« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
A tous les catholiques tentés de voter pour ce valet des "Lumières" :
http://www.godf.org/uploads/actualite/discours_275_minint.pdf , page 4, 1er paragraphe :
"La franc-maçonnerie a joué un rôle décisif dans l’affirmation du caractère laïc de la République. Chacun sait que les motifs d’un tel enthousiasme étaient complexes et non dénués d’intentions politiques. Historiquement, la laïcité c’est d’abord un combat pour la consolidation de la République contre la religion catholique supposée monarchiste."
Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur, de la Sécurité Intérieure et des Libertés locales, mardi 24 juin 2003.
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Merci à Jerome
Complot contre Poutine
Une étape cruciale de la stratégie américaine
Il faut faire sauter le verrou russe. C’est devenu l’obsession de Washington. La Russie et son retour en puissance constituent, désormais, l’obstacle principal à la réussite de la stratégie américaine de contrôle du monde, par ses ressources énergétiques. Car les Américains, tout en étant conscients de leur affaiblissement, restent, cependant, toujours persuadés qu’ils ont une mission messianique de domination du monde. Pour son bien.
Mais, l’échec, au regard des objectifs visés, des interventions militaires en Irak, puis en Afghanistan, a engendré une nouvelle stratégie plus subtile et plus efficace. Il s'agit d’une subversion des régimes considérés comme hostiles. Cela ne concerne évidemment que les régimes autoritaires, et non totalitaires comme nous l’avons déjà analysé à l'occasion de la succession coréenne.
Ce sera les « l’insurrection démocratique », comme en Libye ou en Syrie. Il s'agit là de mouvements ethniques ou religieux, mettant en cause le pouvoir établi et demandant la démocratie pour établir leur propre domination. Les rebellions se transforment, rapidement, en guerres civiles que l’on appuie militairement, directement comme en Libye, indirectement comme en Syrie.
En Russie est appliquée la « déstabilisation électorale », celle qui suit un vote. Le scrutin est, dès le lendemain, qualifié, par les Américains et leurs alliés internationaux ou de l’intérieur, comme « contesté et controversé ». On finance alors des opposants qui tentent de tenir la rue devant des médias acquis. Cela a déjà été réalisé en Ukraine. Cela a été tenté en Iran. C'est à l’œuvre actuellement en Russie. Ce qui étonne, chaque fois, c’est la naïveté des régimes visés par ces procédés connus et leur incapacité à empêcher leur déclenchement.
L’indispensable domination énergétique du monde pour ralentir un déclin inévitable passe par la déstabilisation de la Russie de Poutine et la mise au pouvoir, à Moscou, d’un régime normalisé. En effet, des pays arabo-musulmans à l’Asie centrale, quel est le véritable obstacle à l'impérialisme libéral et énergétique américain ? La Russie puissance. Une Russie assimilée à un homme : Poutine. Il faut donc faire sauter Poutine.
Une preuve, parmi d'autres, de l'instrumentalisation préméditée ? Une photo qui a fait le tour du monde. Un visage représente les "manifestants de la liberté" : celui d’une vielle femme ridée, une ex-communiste forcément, nostalgique de Staline et des goulags. Un drôle de visage, tout de même, pour le combat démocratique.
Elle brandit une photo de Poutine, un cliché numérisé du dirigeant vieilli, blanchi et ridé. Or la vielle n’a sans doute jamais vu un ordinateur. Et si elle en a vu un, elle est bien incapable de s’en servir. L’image numérique a donc été préparée par des officines technologiques. Cette seule photo prouve la manipulation des contestataires et confirme les accusations du Kremlin sur la main des Américains dans les manifs anti-Poutine.
Comme Washington préfère les Islamistes à Moubarak, ils semblent prêts à ramener les Soviétiques pour en finir avec Poutine. Une politique à courte vue pour les intérêts immédiats des USA, qui s’est payée au prix fort en Afghanistan, où l'Islamisme a été joué contre le soviétisme. Décidément, les dirigeants américains ne tirent leçon de rien. Parfois, les ennemis de mes ennemis peuvent être mes pires ennemis aussi.
La stratégie de la déstabilisation par le vote, possible dans les régimes autoritaires, est efficace. Mais elle peut échouer, comme en Iran. Si elle échoue en Russie, on peut faire confiance à Poutine pour en tirer les leçons et tenter, par tous les moyens, de se venger de ceux qui, de toute évidence, veulent sa peau, au moins politique.
Source: http://metamag.fr/metamag-554-Complot-contre-Poutine-Une-etape-cruciale-de-la-strategie-americaine.html via http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/complot-contre-poutine-106981
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- La tentative américaine de créer une "révolution de couleur" en Russie
La France a débloqué 5 millions d'euros pour la préservation de l'ancien camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, installé par l'Allemagne nazie dans le sud de la Pologne, a annoncé mardi la direction du musée d'Auschwitz.
Cet argent sera versé pendant cinq ans, à partir de 2012, a indiqué dans une lettre adressée à Simone Veil, ancienne déportée d'Auschwitz et présidente d'honneur de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, le Premier ministre français, François Fillon, cité sur le site internet du musée.
