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Christ Roi

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14 juin 2021 1 14 /06 /juin /2021 11:10
Accusée de relayer de fausses informations, la députée Martine Wonner répond en exclusivité aux questions de Nexus

Source: NEXUS.FR

Accusée de relayer régulièrement de fausses informations autour du coronavirus par un collectif de médecins, nous avons contacté la députée et psychiatre Martine Wonner pour connaître son point de vue sur ces accusations.

 

On peut lire dans de nombreux articles, notamment dans le Figaro, que le collectif FakeMed a accusé Martine Wonner, députée du Bas-Rhin et médecin-psychiatre, de relayer régulièrement de fausses informations autour du coronavirus. Nous l’avons contactée pour avoir sa version des faits.

 Le Figaro déclare que vous avez refusé de répondre à leurs questions au sujet de ces accusations. Est-ce que c’est vrai ? Et si oui, pourquoi ?

C’est tout à fait vrai, car je n’ai absolument plus confiance par expérience dans les médias mainstream en ce qui concerne le traitement de l’information. Ceci s’est aggravé depuis l’ère de la Macronie et j’ai vu un basculement au moment où j’ai été exclue du groupe majoritaire à l’Assemblée nationale.  La transformation récurrente de mes propos, voire la sortie de leurs contextes, m’interpellent quant à l’éthique actuelle des journalistes, incapables d’investiguer de façon équilibrée les sujets. L’AFP impose sa marque à la virgule près. Et la doxa n’est pas ma tasse de thé.

 Pourquoi acceptez-vous de répondre aux nôtres ?

J’ai déjà eu affaire aux équipes de Nexus qui suivent depuis plusieurs mois maintenant les activités de Laissons les médecins prescrire, collectif que j’ai porté sur les fonts baptismaux avec quatre confrères, et je dois dire que j’apprécie la qualité des interviews, reflet d’un journalisme d’investigation honnête et vital à la démocratie.

 Dans cet article, on vous reproche :

– d’avoir pris position publiquement contre les vaccins à ARN messager, le port du masque et les traitements anti-Covid.
– d’avoir dit que les « personnes âgées ont été achevées, assassinées, seules, avec le Rivotril », un médicament utilisé dans les soins palliatifs, lors de la première vague et que ceci est « totalement impardonnable , et s’appelle un « crime contre l’Humanité ».
– d’avoir mis à disposition « du grand public et des professionnels de santé d’un “protocole”, censé prévenir le Covid-19 grâce à des substances, comme les huiles essentielles ou de l’hydroxychloroquine. Or, leur efficacité n’est pas prouvée contre la maladie. ». Et de conseiller sur votre site « d’autres traitements, comme la sophrologie, le zinc, la vitamine C et D, l’homéopathie, l’ivermectine, afin de lutter contre le virus. »
– d’avoir les appelé les vaccins ARN « d’espèce de cochonnerie génétiquement modifiée »,  et d’avoir affirmé que  « le seul vaccin qui fonctionne, c’est celui des Chinois, parce que c’est un vaccin normal, à virus atténué. »
– d’avoir déclaré que « le masque ne sert strictement à rien », en citant comme source le Center for Disease Control américain. Vous auriez déclaré : « Le CDC, qui est l’équivalent de notre Conseil scientifique et de la Haute Autorité de santé réunis, vient de prendre des mesures pour expliquer que le virus circule par manuportage, et qu’il n’a jamais été prouvé qu’il soit aérien ». Une  information « démentie par l’autorité américaine », selon le Figaro.

Est-ce que ces faits sont totalement vrais ? Et si oui, les assumez-vous et sont-ils blâmables selon vous ? Ou vous êtes-vous trompée, avez-vous changé d’avis en cours de crise sanitaire sur les points relevés par le Figaro ?

(Sourire) La liste des reproches, prenant souvent l’apparence d’accusations, est longue comme le bras ! Et je remarque le besoin de reprendre des éléments éculés qui ont déjà été exploités à plusieurs reprises. L’intérêt d’un tel article est-il simplement porté par une volonté de nuire ?

Je rappelle ici ma légitimité de parlementaire de questionner en permanence l’action du gouvernement, éclairée par ma formation et ma pratique médicale.

Les faits qui sont rapportés sont vrais, mais sortis du contexte systématiquement, voire extraits d’interventions dans l’hémicycle où les temps de parole sont courts, ne permettant pas d’éclairer longuement les propos, lesquels sont souvent coupés.

 

 

J’assume tout ce que j’ai dit, tant à l’Assemblée nationale que lors de manifestations publiques. Mes propos sont étayés par la lecture des revues scientifiques internationales sur l’effet des traitements précoces et à ce jour plus de 200 articles démontrent l’intérêt de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine, etc. Les résultats sont très nets quant à la diminution de la mortalité, y compris chez les personnes âgées et vulnérables.

Les protocoles proposés par mes confrères généralistes sont éprouvés dans leur pratique quotidienne ; ils sont mis à disposition pour permettre un dialogue patient-médecin et informer la dyade tant sur la prévention que les traitements ambulatoires précoces. J’avais en 2018 accompagné Agnès Buzyn quant au renforcement de la politique vaccinale, et je le répète, je n’ai jamais été antivax, ces derniers ayant pu jusqu’alors bénéficier de phases d’expérimentation et d’évaluation au complet avant l’autorisation de mise sur le marché. (AMM)

Or, ici, la phase d’expérimentation de ces outils OGM ne sera terminée que dans de longs mois, voire des années. Les citoyens du monde ne sont pas informés en transparence quant à l’AMM conditionnelle.

J’ai écrit en recommandé au ministre de la Santé et aux instances telles que l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et des agences régionales de santé (ARS), pour les mettre en demeure afin de stopper la vaccination le temps de l’évaluation approfondie bénéfices/risques, sans jamais avoir de réponse. Je l’avais fait auparavant à plusieurs reprises,  notamment au sujet de l’absence des traitements précoces.

Un point aujourd’hui sur lequel je souhaite revenir, alors que nous avons quelques mois de recul sur la stratégie vaccinale dans différents pays, est l’efficacité du vaccin chinois Sinopharm. Malgré sa composition classique, il ne semble pas procurer une protection à la hauteur des attentes initiales. Alors qu’ils l’ont utilisé, les Seychelles voient exploser le nombre de cas.

Je réaffirme que le CDC avait remis en cause l’utilité du masque, éléments trouvés le jour de mon intervention dans l’hémicycle sur leur site, et supprimés depuis, y compris dans l’historique.

D’autres scientifiques se sont déjà largement prononcés dans le même sens et si on observe les pays qui ne l’ont pas imposé comme la Suède, ils n’ont pas de moins bons résultats.

 Trouvez-vous qu’il existe deux poids, deux mesures dans le traitement médiatique, politique et judiciaire par rapport aux  droits à l’erreur, de changer d’avis ou de penser différemment ?

Ce que j’observe et dénonce depuis plusieurs mois maintenant est la pensée unique, l’absence de débat et une véritable censure des contradicteurs.

Je suis inquiète des coups portés à la démocratie par l’absence de contre-pouvoir réel médiatique, tant audiovisuel que presse écrite.

L’acharnement que je subis est le reflet d’une véritable mainmise de l’exécutif. Par contre, je me réjouis que plusieurs médias libres et indépendants, comme Nexus, fassent un travail qualitatif.

 Le gouvernement ou d’autres scientifiques que vous connaissez ont-ils relayé, involontairement ou non, de fausses informations, sans en être inquiétés et sans même avoir à s’en justifier ?

Depuis le début de la crise, le gouvernement a avancé en se contredisant régulièrement et en entretenant le flou et la déstabilisation de la population, ce qui pourrait s’apparenter soit à de l’incompétence totale, soit à une stratégie d’ingénierie sociale.

Sur le plan sanitaire, les experts ou soi-disant experts perclus de conflits d’intérêts se sont succédé sur les plateaux se contredisant entre eux ou eux-mêmes d’une semaine à l’autre, et les médias n’ont jamais pris le temps d’une analyse critique et je ne pense pas avoir vu de démenti.

Exemples : masques, absence de traitement, intérêt des couvre-feux et du confinement, de la vaccination en pleine épidémie, etc. Tout cela, sans preuve scientifique.

 S’il vous est arrivé de vous tromper, les médias prennent-ils le temps de relayer ce que vous avez dit de juste et de prouvé, plutôt que faire le zoom sur le reste ?

Quelles que soient les prises de parole sur le sujet de la crise sanitaire, j’ai souvent eu l’impression que les articles étaient écrits à l’avance, ou mes propos, quelles que soient les nuances ou précautions, déformés, interprétés toujours dans l’objectif de dénigrer ma personne.

Sur les plateaux, à deux reprises pourtant, deux confrères (Martin Blachier et Roger Prud’homme) ont validé mes propos en direct, mais cela n’a été que de très brèves satisfactions.

 Les arguments que l’on reproche aux traitements que vous avez défendus sont-ils appliqués aux vaccins ? A-t-on la même exigence au sujet de leur efficacité, de leurs risques d’effets secondaires et des études à leur sujet ?

Je ne constate aucune prudence vis-à-vis des vaccins et de leur mise sur le marché conditionnelle en phase 3, donc en pleine expérimentation à l’échelle mondiale sans recul suffisant sur l’évaluation bénéfices-risques.

Les seuls éléments sont fournis à ce stade par les laboratoires eux-mêmes, qui pour deux d’entre eux ont déjà été condamnés.


 Savez-vous qui compose Fakemed et quelle est la légitimité de ce collectif ?

Je suis parlementaire et je n’ai pas de temps à perdre avec tous mes détracteurs. J’essaie de mettre toute mon énergie sur mon travail au fond et pas sur la forme.

Je laisse le soin de l’analyse à mon conseil juridique : ce collectif qui porte un nom révélateur regroupe des professionnels dont certains ne seraient pas médecins !

Leur acharnement est tel à mon encontre qu’ils ont fait l’effort de se constituer en association pour porter plainte contre moi.

 Vous faites partie de Laissons les médecins prescrire et de Reinfocovid. Certains médias comme LCI ont dit qu’il était faux que le collectif Laissons les médecins prescrire était constitué de 30000 soignants, mais plutôt de 2400. Est-ce que c’est vrai ?

Je ne suis que la cofondatrice de Laissons les médecins prescrire (LLMP), je ne suis pas dans Reinfocovid. Par contre j’ai œuvré avec d’autres confrères au rapprochement des deux sous l’égide de La Coordination Santé Libre et de la création du Conseil scientifique indépendant.

👉 Voir une de leurs conférences que nous avons filmées, censurée par Youtube

Le collectif LLMP comporte 30000 soignants environ, médecins et autres professionnels de santé, en France majoritairement, mais aussi à l’étranger.
Les 2400 comptabilisés sont ceux qui ont osé s’identifier malgré toutes les menaces de l’Ordre des médecins ; les autres en première ligne du soin font leur métier et accompagnent au mieux leurs patients.

Avez-vous quelque chose à ajouter ?

Je dénonce cette stratégie gouvernementale mortifère, qui entraîne notre pays vers un modèle social et sociétal malveillant pour le plus grand nombre de citoyens.Les effets de la gestion de la crise et non pas de l’épidémie elle-même seront démesurés sur le plan économique sanitaire et social ; les enfants et les jeunes adultes en seront les premières victimes à court, moyen et long terme.

 

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14 juin 2021 1 14 /06 /juin /2021 07:20
Pr. Raoult: « Des gens font un Covid très rapidement après la vaccination et on ne peut pas dire que les vaccinés font des formes moins graves… »

Source : Planete360

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13 juin 2021 7 13 /06 /juin /2021 21:10

Manchette d'aujourd'hui :

Le masque à l'extérieur ne servirait à RIEN.

Ah bon ?

Mais alors on empêche les gens de respirer dehors depuis 11 mois... pour RIEN ?

Il me semble que c'est ce que disent les "complotistes" depuis 11 mois non ?

 

Source: Chloé Frammery Twitter

Manchettes d'aujourd'hui : Le masque à l'extérieur ne servirait à RIEN. Ha bon ? c'est ce que disaient les "complotistes" depuis 11 mois, non ?
Manchettes d'aujourd'hui : Le masque à l'extérieur ne servirait à RIEN. Ha bon ? c'est ce que disaient les "complotistes" depuis 11 mois, non ?
Manchettes d'aujourd'hui : Le masque à l'extérieur ne servirait à RIEN. Ha bon ? c'est ce que disaient les "complotistes" depuis 11 mois, non ?
Manchettes d'aujourd'hui : Le masque à l'extérieur ne servirait à RIEN. Ha bon ? c'est ce que disaient les "complotistes" depuis 11 mois, non ?

Ce fut au tour de LCI de le dire en mars dernier, le masque en extérieur ne sert à rien... Les "complotistes" qui ont toujours un train d'avance sur les medias mainstream le disaient il y a un an : il n'y a pas de contamination "Covid" en extérieur. 

Pourtant "on garde le masque jusqu'au 30 juin" :

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13 juin 2021 7 13 /06 /juin /2021 13:08
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12 juin 2021 6 12 /06 /juin /2021 00:00
Bienheureux Guy Vignotelli, prêtre o.f.m. († v. 1245)

Originaire d'Espagne, Guy Vignotelli, un seigneur de condition très modeste, mais très hospitalier, reçut chez lui S. François et ses compagnons. Plusieurs jours plus tard, alors qu'il vit S. François prier, il voulut devenir son disciple et vivre davantage encore la pauvreté.

 

Entré dans l'ordre des Frères mineurs franciscains en 1211, il se retira dans une grotte près de Cortone (Italie) et prêcha la pénitence aux populations voisines. Il mena une vie de jeûnes, de pauvreté et d’humilité.

 

Sources: 1, 2, 3, 4

 

 

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Publié par Ingomer - dans Saints du jour
11 juin 2021 5 11 /06 /juin /2021 10:54
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La "pandémie" que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain

par Brian Gerrish

Le 28 mai 2021, Brian Gerrish a témoigné lors de la 54e session du Stiftung Corona Ausschuss, l’enquête extraparlementaire menée par des avocats en Allemagne sur la gestion de la crise du Covid par le corps médical et les décideurs publics au niveau international. Le thème de la journée de la 54e session était « Coincé entre le nudging et les effets secondaires ». Vous trouverez ci-dessous la transcription du témoignage de Brian Gerrish.

Reiner Füllmich : Brian, je m’excuse de vous avoir fait attendre pendant une vingtaine de minutes.

Brian Gerrish : Pas de souci. Je voudrais juste mentionner que je ne parle pas allemand, et que c’était fascinant de vous observer et de vous écouter, et aussi  merveilleux de vous voir commencer à rire, parce que vous aviez l’air très sérieux dans la plupart des dialogues que j’ai écoutés.

Il y a un mot que j’ai relevé et que j’ai trouvé très intéressant, c’est Wahnsinn, qui est apparu plusieurs fois, en particulier lorsque Bianca [directrice d’une école primaire persécutée] parlait.

Reiner Füllmich : Vous savez ce que ça veut dire, non ?

Brian Gerrish : Oui, « Folie ». Et je voudrais dire la chose suivante : ce n’est absolument pas de la folie. Ce à quoi nous sommes confrontés est calculé, et c’est une erreur de l’appeler « folie », parce que tout est très précis et calculé. C’est fondamental de comprendre cela pour être en mesure de faire face à ce que nous affrontons.

Reiner Füllmich : C’est très intéressant à entendre, car nous sommes arrivés à la conclusion que « l’autre côté », comme nous l’appelons, utilise deux outils majeurs. L’un est bien sûr la psychologie, les opérations psychologiques ; et l’autre outil indispensable est les médias grand public, qui sont les canaux qui véhiculent ces opérations psychologiques.

Pouvez-vous nous parler un peu de votre parcours ?

Brian Gerrish : Eh bien, j’ai été militaire dans la Royal Navy pendant vingt et un ans. J’ai ensuite travaillé dans l’industrie essentiellement, et après quelques années, j’ai commencé à comprendre que les choses allaient mal au Royaume-Uni et à enquêter.

Cela m’a conduit à faire équipe avec Mike Robinson, pendant près de vingt ans, et depuis quatorze ans maintenant, nous dirigeons tous les deux un média appelé UK Column, où je suis ravi de dire que nous sommes en expansion, et il est clair que nos téléspectateurs et nos auditeurs ne sont plus seulement au Royaume-Uni, mais dans le monde entier.

Reiner Füllmich : excellent ! Et maintenant, bien sûr, vous êtes occupé à couvrir le Coronavirus et toutes ses ramifications.

Brian Gerrish : Eh bien, le point essentiel est que nous avons commencé par examiner certaines des questions que vous venez de mentionner. Nous nous sommes penchés sur la façon dont la propagande était entrée dans le pays ; nous avons examiné l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée par le gouvernement ; et nous nous sommes penchés sur des changements que nous considérions comme très sérieux qui affectaient particulièrement le style de la démocratie, et nos droits constitutionnels.

C’est dans ce contexte de reportage que nous nous sommes intéressés au coronavirus. Je vous dirais donc que notre analyse de ce qui s’est passé avec le coronavirus s’inscrit dans le contexte de ce qui se passait au niveau politique, et en particulier de l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée et de la propagande.

Viviane Fischer : Alors, que pensez-vous de la « folie calculée » ? La « folie » [description] est plutôt notre jugement lorsque nous regardons ce qui était l’état normal des choses auparavant. Personne n’aurait pensé, si vous nous aviez posé la question il y a un an, que cela aurait pu se produire, du moins, pas nous, je suppose.

Et aussi, nous avons été vraiment surpris de voir comment le système juridique s’est détérioré, ou du moins, comment il est devenu évident qu’il est vraiment en mauvais état. Mais nous avons aussi le sentiment, en même temps, que ce qui se passe est très orchestré : c’est comme un puzzle. Ils déplacent cette pièce et cette autre, et l’image de ce qui se passe devient de plus en plus claire. Quelles sont vos expériences ou votre analyse de la situation ?

Brian Gerrish : Tout d’abord, je suis d’accord avec vous pour dire que la « pandémie » de coronavirus, si l’on peut l’appeler ainsi entre guillemets, a pris tout le monde par surprise. Je ne pense pas que nous l’ayons vue venir, et elle s’est produite très rapidement. Je suis donc tout à fait d’accord avec vous sur ce point.

Mais je reviendrai sur le fait que nous avons commencé à voir des choses très, très graves se produire au Royaume-Uni. Si je me concentre immédiatement sur l’utilisation par le gouvernement de la psychologie comportementale appliquée : en 2010 et 2011, le UK Column a été averti que le gouvernement avait mis en place une équipe appelée Behavioural Insights Team [note : l’ancienne adresse de page d’accueil « behaviouralinsights.co.uk » est maintenant redirigée vers le consciemment mondialiste « bi.team »]. Il s’agissait d’une équipe de psychologues qui travaillait directement avec non seulement l’appareil politique, mais aussi l’appareil d’élaboration des politiques au sein du gouvernement britannique.

Un document critique que nous avons trouvé en 2010 s’appelait Mindspace (vous pouvez le trouver très facilement en le recherchant en ligne sous forme de document PDF). Dans ce document, le gouvernement admettait qu’il utilisait la psychologie comportementale appliquée pour influencer la manière dont il concevait et mettait en œuvre ses politiques.

À un moment particulier de ce document — en fait, c’est au bas de la page 66, si je me souviens bien — le gouvernement se vante de pouvoir changer la façon dont les gens pensent et se comportent, et que les gens ne seront pas conscients que cela leur a été fait. Et il ajoute la mise en garde suivante : même s’ils se rendent compte que leur comportement a changé, ils seront incapables de savoir comment il a été modifié.

À la lecture de ce document, nous avons été choqués, et avons alors commencé à faire des recherches plus approfondies. Nous avons découvert qu’à cette époque, et bien sûr un peu plus tôt, le gouvernement britannique avait organisé des réunions avec les Français, au cours desquelles des équipes de psychologie politique  élaboraient des plans communs entre les deux pays. Le principal Français présent à ces réunions s’appelait Olivier Ouillier, et il travaillait à l’époque directement pour le cabinet privé de Sarkozy.

Toutes ces réunions se sont essentiellement tenues en secret. Nous avons pu découvrir qu’elles avaient eu lieu, mais nous n’avons pu le faire qu’en effectuant des recherches minutieuses en utilisant des voies spécifiques qui nous semblaient importantes. Par exemple, la plupart de ces réunions ont été menées sous le couvert d’une association caritative, le Conseil franco-britannique, qui disait avoir été créée simplement pour améliorer les relations entre la Grande-Bretagne et la France.

Ces réunions ont donc eu lieu, et il est apparu très clairement qu’il y avait un effort concerté pour étendre l’utilisation de ces techniques : non seulement de la part de la Grande-Bretagne et de la France, mais l’implication à ce moment-là était que ces techniques allaient être utilisées à travers la base de pouvoir plus large de l’Union européenne.

