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6 juillet 2021 2 06 /07 /juillet /2021 15:28

Dans une video publiée sur le site de l'IHU Méditerranée Infection, le professeur Peter A. McCullough seminary @IHU_Marseille avertit : 

"Nous avons un problème indéniable de mortalité avec le #VaccinCovid"

"Les vaccins semblent être plus dommageable que la maladie elle mêmeSource

 

Peter A. McCullough est un professeur de médecine américain. Il est actuellement vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l'Université A&M du Texas Health Sciences Center.

Peter A. McCullough avertit encore que :

"Aujourd'hui aux Etats-Unis il y a plus de blessures et de décès dus à la vaccination que les hospitalisations et les décès dus à l'infection respiratoire.

"Le vaccin cause plus de dommages que le problème initial."  

"Le 22 janvier nous savions que nous avions un problème de mortalité avec les vaccins Covid 19" (Pr Peter A. McCullough)

A écouter à partir de la 18e minute de la video

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6 juillet 2021 2 06 /07 /juillet /2021 14:44

Les personnes vaccinées décèdent 6,6 fois plus du variant delta que les personnes non vaccinées. Quand on sait que les vaccins covid contiennent des cellules de foetus avortés, y a-t-il là un chiffre signé ?

À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front,

afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là : le nom de la Bête ou le chiffre de son nom.

C’est ici qu’on reconnaît la sagesse. Celui qui a l’intelligence, qu’il se mette à calculer le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme, et ce chiffre est six cent soixante-six.

Apocalypse 13

Le Royaume-Uni est l'un des pays les plus vaccinés au monde contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). 

Cependant, un nouveau rapport publié par Public Health England (PHS) a souligné le fait qu'au cours des derniers mois, davantage de personnes complètement vaccinées sont décédées de la variante Delta par rapport aux personnes non vaccinées.

Le taux de mortalité des personnes entièrement vaccinées était de 0,636 pour cent, soit 6,6 fois plus élevé que le taux de mortalité des personnes non vaccinées de 0,0957 pour cent. 

 

... Les personnes complètement vaccinées se sont également avérées plus sujettes à l'hospitalisation que leurs homologues non vaccinés. Sur les 4 087 personnes complètement vaccinées, 2,05 pour cent (84 personnes) se sont retrouvées à l'hôpital. Parmi les 35 521 personnes non vaccinées, seulement 1,48 % (527 personnes) ont été hospitalisées.

 

Dans une interview avec LifeSiteNews, Stephanie Seneff, chercheuse principale au Laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du Massachusetts Institute of Technology (MIT CSAIL), dit que la situation rappelle un phénomène observé parmi d'autres vaccins appelé amélioration dépendante des anticorps (ADE).

 

Selon une étude publiée en septembre 2020 dans la revue Nature Microbiology, "Un obstacle potentiel pour les vaccins et les thérapies à base d'anticorps est le risque d'exacerber la gravité du COVID-19 via l'amélioration dépendante des anticorps (ADE). L'ADE peut augmenter la gravité de plusieurs infections virales, y compris d'autres virus respiratoires tels que le virus respiratoire syncytial (VRS) et la rougeole."

 

Dans une autre étude publiée en 2012, des animaux de laboratoire injectés avec des vaccins expérimentaux contre les coronavirus ont développé des maladies pulmonaires renforcées. En conséquence, les chercheurs ont conclu : "La prudence lors de l'application d'un vaccin contre le SRAS-CoV chez l'homme est indiquée."

 

Selon Seneff, plusieurs études ont montré que les vaccins contre les coronavirus peuvent modifier la façon dont le système immunitaire humain répond aux infections. De plus, les vaccins peuvent activer des infections dormantes telles que l'herpès, entraînant des symptômes de paralysie de Bell ou de zona.

 

"Il est concevable pour moi que la spécificité du faisceau laser des anticorps induits soit compensée par un affaiblissement général de l'immunité innée… Je soupçonne également que des campagnes de vaccination massives peuvent accélérer la vitesse à laquelle les souches mutantes résistantes au vaccin deviennent dominantes parmi tous les SARS-Co-V2 [coronavirus] souches", a déclaré Seneff.

 

... Le rapport a également classé la transmissibilité de la variante Delta entre les humains comme élevée, notant que la souche montre "un taux de croissance considérablement accru par rapport à Alpha, à travers plusieurs analyses".

 

Lors d'une conférence, le médecin-chef de l'Angleterre, le professeur Chris Whitty, a averti que la pandémie de COVID-19 "n'avait pas jeté sa dernière surprise" et qu'il y aurait plusieurs autres vagues d'infections à l'avenir. Il anticipe une recrudescence des cas durant l'hiver.