Reportage dans le Israel Today sur le message du rabbin Kaduri à propos de la venue du Messie, durant la dernière année de sa vie sur terre transmis en Janvier 2006. Avant de nous quitter, cependant, il a apparemment laissé deux indices au sujet du Messie (Mashiach.) Tout d'abord, que le Messie apparaîtrait après la mort d'Ariel Sharon, toujours dans le coma depuis 2006, et ensuite il a révélé le nom du Messie : Yehoshua (Jésus).
- Stupeur en Israël, Jésus serait le Messie !
"Pour ma part, je sympathise volontiers avec les 'indignés' qui, en plusieurs endroits du monde, protestent contre les méfaits du néolibéralisme qui déferle actuellement sur la planète"
Le primat de Belgique a indiqué avoir une pensée particulière pour tous ceux qui se retrouvent sans toit pour les accueillir, "à l'image de Marie et de Joseph en la nuit du premier Noël".
Plus largement, l'archevêque a également évoqué les nombreuses victimes "de la redoutable crise financière que traverse l'Europe".
"Pour ma part, je sympathise volontiers avec les 'indignés' qui, en plusieurs endroits du monde, protestent contre les méfaits du néolibéralisme qui déferle actuellement sur la planète, engendrant chômage, exclusion, pauvreté matérielle et spirituelle, parce que l'économie de profit est idolâtrée au détriment des plus vulnérables. Sans oublier les crises financières causées par la recherche effrénée du rendement immédiat et dont la facture sera principalement payée par les plus faibles", a indiqué le prélat.
C'est pourquoi Mgr Léonard a plaidé pour une économie de communion, prenant l'exemple du système belge de sécurité sociale, "où les plus nantis ont l'obligation de cotiser pour les moins favorisés".
"Comme le Pape, j'estime que c'est le devoir de l'Etat de corriger les excès de l'économie de marché afin de garantir le bien commun en obligeant les plus fortunés à se montrer solidaires des plus démunis. C'est pourquoi aussi j'appelle de mes voeux une autorité politique mondiale qui, tout en respectant le principe de subsidiarité, garantirait progressivement une solidarité entre toutes les nations de la planète", a-t-il indiqué.
L'archevêque a conclu son homélie en indiquant espérer de tout coeur que cette "utopie" se réalisera un jour.
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Note de Christroi. Sous prétexte de lutte contre les "méfaits du néolibéralisme", l'archevêque de Malines-Bruxelles Mgr André Léondard appelle de ses voeux à la création d'une "autorité politique mondiale". Cette tournure d'esprit tendant à se servir du chaos pour aboutir à un nouvel ordre relève du mécanisme maçonnique de l'Ordre (maçonnique) par le chaos (maçonnique lui aussi...) Ordo ab chao. Alors infiltration de l'Eglise ? Le même archevêque avait en octobre 2010 ouvert une brèche dans la remise en cause du célibat sacerdotal, et déclara en janvier 2010 qu'il préférait les orthodoxes, les protestants, les droits de l'homme, les musulmans et les francs-maçons aux intégristes "qui ont des visions étriquées sur le plan intellectuel, philosophique et théologique".---------------------------------------
Dans le prochain Courrier de Rome (n°350 – décembre 2011), l’abbé Jean-Michel Gleize, professeur d’ecclésiologie à Ecône, répond à l’article de Mgr Fernando Ocariz paru dans L’Osservatore Romano du 2 décembre 2011 (lire DICI n°246 du 09/12/11). Tous deux ont participé aux entretiens doctrinaux sur Vatican II, à Rome, d’octobre 2009 à avril 2011.
Avec l’aimable autorisation du Courrier de Rome, DICI est heureux de pouvoir présenter à ses lecteurs des extraits significatifs de cette remarquable étude intitulée Une question cruciale.
(…) On pourrait sans doute se féliciter de voir enfin un théologien du Saint-Siège introduire toutes ces nuances, et opposer ainsi un déni des plus formels, quoiqu’implicite, à toutes les présentations unilatérales qui ont jusqu’ici présenté le concile Vatican II dans une optique maximaliste, comme un dogme absolument intouchable, « plus important encore que celui de Nicée ». Cependant, aussi séduisante soit-elle dans les nuances et les distinctions qu’elle apporte, une pareille analyse véhicule dans sa racine un postulat qui est loin d’être évident. L’étude de Mgr Ocariz évite ainsi de répondre à la question cruciale, qui reste encore pendante entre la Fraternité Saint-Pie X et le Saint-Siège. Plus exactement, la réponse à cette question semble si bien aller de soi aux yeux du prélat de l’Opus Dei que tout se passe comme s’il n’avait jamais été nécessaire de l’aborder. Ou comme si le débat ne devait jamais avoir lieu.
Celui-ci s’impose pourtant plus que jamais. Il est en effet loin d’être évident que le dernier Concile puisse s’imposer, en tout et pour tout, aux yeux des catholiques comme l’exercice d’un véritable magistère, réclamant leur adhésion aux différents niveaux indiqués. Si l’on se rappelle en effet la définition traditionnelle du magistère, on est bien obligé de constater que les procédés de Vatican II ne s’y conforment guère. D’autant moins que cette nouveauté intégrale du 21e concile œcuménique s’explique profondément en raison de présupposés absolument inédits. (…)
Le fait de Vatican II : des enseignements nouveaux contraires à la Tradition
Au moins sur quatre points, les enseignements du concile Vatican II sont évidemment en contradiction logique avec les énoncés du magistère traditionnel antérieur, de sorte qu’il est impossible de les interpréter en conformité avec les autres enseignements déjà contenus dans les documents antérieurs du magistère ecclésiastique. Vatican II a donc rompu l’unité du magistère, dans la mesure même où il a rompu l’unité de son objet.
