs ? Ces séparatistes bénéficient d'un soutien inconditionnel du ban et de l'arrière-ban de l'extrême-gauche qui pense trouver là un nouveau prolétariat à encenser. Ces islamo-gauchistes et écologistes-pastèques ne saisissent pas que leurs "protégés" les manipulent, en usant au besoin de la taqiya, et, qu'en réalité, ils les exècrent en raison de leur athéisme.

 

En face [...] [p]ar la bouche de l'ancien ministre de l'Intérieur [Christophe Castaner. Ndlr.], il justifie ce renoncement de façon inconsidérée et suicidaire : "L'émotion mondiale [...] dépasse au fond les règles juridiques qui s'appliquent." Nul besoin d'être agrégé des facultés de droit pour comprendre qu'ici, le cher "État de droit" de tous les hérauts des "valeurs républicaines", cédera sa place, dans le sang, à la loi du plus fort. Inventif, il a également lancé un improbable "ovni" juridique en clamant qu'une suspension devait être systématiquement envisagée à l'encontre de tout policier ou gendarme sur lequel pèserait un soupçon avéré d'actes ou de propos racistes. Pour couronner le tout, ce même ex-ministre, a précisé qu'il était prêt à "s'agenouiller" pour "vaincre le racisme". Un peu comme le vassal qui, dans le cadre de l'hommage féodal, prête allégeance à son seigneur, sauf qu'en l'occurrence, ce dernier ne le relèvera pas pour lui donner l'osculum - le baiser sur la bouche - avant de se jurer loyauté mutuelle. Ici, il s'agirait plutôt de l'humiliation du dhimmi qui se soumet à son maître.

 

Un adage résume le comportement de l'État gangréné par les "valeurs républicaines" : "faible avec les forts, fort avec les faibles". Ainsi, les "gilets jaunes" authentiques - qui disparurent rapidement après leur récupération par les mouvements islamo-gauchistes - avaient été violemment réprimés par les forces de l'ordre qui, en même temps, laissaient les casseurs et autres racailles commettre librement leurs exactions. Les rares voyous interpellés bénéficiaient de l'indulgence infinie d'une justice largement contaminée, en ce domaine, par une idéologie laxiste mortifère. Puis, durant la véritable claustration médiévale que le pouvoir politique a brutalement imposée à la population - pour tenter de camoufler son incurie et ses mensonges face à la pandémie qui a frappé le pays - , les policiers ou les gendarmes, chapitrés par leur hiérarchie, se sont montrés impitoyables avec la population inoffensive. Malheur à celui qui avait oublié ou mal rempli son attestation de sortie : il était aussitôt frappé d'une amende de 135 euros. Pire, une minorité d'agents bornés n'ont pas hésité à verbaliser de façon imbécile, qui une dame de 79 ans simplement postée quelques minutes près de la fenêtre de l'hospice où dépérissait son mari de 93 ans; qui un homme muni d'une attestation dérogatoire de déplacement se rendant au chevet de son père mourant qu'il ne reverra jamais vivant ayant été contraint de rebrousser chemin. Mieux, sur dénonciation d'un voisin, des policiers armés pénétraient dans une église parisienne pour interrompre une messe non publique qui réunissait 7 personnes non sans verbaliser grossièrement le prêtre officiant. Au même moment, un préfet de police reconnaissait implicitement que les fidèles musulmans pouvaient se réunir entre voisins le soir pour la rupture du jeûne durant le mois de ramadan, tandis qu'un directeur départemental de la sécurité publique demandait aux forces de l'ordre de se tenir en retrait des "quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan."

 

L'effondrement de l'État qui s'accélère autorise les nouveaux sombres sires et leurs sbires à s'affronter ouvertement. Le chaos qui a récemment frappé Dijon est archétypique. À la suite de l'agression de l'un des siens, la "communauté" tchétchène a entrepris de le venger, c'est-à-dire, tout simplement, d'appliquer son droit coutumier ethnico-religieux. Les agresseurs qui appartiennent à la "communauté" maghrébine sont originaires d'un des quartiers de la ville qu'ils tiennent en coupe réglée pour organiser leurs activités criminelles. Face à l'offensive tchétchène, les "seigneurs" locaux ont "naturellement" pris en charge la défense de leur territoire. Pendant plusieurs jours les deux "communautés" se sont affrontées, tandis que la puissance publique impuissante a laissé faire. La population dijonnaise, à commencer par celle qui vit dans le quartier disputé, a été totalement laissée à la merci des deux groupes lourdement armés. Puis le sreligieux ont pris les choses en mains et les "communautés" en guerre ont conclu un "armistice" à la mosquée ! De bien pires violences seraient survenues si l'un des deux camps n'avait été pas musulman, car là, il aurait fallu en sus donner une leçon aux infidèles. Cet épisode illustre parfaitement le fait, qu'aujourd'hui, plusieurs centaines de territoires codirigés par des caïds et des religieux se considèrent comme autonomes par rapport à la puissance publique, comme jadis les sires et châtelains. Mais le parallèle s'arrête là.

 

Cette fois, il n'y aura pas un Capétien pour restaurer - au besoin en utilisant la force de manière implacable, tel un Philippe le Bel - la res publica au nom du Christ. La Révolution a expulsé Dieu pour mettre l'homme à sa place, et depuis, la France déchristianisée n'en finit pas de se déliter. Désormais, à la tête du pouvoir séculier, se trouve un président de la République élu par le peuple. Et afin que les électeurs votent "correctement", la lessiveuse médiatrice essore intensément leur cerveau. Tout est fait pour promouvoir les "valeurs républicaines" destructrices de la res publica, et conséquemment, de la société française. Ici triomphe une vision suicidaire des droits de l'homme couplée à une idéologie mondialiste et européiste, l'ensemble étant promu par une oligarchie déracinée dont l'objectif est de faire de l'Europe une immense zone commerciale peuplée de consommateurs invertébrés, sans identité. Dès lors, le terrorisme des minorités s'exerce et il est aisé pour les groupes séparatistes de déboulonner les statues de Colbert et d'autres grands personnages du passé. L'objectif de ces conventicules "antiracistes", qui constituent en réalité le racisme incarné, est de détruire de fond en comble la France, ses symboles et son histoire, qu'ils haïssent.

 

Cette fois, il n'y aura ni Paix ni Trêve de Dieu. Les évêques actuels ne paraissent guère de la même trempe que leurs devanciers des temps féodaux. Il est vrai que les seigneurs médiévaux étant tous chrétiens, la plupart d'entre eux respectaient, bon gré mal gré, l'autorité morale de l'Église. On ne peut pas exactement dire la même chose s'agissant des sécessionnistes d'aujourd'hui.

 

Cette fois, la plupart des séparatistes ne cherchent pas seulement à s'octroyer pouvoir et richesse. Ils prétendent également agir au nom d'une religion qui veut prendre sa revanche pour, enfin, conquérir la France et l'Europe, après avoir essayé sans succès pendant près d'une millénaire, entre le VIIIe et le XVIIe siècle.

 

Cette fois, en raison de la démission ou de l'incapacité des bellatores et des oratores, ce qu'il reste de laboratores lucides ne semble pas avoir d'autres choix que de prendre les choses en main pour enrayer la balkanisation mortelle de la France. Une telle perspective paraît aussi effrayante qu'inexorable.

 

(Fin de l'article)

Note du blog Christ-Roi.

 

La res publica n'a pas attendu la république de 1792 ni celle de 1870 et encore moins celle de 1958 pour exister. En plein XVIe siècle, Jean Bodin a pu écrire ses Six Livres de la République (1576), en pleine monarchie de droit divin. 

La démocratie fondée sur la conviction que le corps politique est le produit des volontés de chacun, et portant jusqu'à l'incandescence l'idée d'une création de l'homme par lui-même, est vouée à étendre sans cesse les droits des individus. Elle contraint les hommes à vivre dans un monde d'individus inégaux, alors même qu'elle a posé en principe leur égalité. Elle se condamne donc à rendre sans cesse moins tolérable l'écart entre les promesses [...], les espérances qu'elle suscite et les accomplissements qu'elle offre...

Préface de Mona Ozouf dans François Furet, La Révolution française, Quarto Gallimard, Malesherbes 2007, p. XXI.

Dans le système hérité des principes contradictoires de 1789, il y a deux erreurs fatales qui conduisent à leur annulation dans la réalité de nos vies quotidiennes. 

 

La première erreur fatale, bien perçue par Mono Ozouf, consiste à organiser un système (la "démocratie") "sur la conviction que le corps politique est le produit des volontés de chacun, et portant jusqu'à l'incandescence l'idée d'une création de l'homme par lui-même" [Article 3 de la DDHC de 1789. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Et Art. 6. La Loi est l'expression de la volonté générale.] Cette première erreur conduit à la conséquence seconde qui est d'"étendre sans cesse les droits des individus", de contraindre "les hommes à vivre dans un monde d'individus inégaux, alors même qu'elle a posé en principe leur égalité." La démocratie ainsi organisée "se condamne [...] à rendre sans cesse moins tolérable l'écart entre les promesses [...], les espérances qu'elle suscite et les accomplissements qu'elle offre..." L'égalité des uns présuppose comme condition préalable l'inégalité économique et sociale des autres : c'est une belle réussite du marché, mais une impasse totale pour les principes de 1789.