Et je vais juste répéter que le document Mindspace se vantait que pour la première fois, le gouvernement serait capable d’utiliser des techniques appliquées où les gens verraient leur comportement modifié — c’est-à-dire que leurs pensées seraient modifiées et qu’ils ne s’en rendraient même pas compte.

Reiner Füllmich : Dans quel but ?

Brian Gerrish : Eh bien, si vous voulez exécuter le pouvoir, vous pouvez essayer d’utiliser une politique normale et démocratique, ou vous pouvez essayer d’utiliser la force, ou vous allez essayer d’utiliser d’autres moyens.

Et donc je classe ces techniques dans cette catégorie « autres moyens ». Je dois dire que lorsque j’ai vu à quel point c’était cynique à travers mon expérience militaire, à quel point c’était calculé, j’ai compris qu’il s’agissait d’une utilisation brute du pouvoir.

Maintenant, si je fais un bond en avant dans les événements autour de la Covid : très tôt dans la pandémie de Covid (je l’ai appelée « pandémie » ; bien sûr, je ne crois pas que ce soit ce qu’elle est, mais c’est ainsi qu’elle a été rapportée), il a été porté à notre attention que le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement.

L’homme clé concerné par cette question était un homme appelé Dr David Halpern. Cette réunion n’a pas fait l’objet d’un compte-rendu officiel, mais une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion. Dans ce document, daté, je pense, du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus. Nous avons ce document ; nous pouvons vous fournir une copie de ce document.

Reiner Füllmich : Oui, s’il vous plaît, parce que nous avons le même genre. Il s’agit d’un document qui a fait l’objet d’une fuite de la part du secrétaire [fédéral] de l’Intérieur, et qui est maintenant appelé le Panic Paper.

Brian Gerrish : Oui, j’ai entendu parler de ce document en Allemagne. Je ne l’ai pas vu ou je n’ai pas pu le lire en anglais. Je vais vous suggérer que ce document allemand est issu des discussions spécifiques auxquelles je viens de faire référence. Lorsque nous avons commencé à voir que le gouvernement britannique tenait ces réunions secrètes avec des experts français en psychologie comportementale appliquée, il était clair pour nous que cela allait être déployé dans d’autres pays européens. Je n’ai donc pas été surpris lorsque j’ai entendu parler de ce document allemand.

Dans le document du SAGE, outre le fait qu’ils allaient accroître la peur, il y avait quelque chose de très intéressant. Il est dit [aux paragraphes 6-8 de la page 2] qu’au sein des communautés [locales], les membres au sein de la communauté seront utilisés pour faire en sorte qu’on se dénonce les uns contre les autres. Les gens allaient donc être utilisés pour faire pression sur leurs voisins, par exemple, pour qu’ils portent un masque, pour qu’ils respectent la distanciation sociale.

Il était donc très clair dans leurs propos qu’ils allaient utiliser cette psychologie appliquée secrète pour pousser les citoyens à faire pression sur leurs pairs. Et, fait significatif, ils ont également dit que cela devait être fait avec une certaine prudence, car ils pensaient qu’il était possible que cette situation devienne incontrôlable. En clair, ce qu’ils entendaient par là, c’est qu’au lieu que quelqu’un dise à quelqu’un d’autre « Tu devrais porter un masque ! » cette exigence pourrait se traduire par de la violence.

Après vous avoir parlé de ce document — très clair, très précis — je reviens maintenant à ce que disait Bianca qui parlait il y a quelques minutes, parce que j’ai pu comprendre qu’elle parlait d’angoisse et de stress.

Bien entendu, les techniques utilisées sur les adultes — ces techniques psychologiques visant à provoquer le stress et la peur — sont également utilisées sur les enfants. Je n’ai pu comprendre qu’une infime partie de ce dont elle parlait, mais j’en ai compris suffisamment pour saisir — corrigez-moi si je me trompe — que les règles changent, et donc qu’elle ne sait jamais quelles sont les règles à suivre.

Reiner Füllmich : Exactement, oui. Chaque semaine, ils changeaient les règles [pour les écoles], de sorte qu’elle devait travailler le week-end pour essayer de comprendre comment faire fonctionner les choses.

Brian Gerrish : Oui. Et l’incertitude et le changement des règles : cela fait partie de l’attaque psychologique. Parce que l’incertitude met immédiatement les gens dans une position de stress, d’anxiété et de confusion. Et si nous retournons dans le monde professionnel de la psychologie appliquée, les personnes qui sont dans un état de détresse et de confusion sont très sensibles aux autres messages et instructions. S’il y a un incendie dans un bâtiment et que les gens commencent à paniquer, la première personne qui commence à donner des ordres clairs aux gens, ces ordres seront suivis. Et cela est dû à l’état psychologique dans lequel se trouve le groupe.

Je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie, mais je connais un certain nombre de choses que j’ai appris grâce aux enquêtes que je mène.

L’autre point que je souhaite aborder est qu’il y a de nombreuses années, nous avons commencé à nous intéresser de près à une organisation caritative appelée Common Purpose. Common Purpose, en tant qu’organisation caritative, déclarait avoir pour but de créer des « futurs leaders dans la société ».

C’était en fait une sorte de pieuvre, qui, grâce à ses tentacules, s’est introduite dans le système hospitalier, dans la police, dans l’armée, dans les écoles, et une fois à l’intérieur de ces organisations, répandait  une nouvelle philosophie applicable dans de nombreux domaines.

Tout ce que je vous dis est parfaitement documenté. J’ai un site web qui regorge de documents sur ce que faisait cette organisation. Elle s’adressait en particulier aux enfants. Au début, elle s’adressait aux enfants de 11 à 14 ans, mais elle s’intéressa aussi aux étudiants universitaires.

Outre le fait que les personnes qui suivaient les cours étaient sélectionnées, ils étaient également désireux de faire participer des plus jeunes à leurs soi-disant formations.

Lorsque j’ai enquêté sur cette organisation, parce que j’étais extrêmement méfiant quant à ce qu’elle faisait (sa mission déclarée était de « choisir les futurs dirigeants » qui allaient « diriger au-delà de l’autorité » !), j’ai découvert que la formation était clairement conçue pour produire des personnes travaillant dans une organisation, mais qui ne travaillerait pas dans la culture normale de l’organisation. Common Purpose leur inculquait un nouvel ensemble de valeurs.

Lorsque j’ai pris l’avis d’un expert sur la façon dont ils s’y prenaient, c’est la première fois que l’on m’a parlé de la technique de la programmation neurolinguistique. La PNL est en fait une forme d’hypnose. Vous pouvez chercher sur Internet et vous trouverez de nombreux cabinets de conseil proposant des formations à la PNL, et vous trouverez de nombreuses personnes proposant des formations qui affirment que cette technique a une [valeur] thérapeutique, qu’elle peut être utilisée pour soigner et aider les gens.

En substance, c’est vrai ; mais ce qui nous intéressait au fond, c’est de savoir où nous avons commencé à voir l’utilisation de la neurolinguistique dans la politique gouvernementale.

Pour cela [nous devons] réunir ces deux éléments avérés :

  • C’est un fait que le gouvernement britannique a mis en place une équipe spécifique de psychologie appliquée.
  • C’est un fait que cette équipe promouvait des idées pour rendre la population craintive autour de la pandémie.

Et à une échelle beaucoup plus grande, cette équipe utilisait, entre autres, la PNL pour influencer pratiquement tous les documents produits par le gouvernement.

Je ne sais pas si certains membres de votre équipe ont déjà entendu parler de la PNL, mais je dirai que c’est un secret de polichinelle (vous pouvez faire des recherches à ce sujet, et de nombreux professionnels l’enseignent) qu’il s’agit essentiellement d’une forme d’hypnose. Cela signifie que vous pouvez transmettre aux gens des idées et des concepts qui ne passent pas nécessairement par leur esprit conscient. C’est un fait, ce n’est pas de la fiction.

Maintenant, lorsque vous commencez à voir la PNL utilisée pour des objectifs politiques, bien sûr, le grand public est très, très vulnérable, parce qu’à moins d’avoir un peu de formation ou de connaissance de la PNL, vous ne vous rendrez même pas compte qu’elle est utilisée sur vous, et elle peut être utilisée dans un sens verbal, mais elle peut aussi être utilisée par écrit.

Ainsi, par exemple, vous pouvez avoir un document devant vous : vous remarquez souvent un point à la fin d’une phrase ; ce marqueur n’est pas au bon endroit et vous pensez que quelqu’un a fait une erreur en tapant.

Mais ce n’est pas ce que la PNL peut faire, car lorsque vous lisez la phrase et que vous arrivez au point, votre esprit conscient prend une décision, mais votre esprit subconscient en prend une autre. Et il est tout à fait possible de rédiger des documents dans lesquels il semble qu’un message soit transmis, mais en réalité un message complètement différent est transmis au public.

Si je ramène cela au domaine de la réaction au coronavirus, nous constatons maintenant que chaque déclaration faite par le gouvernement, chaque document qui sort, est invariablement très soigneusement rédigé, il est très soigneusement assemblé, et je peux voir que dans une grande partie de cette documentation, la psychologie comportementale est soigneusement appliquée dans le texte.

Pour étayer cette affirmation, pour la renforcer : nous disposons également d’un document gouvernemental dans lequel le gouvernement se vante spécifiquement de pouvoir utiliser la psychologie dans les documents écrits.

Viviane Fischer : Vous pensez donc que les documents qui ont fait l’objet de fuites [en Allemagne], comme par exemple ce document de panique qui a été divulgué par quelqu’un, ou du moins qui n’a pas été publié officiellement, ont généré beaucoup de peur. Certaines personnes ont pu lire à travers les lignes et comprendre toute la narration même le simple fait qu’il ait été publié, et que certaines personnes l’aient lu ou en aient entendu parler, les ont bloquées dans la peur voire même renforcé leur peur, et a servi le but pour lequel cela a été conçu.

Beaucoup de gens ont été contrariés que le gouvernement utilise cette photo de votre grand-mère en train d’être étouffée par vous, l’enfant qui l’a infectée avec le coronavirus ; mais une fois que cette photo est en quelque sorte dans le domaine officiel, certaines personnes l’entendent et ont alors ces fantasmes dans leur tête, et ont encore plus peur.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est tout à fait exact. Nous pouvons voir ici, au Royaume-Uni, que la BBC, en particulier, a utilisé la psychologie appliquée de cette manière : des photographies très émotives et bouleversantes avec très peu de reportages factuels pour soutenir l’image, l’idée donnée par la photographie.

C’est délibéré. C’est calculé.

Dans le contexte de tout ce qui s’est passé avec la « pandémie », nous savons que chaque discours qui est prononcé, chaque document qui est diffusé, est susceptible de contenir un message psychologique de renforcement.

Mais l’autre chose qui me semble importante, du moins au Royaume-Uni, c’est que si nous revenons à 2010, lorsque le document Mindspace a été publié, nous avons commencé à voir les premiers exercices de préparation à une pandémie dans l’année qui a suivi.

En 2016 [N.B. : dans la vidéo, Brian dit » 2011 » par erreur, qui était l’année du précédent document sur la préparation à la pandémie], nous avons eu un truc appelé exercice Cygnus, qui était le plan britannique de préparation à la pandémie de grippe.

Ce document a été suivi par d’autres documents officiels parlant d’une éventuelle future pandémie, puis en 2017, il y a eu un document très important intitulé Préparation, résilience et réponse aux situations d’urgence [N.B. : Brian a généralisé le nom en disant « Préparation à la prochaine pandémie »].

Ce qui était, et ce qui est, intéressant dans la lecture de ces documents, c’est que certains d’entre eux — pas tous, mais certains d’entre eux — qualifient le document en disant : « Eh bien, nous ne pouvons pas prédire qu’une pandémie va se produire : nous pouvons regarder sur le long terme ce qui s’est passé dans le monde ; nous pouvons regarder ce qui s’est passé en 2018 et la pandémie de grippe et les dégâts ; mais nous ne pouvons pas être certains de quand il y aura une autre pandémie. »

Et soudain, en l’espace de quelques années, nous pouvons voir une avalanche d’articles au Royaume-Uni — et là encore, nous pouvons les mettre à votre disposition — où, soudain, les gens parlent tous de « la pandémie à venir ».

Il s’agit de documents publics politiques britanniques. Ils ne sont même pas au niveau des documents de type SPARS sur la pandémie, où de grands exercices ont été menés en Amérique et ailleurs, pour étudier la possibilité d’une pandémie. Il s’agit d’un ensemble de documents et de recherches supposées au Royaume-Uni.

Est-ce une coïncidence si, en quelques années, les articles se succèdent pour nous avertir de l’arrivée d’une pandémie ? Ce que je constate en lisant ces articles, c’est qu’il y a très peu de faits, mais beaucoup de langage émotif.

Et, bien sûr, les personnes qui avaient un emploi dans le secteur public, dans le système gouvernemental inférieur, étaient très susceptibles de lire ce matériel et de penser ensuite, « Mon Dieu, nous devons nous préparer localement à cela ! »

En regardant ces documents, je suis assez convaincu que ce que nous voyons est l’ensemencement des idées d’une pandémie à venir.

Bien sûr, ces graines ont été placées dans l’esprit des gens, et dès que nous avons commencé à recevoir des rapports sur l’arrivée d’une pandémie — en particulier, pour nous [en Grande-Bretagne], de la BBC — les gens auraient commencé à s’inquiéter, ou auraient commencé à penser à ce matériel et auraient commencé à réagir de la manière souhaitée par le gouvernement.

Nous avons donc des preuves substantielles montrant que le gouvernement britannique utilise et utilisera la psychologie appliquée pour faire passer ses politiques, ces preuves substantielles indiquant qu’ils vont aller jusqu’à rendre les gens craintifs.

Et j’ajouterai que si vous rendez les gens stressés et craintifs, vous allez aussi leur causer des problèmes de santé mentale, et nous vivons maintenant dans un pays où il y a une énorme augmentation des dépressions et de suicides, dont la presse grand public ne parle pas, parce que l’augmentation de ces effets négatifs sur la santé mentale a été si énorme depuis que les politiques de verrouillage ont été mises en place ; c’est un éléphant dans le salon au Royaume-Uni.

Nous avons la preuve dans les documents de l’existence de la psychologie appliquée calculée et destructrice. Si vous parlez aux gens dans les services publics, aux médecins, aux infirmières et au service hospitalier du NHS, ils nous disent qu’ils ont également été témoins de l’inondation soudaine de ces documents, les préparant effectivement à une pandémie qui était à venir. Pourtant, il s’agissait d’une pandémie qui, selon les journaux, ne pouvait pas être prédite !

Reiner Füllmich : Brian, au début de la session d’aujourd’hui, le Dr Wolfgang Wodarg et moi avons discuté du fait qu’un nouveau récit a été diffusé dans les médias grand public, probablement en commençant aux États-Unis avec Fox News. L’hôte Tucker Carlson a expliqué dans l’une de ses émissions d’information que la justice allait enfin être rendue, car[Anthony] Fauci a été pris en flagrant délit de mensonge au sujet de sa participation au laboratoire de virologie de Wuhan et de la manière dont il y avait mené des expériences de gain de fonction, financées dans le dos du contribuable américain et contre la volonté du gouvernement [américain], avec l’argent des contribuables américains.

Mais le vrai message n’était pas « On va avoir Fauci ». Le vrai message était : « Fauci ne nous a pas dit qu’un dangereux virus s’était échappé du labo de Wuhan ». « Entre-temps, nous savons qu’il y a probablement eu un accident au laboratoire de Wuhan, mais qu’il n’a pas causé de réels dommages. Cependant, ces personnes qui semblent avoir préparé le déploiement de cet agenda (comme vous venez de l’expliquer, et comme d’autres nous l’ont expliqué auparavant) — ces personnes ont saisi cette opportunité et l’ont utilisée comme un tremplin afin de commencer à déployer la  « pandémie » qui est en réalité une plandémie, et qui n’est en réalité qu’une pandémie de tests PCR.

Êtes-vous d’accord avec cela, qu’en réalité — et c’est vraiment important — nous n’avons pas un virus dangereux, parce que l’OMS, conformément à ce que dit John Ioannidis, a évalué le danger de cette pandémie à peu près au niveau d’une grippe ordinaire : 0,14 ou 0,15 % de taux d’infection et de mortalité ; donc, êtes-vous d’accord pour dire qu’il ne s’agit pas vraiment d’une pandémie, mais d’un effort coordonné ?

Comme vous l’avez dit lorsque vous avez commencé à nous parler, ce n’est pas de la folie, c’est un effort calculé qui utilise la psychologie, la PNL, afin de maintenir les gens dans la peur, afin de leur faire faire des choses qu’ils ne feraient pas autrement ?

Brian Gerrish : Je le crois certainement. Il y a un certain nombre de points qui sont impliqués dans ce que vous venez de me dire.

Le premier point important est le suivant : toutes les preuves qui nous sont parvenues par le biais de UK Column et de notre analyse ont montré que même les propres statistiques du gouvernement ont prouvé que ce qui se passe correspond en fait à une saison de grippe normale. Et bien qu’ils aient essayé de manipuler et de déformer les statistiques, l’Office national des statistiques du Royaume-Uni a fait son travail : les statistiques que ce centre a diffusées au public étaient correctes et montraient qu’il n’y avait pas de pandémie. Mais l’interprétation du gouvernement était une déformation flagrante des faits et des informations.

Reiner Füllmich : La même chose s’est produite ici en Allemagne.

Brian Gerrish : Oui, et je peux renforcer cette affirmation en vous disant que nous avons maintenant un grand nombre de personnes qui viennent nous voir — médecins et infirmières — pour nous dire qu’à l’époque où le gouvernement britannique prétendait que les hôpitaux étaient pleins de patients Covid, ils ne l’étaient pas.

Même les installations spécialisées créées dans les hôpitaux n’ont jamais accueilli un seul patient, sans parler du grand centre créé à Londres pour des milliers de patients qui s’est retrouvé, je crois, avec environ 63 patients dans une installation de plusieurs milliers de lits !

Dans les hôpitaux, des consultants [médecins traitants expérimentés] nous ont dit qu’ils avaient été responsables de la création de services spécialisés Covid, ce qu’ils ont fait, et lorsque ces services étaient créés, ils n’ont jamais accueilli un seul patient Covid.

Et pendant ce temps, le gouvernement britannique a renvoyé des personnes âgées, qui avaient manifestement la grippe — elles étaient dans les hôpitaux et étaient bien malades — le gouvernement a renvoyé ces personnes âgées par milliers dans les maisons de soins et de résidence, où, dans un environnement fermé, l’infection s’est bien sûr propagée.

Même la presse au sens large — en particulier les journaux britanniques : le Daily Express, le Daily Mail, le Daily Telegraph et le Guardian — ont tous rapporté à un moment donné que des dizaines de milliers de personnes âgées étaient mortes inutilement. Aujourd’hui, les experts qui nous parlent à UK Column disent que le chiffre n’est pas de quelques dizaines de milliers, mais de centaines de milliers.

Ainsi, on nous a menti sur le fait qu’il s’agissait d’une pandémie, et l’une des astuces utilisées par le gouvernement britannique et la BBC est qu’ils parlent des statistiques relatives à la Covid-19 dans un sens cumulatif. Ils ne cessent d’additionner les chiffres. Mais, bien sûr, la grippe est toujours enregistrée comme un événement saisonnier.

Une saison de grippe arrive, les gens attrapent la grippe, certaines personnes meurent — c’est toujours le cas — puis, lorsque le temps s’améliore, la grippe disparaît. Et puis, l’hiver suivant, c’est une nouvelle saison de grippe, et les statistiques recommencent. Mais avec la Covid, les statistiques ont été additionnées sur les deux saisons.

La manipulation psychologique de l’esprit des gens est absolument flagrante.

Vous avez mentionné Fauci. Je crois que ce que vous voyez en ce moment est un écran de fumée. Oui, il faut se poser des questions sur ce qui se passait dans le laboratoire de Wuhan, et nous savons certainement qu’il est de règle depuis de nombreuses années que, si un vaccin doit être créé, les entreprises pharmaceutiques améliorent une souche virale dans le cadre de leurs techniques de production d’un nouveau virus ; nous pouvons donc imaginer que, dans n’importe quel laboratoire, des virus dangereux améliorés peuvent être créés.

Nous savons donc que les laboratoires effectuent un travail essentiellement dangereux sur l’amélioration des virus, il est donc bien sûr possible que quelque chose se soit échappé.

Mais je pense que le moment où l’attention s’est soudainement tournée vers Fauci est très intéressant, car il a été soigneusement choisi, parce qu’ils savent que le grand public commence à poser les bonnes questions sur la politique de vaccination Covid-19. Et donc, pour essayer de détourner l’attention des gens des questions clés sur la vaccination, ils reviennent maintenant à Fauci.