Ces quatre points sont les suivants. La doctrine sur la liberté religieuse, telle qu’elle s’exprime dans le n° 2 de la Déclaration Dignitatis humanæ contredit les enseignements de Grégoire XVI dans Mirari vos et de Pie IX dans Quanta cura ainsi que ceux du pape Léon XIII dans Immortale Dei et ceux du pape Pie XI dans Quas primas. La doctrine sur l’Eglise, telle qu’elle s’exprime dans le n° 8 de la constitution Lumen gentium contredit les enseignements du pape Pie XII dans Mystici corporis et Humani generis. La doctrine sur l’œcuménisme, telle qu’elle s’exprime dans le n° 8 de Lumen gentium et le n° 3 du décret Unitatis redintegratio contredit les enseignements du pape Pie IX dans les propositions 16 et 17 du Syllabus, ceux de Léon XIII dans Satis cognitum, et ceux du pape Pie XI dans Mortalium animos. La doctrine sur la collégialité telle qu’elle s’exprime dans le n° 22 de la constitution Lumen gentium, y compris le n° 3 de la Nota prœvia, contredit les enseignements du concile Vatican I sur l’unicité du sujet du pouvoir suprême dans l’Eglise, dans la constitution Pastor æternus. (…)
Une nouvelle problématique
En conformité avec le Discours de Benoit XVI à la Curie Romaine, le 22 décembre 2005, Mgr Ocariz pose le principe d’une « interprétation unitaire », d’après lequel les textes du concile Vatican II et les documents magistériels précédents doivent s’éclairer mutuellement. L’interprétation des nouveautés enseignées par le concile Vatican II doit donc repousser, comme le dit Benoît XVI, « l’herméneutique de la discontinuité par rapport à la Tradition, tandis qu’elle doit affirmer l’herméneutique de la réforme, du renouveau dans la continuité ». Il y a là un nouveau vocabulaire qui exprime clairement une nouvelle problématique. Celle-ci inspire tout le propos de Mgr Ocariz. « Une caractéristique essentielle du magistère », écrit-il, « est sa continuité et son homogénéité dans le temps ».
Si on parle de « continuité » ou de « rupture », cela devrait s’entendre, au sens traditionnel, d’une continuité ou d’une rupture objective, c’est-à-dire par rapport à l’objet de la prédication de l’Eglise. Cela équivaudrait à parler de l’ensemble des vérités révélées telles que le magistère de l’Eglise les conserve et les expose, tout en leur donnant la même signification, et sans que la prédication présente puisse contredire la prédication passée. La rupture consisterait à porter atteinte au caractère immuable de la Tradition objective et serait alors synonyme de contradiction logique entre deux énoncés dont les significations respectives ne pourraient se vérifier simultanément.
Mais il faut se rendre à l’évidence et reconnaître que le mot « continuité » n’a pas du tout ce sens traditionnel dans le discours actuel des hommes d’Eglise. On y parle précisément de continuité à propos d’un sujet qui évolue au cours du temps. Il ne s’agit pas de la continuité d’un objet, celle du dogme ou de la doctrine, que le magistère de l’Eglise proposerait aujourd’hui, en lui donnant le même sens que jadis. Il s’agit de la continuité de l’unique sujet Eglise. Benoît XVI parle d’ailleurs exactement non de la continuité mais « du renouveau dans la continuité de l’unique sujet-Eglise, que le Seigneur nous a donné ; c’est un sujet qui grandit dans le temps et qui se développe, restant cependant toujours le même, l’unique sujet du Peuple de Dieu en marche ». A l’inverse, ajoute-t-il aussitôt, « l’herméneutique de la discontinuité risque de finir par une rupture entre Eglise préconciliaire et Eglise post-conciliaire ». Cela signifie que la rupture doit se situer au même niveau : c’est une rupture entre deux sujets, au sens où l’Eglise, l’unique sujet du Peuple de Dieu, ne serait plus la même avant et après le Concile. (…)
Le nœud du dilemme
Dans la logique de Vatican II et du Discours de 2005, l’objet est en tant que tel relatif au sujet. Dans la logique de Vatican I, et de tout l’enseignement traditionnel de l’Eglise, le sujet est en tant que tel relatif à l’objet. Ces deux logiques sont inconciliables.
Le magistère, à quelque époque qu’il soit, doit rester l’organe du dépôt de la foi. Il se dénature dans la mesure même où il altère ce dépôt. Il est faux que des principes divinement révélés et explicités par le magistère antérieur ne s’imposeraient plus nécessairement, sous prétexte que le sujet-Eglise les vit différemment à travers la contingence de l’histoire, ou que le Peuple de Dieu se trouve conduit à établir une relation nouvelle entre sa foi et le monde moderne. Des principes que l’on applique en matière contingente (comme ceux qui fondent toute la doctrine sociale de l’Eglise) ne sont pas contingents. Sans doute, l’immutabilité substantielle de la vérité révélée n’est pas absolue, car l’expression conceptuelle et verbale de cette vérité peut gagner en précision. Mais ce progrès n’entraîne aucune remise en cause du sens de la vérité, qui devient seulement plus explicite dans sa formulation. Les principes restent nécessaires, quelles que soient les différentes formes concrètes de leur application. Cette distinction entre principes et formes concrètes s’avère factice en ce qui concerne la doctrine sociale de l’Eglise, et c’est en vain que Benoît XVI y recourt dans son Discours de 2005 pour légitimer la déclaration Dignitatis humanæ.