 

"À moyen terme, je m'attends à ce que nous obtenions une nouvelle poussée hivernale, une poussée d'automne/hiver de fin… Et c'est parce que nous savons que l'hiver et l'automne favorisent les virus respiratoires, et donc ce serait très surprenant si ce virus respiratoire hautement transmissible n'a pas non plus été favorisé", a déclaré Whitty.

 

Les infections grippales peuvent également augmenter pendant l'hiver. Dans une interview avec BBC Radio 4, le professeur Anthony Harnden, vice-président du Comité mixte sur la vaccination et la vaccination, a déclaré que la grippe pourrait être un "problème potentiellement plus grave" que COVID-19 pendant la saison hivernale. Il a souligné que lorsque la grippe circule en très petit nombre, comme cela a été le cas ces dernières années, l'immunité de la population diminue. "Et elle revient nous mordre", a-t-il déclaré. Avec un reportage d'Arvind Datta.

https://www.visiontimes.com/2021/07/04/deaths-hospital-vaccinated-uk.html

https://www.visiontimes.com/2021/07/04/deaths-hospital-vaccinated-uk.html

Le taux de mortalité et d'hospitalisation est plus élevé parmi les personnes vaccinées.

Un nouveau rapport publié par Public Health England a souligné le fait que davantage de personnes complètement vaccinées sont décédées du variant Delta par rapport aux personnes non vaccinées.

 

Source: VisionTimes | Chloé Frammery Twitter

 

Autre information à surveiller (et à mettre en parallèle avec les 6,6 fois plus de décès parmi les personnes vaccinées) :  Olivier Véran envisage d'interdire les commerces, restaurants, bars et certaines activités aux non vaccinés. Bientôt l'impossibilité d'acheter et de vendre si l'on n'a pas la marque de la bête (vaccination) ? (Apocalypse 13)

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6 juillet 2021 2 06 /07 /juillet /2021 13:43

En déplacement dans un centre de vaccination éphémère situé dans un centre commercial de Villeneuve-La Garenne vendredi 2 juillet, le ministre de la Santé Olivier Véran a déclaré :

 

"imaginez que dans quatre ou cinq semaines nous soyons dans la situation des Anglais (un des pays qui a le plus vacciné au monde soit dit en passant. NdCR.) avec une augmentation du nombre de cas, ... alors nous serions en situation de mettre à nouveau en place des mesures de freinage, nous serions à nouveau amenés à envisager de fermer des commerces, des restaurants ou des bars. Or les études scientifiques dont nous disposons attestent d'un fait très fort, c'est que si nous fermons l'ensemble des commerces pour tous les Français, l'impact sur l'épidémie ne serait pas différent de celui que nous aurions en  fermant l'ensemble des commerces pour les seules personnes non-vaccinées. En vous disant cela, moi je refuse de séparer, de diviser les Français entre ceux qui seraient vaccinés et ceux qui ne le seraient pas, mais je dis juste que 20% des Français qui ne seraient pas vaccinées ne pourraient pas contraindre 80% des Français à ne pouvoir accéder à des activités de la vie courante qui leur ont tant manqué depuis un an. Là aussi c'est un débat qui doit être le plus apaisé possible." (Sic)  (Source)

 

Olivier Véran envisage de fermer les commerces, restaurants, bars et certaines activités aux non vaccinés.

Vaccinés / non-vaccinés, purs / impurs : Retour aux sombres sombres de notre histoire

Deux classes de citoyens, Eliane Carrier Twitter résume bien la situation :

 

Si je suis bien les politiques, médias et médecins

 

La race pure ce sont les vaccinés

La race impure les non vaccinés

 

Ça me rappelle une sombre période.

 

Source

 

NdCR. Le progressisme entendu comme la croyance en une histoire linéaire évoluant systématiquement vers des lendemains radieux sans aucune marche arrière rétrograde possible trouve ici une contre illustration remarquable. 

Vaccinés / non-vaccinés, purs / impurs : Retour aux sombres sombres de notre histoire
Vaccinés / non-vaccinés, purs / impurs : Retour aux sombres sombres de notre histoire
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4 juillet 2021 7 04 /07 /juillet /2021 19:40
11 vaccinés sur 16 malades, ça fait 70% ! À quoi sert le vaccin ?

16 nouveaux patients contaminés par le coronavirus se sont ajoutés cette semaine au nombre de malades dans un état grave, dont 11 personnes vaccinées.

 

La tendance à la hausse du nombre de patients dans un état grave inquiète les hauts responsables du ministère de la Santé, notamment parce que la plupart d'entre eux sont vaccinés et âgés.