L’autre homme qui a soudainement disparu de la scène publique est Bill Gates. Pourquoi Bill Gates a-t-il disparu ? Eh bien, il y a un certain nombre de questions intéressantes, mais le premier problème auquel il a été confronté est qu’il est devenu connu qu’il avait une amitié avec Epstein. Ainsi, tout d’un coup, M. Bill Gates est passé du statut d’homme d’affaires philanthropique, propre et bien élevé à celui d’homme d’affaires souillé par le fait qu’il avait une amitié très douteuse avec [Jeffrey] Epstein. Et Melinda Gates a maintenant déclaré qu’elle avait averti son mari de cette relation il y a de nombreuses années.

Soudainement, Bill Gates a été exposé dans les grands médias. Ensuite, l’attention se porte à nouveau sur Fauci. Mon sentiment est que les responsables de ce plan ignoble réalisent que le public commence à regarder dans la bonne direction et qu’ils ont donc besoin de quelque chose pour les distraire.

Et je pense que nous allons assister à une recrudescence des accusations selon lesquelles ce sont les Chinois qui ont produit une arme biologique, et que Fauci était impliqué. Il s’agit là de propos médiatiques à caractère émotif et non d’une analyse correcte de ce qui s’est passé. C’est mon opinion personnelle ; je peux me tromper.

Reiner Füllmich : Je pense que nous sommes d’accord avec ça, et tous ceux à qui nous avons parlé sont d’accord avec ça. Il semble que les responsables de cet agenda commencent à jeter des gens sous le bus, mais — manifestement — uniquement dans un but précis : détourner l’attention du grand public de ce qu’ils font.

Dans une certaine mesure, je pense que cela montre qu’ils perdent le contrôle. Ils ne perdent pas complètement le contrôle, mais ils le perdent. Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Brian Gerrish : Je suis d’accord, et si nous voulons introduire quelques bonnes nouvelles dans notre discussion, les gens contre qui nous nous battons sont des menteurs invétérés. Ils disent des mensonges, ils ne disent pas la vérité. Et leur problème est qu’ils finissent par être pris au piège par leurs propres mensonges. Je pense que c’est une grande partie ce qui a commencé à se produire.

Je peux vous donner un autre exemple, au Royaume-Uni, où nous constatons qu’il y a soudainement une certaine crainte émergente dans le système. L’agence britannique responsable de la sécurité et de la réglementation des médicaments s’appelle la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency). C’est l’organisation qui a recueilli les données sur les effets indésirables des vaccins, et pour vous et tous ceux qui regardent ou écoutent, leurs derniers rapports indiquent qu’au Royaume-Uni, il y a eu 859 481 réactions indésirables…

Reiner Füllmich : Vous avez dit 850 000 !

Brian Gerrish : 859,481. Et 1 213 décès. Ces statistiques sont celles du gouvernement britannique ; elles ne viennent pas de moi, mais du système de carton jaune de la MHRA. Ce système de sécurité est le suivant : quiconque entre en contact avec une réaction indésirable à un vaccin — qu’il s’agisse d’une réaction que vous avez vécue vous-même ou dont vous avez été témoin en tant que membre de la famille ou ami, ou même si vous êtes membre de la profession médicale — doit déclarer la réaction indésirable due à un vaccin sous forme de carton jaune, et c’est la MHRA qui détient cette base de données.

Maintenant, dans la propre documentation de la MHRA, ils ont déclaré en 2018 qu’à leur connaissance, pour tout médicament, y compris les vaccins, moins de 10% des effets indésirables graves ont été enregistrés. Moins de 10 % ! Et pour les effets indésirables plus mineurs des vaccins, ils ont dit que le chiffre enregistré se situerait entre 2 % et 4 % [du total réel].

Si l’on compare cette déclaration aux 859 000 effets indésirables et aux 1 213 décès enregistrés, on peut considérer que 12 000 personnes sont mortes.

Dans UK Column, nous avons beaucoup parlé de ces données, et sur le site ukcolumn.org, mon collègue, Mike Robinson, a mis en place un moteur de recherche qui permet de consulter les données de la MHRA. Et c’est un fantastique outil, car, sur le site Web de la MHRA, vous ne pouvez pas rechercher dans les données, ce qui est très déroutant et trompeur pour le public.

La mise en garde selon laquelle seuls 10 % des effets graves ont été enregistrés est très importante. Au cours des deux dernières semaines, la MHRA a ajouté un nouveau paragraphe en rapport avec cette mise en garde concernant le faible taux de signalement des effets indésirables dans lequel ils déclarent : « Le chiffre de 10% par rapport au 2-4% ne s’applique pas aux rapports du système carton jaune sur les effets indésirables du vaccin Covid-19. »

Ainsi, dès que UK Column a commencé à attirer l’attention du public sur le fait que la MHRA avait déjà enregistré 859 000 effets indésirables et 1 200 décès, et que cela pourrait ne représenter qu’une très faible proportion du nombre total d’effets indésirables, la MHRA a tenté de tromper le public en affichant un avis disant que cette règle de 10 % ne s’appliquait pas aux effets indésirables résultant de la vaccination Covid-19.

Viviane Fischer : Mais est-ce que quelqu’un peut croire ça ?

Brian Gerrish : Eh bien, certaines personnes oui inévitablement, car les membres du public qui lisent ces informations sans avoir une compréhension plus complète sont toujours dans la posture psychologique de croire ce que le gouvernement leur dit, ce qui est une très grosse erreur, bien sûr.

En tant que médias, nous avons fortement contesté cette décision, puis quelque chose de très intéressant s’est produit : la MHRA a soudainement annoncé, ces derniers jours, qu’elle allait lancer une initiative spéciale pour l’information et la sécurité des patients. Et quand vous regardez les documents produits, vous réalisez vite qu’ils ne disent pas réellement ce qu’ils vont faire pour améliorer la sécurité des patients.

L’autre partie de l’histoire de ce qui se passe au Royaume-Uni est la suivante : la MHRA a la responsabilité générale de consigner les effets indésirables des vaccins, mais ce qu’elle ne fait pas, c’est enquêter pour produire la conclusion finale sur le fait qu’un effet a bien été créé par un vaccin ou non.

Viviane Fischer : C’est la même chose ici.

Brian Gerrish : Et si c’est la même chose en Allemagne, alors nous commençons à voir qu’il y a un modèle qui émerge. Cela ne peut pas être un accident, cela ne peut pas être une coïncidence.

Viviane Fischer : Et c’est étonnant : nous en avons discuté plus tôt dans cette session, ils ne font pas d’autopsies. Ils refusent vraiment : soit cela vient des procureurs de l’État, soit cela est entravé d’une manière ou d’une autre dans les coulisses, par des décisions politiques, peu importe. Ils ne pratiquent aucune autopsie sur les personnes qui ont été enregistrées ou qui ont déclaré par leurs proches qu’il pourrait y avoir un lien de causalité avec les vaccins. Ils ne l’examinent pas, et s’ils le font, ce sera une inspection mineure, superficielle, à l’issue de laquelle ils affirment : « Oh, il n’y a pas de lien, c’est impossible ». »

Brian Gerrish : Eh bien, cela se produit également au Royaume-Uni, où les autopsies ne sont pas effectuées. Nous avons même vu — c’est un fait, car nous avons interrogé la famille concernée — [un cas] où le père d’une famille est décédé d’une crise cardiaque très peu de temps après avoir reçu une injection, et l’hôpital n’a pas soumis de rapport de carton jaune, et plus tard, lorsque la famille a soumis ce carton jaune, rien ne s’est passé. Six semaines et demie se sont écoulées.

Ils se sont alors tournés vers la MHRA et ont demandé, « Que faites-vous pour enquêter sur la mort de notre proche ? ». Et la première chose que la MHRA leur a demandée, c’est : « Y a-t-il eu une autopsie ? ». Comme vous l’imaginez, la responsabilité de faire une autopsie incombe à l’équipe médicale, qui aurait dû décider que le décès pouvait être lié au vaccin, [et que] par conséquent, une autopsie était nécessaire. Mais lorsqu’il était trop tard, et après que la personne soit enterrée, la MHRA répond :  « eh bien, il n’y a pas eu d’autopsie ».

Il y a environ deux ans, une autre chose s’est produite au Royaume-Uni. À l’origine, les certificats de décès devaient être signés par deux médecins. Or, au cours de la « pandémie », cela a été changé pour qu’il n’y ait qu’une seule signature. Constamment, sur les certificats de décès, « Covid » était enregistré même lorsque les membres de la famille déclaraient : « Mais mon père, ma mère, mon frère sont morts du cancer ! » Mais comme ils avaient soi-disant été testés positifs au Covid-19, c’était en fait enregistré comme la cause du décès.

Il s’agit donc de la falsification officielle de statistiques, avec un impact direct sur la santé de la nation. C’est calculé. Et c’est pourquoi je reviens à l’affirmation que ce n’est pas de la folie ; si vous analysez très attentivement les décisions politiques, les politiques, les documents, ce que nous regardons est un génocide. C’est planifié. C’est prémédité.

Un haut responsable du National Health Service — qui nous a parlé en tant que dénonciateur — a même utilisé ce terme. Elle a dit : « Ce que j’ai vu se dérouler au sein des services de santé du Royaume-Uni est un génocide. »

Reiner Füllmich : Était-ce un membre de la communauté médicale ?

Brian Gerrish : C’était un membre du conseil d’administration d’un des conseils du NHS. Des infirmières viennent nous voir en employant le même terme « génocide ». J’ai des médecins qui utilisent aussi ce terme, mais ils ne l’utilisent pas à la légère. C’est un mot qui ressort lorsque vous les interrogez sur leurs expériences et ce qu’ils ont vu.

Viviane Fischer : Que pensez-vous de l’empressement à vacciner les enfants ? Le gouvernement [allemand] a déclaré qu’à partir du 7 juin, les enfants devaient être vaccinés, et que tout devait être terminé avant la prochaine année scolaire. Cela semble donc assez scandaleux ; de toute évidence, beaucoup de gens sont très mécontents de cette nouvelle mesure.

Ils disent que ce ne sera pas obligatoire, mais avec la pression des pairs, et avec le fait qu’ils disent que vous ne pouvez retourner à l’école qu’avec des tests ou la vaccination, il y a bien sûr une pression ; c’est fondamentalement obligatoire, ou ça va le devenir.

Je me demande si vous pensez qu’ils accélèrent le processus parce qu’ils voient que les effets secondaires des vaccins vont devenir de plus en plus évidents.

Peut-être que s’ils introduisaient cette mesure plus tard dans l’année, un certain nombre de parents pourraient hésiter à se faire vacciner, alors que maintenant, c’est encore entre deux, et peut-être qu’avec la possibilité de partir en vacances, c’est une bonne idée d’attirer les gens ou de les inciter à faire vacciner leurs enfants maintenant ? Qu’en pensez-vous ?

Brian Gerrish : Je suis tout à fait d’accord avec votre analyse. Il est très clair qu’il y a maintenant une urgence massive à vacciner les enfants, et nous pouvons le voir dans les déclarations ouvertes des politiciens. Un homme politique, [l’ancien ministre de la Santé] Jeremy Hunt, s’est levé à Westminster il y a quelques jours et a déclaré en substance qu’il était vital que nous commencions à vacciner les écoliers.

Nous pouvons donc voir des déclarations ouvertes, mais aussi d’autres documents qui circulent où, une fois de plus, il y a cette utilisation malveillante de la psychologie : on dit aux enseignants que s’ils rencontrent des parents qui sont réticents à faire vacciner leurs enfants, ces parents seront répertoriés comme extrémistes.

Nous voyons donc à nouveau apparaître ce clivage psychologique, qui vise à éloigner les gens de leurs enfants. Bien sûr, si vous éloignez les parents des enfants, alors le gouvernement peut faire ce qu’il veut des enfants.

Il y a vingt ans, je lisais un livre politique très instructif intitulé The European Union Collective : Enemy of its Member States [par Christopher Story], et dans ce livre il y avait un tableau qui prétendait être un tableau sur l’attaque psychologique contre les nations occidentales. Il s’agissait d’une période de démoralisation, d’une période de déstabilisation et, au bout de cinq ans, d’un chaos et d’un effondrement complet.

Et lorsque j’ai lu ce tableau — je n’avais pas encore quitté l’armée depuis longtemps — mon esprit s’est dit : « Certaines de ces choses se produisent ici et maintenant. J’ai plein d’exemples en tête ! » J’ai donc fait des conférences publiques sur l’idée — j’appellerai cela une « idée » — qu’une attaque psychologique, une attaque démoralisante, est en train d’être déclenchée sur nos nations respectives. Je crois que c’est le cas.

Et je crois que lorsque vous voyez comment la politique de cette escroquerie Covid, ce mensonge, se reflète au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, et dans tous les autres pays, alors nous pouvons voir que clairement, la base de pouvoir qui injecte cela n’a rien de démocratique. Elle nous est hostile.

J’ajouterai juste que Bill Gates a soutenu une organisation appelée CEPI : la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations. La Fondation Bill et Melinda Gates a versé plusieurs centaines de millions de dollars à cette organisation.

Eh bien, par « miracle », le CEPI a fini par financer le laboratoire de tests biologiques que la MHRA au Royaume-Uni allait utiliser, et utilise toujours, pour nous dire si les vaccins sont sûrs ! Donc Bill Gates a soutenu financièrement le CEPI, le laboratoire utilisé pour nous dire que les vaccins sont sûrs, alors qu’ils ont officiellement enregistré 860 000 effets secondaires !

Mais ils n’ont pas établi de corrélation pour savoir s’il existe un lien de causalité avec les vaccins eux-mêmes. Cette recherche n’a pas été faite.

Il est donc évident que vous avez un système qui a été mis en place pour tromper le public sur ce qui se passe réellement avec ces vaccins. Et je pense qu’ils veulent les enfants parce qu’ils sont maintenant assez effrayés de voir que les bonnes questions sont posées, et ils savent que s’ils veulent faire vacciner les enfants, ils doivent se dépêcher.

Viviane Fischer : J’ai encore une question. Nous examinons toutes les mesures : les masques, ces tests bizarres, maintenant la vaccination, et la distanciation sociale. Pensez-vous que ces mesures ont avant tout un aspect psychologique, le fait d’être victime d’un coup de force ou de devoir faire preuve d’obéissance ?

Pensez-vous que tous ces éléments technologiques, pharmacologiques ont le même but : vous rendre malade ?

Comme nous savons que les tests sont nocifs, les masques font que les gens soient infectés plus facilement par un virus ou la grippe, se pourrait-il que ce soit aussi élégamment orchestré sur une base médicale ?

Brian Gerrish : Oui. Je pense que ce que vous dites est correct. C’est difficile pour les gens [d’imaginer cela]. Si nous disons que nous sommes des gens raisonnables — nous, les personnes réunies ici aujourd’hui, ne sommes pas parfaits, mais nous sommes des gens raisonnables et nous nous préoccupons de notre prochain, homme ou femme ; c’est ce que nous avons dans la tête — lorsque vous avez cela dans la tête, il est très difficile pour vous de regarder quelqu’un qui déchaîne un plan totalement brutal sur les gens.

Si des dizaines de milliers de personnes âgées ont été délibérément tuées au Royaume-Uni (et je pense que les preuves en sont accablantes), alors les personnes qui ont pris la décision de tuer ces personnes âgées sont également capables de prendre la décision de tuer d’autres membres de la société qu’elles ne considèrent pas comme valables.

Pour en revenir à la psychologie et aux documents : je possède un document du National Health Service qui parle de la sécurité des patients, et qui dit :  « Si nous faisions ceci ou cela, nous pourrions peut-être sauver la vie de 160 personnes par an. Cela vaudrait 23 millions de livres sterling. »

Chaque fois que le document du NHS parle de la protection des êtres humains, il lui attribue une valeur financière. Et quand je vois ces phrases, je sais que la personne qui a écrit ce document ne pense pas de la manière dont nous pensons tous.

Ainsi, ce qu’ils font aux enfants avec les masques et la distanciation sociale — et en leur donnant des leçons sur « la dangerosité du virus » est une attaque psychologique sur leur esprit, et les personnes qui font cela savent très bien que cela va entraîner toutes sortes de problèmes de santé mentale chez les enfants.

Il y a un document très important qui s’appelle le tableau de coercition de Biderman. Il s’agit d’un document reconnu par l’Organisation mondiale de la santé sur les techniques de torture non physiques.

Avant ce direct avec vous, une dame très bien informée m’a envoyé un document où il est dit que désormais, au Royaume-Uni, si un bébé naît et que l’on soupçonne que cet enfant peut être testé positif au Covid, il ne faut pas qu’il ait de contact avec la peau.

Viviane Fischer : Cela devient vraiment incontrôlable. Pensez-vous que le fil conducteur de toute cette affaire est écrit en Angleterre ? Pensez-vous que [le Royaume-Uni] est vraiment l’araignée dans la toile ? Pourriez-vous découvrir [cela], avec les Français ? S’agit-il d’un scénario américain ? L’organisation doit être centralisée d’une manière ou d’une autre.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est bien sûr une question très intéressante, car lorsque j’ai parlé du tableau de déstabilisation [dans le livre de Christopher Story], cela faisait prétendument partie d’un plan communiste pour déstabiliser l’Occident.

Mais je pense que si nous adoptons une vision plus mature de la situation, si nous examinons la base du pouvoir (et pour l’instant, nous nous concentrons sur la base du pouvoir des entreprises pharmaceutiques), la base du pouvoir se trouve dans les réseaux de ces entreprises. Et, bien sûr, ces entreprises ne peuvent fonctionner qu’avec les personnes qui contrôlent leurs milliards de dollars de fonds de roulement et de bénéfices.

Donc, pour moi, il est très facile de dire que si vous voulez commencer à déterminer qui fait cela, alors vous devez regarder qui contrôle réellement l’argent.

Et cela peut être assez émouvant, selon la façon dont vous présentez cet argument, mais au Royaume-Uni, le gouvernement — qui n’a pas été capable de construire des hôpitaux, qui n’a pas les moyens de boucher les trous dans les routes, ne peut pas investir dans les écoles — annonce soudainement que nous avons 800 milliards de livres sterling qui sont apparues de nulle part afin de lutter contre la Covid. Eh bien, cela dévoile quelque chose de très important.

L’autre élément qui me semble important à l’heure actuelle est le suivant : on aurait pu penser il y a quelques années que si une telle pandémie se produisait, alors que l’économie est si durement touchée, on entendrait les banques se plaindre ; on entendrait les banques dire : « C’est désastreux, car l’économie britannique a diminué de 30 à 40 %. Les banques ne peuvent pas fonctionner. »

Mais en fait, les banques sont silencieuses. Et cela me dit que les banques sont heureuses. Elles doivent être heureuses, car elles sont silencieuses.

Reiner Füllmich : D’après ce que nous avons appris jusqu’à présent, ce sont les banques. C’est la haute finance qui profite de tout cela, à travers ses investissements dans l’industrie pharmaceutique et technologique.

Mais l’essentiel de tout cela, si c’est un programme (et je n’ai aucun doute que ce soit un programme, un effort calculé), c’est que le meurtre de la classe moyenne, des petites et moyennes entreprises que l’on pousse à la faillite, et le meurtre réel de personnes, n’est pas un dommage collatéral ; c’est un dommage voulu, n’est-ce pas ?

Brian Gerrish : C’est prévu, et il y a environ neuf mois (je ne peux pas l’étayer davantage, car il s’agit d’une dénonciation), un dénonciateur qui avait manifestement participé à des réunions de relativement haut niveau au sein du gouvernement britannique nous a dit qu’il était choqué qu’à un moment donné, ils aient discuté de la nécessité de détruire les petites et moyennes entreprises.

Il a dit qu’on en avait discuté d’une manière si froide que cela l’a vraiment troublé. Lorsqu’il est sorti de la réunion, il ne pouvait pas croire ce qu’il venait d’entendre.

Le précédent gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a annoncé publiquement à plusieurs reprises que les entreprises qui n’adhéraient pas au nouveau programme vert relatif au « changement climatique » seraient punies. Elles seraient mises en faillite. Il a dit cela publiquement, et toute personne exploitant une petite entreprise aurait vraiment dû prêter attention à ce que cet homme disait.

Et, bien sûr, si vous empêchez les petites entreprises de travailler, vous empêchez les gens de gagner leur vie ; et lorsqu’ils ne peuvent pas gagner leur vie pour vivre, manger, vous augmentez également les problèmes de santé mentale.

Le mot anglais pour cela est « malevolent » : c’est un programme empoisonné, délibéré, parce que c’est discuté au Parlement et cela apparaît dans les documents qui sont publiés.

Viviane Fischer : Quel était le pseudo-argument utilisé par les membres du gouvernement lorsqu’ils parlaient de la nécessité de sortir les petites et moyennes entreprises ? Le changement climatique ?

Brian Gerrish : Eh bien, bien sûr, ils vendent au grand public qu’il y a un problème de changement climatique, et qu’il est désespérément important que nous prenions toutes les mesures pour traiter le problème climatique ; et si cela signifie que quelques centaines de milliers de petites entreprises vont être détruites, eh bien, c’est ce qui doit arriver.