 

Conclusion. Le principe de toute souveraineté ne réside pas essentiellement dans la Nation. Il y a effectivement des réalités spirituelles, physiques, naturelles..., en dehors de "la Nation", qui s'imposent à elle, et dont la nation doit tenir compte sous peine d'être totalitaire (exemple: les droits "inaliénables", "imprescriptibles" et "naturels" de l'article 2 de la DDHC de 1789 comme la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression : il serait faux de prétendre que la Nation leur serait supérieure en Souveraineté...) Un enfant de cinq ans s'en rendrait compte mais nos dirigeants, dont on se demande pour qui ils travaillent, non.

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6 septembre 2020 7 06 /09 /septembre /2020 17:59

Une table ronde organisée par les Bibliothèques idéales de Strasbourg a réuni Martine Wonner, député, le Professeur Perronne, auteur du livre "Y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise ?", et le Professeur Sibilia, doyen de la Faculté de médecine de Strasbourg, sur le thème de la gestion de l'épidémie de coronavirus.

Sc

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Publié par Ingomer - dans Sciences
6 septembre 2020 7 06 /09 /septembre /2020 17:41

Une action en justice importante se met en place "Action Respirer librement. Défendez vos droits", au niveau local, mais aussi au niveau national, contre l'application du décret du 10 juillet et du décret du 30 juillet sur le masque obligatoire et le masque obligatoire en extérieur. Cette action vise à attaquer non pas les conséquences locales des décrets mais à attaquer directement les dits décrets. Le recours en justice contre des décrets étant de deux mois, l'action doit se réaliser avant le 10 juillet.

Si vous souhaitez vous joindre à cette action :

https://agir-ensemble.eu

 

(NB : il s'agit d'une action indépendante des autres déjà présentées par Maître Manna, et qui sont, bien évidemment toujours en cours)

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6 septembre 2020 7 06 /09 /septembre /2020 17:35
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6 septembre 2020 7 06 /09 /septembre /2020 08:32

Dernière folie à Milan: Confirmation avec des cotons-tiges biodégradables

 

06-09-2020

 

La Nuova Bussola Quotidiana

 

Luisella Scrosati

 

Une note du bureau de l'archidiocèse de Milan dicte les nouvelles règles pour la célébration des confirmations: en plus des mesures absurdes habituelles pour garantir la distanciation sociale, pour l'onction, il est suggéré - au lieu de la boule de coton habituelle - d'utiliser le  "coton-tige biodégradable", un exemple admirable d'Église sainement corrigée et écologiquement convertie. Pendant ce temps, dans la province de Forlì, un maire - apparemment avec le consentement du curé de la paroisse - impose aux enfants des tampons comme condition pour recevoir la première communion. Il s'agit-là seulement des derniers exemples d'une Église en plein désarroi et désormais complètement asservie à l'État.

 

Le cher cardinal Giacomo Biffi, dans son Cinquième Évangile, humoristique et pénétrant - qui imaginait la découverte d'un nouvel évangile, en fait, qui reprenait certains passages traditionnels et les relisait ironiquement à la lumière de la théologie moderne - n'avait pas pu imaginer autant de choses. Son esprit avait peut-être été quelque peu freiné par son célèbre réalisme et son bon esprit substantiel. Lui, le bon Biffi, n'en était pas venu à penser que ses frères dans le sacerdoce et l'épiscopat seraient un jour inspirés par quelques versets d'un pseudo-évangile qui rapportait, à sa manière, l'histoire de la guérison du lépreux.

 

S'il avait toujours été parmi nous, il aurait certainement aussi "trouvé" cette partie dans laquelle, à la supplication du lépreux, Jésus, au lieu de tendre la main, de le toucher et de dire: "Je le veux, sois purifié!" (cf. Mc 1, 40-41), avait fait usage de ses apôtres et du pouvoir de Rome, pour vérifier que le lépreux n'avait pas une température supérieure à 37,5 ° C et n'avait pas été en contact avec des personnes mises en quarantaine. Bref, les choses se seraient plus ou moins passées comme cela, selon le texte "redécouvert":

 

"Puis un lépreux vint vers lui: il le supplia à genoux et lui dit: Si tu veux, tu peux me guérir!". Poussé par la peur, Jésus retira sa main, s'assura de garder la distance d'au moins deux mètres et, plaçant soigneusement le voile devant son nez et sa bouche, lui dit: "Je le veux, sois guéri. Mais dans tous les cas, vous comptez comme une personne infectée". Immédiatement, la lèpre a disparu et il s'est rétabli. Et, le réprimandant sévèrement d'avoir quitté la maison et de ne pas avoir observé la quarantaine, il le renvoya et lui dit: "Fais attention à ne pas te promener sans masque, mais va, présente-toi au prêtre, et dis-lui de se méfier de tout le monde, de ceux qui ont des maladies infectieuses". Et les gens se sont réjouis de l'attention portée par le Maestro à la santé publique".

 

C'est plus ou moins de cet "évangile" que l'archidiocèse de Milan a dû s'inspirer en publiant la dernière note méticuleuse pour la célébration de la Confirmation ( ici ) éditée par le Bureau et datée du 3 septembre. Ainsi, alors que dans les écoles de toute l'Italie, y compris celles de Milan et des environs, les enfants pourront s'asseoir à leur bureau sans masque, les mêmes enfants qui se retrouveront à leur place parmi les bancs d'une église, qui notoirement (expliquez-le à l'évêque, et au CTS) ont un volume cubique des dizaines de fois supérieur à celui des places d'une salle de classe, ils devront garder le masque.

 

Et évidemment le candidat doit garder une distance d'un mètre avec le parrain. Ce qui, vous pouvez être sûr, se produira également pendant les festivités au restaurant ou à la maison. Et cela avait sûrement dû se produire avant la célébration. Car l'oncle, la sœur ou la cousine du candidat, de février à aujourd'hui, n'ont certainement jamais approché l'enfant. Qu'il l'a ensuite touché, sans même y penser; la première fois, le premier contact n'aura lieu qu'au moment fatidique, lorsqu'il posera sa main sur l'épaule du filleul, un geste gracieusement accordé par le diocèse. Hypocrisie.

 

Mais ce n'est pas tout. Lorsque les confirmants iront recevoir la Sainte-Hostie, tous à bonne distance, et que le ministre aura mis une muselière, alors l'onction sera donnée, selon les dispositions de la CEI, avec "une boule de coton ou une serviette pour chaque confirmant". Mais le diocèse de Milan, toujours zélé, fait encore plus : il suggère - entendez, entendez - "l'utilisation de cotons-tiges biodégradables", c'est-à-dire les cotons-tiges nouvelle génération. Le ministre de l'Environnement sera donc également satisfait et la conversion écologique est démontrée.

 

Inutile de dire que le ministre "en faisant le geste expressif de l'imposition de la main veillera à ne pas toucher la tête du candidat en même temps", puisque l'on sait l'augmentation des contagions "par la tête". Le ministre "échangera alors la paix avec le candidat en prononçant les paroles prévues par le Rituel mais sans aucun contact physique". Hypocrisie totale.

 

Le diocèse devrait expliquer pourquoi, lors des dernières ordinations sacerdotales dans la cathédrale, l'archevêque a touché les mains des ordonnés avec ses mains, les a graissées sans les bâtons biodégradables et a imposé ses mains en touchant la tête des diacres - un geste répété, horreur ! par tous les prêtres présents - (voir photos ici).

 

Donc, pour récapituler : le virus se transmet par les cheveux du Confirmant, mais pas par les cheveux de l'ordinant ; il est très dangereux de toucher le front d'un candidat à la Confirmation, alors qu'il n'y a aucun problème pour toucher les mains d'un prêtre ; à l'école, on peut aller sans masque, mais pas à l'église. Devons-nous continuer ? [Oui continuons : le gel désinfectant dans les bénitiers à la place de l'eau bénite, alors qu'on peut se baigner de la tête aux pieds dans les piscines. Ndlr.] Ou suffit-il de comprendre que les pasteurs sont maintenant dans le désarroi ? Pendant des décennies, ils ont fait semblant de ne pas voir les abus et les aménagements liturgiques de toute sorte et de toute espèce, et maintenant, ils font preuve d'un zèle inégalé pour soigner chaque détail hygiénique...

 

Juste pour compléter le tableau et pour préciser que les pasteurs ont maintenant définitivement baissé leur pantalon devant les manies hygiéniques d'un pouvoir qui, après avoir été muselé, va imposer la laisse, nous passons de la Lombardie à l'Émilie-Romagne, du diocèse de Milan à celui de Forlì. Municipalité et paroisse de Galeata, où la maire, Elisa Deo, a bien pensé que, à l'occasion des premières communions d'aujourd'hui, le 6 septembre, les enfants devront tous être testés. Sinon, pas de Première Communion. Et le curé ? Il est d'accord, du moins selon Deo. Le maire décide donc qui peut recevoir la Première Communion et qui ne le peut pas, même si ce n'est pas le Père Éternel. C'est le nom de famille qui lui est passé par la tête ? Nous ne le savons pas, mais après les abus des évêques et des prêtres qui refusent la communion à ceux qui veulent la recevoir dans leur bouche, nous avons maintenant les maires qui empêchent les enfants de recevoir le Seigneur. La raison ? Toujours la même : une contagion croissante. Pas moins de sept (sic !) cas notifiés (pas gravement malades ni morts !) dans cette commune de 2 500 habitants, en augmentation probable (les infectés, pas les habitants). Avec un prêtre de la paroisse, et probablement des parents, pour vous remercier de votre sensibilité.

