Le fait de porter le masque d'une manière prolongée entraîne des sensations de difficultés respiratoires. Le premier risque pour la santé est l'hypoxie, ou diminution de l'apport en oxygène dans l'organisme.
Quelques petites recherches permettent de découvrir les effets secondaires sur la santé dû au port prolongé des masques. Ces effets secondaires peuvent être très graves.
L'anoxie est une forme extrême de l'hypoxie ou de privation de l'oxygène. Elle peut avoir des conséquences graves, potentiellement mortelles :
Les symptômes de l'anoxie sont :
un flux sanguin diminué aux organes vitaux, y compris le cerveau, le rein, le coeur, et les tissus.
des difficultés respiratoires.
des modifications cognitives (perte de mémoire, conditions modifiées de jugement)
des maux de tête ou vertige.
des difficulté au mouvement de muscle.
L'anoxie est un état dangereux qui peut avoir des conséquences potentiellement mortelles, avec des effets empirant avec du temps. Tandis que l'hypoxie (une version moins extrême de la privation de l'oxygène), peut être remarquée dedans dans presque n'importe quelle circonstance, l'anoxie est type déclenchée dans les environnements à haute altitude où les niveaux de l'oxygène sont relativement bas.
Plusieurs conditions potentiellement mortelles ont été liées aux environnements anoxiques ou oxygène-déshérités, tels que l'infarctus du myocarde, la rappe, et le cancer.
Les études proposent également que l'anoxie puisse augmenter le risque de cancer, car elle produit une pression sélectrice pour les cellules qui peuvent s'adapter rapidement et se développer faute d'oxygène (métabolisme anaérobie).
Le danger le plus grand provoqué par l'anoxie est dommage au cerveau, car les cellules dans cette région du corps dépendent hautement de l'oxygène. Le début de l'anoxie dans le cerveau peut mener au vertige, à la perte de mémoire, et à un risque accru de plusieurs conditions, y compris la démence.
Dans plus des cas sévères d'anoxie, les patients peuvent également remarquer des grippages ou des hallucinations. Le choc subit de l'anoxie peut sévèrement influencer les capacités fonctionnelles et professionnelles qui pourraient mener aux mois ou aux années de la demande de règlement.
Diagnostiquant et traitant l'anoxie
Quand on soupçonne l'anoxie, les médecins effectuent un certain nombre de tests, y compris les prises de sang et le neuroimagery, qui confirment le diagnostic. Le compte de sang et le contrôle de gaz du sang sont les formes les plus courantes des outils de diagnostic utilisés dans l'anoxie de confirmation. Pour plus de cas sévères, les médecins peuvent réaliser les essais neuroimaging tels que l'IRM, le fMRI, ou la tomodensitométrie pour produire d'une synthèse plus détaillée du cerveau et pour déterminer les endroits spécifiques qui ont été affectés.
Quand les médecins confirment un diagnostic de l'anoxie maniable, un inhalateur est habituellement prescrit. Cependant, quand le cas est plus sévère, un déflecteur peut être utilisé. La demande de règlement pour le dommage au cerveau et/ou les grippages peuvent également être exigés, et sont effectués par un spécialiste. ( https://www.news-medical.net/health/What-is-Anoxia-(French).aspx )
Dans une phase intermédiaire de l'hypoxie, l'hypercapnie, ou augmentation de la concentration de gaz carbonique (CO2) dans le sang :
L’hypercapnie désigne une augmentation de la concentration de gaz carbonique (CO2) dans le sang :
C'est un signe d’hypoventilation alvélolaire : diminution des entrées et des sorties d’air dans les alvéoles pulmonaires.
Si elle survient brutalement, elle s’accompagne d’un changement du pH sanguin (acidification du sang), on parle d’acidose respiratoire.
Si elle est progressive ou chronique, l’organisme met en place un moyen de compensation : le taux de bicarbonate augmente et contrôle l’acidité.
Bon à savoir : les alvéoles pulmonaires sont de petites poches microscopiques situées au plus profond des poumons. Elles sont le siège des échanges gazeux avec le sang.
Le médecin diagnostique une hypercapnie à la suite d’un examen des gaz du sang effectué sur un échantillon de sang artériel :
l’examen mesure la pression partielle d’oxygène et de gaz carbonique, ainsi que le pH sanguin ;
il y a hypercapnie quand le dosage indique une pression artérielle partielle en gaz carbonique supérieure à 42 millimètres de mercure (5,6 kilopascals).
L'examen permet d’évaluer les échanges pulmonaires et de détecter une modification anormale des concentrations d’oxygène et de dioxyde de carbone dans le sang artériel allant vers les tissus.
Il existe deux facteurs à l’origine de la survenue de l’hypercapnie :
L’inhalation d’un air trop riche en dioxyde de carbone :
en cas de pollution de l’air par du gaz carbonique ;
dans une atmosphère confinée, comme par exemple sous la neige ou dans une cavité dans une grotte.
La diminution de la ventilation pulmonaire, on parle d’hypoventilation :
en cas d’insuffisance respiratoire ;
à cause d’une baisse de la sensibilité des centres respiratoires ;
ou encore lors d’une diminution de la fréquence respiratoire.
Quelles sont les conséquences de l’hypercapnie ?
Le CO2 est un vasodilatateur périphérique (c’est-à-dire qu’il entraîne une augmentation du diamètre des vaisseaux sanguins) et un vasoconstricteur central (les vaisseaux sanguins deviennent plus étroits).
Un excès de gaz carbonique dans la sang a de ce fait plusieurs conséquences, et notamment :
des sueurs ;
des larmoiements ;
une injection conjonctivale ;
une hypertension artérielle ;
un trouble de la conscience ;
un état de somnolence, de la fatigue. ( https://premiers-secours.ooreka.fr/astuce/voir/451775/hypercapnie )