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Christ Roi

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Horloge

21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 00:00

Chanson de la fin 1792 ou début 1793 réclamant la clémence pour le roi Louis XVI qui sera finalement exécuté le 21 janvier 1793.

interprétation : Simone Bartel, disque 33t "la révolution française, chants et chansons des rues et des salons "

Il faut pour notre gloire En ce jour , oh français
Quune œuvre méritoire, vous illustre à jamais
Pénétré dindulgence, votre sensible cœur
Toujours par la clémence, triomphe le vainqueur

Plus Louis fut coupable, plus soyons généreux
Pour être inexorable, en est on plus heureux ?
Fatale déchéance, suffit pour le punir
Elle est notre vengeance et fait son repentir

Lhonneur de la patrie, veut pour se conserver
Que Louis reste en vie, seule elle peut le sauver
Cet acte de clémence doit prouver à jamais
Toute la bienfaisance du bon peuple français.

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 00:00

(Extrait de « Protestation présentée au peuple français
contre le jugement de Louis XVI », paru en 1793)

 

En 1793, quelque temps après que le jugement condamnant Louis XVI ait été prononcé, paraît, sous le titre de Protestation présentée au peuple français contre le jugement de Louis XVI, un pamphlet dont l’auteur se propose de démontrer que la condamnation prononcée revêt tous les caractères d’une décision nulle au sens juridique. Entre autres arguments, il avance que ceux qui l’ont rendu ont cumulé deux pouvoirs cependant que le texte des droits de l’homme stipule explicitement qu’ils doivent être distincts et séparés ; qu’ils ont déclaré Louis XVI jugeable par eux avant que l’abolition de la royauté ne fût prononcée ; qu’en leur qualité de juges ils auraient dû respecter une majorité des deux tiers ; qu’ils ont rejeté l’appel légitime au peuple que Louis XVI avaient formulé devant eux...

 

Qui sont ces mandataires, pour se rendre tout puissants et exercer sans notre aveu, et pourtant en notre nom, un acte de souveraineté absolue dans la cause la plus sérieuse qui puisse affecter une nation, le jugement et la condamnation de son Roi ? Je ne ferai que leur répéter ce que Pétion leur a dit dans la tribune : « Où sont ces mandats, où est cette mission expresse qui vous donne le droit de vous élever au-dessus de la sanction du peuple ? »

Vous n’êtes pas seulement ses mandataires élus dans ses assemblées primaires ; vous ne tenez vos pouvoirs que de ses électeurs ; avons-nous autorisé nos électeurs à nous donner des despotes qui puissent réunir à la faculté de faire des lois, celle de les appliquer ? Les avons-nous surtout autorisés à exercer la justice suprême, et à méconnaître la souveraineté du peuple par un honteux rejet de l’appel interjette à son autorité ?



Interrogatoire de Louis XVI


Si ces étranges juges avaient respecté cet appel, voici, Citoyens, ce que je vous aurais dit. Chez aucun peuple on n’a exactement défini les cas où une nation doit ou peut selon l’équité reprendre l’exercice de la souveraineté, lorsqu’elle l’a une fois délégué, soit à un seul, soit à plusieurs magistrats perpétuels. Le peuple le plus célèbre de l’antiquité, celui chez lequel les sages des autres nations allaient puiser des leçons, les Egyptiens jugeaient aussi leurs Rois, mais ce n’était qu’après leur mort ; ils condamnaient ou absolvaient la mémoire, et non la personne. Est-ce par respect pour le représentant perpétuel auquel ils avaient délégué l’autorité suprême ? Non, ce motif n’était que secondaire ; ils pensaient que le repos public était intéressé à l’inviolabilité d’un Roi vivant, et que c’était assez pour eux, que de proposer à ses successeurs, ou un objet de malédiction qui pût les effrayer, ou un modèle qu’ils dussent imiter.

 Est-il des cas où un Roi puisse être frappé d’une mort civile, dont les effets soient semblables à ceux d’une mort naturelle ? Je ne traiterai point cette question délicate, qui, heureusement pour le repos des nations, devient très rarement le sujet d’une discussion.

 

 Mais si la Convention Nationale avait envisagé cette affaire mémorable sous ce point de vue, elle aurait pris une marche plus assurée ; celle qui est la plus régulière est toujours la plus sûre, et les formes ont toujours été et seront toujours les conservatrices du fondement de toutes les lois ; avant de décréter que Louis XVI serait jugé par elle, elle aurait décrété l’abolition de la Royauté, et si nous avions confirmé ce décret par notre sanction formelle, Louis XVI fût tombé dans le cas de la mort civile, comme Roi, alors nous eussions condamné ou absous la mémoire de son règne. La Convention a précisément fait l’inverse ; avant d’abolir la Royauté, elle a décrété que Louis XVI serait jugé par elle ; par cette marche elle lui a laissé son inviolabilité au moment même qu’elle y portait atteinte, et elle a déclaré jugeable un être qu’elle reconnaissait encore revêtu de la Royauté.

 

 J’avoue, Citoyens, qu’à la vue de cette contradiction mon embarras est extrême, et je n’ai plus de base certaine pour un jugement ; car si avant l’abolition de la Royauté, Louis XVI n’était pas jugeable, comment a-t-il pu être condamné depuis, lui, qui resserré dans une étroite prison, n’a pu se rendre coupable d’aucuns faits postérieurs ?

 

 Mon embarras redouble, lorsque je considère que le décret de l’abolition de la Royauté n’a pas été porté à la sanction formelle du peuple. Des adresses d’adhésion, fussent-elles venues de tous les départements, de tous les districts, peuvent-elles suppléer à renonciation du vœu de l’universalité, ou seulement de la majorité du peuple français, légalement convoqué dans ses assemblées primaires ?

 

 De tous les discours qui ont été prononcés à la tribune, dans cette cause qui intéresse tous les peuples, celui du Citoyen Pétion m’a paru renfermer les raisonnements les plus spécieux ; c’est donc à eux que je m’attacherai plus particulièrement.

 

 Il fait d’abord à l’assemblée dont il est membre, cette question : « Pouvions-nous renvoyer ce procès devant un tribunal national ? » Je ne répondrai pas que non, parce que nos commettants n’avaient pas limité nos pouvoirs. Mais de ce que ces pouvoirs n’étaient pas énoncés dans les mandats , peut-on en conclure qu’il fussent illimités ! La conséquence serait absurde ; autant vaudrait-il dire que les commettants ont entendu rendre leurs délégués tout puissants. Le parlement d’Angleterre est aussi composé de représentants dont les pouvoirs ne sont pas spécifiquement énoncés dans leurs mandats, prétendrait-on pour cela, que des pouvoirs sont illimités ? Toute l’Angleterre crierait à l’anathème et à l’usurpation ; elle entend que les pouvoirs de ses représentants soient limités, non seulement par les règles éternelles et générales de la justice naturelle, mais encore par les principes de sa constitution particulière.

 

 Il est vrai qu’au moment de la convocation de l’assemblée actuelle, ses pouvoirs n’étaient pas définis par une constitution préexistante, puisque c’est pour en former une durable qu’elle a été principalement convoquée. Mais il est impossible de supposer qu’il soit entré dans l’intention de ses commettants, qu’elle pût s’élever au-dessus des règles de la justice éternelle ; c’est pourtant ce qu’elle eût fait, si, à l’exemple de Cromwell, elle eut donné à Louis XVl, des juges auxquels elle eût pu être soupçonnée vouloir dicter leur sentence.

 

 Pe’tion s’est donc trompé en insinuant que la convention aurait pu renvoyer le procès de Louis XVI devant un tribunal national ; son procédé n’eût été régulier qu’autant qu’elle aurait demandé au corps collectif de la nation et un juré d’accusation et un juré de jugement. Par cette marche, elle aurait concilié la dignité de sa mission avec le vœu de la justice naturelle. Cette marche eut évité au citoyen Pétïon l’embarras de répondre à un argument de la plus grande force, par une distinction sophistique. Il avoue que dans la thèse générale, un législateur ne peut être juge, mais il excepte le cas où une mesure de sûreté serait inséparable d’un jugement particulier.

 

 Sans doute la nécessité excuse dans de certains cas, si elle ne justifie pas une violence faite aux règles générales. Mais en supposant que la sûreté publique exigeât que Louis XVI fût jugé, où était la nécessité qu’il le fût par la convention ? ou au moins quel devait être le juge de cette nécessité ? N’est-ce pas le corps collectif de la nation lui-même ? C’est donc lui qu’il fallait consulter, et il aurait pourvu à la forme de l’instruction comme à celle du jugement.

 

 Le citoyen Pétion confirme lui-même cette réflexion. Il trouve qu’il y aurait eu de la timidité dans la convention à ne juger que le fait, et il voulait qu’elle prononçât aussi la peine ; cependant un instant après, il convient que le refus du renvoi du jugement au peuple serait une usurpation de pouvoir.

 

 Que Pétion s’accorde donc avec lui-même. Si la convention n’avait ni mandats, ni mission pour prononcer en dernier ressort sur Louis XVI, en avait-elle davantage pour le juger en première instance ? Où sont ses mandats, sa mission pour cela ?