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Publié par Ingomer - dans Religion Liturgie
5 septembre 2020 6 05 /09 /septembre /2020 16:00

Ce chant est ici interprété par la Promotion Général Fourcade de l'ESM de Saint-Cyr. Paroles de Ste Thérèse de Lisieux.

Paroles:

 

Rappelle-toi, rappelle-toi…

Rappelle-toi, rappelle-toi…

 

Rappelle-toi Jeanne Domrémy, Chinon,

Orléans Reims, et Rouen où ton cœur fut pure hostie.

Fille de Dieu, Sainte Pucelle, viens au secours

De la France au nom de Jésus et Marie

 

France ô ma France, Il faut élever

Jusqu’aux Cieux, ta Patrie

Si tu veux retrouver la vie

Et que ton nom soit glorieux

Le Dieu vainqueur et clément

A résolu de te sauver

 

Mais c’est par moi, qu’il veut te racheter

Viens à moi, je prie pour toi je t'appelle, reviens à moi.

Fille de Dieu, Sainte Pucelle, viens au secours

De la France au nom de Jésus et Marie.

 

France ô ma France,

Il faut élever Jusqu’aux Cieux,

Ta Patrie Si tu veux retrouver la vie

Et que ton nom soit glorieux

Le Dieu vainqueur et clément

A résolu de te sauver

Rappelle-toi, rappelle-toi…

Rappelle-toi, rappelle-toi…

 

 

Biographie de Jeanne d'Arc:

 

Jeanne d'Arc, née vers 1412 à Domrémy, village du duché de Barn (actuellement dans le département des Vosges en Lorraine), et morte sur le bûcher le 30 mai 1431 à Rouen, capitale du duché de Normandie alors possession du royaume d'Angleterre, est une héroïne de l'histoire de France, chef de guerre et sainte de l'Église catholique, surnommée « la Pucelle d'Orléans ».

 

Dans sa treizième année, cette jeune fille de dix-sept ans d'origine paysanne affirme qu'elle a reçu de la part des saints Michel, Marguerite d'Antioche et Catherine d'Alexandrie la mission de délivrer la France de l'occupation anglaise. Elle parvient à rencontrer Charles VII, à conduire victorieusement les troupes françaises contre les armées anglaises, à lever le siège d'Orléans et à conduire le roi au sacre, à Reims, contribuant ainsi à inverser le cours de la guerre de Cent Ans.

 

Capturée par les Bourguignons à Compiègne en 1430, elle est vendue aux Anglais par Jean de Luxembourg, comte de Ligny, pour la somme de dix mille livres. Elle est condamnée à être brûlée vive en 1431 après un procès en hérésie conduit par Pierre Cauchon, évêque de Beauvais et ancien recteur de l'université de Paris. Entaché de nombreuses irrégularités, ce procès voit sa révision ordonnée par le pape Calixte III en 1455. Un second procès est instruit qui conclut, en 1456, à l'innocence de Jeanne et la réhabilite entièrement. Grâce à ces deux procès dont les minutes ont été conservées, elle est l'une des personnalités les mieux connues du Moyen Âge.

 

Béatifiée en 1909 puis canonisée en 1920, Jeanne d'Arc devient une des deux saintes patronnes secondaires de la France en 1922 par la lettre apostolique "Beata Maria Virgo in cælum Assumpta in Gallicæ". Sa fête nationale est instituée par la loi en 1920 et fixée au 2e dimanche de mai.

Cette loi, votée à l'unanimité, est toujours en vigueur

 

Elle est dans de nombreux pays une personnalité mythique qui a inspiré une multitude d’œuvres littéraires, historiques, musicales, dramatiques et cinématographiques.

 

(Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeanne_...)

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5 septembre 2020 6 05 /09 /septembre /2020 15:40

Credit: Goran Bogicevic/Shutterstock.

Un prêtre de la FSSP demande de désobéir concernant le masque

 

Un prêtre de la FSSP, aux États-Unis, a eu une prise de parole courageuse qui a suscité la controverse. Le père Daniel Nolan a demandé à ses paroissiens de désobéir aux autorités civiles et religieuses concernant l'obligation du port du masque à la messe. L'archidiocèse de Denver envisage donc de prendre des mesures disciplinaires contre ce prêtre de la Fraternité Saint-Pierre (FSSP) qui a dit à ses fidèles dans un message vidéo: «N'obéissez pas à l'évêque, n'obéissez pas au gouverneur». Le père Daniel Nolan a soutenu que ni l'archidiocèse ni le gouvernement n'ont le pouvoir d'obliger les gens à porter des masques à l'église. La FSSP s'est également distancée de sa déclaration et examine présentement le cas.

 

Voici donc une traduction d'un texte de la Catholic News Agency (CNA):

 

Des responsables de l'Église évaluent un prêtre qui a dit aux catholiques de «désobéir» à l'évêque en portant un masque

 

03/09/2020

 

''L'Archidiocèse de Denver et la Fraternité sacerdotale de Saint-Pierre examinent la situation d'un prêtre qui a dit aux catholiques de désobéir aux ordres de l'Église et des fonctionnaires municipaux concernant les masques à la messe et à d'autres services religieux.

 

Dans une vidéo publiée mardi sur YouTube, le P. Daniel Nolan a dit aux catholiques ''n'obéissez pas à l'évêque, n'obéissez pas au gouverneur. Ils ne peuvent pas vous dire de porter un masque. Ceci est un mensonge. Ils nous mentent à tous.''

 

«Si votre évêque vous le dit, ne le faites pas. Et j'encourage tout le monde à ne pas porter de masque. Et je vous dis: désobéissez à votre évêque, désobéissez à votre gouverneur. C’est ce que je vous dis », a ajouté Nolan.

 

Ses remarques sont intervenues à l'issue d'une séance de catéchèse offerte à la paroisse Notre-Dame du Mont Carmel à Littleton, au Colorado, qui a publié la vidéo sur YouTube mardi et l'a retirée mercredi.

 

Interrogé sur l'importance de l'obéissance, Nolan a dit aux paroissiens que «nous devons obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes. Et si l'évêque vous dit de faire quelque chose qui est contraire à votre santé, contraire à la raison et contraire au bien commun, désobéissez. Et c’est contraire au bien commun de continuer à accompagner une tentative de prise de contrôle communiste des États-Unis, ce qui est en train de se produire.»

 

Interrogé dans la vidéo sur l'obéissance aux autorités locales de l'Église, Nolan a ajouté: "Désobéissez à tous. À ce stade, ils n'ont aucune autorité. Ceux-ci coopèrent au mal, qui est la suppression du peuple américain. Suppression de vos droits, suppression de vos libertés, suppression du bon sens. L'empereur n'a pas de vêtements. Si vous êtes en bonne santé, vous avez 0,006% de chances de mourir du COVID. La grippe a plus de chances de vous tuer si vous êtes en bonne santé. Tellement de gros mensonges. Ce n'est plus de la politique, c'est de la moralité.''

 

Le porte-parole de l'archidiocèse, Mark Haas, a déclaré à CNA le 2 septembre que l'archidiocèse était en train d'examiner la question.

 

Notant que la vidéo YouTube «a été retirée avant de pouvoir être entièrement revue», Haas a déclaré que l'archidiocèse «entamerait le processus de détermination des prochaines étapes appropriées».

 

Le porte-parole a ajouté que l'archidiocèse commencerait son examen de la situation en discutant avec le curé de la paroisse.

 

Le droit canonique établit qu'une personne qui «incite des sujets à désobéir» à l'Ordinaire «doit être punie d'un interdit ou d'autres peines justes».

 

Les lignes directrices publiées par l'archidiocèse de Denver le 2 juin indiquent que les catholiques qui assistent aux messes publiques devraient porter un masque.

 

(...)

 

Philip Condron, un porte-parole de la FSSP, a déclaré à CNA que la fraternité «examinera cette question conformément au Code de droit canonique et à ses propres politiques internes».

 

«La Fraternité sacerdotale Saint-Pierre ne cautionne pas les commentaires ni ne soutient les actions visant à désobéir aux évêques ou aux autorités gouvernementales. L'opinion du P. Daniel Nolan était son opinion personnelle et elle ne reflète pas celle de la Fraternité Saint-Pierre », a précisé Condron par courrier électronique.

 

«Les supérieurs de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre ont demandé à leurs prêtres d'adhérer aux directives de santé publique émises par les autorités locales, étatiques et fédérales, y compris les exigences de leurs ordinaux locaux (évêques)», a-t-il ajouté.