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4 juillet 2021 7 04 /07 /juillet /2021 07:05
Mgr Viganò dénonce la lettre de soutien de François à un activiste LGBT

Traduction d'une nouvelle lettre de Mgr Viganò, publiée par Catholic Family News le 30 juin 2021, dans laquelle il dénonce la lettre de soutien du Pape François au P. James Martin, S.J. qui est un activiste LGBT:

 

Le monde, la chair et le diable

 

 

 

Sachez que c’est le Seigneur qui est Dieu ;

c’est lui qui nous a faits, et non pas nous-mêmes.

Ps 99, 3

 

 

 

''Les ennemis de notre âme sont toujours les mêmes, et les pièges qu'ils nous tendent sont toujours les mêmes. Le monde, avec ses séductions ; la chair, corrompue par le péché originel et encline au mal ; et le diable, l'éternel ennemi de notre salut qui utilise la chair pour nous assiéger. Deux ennemis extérieurs et un intérieur, toujours prêts à nous faire tomber dans un moment de distraction, de faiblesse. Ces ennemis spirituels accompagnent chacun de nous de l'enfance à la vieillesse, et toute l'humanité à travers les générations et les âges.

 

Les alliés sur lesquels nous pouvons compter pour vaincre le monde, la chair et le diable sont la grâce de Dieu, la réception fréquente des sacrements, l'exercice des vertus, la prière, la pénitence, la considération des Fins dernières, la méditation sur la Passion du Seigneur et vivre en sa présence.

 

En cette époque rebelle et déchristianisée, où la société non seulement ne nous aide pas dans la poursuite de notre but ultime mais fait tout pour nous en éloigner, l'autorité civile nous fait suivre le monde, satisfaire les désirs de la chair, et servir l'ennemi de la race humaine. C'est une autorité pervertie et perverse, qui a manqué à son devoir de régir et de gouverner le corps social afin de conduire les individus au salut éternel. Au contraire, elle nie le salut éternel, rejette l'Auteur divin et adore l'Adversaire.

 

Il n'est donc pas étonnant que cette modernité apostate, dans laquelle l'action illégale est la norme, et le vice est offert en exemple à imiter, veuille annuler toute trace de Dieu et du Bien dans la société et dans les individus, faisant un pacte infernal avec le monde, la chair et le diable. C'est ce que nous voyons se produire dans la promotion effrontée de la sodomie, la perversion du vice sous toutes ses formes les plus abjectes, et dans la dérision, la délégitimation et la condamnation de la pureté, de la droiture et de la vertu.

 

Mais si aujourd'hui notre combat quotidien contre nos ennemis doit aussi inclure un effort titanesque pour lutter aussi contre l'État, que nous devrions pouvoir considérer comme notre ami mais qui travaille au contraire à nous corrompre dès le plus jeune âge, c'est douloureux et tragique de voir d'autres traîtres et mercenaires se joindre à ce siège : de mauvais pasteurs qui abusent de l'autorité sacrée qu'ils ont reçue de Notre-Seigneur pour nous pousser vers la damnation, pour nous convaincre que ce qui jusqu'à hier était considéré comme un péché et indigne de ceux qui ont été rachetés par le Sang du Christ est maintenant devenu licite et bon.

 

L'esprit mondain, l'asservissement à la concupiscence, et - ce qui est encore plus grave - le refus de lutter contre le Malin, ont infecté une grande partie de la Hiérarchie de l'Église catholique, jusqu'à ses plus hauts niveaux, en la faisant ennemi de Dieu, de Sa Loi, et de nos âmes. Comme cela s'est produit avec l'autorité civile, de même l'autorité religieuse a abdiqué son rôle propre, reniant le but même pour lequel elle a été voulue par la Divine Providence.

La nouveauté de cette perversion de l'autorité, qui annonce le choc d'époque de la Fin des Temps, réside précisément dans la corruption des pasteurs et dans le fait que les fidèles, comme un troupeau sans chef, se retrouvent à devoir héroïquement résister à un assaut contre la Citadelle sur plusieurs fronts, dans lequel ils ont été abandonnés par leurs chefs, qui ouvrent les portes et permettent aux hordes ennemies d'entrer afin de nous exterminer.

 

La discussion sur le projet de loi Zan, l'imposition de l'idéologie LGBTQ et l'endoctrinement de la théorie du genre en Italie suit un plan ciblé organisé au niveau mondial, qui dans de nombreux pays a déjà été mené à son terme. Des nations - où, même après deux siècles de révolutions, l'empreinte du catholicisme avait survécu dans le tissu social - sont maintenant devenues complètement païennes. Des drapeaux arc-en-ciel flottent non seulement sur la façade des institutions publiques, mais même sur les façades des cathédrales, les balcons des résidences épiscopales et même à l'intérieur des églises.