Si donc le jugement porté contre Louis XVI était nul et incomplètement rendu par la convention en première instance, à combien plus forte raison est-il infecté de ces vices, quand on le considère comme un jugement souverain et sans appel ? Ou toutes les notions que nous avons sur la souveraineté sont fausses, ou l’appel des jugements est son principal attribut ; si donc elle réside dans le peuple, personne ne peut, sans une mission spéciale de sa part, exercer la justice souveraine, à moins d’usurper son pouvoir.

 

 Jusqu’à présent, je n’ai parlé qu’au raisonnement : appelons au conseil le sentiment, et laissons à la seule humanité à prononcer. Tout le peuple français a accepté, juré, et est disposé à maintenir cette partie de la constitution qui, dans toutes les poursuites criminelles, exige impérieusement un juré d’accusation distinct du juré de jugement. Quelle est en effet la horde sauvage qui donnerait à un accusé pour juges ses dénonciateurs Se ses accusateurs ? Je ne crois pas qu’il en existe de cette espèce sur la surface de la terre ; c’est pourtant ce qui vient d’arriver dans l’affaire de Louis XVI de la part d’un tribunal indéfinissable et tel que l’inquisition n’en a jamais fourni d’exemple, ni même donné l’idée ; et pour achever le prodige, on a vu des hommes qui avoient notoirement et publiquement ouvert leur avis, avant le jugement, opiner à la mort ; on en a vu d’autres qui, sans voir les pièces du procès, ni en entendre aucune des défenses de l’accusé, ont envoyé par la poste, de deux cent lieues de l’instruction, leur avis également à la mort.

 

Le voilà donc qu’il se transforme en juré de jugement, ce même tribunal qui 24 heures avant, avait pris la forme de juré d’accusation ; bientôt nous lui verrons prendre la qualité de juge sans appel ; c’est-à-dire, que nous le verrons, successivement proposer l’accusation , déclarer l’accusé convaincu, et prononcer arbitrairement la peine.

 

Dans quels termes propose-t-il l’accusation ? Louis est-il coupable ? Cette question ainsi posée, était évidemment insidieuse ; car pour des faits qui se sont passés durant le règne de la constitution, Louis XVI ne pouvait être accusé que comme Roi Constitutionnel. La question devait donc être posée dans ces termes : « Louis XVI est-il, ou non coupable d’avoir violé la constitution qu’il avait acceptée ! » Si la preuve du fait avait été acquise, le juré de jugement aurait eu un seul mot à prononcer ? « Coupable ». Alors les juges n’auraient eu autre chose à faire qu’à ouvrir le code de la constitution, et à déclarer la peine qui y est écrite, la déchéance.

 

Mais ce n’est point ainsi qu’on a procédé ; le juré de jugement a dénaturé la question proposée par celui d’accusation, et en ajoutant au mot coupable ceux de haute trahison, il a transporté la cause et l’accusé, du code constitutionnel au code pénal, c’est-à-dire qu’il a renvoyé Louis XVI, qui ne devait être jugé que comme roi d’après la constitution, dans la classe des citoyens ordinaires qui se rendraient coupables de haute trahison. Sous ce point de vue, l’assemblée devenait doublement incompétente en enfreignant la loi de la constitution non encore abolie, et en violant une loi en pleine vigueur, celle des jurés.

 

Si, dans une cause ordinaire, un juré de jugement dénaturait les termes de l’accusation, en y ajoutant ou en en altérant le sens, son prononcé serait indubitablement dans le cas de la cassation, celui de l’assemblée qui a déclaré Louis XVI coupable de haute trahison, tandis qu’il ne pouvait l’être que de contravention à la constitution, peut-il échappera la censure ?

 

On voit d’avance le préjudice que cette erreur devait causer à l’accusé, car lorsqu’une fois le juré de jugement l’a déclaré convaincu d’un fait exactement défini, il ne reste plus aux juges qu’à ouvrir le livre de la loi, et à prononcer la peine qui y est textuellement écrite ; ils ne sauraient être ses interprètes, ils ne doivent en être que les organes ; ils ne peuvent délibérer entre eux sur l’application de la peine, que dans le cas où il n’y aurait à juger que l’intention de l’accusé, ou dans celui où il y aurait eu erreur dans le prononcé du juré.

 

Ainsi, cette fastueuse séance de trente-six heures, qui paraît avoir été apprêtée au théâtre, dans le jugement de Louis XVI, devenait entièrement inutile ; le prononcé qui le déclarait coupable de haute trahison le renvoyait nécessairement au code pénal, où est écrit la mort. Si on peut être surpris, c’est de ce qu’il se soit trouvé parmi les votants, des hommes qui, après avoir prononcé le mot traître, aient opiné à une peine différente de celle qui est écrite ; tant il est vrai que dans ce procès, qui est le sceau de la fatale destinée de Louis XVI, tout devait être marqué au coin de l’arbitraire.

 

Enfin on compte les voix ; la première qui vient douloureusement affecter nos oreilles, est celle d’un renégat ; quel est le tigre qui l’engendra, et quelle est la louve qui le porta dans ses flancs impurs ? cependant sa voix est comptée. Plusieurs autres viennent après, qui, revêtus du caractère de pasteurs d’une communion qui abhorre le sang, ne se font pas de scrupule d’appeler sur eux celui d’une illustre victime, et leurs voix sont comptées. Vient ensuite la troupe incendiaire des dénonciateurs, des accusateurs, de ceux qui avoient ouvert leur opinion avant le jugement ; et leurs voix sont comptées.

 

Enfin, le président proclame le résultat de l’appel nominal et dit : l’assemblée est composée de sept cent quarante-cinq membres ; un est mort, six sont malades, deux sont absents sans cause, onze sont absents par commission, et quatre non votants : ce qui fait en tout vingt-quatre membres qui n’ont point donné de voix ; le nombre des votants se trouve ainsi réduit à sept cent vingt-un ; pour que la majorité soit acquise, il faut une réunion de trois cent soixante-un suffrages ; c’est-à-dire, la moitié plus un.

 

Il y a eu dans le premier recensement des voix une erreur, qui a été rectifiée dans le second appel nominal sur le sursis ; le président a proclamé que sur 748 membres, au lieu de 745, 17 étaient absents par commission, 21 par maladie, 8 sans cause, 12 non votants. L’assemblée étant ainsi réduite à 690 votants, il s’en est trouvé 310 pour le sursis, et 380 pour l’exécution, ce qui ne faisait encore qu’une majorité absolue, et une différence de 70 voix, tandis que celle des deux tiers était requise ainsi qu’une différence de 230 voix. Mais d’abord, quant à la réduction des suffrages, a-t-on renoncé, dans cette assemblée, à ce que les mœurs publiques ont consacré chez toutes les nations ? et l’estime publique est-elle au nombre de ces préjugés, sur la ruine desquels le règne philosophique doit s’établir ? je veux parler des récusations ; il n’y a pas un peuple policé sur la terre, qui n’en ait consacré l’usage, comme par instinct ; il n’en est pas un qui ne notât d’une sorte d’infamie ceux de ses juges, qui ne s’abstiendraient pas volontairement de prononcer dans une cause, dans laquelle il y aurait des moyens notoires de récusation à proposer contre eux.


J’interpelle ici le président, et je lui demande s’il n’était pas de sa dignité et de celle de l’assemblée de lui dire : « Citoyens ! s’il en est parmi vous qui tiennent à l’accusé par les liens du sang ou de la parenté ; s’il en est d’autres dont le caractère religieux répugne, chez tous les peuples de l’Europe, à l’effusion du sang ; s’il en est enfin qui aient manifesté leur opinion avant le jugement, je les avertis que l’honnêteté publique les invite à se retirer ; l’Europe qui vous contemple les verrait avec indignation conserver le caractère de juges, et les défenseurs de l’accusé, qui sont là, leur diraient tout bas, en fixant les yeux sur eux : Hunc egero, iniquus est.

Je les récuse donc, moi, et je crois que tous les hommes honnêtes en feront autant. Si on en porte le nombre à vingt seulement, celui des votants se trouvait réduit à sept cent un. Ici se présente la question, comment la majorité des suffrages devait être acquise ; est-ce la majorité absolue, ou la majorité requise dans un juré de jugement ? Dans le premier cas, il ne fallait que la moitié plus un, c’est-à-dire, trois cent cinquante et une voix ; dans le second , il fallait les deux tiers, c’est-à-dire quatre cent soixante-six.

 

Or, il n’y en a eu que trois cent soixante-six pour la mort ; donc, il s’en faut de cent voix que la majorité eut été acquise dans un juré de jugement. Mais, dit-on, la question sur la majorité avait été proposée, et il avait été décrété qu’on s’en tiendrait, dans ce jugement, à la majorité absolue, comme dans la formation des décrets ordinaires de l’assemblée ; mais répondez à ce dilemme : si vous avez prononcé comme législateurs, vous avez outrepassé vos pouvoirs ; si vous avez prononcé comme juges d’un juré, il vous fallait suivant votre propre code, les deux tiers des voix.

 

 Vainement dira-ton que le code n’astreint que les jurés à une majorité des deux tiers, et que les juges, en appliquant la peine, peuvent s’en tenir à une majorité absolue. Pur sophisme ! Lorsque le juré a déclaré le fait, les juges ne peuvent plus délibérer sur l’application de la peine, que dans le cas où il y aurait eu erreur dans le prononcé du juré ; or cette erreur n’a point été objectée ni mise en question ; en tout cas elle n’aurait pu être interprétée qu’en faveur de l’accusé ; les juges étaient donc astreints à suivre dans le prononcé du jugement, la même majorité qu’ils avaient suivie dans celui du juré ; or cette majorité était des deux tiers.