 

Nolan, 44 ans, a été ordonné prêtre pour la Fraternité sacerdotale de Saint-Pierre en 2014. Avant d'entrer dans la FSSP, il a fréquenté la United States Naval Academy et a servi dans la Marine Corps, prenant sa retraite en tant que capitaine en 2006. (...)

 

Pour lire en entier, c'est ICI (en anglais) / Le Forum catholique

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Publié par Ingomer - dans Sciences Religion
5 septembre 2020 6 05 /09 /septembre /2020 14:42
Un appel de personnels sanitaires belges dénonce un "pronunciamento sanitaire qui ne dit pas son nom"

"Le grand air, l'aération correcte des voies respiratoires supérieures sont les bases de toute hygiène collective qui se respecte. Toutes les études scientifiques vont dans ce sens. Ce qui se passe dans notre pays ne relève plus de la médecine ni de la sciences mais du droit aux libertés élémentaires, individuelles et collectives inscrites dans la charte des droits humains, dans la constitution et dans notre code civil. Sous couvert d'une pandémie qui reste à prouver notre Belgique reste sous le joug permanent d'un pronunciamento sanitaire qui ne dit pas son nom." (Dr Baudouin Caironi, médecin généraliste.)

 

"On voit qu'aujourd'hui on veut faire peur aux gens alors que l'épidémie s'éteint. Pourquoi aujourd'hui, étant donné la réalité médicale continue-t-on de faire peur en parlant d'une épidémie de tests, car plus l'on teste les gens, c'est assez logique, plus on découvre des tests positifs de gens qui ont peut-être développé cette maladie mais n'en n'ont ressenti aucun symptôme. Par contre, le taux d'hospitalisation, le taux d'admission en soins intensifs et le taux de décès, lui, diminue, sans discontinuer. Et voilà ce qui m'effraie, alors que l'on continue à faire peur aux gens, et que sous prétexte de cette peur, on fait passer des mesures dont on peut douter en plus de l'efficacité, des mesures qui ne sont plus d'actualité. Comme par exemple le port continu du masque même en faisant son vélo dans certaines communes, en promenant son chien, ou seul dans la rue." (Dr Pascal Sacré, médecin anesthésiste)

 

"Docteur Provenzano, médecin généraliste, je voulais faire un petit texte et une petite video pour partager mon désaccord vis-à-vis de toutes les mesures soit-disant sanitaires pour un virus qui n'est pas plus dangereux qu'une grippe. D'abord, pendant la crise, le masque était inutile, et puis maintenant comme dans toutes épidémies que le virus perd de sa virulence, on essaye de nous affaiblir en portant obligatoirement des masques dans les endroits clos, les endroits ouverts en pleine nature où l'on doit porter des masques. C'est de l'ineptie. Je crois qu'en vingt-cinq ans de médecine, je n'ai jamais vu une telle mascarade. Et alors quoi, il faudrait oublier tous nos cours, tous nos cours d'immunité, en immunologie de savoir que nous nous battons tous les jours contre des millions et des millions de virus, que nous avons de super anticorps, une bonne immunité et que nous gagnons chaque jour tous les combats? De temps en temps oui on est affaibli et on peut développer une petite pathologie virale ou un état grippal. Mais ici, nous empêcher de respirer correctement, nous mettre cette muselière toute la journée. Je plains les gens qui commencent leur journée à 9h et qui doive tenir avec toute la journée. [...] Le masque pullule de microbes vu ce milieu humide non aseptisé. En salle d'opération, un masque cela se porte deux heures, trois heures, le temps de l'opération. On ne le touche pas, on se lave les mains, on met nos gants stériles et on nous le met le masque. Quand c'est fini on le jette à la poubelle. Quand je vois les milliers de gens qui mettent leur masque dans leurs poches, qui n'arrête pas de le tripoter, là on peut dire qu'ils sont à quelques millimètres d'une pullulation microbienne et virale et même mycotique car il y a des champignons, des aspergillus et d'autres microbes qui peuvent leur libérer des spores et autres. Donc on est loin de l'image du masque qui protège contre un virus, qui est aseptique, et qui joue son rôle médical de protection. Donc là on se pose des questions et je dirais, on nous prend pour des cons. [...] Voilà, c'était le coup de gueule du docteur Provenzano. Je pense être dans un rêve éveillé. Si un jour on m'avait raconté cette histoire, j'aurais dit c'est une histoire belge ! Ben non... C'est la réalité et le problème c'est que c'est partout dans le monde." (Docteur Sandro Provenzano)

 

L'association belge Initiative citoyenne a réussi à réunir des nombreux témoignages des personnels de santé dissidents qui se joignent au mouvement internationale de résistance au totalitarisme actuel sous prétexte sanitaire.

La video complète d'origineCovid-19 : Vingt-quatre professionnels de santé belges témoignent.

"On a entraîné et entretenu un climat de peur collective. On nous susurre tout le temps les chiffres alarmants. On est occupé à créer ce qui s'appelle une psychose collective. Et les médias sont malheureusement très forts pour cela puisque à la télévision nous n'entendons plus que ces propos alarmistes. Le gouvernement propose simplement des mesures anti-corona. Porter un masque : certains chercheurs nous démontrent que non seulement ce masque est inutile, mais même dangereux. Car il empêche une bonne respiration, il permet l'accumulation de virus et bactéries autour de la bouche, ce qui diminue notre immunité. On nous dit distance sociale: c'est contre la nature humaine. On sait bien que les contacts familiaux, amicaux, sociaux sont très importants, à la fois pour notre bien être et pour pour notre bonne immunité. On est occupé à nous isoler, à nous confiner, à nous mettre dans nos prisons particulières, à saper toutes nos libertés. Mais cela est étonnant : n'y a-t-il aucune mesure (à prendre) pour augmenter notre immunité ? On ne nous dit jamais, mangez mieux, plus de légumes, plus de fruits, prenez l'air, détendez-vous, soyez moins stressés; prenez des stimulants de l'immunité, le zinc, la vitamine C, la vitamine D, des oligoéléments et bien d'autres aliments.. On nous parle que du virus, on ne nous parle pas de la personne. Apparemment seul se protéger du virus nous aide et non pas augmenter notre immunité, mais les médecins savent bien que la maladie ne vient pas de l'extérieur, elle vient de l'intérieur. C'est parce que nous sommes fragilisés par une mauvaise alimentation, par une mauvaise hygiène de vie, par une pollution électromagnétique que la 5G ne va certainement pas amélioré, que la maladie va apparaître. Et donc il est important de retourner à une médecine de la santé et non pas de la maladie. On est occupé à briser les liens sociaux, à briser les relations familiales, c'est gravissime. Il n'y a que deux forces dans l'univers, la peur ou l'amour. La peur, elle divise, elle écarte, elle nous rend méfiants, elle nous rend fragilisés; l'amour nous rassemble, nous donne de la chaleur dans le cœur, nous réunit, augmente notre immunité. À nous de choisir. Libres, ou confinés, amour, ou peur." (Docteur Alain Sartenaer, médecin généraliste)

 

"On apprend à toute une génération d'enfants et d'adolescents d'avoir peur des relations sociales. On leur a d'abord appris qu'ils étaient une menace pour les adultes et pour leurs grands-parents qu'ils ne pouvaient plus approcher. Et maintenant on leur apprend à l'école à ne plus approcher ni toucher leurs copains ou leurs copines. On leur apprend à avoir des contacts avec les autres. Et on les oblige à mettre un masque qui les empêche de rire, de jouer et de vivre librement. On met un masque à leurs professeurs de manière à ce qu'ils ne puissent plus voir leurs expressions faciales, leurs articulations. Quelle génération sommes-nous en train de créer ainsi et pour protéger qui et de quoi?" (Docteur Pierre Brihaye, Médecin Orl)

 

Les masques consacrent une paranoïa collective

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4 septembre 2020 5 04 /09 /septembre /2020 07:14
La prophétie de la pandémie complotiste auto-réalisée de Jacques Attali

Jacques Attali décrit en 2009 le plan des mondialistes : utiliser une pandémie pour créer un gouvernement mondial à partir de la peur.

Nous citions Jacques Attali en 2009 :

 

 

Le complot d'"une pandémie" qui structurerait un "gouvernement mondial" par la peur trouve un écho étrange ces derniers mois suite au confinement généralisé partout dans le monde, la gestion de la "pandémie Covid-19" (dont on a vu que les taux de létalité sont ceux d'une grippe : Sud-Ouest : "Le Covid-19 est une maladie qui tue moins qu’on ne le pensait au départ de la pandémie. ... Le taux de létalité du Covid-19 est inférieur à 1 %") par l'Oms, ainsi que dans le discours de Robert Kennedy à Berlin samedi 29 août dernier :  ""Ils utilisent la peur comme les nazis!".

Quand le complot devient réalité :

Avancer par peur

L'Express 

Par Jacques Attali, 

publié le 06/05/2009 à 10:23

 

Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d'un altruisme, au moins intéressé.

L'Histoire nous apprend que l'humanité n'évolue significativement que lorsqu'elle a vraiment peur : elle met alors d'abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Puis, une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle et les inscrire dans une politique de santé démocratique.  

La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes. 