Le facteur peur est donc constant : la psychologie est basée sur la peur et le contrôle. Nous devons avoir peur, car la fin du monde est imminente à cause du changement climatique. Nous devons avoir peur d’une pandémie. Nous devons avoir peur d’une guerre avec la Chine et la Russie. C’est de la psychologie délibérée et calculée.

Et, à mon avis, c’est pourquoi, si nous voulons lutter contre ce qui se passe avec la Covid et la vaccination, nous devons également aborder cette question. Lorsque nous pouvons prouver que nos gouvernements mentent et font de la propagande, il faut frapper aussi fort et dire au public : « Nous pouvons vous montrer que les vaccins sont dangereux, en raison des statistiques sur les réactions indésirables ». « Nous devons faire les deux choses simultanément. »

L’une des ironies est que le lockdown a été très bénéfique pour UK Column, car beaucoup, beaucoup plus de personnes viennent nous voir, et chaque semaine, nous recevons probablement six, sept, huit courriels de personnes qui nous disent : « Nous aimerions vous remercier de nous avoir permis de rester sains d’esprit. Vos informations, les faits que vous présentez, vos analyses nous ont aidés à rester sains d’esprit, car nous étions en détresse ; nous étions anxieux. »

Et c’est un énorme compliment pour nous, quelque chose de très spécial. Mais, bien sûr, ils nous parlent aussi de la puissance de l’effet sur l’esprit du public.

Viviane Fischer : J’ai une dernière question. Nous avons l’impression — et c’est peut-être lié à ce que vous avez dit sur la programmation neurolinguistique — que les gens sont sous une sorte de charme. Nous en avons discuté avec de nombreux psychologues.

Brian Gerrish : Eh bien, nous le croyons aussi. C’est la conclusion à laquelle nous sommes arrivés. Nous pouvons dire que les gens sont sous le charme, et la meilleure description, selon nous, est qu’ils ont été hypnotisés.

Viviane Fischer : Oui, hypnotisé. Mais comment pensez-vous que nous puissions briser ce charme ? Y a-t-il un moyen ?

Reiner Füllmich : L’information. Nous devons diffuser l’information, car la connaissance est ce qui tue l’illusion. La vraie connaissance tue l’illusion qu’ils ont créée.

Brian Gerrish : C’est vrai, mais nous devons aussi être réalistes : si vous regardez ce qui se passe lorsque vous essayez d’hypnotiser un groupe de personnes, vous obtenez une distribution en courbe en cloche. Certaines personnes y sont très sensibles et seront extrêmement hypnotisées ; d’autres peuvent être légèrement affectées ; et certaines personnes sont très difficiles à hypnotiser.

Donc, dans l’ensemble de la population, je crois qu’il faut y penser d’une manière un peu plus mesurée : vous allez avoir des gens que je pense, probablement, que nous ne pourrons pas atteindre. Ils sont partis. Ils ne peuvent pas penser par eux-mêmes. Et vous aurez d’autres personnes — vous en faites clairement partie et j’espère moi aussi — qui voient clair dans ce qui se passe. Peu importe ce qu’ils disent ou nous « montrent », nous pouvons voir la vérité.

Donc, en l’exposant et en diffusant nous-mêmes les informations correctes, nous brisons cette hypnose. Et, pour être positif, je pense que cela s’accélère. Le gouvernement britannique vient d’annoncer qu’il dépensait 1,6 milliard de livres pour l’interface avec les entreprises médiatiques ! 1,6 milliard de livres. Le budget de la BBC est de 5 milliards de livres à elle seule.

Ainsi, la BBC au budget de 5 milliards de livres [ce qui ne suffit manifestement pas] est la plus grande machine de propagande que le monde ait jamais vue. C’est l’organisation la plus dangereuse. Vous ne devriez pas croire ce que dit la BBC sans le vérifier auprès d’une autre source. Je pourrais vous parler pendant une heure de ce qu’est réellement la BBC.

Reiner Füllmich : Oui, eh bien, nous avons le même problème avec nos stations de radio et de télévision publiques nationales, je crois. Mais c’est peut-être pire en Grande-Bretagne, car je pense que votre histoire avec ce genre de propagande est beaucoup plus ancienne !

Brian Gerrish : Je suis désolé, je n’ai pas répondu complètement à la question de Viviane sur le fait de savoir si je pensais que le siège se trouvait au Royaume-Uni. Je suis très embarrassé de dire que je pense que oui, c’est au Royaume-Uni. Nous sommes face à une base de pouvoir qui est un mélange entre le pouvoir monétaire de la City de Londres, et ce qui est très clair dans la documentation, est que ce pouvoir monétaire travaille maintenant en symbiose avec les services de sécurité au sens large.

Cela fait partie de ce que l’on appelle au Royaume-Uni la Doctrine de la Fusion. C’est une autre discussion, mais en quelques mots, nous pouvons voir que la base du pouvoir monétaire contrôle maintenant à la fois les réseaux de renseignement, comme le GCHQ [équivalent du BND allemand], mais aussi les services secrets. Ils agissent de concert.

C’est un fait, je vous l’assure, car il a été annoncé publiquement (mais très discrètement !) que Google et le GCHQ, l’organisation britannique de renseignement et de cybersécurité, travaillent désormais au sein du National Health Service. C’est scandaleux.

Reiner Füllmich : Mais au fur et à mesure que le tableau se dessine, il devient de plus en plus clair pour un nombre croissant de personnes. C’est pourquoi ils poussent si fort, parce qu’ils comprennent que quelque chose est en train de dérailler.

Brian Gerrish : Oui, ils comprennent que les gens se réveillent, et nous le voyons. Je pense qu’il y a eu une grande… Les médias sociaux se sont stabilisés. Je pense qu’à de nombreux endroits sur les médias sociaux, on constate une énorme amélioration de la qualité et de la précision des informations qui sortent, et je ne pense pas qu’ils aient jamais réalisé que les gens utiliseraient les médias sociaux pour des analyses et des rapports professionnels, comme vous le faites aujourd’hui. Cela les effraie beaucoup.

Reiner Füllmich : Bien.

Brian Gerrish : Donc je pense que nous devons exposer ce qui se passe. L’autre chose que nous avons apprise en dix ans, c’est qu’il est toujours préférable de sous-estimer légèrement ce dont on parle.

Si vous le racontez raisonnablement en douceur, vous pouvez toujours revenir et recommencer ; mais si vous êtes trop agressif, si vous êtes trop énergique, si vous effrayez les gens, vous les perdez. Nous avons donc essayé de toujours parler de ce qui se passe très calmement, de manière mesurée, et nous ne couvrons pas non plus toutes les choses que nous observons.

Pour prendre un exemple, les gens parlent d’aimants qui se collent à vous après une injection. Je ne sais pas si c’est vrai ou non ; je suis intéressé de suivre ceci, mais je ne vais pas en parler, parce que jusqu’à ce que je puisse le prouver, je ne veux pas dire quelque chose qui pourrait saper ce dont nous parlons.

Je pense donc que l’approche consistant à ne pas être trop franc et agressif aide les gens à venir nous voir et à absorber les informations.

Si vous voulez terminer sur une note vraiment positive, j’ai décidé de mettre un peu de verdure derrière moi aujourd’hui, car j’ai pensé qu’un peu de soleil et un peu de verdure pourraient nous remonter le moral. Je crois que quelque chose de très intéressant s’est produit au cours des quatre ou cinq derniers mois : les professionnels commencent à poser les bonnes questions.

Je pense que la vitesse à laquelle cela se produit est à l’origine de toutes ces décisions étranges prises par l’establishment : le sacrifice de Fauci, l’empressement à faire vacciner les enfants alors même que le reste de la politique n’a pas encore été mis en œuvre — tout cela me semble indiquer qu’ils sont très effrayés.

La dernière chose dont j’aimerai parler — et je dois sourire en en parlant — c’est qu’il y avait un activiste à Chicago appelé Saul Alinsky, auteur d’un très bon livre intitulé Rules for Radicals. Dans ce livre, il parle essentiellement de techniques pour renverser le gouvernement, mais l’une d’elles est de « Toujours rendre l’argument personnel ».

Reiner Füllmich : C’est ce que nous faisons, oui.

Brian Gerrish : Et donc il ne suffit pas de parler de « la BBC » ; nous devons parler de Tim Davie, le directeur général de la BBC. Il ne me suffit pas de parler de « la MHRA » ; je dois parler du Dr June Raine, le directeur général de la MHRA.

L’autre petite chose que vous pourriez faire (ou vous en moquer, je ne vous en voudrai pas !) est qu’en écrivant à certains de ces fonctionnaires, vous mettiez leur photo dans la lettre ou l’e-mail que vous leur envoyez. En faisant cela, vous leur faites bien comprendre que ce n’est pas une communication sèche, mais que vous les considérez comme un individu.

Et donc, vous utilisez la psychologie appliquée. Si les mauvaises personnes l’utilisent sur nous, je pense que nous pouvons en utiliser un peu sur eux.

Reiner Füllmich : Eh bien, c’est ce que nous faisons, en fait. Nous en faisons une affaire personnelle. Nous nous attaquons à ces personnes personnellement, pas aux institutions. Brian, merci beaucoup, beaucoup.

C’était extrêmement intéressant et très important, et je pense que nous allons échanger davantage, parce que nous devons rester en contact maintenant que nous réalisons ce que nous soupçonnions depuis le début, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un effort international concerté par certaines personnes très, très malveillantes.

Brian Gerrish : Oui, et quelle merveilleuse opportunité cela représente, parce que quoi que ces gens fassent, ils opposent constamment les nations entre elles. Si nous prenons un peu de recul et que nous regardons les guerres et les problèmes, c’est ce type de personnes qui en sont la cause, et je pense que nous avons une merveilleuse opportunité ici et maintenant.

La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain, quelle que soit notre nationalité, notre religion ou la couleur de notre peau. Je pense que nous avons là une opportunité très excitante.

Reiner Füllmich : Nous sommes d’accord. C’est un réel plaisir, Brian. Merci beaucoup. À bientôt.

Originellement publié dans UK Column.

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11 juin 2021 5 11 /06 /juin /2021 09:50
Une nouvelle étude montre qu'un médicament vanté par l'ancien président américain Donal Trump peut augmenter les taux de survie au COVID de 200%

Source (Traduction) : Daily Mail 

 

Un médicament contre le paludisme pour lequel Donald Trump a été condamné pour l'avoir salué comme un possible traitement COVID-19 peut augmenter les taux de survie jusqu'à 200%, selon les scientifiques.

 

Les scientifiques ont découvert que, lorsque des patients ventilés atteints d'une version sévère de COVID recevaient de fortes doses d'hydroxychloroquine avec du zinc, leurs taux de survie pouvaient augmenter considérablement.

 

Trump a déclaré en mars 2020 qu'il le prenait pour l'empêcher d'attraper le virus, plutôt que de le traiter. Il n'a été infecté qu'en octobre et n'a pas été traité avec le médicament.

 

L'ancien président avait déjà présenté l'hydroxyquine comme un traitement miracle potentiel, les scientifiques faisant la queue pour insister sur le fait qu'il avait tort de le faire.

 

Pourtant, les alliés de Trump ont relevé mercredi l'étude, menée par le Saint Barnabas Medical Center dans le New Jersey sur 255 patients.

 

Elle a été publiée le 31 mai sur le site médical medRxiv .

 

Marjorie Taylor Greene, la membre du Congrès résolument pro-Trump pour la Géorgie, a tweeté: "Combien de personnes sont mortes parce que le Dr Fauci a déclaré faire confiance à la science et que l'hydroxychloroquine n'est pas efficace?"

 

"Une nouvelle étude montre : le traitement par hydroxychloroquine + azithromycine à une dose plus élevée a amélioré la survie de près de 200 % chez les patients COVID ventilés."

 

"Trump avait raison." L'ancien président a été banni de toutes les principales plateformes de médias sociaux et n'a pas encore publié sa propre déclaration sur les nouvelles découvertes.

 

En avril 2020, Trump a déclaré: "Nous avons acheté une énorme quantité d'hydroxychloroquine, qui, je pense, est, vous savez, un excellent médicament contre le paludisme."

 

"Cela a fonctionné de manière incroyable, c'est un médicament puissant contre le paludisme. Et il y a des signes que cela fonctionne sur [coronavirus], des signes très forts.

 

"Et en attendant, il existe depuis longtemps et fonctionne également très puissamment sur le lupus. Il y a donc des signes très forts et puissants, et nous devrons voir.

 

"Parce que, encore une fois, il est testé maintenant, c'est une nouvelle chose qui vient de nous arriver, nous l'appelons l'ennemi invisible."

 

Il a poursuivi: "C'est un médicament très fort et puissant, mais il ne tue pas les gens. Nous avons de très bons résultats et de très bons tests. Vous avez vu le même test que moi."

 

[...] Un mois plus tard, le 28 mai 2020, il a choqué les participants lors d'une table ronde à la Maison Blanche en déclarant : "Il se trouve que je le prends."

 

"Beaucoup de bonnes choses sont sorties. Vous seriez surpris du nombre de personnes qui en prennent, en particulier les travailleurs de première ligne. Avant de l'attraper. Les travailleurs de première ligne, beaucoup, beaucoup le prennent.

 

Il a ajouté: "Je le prends, de l'hydroxychloroquine. En ce moment, ouais. Il y a quelques semaines, j'ai commencé à en prendre. Parce que je pense que c'est bien, j'ai entendu beaucoup de bonnes histoires.

 

Le médecin de la Maison Blanche, le Dr Sean Conley, a publié une note ce soir-là, qui disait qu'après avoir discuté des preuves pour et contre l'hydroxychloroquine avec Trump, ils ont conclu que "les avantages potentiels du traitement l'emportaient sur les risques relatifs".

 

Le soutien de Trump au médicament non prouvé a été décrit à l'époque par les critiques comme imprudent et dangereux. Il a attrapé COVID en octobre et a été admis au centre médical Walter Reed après avoir eu du mal à respirer, mais s'est ensuite rétabli après avoir reçu une thérapie par anticorps alors expérimentale.

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6 juin 2021 7 06 /06 /juin /2021 07:25
La rébellion NoVaxx : Résister, refuser, rejeter

« Tout n’est pas perdu, la volonté invincible… et le courage de ne jamais se soumettre ou céder » – John Milton

*

Avez-vous réfléchi aux événements étranges de ces 15 derniers mois ?

Vous êtes-vous demandé pourquoi tant de pays ont adopté les mêmes politiques qui n’avaient jamais été utilisées auparavant et qui n’avaient aucun fondement scientifique ?

Vous êtes-vous demandé pourquoi des médicaments et des thérapies efficaces pour sauver des vies ont été activement et agressivement supprimés ?

Vous êtes-vous demandé pourquoi des scientifiques, des virologues et des épidémiologistes de renommée mondiale ont été bannis de Twitter et retirés de Facebook ?

Vous êtes-vous demandé pourquoi toutes les chaînes d’information par câble et la presse écrite ont couvert les événements quotidiens avec la même hystérie que leurs concurrents ?

Il est très difficile de revenir sur les événements de ces 15 derniers mois et de ne pas soupçonner que l’histoire du Covid est plus complexe qu’il n’y paraît ; que si l’infection tue en fait principalement des personnes âgées souffrant de multiples pathologies sous-jacentes, le virus a peut-être été utilisé pour promouvoir un programme politique dont nous ne savons que très peu de choses.

Malgré tout, il y a des choses dont nous pouvons être raisonnablement certains, comme le fait que tous les discours alarmistes et l’hystérie ont été manipulés de manière suspecte pour promouvoir la vaccination universelle. Cela semble assez évident. En fait, les responsables de cette opération Covid ont déclaré ouvertement que leur objectif était de vacciner « les 7 milliards de personnes » de la planète. Wow. Il y a peu de place au doute dans ce commentaire, non ?

Et, si c’est le cas, nous pouvons supposer sans risque qu’une grande partie de l’hystérie a été exagérée pour atteindre l’objectif déclaré. C’est une formule assez simple en fait : « Faire peur à tout le monde et les pousser vers les centres de vaccination ». Du moins, cela semble être la théorie de fonctionnement. Et je ne suis certainement pas le seul à penser ainsi. Il y a aussi le Dr Peter McCullough, qui est docteur en médecine interne et cardiologue certifié par le conseil d’administration. Voici comment il résume la situation dans une interview récente sur Rumble :

« Je pense que toute cette pandémie, depuis le début, concernait le vaccin. Tous les chemins mènent au vaccin. Il y a déjà des endroits en Asie du Sud-Est et en Europe où l’on prépare le terrain pour une vaccination obligatoire. Obligatoire ! Cela signifie que quelqu’un vous épingle au sol et vous plante une aiguille. C’est dire à quel point les parties prenantes veulent la vaccination » ~ Interview de 16 minutes avec le Dr Peter McCullough, Mercola.com

Répétez : « Tout tourne autour du vaccin »

Ce que cela signifie, c’est que tout le battage médiatique de l’année dernière – notamment les masques, la distanciation sociale, les confinements, les écoles fermées, les entreprises ruinées, les églises fermées, le décompte quotidien des décès et les images interminables des salles d’urgence des hôpitaux où des professionnels de la santé à l’air anxieux poussent des patients comateux à la hâte dans les couloirs et aux soins intensifs – a été concocté avec un seul objectif en tête ; préparer les moutons à une inoculation à l’échelle industrielle d’une substance étrangère qui n’a pas été approuvée par la FDA, qui n’a pas terminé les essais cliniques de phase 3 et dont les effets indésirables à long terme restent totalement inconnus. Est-ce que ça pourrait être encore plus bizarre ?

Probablement.

Bien sûr, maintenant l’attention s’est portée sur la Chine. La Chine, la Chine, la Chine. C’est la Chine tout le temps. Les Chinois se seraient amusés avec des agents pathogènes mortels à l’Institut de Virologie de Wuhan. La sécurité était apparemment laxiste, ce qui suggère que le virus – qui a infecté le monde et fait s’effondrer l’économie mondiale – s’est probablement échappé d’un laboratoire chinois. Alors, accusons les Chinois.

Tout cela est logique jusqu’à ce que l’on découvre que l’Institut national de la Santé des États-Unis (NIH) « a financé le controversé Institut de Virologie de Wuhan » à hauteur de « 3,7 millions de dollars pour un projet de collecte et d’étude des coronavirus de chauve-souris » (de 2014 à 2019) et, peu après, « un autre montant de 3,7 millions de dollars » (pour un) « projet qui semble avoir inclus des travaux sur le “gain de fonction” : une recherche qui étudie comment un virus peut acquérir la capacité d’infecter un nouveau type d’animal ».

Ce financement du NIH ressemble beaucoup à un accord de sous-traitance, bien que nous ayons besoin de plus de détails. Mais au moins, l’arrangement suggère qu’il pourrait y avoir une certaine responsabilité partagée pour la fuite présumée.

Peut-être que quelque chose m’échappe, mais il me semble que les personnes qui accusent la Chine sont peut-être trop pressées dans leur jugement. Après tout, le mème « blâmer la Chine » pourrait n’être qu’une autre diversion inventée pour dissimuler l’implication des États-Unis. Nous ne savons tout simplement pas.

Deuxièmement, il n’y a aucune raison de supposer que la « fuite » présumée était un « accident », en fait, il y a une montagne de preuves circonstancielles qui suggèrent le contraire. Par exemple, comment expliquer le fait qu’en octobre 2019, les élites de la Fondation Gates, de la Banque mondiale, des grands médias, des grandes entreprises pharmaceutiques, de l’ONU, du CDC, de la CIA, du Centre chinois de Contrôle des Maladies et de l’Université John Hopkins ont mené un « exercice de simulation en direct pour préparer les dirigeants publics et privés à répondre à une pandémie » ?

Voilà une coïncidence intéressante. Un conspirationniste pourrait penser que ces gros bonnets savaient ce qui allait se passer ? Quelle idée folle, hein ?

La conférence, baptisée « Événement 201 », a rassemblé des représentants des principaux centres de pouvoir mondiaux afin de présenter le plan opérationnel qui serait mis en œuvre pour obtenir le résultat qu’ils recherchaient collectivement. Voici comment Johns Hopkins a essayé d’écarter les questions concernant l’événement suspect. Ils ont déclaré dans le Armstrong Economics :

« Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction. L’exercice a plutôt servi à mettre en évidence les défis de préparation et de réponse qui se poseraient probablement dans une pandémie très grave. Bien que notre exercice sur table ait inclus un nouveau coronavirus fictif, les données que nous avons utilisées pour modéliser l’impact potentiel de ce virus fictif ne sont pas similaires au nCoV-2019 ».

Est-ce l’excuse la plus minable que vous ayez jamais entendue ?

En effet. Sommes-nous censés croire qu’aucune de ces élites n’avait le moindre soupçon que quelques mois plus tard, le monde serait propulsé dans une pandémie mondiale dans laquelle les conseils de leurs « experts en santé publique » respectifs l’emporteraient sur les parlements et les législatures du monde entier, leur conférant des pouvoirs politiques qu’ils n’ont jamais gagnés dans les urnes et l’autorité de tout prescrire, du port universel du masque à l’assignation à résidence effective ? Ils ne l’ont jamais vu venir ? Ils ne l’ont jamais planifié ? La conférence n’était qu’une innocente réunion avec leurs amis les plus puissants ?