 

Ces derniers temps — il y a même seulement trente ans — certains disaient que pour soutenir une minorité de personnes trompées par le vice et les défendre contre les discriminations, l'État devait intervenir avec des formes de protection et des garanties de leur liberté. Avec le recul, c'était une déclaration déraisonnable et illogique, car la liberté de la personne humaine consiste dans l'adhésion de la volonté au bien auquel sa nature est ordonnée et dans la poursuite de son but matériel et surnaturel. Mais dans la grande déception avec laquelle le diable a toujours essayé d'attirer l'homme, ce prétexte apparent en a séduit beaucoup. Il semblait qu'il fallait du courage pour revendiquer le droit au vice et au péché contre la cruelle dureté d'une «majorité respectable» encore attachée aux préceptes de la Religion. La fierté d'être divers dans un monde d'égaux a été revendiquée, et celle d'avoir droit à un espace pour le vice dans un «monde vertueux».

 

Dans ces années, l'Église élevait encore - peut-être avec moins de conviction mais toujours fidèle à son mandat divin - la voix du Magistère immuable pour condamner la légitimation de comportements intrinsèquement désordonnés. Attentive au salut éternel des âmes, elle a vu quels désastres allaient s'abattre sur la société avec l'approbation de modes de vie totalement antithétiques à la Loi naturelle, aux Commandements et à l'Évangile. Les pasteurs savaient être de courageux défenseurs du Bien, et les Papes n'avaient pas peur de devenir l'objet d'attaques indécentes de ceux qui voyaient en eux le katechon qui empêchait la corruption définitive du monde et l'instauration du règne de l'Antéchrist.

 

Aujourd'hui, cette bataille héroïque - dont nous avons appris qu'elle est déjà affaiblie par une vaste corruption interne des évêques et des prêtres - semble n'avoir plus de sens, tout comme l'enseignement de l'Écriture Sainte, des Pères de l'Église et des Pontifes romains ne semblent plus avoir de sens. Celui qui siège à Rome est entouré de personnes immorales qui font des clins d'œil aux mouvements LGBTQ et qui simulent hypocritement un accueil et une inclusivité qui trahissent le camp qu’ils ont choisi ainsi que leurs tendances pécheresses. Il n'y a plus de courage ; il n'y a plus de fidélité au Christ ; et cela va jusqu’à insinuer que, si Bergoglio a pu changer la doctrine sur la peine capitale — chose inouïe et absolument impossible — il pourra certainement aussi rendre la sodomie licite au nom d'une charité qui n'a rien de catholique à ce sujet et qui répugne à la Révélation divine.

 

Les processions blasphématoires qui défilent dans les rues des capitales du monde, et qui ont atteint le point de blasphémer et de railler méchamment le Sacrifice de Notre-Seigneur dans la Ville Sainte consacrée par le sang des Apôtres Pierre et Paul, sont accueillies par les mercenaires de la secte conciliaire, qui se tait devant les bénédictions sacrilèges des couples homosexuels mais condamne comme «rigides» ceux qui veulent rester fidèles à l'enseignement du Sauveur. Et tandis que les bons évêques et prêtres sont quotidiennement confrontés à la démolition qui vient d'en haut, nous voyons publiés les paroles enchanteresses et séduisantes écrites par Bergoglio à James Martin, SJ, à l'appui d'une idéologie pervertie et perverse qui offense la Majesté de Dieu et humilie la mission de l'Église et l'autorité sacrée du Vicaire du Christ.

 

En tant que Successeur des Apôtres et Maître de la Foi, dans un esprit de véritable communion avec le Siège du Très Saint Pierre et avec la Sainte Église de Dieu, je leur adresse un sévère avertissement, rappelant que leur autorité vient de Jésus-Christ , et qu'elle n'a de force et de valeur que si elle reste orientée vers la fin pour laquelle Il l'a constituée. Que ces pasteurs considèrent les scandales qu'ils causent aux fidèles et aux simples, et les blessures qu'ils infligent au corps ecclésial tourmenté — scandales et blessures dont ils auront à répondre devant la Justice divine au jour de leur Jugement particulier et aussi devant toute la race humaine au jour du Jugement Universel.

 

J'exhorte les nombreux fidèles scandalisés et déconcertés par l'apostasie des pasteurs à multiplier leurs prières avec un esprit surnaturel de prière et de pénitence, implorant le Seigneur qu'il daigne convertir les mercenaires, les ramenant à lui et à la fidélité à son enseignement divin. Prions la Très Pure Mère, la Vierge des Vierges, d'inspirer des sentiments de repentance aux ministres qui ont été corrompus par le péché et l'impureté, afin qu'ils puissent considérer l'horreur de leurs péchés et les terribles douleurs qui les attendent : puissent-ils se réfugier dans les Très Saintes Plaies du Christ et être purifiés par le Sang de l'Agneau.