 

Si elle n'est pas plus grave que les deux précédentes frayeurs de ces quinze dernières années liées à un risque de pandémie (la crise de la vache folle en Grande-Bretagne et celle de la grippe aviaire en Chine), elle aura d'abord des conséquences économiques significatives (chute de l'activité des transports aériens, baisse du tourisme et du prix du pétrole) ; elle coûtera environ 2 millions de dollars par personne contaminée et fera baisser les marchés boursiers d'environ 15 % ; son impact sera très bref (lors de l'épisode de la grippe aviaire, le taux de croissance chinois n'a baissé que pendant le deuxième trimestre de 2003, pour exploser à la hausse au troisième) ; elle aura aussi des conséquences en matière d'organisation (toujours en 2003, des mesures policières très rigoureuses ont été prises dans toute l'Asie ; l'Organisation mondiale de la santé a mis en place des procédures d'alerte à l'échelle planétaire ; et certains pays, en particulier la France et le Japon, ont constitué des réserves considérables de médicaments et de masques).  
Si l'épidémie est un peu plus grave, ce qui est possible, puisqu'elle est transmissible par l'homme, elle aura des conséquences véritablement planétaires : économiques (les modèles laissent à penser que cela pourrait entraîner une perte de 3 trillions de dollars, soit une baisse de 5 % du PIB mondial) et politiques (en raison des risques de contagion, les pays du Nord auront intérêt à ce que ceux du Sud ne soient pas malades, et ils devront faire en sorte que les plus pauvres aient accès aux médicaments aujourd'hui stockés pour les seuls plus riches) ; une pandémie majeure fera alors surgir, mieux qu'aucun discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d'un altruisme, au moins intéressé.

 

Et, même si, comme il faut évidemment l'espérer, cette crise n'est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d'en tirer les leçons, afin qu'avant la prochaine - inévitable - on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l'aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d'un véritable gouvernement mondial. C'est d'ailleurs par l'hôpital qu'a commencé en France, au xviie siècle, la mise en place d'un véritable Etat.  

En attendant, on pourrait au moins espérer la mise en oeuvre d'une véritable politique européenne sur le sujet. Mais, là encore, comme sur tant d'autres sujets, Bruxelles est muet.

 

(Fin de citation)

La prophétie de la pandémie complotiste auto-réalisée de Jacques Attali
La prophétie de la pandémie complotiste auto-réalisée de Jacques Attali

***

En 2016, Jacques Attali disait encore : "Il y aura une révolution dans ce pays avant 2022" (C politique - 17/04/2016.)

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3 septembre 2020 4 03 /09 /septembre /2020 07:15
Pourquoi les gens ne reviennent-ils pas dans les églises ?

Le dimanche était, jusqu’il y a quelques décennies marqué, par l’obligation d’assister à la messe et l’interdiction de s’adonner à un travail rémunéré. Pour la plupart des gens, le dimanche n’est pourtant - et c’est bien compréhensible - qu’un jour où l’on peut enfin se reposer.

Avant la crise de la Covid, les statistiques relevées par les organes de l’Église elle-même montraient que seuls 10% des catholiques fréquentent régulièrement la messe dominicale. Dans certaines régions la situation est encore pire : on tombe parfois à 2% des catholiques (c’est le cas pour la France -ndlr-). Et encore : ces moyennes sont gonflées par l’existence des chorales et par des fréquentations exceptionnelles lors de certaines grandes fêtes ou de festivals musicaux.

Au cours du confinement, les chiffres sont tombés à 0%. Ceux qui jusqu’ici allaient encore fidèlement à la messe le dimanche par devoir, par envie, par libre décision et /ou poussés par une profonde foi personnelle, ceux-là ont subitement eu une révélation : on peut aussi s’en passer, de façon légale, et sans pression morale. Et qui se plaindrait de profiter d’une journée sans aucune contrainte ?

Et maintenant que va-t-il se passer ? Les paroisses se voient obligées de réduire le nombre de places dans les églises, passant parfois de 400 à seulement 40 places assises : a priori impossible à gérer. Et pourtant la réalité est toute autre : une nouvelle « normalité » s’installe ; les places ainsi proposées semblent suffire puisque la fréquentation est tombée à 10%... de ce qu’elle était auparavant.

En Allemagne, certains évêques avaient annoncé une levée de l’obligation dominicale durant le confinement et l’ont remise en place au début de l’été : manœuvres parfaitement inutiles, puisque l’Église prévoit que s’il y a une menace pour la santé des fidèles, ceux-ci sont libérés de l’obligation dominicale, en tout temps et en tous lieux.

On aurait donc pu éviter toute cette confusion en rappelant cette disposition, en l’expliquant, et en renvoyant chacun à sa conscience et à sa responsabilité. Contrairement à toutes les réglementations gouvernementales qui changent jour après jour, en se contredisant souvent, les organes ecclésiaux ont peut-être manqué une occasion unique de mettre en œuvre le concept de « chrétien adulte » qu’ils n’ont de cesse d’appeler de leurs vœux.

Pourquoi les gens ne reviennent-ils pas dans les églises ? Parce qu’ils ne savent pas au nom de quoi ils faisaient une telle démarche ni pourquoi ils devraient la faire maintenant. Bien avant le confinement, la messe n’était déjà plus qu’une simple occasion d’être ensemble, de se retrouver, de serrer la pince à Mme Michu qui à choisi de si beaux chants... A quoi bon retourner à l’église si l’on n’y retrouve plus personne ? Pour retrouver le Seigneur et le célébrer comme l’Église demande qu’Il soit célébré ? Voilà une idée qui depuis longtemps passe bien au-dessus de la tête de nombreux pratiquants.

La situation actuelle est un défi immense pour les évêchés. Un défi à côté duquel les réformes et les adaptations de toutes sortes, entreprises un peu partout et n’aboutissant jamais à rien de sérieux et de durable, prêtent à rire !

Durant la crise de la Covid, l’Église s’est montrée comme inutile, insignifiante, vaine : ses portes sont restées fermées. Il faudra qu’on nous explique pourquoi nous devrions, à présent qu’elles sont ouvertes, en franchir à nouveau le seuil.

Ceux qui se sentent appelés aujourd’hui à fréquenter les églises sont ceux qui se sentent appelés à vivre réellement et profondément leur foi et les sacrements. Mais ces minorités y trouvent-elles ce qu’elles cherchent ? Rien n'est moins sûr. L’Église ne devient crédible que si nous avons la foi. Ce serait donc le moment ou jamais d’entreprendre une nouvelle évangélisation de nos sociétés occidentales.

 

D’après Peter Winnemüller (Source : Kathnet. Trad. MH/APL) / Pro Liturgia, mardi 1er septembre 2020

***

Note du blog Christ-Roi. À quoi bon une "nouvelle évangélisation" pour "faire revenir les gens dans les églises", quand le document d'Abu Dhabi signé entre le Pape François le 4 février 2019 et le Grand Imam d'Al-Azhar Ahmad Al-Tayeb prétend que "le pluralisme et la diversité des religions, des couleurs, du sexe, de la race et de la langue sont une sage volonté divine" ? À quoi cela sert-il d'envoyer des missionnaires prêcher l'Évangile si Dieu veut le pluralisme et la diversité des religions?

 

"Quelle valeur normative peuvent conserver les enseignements de l'Eglise et la prétention de cette dernière à guider les consciences si chaque homme a un droit naturel qui s'enracine dans sa dignité d'homme à choisir un culte idolâtre ?"

 

LireVatican II, le droit naturel à choisir sa propre religion et la grande déglingue de l'Église (mises à jour vidéos)

 

"Comment Dieu peut-il vouloir des religions qui nient la divinité et la résurrection du Christ ? Comment cela est-il compatible avec la logique ? Dieu peut-il vouloir que les hommes aient des croyances contradictoires à propos de Jésus-Christ, de Dieu ou de toute autre chose?

 

"Comment Dieu dès sa création a-t-il voulu que les hommes tombent dans le péché, adorent les faux dieux, deviennent victimes d'erreurs et de superstitions de toutes sortes, qu'ils adhèrent à des religions subtilement athées ou panthéistes telles que le bouddhisme ou à des religions maudites par l'Ancien Testament et attribuées aux démons et au culte des démons?

 

"Comment Dieu, qui veut que ses disciples aillent prêcher au monde entier et les baptisent, a-t-il voulu une hérésie chrétienne, sans parler des religions qui nient la foi dont Jésus dit à Nicodème que celui qui croit en lui sera sauvé et celui qui ne le fera pas sera damné (Jn 3,18) ? Si nous lisons l'Ancien et le Nouveau Testament, ou regardons les enseignements universels de l'Église sur l'ordre divin, donné par Christ lui-même, de prêcher l'Évangile à toutes les nations, sur la nécessité du baptême et de la foi pour le salut, etc., c’est clairement le cas contraire.