Foutaises. (N’oubliez pas de regarder cette vidéo où le Dr Fauci prédit une pandémie mondiale. La vidéo est datée de 2017).

Pardonnez mon scepticisme, mais je pense que Johns Hopkins a peut-être un peu déformé la vérité. Il est certain que les gros bonnets de la finance et de la communauté du renseignement n’ont pas assisté à la réunion simplement pour « bavarder » ou pour exprimer leur amour de l’humanité. Non, ils étaient sans doute concentrés sur des questions plus pratiques, comme mettre la touche finale à un plan de restructuration de l’économie mondiale et du système politique de manière à mieux servir les intérêts de leurs collègues élites. Un tel plan nécessiterait une crise d’une certaine ampleur, une grosse catastrophe, comme une pandémie mondiale avec toutes les cloches et tous les sirènes.

Et même dans ce cas, il faudrait un comité de pilotage compétent et ingénieux, un plan opérationnel détaillé pour mobiliser les responsables de la santé publique, les chefs d’État, les grandes entreprises de marketing, les gouverneurs d’État, les grandes entreprises technologiques et pharmaceutiques, une batterie de psychologues comportementaux et une petite armée de responsables des médias sociaux. Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’une entreprise gigantesque qui nécessiterait un temps et une énergie considérables.

Et c’est pourquoi nous pensons qu’il est inconcevable que quelqu’un consacre autant de temps et d’efforts à l’élaboration et à la planification, à la coordination logistique et aux exercices de simulation, ainsi qu’à tout le travail difficile et les corvées bureaucratiques, s’il était simplement intéressé à sauver des vies ou à soulager les souffrances des masses infectées. Ce n’est pas pour cela que ces élites ont convoqué l’Événement 201. Elles avaient d’autres objectifs à l’esprit, et en tête de leur liste, la vaccination de masse. Elles veulent vacciner tout le monde, partout, dès que possible, et tous les développements de ces 15 derniers mois ont visé à atteindre cet objectif unique.

Qu’est-ce que cela nous dit ?

Si vous croyez, comme moi, que la pandémie est gérée par des hommes de pouvoir qui opèrent derrière la façade des dirigeants politiques, des médecins compromis et des responsables de la santé publique douteux, alors que devons-nous déduire du vaccin lui-même ?

Réponse : qu’ils savent ce qu’il contient. Et ils savent ce qu’il fait.

Vous voyez, aucun d’entre nous ne le sait vraiment. Tout ce que nous savons, c’est que le vaccin a été lancé à la hâte dans le processus réglementaire sans l’approbation de la FDA, que les essais cliniques de phase 3 n’ont jamais été achevés et que les essais sur les animaux – qui ont été menés des années auparavant – se sont terminés par un tas de furets morts. C’est à peu près tout ce que nous savons, MAIS nous pouvons raisonnablement supposer que les responsables de cette opération savent ce que contiennent les vaccins, car ils n’auraient jamais consacré autant de temps et d’efforts à ce projet grandiose s’ils ne le savaient pas, non ?

Donc, nous avons affaire ici à une connaissance asymétrique. Une partie a un net avantage parce qu’elle sait quelque chose d’essentiel que l’autre partie ne sait pas. PAS ENCORE. Mais nous finirons par le savoir, car des chercheurs indépendants rassemblent progressivement un ensemble d’informations sur les effets de la substance contenue dans l’injection sur les personnes vaccinées.

Mais cela prend du temps, c’est pourquoi les parties prenantes vont utiliser toutes les ruses possibles pour vacciner autant de personnes que possible avant que la vérité ne soit révélée et que leur château de cartes ne s’écroule autour d’elles. Malheureusement, une grande partie des dégâts aura déjà été faite d’ici là.

Alors, que savons-nous réellement de ces vaccins ?

Commençons par le Dr McCullough, qui a témoigné devant le Congrès et qui est clairement un expert en la matière. Voici ce qu’il a dit dans la même interview que celle dont nous avons donné le lien plus haut :

« Des gens meurent de ce vaccin – l’internet regorge de ces cas – alors pourquoi est-il promu comme il l’est ?… Ils veulent une aiguille dans chaque bras… Mais pourquoi, surtout quand on sait qu’il y a des effets secondaires indésirables graves ? » …

« Ne tombez pas dans le piège car cela ne fera qu’empirer les choses » …

« C’est une arme biologique, bien au-delà de tout ce que nous avons jamais vu … Le vaccin n’est pas sûr ».

C’est un bon résumé, mais recherchons un peu plus de détails, quelque chose qui mette en évidence les éléments du vaccin qui le rendent si controversé. Voici une citation du professeur Byram Bridle, spécialiste de l’immunologie virale à l’Université de Guelph, qui contribue à expliquer les lacunes des vaccins en ce qui concerne les effets indésirables graves qui se manifestent en masse.

« La conclusion est la suivante : nous avons fait une grosse erreur… nous ne nous en sommes pas rendu compte jusqu’à maintenant… nous pensions que la protéine spike était un excellent antigène cible… Nous ne savions pas que la protéine spike elle-même était une toxine et une protéine pathogène… Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons une toxine, qui entre dans la circulation, et lorsque cela se produit, elle peut causer des dommages, en particulier dans le système cardio-vasculaire. Et il existe de nombreuses autres questions légitimes sur la sécurité à long terme de ce vaccin. Par exemple, comme il s’accumule dans les ovaires, ma question est la suivante : allons-nous rendre les jeunes gens infertiles ? » ~ Dr Peter Moloney, Prof. Byram Bridle, Immunologie virale Université de Guelph

Ahh, donc maintenant on arrive à quelque chose. La protéine spike générée par le vaccin n’est pas différente de la protéine spike présente dans le Covid ; toutes deux font des ravages dans le système vasculaire.

Il faut garder à l’esprit que les vaccins « génétiques » sont une concoction hybride qui ne ressemble en rien aux vaccins traditionnels qui injectent un virus vivant ou mort au receveur pour déclencher une réponse immunitaire. Les nouveaux vaccins ne font pas cela, en fait, ils ne fonctionnent pas du tout comme un vaccin. (Remarque : le terme « vaccin » n’est qu’un terme de relations publiques que les sociétés pharmaceutiques ont adopté pour gagner la confiance du public et se soustraire à toute responsabilité juridique. Le terme ne s’applique PAS à ces nouvelles injections).

Ce qu’ils font, c’est pénétrer, puis détourner les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins (endothélium) où elles commencent à produire des protéines spike qui génèrent une réponse immunitaire. Mais voici le problème : il y a une grande différence entre une « réponse immunitaire » et le fait de recâbler votre système immunitaire pour qu’il produise par réflexe des toxines qui s’accumulent partout où le sang circule dans votre corps.

C’est la protéine spike, produite par les cellules pénétrées par les vaccins, qui a été identifiée comme le « coupable » à l’origine des terribles incidents de coagulation du sang, des saignements excessifs et des maladies auto-immunes. Les vaccins font passer des millions et des millions de ces protéines potentiellement mortelles dans la circulation sanguine des personnes vaccinées, ce qui augmente considérablement les chances qu’elles souffrent des maladies mortelles mentionnées dans la phrase précédente.

Posez-vous la question suivante : Savez-vous ce que vous mettez dans votre corps lorsque vous vous faites vacciner ? Voici comment le Dr Stephanie Seneff, docteur en médecine, a répondu à cette question :

« Les vaccins Covid-19 sont des instructions pour que votre corps fabrique une protéine toxique qui finira par se concentrer dans votre rate, d’où seront envoyées des instructions de protéines de type prion, conduisant à des maladies neurodégénératives » ~ Interview avec le Dr Stephanie Seneff, Ph.D., Mercola.com

Le fait est qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Comme l’a dit un scientifique : « C’est un détournement bienveillant du système immunitaire ». Vous voyez la différence ?

La plupart des gens pensent qu’ils prennent un médicament qui va aider leur corps à combattre le virus. C’est faux. C’est une reprogrammation du système immunitaire. Les cellules produisent maintenant une protéine spike qu’elles ne produisaient pas auparavant. En théorie, cette protéine déclenche une réponse immunitaire qui prépare le système à combattre une future infection. Mais ce n’est que de la théorie.

Personne ne sait vraiment ce qui va se passer car les vaccins sont expérimentaux et les essais cliniques ne sont pas terminés, de sorte que les effets à long terme restent totalement inconnus. Donc, quand nous disons que tout cela est une affaire de merde, nous n’exagérons pas. Il s’agit d’une procédure à haut risque et il n’y a aucune garantie. Voici un extrait d’un article intitulé « 57 scientifiques de haut niveau… exigent l’arrêt immédiat de toutes les vaccinations » :

« Les vaccins contre d’autres coronavirus n’ont jamais été approuvés pour les humains, et les données générées lors du développement des vaccins contre le coronavirus… montrent qu’ils peuvent aggraver la maladie du COVID-19 par le biais d’une augmentation des anticorps dépendants (ADE)… L’augmentation de la maladie induite par le vaccin chez les animaux vaccinés contre le SRAS-CoV… est connue pour se produire après une provocation virale, et a été attribuée aux complexes immuns… qui augmentent… l’inflammation …

Le rôle récemment identifié de la protéine spike dans l’induction des dommages endothéliaux caractéristiques du COVID-19, même en l’absence d’infection, est extrêmement pertinent étant donné que la plupart des vaccins autorisés induisent la production de la glycoprotéine spike chez les receveurs. Compte tenu du taux élevé de survenue d’effets indésirables, et du large éventail de types d’effets indésirables qui ont été rapportés à ce jour, ainsi que du potentiel de renforcement de la maladie induite par le vaccin …

La glycoprotéine spike seule provoque des dommages endothéliaux et de l’hypertension in vitro et in vivo chez le hamster syrien en régulant à la baisse l’enzyme 2 de conversion de l’angiotensine (ACE2) et en altérant la fonction mitochondriale. Bien que ces résultats doivent être confirmés chez l’homme, les implications de cette découverte sont stupéfiantes, car tous les vaccins autorisés en cas d’urgence sont basés sur la délivrance ou l’induction de la synthèse de glycoprotéines spike.

Dans le cas des vaccins à ARNm et des vaccins à vecteur adénoviral, aucune étude n’a examiné la durée de la production de protéines spike chez l’homme après la vaccination. En vertu du principe de précaution, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de la protéine spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévères et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus, à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question.

Il existe déjà des preuves non causales d’une augmentation temporaire ou durable des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays et, à la lumière de la pathogénicité de la protéine spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination… » ~ « 57 scientifiques de haut niveau… exigent l’arrêt immédiat de toutes les vaccinations », en-volve.com

Bon, décomposons tout cela en anglais simple.

1 – Les vaccins contre d’autres coronavirus n’ont jamais été approuvés parce qu’ils ont aggravé la maladie, principalement parce qu’ils ont créé des conditions dans lesquelles le système immunitaire a attaqué ses propres vaisseaux sanguins et organes vitaux. (ADE)

2 – La protéine spike peut faire des ravages sur les vaisseaux sanguins et les organes vitaux même s’il n’y a pas de preuve d’infection virale. Ainsi, l’injection aux personnes de vaccins qui forcent les cellules à produire des protéines spike présente de graves risques pour leur santé.

3 – Les effets indésirables des vaccins sont si semblables aux symptômes du Covid, qu’ils pourraient être « comptés à tort comme de nouveaux cas de Covid ». En d’autres termes, les médias et Fauci pourraient rendre les « variants » responsables de décès qui devraient être attribués aux vaccins.

4 – Personne n’a la moindre idée de la durée pendant laquelle les protéines spike resteront dans la paroi des vaisseaux sanguins (aucune étude n’a examiné la durée de la production de protéines spike chez l’homme après la vaccination) ou dans d’autres parties du corps. De même, personne ne sait à quel point les effets à long terme seront mortels ou destructeurs.

Voici d’autres informations tirées d’un article de Conservative Woman :

« Il est de plus en plus évident que les vaccins contre le Covid-19 peuvent aggraver la maladie chez certains sujets. Le danger survient lorsqu’une personne vaccinée rencontre le véritable virus. Les anticorps développés à la suite du vaccin peuvent finir par renforcer la maladie au lieu de protéger contre l’infection.

Les précédentes mises en garde contre cet effet potentiellement mortel, connu sous le nom de « renforcement dépendant des anticorps » (ADE), ont été minimisées ou considérées comme théoriques par les fabricants. Ce phénomène a été observé avec des vaccins contre d’autres virus, mais il est considéré comme très rare.

Cependant, après avoir examiné les preuves publiées concernant cet effet, deux experts américains ont conclu qu’il n’était « ni théorique ni irréfutable ». Recevoir le vaccin pourrait faire passer un sujet d’une personne souffrant d’une maladie bénigne à une personne souffrant d’une maladie grave, d’une morbidité durable ou même de la mort ». ~ « Comment le vaccin peut aggraver le Covid », Conservative Woman

Bien sûr, les virologues professionnels savaient que l’ADE était une possibilité avant même le lancement de la campagne de vaccination, mais ils ont été mis sur la liste noire des médias mainstream, censurés sur les médias sociaux et retirés de Twitter. C’est pourquoi si peu de gens ont entendu parler de ce phénomène. Beaucoup de gens ne savent même pas qu’il existe.

Cela ne vous semble-t-il pas étrange ? N’est-ce pas quelque chose dont vous auriez dû être informé avant d’accepter de vous faire vacciner ? Nous ne voulons pas croire que notre gouvernement autoriserait sciemment des programmes qui pourraient conduire à notre souffrance ou à notre mort. Mais comment expliquer autrement ce qui se passe ? D’autres informations :

« … un groupe international de médecins et de scientifiques a publié un appel aux gouvernements, aux régulateurs et aux développeurs de vaccins du monde entier pour qu’ils arrêtent les programmes de vaccination de masse jusqu’à ce que les problèmes de sécurité, en particulier les ADE, soient résolus. Ils affirment qu’étant donné le taux élevé d’effets indésirables, il est nécessaire de mieux comprendre les avantages et les risques, en particulier dans les groupes de la communauté qui ont été exclus de la plupart des essais cliniques. Il s’agissait notamment des personnes âgées et des personnes ayant déjà été exposées au SRAS-CoV-2, le virus responsable du Covid-19.

L’exclusion de ces dernières, selon le groupe, est particulièrement malheureuse « car elle a empêché l’obtention d’informations extrêmement pertinentes concernant l’ADE post-vaccinale chez les personnes qui ont déjà des anticorps anti-SARS-CoV-2 ». En l’absence d’une surveillance attentive, les cas d’ADE ou de pathologie immunitaire similaire causés par le vaccin seraient impossibles à distinguer des Covid-19 graves » ~ « Comment le vaccin peut aggraver le Covid », Conservative Woman

Avez-vous compris la dernière partie : « les cas d’ADE ou de pathologie immunitaire similaire causés par le vaccin seraient impossibles à distinguer des cas graves de Covid-19 » ?

C’est le génie (maléfique) du vaccin Covid, c’est-à-dire que lorsque les gens commenceront à mourir, leurs décès seront attribués aux « variants » du Covid plutôt qu’au vaccin. Pourquoi ?

Parce que les symptômes sont presque identiques. Comme l’a montré une étude récente du Salk Institute, le Covid est avant tout une maladie vasculaire. En d’autres termes, c’est l’action qui se déroule dans la circulation sanguine (inflammation, ADE, caillots sanguins et saignements) qui tue les gens, et non le virus respiratoire.

Malheureusement, la substance contenue dans les vaccins pénètre dans les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins, produisant des protéines spike similaires à celles générées par le Covid. Les protéines spike attirent les plaquettes qui provoquent des caillots sanguins, ou elles entraînent des hémorragies (une fois que les plaquettes sont épuisées) ou elles créent des déchets qui sont attaqués par des lymphocytes tueurs qui endommagent les vaisseaux sanguins et les organes. Hémorragie, caillots sanguins ou maladie auto-immune, toutes ces affections sont possibles après une vaccination, voire même très probables.

Jusqu’à présent, personne dans le camp pro-Vaxx n’a reconnu les dangers potentiels des ADE. Comment cela se fait-il ? Pourquoi Fauci est-il resté silencieux sur une question d’une importance aussi flagrante ? D’autres informations :

« Il pourrait en être de même pour les dommages causés par une toxine, la protéine dite « spike », dont la production est déclenchée dans les cellules de notre corps par le vaccin. Cette protéine est une caractéristique unique et dangereuse du virus, et l’objectif du vaccin est d’alerter le système immunitaire afin de bloquer l’infection.

Mais aucune étude n’a examiné combien de temps la toxine continue d’être produite chez nous après la vaccination, affirment les médecins. Le vaccin lui-même peut être à l’origine des symptômes contre lesquels il est censé protéger, symptômes qui sont alors diagnostiqués à tort comme des cas d’infection « fortuits ». Si c’est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus, à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question » ~ « Comment le vaccin peut aggraver le Covid », Conservative Woman

Vous voyez ? Comme nous l’avons dit, les décès causés par le vaccin vont être attribués au Covid, ce qui signifie que les médias vont continuer à promouvoir leur stupide théorie des « variants », même si la vérité leur saute aux yeux. Il n’est pas nécessaire d’avoir une boule de cristal pour comprendre comment ce jeu de dupes va se dérouler. Des dizaines de personnes vont mourir, mais les fabricants de vaccins et leurs alliés échapperont à toute responsabilité en détournant l’attention sur la chimère des variants.

C’est une stratégie intelligente et elle semble déjà fonctionner. On a constaté un pic de décès dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse, mais personne n’a rejeté la faute là où elle doit l’être : sur les vaccins eux-mêmes. Qui aurait cru que tuer pouvait être si facile ?

La question que nous devrions tous nous poser est donc la suivante : Les auteurs de l’opération Covid savaient-ils que les vaccins étaient dangereux avant le lancement de la campagne ?

Oui, ils le savaient, ils devaient le savoir. Mais ils se sont tout de même précipités. Ils veulent vacciner le monde quel qu’en soit le coût en termes de vies perdues. Voici d’autres extraits du UK Column « désormais censuré » :

« Il existe des preuves accablantes que la protéine spike du SRAS-CoV-2 (qui est également produite synthétiquement par les vaccins Covid) est un élément central des mécanismes de morbidité et de mortalité du SRAS-CoV-2, et constitue donc également un risque du vaccin. En ce qui concerne la coagulation, ce risque est plus important si vous recevez un vaccin.

Les données démontrent clairement que la dernière chose à faire serait de fabriquer un vaccin qui produise une protéine spike. Comme la littérature l’a clairement montré, cela causerait des dommages importants, notamment des caillots cérébraux et la mort. Et cette littérature, pour la plupart, était disponible avant la diffusion des vaccins covid au public » ~ « Coagulation et Science des vaccins covid » ~ Dr Mike Williams, UK Column

Des « preuves accablantes » ?

Oui, et pourtant la campagne de vaccination va de l’avant alors même que la montagne de preuves continue de croître. Comment expliquez-vous cela ? D’autres informations :

« … Les études d’autopsie n’ont pas encore trouvé de preuves claires d’une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d’autres explications de la façon dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques… Si ce n’est pas une infection virale, qu’est-ce qui pourrait causer des lésions aux organes distants associées au COVID-19 ?

Le coupable le plus probable qui a été identifié est la protéine spike du COVID-19 libérée par l’enveloppe externe du virus dans la circulation. Les recherches citées ci-dessous ont montré que la protéine spike virale est capable d’initier une cascade d’événements qui déclenchent des lésions d’organes distants chez les patients atteints de COVID-19.

Ce qui est inquiétant, c’est que plusieurs études ont montré que les protéines spike ont à elles seules la capacité de provoquer des lésions étendues dans tout l’organisme, sans aucune preuve de la présence d’un virus » ~ « La protéine spike des vaccins Moderna et Pfizer pourrait-elle provoquer des caillots sanguins, une inflammation cérébrale et des crises cardiaques ? », Children’s Health Defense

Vous voyez le tableau ?

En d’autres termes, les chercheurs savent depuis longtemps que ces types de protéines provoquent des problèmes de coagulation, de saignement et d’auto-immunité, qui peuvent tous entraîner la mort. Allez-vous me dire que les scientifiques qui ont créé ces vaccins et les responsables de cette campagne, ne connaissaient pas les risques encourus ?

C’est absurde. Ce n’est tout simplement pas crédible. Ils devaient savoir, et même s’ils ne le savaient pas, ils le savent maintenant. Alors, pourquoi ne font-ils rien pour arrêter leur campagne ou informer les candidats à la vaccination des dangers encourus ? Jusqu’à présent, ils n’ont même pas mis d’étiquette d’avertissement sur le côté de l’aiguille. Ils n’ont rien fait ; rien.

Appelleriez-vous cela le mal ?