Pour en revenir à Vatican II, la question fondamentale est de savoir quel est le principe premier qui doit servir de règle ultime à l’activité du magistère. Est-ce le donné objectif de la révélation divine, telle qu’il s’exprime dans sa substance définitive à travers le magistère du Christ et des apôtres, auquel le magistère ecclésiastique ne fait que succéder ? Est-ce l’expérience communautaire du Peuple de Dieu, dépositaire (et pas seulement destinataire) du don de la Vérité en tant que porteur du sens de la foi ? Dans le premier cas, le magistère ecclésiastique est l’organe de la Tradition et il dépend comme de sa règle objective du magistère divino-apostolique ; la question est alors de savoir si les enseignements objectifs du concile Vatican II sont ceux d’un magistère constant et d’une Tradition immuable. Dans le second cas, le magistère ecclésiastique est le porte-parole fédérateur de la conscience commune du Peuple de Dieu, chargé d’établir la cohésion spatio-temporelle de l’expression du sensus fidei ; Vatican II est alors pour le sujet-Eglise le moyen d’exprimer en langage conceptuel son sensus fidei, vécu et réactualisé dans le respect des contingences de l’époque moderne.
Herméneutique et réinterprétation
Aux yeux de Mgr Ocariz, les enseignements de Vatican II représentent des nouveautés, « au sens où ils explicitent des aspects nouveaux, non encore formulés par le magistère, mais qui, au plan doctrinal, ne contredisent pas les documents magistériels précédents ». La juste exégèse des textes du Concile présupposerait donc apparemment le principe de non-contra- diction. Apparence trompeuse, puisque la non-contradiction n’a plus du tout le même sens que jusqu’ici.
Le magistère de l’Eglise a toujours entendu ce principe dans le sens d’une absence de contradiction logique entre deux énoncés objectifs. La contradiction logique est une opposition qui a lieu entre deux propositions dont l’une affirme et l’autre nie le même prédicat du même sujet. Le principe de non-contradiction exige que si cette opposition a lieu, les deux propositions ne puissent être vraies en même temps. Ce principe est une loi de l’intelligence et il ne fait qu’exprimer l’unité de son objet. La foi se définissant comme une adhésion intellectuelle à la vérité proposée par Dieu, elle vérifie ce principe. L’unité objective de la foi correspond elle aussi à une absence de contradiction dans les énoncés dogmatiques.
L’herméneutique de Benoît XVI entend désormais ce principe dans un sens non plus objectif mais subjectif, non plus intellectualiste mais volontariste. L’absence de contradiction est synonyme de continuité, au niveau du sujet. La contradiction est synonyme de rupture, au même niveau. Le principe de continuité n’exige pas d’abord et avant tout l’unité de la vérité. Il exige d’abord et avant tout l’unité du sujet qui se développe et grandit au cours du temps. C’est l’unité du Peuple de Dieu, tel qu’il vit dans le moment présent, dans le monde de ce temps, pour reprendre l’intitulé suggestif de la constitution pastorale Gaudium et spes. Unité qui s’exprime à travers la seule parole autorisée du magistère présent, précisément en tant que présent. Mgr Ocariz le souligne : « Une interprétation authentique des textes conciliaires ne peut être faite que par le magistère même de l’Eglise. C’est pourquoi le travail théologique d’interprétation des passages qui, dans les textes conciliaires, suscitent des interrogations ou semblent présenter des difficultés, doit avant tout tenir compte du sens dans lequel les interventions successives du magistère ont entendu ces passages. » Ne nous y trompons pas : ce magistère qui doit servir de règle d’interprétation est le nouveau magistère de ce temps, tel qu’issu de Vatican II. Ce n’est pas le magistère de toujours. Comme on l’a justement fait remarquer, Vatican II doit se comprendre à la lumière de Vatican II, réinterprétant dans sa propre logique de continuité subjective et vitale tous les enseignements du magistère constant.
Le magistère de l’Eglise ne s’est jamais compromis jusqu’ici dans une telle pétition de principe. Il s’est toujours voulu fidèle à sa mission de conserver le dépôt. Sa principale justification a toujours été d’en référer aux témoignages de la Tradition objective, unanime et constante. Son expression a toujours été celle de l’unité de la vérité. (…)
Voilà pourquoi nul ne saurait se satisfaire aujourd’hui de soi-disant « espaces de liberté théologique », au sein même de la contradiction introduite par Vatican II. Le désir profond de tout catholique fidèle aux promesses de son baptême est d’adhérer en toute soumission filiale aux enseignements du magistère de toujours. La même piété exige aussi, avec une urgence grandissante, de remédier aux graves déficiences qui paralysent l’exercice de ce magistère depuis le dernier Concile. C’est dans ce but que la Fraternité Saint-Pie X souhaite encore et plus que jamais une authentique réforme, au sens où il s’agit pour l’Eglise de rester fidèle à elle-même, de demeurer ce qu’elle est dans l’unité de sa foi, et de conserver ainsi sa forme d’origine, dans la fidélité à la mission reçue du Christ. Intus reformari. (Source : Courrier de Rome – Les passages soulignés en gras sont de la rédaction – DICI n°247 du 23/12/11)
Texte intégral de l’étude de l’abbé Gleize, avec une soixantaine de notes infrapaginales, dans le Courrier de Rome n°350 (3 €) : B.P. 10156 – 78001 Versailles Cedex.