 

"Comment peut-il être vrai que Dieu, dans sa sagesse, a voulu depuis la création que beaucoup de gens ne croient pas en leur seul Rédempteur ? (Joseph Sefert)

 

L'accord d'Abou Dhabi trouve un débouché cynique mais logique dans l'invitation du président turc Erdoğan au pape François à venir prier dans la "mosquée" Sainte-Sophie

 

 

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Publié par Ingomer - dans Religion Vatican II
2 septembre 2020 3 02 /09 /septembre /2020 19:30

Dimanche 27 septembre, Olivier Véran, ministre de la Santé, invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, a évoqué le confinement de la Suède :

 

[...] A la question faut-il redouter un nouveau confinement, Olivier Véran a répondu : "Nous ne voulons pas confiner le pays, même si la Suède, Cardiff ou l’Espagne le font. Nous ne voulons pas arrêter totalement la vie économique, sociale, culturelle des Français". (Source: Midi Libre / Rtl )

Nouvelle fake-news du gouvernement : Olivier Véran évoque le confinement de la Suède : on ne trouve nulle trace de telles informations dans la presse de Suède !

Or, la Suède n'a ni confiné ni imposé les masques. C'est "un pays qui a dit non, en mars, au confinement, et qui refuse toujours le port du masque obligatoire, en intérieur comme en extérieur. Dans cette pandémie du Covid-19, la Suède fait cavalier seul. […] la Suède se retrouve dans le peloton de tête des pays européens les plus touchés relativement à sa population : près de 57 morts pour 100.000 habitants, contre 45 en France ou 11 au Danemark. Mais on est loin de l’hécatombe promise par certains médecins répétant que la stratégie de l’immunité collective était mortifère. […] Par ailleurs, ils n’ont aujourd’hui aucune augmentation du nombre de cas, alors que la France en comptabilise plus de 25.000 cas en sept jours. Et que l’Espagne et l’Allemagne vivent également une nouvelle hausse de l’épidémie." (Source : 20 Minutes 12 septembre 2020 Coronavirus : Ni confinement, ni masque… Pourquoi la Suède fait-elle cavalier seul face à la pandémie ?)

 

La Suède est un pays qui bien que n'ayant ni confiné ni imposé les masques enregistre, depuis un mois, peu de nouvelles contaminations. Le nombre de cas y a même sensiblement diminué (Reuters / le Jdd). Depuis le mois de juillet, les chiffres baissent. Le nombre de cas y est désormais plus faible que dans les pays voisins. (RMC / BFMTV) Et c'est un pays qui n'a pas mis son pays à l'arrêt économique, contrairement à la France.

 

COVID-19 : en Suède, pas de masque obligatoire, ni de bars fermés. [...] à Bruxelles en Belgique, le port du masque obligatoire va être levé à compter du 1er octobre. Dans le paysage européen, la Suède fait figure d’exception. On y a fait le choix depuis le début de n’imposer ni masque, ni confinement. (Public Sénat 26 septembre 2020)

 

Selon un article de Libération le 30 septembre, l'information du revirement de la stratégie suédoise (et donc la déclaration d'Olivier Véran) fait écho à des articles de presse publiés par plusieurs médias britanniques le 23 septembre, qui annoncent que «la Suède change sa stratégie de non-confinement» pour The Telegraph, ou que le pays «s’oriente vers des mesures de confinement» selon le Daily Mail, qui ajoute que «le scientifique en chef déclare qu’il envisage maintenant de mettre en place des restrictions locales de courte durée, dans un contexte de forte augmentation du nombre de cas à Stockholm». Cette affirmation a été brandie par plusieurs internautes pour faire valoir le fait que la Suède reconnaissait l’échec de sa stratégie sans confinement strict et sans masque. Sur les réseaux sociaux, des Suédois ont fait part de leur surprise face à ces articles anglo-saxons, en indiquant que ce revirement ne leur avait pas été communiqué. En effet, on ne trouve pas de telles informations dans la presse du royaume et pour l’instant, l’agence de santé suédoise n’a rien annoncé de tel sur son site. (Libération)

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1 septembre 2020 2 01 /09 /septembre /2020 09:27

Source: Stilum curiae

 

 

Marco Tosatti

Chers amis et ennemis de Stilum Curiae, Agostino Nobile nous a envoyé une réflexion mordante sur la situation actuelle et sur la tromperie (auto-tromperie) que les idéologies de gauche, à commencer par le marxisme, ont réussi et parviennent encore à répandre. Bonne lecture. 

§§§

     La gauche? Elle est meilleure que Jésus-Christ

Pendant trop d’années, la gauche italienne et le monde ont défendu l’humanité et les plus faibles, la paix et la justice. Mais qu'ont-ils fait pour revendiquer ce droit? Peut-être que leurs partis sont constitués d'anciens missionnaires qui ont passé et partagé leur vie parmi les plus pauvres? Peut-être se nourrir de manioc tous les jours et dormir dans des huttes délabrées ou dans des huttes improbables? Peut-être ont-ils donné une partie de leurs revenus chaque année aux pauvres du tiers et du second monde? Ou peut-être ont-ils parrainé des enfants pour leur donner la possibilité de manger, de s'habiller et d'aller à l'école?

Nous connaissons les réponses. La gauche s'est qualifiée de sauveuse de la société, car ses ancêtres marxistes en quelques décennies ont fait plus de victimes que toutes les guerres des deux mille dernières annéesAucune culture ni race n'a été sauvée de la doctrine ennemie de la raison et de la vie. Le marxisme se présentait évangéliquement comme la seule philosophie capable de racheter les prolétaires. En fait, depuis 1917, les pauvres de toutes les cultures du monde n'avaient que les miettes, tandis que les dictateurs et leurs acolytes buvaient du champagnePour les gens sensés, cela semblera un peu bizarre, mais les sinistres sont convaincus que personne n'est meilleur qu'eux, pas même Jésus-Christ, à tel point qu'ils essaient toujours de l'effacer de l'histoire. Le vrai messie est Marx, même si plus de cent millions de morts sont tués par sa doctrine,

Les gauchistes intelligents formés dans des écoles intelligentes sont convaincus que le communisme soviétique est né d'une révolte populaire contre le tsar Nicolas II. Dommage que le tsar démissionne en mars 1917. En effet, en octobre de la même année, les bolcheviks ont renversé le gouvernement de transition dirigé par le premier ministre de la République russe Aleksandr Kerensky. Les bolcheviks étaient-ils soutenus par le peuple? Seulement une petite faction. Alors, comment ont-ils obtenu le pouvoir? Avec l'argent qui venait de l'Ouest. Des banquiers et des milliardaires qui visaient à accomplir ce qu'ils essaient de faire aujourd'hui. Autrement dit, une réorganisation universelle de la vie économique et politique avec un gouvernement mondial unique gouverné par un seul centreEt pour y parvenir, il était nécessaire d'éliminer le christianisme. Ils ont raté,

La gauche pourrait être représentée comme le loup du Petit Chaperon rouge déguisé en bonne mamie. Malgré la leçon historique inhumaine offerte par le communisme, ses électeurs sont convaincus que sous le mouchoir rouge se trouve la grand-mère. Leurs esprits sont si pleins d'ordures anhistoriques que même sous la torture, ils n'admettraient pas avoir déclenché le fiasco. Fondamentalement, ils doivent être compris. Un esprit orwellien plagié risque de tomber dans une dépression insupportable. D'où leur prétention irritante et embarrassante.

La haute finance, comme nous l'avons dit, avec le soutien de la gauche tente de répéter le programme de leurs maîtres marxistes du XXe siècle, se présentant cette fois comme des défenseurs des races (blancs exclus), des marginalisés et des faibles. Cependant, il faut dire qu'ils sont plus bons que leurs ancêtres. Ils ne vous tueront pas si vous n'envoyez pas votre fils en cours d'homosexualité. Comme ils sont bons, ils vous enlèvent votre travail ou, comme ils l'ont fait en Allemagne, ils vous envoient en prison https://www.tempi.it/germania-scandalo-genitori-incarcerati-figli-corsi-gender-scuola/

En Norvège, où ils sont encore meilleurs, mais vraiment bons, ils éloignent les enfants de familles trop chrétiennes http://www.iltimone.org/news-timone/la-norvegia-figli-strappati-ai-genitori/

La gauche repose donc sur les mêmes piliers du communisme du siècle dernier. Nous connaissons les financiers actuels, maintenant ils ne se cachent pas. Ils distribuent des millions de dollars pour corrompre ceux qui devraient nous défendre, principalement les gouvernements auxquels nous avons fait confiance, les magistrats, les journalistes, les enseignants et les célébrités du star systemInutile de dire que les invités les plus bienvenus au banquet relativiste et antichristique de Moloch sont les Bergogliens.

Le meilleur aspect du communisme / gauche a été confirmé par une dame que j'ai rencontrée dans les années 90 à Saint-Pétersbourg, qui a vécu toute sa vie sous le communisme soviétique. Tenant le crucifix autour de son cou entre ses doigts, elle m'a dit: "Sais-tu pourquoi tu vois tous ces visages tristes autour? Parce qu'ils ont également emporté notre espoir".

L'Antifa, Blm et tous les sigles acronymes, consciemment ou non, n'ont qu'un seul but: ouvrir la voie au totalitarisme orwellien. Les milliardaires mondialistes, en plus de subjuguer notre pensée et de nous priver de l'âme, veulent supprimer toute référence à l'identité d'appartenance masculine, féminine et culturelleIl sera beaucoup plus facile dans un proche avenir d'éliminer les humains qui ne distinguent même pas leur identité sexuelle, qui jettent leur vie dans le néant parce qu'ils manquent de dignité et d'espoir.