 

Ainsi sous tous les rapports le jugement prononce contre Louis XVI est nul.


Il est nul en ce que ceux qui l’ont rendu ont cumulé deux pouvoirs, qui, suivant le texte exprès des droits de l’homme, doivent être distincts et séparés.

 

 II est nul en ce qu’ils ont déclaré Louis XVI jugeable par eux, avant que l’abolition de la royauté ne fût prononcée.

Il est nul en ce qu’ils ont cumulé dans leurs personnes la qualité de juré d’accusation et celle de juré de jugement, tandis que suivant le code criminel, ces deux jurés doivent être distincts et séparés.

 

Il est nul en ce que, comme juré de jugement, ils ont déclaré Louis XVI coupable de haute trahison, tandis que l’accusation ne portait que sur le mot pur et simple de coupable.

 

Il est nul en ce qu’ils n’ont ni proposé, ni jugé les récusations de droit, que la notoriété publique élevait contre un grand nombre d’entre eux.

 

Il est nul, en ce qu’en leur qualité de juges, ils ont, dans l’application de la peine, suivi une majorité de suffrages différente de celle qu’ils avoient suivie dans le juré de jugement.

 

Il est nul enfin, en ce qu’ils ont rejeté l’appel au peuple, que Louis XVI a porté devant eux.

 

Je proteste, en mon nom, comme membre du corps collectif de la nation contre un rejet, qui porte une atteinte formelle à la souveraineté du peuple. J’avoue que je ne puis m’étonner assez que les défenseurs de Louis XVI dont je me plaisais à considérer les lumières, autant que je respectais leur généreux dévouement, n’aient pas suivi dans cet appel, la marche que la hiérarchie judiciaire indiquait naturellement.

 

L’appel d’un jugement n’est autre chose que le recours au souverain ; c’est ainsi qu’il est qualifié chez la plupart des nations de l’Europe. Il faut donc qu’il soit porté directement et par un acte solennel par devant le supérieur, en même temps qu’il est notifié à l’inférieur afin de suspendre l’exécution du jugement de celui-ci. 

 

 (...)

 

Louis XVI vivant était intéressé à faire abjurer à son fils tout sentiment de vengeance ; Louis XVI mort sur un échafaud lui donne le monde entier pour vengeur. Quelle sera la première démarche des armées étrangères qui vont fondre sur le territoire français ? Car, ne nous le dissimulons plus, ses frontières vont être envahies ; c’est de rendre les départements où elles pénétreront, responsables de la mort tragique de leur roi. Que diront ces départements ? Qu’ils n’ont eu aucune part à cet attentat, et qu’ils le désavouent. Que deviendront alors leurs députés ? Quel asile trouveront-ils ?

 

 Ah, citoyens ! Cessez d’être les dupes des rêves politiques dont on vous entretient depuis trop longtemps ; « Abattez, vous ont-ils dit, la tête de Louis XVI, et la terreur fera crouler tous les trônes des despotes. » Cette prédiction, croyez-moi, ne se vérifiera pas plus que celles qui vous annonçaient, il y a dix mois, la défection de leurs armées, et après elle, celle de leurs peuples ; mettez un terme à vos illusions et aux perfides suggestions de ceux qui ont entrepris de vous égarer ; expiez, s’il est possible, le crime épouvantable dont la France vient d’être souillée, et vengez vous-mêmes le ciel de la témérité de ces nouveaux Titans, qui, en bravant la foudre, la feront tomber sur vous-mêmes.

 

Source : http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article5600

via http://www.democratie-royale.org/article-nullite-du-jugement-condamnant-louis-xvi-a-mort-pamphlet-de-1793-97404344.html

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 18:21

Le compte officiel Twitter de l'Alliance Royale a été lancé ! Venez nombreux nous soutenir sur ce réseau ! Transmettez l'information autour de vous !  

 

http://twitter.com/​Alliance_Royale

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Merci à Dominique

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 23:59

 

Le Gouverneur du Texas Rick Perry , gouverneur du Texas, vient d'annoncer son retrait de la course à la Maison blanche. 

Le candidat à l'investiture républicaine pour la présidentielle américaine Rick Santorum a finalement remporté le scrutin de l'Iowa le 3 janvier devant Mitt Romney, déclaré vainqueur le soir du vote, a annoncé le parti républicain de l'État après le dépouillement final des voix. De quoi relancer Rick Santorum dans la course pour affronter Barack Obama.

Le nouveau résultat certifié par le Parti républicain de l'Iowa montre que M. Santorum a devancé M. Romney de 34 voix. Mais les résultats de huit des 1774 circonscriptions sont introuvables, selon le parti.

Le dépouillement final offre donc la victoire à Rick Santorum avec 29 839 voix, contre 29 805 voix pour Mitt Romney.

Au soir du scrutin, le 3 janvier, M. Romney avait été déclaré vainqueur, avec huit voix d'avance seulement sur M. Santorum.

Mitt Romney, ancien gouverneur du Massachusetts et favori du processus de sélection du candidat républicain qui devra affronter le président Barack Obama en novembre, a remporté, cette fois très largement, la primaire organisée dans le New Hampshire, la semaine dernière.

Il devance aussi ses quatre concurrents dans les sondages réalisés en Caroline du Sud, où se déroulera la prochaine primaire samedi. Mais dans cet État conservateur du sud des États-Unis, l'ancien président de la Chambre des représentants Newt Gingrich talonne M. Romney.

Hogan Gidley, le directeur de la communication de Rick Santorum a réagi jeudi dans un communiqué en affirmant qu'avec l'annonce de la victoire du candidat dans l'Iowa, «les conservateurs peuvent maintenant voir et croire qu'ils ne sont pas obligés de se fixer sur M. Romney».

L'annonce de la victoire de M. Santorum dans l'Iowa ... intervient alors que M. Romney encaisse une série de coups durs.

Jeudi matin, plusieurs médias américains ont rapporté que le gouverneur du Texas Rick Perry allait annoncer son retrait de la course et son soutien à M. Gingrich lors d'une conférence de presse en Caroline du Sud.

Mitt Romney doit en outre faire face depuis plusieurs jours à de virulentes critiques quant à son bilan dans le monde des affaires.

À la tête du fonds d'investissement Bain Capital dans les années 1980 et 1990, il a été accusé d'avoir «pillé» des entreprises, laissant des employés au chômage et en s'enrichissant au passage.

Source: http://www.cyberpresse.ca/international/dossiers/vers-linvestiture-republicaine/201201/19/01-4487292-rick-santorum-a-remporte-liowa.php

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 19:38

A l'insulte du franc-maçon (1) Jean-Luc Mélenchon traitant Marine Le Pen de "demi-démente", la présidente du Front national qualifie celui-ci de "grand comédien" et de "petit garçon" "charmant" et "affable".

 

Pour illustrer le propos, on peut regarder cette video que l'on trouve sur internet où l'on voit effectivement un Mélenchon en privé, affable et charmant, incroyablement transformé en gentil petit garçon :

 

Quand Jean-Luc Mélenchon croise par hasard Marine Le Pen

 

(1) Dans Mélenchon le plébéien, une biographie écrite par Lilian Alemagna (de Libération) et Stéphane Alliès (Mediapart), Jean-Luc Mélenchon parle de son appartenance au Grand Orient de France. "J'y suis entré en 1983", dit-t-il.

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 18:39

Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a annoncé mercredi avoir reçu par écrit l'assurance du Premier ministre hongrois Viktor Orban qu'il allait "modifier" ses textes de loi controversés. La Commission conteste la nouvelle Constitution de la Hongrie pour violation de la législation de l'Union européenne sur l'indépendance des banques centrales et parce qu'elle abaisse l' âge de départ à la retraite des juges. Elle avait annoncé mardi le lancement de procédures d'infraction au droit communautaire à l'encontre de la Hongrie à propos de ces réformes. Source: http://www.tsr.ch/info/monde/3721141-le-premier-ministre-hongrois-viktor-orban-s-est-dit-pret-a-modifier-ses-textes-de-loi-controverses.html

 

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban était cette après-midi devant le Parlement européen qui débattait de la Hongrie. Un débat animé avec une diatribe lancée par Daniel Cohn-Bendit à l'encontre de Viktor Orban accusé de dérive totalitaire.

Viktor Orban s'est montré conciliant vis-à-vis de la Commission qui lui a donné un mois pour modifier des lois renforçant l'indépendance de la banque centrale hongroise notamment. 

Hier, la Commission a décidé de déclencher des procédures d'infraction à la législation de l'UE au sujet de trois textes de loi.

"Les problèmes pourraient facilement et rapidement être résolus", a assuré Viktor Orban, cherchant à ramener les contentieux à des points juridiques et techniques et se défendant de toute dérive autoritaire.

A propos de la loi qui confère au gouvernement hongrois des pouvoirs controversés sur la banque centrale, le Premier ministre a dit : "Dans ce cas, nous allons nous soumettre au pouvoir et pas aux arguments". La Hongrie a "un président à la tête de la banque centrale qui a été élu par le parlement d'avant. Son mandat s'achève en 2013 et cela ne va pas changer". ... "En outre, a-t-il ajouté, nous avons un conseil financier, dont le nombre de membres a été également décidé par l'ancien parlement. Maintenant, il s'agit juste de savoir si ce conseil doit être agrandi. Si l'UE estime que cela pose problème, nous allons répondre à leurs demandes. Même si cela désavantage la banque centrale".