Texte intégral de l’étude de l’abbé Gleize en italien (avec l’aimable autorisation du Courrier de Rome et du site du district d’ltalie de la FSSPX)
Source: http://www.dici.org/documents/debat-sur-le-concile-vatican-ii-labbe-gleize-repond-a-mgr-ocariz/
"Les "Amis des Fraternités Notre-Dame de l'Etoile" est une association crée en 2010 par des laïcs de la paroisse de Chatillon-sur-Indre dans le Berry. Elle permet à des jeunes garçons trisomiques de vivre en fraternité au sein d'une famille d'accueil agréée pour grandir humainement et spirituellement. Temps de travail, temps de détente et temps de prière rythment les journées de la fraternité. Explications en images et en musique..." http://fr.gloria.tv/?media=231417
Une étude américaine met en évidence le tassement du christianisme occidentalet son expansion dans les pays du Sud. Il demeure de loin la première religion mondiale.
Le christianisme est de loin la première religion du monde. Il regroupe dans ses trois grandes confessions (catholique, orthodoxe et protestante) 2,184 milliards d'individus, soit plus d'un tiers de l'humanité, 31,7% précisément. L'islam arrive en seconde position, avec 1,619 milliard de fidèles, soit un peu moins d'un quart de la population mondiale qui est de 7 milliards. Mais l'un des intérêts majeurs de l'étude publiée cette semaine à Washington par The Pew Forum on Religion & Public Life, un centre de recherche américain, est de démontrer que, sur un siècle, la population chrétienne a certes triplé - au rythme d'ailleurs de la population mondiale -, mais elle a surtout opéré un glissement démographique vers le Sud.
S'il y a encore aujourd'hui 69% de chrétiens dans le Nord (selon le découpage particulier de cette enquête: Amérique du Nord, Europe, Australie, Japon et Nouvelle-Zélande), ils sont maintenant 23,5% dans le Sud (entendez le reste du monde). Mais en 1910 les chrétiens n'étaient que 9,2% dans cette zone Sud du monde et 86,7% dans la zone Nord.
Une dynamique qui va se confirmer au fil des décennies à venir même si la notion de christianisme, qui inclut l'orthodoxie russe et les mouvements évangéliques également en expansion en Europe, gardera toujours sa forte assise dans ce que cette étude appelle «le Nord».
Cette Europe où vivent 26% des chrétiens quand 37% résident sur le continent américain, 13% en Asie et dans le Pacifique et… 24% en Afrique subsaharienne. Mais c'est sur le continent africain que se joue une large part de la dynamique du futur, notamment vis-à-vis de l'islam (lire ci-dessous). En 1910, l'Afrique subsaharienne comptait 9% de chrétiens, ils sont huit fois plus un siècle plus tard, soit 63% de la population! Aucune autre région du monde n'a connu une telle expansion. À titre de comparaison, les chrétiens en Asie sont passés de 3 à 7% sur cette même période.
De même il est remarquable d'observer que les terres qui ont vu naître et se développer le christianisme pendant les deux premiers siècles de l'ère chrétienne, le Proche-Orient et la Turquie mais aussi l'Afrique du Nord, sont aujourd'hui les zones du monde où cette religion est la moins représentée à l'exception de certaines zones d'Asie. On compte en effet sur cet arc Est et Sud méditerranéen environ 13 millions de chrétiens, soit moins de 4% de la population. Et il est à prévoir que cette proportion diminue encore en raison de la situation politique peu favorable, le cas irakien est emblématique, et de la forte pression de l'islamisme. Il y a en revanche plus de chrétiens en Indonésie, le plus grand pays musulman du monde, que dans toute cette zone du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord…
Seulement 10% des chrétiens dans le monde vivent d'ailleurs en situation de minoritaires. Mais l'écrasante majorité, 9 sur 10, vit des situations de majoritaires dans 158 pays. Vu sous un autre angle, ce tiers chrétien de la population mondiale est majoritaire sur les deux tiers des pays et territoires du monde.
Mais cette notion de majorité chrétienne, soulignée par l'enquête, reste très théorique tant cette religion est divisée en confessions qui ne parviennent pas à s'entendre.
Les catholiques, avec 1 milliard et 100 millions de fidèles selon cette source, représentent la moitié des chrétiens du monde quand les protestants, toutes dénominations confondues forment 37% et les orthodoxes 12%. Mais le glissement progressif vers le Sud du christianisme offre des surprises étonnantes comme celle de voir par exemple le Nigeria compter aujourd'hui deux fois plus de protestants que… l'Allemagne, qui est pourtant la terre de naissance de cette confession fondée par Martin Luther.
Autre paradoxe mis en évidence dans cette passionnante enquête disponible en anglais sur le site www.pewforum.org, le fait que le Brésil compte maintenant deux fois plus de catholiques que l'Italie même si chaque année une partie des 134 millions de catholiques brésiliens, 67% de la population, rejoint les Églises évangéliques.