Agostino Nobile

§§§
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1 septembre 2020 2 01 /09 /septembre /2020 09:16

SourceLifeSiteNews

Owens, qui était autrefois ambivalente à propos de l'avortement, a écrit un témoignage émouvant à l'occasion de l'échographie de dix semaines de son bébé à naître.
Lun 31 août 2020-11 h 03 HN
 

 

L'image sélectionnée

31 août 2020 ( LifeSiteNews ) - Candace Owens a explosé sur la scène médiatique conservatrice en 2017, et beaucoup d'entre nous ne savaient pas quoi penser d'elle. Connue principalement pour son commentaire pro-Trump et louée par des personnalités marginales telles que Milo Yiannopoulos et Mike Cernovich, Owens a d'abord été une progressiste anti-Trump - jusqu'à ce que, selon son récit de ce qui s'est passé, elle soit condamnée par les progressistes à cause de ses commentaires sur le Scandale Gamergate. Plus tard en 2017, elle a lancé Red Pill Black, une initiative visant à promouvoir le conservatisme noir en Amérique. Deux mois plus tard, Charlie Kirk de Turning Point USA a annoncé qu'Owens avait été embauché en tant que directeur de l'engagement urbain.

L'année suivante, Owens s'est inscrite en tant que républicaine et son expertise a été saluée par Kanye West et le président Donald Trump. Son commentaire en tant que conservatrice était aussi incendiaire que son profil progressiste précédent, et les controverses et les conflits sur les campus ont élevé Owens comme l'une des étoiles montantes de Trumpland. Depuis, elle a commencé Blexit, un mouvement pour les Noirs et les Latino-Américains quittant le Parti démocrate; a lancé The Candace Owens Show sur la chaîne YouTube de PragerU; et a rédigé un mémoire dont la sortie est prévue en septembre. En 2019, elle a épousé George Farmer, un jeune conservateur britannique et le fils d'un membre de la Chambre des lords. Ces jours-ci, elle fait constamment l'actualité en tant que critique acharnée du mouvement Black Lives Matter.

 

LireCandace Owens démonte brillamment l'arnaque #GeorgeFloyd

 

Au départ, Owens était ambivalent à propos de l'avortement, même en revenant à d'autres points de vue conservateurs. Dans une interview avec Dave Rubin, elle a déclaré qu'elle n'avait tout simplement pas encore pris sa décision sur la question et qu'elle décrirait sa réflexion sur l'avortement. Son collègue Charlie Kirk est pro-vie, et Kanye West a également pris une position publique contre l'avortement, mais Owens a pris son temps pour explorer la question. Elle a cependant utilisé son émission PragerU pour interviewer des militants pro-vie tels que Lila Rose, les engageant dans une conversation sur des questions de vie et de sexualité et partageant ses propres expériences en grandissant. Le fait qu'elle évoluait était clair.

La première déclaration anti-avortement définitive d'Owens que j'ai remarquée était un tweet en mai de l'année dernière: «L'avortement est une extermination. C'est la fondatrice de Planned Parenthood qui a dit qu'elle voulait «exterminer» les bébés noirs comme des mauvaises herbes. Ce sont les républicains qui se battent pour la naissance des bébés noirs. Je suis immunisé contre les astuces linguistiques racistes démocrates. C'est un meurtre, pas un choix. 

Puis, il y a trois jours, Owens a publié une annonce sur Instagram: elle sortait officiellement comme pro-vie. C'était un résumé puissant de la façon dont on ment aux jeunes femmes - et comment elle a réalisé la vérité:

Je me souviens de la première fois que j'ai appris l'avortement à l'école. «C'est un groupe de cellules jusqu'à 3 mois», a déclaré mon professeur de gym obtus devenu instructeur de santé.

Avance rapide à plus d'une décennie plus tard à mon scan de 10 semaines, et je n'oublierai jamais les sentiments que j'ai ressentis. 

J'ai été étonné que notre bébé ait déjà des bras et des jambes, des mains et des pieds et qu'il danse en moi. J'ai été submergé par un sentiment d'amour inexorable suivi de la puissante prise de conscience que je ferais tout et n'importe quoi pour protéger mon enfant à naître.

Mais j'étais surtout étonné qu'il y a toutes ces années au lycée, on m'ait menti. J'ai subi un lavage de cerveau en pensant que c'était mon corps, et donc, simplement, mon choix.

Aujourd'hui, il est devenu à la mode pour les célébrités narcissiques de perpétuer un tel lavage de cerveau parmi leurs fans. Comme @mileycyrus, posant à moitié nue, la langue dehors sur un gâteau qui dit «avortement». Comme @jameelajamilofficial, tweetant à des dizaines de jeunes filles vulnérables à quel point elle est «fière» d'un avortement antérieur de son adolescence.

Il y a des années, j'aurais pensé que ces femmes étaient des féministes héroïques. Aujourd'hui, je sais qu'elles sont tout sauf cela.

Et alors que j'entre dans ce prochain chapitre de ma vie, je veux dire ceci: à toutes les jeunes filles qui ont soutenu l'avortement, vous avez le droit de changer d'avis. A toutes les jeunes femmes qui ont pris des décisions non informées de se faire avorter: vous n'êtes pas des «meurtrières» et vous n'êtes pas automatiquement exclues du statut de pro-vie. Vous aussi, vous pouvez changer d'avis. L'éducation suivie de la transformation est l'une des plus grandes offres de la vie.

Ces 5,5 derniers mois ont été un tourbillon. Une vidéo virale avec plus de 200 millions de vues, des comédiens menaçant de m'agresser physiquement, des hommes adultes me dégradant parce qu'ils ne sont pas d'accord avec mes points de vue sur George Floyd, tandis que d'autres m'ont accusé de ne pas «se présenter», de ne pas être invité ou de ne pas se soucier assez pour sauter dans la scène de la protestation perpétuelle.

C'est un tel soulagement de finalement partager la vérité. La vie est un miracle. La vie est sacrée. Et lorsque les femmes portent la vie, nous arrivons à devenir les gardiennes de certains des plus grands secrets de l'Univers: les débuts.

Candace Owens a rendu un grand service au mouvement pro-vie en articulant si joliment le miracle de la maternité et la merveille infinie d'un enfant qui grandit dans l'utérus. Avec ses millions d'adeptes, ce message atteindra ceux qui ont désespérément besoin d'entendre ce message, et peut-être que certains petits bébés comme le sien resteront en sécurité dans le ventre de leur mère grâce au témoignage public d'Owens décrivant son changement d'avis. J'espère qu'elle continuera à discuter de la question de l'avortement sur ses plateformes et sur son podcast. L'industrie de l'avortement survit grâce au mensonge, et plus il y a de gens qui disent la vérité, plus il leur est difficile de cacher ce qu'ils font: détruire de minuscules bébés comme celui qui grandit en toute sécurité sous le cœur de Candace Owens.

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31 août 2020 1 31 /08 /août /2020 22:10

Source : CNA

 

United Nations Building and the flags in Geneva Switzerland. Credit: Nexus 7/Shutterstock Bâtiment des Nations Unies et les drapeaux à Genève, Suisse. Crédit: Nexus / 7 Shutterstock

CNA, 31 août 2020 / 13h00 MT ( CNA ) .- Les États-Unis ont envoyé une lettre fortement formulée à plusieurs comités des Nations Unies au début d'août, rejetant toute implication selon laquelle il existe un droit à l'avortement comme étant «bizarre». 

La lettre a été envoyée le 11 août 2020 à plusieurs bureaux des Nations Unies, notamment: le Groupe de travail sur la discrimination à l'égard des femmes et des filles; le Rapporteur spécial sur le droit de toute personne de jouir du meilleur état possible de santé physique et mentale; et le Rapporteur spécial sur la violence contre les femmes, ses causes et ses conséquences. Il a été publié en ligne le 25 août. 

La lettre a été publiée par la Mission des États-Unis auprès des Nations Unies à Genève. Andrew Bremberg est l'ambassadeur des États-Unis auprès du Bureau des Nations Unies et d'autres organisations internationales à Genève.

«Nous avons reçu votre lettre bizarre et inexplicable du 22 mai 2020, concernant les prétendues« restrictions indues prises dans le contexte de la pandémie COVID-19 empêchant l'accès aux services d'avortement »aux États-Unis», a déclaré Bremberg, faisant référence aux critiques des États-Unis. reçu après que certains États ont décidé de restreindre les procédures médicales non essentielles pour arrêter la propagation du coronavirus. 

En tant que titulaires de mandat des Nations Unies en matière de droits de l'homme, vous savez sans aucun doute que le droit international des droits de l'homme ne reconnaît aucun« droit à l'avortement »», a-t-il écrit. 

«Les États-Unis sont déçus et rejettent catégoriquement cette tentative transparente de profiter de la pandémie COVID-19 pour affirmer l'existence d'un tel droit. C'est une perversion du système des droits de l'homme et des principes fondateurs des Nations Unies », a déclaré l'ambassadeur. 