 

À nos frères séduits par le monde, la chair et le diable, j'adresse un appel sincère, afin qu'ils comprennent qu'il n'y a pas de fierté à offenser Dieu, à contribuer sciemment aux tourments de sa Passion, à pervertir sa propre nature et en refusant méchamment le salut qu'il a obtenu de son Père par sa mort sur le bois de la croix. Faites de vos faiblesses une occasion de sainteté, un motif de conversion, une occasion de faire resplendir la grandeur de Dieu dans votre vie. Ne vous laissez pas tromper par un Ennemi qui semble aujourd'hui se livrer à vos vices avec la seule intention de voler vos âmes et de vous damner pour l'éternité. Soyez fiers, vraiment fiers : non de l'asservissement au péché et à la perversion, mais d'avoir su résister aux séductions de la chair par amour de Jésus-Christ. Pensez à votre âme immortelle, pour laquelle le Seigneur n'a pas hésité à souffrir et à mourir. Priez! Priez la Très Sainte Marie, pour qu'elle intercède auprès de son Divin Fils, en vous donnant la grâce de résister, de combattre et de vaincre. Offrez vos souffrances, vos sacrifices et votre jeûne au Seigneur afin d'obtenir cette libération du Mal que le Séducteur veut vous ravir par la tromperie. Ce sera votre vraie fierté, et la nôtre aussi.''

 

Mgr Carlo Maria Viganò, archevêque

Le 29 juin 2021

Solennité des saints apôtres Pierre et Paul

 

Source

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3 juillet 2021 6 03 /07 /juillet /2021 11:45
Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité

02/07/2021 (2021-07-02)

[Source : Anthropo-logiques]

 

Source: Nouveau Monde sans passer par le chaos

 

Je viens de recevoir l’excellente nouvelle que le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid.

Voici le communiqué reçu ce jour de son secrétaire général :

Le CSAPE vous informe qu’en suite de l’interpellation du 02 mars 2021, par mise en demeure restée sans réponse, une plainte contre des dirigeants français vient d’être déposée à la Cour pénale internationale (CPI) avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21.

Nous rendons publique la plainte et nos découvertes au niveau mondial et nous vous incitons à vous associer à l’action du CSAPE en déposant également plainte avant que la situation ne devienne irréversible pour cause d’absence de résistance effective – (les actions devant les juridictions françaises étant vouées à l’échec pour les raisons d’ailleurs exposées dans la plainte).

Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pouvez prendre connaissance de la plainte jointe.

Après avoir découvert les informations révélées, toutes factuelles, vous serez certainement convaincus de la nécessité d’agir. Dans ce cas le CSAPE peut vous aider dans la démarche.

Il faut être conscient que toutes les bonnes volontés doivent mettre une pression supérieure à celle que nous impose la dictature en place. Rassembler autour d’une action coercitive et participer à un travail d’équipe en relayant cette action sont des moyens incontournables pour vaincre une politique totalitaire et délétère.

Vous pouvez également nous rejoindre en adhérant au CSAPE en retournant le bulletin d’adhésion téléchargeable sur le site www.csape.international et nous aider par une cotisation et/ou un don pour le travail accompli par les initiateurs.

Avec nos remerciements,

Bien cordialement.

Patrice LEPILLER
Secrétaire général du CSAPE

Dossier de plainte du CSAPE contre la France pour crime contre l’humanité : télécharger le pdf.

Les requérants expliquent qu’ils ont décidé de déposer une plainte nominative contre :

Pour avoir organisé une situation de dommages considérables et de crimes sur la population française :

  • Le président de la République française, monsieur Emmanuel MACRON ;
  • Le premier ministre, monsieur Jean CASTEX, chef du gouvernement ;
  • L’ensemble du gouvernement actuel représentant l’exécutif ; L’ensemble du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY ;
  • L’Institut Pasteur en son Président : Christian VIGOUROUX, président de section au Conseil d’État et les Membres de droit représentants du ministre de la Recherche, du Budget, de la Santé, du président du Centre national de la recherche scientifique, le directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, ainsi que Sanofi Pasteur.