Oui, tout comme le fait de refuser des médicaments vitaux au milieu d’une pandémie est diabolique. Il n’y a tout simplement pas d’autre terme pour cela. Le mal est le mal. Regardez ce dernier extrait d’une lettre adressée par les Doctors for Covid Ethics à l’Agence européenne des médicaments (EMA) :

« Nos préoccupations découlent de multiples sources de preuves, notamment le fait que la « protéine spike » du SRAS-CoV-2 n’est pas une protéine d’arrimage passive, mais que sa production est susceptible d’initier la coagulation sanguine par de multiples mécanismes… CSVT, la thrombose veineuse cérébrale, est toujours une condition potentiellement mortelle qui exige une attention médicale immédiate. Le nombre de cas que vous avez admis s’être produit peut ne représenter que le sommet d’un énorme iceberg…

Étant donné qu’il existe une explication mécaniquement plausible pour ces effets indésirables thromboemboliques, à savoir que les produits à base de gènes incitent les cellules humaines à fabriquer une protéine spike potentiellement pro-thrombotique, l’hypothèse raisonnée et responsable doit maintenant être que cela peut être un effet de classe. En d’autres termes, les dangers doivent être écartés pour tous les vaccins à base de gènes autorisés en urgence, et pas seulement pour le produit AZ » ~ « Lettre ouverte à l’EMA de Doctors for Covid Ethics », Doctors for Covid Ethics

Et voilà, plusieurs articles de trois journaux affirmant chacun que la protéine spike générée par les vaccins crée une myriade de problèmes. Et nous ne faisons qu’effleurer la surface sur ce sujet ; il existe beaucoup plus de recherches disponibles si vous savez où chercher. Mais nous nous arrêterons ici car nous pensons avoir montré que les patrons de la vaccination de masse connaissent les risques mais ont choisi de les dissimuler au public.

Mais pourquoi ? Et pourquoi font-ils maintenant pression pour vacciner des enfants dont le risque de mourir du Covid est nul, mais dont le risque d’effets indésirables de la vaccination est important ?

C’est parce qu’il y a quelque chose d’autre qui se passe ici. Ce que nous voyons, c’est la mise en œuvre d’un programme stratégique plus large dont la vaccination de masse est une partie essentielle. Ce que cela signifie pour l’humanité, nous ne le savons pas vraiment. Mais nous sommes à peu près sûrs que si les gens n’enlèvent pas la boue de leurs yeux et ne comprennent pas rapidement ce qui se passe, nous allons nous retrouver dans une situation très difficile.

Traduit par Réseau International

 
La rébellion NoVaxx : Résister, refuser, rejeter
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6 juin 2021 7 06 /06 /juin /2021 07:20

La preuve avec cette copie d'écran : 

Les complotistes ont toujours un train d'avance sur les medias mainstream

Source : Twitter

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4 juin 2021 5 04 /06 /juin /2021 19:45
Robert F. Kennedy Jr. MISE EN GARDE : Ne prenez en aucun cas un vaccin contre le COVID-19

Si vous envisagez même de vous faire vacciner contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), Robert F. Kennedy Jr. a un message pour vous : ne le faites pas !

 

Le neveu de l'ancien président John F. Kennedy a récemment publié une déclaration publique exhortant les gens du monde entier à éviter à tout prix le vaccin COVID-19, car il contient une nouvelle technologie non testée connue sous le nom d'ARNm, dont les effets secondaires à long terme sont complètement inconnus.

 

L'ARNm modifie directement le matériel génétique de ceux qui le reçoivent, un peu comme ce qui se passe lorsque les "scientifiques" modifient génétiquement (OGM) des cultures vivrières comme le soja ou le maïs pour les rendre résistantes aux insectes ou à la sécheresse.

 

"Cette intervention peut être comparée aux aliments génétiquement modifiés, qui sont également très controversés", a déclaré Kennedy.

 

Contrairement à tous les autres vaccins, dont les dommages génétiques ne sont pas nécessairement permanents, les dommages génétiques de l'ARNm sont "irréversibles et irréparables", note Kennedy.

 

"Même si les médias et les politiques banalisent actuellement le problème et appellent même bêtement à un nouveau type de vaccin pour revenir à la normale, cette vaccination est problématique en termes de santé, de moralité et d'éthique, mais aussi en termes de dommages génétiques", a déclaré Kennedy.

 

KENNEDY : LES VACCINS CONTRE LE COVID-19 SONT UN "CRIME CONTRE L'HUMANITÉ"

Contrairement aux vaccins plus anciens, dont beaucoup peuvent être "détoxifiés" après injection, les vaccins à ARNm COVID-19 vivent à perpétuité à l'intérieur du corps. Les dommages qu'ils causent, en d'autres termes, sont éternels.

 

"Vous devrez vivre avec les conséquences car vous ne pourrez plus être guéri simplement en éliminant les toxines du corps humain", explique Kennedy, comparant les dommages génétiques à ceux qui causent le syndrome de Down ou la mucoviscidose.

 

L'ARNm est presque comme un "moteur" de vaccin continu qui vaccine à plusieurs reprises une personne pour le reste de sa vie. Pour cette raison, il n'y a aucun moyen de "réparer" ou de "guérir" les problèmes qui surviennent.

 

"Cela signifie clairement : si un symptôme de vaccination se développe après une vaccination à ARNm, ni moi ni aucun autre thérapeute ne pourra vous aider, car les dommages causés par cette vaccination seront génétiquement irréversibles", avertit Kennedy.

 

Depuis l'Holocauste, on n'a jamais imposé au monde quelque chose d'aussi diabolique au nom de la "santé publique". Les vaccins COVID-19 ne sont pas seulement dangereux, affirme Kennedy, mais ils représentent un "crime contre l'humanité qui n'a jamais été commis de manière aussi significative dans l'histoire".

 

"Comme l'a dit le Dr Wolfgang Wodarg, médecin expérimenté : En fait, ce 'vaccin prometteur' pour la grande majorité des gens devrait être interdit parce qu'il s'agit de génie génétique !".

 

En d'autres termes, se faire vacciner contre le COVID-19 signifie qu'une personne deviendra une sorte de zombie OGM, sans possibilité de revenir à son ancien état. Cela ressemble beaucoup à la marque de la bête du livre de l'Apocalypse, n'est-ce pas ? [Ap. 13,16-17 À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front, afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là : le nom de la Bête ou le chiffre de son nom. Note du Blog Christ-Roi.]

 

Dans le passé, Kennedy, qui est considéré par beaucoup comme le meilleur Kennedy, a averti que les vaccins traditionnels sont déjà assez mauvais, causant de graves lésions cérébrales qui pour beaucoup sont irréversibles. Et les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont bien pires que cela, dit-il, c'est pourquoi personne ne devrait en aucun cas les prendre.

 

"Étudiez l'histoire de la vaccination, de Jenner à Pasteur et Polk", a écrit un commentateur de Strange Sounds. "Il n'y a aucune preuve qu'ils fassent autre chose que de vous injecter (dans le meilleur des cas) une partie du virus."

 

"Un virus est simplement un morceau d'ADN ou d'ARN et, parce qu'il n'est PAS une forme de vie cellulaire, il n'est pas désactivé ou mort", ajoute ce même commentateur. "La théorie est que vous devez éduquer ou exercer votre système immunitaire. C'est faux. La médecine moderne peut simplement être décrite par le film Frankenstein."

 

Source : BestNewshere

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4 juin 2021 5 04 /06 /juin /2021 10:17
Reiner Fuellmich : 30 personnes par jour meurent après avoir été vacciné, mais seulement 1 à 10% de cas signalés

Reiner Fuellmich: 30 personnes par jour meurent après avoir été vacciné. Mais il n'y a 'pas de réelle preuve de causalité'... Beaucoup des cas réels ne sont même pas signalés, 1 à 10% des cas qui sont signalés, 3000 par jour, le tiers maison de retraite sont morts dans les 3 semaines du Vaccin.

 

Source: Video Twitter

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4 juin 2021 5 04 /06 /juin /2021 07:11
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2 juin 2021 3 02 /06 /juin /2021 07:03

Forbes complotiste? 

https://www.forbes.com/sites/roberthart/2021/05/29/some-countries-with-the-highest-vaccination-rates-are-facing-a-surge-in-covid-deaths-and-infectionsexperts-say-complacency-is-partly-to-blame/amp/

https://www.forbes.com/sites/roberthart/2021/05/29/some-countries-with-the-highest-vaccination-rates-are-facing-a-surge-in-covid-deaths-and-infectionsexperts-say-complacency-is-partly-to-blame/amp/

Certains pays ayant les taux de vaccination les plus élevés sont confrontés à une augmentation des décès et des infections à Covid - Les experts estiment que l'assouplissement (des mesures) est en partie responsable de cette situation

 

Certains pays avec les taux de vaccination les plus élevés au monde sont également aux prises avec des poussées dévastatrices de Covid-19 et un nombre de morts le plus élevé, une tendance inquiétante qui a amené les experts et les responsables à se demander si les campagnes de vaccination réussies ont incité les gouvernements à assouplir trop tôt les restrictions et donner au public un faux sentiment de sécurité.

La pandémie est terminée !!! Fête à l'occasion de la fin de la pandémie. Les mains jettent des masques de protection en l'air ...

De nombreuses régions des États-Unis ont assoupli les restrictions

 

L'Uruguay a connu le taux de mortalité Covid-19 le plus élevé au monde par habitant pendant plusieurs semaines, malgré l'une des campagnes de vaccination les plus réussies au monde, une situation courante dans un certain nombre d'autres pays hautement vaccinés comme Bahreïn et les Maldives.

 

L'Uruguay, petit pays d'environ 3,5 millions d'habitants, a enregistré en moyenne 55 décès par jour au cours de la semaine dernière, soit environ 1,6 décès pour 100000 habitants selon les données compilées par le New York Times , un chiffre qui est resté à peu près le même depuis les cas, et qui a bondi en avril.

 

En tenant compte de la population, le Bahreïn (0,9 décès pour 100 000 habitants) et les Maldives (1) ont des mesures tout aussi sombres et ont signalé des taux de mortalité bien plus élevés que des pays comme les États-Unis (0,15) et l'Inde (0,29) pendant une grande partie du mois de mai.

 

D'autres pays comme le Chili et les Seychelles se classent parmi les pires poussées d'infection à Covid au monde, bien que chacun ait des niveaux de vaccination plus élevés que les États-Unis, avertissent les experts pour qui la levée trop tôt des restrictions a pu relâcher indûment le public. [En sommes ce qu'ils nous proposent c'est un confinement à vie toute l'année, vaccinés pour une efficacité zéro ?? Note du blog Christ-Roi.]

 

Le Dr Jude Gedeon, commissaire à la santé publique des Seychelles, a déclaré à un journal local que l'épidémie était en partie alimentée par la reprise de l'activité économique et l'"assouplissement" vis-à-vis des mesures de santé publique comme le port du masque et la distanciation sociale, un sentiment repris à Reuters par le président des Maldives Ibrahim Mohamed Solih, qui a déclaré que le pays avait levé les restrictions trop tôt. [Ne serait-ce pas plutôt la preuve que masques, couvre-feu, distanciation sociale, confinement, vaccins Covid... ne servent et n'ont servi à rien ?]

 

[...]

 

CE QUE NOUS NE SAVONS PAS

L'assouplissement des restrictions n'est qu'une variable contribuant à une épidémie. De nouvelles variantes pourraient entraîner des infections – l'épidémie en Uruguay est en partie alimentée par la variante P.1 identifiée pour la première fois au Brésil. L'efficacité des vaccins utilisés est également une préoccupation pertinente, un certain nombre de pays fortement vaccinés ayant fait un usage intensif des vaccins chinois.

 

Source : Forbes 

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31 mai 2021 1 31 /05 /mai /2021 07:05
https://nouveau-monde.ca/revolution-de-1789-le-detail-qui-tue/

https://nouveau-monde.ca/revolution-de-1789-le-detail-qui-tue/

Par Éric Montana

 

[Ndlr : l’auteur perçoit une cause fondamentale unique derrière la situation. Est-ce réellement le cas ? Comme il le conseille, c’est à chacun de faire ses propres recherches. Cependant, Internet n’est probablement pas suffisant, car on y trouve de tout et son contraire et que certaines parties de cet univers virtuel manquent presque totalement de fiabilité, voire d’honnêteté. Il peut être alors utile de compléter des recherches virtuelles par la lecture d’ouvrages d’Histoire et d’autres domaines, d’auteurs variés et aux opinions éventuellement contradictoires afin de peser le pour et le contre et de faire la part des choses.]

 

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de “conspiration monolithique” a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot “monolithique” signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

 

 

Il y a des moments où je m’interroge sur la passivité et la crédulité des Français. Je n’arrive pas à croire qu’il y ait une telle masse de dégénérés, incapables de réfléchir, incapables d’analyser, incapables de comprendre que nous vivons actuellement le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

 

Alors je me dis qu’il faut qu’il en soit ainsi, il faut que des gens meurent en masse pour qu’une partie des endormis finisse par réaliser ce qui se passe vraiment. Et malgré ça, je suis certain que nombreux continueront à croire la télé ou le gouvernement qui leur diront : “ils sont morts du Covid, d’un variant particulièrement virulent…”

 

[...] Mais quand allez-vous ouvrir les yeux ? Quand allez-vous comprendre qu’avec la vaccination, nous faisons l’objet d’un génocide programmé qui selon les propres mots de Bill Gates permettra de réduire la population mondiale de 10 à 15% ?

 

Vérifiez-le si vous ne me croyez pas. Internet est là pour ça !!

 

Ce plan criminel est planifié depuis des dizaines d’années ! Et pour l’avoir dénoncé, le Président John F. Kennedy l’a payé de sa vie, il a été assassiné !!!

 

[...]

 

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de “conspiration monolithique” a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot “monolithique” signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

 

Savez-vous que la Révolution française a été démarrée par 300 ou 400 personnes à Paris ? Ils n’étaient pas des milliers, pas des dizaines de milliers, pas des millions mais quelques centaines de gens payés par les usuriers !!

 

Savez-vous que la première loi votée par l’Assemblée Constituante en octobre ou novembre 1789 a été la légalisation de l’usure ? La légalisation du prêt avec intérêt ?

 

Lire14 juillet 1789 : La Révolution dite "française"

 

Pendant qu’on mettait le pays à feu et à sang, les faux révolutionnaires agissaient pour le compte des banquiers en faisant voter une loi que des siècles de monarchie ont refusé, à cause de son immoralité et du danger qu’elle représente pour un pays, pour un peuple, pour une nation !

 

Français ignorants et endormis, nos ancêtres ont fait la révolution pour faire de nous les esclaves des banquiers !! Le saviez-vous ça ? Et vous continuez à croire ce que les livres d’histoire nous racontent ?

 

Nathan Rothschild a déclaré :

 

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois. »

 

Ses descendants possèdent désormais plus de 193 banques nationales dans 193 pays du monde. Vous comprenez ce que cela signifie ? Ils possèdent la planète ! Nos gouvernements sont leurs employés, leurs serviteurs, leurs domestiques !! Et maintenant ils considèrent que nous sommes trop nombreux et qu’il faut nous éliminer par la maladie, par le test, par le vaccin après nous avoir empoisonnés par la nourriture industrielle qui est à l’origine de l’explosion des cancers, des maladies cardiaques et cardio-vasculaires !

 

Alors réveillez-vous, car si Klaus Schwab et les gens de sa tribu réussissent leur coup, nous gémirons et pleurerons toutes les larmes de notre corps en nous demandant comment nous avons fait pour être aussi abrutis, pour être les responsables de nos malheurs, les fossoyeurs de nos propres vies, les idiots qui sont allés à l’abattoir de leur plein gré…

 

Nous n’avons pas besoin d’être des millions pour renverser cette tyrannie mais quelques centaines de milliers d’hommes courageux et déterminés. N’attendons rien des faibles, des soumis et des ignorants !! Il en va de nos vies, de nos familles, de nos enfants, de notre peuple et de l’avenir de cette nation !

 

Et pour ce qui me concerne, je suis prêt à sacrifier ma vie !

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31 mai 2021 1 31 /05 /mai /2021 07:00
Le pasteur dit au premier ministre de l'Alberta: les chrétiens servent une "loi supérieure", une "autorité supérieure" au gouvernement.

Le pasteur Tim Stephens a été emprisonné pendant plusieurs jours pour avoir tenu des services religieux à l'intérieur en violation des verrouillages dans la province.

Vend 28 mai 2021 

 

CALGARY, Alberta, 28 mai 2021 ( LifeSiteNews ) - Un pasteur canadien emprisonné pour avoir défié les règles de santé du COVID-19 a appelé son premier ministre à "honorer Dieu et la liberté qu'il a accordée à son église et à tous les hommes".

 

"Permettez-moi de vous rappeler que moi, et d'autres chrétiens, faisons cela par conviction et obéissance à notre Seigneur Jésus-Christ. Rien de ce que nous pouvons souffrir ne se compare à ce qu'il a souffert pour nous", a écrit le pasteur Tim Stephens de la Fairview Baptist Church à Calgary, en Alberta, dans une lettre ouverte le 24 mai au sujet de "l'action excessive du gouvernement" adressée au premier ministre de l'Alberta Jason Kenney et à ses députes du Parti conservateur uni (UCP).

 

"L'église n'est pas un bâtiment, c'est un rassemblement ou une assemblée de croyants avec Jésus-Christ à sa tête. Le gouvernement humain peut tenter de forcer l'obéissance (à ses lois Ndlr.) au mépris des commandements du Christ, mais le royaume du Christ survivra et vaincra toutes les juridictions humaines. Les chrétiens servent une loi supérieure et une autorité supérieure.

 

Stephens a été arrêté devant sa famille et emprisonné le dimanche 16 mai, après avoir organisé un service religieux dans l'église qui allait à l'encontre des règles du gouvernement provincial qui, à l'époque, limitaient les services religieux à seulement 15 personnes. À partir d'aujourd'hui, les églises de l'Alberta ont droit à une capacité de 15 pour cent.

 

Stephens a été libéré la semaine dernière, obligé de se conformer à une ordonnance d'injonction du 6 mai maintenant modifiée émise par les services de santé de l'Alberta (AHS), en vertu de laquelle ses avocats disent qu'il a été illégalement arrêté.

 

Dans sa lettre ouverte à Kenney et aux membres de son caucus UCP, Stephens a écrit qu'il avait soutenu Kenney pour devenir premier ministre, croyant à l'époque qu'il défendait les valeurs conservatrices.

 

"Merci de travailler pour le bien de l'Alberta. Monsieur le premier ministre, moi et de nombreux autres membres de mes cercles vous avons soutenu, vous avons aidé à créer le Parti conservateur uni, puis vous êtes devenu notre premier ministre", a écrit Stephens. "Au moment d'écrire ces lignes, notre église a reçu l'ordre de fermer et je suis le troisième pasteur en Alberta à être emprisonné sous votre gouvernement. Quel était mon crime ? Exercer mes libertés fondamentales de religion, de réunion et de conscience, données par Dieu, en me rassemblant avec d'autres chrétiens en tant qu'église. Nous devons le faire en obéissant aux commandements de notre Seigneur Jésus-Christ."

 

Stephens a écrit que bien qu'il sache que "les décisions de Kenney aient été difficiles à prendre", il a souligné que jamais "jamais" les habitants de l'Alberta n'ont été soumis à "une telle règle de l'État".

 

« Nous ne sommes jamais allés pendant des mois avec des intrusions du gouvernement dans nos maisons, nos lieux de travail, nos mariages, nos funérailles, nos églises, nos entreprises et nos écoles. Ceux qui en supportent les conséquences devraient être ceux qui prennent les décisions. Responsabilité et liberté vont de pair. Vous nous avez pris les deux", a écrit Stephens.

 

"Vous n'êtes pas en mesure de gérer ma maison et de nous dire qui peut entrer ou qui nous pouvons visiter"

 

Dans sa lettre ouverte, Stephens a déclaré que lorsqu'il s'agit de s'occuper de son troupeau et de sa famille, "Personne n'est mieux équipé que moi pour faire des choix pour ma famille."

 

"Monsieur le premier ministre et mesdames et messieurs les députés, je sais que vous aimez beaucoup notre province. Mais personne n’aime ma famille plus que moi. Personne n’est mieux équipé que moi pour faire des choix pour ma famille. Vous n’êtes pas en mesure de microgérer mon ménage et de nous dire qui peut venir ou qui nous pouvons visiter", a écrit Stephens.

 

"Vous ne pouvez pas non plus aimer les gens de mon église plus que moi. Monsieur, ce sont les personnes que je visite à la naissance d'un bébé. Ce sont les gens que j'enterre quand ils meurent et je réconforte leurs proches en deuil. Ce sont les gens que je me suis donné pour les soigner, les enseigner, les diriger et les équiper. Je les connais tous par leur nom et je connais leur vie, leur famille, et nous vivons ensemble en tant que famille de foi. Ne sommes-nous pas les mieux placés pour prendre soin les uns des autres en cette période de crise plutôt que dans un État bureaucratique impersonnel?"