La vraie charge est venue du député vert Daniel Cohn-Bendit qui s'en est pris violemment au "nationalisme" du Premier ministre hongrois, rappelant ses accointances avec l'"extrême-droite" et expliquant qu'en Hongrie "les minorités avaient peur", citant les Juifs et les homosexuels.

 

Daniel Cohn-Bendit souhaite mettre en oeuvre l'article 7 sur la suspension des droits d'un Etat-membre.

 

 Source: http://www.rtbf.be/info/monde/detail_hongrie-viktor-orban-s-explique-devant-le-parlement-europeen?id=7409843

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- Eric Zemmour explique pourquoi la Hongrie est "au pilori"

- BHL dégrade le triple A de la Hongrie et atteint le point Godwin

- L'inaction européenne et française sur la Hongrie doit cesser, dit Villepin

- La Hongrie sous le feu de Bruxelles et des médias

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 17:55

Si le coprésident des Verts Cohn Daniel-Bendit, agite le chiffon du régime "totalitaire" pour critiquer les nouvelles mesures prises en Hongrie, il n'atteint pas le point Godwin comme l'a fait son coreligionnaire BHL.

Au cours d'un débat très animé au Parlement européen aujourd'hui, Cohn-Bendit a accusé le premier Viktor Orban, premier ministre de Hongrie, d'aller "dans la direction" des dirigeants vénézuélien Hugo Chavez et cubain Fidel Castro et de "tous les régimes totalitaires et autoritaires de ce bas monde", à propos des modifications controversées récemment apportées à la Constitution hongroise.

 Cohn-Bendit souhaite envoyer une délégation parlementaire en Hongrie pour vérifier pourquoi les sans-abri en Hongrie "ont peur", pourquoi des intellectuels "ont peur", pourquoi des gens de sa famille et des gens qu'il dit connaître, des Juifs en Hongrie "ont peur aujourd'hui". "Les minorités ont le droit de ne pas avoir peur dans votre pays, M. Orban", a-t-il dit à l'adresse du chef du gouvernement hongrois présent au moment du débat.

 

Dans sa chronique du 5 janvier 2012 sur Rtl, intitulée "la Hongrie au pilori", Eric Zemmour avait ironisé: "On comprend alors pourquoi Daniel Cohn-Ben-dit, Manuel Barroso sont aux quatre cents coups ! Orban a même taxé jusqu'à 60% les bénéfices des banques: le criminel de guerre, le terroriste...  Un chef de gouvernement qui tente de reprendre en main sa souveraienté monétaire et financière... l'Union Européenne et le F.M.I. tentent de faire plier l'odieux rebelle."

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- Eric Zemmour explique pourquoi la Hongrie est "au pilori"

- BHL dégrade le triple A de la Hongrie et atteint le point Godwin

- L'inaction européenne et française sur la Hongrie doit cesser, dit Villepin

- La Hongrie sous le feu de Bruxelles et des médias

- Hongrie: des nationalistes manifestent contre l'UE et désinformation d'Euronews

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 17:14

Soutien à Dominique Souchet, député de la Vendée, pour la reconnaissance du génocide vendéen

 

A l'attention de Monsieur Dominique Souchet, député de la Vendée
Monsieur le député,

Je vous remercie pour votre engagement en faveur de la reconnaissance du génocide vendéen, que vous avez défendu à la tribune de l’Assemblée nationale en décembre dernier.

Je soutiens pleinement la proposition de loi et toutes les démarches que vous entreprendrez en ce sens.

Soyez assuré que nous sommes nombreux, habitants de la Vendée ou Vendéens de cœur, à nous reconnaître dans votre action, sans esprit de revanche, pour la défense de notre mémoire commune.

Veuillez croire, Monsieur le député, en ma très respectueuse considération.

Nicolas Delahaye
Plus d'infos sur ce sujet : Cliquez ici
 
 
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Merci à Dominique

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 13:17

Messieurs,

En tant que candidat de l'Alliance-royale à l'élection présidentielle, je vous prie de trouver la réponse que je propose à vos questions.
Royalement vôtre
Patrick de Villenoisy

10 questions aux candidats à la présidentielle

 

 

Madame la candidate,

Monsieur le candidat,

Ces derniers mois 100 000 pétitionnaires ont réagi spontanément aux côtés de l’Institut Civitas pour s’opposer aux spectacles blasphématoires financés par les pouvoirs publics. Cette réaction spontanée prouve que les Français sont très attachés aux racines chrétiennes de leur pays et que les catholiques ne se désintéressent pas des problèmes de société. Malgré la caricature des médias, le but de l’Institut Civitas n’est nullement de partir en campagne à l’appui d’un programme, ni de prendre parti pour un candidat, mais de veiller au respect des principes chrétiens au sein du débat national. A mesure que le message du Christ et de l’Évangile est oublié, les multiplications de lois, les mesures de répressions ou de subventions apparaissent comme autant de moyens inefficaces face à l’injustice grandissante, l’insécurité croissante, la corruption morale et même la faillite économique. Ne voit-on pas que l’individualisme et la perte de tout sens moral sont à la source de ces maux et que la charité chrétienne, fondement d'un ordre économique plus stable, est leur remède ? Aussi, nous désirons vous interroger sur trois thèmes qui tiennent au cœur des Chrétiens : la place de Dieu dans la Société, la famille et l’éducation.

 

La place de Dieu et de la religion est intimement liée à l’identité du pays, marquée par ses cathédrales et ses 40 000 clochers.

 

  1. En tant que chef de l'État, vous engageriez-vous à défendre les références à Dieu ou à la religion chrétienne dans des projets de constitution ou de traités ?
La première réforme que je ferai sera de modifier la constitution pour supprimer l'élection présidentielle et rétablir le roi en lieu et place de l'actuel président. Le roi de France professerait à titre personnel la religion catholique comme l'ensemble des rois ses prédécesseurs. Sa Majesté serait le protecteur de tous les Français quelle que soit leur religion mais la France, Fille aînée de l'Eglise, reprendrait ses références chrétiennes officiellement.
  1. Comment envisagez-vous la préservation du dimanche et des grandes fêtes de tradition chrétienne comme jours chômés pour tous les travailleurs ?
Il est évident que je préserverais les grandes fêtes chrétiennes et particulièrement celle du 15 août en l'honneur de la patronne principale de la France.
  1. Êtes-vous disposé à supprimer les subventions aux organismes culturels qui feraient la promotion d'œuvres artistiques portant volontairement atteinte à la foi et au sacré ? 
Oui, même si je suis favorable à la liberté artistique, il y aurait des limites à ne pas franchir et aucune subvention ne pourrait être attribuée à quiconque porterait atteinte à la foi et au sacré. Je rappelle que l'on peut trouver en ligne le document sur le sacré et celui sur le bien commun que j'ai publiés.
  1. Quelles mesures préconisez-vous pour sauvegarder le patrimoine religieux, véritable richesse de la vie locale ?
Notre patrimoine est considérable et participe de l'engouement qui fait de notre pays la première destination touristique mondiale. Terre de cathédrales, la France possède une infinité d'édifices religieux plus modestes, mais magnifiques, qu'il importe de préserver. Je favoriserai les initiatives privées et associatives pour la préservation de ce patrimoine. Comme le veut la règle de subsidiarité, l'Etat interviendrait là où ces initiatives seraient insuffisantes.

Que répondrez-vous aux enfants, parents et grands-parents, soucieux de ne pas déstabiliser la famille, source de l’équilibre de l’homme et qui est le cœur de toute société naturelle ?

Je pense que le roi sera le défenseur naturel de cette institution à laquelle je suis très attaché.

 

  1. Êtes-vous disposé à garantir la stabilité du mariage comme l'union d'un homme et d'une femme ? 
Oui, le mariage représente une institution à laquelle je suis totalement attaché. Je rappelle qu'il est l'un des sept sacrements de l'Eglise Catholique et déplore que l'on accepte de galvauder un mot que je regarde en conséquence comme sacré.
  1. Comment comptez-vous protéger la vie humaine depuis la conception dans le sein de la mère jusqu'à la mort naturelle ?
Le livre bleu de l'Alliance-royale dit exactement cela et les royalistes ont une dilection particulière pour ces valeurs qu'ils veulent défendre.
  1. Quelles mesures préconisez-vous pour encourager et soutenir les familles nombreuses ?
Là encore, notre programme politique préconise une grande réforme de l'élection des députés. Considérant que le système actuel confisque la démocratie au profit des partis politiques, nous proposons de rendre aux Français une démocratie équitable. Pour ce faire, nous proposons de faire élire les députés par quatre collèges. Celui des patrons, celui des employés, celui des élus locaux et régionaux et enfin celui des familles. Les députés de ce dernier collège auraient pour mission de protéger ce que nous regardons comme la cellule de base de la société. Nous apportons donc une réponse claire à votre question.

L'enjeu de l'éducation n'est pas à démontrer ; il est capital pour le relèvement d’un pays. Nombreux sont les catholiques qui s’inquiètent de voir que non seulement le modèle français de l’enseignement laïc a perdu de sa qualité, mais aussi tourne à un laïcisme agressif envers leur religion.