Pour avoir participé activement en France :

  • La ministre de la Santé, madame Agnès BUZYN ;
  • Le directeur général de la Santé, Jérôme SALOMON ;
  • Le président de l’Assemblée nationale, monsieur Richard FERRAND ;
  • L’académie nationale de médecine, Dr CHARPENTIER Bernard, 1ère division, Président
  • Le conseil de l’ordre des médecins, Dr Patrick BOUET ;
  • Le conseil de l’ordre des infirmiers monsieur Patrick CHAMBOREDON ;
  • Le conseil de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes, monsieur Pascale MATHIEU ;
  • L’ensemble des ARS (agences régionales de santé) dont la liste des noms est communiquée ;
  • L’ensemble des académies scolaires dont la liste des noms est communiquée.

Pour avoir organisé et participé activement depuis l’international :

  • Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus (Genève, Suisse) ;
  • Le docteur Christian Drosten (Berlin, Allemagne) ;
  • Bill Gates (Seattle, Washington, États-Unis) ;
  • La commission européenne en sa présidente Ursula von der Leyen (Bruxelles, Belgique) ;
  • L’Agence européenne du médicament (EMA) en sa directrice Emer Cooke (Amsterdam, Netherlands).

 

  •  
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3 juillet 2021 6 03 /07 /juillet /2021 07:00

En 2014, nous écrivions : "le 800e anniversaire de la bataille de Bouvines embarrasse l'Oligarchie. ... Le roi Plantagenêt subit la révolte de ses barons, qui en 1215, le contraignent à signer la Magna Carta (Grande Charte), ce document qui, passe dans l'histoire officielle pour être une des bases du parlementarisme (contrôle de l'impôt), de la "démocratie" britannique, la "grande charte des libertés d'Angleterre" limitant l'"absolutisme" royal, alors qu'il ne marque jamais que l'affirmation de la puissance aristocratique des Barons qui ne représentaient nullement le peuple anglais..., la naissance de la "démocratie représentative" (oligarchique en réalité) et la victoire de la société individualiste et d'argent sur la société communautaire et solidaire féodale."

Valérie Bugault : "Pourquoi le modèle britannique est-il antidémocratique?"

Dans une video GloriaTv d'une conférence de l'Institut Schiller (institutschiller.org) à Paris le mardi 4 février 2020, Valérie Bugault, docteur en droit, analyste de politique et géopolitique économique, a évoqué brillamment le sujet et a expliqué "la lutte qu'il convient de mener en Europe et en particulier en France - et finalement dans le monde entier - si l'on veut avoir un avenir" :

 

Extraits :

 

"Derrière le libéralisme, la dictature des institutions britanniques - Valérie BUGAULT.

 

"Pourquoi le modèle britannique est-il antidémocratique? Derrière le libéralisme la dictature des institutions britanniques.

 

"Un exposé en trois parties : (I) Comment le droit anglais est structurellement au service des puissants, (II) Comment de puissance politique on est parvenu aujourd'hui à une puissance économique, (III) Les conséquences.

 

I - Un parlement anglais au service des puissants

 

"La Magna Carta, apparue en 1215 a été quasiment en même temps abrogée pour resurgir en 1216, avant d'être amendée, complétée par une loi domaniale en novembre 1217. Une quatrième version voit le jour en février 1225 qui valide la disparition de la moitié de celle promulguée en 1215.

Édouard Ier (roi d'Angleterre) (Règne 1272-1307)

Cette charte, nouvelle version, confirmée solennellement le 10 novembre 1297 sera désormais connue sous le nom de Magna Carta. Cette Magna Carta est brandie comme une arme démocratique absolue est en réalité une manifestation d'une lutte de la féodalité contre le pouvoir royal centralisateur. Elle n'est pas un instrument du peuple contre les puissants mais un instrument des puissants seigneurs contre le pouvoir royal unificateur. Il s'agit en réalité de retirer au roi en tant qu'organe politique central l'essentiel ou une grande partie de ses prérogatives pour les donner à un conseil de grands féaux, ou grands aristocrates, appelé conseil des barons, afin de limiter et finalement contrôler le pouvoir royalLe peuple qui n'a rien à voir dans cette guerre entre grands aristocrates n'a strictement rien gagné à la proclamation de la dite charte. [Cette évolution n'a pas été la même en France où le roi capétien fut en mesure de dominer les puissants féodaux, notamment au XVIIe siècle sous Louis XIV, puis au XVIIIe siècle face aux parlements régionaux dominés par la noblesse qui imbue de ses privilèges refusa systématiquement toute volonté royale d'établir l'égalité devant l'impôt tout au long du XVIIIe siècle, ce qui eut sauvé la monarchie et évité à la France une Révolution et un génocide. Cette résistance des rois de France au pouvoir de l'argent permit à notre pays de retarder d'un siècle et demi l'avènement de la ploutocratie jusqu'en 1789. NdCR.