 

Stephens a poursuivi en écrivant que bien que son église ait été qualifiée de "nuisance publique pour avoir eu des événements soi-disant 'super-propagateurs'," il a vu "zéro transmission" de COVID-19 dans son église, mais a vu le mal causé par les verrouillages.

 

"Nous n'avons fait aucun mal. Pas un seul cas d'hospitalisation ou de soins intensifs ne peut être attribué à nos rassemblements. Ce que nous avons vu, c'est un préjudice beaucoup plus grave commis par votre gouvernement! Nous servons ceux qui sont blessés et vulnérables, ceux qui sont le plus affectés par vos politiques. Notre église est un centre de culte qui mène de la prévention de la dépression, du désespoir, de la toxicomanie et même du suicide. Plus important encore, c'est une communauté de joie en Christ, et de sel et de lumière au monde pendant cette période d'épreuve", a écrit Stephens.

 

Dans un communiqué de presse envoyé aujourd'hui, l'équipe juridique représentant Stephens devant le tribunal, le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), a annoncé que l'Alberta Health Services (AHS) avait "abandonné" une demande d'outrage au tribunal contre Stephens.

 

"Face à cette preuve indéniable, AHS a admis que la poursuite des poursuites et les tentatives de faire condamner le pasteur Stephens pour outrage au tribunal sont sans espoir. Cela abandonne complètement l'affaire contre le pasteur Stephens", a déclaré JCCF.

 

Selon le JCCF, AHS avait voulu le garder en prison jusqu'à ce qu'il accepte de "consentir à la violation de ses droits et libertés garantis par la Charte par les ordonnances de santé publique de l'Alberta".

 

La JCCF a noté que Stephens avait été arrêté sur la base d'une injonction du tribunal du 6 mai émise par le juge en chef adjoint Rooke, qui était dirigée contre le propriétaire du Whistle Stop Café à Mirror, en Alberta, qui avait défié les ordres de santé du gouvernement et ouvert pour le service de restauration.

 

L'injonction du 6 mai avait été initialement formulée pour s'appliquer à tous les Albertains et permettait à la police d'arrêter toute personne qui enfreignait les règles du COVID-19, mais a été modifiée peu de temps après.

 

"Changer de cap et honorer Dieu et la liberté qu'il a accordée à son église et à tous les hommes"

 

Stephens a écrit que Kenney et son gouvernement devraient considérer l’injonction judiciaire du 6 mai comme la "goutte d’eau qui fait déborder le vase pour réveiller votre gouvernement à sa tyrannie croissante".

 

"Je vous appelle, en votre qualité de chef de file de cette province, à changer de cap et à honorer Dieu et la liberté qu'il a accordée à son église et à tous les hommes. Que Dieu vous accorde grâce et miséricorde pour comprendre la vérité en cet âge de confusion", a écrit Stephens.

 

Le premier pasteur chrétien à être arrêté et emprisonné a été le pasteur James Coates de la Grace Life Church à Spruce Grove, en Alberta. Il a été emprisonné pendant plus d'un mois.

 

Le procès de Coates a été ajourné au 7 juin, date à laquelle un juge rendra sa décision sur les "violations de la Charte et réparation potentielle".

 

En plus de Coates, le pasteur Artur Pawlowski de l'église Cave of Adullam, également située à Calgary, a été arrêté sur une autoroute et emprisonné pour avoir enfreint les règles de santé COVID-19.

 

Il a été libéré de prison après un sursis de trois jours et défend actuellement sa cause devant les tribunaux.

___________

Note du Blog Christ-Roi. Les pasteurs protestants qui ne croient pas en la Présence réelle nous font la leçon; ils résistent plus que les prêtres catholiques dociles aux mesures covid (au point de supprimer l'eau bénite, mettre le masque lors de la consécration et pour distribuer l'Eucharistie), eux qui pourtant croient que Jésus est réellement présent dans la sainte Eucharistie (Il ne devrait donc pas rendre malade !) 

Ce magnifique témoignage de foi venant de pasteurs protestants devrait interroger nos épiscopes sur leurs propres croyances.

 

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29 mai 2021 6 29 /05 /mai /2021 00:00
Bienheureux Aymard, Inquisiteur Martyr (+1242)

Inquisiteur massacré avec ses compagnons par les Albigeois en 1242, à Avignonnet-Lauraguais en Haute-Garonne , près de Toulouse.

Aymard est un prénom d'origine germanique, qui signifie "maison" et "important".

Aymard appartenait à l'ordre des Frères prêcheurs fondé par saint Dominique, et avait été chargé à la tête de onze moines de lutter contre l'hérésie cathare qui envahissait le Midi de la France. Ils logeaient au château commandé par un parent de Raymond VII, comte de Toulouse.

Un chef albigeois, Roger de Mirepoix, fomenta l’assassinat pensant ainsi faire disparaître l’Inquisition. Le château où logeaient les moines fut attaqué par une quarantaine de cavaliers qui descendaient de Montségur, et les neuf membres du tribunal plus deux autres ecclésiastiques qui se trouvaient là, furent massacrés pendant la nuit de l’Ascension. Leurs cadavres furent enterrés au couvent des Jacobins à Toulouse.

Aymard et ses compagnons seront déclarés martyrs au XIVème siècle et le père Lacordaire les sortira de l’oubli au XIXème.

Aymard était donc un simple appariteur et non un juge comme on le dit souvent; l’exécution a eu lieu à Avignonet et non à Avignon, comme on le dit souvent aussi.

 

Sources : 1, 2, 3

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28 mai 2021 5 28 /05 /mai /2021 15:13
Utiliser la peur lors de la crise du Covid était "totalitaire", reconnaissent les scientifiques au Royaume-Uni

Au Royaume-Uni, les membres du Comité d’études comportementales sur la grippe pandémique (SPI-B) expriment des regrets concernant des méthodes qu’ils jugent « contraires à l’éthique »

 

Traduction augmentée de l’article du Telegraph du 14 mai 2021

 

Les scientifiques membres du comité SPI-B qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement de la population durant la pandémie de Covid ont admis que leur travail était « contraire à l’éthique » et « totalitaire », d’après l’ouvrage récent de Laura Dodsworth, A State of fear.

 

Faire peur pour augmenter le niveau perçu de menace personnelle

 

On apprend avec stupeur dans cet article que le SPI-B a averti en mars de l’année dernière que les ministres devaient augmenter « le niveau perçu de menace personnelle » du Covid-19 car « un nombre substantiel de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement ».

 

Gavin Morgan, un psychologue du SPI-B, déclare :

 

« Il est clair que l’utilisation de la peur comme moyen de contrôle n’est pas éthique. L’utilisation de la peur a des relents de totalitarisme. Ce n’est pas une position éthique pour un gouvernement moderne. Je suis par nature une personne optimiste, mais tout cela m’a donné une vision plus pessimiste des gens »

 

A State of fear, un an d’enquête

 

Ces propos tirés du livre de Laura Dodsworth, A State of fear, sont le résultat d’un an d’enquête sur les tactiques du gouvernement britannique. Les ministres ont été accusés à plusieurs reprises d’avoir exacerbé la menace de la pandémie pour justifier les mesures de confinement et contraindre le public à les respecter.

 

« La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique »

 

Un scientifique du SPI-B a même déclaré à Laura Dodsworth : « En mars [2020], le gouvernement était très inquiet de la conformité et pensait que les gens ne voudraient pas être enfermés. Des discussions ont eu lieu sur le fait que la peur était nécessaire pour encourager la conformité, et des décisions ont été prises sur la façon d’augmenter la peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique. »

 

« L’utilisation de la peur a définitivement été éthiquement discutable. C’était comme une expérience bizarre. En fin de compte, ça s’est retourné contre nous parce que les gens ont eu trop peur. »

 

Un autre membre du SPI-B a déclaré :

 

« On pourrait appeler la psychologie “contrôle de l’esprit”. C’est ce que nous faisons… Nous essayons clairement de le faire de manière positive, mais cela a été utilisé de manière néfaste dans le passé. »

 

Un autre scientifique a prévenu que :

 

« les gens utilisent la pandémie pour s’emparer du pouvoir et faire passer des choses qui ne se produiraient pas autrement… Nous devons faire très attention à l’autoritarisme qui s’insinue »

 

La militarisation de la psychologie des foules

 

Un autre membre du SPI-B a déclaré qu’il avait été « stupéfait par la militarisation de la psychologie comportementale » pendant la pandémie, et que « les psychologues n’ont pas semblé remarquer quand ils ont cessé d’être altruistes pour devenir manipulateurs. Ils ont trop de pouvoir et cela les enivre ».

 

Steve Baker, le vice-président du groupe de députés conservateurs Covid Recovery, a déclaré :

 

« S’il est vrai que l’État a pris la décision de terrifier le public pour obtenir le respect des règles, cela soulève des questions extrêmement sérieuses sur le type de société que nous voulons devenir »

 

« Si nous sommes vraiment honnêtes, est-ce que je crains que la politique du gouvernement d’aujourd’hui ne joue avec les racines du totalitarisme ? Oui, bien sûr, c’est le cas. »

 

Et en France, le gouvernement manipule-t-il les Français ?

 

Il est plus que légitime de se poser la question de l’usage de la peur en France. Durant le premier confinement en mars 2020, on apprenait d’un article de France Bleu qu’une équipe de chercheurs spécialisée en sciences comportementales était engagée auprès des services du gouvernement pour les aider dans la communication et la gestion de crise. L’article s’intitule « Coronavirus : comment les sciences comportementales aident le gouvernement à gérer la crise sanitaire », le titre ne laisse place à aucune ambiguïté. On y apprenait à cette occasion que « l’attestation de déplacement dérogatoire est une vraie stratégie comportementale », selon l’un des chercheurs, Olivier Oullier, neuroscientifique.

 

Manipulation des foules

 

Plus loin dans cet article, Alice Soriano, docteur en psychologie cognitive, déclare « une communication efficace du point de vue des sciences comportementales consisterait donc à mettre en lumière l’adoption du confinement par la majorité des Français pour attirer les autres individus vers ce comportement ». La manipulation des foules est au coeur de la gestion des comportements durant cette crise sanitaire.

 

✰ Magazine NEXUS : 112 pages, 100 % inédit, 100 % indépendant !

 

Source

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28 mai 2021 5 28 /05 /mai /2021 11:53

Dans le post de ce jour, La Minute de Ricardo informe qu'"à l'initiative de Reiner Fuellmich, l'un des plus plus grands avocats allemands, membre du barreau américain, débute le 3 juillet le procès Nuremberg 2. C'est un vaste groupe de travail composé de plus de mille avocats, et plus de 10 000 experts médicaux qui ont engagé des poursuites judiciaires contre le CDC, le Centre de contrôle des maladies aux Etats-Unis, contre l'O.M.S., Bill Gates et sa machinerie infernale, et contre le Groupe de Davos, pour crime contre l'Humanité.

 

"Reiner Fuellmich et son équipe dénoncent le test PCR  défectueux, ainsi que la fraude à la comorbidité, ce qui est demandé aux médecins d'estampiller tout décès covid, quelque en soit l'origine."

Source : Reiner Fuellmich: ce héros! La Minute de Ricardo | LeMediaen442

 

Nuremberg 2 : Le procès pour crime contre l'humanité s'ouvre le 3 juillet 2021
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27 mai 2021 4 27 /05 /mai /2021 19:11
93 médecins israéliens font un appel urgent:  ne donnez pas de vaccin Corona aux enfants :

Pas moins de 93 médecins israéliens ont signé une lettre exigeant que les vaccins corona ne soient pas administrés aux enfants. Les médecins soulignent que l'opinion dominante au sein de la communauté scientifique est que le vaccin ne peut pas provoquer d'immunité de groupe. Pour cette raison, disent les médecins, la vaccination des enfants n'est pas justifiée.

 

Ils ajoutent qu'on ne sait toujours pas si le vaccin peut empêcher le virus de se propager et pendant combien de temps il protégera. Les médecins écrivent que de nouvelles variantes continuent d'apparaître qui peuvent être résistantes au vaccin.

 

"Nous ne devons pas mettre les enfants en danger par la vaccination de masse contre une maladie qui n'est pas dangereuse pour eux", écrivent les 93 médecins. "Il ne peut être exclu que le vaccin puisse provoquer des effets indésirables à long terme qui ne sont pas encore connus, y compris des effets sur la croissance, le système reproducteur ou la fertilité."

 

Les enfants devraient pouvoir revenir à la normale rapidement, il devrait y avoir un terme aux tests fréquents et à l'isolement, et il ne devrait y avoir aucune discrimination entre les personnes vaccinées et non vaccinées dans les espaces publics, ont déclaré les médecins.

 

Nous n'avons toujours pas une image complète des effets secondaires graves et rares du vaccin car de nombreuses personnes vaccinées n'ont pas signalé les effets secondaires, écrivent-ils. «Ne vous précipitez pas pour vacciner les enfants tant que le tableau n'est pas complet. Corona ne présente aucun danger pour les enfants, et la première règle en médecine est: "pas de mal". "

 

"Nous sommes d'avis que nos enfants devraient retourner à leur ancienne vie immédiatement et ne devraient pas être vaccinés contre Corona", soulignent les 93 médecins. Ils soutiennent que les personnes vaccinées peuvent également être infectées et infecter d'autres personnes. "Nous devons arrêter de pointer du doigt les non-vaccinés."

 

Source: IsraelNationalNews| UncutNews

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27 mai 2021 4 27 /05 /mai /2021 18:10
La mort silencieuse des vaccinés, signe avant-coureur d'une catastrophe humaine ?

Source (traduction) : JournalistenWatch

 

De plus en plus de morts, les "héros de la vaccination", fertilisent les cimetières de la pandémie - mais contrairement aux décès de l'affaire Corona (présumés et réels), exploités avec empressement par les politiques, nous n'apprenons pas grand-chose sur les véritables origines de ces décès, si ce n'est qu'ils sont survenus à proximité temporelle de la vaccination. Le nombre de personnalités connues, voire éminentes, qui ont été vaccinées avant de mourir, à un moment ou à un autre au cours des cinq derniers mois, laisse entrevoir un champ d'ombre aux dimensions vraisemblablement effrayantes - et contrairement au Covid lui-même, il s'agit principalement de personnes non âgées.

En effet, pour le récit de la mortalité covidique, on a utilisé pratiquement les morts cumulées de deux saisons de grippe (qui ont été annulées en même temps), et à l'inverse, les décès résultant d'une vaccination expérimentale, qui a été mise sur le marché et prête à être utilisée en masse en moins d'un huitième de la durée de développement normalement prescrite pour cela, sont plutôt un tabou caché au prix des efforts de propagande et de politique d’information les plus importants. Dans la perception, les nombreux arbres ne doivent en aucun cas devenir une forêt - en d'autres termes, exactement le contraire de la Corona elle-même.

La semaine dernière est mort William Shakespeare, non seulement l'homonyme du célèbre prince poète britannique, mais aussi la deuxième personne après lui à avoir attiré l'attention des médias internationaux - parce qu'il a été la première personne à recevoir la première vaccination Covid "indépendante du fabricant" en décembre. Il a survécu à la vaccination pendant cinq mois, mais il est maintenant décédé d'une attaque à l'âge de 81 ans. La BBC britannique, suivant le même schéma que les médias de la campagne de vaccination en Allemagne, s'est empressée d'absoudre la mort de Shakespeare de tout soupçon de lien avec la vaccination : Il n'y avait "aucun lien avec la pandémie de Corona" ; de plus, il avait été traité en tant que patient de longue durée à l'hôpital de Coventry.

Dans les relations publiques encourageantes qui ont suivi sa vaccination, dans lesquelles il s'est extasié sur le fait qu'il s'agissait d'un vaccin "merveilleux" et "révolutionnaire", il n'a pas été fait mention de cette fragilité. Selon Bild, Shakespeare a littéralement déclaré à l'époque que celle-ci "pourrait faire toute la différence dans nos vies à partir de maintenant". C'est le début du changement de nos vies et de notre mode de vie". Le fait que ce témoignage soit mort à un stade précoce fait néanmoins réfléchir beaucoup de gens.

 

Du témoignage de la vaccination à victime de la vaccination ?

Il n'est pas permis de poser cette question publiquement (et celui qui le fait néanmoins est considéré comme un rabat-joie ou un alarmiste), mais que se passerait-il si les vaccins génétiquement conçus utilisés pour la première fois dans les vaccins Covid développaient effectivement un effet à moyen ou long terme (cela ne peut pas être testé pratiquement en raison du peu de temps disponible), qui s'avérerait menaçant ou même potentiellement mortel ? Nous assistons actuellement à ce que la moitié de l'humanité, par sa participation docile à la campagne de vaccination, montre à ses dirigeants politiques à l'esprit noble et à la science altruiste et profondément humaniste une marque de confiance sans précédent (tant qu'elle ne se laisse pas injecter par la coercition indirecte ou directe). Et si cette confiance s'avérait être une erreur fatale ?

Il peut y avoir des situations dans lesquelles il faut prendre des risques parce que l'alternative est nécessairement infiniment plus mortelle ou nuisible. Ce serait certainement le cas si Corona avait été une sorte d'Ebola, une pandémie si mortelle pour potentiellement tout le monde que même les effets secondaires les plus graves et les effets tardifs potentiels des vaccins expérimentaux sont acceptés parce qu'ils promettent toujours plus d'espoir que d'essayer d'échapper à un véritable virus mortel. Mais pour un virus qui, au-delà de l'accumulation de chiffres et de l'hystérie délibérée, n'est objectivement pas différent dans ses effets des précédentes vagues de grippe plus sévères ou (même simplement moyennes), c'est tout autre chose.

On ne peut plus nier qu'il s'agit d'une thérapie génique plutôt que d'une vaccination, car aucun des vaccins de Covid ne répond aux exigences fixées pour un vaccin : Il ne protège pas le porteur contre la réinfection, il ne protège pas contre la transmission du virus, il ne fournit qu'une charge d'anticorps significative, temporaire et éphémère, dans l'organisme - ET il est évident qu'il ne protège même pas contre les "cours sévères" avec la fiabilité requise. Cela signifie de manière réaliste que toute personne vaccinée qui reçoit Corona et qui bénéficie d'une évolution bénigne, attribuera ce résultat aux vaccins ; cependant, rien ne prouve qu'elle aurait connu la même évolution bénigne sans la vaccination.

 

Vague de décès chez les personnes vaccinées à partir de l'automne ?

Il n'y a pas lieu de s'embarrasser des déclarations fantaisistes des prédicateurs de catastrophes de la scène de la science alternative évoquée dans divers blogs de panique, qui prophétisent, par exemple, que les premiers vaccinés commenceront progressivement à mourir dès l'automne, avant qu'il n'y ait ensuite une véritable mort de masse, à laquelle pas un seul vacciné ne survivra dans les deux ans, parce que le mode d'action de l'ARNm altère l'ADN ou provoque des troubles métaboliques intracellulaires. Même si certains chercheurs fondamentaux bien connus ont rejoint ces apocalyptiques, comme le prix Nobel de médecine français Luc Montagnier, la situation ne sera probablement pas si mauvaise.

Cependant, il existe également des voix sérieuses qui ont du poids et qui s'inquiètent sérieusement de l'innocuité des vaccins à ARNm proposés au public depuis des mois. La semaine dernière, par exemple, Dimitris Giannakopoulos, l'un des entrepreneurs pharmaceutiques les plus connus de Grèce, a partagé sur Instagram qu'il ne se ferait pas vacciner contre le Covid-19. Normalement, ce refus est justifié par le temps de développement extrêmement court du vaccin et les risques qui en découlent ; la raison de M. Giannakopoulos était toutefois différente.

 

Le PDG d'une entreprise pharmaceutique se méfie des vaccins à ARNm

Il a écrit : "De nombreuses personnes me demandent si j'ai été vacciné et avec quel vaccin. Non, je n'ai pas été vacciné et je ne serai pas vacciné. Pas parce que j'ai peur des effets secondaires, mais parce que je ne veux pas modifier mon ADN." Apparemment, il faisait référence aux vaccins à ARNm, selon le célèbre portail "heise.de", qui commente également : "Cela ne devrait pas être dû à un manque d'expertise. Giannakopoulos est président du conseil d'administration de la société pharmaceutique Vianex et également PDG de la société." Le fait que les vaccinations "modifient" l'ADN a jusqu'à présent toujours été considéré comme une théorie du complot non scientifique - même si, bien entendu, les composants du génome peuvent être modifiés et échangés par celles-ci.