Cette année 2012 marquera le six-centième anniversaire de la naissance de Sainte Jeanne d'Arc. Rendez-vous le 6 janvier prochain. En cette fête de l'Epiphanie qui est aussi la date de naissance de Jeanne d'Arc, humble jeune fille de Domrémy au destin de Sainte, Civitas tient à célébrer avec solennité cet anniversaire.
L'Assemblée nationale a voté ce jeudi 22 décembre, à une large majorité, une loi sur la négation des génocides, cette loi prévoit un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende pour toute négation publique d’un génocide.
Tous les génocides ? Non, seulement les génocides reconnus par la loi française, c'est à dire la shoah et le génocide arménien.
La France, toujours prompte à faire la leçon à tout le monde, devrait peut-être regarder son histoire de plus prés. C'était le sens d'un papier d'Yvan Rioufol, du Figaro, daté du 21 décembre, soit la veille du vote de cette loi.
De quoi parle-t-on ? De la révolution française, dont on chante les louanges dans tous nos manuels d'histoire, à l'école, mais dont on nie une des réalités : celle du génocide vendéen. Pourquoi parler de génocide pour désigner ce qu'on appelle La guerre de Vendée ? L'historien Reynald Secher a établi qu'il y avait bien eu une "extermination partielle ou totale d'un groupe humain de type ethnique, ou racial, ou politique, ou religieux", pour reprendre la définition du génocide. La Révolution avait tout simplement décidé, après la guerre civile de mars à août 1793, de supprimer la Vendée et ses plus de 800.000 habitants. Et comme les nazis le firent ensuite avec les juifs, le massacre fut organisé et planifié, n'épargnant personne, ni les femmes ni les enfants. A Nantes, par exemple, les victimes liées entre elles étaient noyées dans la Loire, et non seulement la République n'a jamais reconnu ces crimes, mais elle a réussi à faire passer les victimes pour des coupables, les vendéens, les ventres à choux étant, pour la version officielle, des salauds anti-révolutionnaires.
On attend maintenant avec impatience l'opinion de l'Assemblée Nationale. Saura-t-elle reconnaître l'horreur de ce crime avec le même zèle, cet épisode tragique de notre histoire sera-t-il enseigné dans sa réalité à l'Ecole de la République ?
La loi Gayssot, certainement animée des meilleurs intentions, avait déjà induit l'idée qu'il y a une vérité d'État comme il y a une raison d'État. Avec cette nouvelle loi qui montre un pays du doigt, en l'occurrence la Turquie, alors que nous-mêmes ne sommes pas capables de regarder l'histoire de notre pays en face, c'est une certitude, il y a une vérité d'État, décrétée pour des motifs que nous ne connaissons pas.
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Merci à Dominique
Le plus grand mensonge de la République française
avec Reynald Secher et Nicolas Sarkozy
http://www.youtube.com/watch?v=5pHDc5BrzrM&feature=player_embedded
Merci à Dominique
- Le mensonge pour tous (14 juin 2013)
Souvenez-vous qu'ils nous ont dépossédés. 1 717 330 000 000 euros. Mille sept cent milliards d'Euros (soit 1,7 trillions d'Euros). Tel est le montant de la dette publique de la France en 2011.
Pour rembourser cette dette, chaque français (enfants, chomeurs, et retraités inclus) devrait verser 25.000 euros.
Source: http://www.electionpresidentielle2012.net/content/dette-publique
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Dennis Ross, ancien conseiller sur le Moyen Orient du président Obama, a déclaré que l'administration Obama est déterminée à empêcher l'Iran de parvenir à une arme nucléaire, et envisagerait certainement une action militaire contre la dictature islamique.
Dans une interview donnée à la dixième chaîne israélienne, Ross a déclaré que les récentes déclarations publiques faites par le secrétaire a la défense Léon Panetta et le chef de l'état-major Martin Dempsey, reflètent le fait que le président et l'administration "prennent cette question avec le plus grand sérieux."
Quand on lui demande si il croit que le président Obama donnerait l'ordre d'entreprendre une action militaire contre l'Iran, Ross a répondu : "c'est un président qui s'enorgueillissait de faire ce qu'il dit, je pense donc que si il tira la conclusion que c'est nécessaire de prendre un certain type d'étape, il est prêt à prendre ces mesures."
Mardi 20 décembre, le chef de l'état-major Martin Dempsey a déclaré que les Etats-Unis peuvent attaquer l'Iran avec succès si nécessaire. "Je suis convaincu que les options que nous développons évoluent à un point qu'elles seront exécutables si nécessaire," a déclaré Dempsey sur CNN.
Ces commentaires de Dempsey viennent après une remarque du secrétaire à la défense Léon Panetta sur CBS, qui a déclaré que l'Iran est a moins d'un an de réaliser une arme nucléaire, mais que les Etats-Unis empêcheront cela, peu importe comment.
Source: http://www.juif.org/defense-israel/165070,obama-est-pret-a-agir-militairement-contre-l-iran.php
Comme un mauvais film américain, la campagne « éthique et morale » d’Eva Joly offre chaque jour son lot de rebondissements. Après la condamnation de l’ex-juge pour diffamation et les ratés divers, le site de gauche Mediapart s’interroge sur la présence d’un conseiller très proche de la candidate écolo : Stéphane Pocrain, condamné pour violences conjugales mais aussi à de l’inéligibilité.
Depuis l’affaire DSK, la gauche patauge dans les ambiguïtés en matière de violences faites aux femmes.