Je voudrais d'abord faire une remarque sur la laïcité à laquelle vous faites allusion : la laïcité organise pour moi le vide. Elle est la raison principale de l'invasion de notre pays par une religion étrangère à son histoire tant il est vrai que la nature a horreur du vide. La seule affirmation de nos valeurs chrétiennes en ce domaine occuperait le terrain et permettrait de résoudre un problème que beaucoup dénoncent mais que nous sommes les seuls à pouvoir résoudre.

 

  1. Comment comptez-vous promouvoir l'enseignement libre ?
Je suis totalement favorable à la liberté de choix des familles et proposerai l'adoption du ticket scolaire. Là encore, le principe de subsidiarité veut que l'Etat ne se substitue aux familles que là où il y a manque ou insuffisance.
  1. Acceptez-vous que, dans les programmes ou les ouvrages scolaires, disparaissent les grands personnages de la France chrétienne (Clovis, saint Louis, Jeanne d'Arc) et apparaisse la thèse du gender selon laquelle les individus ne naîtraient pas homme ou femme, mais le deviendraient ? 
Non, je suis favorable à l'enseignement de l'histoire selon la chronologie et estime qu'un peuple ne peut être fier de lui qu'à la condition qu'il le soit de son histoire.
  1. Quels moyens comptez-vous mettre en œuvre pour lutter sans ambiguïté contre la pornographie à la télévision et sur Internet ?
Ce problème est plus compliqué car il ressort à des considérations techniques notamment en ce qui concerne internet : comment fait-on pour contrôler internet ? Quant à la télévision, il ne peut être question que de préconiser la disparition de la pornographie aux heures de grande écoute, mais là aussi, il n'est pas envisageable de tout interdire. On pourrait aussi réserver des chaînes spécialisées et inaccessibles aux enfants pour tout ce qui serait vraiment "dur".

Ces questions fondamentales touchent la vie quotidienne de tous les Français, électeurs ou non, et nous souhaitons pouvoir leur faire connaître vos solutions à travers notre mailing-list et nos différentes interventions auprès des médias. Nous vous remercions à l’avance de vos réponses et nous vous prions d’agréer, Madame la candidate, Monsieur le candidat, l'expression de nos respectueuses salutations.

Alain Escada
Secrétaire général de Civitas


Institut Civitas
17, rue des Chasseurs - 95100 Argenteuil

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Merci à Dominique

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 13:06

La Russie met tout en œuvre pour prévenir une éventuelle attaque militaire contre l'Iran, a annoncé mercredi le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.

"Nous faisons tout notre possible pour qu'elle n'ait pas lieu", a déclaré le chef de la diplomatie russe lors d'une conférence de presse à Moscou.

D'après M. Lavrov, une telle opération militaire risque d'avoir "des conséquences catastrophiques".

Les tensions autour de l'Iran et de son programme nucléaire sont récemment montées d'un cran après que Téhéran a menacé de fermer le détroit d'Ormuz au transit de pétrole en cas de sanctions occidentales contre les exportations pétrolières iraniennes. La Marine américaine a promis d'empêcher coûte que coûte la fermeture du détroit.

Les forces navales iraniennes ont récemment effectué dans le détroit d'Ormuz et en mer d'Oman des manœuvres lors desquelles des missiles de longue portée ont été testés.

Plusieurs pays occidentaux, les Etats-Unis en tête, soupçonnent l'Iran de chercher à se doter de l'arme nucléaire sous couvert d'un programme mené, selon Téhéran, à des fins pacifiques.

D'après certains experts, les Etats-Unis pourraient prochainement déclencher des hostilités contre l'Iran.

 

Source: http://fr.rian.ru/world/20120118/193066401.html

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- Russie: Sergei Lavrov, la realpolitik en action

- Poutine : "Qui a donné la permission de tuer Kadhafi ?"

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 08:27

BHL écrit chaque semaine un édito pour le très mondialiste Le Point. Son dernier billet est consacré à la Hongrie (Le Point - Publié le 12/01/2012 à 10:13 - Modifié le 12/01/2012 à 11:10) sous le titre : "Et si le sort de l'Europe se jouait, aussi, à Budapest ?". BHL rejoint les Alain Juppé et Dominique de Villepin qui eux aussi ont dérapé sur la démocratie hongroise.

 

La Hongrie a une nouvelle constitution entrée en vigueur le 1er janvier 2012. Cette constitution ne plaît pas aux mondialistes, à Washington, à Bruxelles et au F.M.I. Elle renforce l'indépendance de la Banque centrale hongroise, supprime l'appellation "république" pour Hongrie, fait une référence explicite à Dieu par la mention "Dieu bénisse les Hongrois", rattache le pays à ses racines et à son identité chrétienne ("Nous sommes fiers de ce que notre roi saint Etienne ait établi l’Etat hongrois sur des fondations fermes il y a mille ans, et qu’il ait fait de notre pays une partie de l’Europe chrétienne.") Elle consacre "la dignité humaine" "inviolable" ("Chacun a droit à la vie et à la vie humaine, la vie du fœtus sera protégée depuis la conception. Les pratiques eugénistes visant la sélection des personnes, transformant le corps humain et ses parties en source de profit, et le clonage reproductif des êtres humains sont interdits.") Elle impute la responsabilité des crimes du communisme jusqu’en 1989… aux dirigeants communistes tels qu’ils se sont ressuscités dans le 'parti socialiste'". Elle réserve le mariage à "un homme et une femme", elle protège la famille, la propriété, l’héritage, soutient la natalité.

 

C'en est trop. Il n'aura pas fallu douze jours au clown "philosophe" pour s'indigner et atteindre le point Godwin.

Nous voilà revenus aux "heures les plus sombres de l'Histoire du continent"... "Il y a, dit BHL, un pays où l'on est en train d'adopter, au nom d'un principe d'appartenance qu'il faut bien qualifier d'ethnique ou de racial, un régime électoral que l'on croyait mort avec le nazisme et qui donne droit de vote à tous les "nationaux" non citoyens, mais dispersés dans le reste de l'Europe. Ce pays, c'est la Hongrie". (Fin de citation). 

 

BHL ne se contente pas de reléguer la Hongrie aux HLPSDNH (Heures les plus sombres de notre histoire), il fustige encore "une nation Christ appelée, comme sous le bon roi Étienne ferraillant contre les Ottomans, à protéger et régénérer la civilisation menacée"...

 

Une tribune libre publiée sur Agoravox ironise :

"..L’agence de notation démocratique BHL vient de donner son verdict. La Hongrie est dégradée fortement de plusieurs crans, passant de la catégorie A des pays démocratiques sûrs à la catégorie spéculative B des pays incertains. L’agence BHL se plaint que l’Europe ne dise rien. Alors il tente d’alerter l’opinion avec sa notation dégradée. Il ne faut plus faire confiance à la Hongrie et lui suggérer, voire lui imposer un plan de rigueur démocratique pour revenir à l’équilibre. La catégorie spéculative est dangereuse et fait craindre la faillite de l’Europe par effet de contagion de la crise nationaliste..."

Source: http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/bhl-vient-de-degrader-le-triple-a-108229

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- L'inaction européenne et française sur la Hongrie doit cesser, dit Villepin

- La Hongrie sous le feu de Bruxelles et des médias

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 14:32

Rick Santorum a déclaré qu'il ne soutiendrait pas une mission militaire en Syrie mais que les Etats-Unis devraient se montrer bien plus agressifs diplomatiquement pour amener le départ d’Assad pour le bien du peuple syrien et leur voisin Israël.”

Autant le discous de Santorum sur le sujet a été apprécié par une Caroline du Sud "très chrétienne" (sic) et conservatrice, autant celui de Ron Paul, a été hué:

“Peut-être que l’on devrait envisager une règle d’or en politique étrangère: n’infligeons pas aux autres nations ce que nous ne voulons pas subir. Nous bombardons sans fin ces pays et nous nous demandons pourquoi ils sont fâchés contre nous et ça continue, encore et encore…"

 

Source: http://fr.euronews.net/2012/01/17/mitt-romney-attaque-en-caroline-du-sud/

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 14:20

"Ces chrétiens qu'on assassine". tel est le titre d'un livre de René Guitton publié il y a quelques mois. Jamais ce titre et le contenu de ce livre n'ont été autant d'actualité.

Hier encore en Egypte, en Irak, des barbares tels des vampires assoiffés de sang n'hésitaient pas à assassiner des enfants, des femmes et des hommes innocents dont le seul crime était d'être chrétiens.

Nous sommes entrés dans l'ère de la christianophobie."

 

Mgr di Falco, évêque de Gap et d'Embrun, condamne la christianophobie [2' 53'']

 

Visionner et écouter cette forte et courageuse intervention sur le site de La Porte Latine : http://www.laportelatine.org/communication/videotheque/laportelatine/difalco.php

 

via http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=622096

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 07:38

Vous trouverez ci-dessous copie du courrier que CIVITAS vient d'adresser à chacun des candidats déclarés à l'élection présidentielle.

Pour donner plus de poids à cette démarche de CIVITAS, nous vous invitons à écrire dans le même sens au(x) candidat(es) de votre choix.