La lettre notait que le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, avait déclaré dans une lettre du 1er juin à l'Agence des États-Unis pour le développement international que «les Nations Unies n'interviennent pas dans des questions qui relèvent essentiellement de la juridiction nationale d'un État. Ainsi, les soins de santé sont fournis dans le plein respect des lois nationales. Il ne promeut pas, et encore moins n'impose, l'avortement à qui que ce soit, et n'a pas l'intention de le faire. »

Les États-Unis sont «particulièrement déçus que vous ayez choisi de gaspiller le temps et les ressources limités de vos mandats sur de telles allégations fallacieuses, plutôt que de concentrer vos énergies sur les domaines où votre attention est la plus appropriée et la plus justifiée», a déclaré Bremberg dans la lettre d'août. 

La lettre citait les «violations réelles des droits de l'homme» qui se produisent dans la province chinoise du Xinjiang comme quelque chose qui serait plus approprié pour le comité de se préoccuper par rapport aux politiques américaines sur l'avortement.

Le gouvernement chinois détient actuellement plus d'un million d'Ouïghours et d'autres minorités ethniques et religieuses dans des camps de concentration, les groupes de défense des droits de l'homme signalant régulièrement des cas de torture, d'endoctrinement antireligieux, de travail forcé, d'avortements forcés et de stérilisations.

« Pourtant, le système des Nations Unies - y compris le Secrétaire général, le Conseil des droits de l'homme et le Haut-Commissariat aux droits de l'homme - a été particulièrement silencieux sur ce sujet, alors même qu'ils trouvent amplement l'occasion de se prononcer sur des questions de portée nationale américaine. préoccupation politique », a-t-il écrit.

Selon la lettre, les États-Unis et d'autres États «considèrent de plus en plus le système des droits de l'homme de l'ONU comme totalement brisé», en raison de son statut de «tuteurs autoproclamés qui qualifient certaines préférences politiques de« droits ». 

«Dans le même temps, nous constatons des violations massives des droits de l'homme et des libertés fondamentales qui suscitent peu ou pas de commentaires de la part de ces mêmes tuteurs», a déclaré Bremberg.

Lundi, lors d'une assemblée publique virtuelle avec des organisations de femmes de la société civile, Guterres a été interrogée sur ce qui peut être fait pour garantir que les «droits critiques» - se référant aux soins de santé reproductive - soient protégés pendant la pandémie.

«Il est clair que nous assistons à une attaque très forte», selon les termes de la déclaration de Pékin, a déclaré Guterres, en référence apparente aux objections des États-Unis et d'autres pays. La Déclaration et le Programme d’action de Beijing est un document de 1995 qui «signalait 12 domaines clés où une action urgente était nécessaire pour assurer une plus grande égalité et des chances plus grandes pour les femmes et les hommes, les filles et les garçons», y compris la santé reproductive. 

Guterres a déclaré que l'ONU travaillait pour s'assurer que «les gouvernements ne profitent pas du COVID-19 pour saper les droits à la santé sexuelle et reproductive», et que ces services seront toujours disponibles.

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31 août 2020 1 31 /08 /août /2020 14:17

Source : Alessandra Nucci

La Nuova Bussola Quotidiana

Cachés et liquidés par le courant dominant en tant que théoriciens du complot, terriens plats et fascistes, les rangs des manifestants grossissent en fait.  Samedi, des manifestations ont eu lieu dans au moins quatre capitales européennes - Berlin, Londres, Zurich, Vienne - contre ce que beaucoup appellent la «dictature de la santé». Le discours de Kennedy à Berlin est exemplaire, mais aussi en Italie quelque chose commence à bouger ...

Si la vague de positifs est directement proportionnelle au nombre de tests effectués pour vérifier leur présence, la contestation de ceux qui s'opposent aux restrictions aux droits des citoyens mises en place pour les réduire se multiplie malgré les efforts pour contenir des informations à ce sujet.

Depuis avril dernier, des manifestations populaires ont lieu contre ce que beaucoup appellent la «dictature de la santé» dans les capitales européennes, de Varsovie à Dublin, de Berlin à Madrid. Considérés par le courant dominant comme des théoriciens du complot quand ils ne sont pas des terriens plats et des fascistes, les rangs des manifestants se gonflent en parallèle et ne contrastent pas avec l'alarme croissante lancée par le courant dominant pour le nombre de tests positifs.

Samedi, des manifestations ont eu lieu dans au moins quatre capitales européennes, des plus petites et plus locales de Zurich et de Vienne au méga événement avec des enchevêtrements internationaux qui a eu lieu à Berlin et à celui complètement indépendant et interne du pays qui s'est tenu à Londres.

D'une teneur très similaire en raison de l'extraordinaire similitude entre les mesures contre lesquelles des dizaines et des centaines de milliers de citoyens de différents pays se sont déplacés, les manifestations ont été épinglées contre l'obligation de porter des masques ("les gens sans masques" La Stampa les a définis) et la distanciation sociale obligatoire, obligations qui ont justement servi à motiver les interventions de la police contre trois cents manifestants arrêtés, selon Reuters, à Berlin.

La taille de la manifestation de Berlin aurait dû en faire un événement de première page, mais le grand public a gardé les nouvelles basses en convenant qu'il n'y avait que 38 000 participants. Le regard sur les masses, qui pour au moins la troisième fois cet été affluaient sous la porte de Brandebourg, a donné plus de raison aux organisateurs qui, également basés sur les voitures qui avaient obstrué les autoroutes allemandes la veille, attendaient des arrivées dans l'ordre. des millions.  

Pour étayer cette dimension inquiétante de la contestation, il y a eu la décision tardive du Sénat d'annuler le permis qui aurait dû durer encore deux semaines. Dans une vidéo par la suite retirée de sa page Facebook, le référent italien pour les manifestations parallèles prévues à Rome en septembre, Max Massimi, avait communiqué que malgré le fait que la place avait également été accordée grâce à une sentence de la Cour, à laquelle les organisateurs avaient rendu appel après le refus initial des autorités, la décision soudaine du Sénat a fait descendre la police sur la place et tout démonter.    

Que les informations sur ces événements soient fragmentées et difficiles n'est pas l'opinion des organisateurs paranoïaques mais un fait facilement déductible des nombreuses vidéos supprimées de Facebook et Youtube avec une seule ligne d'explications standard (généralement pour violation des conditions de service du fournisseur ou les règles de la «communauté»). Il en a été ainsi pour la vidéo de présentation de la manifestation berlinoise tournée en anglais par le journaliste et écrivain Oliver Janich et disparue en peu de temps, et pour le discours du commentateur, écrivain et éminent théoricien de la conspiration mondialiste en cours, David Icke, prononcé devant à la foule écrasante de Trafalgar Square.  

Après tout, le communiqué de presse de l' Organisation mondiale de la santé en date du 25 août, qui annonçait son intention de «vacciner» la population contre la désinformation, contrôlant les communications sociales de millions d'individus. "Nous ne combattons pas seulement le virus", a déclaré le directeur de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. "Nous luttons également contre les trolls et les théoriciens du complot qui répandent la désinformation et sapent l'action contre les épidémies."

Les certitudes ne peuvent donc venir qu'avec le temps. Disponible pour les lecteurs est le discours prononcé par Robert F. Kennedy Jr, présent à la manifestation de Berlin samedi et dimanche également pour se souvenir du célèbre discours prononcé par son oncle John F. Kennedy,  Ich bin ein Berliner.  «À cette époque, Berlin était la ligne de front contre le totalitarisme. Aujourd'hui, c'est encore comme ça: Berlin est le front contre le totalitarisme mondial », a déclaré Kennedy.

«Les gouvernements adorent les pandémies - et ils les aiment pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre, car ils leur permettent de mettre en place des mécanismes de contrôle de la population que nous n’accepterions jamais autrement. Ce sont des mécanismes qui exigent notre soumission "par la peur. Le parallèle établi n'est pas seulement avec le communisme du mur mais aussi avec le nazisme:" A Nuremberg, ils ont demandé à Hermann Göhring comment les nazis pouvaient être suivis par le peuple - a noté RFK Jr - auquel il a répondu: «c'est très simple, c'est la nature humaine. Pour être suivi par des gens, il suffit de leur faire peur. '"

Même le discours du centre de Londres, celui de David Icke, a ciblé des manipulations psychologiques de masse, illustrées par le Tavistock Institute, qui «étudie comment modifier la population en commençant par nos petits garçons. Le plus grand jeu mental est qu'ils veulent nous faire croire que l'autorité a le pouvoir. L'autorité n'a aucun pouvoir. Le pouvoir des autorités du monde entier est simplement le pouvoir que nous leur accordons. Le poète Shelley l'a compris en 1819 lorsqu'il a écrit: «Soulevez les lions, secouez vos chaînes. Vous êtes nombreux, ils sont peu nombreux! "

Et en Italie toujours rien? Non: des manifestations sont prévues pour tout le mois de septembre à partir du samedi 5, avec le Peuple des mères et grands-mères, opposés à l'imposition de masques et à la distanciation sociale déjà décidée pour les enfants à l'école, que beaucoup à l'étranger n'hésitent pas à définir torture. L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu à une lettre de ces mères par une longue lettre d'encouragement à défendre la famille et les enfants.