En choisissant comme conseiller Stéphane Pocrain, Eva Joly ne pouvait pas ignorer que ce dernier avait été condamné par la justice française pour violences conjugales… Une condamnation loin d’être anodine tant la violence faite aux femmes est une preuve de lâcheté indéniable. En tant qu’ancienne juge, Eva Joly ne peut pas ne pas connaître le profil psychologique de ces hommes qui cognent leurs femmes.
Et Stéphane Pocrain n’est pas un conseiller lambda auprès de la candidate écologiste. C’est l’homme qui souffle à l’oreille d’Eva Joly pour lui inspirer les éléments de langage qu’elle doit utiliser lors de la campagne… C’est dire son influence dans l’appareil écologiste.
Pour rappel, Stéphane Pocrain a été condamné en 2008 à deux mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Il a été reconnu coupable d’avoir frappé sa concubine, une institutrice, lui provoquant de nombreux hématomes et une incapacité de travail de sept jours. Selon la victime, Stéphane Pocrain s’était déjà montré violent à son égard et à l’égard d’autres femmes.
Il est remarquable que chacune de ces parties a une vie propre. On peut les écouter indépendamment les unes des autres. L'Or du Rhin et La Walkyrie furent d'ailleurs créées dès 1869 au Bayerische Staatsoper de Munich, sept ans avant l'intégrale, contre la volonté de Wagner.
Wagner a conçu le Ring pour un orchestre qui, dans son temps, était exceptionnellement grand. Les orchestres exécutent par habitude l'œuvre avec moins d'instruments que Wagner l'a souhaité, soit par insuffisance d'espace dans la fosse d'orchestre, soit pour des raisons financières, ou encore par choix artistique du directeur musical. Cependant, Wagner n'a jamais écrit d'orchestration pour un nombre inférieur d'instruments.
Ci-dessous :
* La Walkyrie, deuxième des quatre drames lyriques qui constituent Der Ring des Nibelungen(L'Anneau du Nibelung) de R. Wagner.
Extrait
Contient la célèbre Chevauchée des Walkyries (prélude de l'acte III, scène 1). Dans une région sauvage et montagneuse, les Walkyries chevauchent dans les airs en conduisant les corps des héros défunts au Walhalla.
* Siegfried, troisième des quatre drames lyriques qui constituent Der Ring des Nibelungen (L'Anneau du Nibelung) de R. Wagner.
Extrait
Siegfried - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 7 Finale
* Götterdämmerung, Le Crépuscule des dieux, dernier des quatre drames musicaux qui constituent Der Ring des Nibelungen (L'Anneau du Nibelung) de R. Wagner.
Un an plus tard, des affiches faisant la promotion de notre livre sur la Mafia juive réapparaissent, et c'est heureux. Comme d'habitude, les juifs et leurs laquais de la télévision s'en émeuvent et demandent un châtiment exemplaire pour les coupables. Et comme d’habitude, il n’y a aucun débat sur le fond.
Vous avez parfaitement le droit de dénoncer la mafia sicilienne, vous avez parfaitement le droit de dénoncer la mafia corse, vous avez parfaitement le droit de dénoncer les agissements de la mafia tchétchène ou de la mafia albanaise, mais — mettez-vous ça dans le crâne — il est strictement interdit de dénoncer toutes les saloperies de la mafia la plus puissante du monde qu’est la mafia juive.
Pourquoi ? Eh bien pour la simple et bonne raison que cette mafia juive criminelle est protégée par des hommes d’affaires juifs, des financiers juifs, des hommes politiques juifs extrêmement influents dans tous les systèmes démocratiques occidentaux, et que nos médiats sont entièrement sous la coupe de cette petite secte de fanatiques hystériques.
Comme d’habitude, on nous répond par l’insulte et l’invective : “nauséabond”, “ignoble”, “inacceptable”, “effroyable”, etc. Notez qu’avec les juifs, il n’y a jamais de débat : avec eux, à la moindre critique, dès qu'ils perçoivent le moindre doute sur la nature divine de leur entreprise, on entre immédiatement dans le registre émotionnel. C’est la “grande intolérance à la frustration” et “l’hyperémotivité” que nous retrouvons ici, et et dont nous avons parlé dans notre “Psychanalyse du judaïsme”, que nous venons de rééditer (du jour au lendemain chez vous, via le système paypal, ou par correspondance).
Notre livre de 400 pages sur “La Mafia juive” est légal et n’a jamais été condamné depuis sa sortie en juin 2008. L’affiche est donc parfaitement légale, et il ne faut pas se laisser impressionner par les gesticulations et les rodomontades du petit Johann Gurfinkiel et de ses congénères. Toutefois, faites attention à ne pas les conserver à votre domicile, car les juges et les flics, en Suisse, en France et en Belgique, sont la botte de cette communauté, et ils peuvent vous faire condamner sous n’importe quel prétexte. N’oubliez pas : c’est la mafia la plus puissante du monde ! Et c’est précisément pour cela que tout le monde ferme sa gueule !
Source: Le Blog d'Hervé Ryssen, http://herveryssen.hautetfort.com/archive/2011/12/20/affiches-antisemites-en-suisse-c-est-l-emoi-dans-la-communau.html
Hervé Ryssen nous informe sur son blog de la création d'un Mouvement du 6 mai (2012) en vue de prévenir l'élection de Marine Le Pen à la présidence de la République d'un putch réalisé par les forces mondialistes dites "républicaines" criant à la "République en danger".