 

Madame la candidate,

Monsieur le candidat,

Ces derniers mois 100 000 pétitionnaires ont réagi spontanément aux côtés de l’Institut Civitas pour s’opposer aux spectacles blasphématoires financés par les pouvoirs publics. Cette réaction spontanée prouve que les Français sont très attachés aux racines chrétiennes de leur pays et que les catholiques ne se désintéressent pas des problèmes de société. Malgré la caricature des médias, le but de l’Institut Civitas n’est nullement de partir en campagne à l’appui d’un programme, ni de prendre parti pour un candidat, mais de veiller au respect des principes chrétiens au sein du débat national. A mesure que le message du Christ et de l’Évangile est oublié, les multiplications de lois, les mesures de répressions ou de subventions apparaissent comme autant de moyens inefficaces face à l’injustice grandissante, l’insécurité croissante, la corruption morale et même la faillite économique. Ne voit-on pas que l’individualisme et la perte de tout sens moral sont à la source de ces maux et que la charité chrétienne, fondement d'un ordre économique plus stable, est leur remède ? Aussi, nous désirons vous interroger sur trois thèmes qui tiennent au cœur des Chrétiens : la place de Dieu dans la Société, la famille et l’éducation.

 

La place de Dieu et de la religion est intimement liée à l’identité du pays, marquée par ses cathédrales et ses 40 000 clochers.

 

  1. En tant que chef de l'État, vous engageriez-vous à défendre les références à Dieu ou à la religion chrétienne dans des projets de constitution ou de traités ?
  2. Comment envisagez-vous la préservation du dimanche et des grandes fêtes de tradition chrétienne comme jours chômés pour tous les travailleurs ?
  3. Êtes-vous disposé à supprimer les subventions aux organismes culturels qui feraient la promotion d'œuvres artistiques portant volontairement atteinte à la foi et au sacré ?
  4. Quelles mesures préconisez-vous pour sauvegarder le patrimoine religieux, véritable richesse de la vie locale ?

Que répondrez-vous aux enfants, parents et grands-parents, soucieux de ne pas déstabiliser la famille, source de l’équilibre de l’homme et qui est le cœur de toute société naturelle ?

  1. Êtes-vous disposé à garantir la stabilité du mariage comme l'union d'un homme et d'une femme ?
  2. Comment comptez-vous protéger la vie humaine depuis la conception dans le sein de la mère jusqu'à la mort naturelle ?
  3. Quelles mesures préconisez-vous pour encourager et soutenir les familles nombreuses ?

L'enjeu de l'éducation n'est pas à démontrer ; il est capital pour le relèvement d’un pays. Nombreux sont les catholiques qui s’inquiètent de voir que non seulement le modèle français de l’enseignement laïc a perdu de sa qualité, mais aussi tourne à un laïcisme agressif envers leur religion.

  1. Comment comptez-vous promouvoir l'enseignement libre ?
  2. Acceptez-vous que, dans les programmes ou les ouvrages scolaires, disparaissent les grands personnages de la France chrétienne (Clovis, saint Louis, Jeanne d'Arc) et apparaisse la thèse du gender selon laquelle les individus ne naîtraient pas homme ou femme, mais le deviendraient ?
  3. Quels moyens comptez-vous mettre en œuvre pour lutter sans ambiguïté contre la pornographie à la télévision et sur Internet ?

Ces questions fondamentales touchent la vie quotidienne de tous les Français, électeurs ou non, et nous souhaitons pouvoir leur faire connaître vos solutions à travers notre mailing-list et nos différentes interventions auprès des médias. Nous vous remercions à l’avance de vos réponses et nous vous prions d’agréer, Madame la candidate, Monsieur le candidat, l'expression de nos respectueuses salutations.

Alain Escada
Secrétaire général de Civitas


Institut Civitas

http://www.civitas-institut.com/

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 07:33

L'encyclopédie participative en ligne Wikipedia va fermer son site internet en langue anglaise pendant 24 heures mercredi pour protester contre un projet de loi américain visant à renforcer la lutte contre le téléchargement illégal.

A partir de 05h00 GMT mercredi (minuit sur la côte Est des Etats-Unis), seules des informations sur les projets de loi SOPA (Stop Online Piracy Act) et PIPA (Protect Intellectual Property Act) seront accessibles sur le site. Wikipedia est le dernier poids lourd en date à rejoindre le fronde contre ce projet de loi, qui, selon le fondateur de l'encyclopédie en ligne James Wales, menace l'avenir de la toile.

Source: http://lci.tf1.fr/filnews/monde/wikipedia-va-fermer-son-site-anglais-pendant-24-heures-6936736.html

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 07:18

Le conseiller municipal socialiste (photo), et ancien président de la Lesbian and Gay pride, poursuit sa croisade contre les « extrémistes catholiques« . Dernière cible en date, Fidelis Santé, une mutuelle « qui ne rembourse pas l’avortement ».

Crée le 1er juillet 2010, Fidelis a pour but de « proposer à des assurés respectueux de la Vie, une complémentaire santé qui leur offre d’excellentes garanties adaptées à leur budget ».  L’article 9 de la notice est explicite : « Outre les cas d’exclusions précitées, sont exclus de la garantie les remboursements suivants : avortement, Interruption Volontaire de Grossesse, Interruption médicale de Grossesse, IVG médicamenteuse, RU 486, curetage utérin, contraceptifs de quelque nature qu’ils soient, notamment le stérilet et la pilule du lendemain, procréation médicalement assistée, fécondation in vitro, diagnostic préimplantatoire, diagnostic prénatal, plus généralement, toute opération de nature à interrompre le cours naturel de la vie ».

Il n’en fallait pas plus pour que Matthieu Rouveyre sorte l’artillerie lourde. Dans un article intitulé « Une mutuelle santé brevetée par les extrémistes catholiques », le socialiste accuse : « Cette mutuelle est une insulte au droit des femmes et aux principes fondamentaux de la République ».

Celui qui avait participé à une manifestation contre un « chapelet pour la Vie » en 2010 devant la cathédrale Saint-André (manifestation où l’on entendait « Jésus, Marie on t’encule » ou encore « caca-tholique ») a annoncé son intention d’écrire à Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, « pour faire cesser cette scandaleuse dérive » !

Source: http://www.infos-bordeaux.fr/2012/actualites/violente-attaque-de-matthieu-rouveyre-contre-une-mutuelle-catholique-2373

 

 

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 23:59

Vous recevez ou recevrez peut-être un courrier électronique envoyé par la « CCBF » et signé d'un certain Thierry Jaillet.
Derrière ce sigle se cache un groupe qui se dit « catholique » alors qu’il ne l’est pas : la « Conférence Catholique des Baptisé(e)s de France ».
Cette « Conférence » n’a en effet aucun mandat pour représenter l’Eglise catholique ou parler en son nom.
La CCBF, qui cherche des adhérents et réclame une cotisation de 30 à 50€, se propose de « préparer l’anniversaire de Vatican II ». En réalité, il s’agira surtout de « discuter » le Concile pour en gauchir les enseignements sur la base du très célèbre et très dévastateur « esprit du Concile » dont se prévalent des prêtres qui s’opposent au Magistère, appellent à la désobéissance et réclament la « démocratie » en pastorale aussi bien paroissiale que diocésaine.


Sur le site internet de la C(C)BF, on apprend d’ailleurs ce que revendiquent les prêtres se situant dans le sillage de ce mouvement : « ils prônent l’accueil des divorcés remariés aux sacrements, l’ordination des femmes, refusent des regroupements paroissiaux qui font du prêtre un distributeur anonyme de sacrements, revendiquent le droit des baptisés à célébrer l’Eucharistie, le partage des responsabilités et des décisions avec les laïcs… » Malheureusement, ces prêtres n'ont pas même le courage qu'avait Martin Luther qui, lui, a quitté l'Eglise quand il ne s'est plus senti en accord avec ses enseignements ; eux préfèrent rester "dans" l'Eglise pour la démolir de l'intérieur. Et aussi parce que hors de cette Eglise qu'ils contestent, personne ne prêterait la moindre attention à leurs élucubrations.

 

Source: http://www.proliturgia.org/

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Add. Christroi, 25.04.2012.

 

19/4/12 : Le Saint-Siège rappelle que la « Conférence catholique des Baptisé(e)s de France » n’est en rien « catholique ».

  

Cette « Conférence » ne représente qu’elle même et ce qu’elle déclare, enseigne ou revendique ne peut pas être tenu pour conforme à la foi proclamée par l’Eglise. Il serait important que les évêques diocésains rappellent ce point d'une façon qui écarte définitivement le doute et interdise aux représentant(e)s de la "Conférence" de prendre pied dans les paroisses.