 

"C'est précisément ce conseil des grands féodaux, appelé initialement conseil des barons, qui  se transformera peu à peu en parlement. Le dit "parlement" est au départ aussi peu fondateur de la démocratie au sens du gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple que l'esclavagisme serait la cause ultime de la liberté. Les principes du droit à un procès équitable, l'égalité universelle devant la loi, seront introduits dans la Magna Carta en 1354. Ce dernier principe s'apparente à une simple pétition d'intention qui n'est pas réellement sanctionnée juridiquement puisqu'il n'a pas été en mesure de justifier au XVIIe siècle la suppression de l'esclavage sur le territoire anglais [ce qui n'a pas été le cas en France depuis le XIVe siècle et l'édit de Louis X le Hutin de 1315 qui affirme que "selon le droit de nature, chacun doit naître franc". Officiellement, depuis cette date, "le sol de France affranchit l'esclave qui le touche". Il n'y aura plus d'esclaves sur le sol métropolitain depuis ce jour... On trouve des traces tardives et ponctuelles de l’application de ce texte par les parlements français au XVIe siècle : à Bordeaux, en 1571, il est invoqué pour justifier la libération d’une cargaison d’esclaves africains, transportée par un négrier normand. Cette pétition d'intention britannique n'a pas non plus permis de justifier l'égalité de traitement des catholiques persécutés dans la monarchie protestante britannique au XVIe siècle. NdCR.]. Par ailleurs, il faut insister sur le fait que la proclamation à un procès équitable concernait aussi peu le peuple que la composition du parlement issu du conseil des barons de la Magna carta. Seuls les puissants et de plus en plus à partir du XIIe siècle les bourgeois des villes avaient l'arme procédurale à leur disposition car la justice médiévale anglaise s'est construite ab initio comme une justice de classe.

 

II - Comment de puissance politique on est parvenu aujourd'hui à une puissance économique

 

Considérer le parlement anglais comme un organisme représentant la démocratie est une simple imposture politique. En réalité, le parlement anglais a toujours été chargé de mettre en musique juridique la volonté des puissants, d'abord des puissances féodales, puis des financières qui les ont remplacées.

Le droit issu du parlement anglais est en réalité un droit d'entre soi, un droit oligarchique, qui se commande plus sûrement à la City of London, centre financier et économique du royaume, ou dans les clubs chers aux anglais, que dans l'enceinte officielle d'une parlement représentant l'intérêt populaire. Le parlement ne fait en réalité le plus souvent, conformément à sa mission d'origine qu'entériner des solutions pré-constituées dans le silence des couloirs et des cabinets. On parle à ce propos de lobbying

 

"[...] A la suite de l'effondrement de l'empire romain, le droit s'est développé en Europe autour de la double élite du pouvoir temporel (l'aristocratie organisée autour du roi) d'une part et du pouvoir spirituel (l'Eglise catholique romaine) d'autre part

En 1531, l'Angleterre a fait sécession vis-à-vis de cette organisation socio-politique continentale lorsque le roi Henry VIII, représentant de l'ordre temporel décida de prendre le pas sur le pouvoir spirituel en le soumettant à sa propre volonté. L'église anglicane, dite "catholique réformée", à mi chemin entre le catholicisme et le protestantisme, est né de la scission de l'Angleterre opérée par le roi Henri VIII avec le pape Clément VII qui refusa obstinément d'annuler son mariage avec Catherine d'Aragon afin de permettre à Henry VIII d'épouser Anne Boleyn. 

À partir de cette date, l'église anglaise n'est plus soumise à l'autorité du pape catholique romain mais à l'archevêque de Cantorbéry, lequel est en réalité totalement dépendant de l'autorité du pouvoir temporel, c'est-à-dire du roi d'Angleterre.

Cette réunion des pouvoirs temporel et spirituel n'a pas eu lieu en Europe continentale où tout au contraire, chacun des deux pouvoirs temporel et spirituel est resté - au moins jusqu'à la Révolution de 1789 - resté concurrent et indépendant, de force relativement égale. [...] Cette double compétence normative structurelle a sans doute été depuis la disparition de l'empire romain le seul réel point commun des différents pays européens. Nous avions donc de façon ontologique en Europe continentale une organisation politique naturellement organisée autour de l'idée de contre-pouvoirs. Cette organisation politique et sociale qui a caractérisé la période du 'Moyen-Âge' en Europe est la raison principale qui fait que l'Ancien Régime était structurellement beaucoup moins absolutiste que ne le sont les prétendus régimes 'démocratiques' actuels, discrètement fondés sur la domination des capitaux et calqués sur les préceptes dérivés du droit anglais et l'anonymat. Si le droit anglo-saxon est aujourd'hui fondé sur la prééminence financière et économique, il est ontologiquement depuis le XVIe siècle, mis au service exclusif des puissants. 