Si Marine Le Pen arrive au deuxième tour, peut-on lire, face à un “petit bourgeois socialiste”, alors “l’insurrection des bandes manipulées, qui n’attendent qu’un prétexte pour basculer dans l’émeute politique généralisée, sera immédiate, et rejointe par la bien-pensance au nom de la “mobilisation citoyenne” et de la “défense de la République en danger.”
Cette insurrection générale, “allant de la racaille jusqu’à Laurence Parisot” débouchera inévitablement, selon Netchaev, sur la proclamation de l’état d’urgence par l’article 16, l’annulation de l’élection et la dissolution du FN :
“C’est dans cette perspective extrême que nous nous préparons à notre seul point du programme : organiser, dès la proclamation des résultats, une action non armée mais résolue en direction des centres de pouvoir afin de ne pas laisser le régime se remettre de son KO… C’est pourquoi, parce que nous prévoyons que la victoire de Marine Le Pen est possible mais qu’elle lui sera immédiatement confisquée, nous constituons le M6M : mouvement du 6 mai.”
“Le rendez-vous est fixé à 19 heures, place de la Concorde. De là, la manifestation pourra ainsi converger ultérieurement vers le Palais Bourbon ou le Palais de l’Elysée. A 20h00, à l’annonce du résultat par les grandes chaînes de télévision, la manifestation du M6M sera fixée sur la réalité de ses objectifs et sur l’intensité des moyens à utiliser.”
Évidemment, il y aura toujours des gens “sérieux” pour dire que ces propos sont ceux de jeunes “irresponsables”, qui ne comprennent sans doute rien à la politique. On connaît certains sociologues à la “pensée compliquée” qui ne vont pas manquer de se manifester. Pour eux, cette analyse est sans doute beaucoup trop simple, indigne d’un véritable intellectuel maître du logos. On peut aussi d’ores et déjà prévoir qu’en cas de troubles sérieux, le philosophe “pontifiant maximus” bien connu de la mouvance païenne appellera au calme et à la raison. Quant aux intellectuels catholiques du type Antony, Sévillia, Madiran, ils se mettront à prier au premier jet de pierre contre les forces de l’ordre.
En fait, toute cette génération qui nous a précédé est presque entièrement constituée de bourgeois. Bien sûr, il y avait Serge de Beketch, le grand Serge de Beketch, qui lui, pissait sur les lois en rigolant très fort ; mais c’était l’exception.
Et n’oubliez pas : le plus important, en politique, et de nourrir l’espoir et de galvaniser les troupes par la force de vos convictions. L’ennemi nous veut défaitistes, désaxés, démoralisés : soyons offensifs, combattifs, agressifs comme des lions, et vous verrez que bientôt, nous verrons la peur dans leurs yeux. À partir de là, la partie sera gagnée.
Source: Un journal gratuit, tiré à 37 000 exemplaires, paru ce 15 décembre 2011. Son titre est “Le Lys noir”. C’est l’organe de propagande des mystérieuses “Cellules anarchos royalistes”. Des anti-impérialistes, ligués contre la terreur que le patronat exerce contre la classe ouvrière (par exemple, à travers l’immigration)… hostiles au flicage généralisé, favorables à la démocratie directe et convaincus que le système ne peut être abattu que par la violence.” http://herveryssen.hautetfort.com/archive/2011/12/18/le-lys-noir-les-cellules-anarchos-royalistes-et-le-mouvement.html
L'Eglise, l'armée et le gouvernement sont les organisations auxquelles les Russes font le plus confiance, tandis que les partis politiques et les compagnies aériennes arrivent en dernière position parmi les institutions dignes de confiance, indique un sondage de l'agence internationale GfK Verein.
L'Eglise ouvre la liste des institutions sociales bénéficiant de la confiance la plus élevée (60%), suivie par l'armée (58%) et par le gouvernement (46%). Quant aux partis politiques, seuls 23% des sondés affirment leur faire confiance.
Il est à noter que cet indice n'est pas le plus bas d'Europe: la cote de confiance des partis politiques est de 18% en Pologne, de 12% en France et de 9% en Espagne et en Italie.
Le sondage fait ressortir une baisse de confiance dans les institutions financières. Si la cote de confiance dans les banques et les compagnies d'assurances se situe en Russie à hauteur de 41%, elle est de 36% en Allemagne, de 30% en Espagne et de 24% en Italie. Dans le même temps, seuls 38% des Russes accordent leur confiance aux entreprises commerciales et 33% aux compagnies aériennes, ce qui constitue la cote la moins élevée parmi les 25 pays qui ont participé à l'étude.
Le sondage a également révélé le grand niveau de confiance porté à l'armée dans différents pays: 58% en Russie, 69% au Japon, 81% en France et 89% en Egypte.
S'agissant de la confiance réciproque constatée dans différents pays, 71% des sondés en moyenne affirment faire entièrement ou dans une large mesure confiance à leur compatriotes. Sur ce plan, la Russie (69%) se situe au niveau des pays d'Europe et d'Amérique du Nord (70% à 80%).
L'agence GfK Verein est une association à but non lucratif fondée en 1934 en vue de promouvoir les études de marché. Les données citées ci-dessus résultent d'un sondage effectué par l'agence à l'automne 2011 auprès de 28.000 personnes dans 25 pays du monde.