 

 

Source: http://www.proliturgia.org/

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 23:58

Suite à des informations de médias polonais selon lesquels deux Allemands auraient retrouvé et sorti illégalement du territoire polonais des archives des SS du camp allemand d’Auschwitz-Birkenau, le musée du camp a demandé lundi à la justice polonaise d’ouvrir une enquête criminelle dans cette affaire, a indiqué lundi soir à l’AFP, un porte-parole du musée M. Pawel Sawicki. Selon le journal local Nowiny Jeleniogorskie et la radio publique Jedynka, deux citoyens allemands originaires du Schwarzwald (sud-ouest d’Allemagne) auraient déterré près de Przelecz Kowarska, un village en Basse Silésie dans le sud-ouest de la Pologne trois caisses avec des documents du camp d’Auschwitz-Birkenau. Source: http://www.lesoir.be/actualite/le_fil_info/2012-01-16/le-musee-d-auschwitz-birkenau-demande-une-enquete-sur-un-trafic-presume-d-archives-du-camp-890620.php

Il pourrait s'agir de documents de très grande valeur aussi bien historiques pour le Musée du camp, qu'en tant qu'éventuelles pièces à conviction dans des enquêtes toujours menées par l'Institut polonais de la mémoire nationale (IPN) contre des anciens criminels nazis, a souligné le porte-parole. Source: http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/01/16/97001-20120116FILWWW00642-auschwitz-enquete-sur-un-trafic-d-archives.php

 

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 12:59

Les tentatives d'"exporter la démocratie" grâce à la force militaire contribuent à faire monter la tension sociale dans le monde, a écrit le premier ministre russe Vladimir Poutine dans un article publié lundi par le quotidien russe Izvestia.

"Plusieurs régions de la planète font face à la montée de forces destructrices qui menacent en fin de compte la sécurité des tous les peuples du monde. Les Etats qui tentent d'"exporter la démocratie" par la voie militaire se rendent complices de ces forces", a estimé le chef du gouvernement russe, qui briguera son troisième mandat présidentiel le 4 mars prochain.

"Dans ce contexte, la Russie peut et doit jouer un rôle défini par son modèle de civilisation, sa grande histoire, sa géographie et son génome culturel, qui combine de façon organique les bases fondamentales de la civilisation européenne et l'expérience séculaire de coopération avec l'Orient, où se développent actuellement de nouveaux centres de pouvoir économique et politique", a souligné M. Poutine. Source

 

Selon M. Poutine, qui a également a exposé une telle opinion dans un article publié sur son site Internet, les meilleures intentions vont de pair avec la violation du droit international et de la souveraineté nationale. Source

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 08:48

Dans un grand meeting à Rouen, hier dimanche 15 janvier, Marine Le Pen a remarquablement décrit les origines systémiques de la crise (dans un article publié aujourd'hui par le quotidien russe Izvestia, Vladimir Poutine a lui aussi parlé de "crise systémique mondiale") et proposé une solution : la suppression de la loi de 1973. Marine Le Pen a également dénoncé avec force le vol et le mensonge érigés en méthodes de gouvernement. 

 

"Ma génération, dit-elle, entend parler de crise et de chômage depuis qu’elle a l’âge de raison. Une crise qui dure presque 40 ans n’est pas une crise c’est un système !

Ce système il a été voulu, construit, renforcé et il n’est plus temps de savoir si c’est de la part de nos dirigeants successifs par bêtise, par lâcheté ou par cupidité. Dans les 3 cas il suffit de savoir que c’est leur responsabilité et qu’ils sont donc tous discrédités pour y apporter des solutions.

Ce système c’est celui du mondialisme ultralibéral.

Il me faut vous convaincre que cette situation n’est qu’une parenthèse dans notre histoire et non pas une fatalité induite par des évolutions mécaniques du monde à laquelle on ne pourrait que s’adapter (c’est le discours de N. Sarkozy) tout en tentant maladroitement d’en corriger les injustices les plus révoltantes, ou de faire croire qu’on va s’y atteler (c’est le discours de F. Hollande).

Si depuis 40 ans la France s’appauvrit, croyez-moi certains en revanche s’enrichissent !

La classe politique, aveuglée ou complice, délivre un faux diagnostic et apporte par conséquent des solutions qui loin de soigner le pays sont en train de le tuer.

Faisons donc ensemble le bon diagnostic et nous verrons que les solutions s’imposent d’elles-mêmes. 
Il y a près de 40 ans, en 1973 plus précisément, ces beaux messieurs qui nous gouvernent ont fait passer une loi dite « Pompidou/Giscard ». Cette loi a mis fin à un système sain et de bon sens qui voulait que le public finance le public et le privé finance le privé.

Ainsi la Banque de France prêtait au Trésor public français de l’argent à un taux d’intérêt extrêmement faible, ce qui permettait des investissements publics à un cout très avantageux pour les Français. Les banques et autres marchés financiers finançaient, eux, les entreprises privées. Chacun était dans son rôle.

En 1973 nos politiques font un cadeau extraordinaire aux marchés financiers, ils privatisent purement et simplement l’argent public en donnant aux marchés financiers un monopole absolu en matière de prêt tout en interdisant à la Banque de France de prêter au Trésor.

Je ne vous étonnerais pas en vous disant que cette interdiction fut, plus tard, gravée dans le marbre de Maastricht, instituant la monnaie unique : l’euro.

Cette incroyable manne accordée aux marchés financiers est la raison principale de notre gigantesque dette et les Français engraissent chaque année, depuis 40 ans, ces puissances financières. Sans même le savoir.
Ainsi depuis 1973, nous avons payé aux marchés financiers l’équivalent de 1400 milliards d’euros d’intérêts et nous nous retrouvons aujourd’hui avec 1700 milliards d’euros de dette !

Aujourd’hui nous sommes dans une situation folle ou nous empruntons pour rembourser non pas le capital mais les intérêts de notre dette !

N’importe quelle personne un peu sensée sait pertinemment qu’il est alors impossible de s’en sortir.
Mais ce n’est pas tout.

C’est là que les agences de notation entrent en scène.

Elles ont pour vocation d’indiquer aux marchés financiers à qui ces derniers peuvent prêter en toute tranquillité car ils sont sûrs d’être remboursés, et à qui il est dangereux ou très dangereux de prêter car les perspectives économiques de l’emprunteur sont mauvaises. Il s’agit des fameuses notations de triple A à D, et le défaut c’est-à-dire l’incapacité à rembourser sa dette.
Plus la note baisse, plus les marchés financiers prêtent à un taux d’intérêt fort ; plus ils s’enrichissent, plus ils nous appauvrissent, plus ils nous appauvrissent plus ils s’enrichissent.

Et voilà mes chers amis le plus grand hold-up jamais réalisé dans toute l’histoire de l’humanité ! Avec la complicité de notre classe politique qui de l’UMP au PS en passant par le MODEM refuse de briser ce cercle infernal en retirant au marchés ce scandaleux monopole.

Dans ces conditions, ne nous étonnons-pas, il ne reste alors d’autres solutions à M Sarkozy, Hollande, Bayrou que d’imposer aux Français l’austérité, chacun la sienne, pour faire cracher aux Français toujours plus d’argent en leur donnant toujours moins en contrepartie, dans le seul but de rembourser nos usuriers.

C’est ce que j’ai appelé l’esclavage pour dette.

Nous ne travaillons alors plus pour produire des richesses qui améliorent notre niveau de vie, financent des services publics de qualité, construisent les infrastructures de demain, nous travaillons pour rembourser les marchés financiers ;
Nous sommes devenus esclaves et si nous ne faisons rien nous mettrons aussi en esclavages nos enfants, nos petits enfants, nos arrières petits enfants, est cela que nous voulons ? Est ce cela que nous allons leur léguer ? Des chaines ?
Et c’est pourquoi, mes amis, il n’y a pas d’autre solution que de retrouver la maîtrise de notre monnaie nationale car l’euro est l’instrument de notre esclavage. L’euro est notre prison, notre cage ! La souveraineté monétaire est la clef de notre liberté !

Pour supprimer la loi de 1973 et donc le monopole des marchés, et permettre à la banque de France de prêter à nouveau au Trésor sans intérêt, pour déprivatiser l’argent public, il faut que nous puissions à nouveau battre monnaie nationale il n’y a pas d’autres solutions.

Pour éviter l’endettement à perpétuité et le saccage social qui se terminera inéluctablement par un cataclysme financier, nous devons préparer la sortie organisée de l’euro et le retour aux monnaies nationales ;

A la logique de l’improvisation, nous devons opposer la logique de la préparation.

Vous comprenez pourquoi je vous parlais d’un véritable système ; et bien ce système a été construit, voulu, renforcé par l’ensemble de notre classe politique qui fait aujourd’hui payer aux peuples ses propres erreurs.
Vous comprenez mieux pourquoi toute perspective de fin de l’euro les rend fous,
Pourquoi il sont prêts à tout pour le sauver y compris nous ruiner, pourquoi le débat n’est même pas possible sans que fusent les invectives, les anathèmes, les insultes,
Pourquoi ils sont prêts à tous les mensonges pour détourner les Français de la solution possible pour s’en sortir ;
Pourquoi ils amusent la galerie avec des polémiques puériles et stériles,
Pourquoi ils polluent le débat en lançant des mesurettes qui sont autant d’écrans de fumée,

Vous comprenez pourquoi ils refusent d’entrer dans le dur et de débattre du seul vrai sujet de cette présidentielle parce qu’il détermine tous les autres : celui du système économique dans lequel ils nous ont enfermés et qu’ils soutiennent tous, sans exception.

Regardez comme ils s’agitent, regardez comme ils ont peur, peur que leur système soit balayé, et eux avec.
On comprend mieux alors que leur « tout sauf Marine » cache, en réalité le « tout sauf la vérité » ;
La vérité et la liberté voila ce que nous venons offrir au peuple de France."