Mais que faire si Giannakopoulos sait ou soupçonne quelque chose ici que les grandes masses de personnes vaccinées dans le monde entier ignorent ou ne connaissent pas ? En toute confiance et sobriété : espérons que nous ne nous retrouverons pas dans quelques mois ou années dans un cauchemar, tel que nous ne l'avons connu que dans les films chocs hollywoodiens à la "World War Z" - et qu'une véritable catastrophe mondiale n'éclate alors, où les gens meurent comme des mouches - non pas d'un virus, mais des conséquences imprévisibles d'une vaccination expérimentale. (DM)

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26 mai 2021 3 26 /05 /mai /2021 10:46

Le vaccin donnerait l'immunité collective, ressasse en boucles la propagande pharmaco-politico-médiatique depuis un an. Pourtant, selon cette information publiée aujourd'hui par Sud-Ouest, au Royaume-Uni, un des pays les premiers à avoir vacciné, la "forte" propagation du variant indien remet en question la stratégie vaccinale : 

La stratégie vaccinale remise en question du fait de la "forte" propagation du "variant indien" au Royaume-Uni, pays parmi les premiers à avoir vacciné

Alors que le Royaume-Uni est le pays le plus vacciné d’Europe, la propagation du variant indien sur son territoire remet en cause la stratégie vaccinale et de déconfinement

Trop vite, trop fort ? Alors que le Royaume-Uni semblait sortir de la crise sanitaire en étant le pays le plus vacciné en Europe et en déconfinant dès le 12 avril dernier avec la réouverture des terrasses et la réouverture des pubs et restaurants en intérieur le 17 mai, la réalité du variant indien a vite rattrapé les espoirs d’un retour à la vie normale.

 

La forte progression du variant B.1.617.2, considéré comme très contagieux et responsable de la deuxième vague de Covid meurtrière qui a frappé l’Inde, inquiète les autorités de santé. L’institut allemand de veille sanitaire Rober Koch a classé dimanche le Royaume-Uni comme « zone de mutation des variants ». L’Allemagne a pris dans la foulée des mesures de restrictions en n’autorisant que les voyageurs et ressortissants allemands en provenance du Royaume-Uni à entrer dans son territoire. Ces Allemands sont aussi soumis à une période de quarantaine de deux semaines à leur retour, même si le test est négatif.

 

Propagation en hausse

De son côté, la France pourrait emboîter le pas de l’Allemagne en prenant des « mesures un peu plus fortes » que celles actuellement en vigueur, selon le ministre des Affaires étrangères, Jen-Yves Le Drian. « Il nous reste une interrogation britannique. Le variant indien au Royaume-Uni est en train de poser des problèmes », a déclaré le ministre sur RTL.

 

Ce variant pose problème car selon le Guardian, ses contaminations ont augmenté de 160 % rien que sur la dernière semaine écoulée. L’agence sanitaire Public Healt England a recensé 3 424 cas confirmés au jeudi 20 mai, contre 1 313 cas une semaine plus tôt. Ces chiffres pourraient même être sous-estimés, en raison du décalage entre la collecte des échantillons des tests et l’identification du variant lors du séquençage.

 

Pourtant, le Royaume-Uni est le pays d’Europe le plus avancé dans la vaccination, avec plus de 38 millions de personnes ayant reçu au moins une dose (soit 57,1 % de la population) et près de 23 millions ayant reçu deux doses (34,4 % de la population) au 23 mai, selon Our World in Data.

 

86 foyers dans le pays

Si le nombre de cas augmente, les autorités s’inquiètent aussi du nombre de foyers à travers le pays. Selon la BBC, le variant indien a été identifié dans au moins 86 lieux différents au Royaume-Uni. Il circule particulièrement chez les jeunes et pourrait prochainement devenir le virus majoritaire sur le territoire.

Source : Sud-Ouest

 

Dans quelle mesure la stratégie vaccinale est-elle remise "en cause" au Royaume-Uni ?

 

Toujours selon cette information Sud-Ouest, le gouvernement britannique n'est pas prêt à reconnaître l'erreur du tout vaccin qui crée des mutants sans place aucune pour les traitements (!) puisque "pour ralentir la propagation du variant, les autorités britanniques pourraient remettre leur stratégie vaccinale en question, en réduisant l’écart entre les deux doses de vaccin afin de garantir une meilleure immunité. Dès mi-mai, Boris Johnson avait affirmé vouloir réduire le délai de douze à huit semaines entre les deux doses de vaccin et « accélérer l’administration des deuxièmes doses restantes aux personnes âgées de plus de 50 ans et aux personnes vulnérables »." (Fin de citation) Pensent-ils sincèrement "ralentir" la propagation du variant ou des variants en réduisant le temps entre les piqures ? Pourquoi autant de désinvolture quand la vie des gens est enjeu ? Quid de l'hécatombe post-vaccinale (PDF du Docteur Gérard Delépine), des AVC, des thromboses,  des effets secondaires graves ? Rien. Quid de l'alerte en avril dernier par des scientifiques et des médecins du monde entier de l'enclenchement d'un cercle vicieux du fait de la vaccination qui crée des mutants plus contagieux et plus virulents, le résultat de ce que le Docteur Geert Vanden BOSSCHE appelle la "fuite immunitaire", c'est-à-dire une pandémie incontrôlable ? Rien ! 


 

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25 mai 2021 2 25 /05 /mai /2021 07:11

Le "complot qui n'existe pas" voit tous les projets décrits il y a déjà plus de deux siècles se réaliser... Tiens donc !

 

Comme le veulent le Forum économique de Davos et Klaus Schwab... il n'y aura plus de maison individuelle, plus de voiture, plus de CDI, des CDD à vie, la fin de la propriété, la retraite à 70 ans. Le Premier ministre espagnol adopte un plan visant à "faire de l’Espagne en 30 ans un des pays les plus modernes et prospères de l’Union européenne" (sic) !

 

Source: Se Réveiller - C'est S'informer Twitter | SputnikNews

Complot : plus de maison individuelle, plus de voiture, plus de CDI, CDD à vie, fin de la propriété, retraite à 70 ans : le Premier ministre espagnol adopte un plan visant à "faire de l’Espagne en 30 ans un des pays les plus modernes et prospères de l’Union européenne"

Jeudi 20 mai, le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a présenté un plan de 675 pages intitulé Espagne 2050, fondements et propositions pour une stratégie nationale à long terme invitant à entamer une réflexion collective sur les défis du pays après la pandémie pour savoir quel type de pays «nous voulons être dans 30 ans».

 

«La vision de l’avenir doit être celle de l’État et non du gouvernement. Le présent nous occupe, mais nous devons également nous soucier de l'avenir», a lancé le Premier ministre.

Des réformes incendiaires

Le journal El Mundo déduit que conformément au plan de Sanchez en 2050, les Espagnols n’auront ni voiture ni maison personnelles et devront partager un appartement. Ils seront obligés de renoncer aux avions pour des voyages de courte distance en utilisant le train. En matière d’emploi, ils auront un statut autonome ou en CDD et pourraient avoir à travailler jusqu'à 70 ans avant de partir à la retraite. Ils devront manger moins de viande et payer plus d'impôts pour boire ou fumer.

 

Le document, développé avec la contribution de plus de 100 experts de divers domaines et origines idéologiques, est désormais ouvert aux amendements des partis politiques, des autorités locales et régionales, des syndicats et des groupes d'employeurs, des organisations à but non lucratif et des universités.

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Note du Blog Christ-Roi : Pas de referendum pour savoir si le peuple est d'accord avec ce projet communiste digne de l'URSS de Lénine et Staline, promesse de lendemains radieux de prospérité  économiques... Les Banksters et autres oligarques ont de beaux jours devant eux.

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Illuminés de Bavière : l'illuminisme au XVIIIe siècle

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13 mai 2021 4 13 /05 /mai /2021 20:20

Une nouvelle étude a confirmé que les personnes qui ont été vaccinées contre le COVID produisent des protéines de pointe excessives capables de passer la barrière hémato-encéphalique et de causer des dommages irréparables au cerveau. Les documents de Pfizer préviennent que les personnes vaccinées excrètent en fait ces protéines de pointe excessives, ce qui expose les personnes non vaccinées à des risques…

Pfizer confirme que les personnes vaccinées contre le COVID peuvent transmettre des protéines de pointe et nuire aux personnes non vaccinées

LOS ANGELES, Californie, 3 mai 2021 (LifeSiteNews) – Dans leur dernière note d’information, les America’s Frontline Doctors (AFLDS) ont mis en garde contre la capacité des protéines de pointe issues des vaccins expérimentaux de thérapie génique COVID-19 à 1.) traverser la « barrière hémato-encéphalique » en provoquant des dommages neurologiques, 2.) être « excrétées » par les vaccinés, provoquant des maladies chez les enfants et les adultes non vaccinés, et 3.) provoquer des saignements vaginaux irréguliers chez les femmes.

 

Publié la semaine dernière et intitulé « Identifying Post-vaccination Complications & Their Causes : an Analysis of Covid-19 Patient Data« , l’objectif déclaré du document est de « fournir des informations supplémentaires aux citoyens concernés, aux experts de la santé et aux décideurs politiques sur les événements indésirables et autres problèmes post-vaccination résultant des trois vaccins expérimentaux COVID-19 actuellement administrés sous EUA (autorisation d’utilisation d’urgence) » par la Food and Drug Administration (FDA) américaine.

 

L’organisation à but non lucratif a mis en évidence les milliers d’événements indésirables liés à ces « vaccins » et recensés par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC). « Pourtant, ces complications n’ont reçu qu’une fraction de l’attention accordée à la controverse de J&J sur la coagulation du sang« , ont-ils déploré avec consternation, en demandant « pourquoi ? ».

 

En examinant de plus près ces données, l’AFLDS présente « certaines catégories majeures de préoccupations qui n’ont pas encore été abordées publiquement par la FDA ou le CDC », affirmant que le fait que ces organismes de réglementation « ne tiennent pas compte de ces inconnues et d’autres « inconnues connues » est un manquement à la recherche médicale fondamentale ».

 

Ils décomposent leurs catégories générales de préoccupations comme indiqué ci-dessous :

 

Tout d’abord, il existe des craintes importantes concernant la distribution à grande échelle de ces nouveaux vaccins, qui font appel à une nouvelle technologie et ne sont qu’expérimentaux sans l’approbation complète de la FDA. Au lieu d’utiliser une réponse antigénique atténuée – comme c’est le cas avec les vaccins classiques – ces agents expérimentaux introduisent dans l’organisme une protéine dite « spike ».

 

« Il faut des années pour être sûr que quelque chose de nouveau est sûr », confirme le document de l’AFLDS. « Personne ne connaît définitivement les implications à long terme sur la santé du corps et du cerveau, en particulier chez les jeunes, liées à cette protéine de pointe. De plus, si des problèmes documentés liés à cette protéine surviennent, il n’y aura jamais aucun moyen d’inverser les effets indésirables chez les personnes déjà vaccinées. »

 

Deuxièmement, contrairement aux vaccins conventionnels, ces protéines de pointe, ainsi que les « nanoparticules lipidiques », ont la capacité de traverser la « barrière hémato-encéphalique » qui assure une protection spéciale de ces zones sensibles du corps.

 

« Il n’y a tout simplement pas eu assez de temps pour savoir quels problèmes cérébraux et à quelle fréquence un problème cérébral se développera à partir de cela », avertit le document.

 

Les risques d’une telle pénétration comprennent « une inflammation et une thrombose (coagulation) chroniques dans le système neurologique, contribuant à des tremblements, une léthargie chronique, un accident vasculaire cérébral, une paralysie de Bell et des symptômes de type SLA ». Les nanoparticules lipidiques peuvent potentiellement fusionner avec les cellules du cerveau, entraînant une maladie neurodégénérative retardée. Et la protéine spike induite par l’ARNm peut se lier aux tissus cérébraux 10 à 20 fois plus fortement que les protéines spike qui font (naturellement) partie du virus original. »

 

Troisièmement, étant donné que ces vaccins expérimentaux produisent plusieurs trillions de protéines de pointe chez leurs destinataires, ces individus vaccinés « peuvent excréter certaines de ces particules (de protéines de pointe) à des contacts proches », provoquant ainsi la maladie chez eux.

 

Dans une correspondance électronique avec LifeSiteNews, le Dr Simone Gold, fondatrice de l’AFLDS, a dirigé cet auteur vers un tweet du 29 avril où elle a posté un document des essais expérimentaux de Pfizer dans lequel le géant pharmaceutique « reconnaît ce mécanisme » d’excrétion potentielle, a-t-elle écrit.

 

Comme l’indique le document, on peut être « exposé à l’intervention de l’étude en raison d’une exposition environnementale », notamment « par inhalation ou contact cutané » avec une personne participant à l’étude ou avec une autre personne ayant été exposée de la même manière.

 

Et cela, selon l’AFLDS, peut être dangereux. Comme le poursuit la note d’information, « les protéines de pointe sont pathogènes (« causent des maladies ») tout comme le virus lui-même ». En outre, ces « protéines de pointe se lient plus étroitement que le virus entièrement intact » et, par conséquent, des cas dans le monde entier de « péricardite, de zona, de pneumonie, de caillots sanguins dans les extrémités et le cerveau, de paralysie de Bell, de saignements vaginaux et de fausses couches ont été signalés chez des personnes se trouvant à proximité de personnes vaccinées ». Cette excrétion « semble également être à l’origine d’une grande variété de maladies auto-immunes (où le corps attaque ses propres tissus) chez certaines personnes ».

 

En outre, d’autres dangers plus graves sont possibles, même pour les personnes non vaccinées, du fait que ces « protéines de pointe peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique, contrairement aux vaccins traditionnels. »

 

Quatrièmement, cette excrétion rend les enfants vulnérables s’ils se trouvent à proximité de parents et d’enseignants qui ont reçu ces vaccins expérimentaux. Bien que la menace que représente le COVID-19 pour les jeunes soit à juste titre décrite comme « non pertinente« , avec notamment un taux de survie de 99,997% pour les moins de 20 ans, l’AFLDS craint que certains enfants ne deviennent symptomatiques en raison de cette proximité avec les vaccinés. Il existe alors un risque que les « bureaucrates de la santé publique » utilisent ces cas pour « spéculer que la maladie d’un enfant est liée à une « variante » du SRAS-CoV-2″, alors qu’elle résulte d’un contact avec des adultes vaccinés.

 

« Notre autre préoccupation est que les enfants pourraient développer une maladie auto-immune chronique à long terme, y compris des problèmes neurologiques, en raison du fait que les enfants ont des décennies devant eux et des billions de protéines de pointe mentionnées ci-dessus. »

 

Cinquièmement, « l’AFLDS a connaissance de milliers de rapports faisant état de saignements vaginaux, de saignements vaginaux post-ménopausiques et de fausses couches après la vaccination par le COVID-19, ainsi que de rapports anecdotiques faisant état d’effets indésirables similaires chez les personnes en contact étroit avec les vaccinés ». Bien qu’à ce stade, l’organisation de médecins indépendants « ne puisse pas faire de commentaire définitif sur les contacts étroits », si ce n’est qu’elle mentionne qu’elle « a entendu des rapports à ce sujet dans le monde entier », les nombreux incidents signalés de saignements vaginaux post-vaccination établissent un « lien clair entre le vaccin et les saignements irréguliers. »

 

« Malgré cette preuve évidente, les modifications du cycle menstruel ne figuraient pas dans la liste des effets secondaires courants de la FDA chez les participants à la phase trois de l’étude clinique. La santé reproductive des femmes doit être prise au sérieux plutôt que d’être balayée d’un revers de main par des responsables de la santé publique motivés par leur agenda », peut-on lire dans le mémoire.

 

Enfin, reconnaissant « l’incitation économique irrépressible des sociétés pharmaceutiques » à commercialiser des vaccins infantiles contre le COVID, des rappels et autres, inutiles et dangereux, l’AFLDS insiste pour que « les experts en santé publique s’arrêtent et évaluent les données sur les effets secondaires possibles des vaccins et les questions post-vaccinales connexes avant qu’il ne soit trop tard ».

 

 

 

Source: ActuIntel | LifeSiteNews

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13 mai 2021 4 13 /05 /mai /2021 14:00
Le vaccin est la pandémie: PLUSIEURS pays constatent une augmentation du nombre de décès de covid après le début des vaccins contre la covid

Un total de 26 pays et de comptages font état d' une augmentation massive des "cas", des blessures et des décès de coronavirus de Wuhan (Covid-19) maintenant que les "vaccins" sont largement utilisés.

 

Les îles d'Antigua-et-Barbuda dans les Caraïbes, qui ont commencé à vacciner les gens le 17 février, ont toutes deux signalé une forte augmentation des décès dus au virus chinois - le plus élevé, en fait, depuis le début de la plandémie. Il a fallu deux mois complets pour que le nombre de cas revienne aux niveaux d'avant la vaccination.

 

Au Brésil, où les vaccins contre la grippe de Wuhan ont commencé à être administrés le 16 janvier, les décès attribués au nouveau virus ont explosé. Quatre mois plus tard et ces décès sont toujours massivement plus élevés qu'ils ne l'étaient avant la sortie des coups.

 

Le Paraguay connaît une hausse similaire. Son programme de vaccination a commencé le 21 février et les décès ont continué d'augmenter de façon exponentielle. Plus les vaccins sont administrés, plus les décès sont signalés.

 

En passant au Qatar, qui a commencé à piquer les gens le 28 janvier, une augmentation correspondante des décès dus aux vaccins est signalée. Cela fait plus de trois mois que les injections ont commencé et le nombre de décès n'est pas revenu aux niveaux d'avant le vaccin.

 

Les Maldives, la Mongolie, l’Estonie, le Gibralter, l’Inde et, oui, les États-Unis, font tous état de données similaires.

Partout où les injections de virus chinois sont administrées, vous y trouverez la mort et la maladie qui sévissent.

 

Pour en savoir plus, visitez ChemicalViolence.com .

 

Le culte pro-vax dit que la corrélation n'égale pas la causalité

 

Malgré une tendance claire et évidente à l'horreur derrière le bus de vaccination, le culte pro-vaccination insiste sur le fait que rien de tout cela ne prouve que les injections étaient responsables. C'est juste une coïncidence que juste après les vaccinations massives, les taux de maladie et de mortalité montent en flèche.

 

"Oui, les données sont associatives, mais rejeter les données UNIQUEMENT pour ces raisons n'est pas la façon dont la méthode scientifique fonctionne", a tweeté une personne. "C'est plutôt une dissonance cognitive."

 

De nombreux médecins de première ligne aux soins intensifs se manifestent pour signaler qu'eux aussi observent une augmentation majeure de la maladie et de la mort parmi ceux qui ont été récemment vaccinés contre les germes chinois.

 

Les gens piqués inondent maintenant les salles d'urgence, et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) attribuent tout cela au "virus", qualifiant ces événements d'infections “révolutionnaires”.

 

Cette position clownesque est quelque chose que nous attendions de la CDC, une société privée, qui n'admettra jamais en aucune circonstance qu'une vaccination cause des blessures ou des préjudices.

 

Ce sont les vaccinations, et non un "variant", qui inaugurent la "troisième vague" du génocide chinois. Et pourtant, le gouvernement continuera à blâmer le "virus", ainsi que ceux qui refusent d'être vaccinés.

 

On estime que très bientôt, le nombre de décès après vaccination augmentera considérablement pour atteindre des dizaines de milliers. À partir de là, le ciel est la limite en termes de millions de personnes qui potentiellement finiront par perdre la vie à cause des injections chinoises.

 

Cette troisième vague de décès provoqués par le vaccin va plus que probablement se répercuter dans un premier temps, et finalement faire boule de neige dans une véritable pandémie qui sera en fait perceptible en dehors de la télévision et des médias sociaux.

 

"Ces injections déchirent essentiellement votre propre système immunitaire, de sorte que même le rhume vous tue plus facilement", a écrit l'un de nos propres commentateurs sur la façon dont le composant ARNm des vaccins transforme les injections en usines de protéines spike ambulantes.

 

"Le Dr. Tenpenny a mentionné une équipe de médecins en Californie qui a fait un test de 55 cellules d'organes humains différentes allant du cerveau, du cœur, du foie, des reins, etc. et a surveillé ce que faisait le vaccin", a écrit un autre. "Il a attaqué 28 des 55 cellules d'organes humains ordinaires que tout le monde a dans son corps."

 

Les sources de cet article incluent:

 

Twitter.com

 

NaturalNews.com

 

DCDirtyLaundry

Le vaccin est la pandémie: PLUSIEURS pays constatent une augmentation du nombre de décès de covid après le début des vaccins contre la covid
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13 mai 2021 4 13 /05 /mai /2021 13:45
Au moins 1789 habitants de Cologne infectés après la vaccination

Malgré la vaccination corona, les personnes qui ont été vaccinées à Cologne sont infectées à plusieurs reprises par le virus. Plus récemment (dimanche) 1335 infections ont été connues après une première vaccination, 454 après la seconde.

 

Le chef du département de la santé, Johannes Nießen (63 ans), a déclaré à BILD: "Il n'est pas normal que vous soyez infecté malgré la vaccination. Ces chiffres m'inquiètent."

 

Selon l'Association des médecins légaux de l'assurance maladie, 474 936 habitants de Cologne avaient été vaccinés au moins une fois mardi après-midi. Selon Nießen, seule une fraction des personnes vaccinées était infectée.

Source: Bild.de

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