Et voila pourquoi se renforce chaque jour la dynamique autour de ma candidature,
Voila pourquoi monte cette vague bleu marine qui emporte toutes les vieilles bastilles du mensonge, du désespoir, du conformisme, qui bouscule les puissants et leurs inféodés;
Voila pourquoi se met en marche cette révolution bleu marine qui met la vérité, la liberté la justice et la France au centre de tout !
Oui ça va changer. Et il faut que ça change. 

Partout, ensemble nous allons combattre le mensonge qui asservit !
Et, disons les choses telles qu’elles sont : sous le mandat de Nicolas Sarkozy, jamais le mensonge n’avait atteint un tel niveau. Le mensonge est devenu industriel sous Nicolas Sarkozy, il est systématique, obsessionnel, il est érigé en méthode de gouvernement.

Nicolas Sarkozy a triomphé par le mensonge, il lui revient aujourd’hui en boomerang, et c’est du mensonge qu’il chutera."

Oui, à cette période de la campagne, à ce moment où les Français exigent une confrontation projet contre projet, à ce moment où ils refusent l’incantation et les slogans publicitaires des autres, le boomerang des mensonges est en train de revenir à toute vitesse sur Nicolas Sarkozy. Il ne pourra pas y échapper.

Boomerang sur Seafrance, où l’UMP et le PS viennent pleurer des larmes de crocodile sur les conséquences de leurs propres choix, ceux d’une Europe ultralibérale et antisociale !
Boomerang sur la dette, où le président qui se disait « protecteur » est en réalité « l’homme qui valait 500 milliards », 500 milliards de dette supplémentaire en un quinquennat, record historique !

Boomerang sur l’euro, où les batman de la politique politicienne nous ont fait croire un an durant qu’ils avaient tout réglé, tout sauvé, l’euro, la Grèce, l’Europe, le monde !
Je me souviens de la promesse une de plus de N.Sarkozy : « je n’ai pas été élu pour que la France soit dans la même situation que l’Espagne, l’Italie et la Grèce ».

La perte hier du triple A de la France prouve exactement l’inverse ; Nous avons emprunté le même escalier que l’Italie et la Grèce, certes nous ne sommes pas encore au même étage mais ça va venir, je vous ai expliqué tout à l’heure pourquoi c’est inexorable et pourquoi si nous ne sortons pas de leur modèle économique, nous rejoindrons nos amis européens au rez-de-chaussée, dans la tourmente, la souffrance et la précarité.

Source et suite: http://www.nationspresse.info/?p=156578

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- Money as debt - L'argent dette

- Banksters : le vol du siècle

- Mensonge du siècle : "sauf accident majeur, cette opération n'aura pas de coût pour le contribuable" (François Fillon)

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 08:32

Moscou présentera annuellement des rapports sur les violations des droits de l'homme dans le monde, a déclaré Konstantin Dolgov, délégué aux droits de l'homme du ministère russe des Affaires étrangères, dans une interview au journal Kommersant Vlast publiée lundi.

"Nous voulons préparer et publier de tels rapports régulièrement, probablement une fois par an", a dit M.Dolgov.

La Russie pourra donner ses avis sur la situation des droits de l'homme dans le monde plus fréquemment, sans dresser de rapports complets. Le nombre des pays mentionnés dans ces documents pourra être augmenté.

"Nous suivrons la situation des droits de l'homme dans le monde et si c'est nécessaire, le nombre des pays mentionnés sera augmenté", a souligné le responsable.

Un premier rapport russe sur les droits de l'homme dans le monde, évoquant notamment la situation aux Etats-Unis, en Europe et en Géorgie, a été publié le 28 décembre 2011.

 

Source: http://fr.rian.ru/world/20120116/193039549.html

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 08:28

Le monde fait face à une "crise systémique grave", prélude à une période de turbulences longue et pénible, a déclaré le premier ministre et candidat à la présidentielle Vladimir Poutine, dans un article publié lundi par le quotidien Izvestia.

"Oui, les fluctuations conjoncturelles peuvent être surmontées. La majorité des pays ont mis au point plusieurs mesures tactiques qui permettront avec plus ou moins de succès de réagir aux effets les plus flagrants de la crise. Mais plus fondamentalement et à plus long terme, les problèmes actuels ne sont pas conjoncturels. Le monde d'aujourd'hui fait face à une crise systémique grave, un processus tectonique de transformation globale. C'est une manifestation globale du passage à une nouvelle époque culturelle, économique, technologique et géopolitique", estime M.Poutine.

Selon lui, le monde entre dans une période de turbulences.
"Assurément, cette période sera longue et pénible. Il ne faut pas se faire d'illusions là-dessus", a conclu le premier ministre.

Source: http://fr.rian.ru/world/20120116/193039357.html

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 08:09

La Banque centrale de Russie met aujourd'hui en circulation une pièce en argent de 25 roubles consacrée au sommet de la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC) qui se tiendra à Vladivostok.

Sur sa face: l'aigle bicéphale, emblème de la banque, est gravé. Au revers on voit le logotype de l'APEC en couleurs.

La pièce de 60 mm de diamètre est tirée à 1 000 exemplaires.

Source

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 23:59

L'opération de liquidation des principaux scientifiques nucléaires iraniens et des experts dans le domaine de la création des missiles-porteurs n’est qu’un prologue avant les attaques militaires sur les installations nucléaires en Iran, affirme ce dimanche le journal britannique The Sunday Times se référant à des sources israéliennes.

Ces meurtres sont un prélude, et non pas une alternative à l’opération militaire. Ils posent comme objectif de compliquer le rétablissement de l'industrie nucléaire de l’Iran après d’éventuels bombardements», indique le journal.

En ce qui concerne les circonstances du meurtre d’un employé du centre nucléaire de Natanz, Mostafa AhmadiRochan, le 11 janvier dernier, The Sunday Times affirme que le scientifique est devenu l'objet d’une opération complexe, à laquelle participaient les agents israéliens.

Le Time Magazine américain a également déclaré vendredi 13 janvier que les services de renseignement israéliens auraient une part de responsabilité dans l'élimination des scientifiques nucléaire iraniens, se référant aux sources dans les services de renseignement. Cependant les autorités iraniennes ont rendu hier, 14 janvier, responsable la CIA, en affirmant que l’Iran a des preuves du fait que l’assassinat du 11 janvier a été planifié et réalisé avec la participation directe des Américains. Source: http://french.ruvr.ru/2012/01/15/63895546.html

Le scientifique nucléaire Mostafa Ahmadi Roshan a été tué mercredi 11 janvier dans l’explosion d’une bombe magnétique placée sous sa voiture en plein centre de la capitale. Cet assassinat a lieu un an après celui d’un autre savant nucléaire iranien Majid Shahriari.

Les obsèques de Mostafa Ahmadi Roshan ont eu lieu vendredi 13 janvier à Téhéran. Quelques dizaines de milliers de personnes ont participé aux obsèques en scandant des slogans antioccidentaux qui sont typiques pour les rassemblements en Iran.

Source: http://french.ruvr.ru/2012/01/13/63816644.html

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 23:59

Une manifestation réclamant le retrait de la Hongrie des institutions européennes a eu lieu samedi à Budapest, rapportent les médias occidentaux.

Organisé par le parti d'extrême-droite Jobbik (Pour une nouvelle Hongrie), l'événement a réuni près de 3.000 personnes. Deux députés hongrois de ce parti nationaliste ont mis le feu à un drapeau européen.

"La Hongrie doit sortir de l'UE. L'Europe ne nécessite que notre main d'œuvre pas chère, nos marchés et un endroit où on peut jeter les ordures", a déclaré le leader des nationalistes Gábor Vona.

En novembre 2011, la Hongrie, qui se heurte à de graves difficultés financières, a adressé une demande d'aide officielle à l'Union européenne et au Fonds monétaire international. Pour la recevoir, Budapest doit amender une loi portant sur l'indépendance de sa banque centrale.

Les positions des nationalistes sont assez fortes en Hongrie. Le parti Jobbik a notamment reçu 47 sièges au parlement suite aux élections qui ont eu lieu en avril 2010.

Source: http://fr.rian.ru/world/20120115/193034068.html

 

Dans un reportage d'Euronews on peut entendre la journaliste affirmer, dans une belle inversion accusatoire... : "entrée en vigueur le 1er janvier la nouvelle constitition hongroise menace notemment l'indépendance de la banque centrale". C'est l'inverse qui est vrai: la nouvelle constitution renforce l'indépendance de la banque centrale hongroise; raison pour laquelle l'U.E., le F.M.I., Washington et autres relais nouvel-ordre-mondialistes critiquent cette constitution.

 

Bruxelles a annoncé être prêt à utiliser tous ses pouvoirs pour que Budapest respecte les règles de l’Union.

“D’autres pays pensent également qu’il serait mieux d‘être en dehors de l’Union européenne, assurait un manifestant. On aurait évité d‘être dans cette situation”.

Un député de Jobbik a même été plus loin en indiquant que l’annonce de Bruxelles était une une déclaration de guerre. 

 
Un drapeau européen brûlé: l'image est plutôt rare. Ce sont deux députés hongrois du parti d'extrême-droite Jobbik qui ont mis le feu au symbole de l'Union européenne hier à Budapest. Deux mille sympathisants de Jobbik réclament le retrait de la Hongrie des institutions européennes. ... http://fr.euronews.net/2012/01/15/hongrie-manifestation-de-l-extreme-droite-contre-l-union-europeenne/
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