[...] La fusion en 1531 en Angleterre des pouvoirs temporel et spirituel a engendré l'émergence d'une volonté impériale par l'alliance du fer et de l'argent. Dans ce contexte, Olivier Cromwell a élaboré le système politique dans lequel l'hégémonie impériale est financée par les banquiers. Ces banquiers, réfugiés en Hollande à la suite de leur expulsion d'Espagne sous le règne du roi Ferdinand et de la reine Isabelle, ont dès lors commencé à s'intégrer massivement au pouvoir politique temporel anglais. Selon la loi naturelle qui veut que celui qui donne est au-dessus de la main qui reçoit, cette alliance du fer et du portefeuille a à son tour historiquement et mécaniquement donné naissance à la suprématie des détenteurs de capitaux sur le pouvoir politique. Cette suprématie s'est affirmée au cours des XVIIe et XVIIIe siècle par le financement par les puissances d'argent des différentes compagnies des Indes qui agissaient pour le compte des États en bénéficiant du monopole de la force publique. Historiquement mis au service du seul droit temporel, le droit anglo-saxon a été peu à peu à la mesure de la prise de pouvoir par les puissances d'argent mis au service des seuls détenteurs des capitaux. Il ne faut donc pas s'étonner de l'absolutisme de la domination actuelle.

 

"Cette évolution, commencée en Angleterre, a vu la France être sa première victime dès 1789. Elle s'est répandue dans le monde entier au cours des XVIIIe, XIX, et XXe siècles. Cette véritable Révolution qui a eu lieu en France en 1789 s'est peu à peu répandue en Europe et dans le monde pour remettre en cause l'équilibre politique post-impérial, en référence à l'empire romain issu de l'Europe du 'Moyen-Âge'.

 

"Le Nouvel ordre mondial, appelé de ses vœux par les tenanciers du système économique global qui ont pris le pouvoir effectif au XVIIIe siècle est le résultat de la longue évolution décrite ci-dessus. Notons que la devise Novus ordo seclorum, issue du grand sceau des Etats-Unis, dessiné en 1782, a été repris en 1935 sur les billets de un dollar. Ce nouvel ordre mondial qui n'est donc en rien nouveau s'apparente à l'anéantissement complet de ce  que l'on entendait traditionnellement par le terme de civilisation qui suppose un développement collectif et repose fondamentalement sur un équilibre des forces et des pouvoirs. Aucune civilisation ne peut naître et prospérer dans le contexte de l'absence pérenne de contre-pouvoirs politiques effectifs. Il faut bien comprendre que la réunion au XVIe siècle des pouvoirs spirituel et temporel entre les mains du roi d'Angleterre a pavé la route vers un impérialisme dominé par les puissances d'argent. La route anglaise, à son tour, via la domination monétaire et l'idéologie britannique qu'elle a imposé au reste de l'humanité a pavé la route mondiale vers l'impérialisme financier absolu. L'intégrisme financier actuel, juridiquement matérialisé par la suprématie du droit anglo-saxon est le descendant direct, l'héritier fatal de l'absolutisme du pouvoir anglais qui en 1531 a fusionné les pouvoirs temporels spirituels et temporels, faisant ainsi disparaître la réalité des contre-pouvoirs.

 

"En 1600, la East India Company acte le début du remplacement de l'aristocratie terrienne par les puissances d'argent au sein du pouvoir anglais. [...] En quelque sorte, les compagnies des Indes préfigurent la distinction aujourd'hui entrée dans les moeurs économiques occidentales entre les bénéfices largement privés et les charges financées par la collectivité publique, avec la précision que dès l'avènement des compagnies des Indes, les responsabilités civiles et pénales des intervenants disparaissent dans les monopoles d'États. [...] Les détenteurs du pouvoir capitalistique, vainqueurs par KO du pouvoir politique, revendiquent aujourd'hui de façon naturelle  l'officialisation politique et juridique de la réalité de leur prise de pouvoir. Fatalement, ce pouvoir économique caché derrière les multiples faux semblants de l'anonymat capitalistique et du parlement 'représentatif', devait tôt ou tard revendiquer officiellement le pouvoir qu'il a officieusement conquis au fil des siècles, Les partisans du Nouvel ordre mondial, ou Novus ordo seclorum, encore appelé New World Order, sont en réalité les émissaires du pouvoir économique caché.

 

III - Les conséquences, l'esclavagisme pour tous 

 

"La fusion à la mode anglaise du pouvoir temporel et du pouvoir spirituel a fait disparaître l'équilibre des pouvoirs qui a seul dans l'histoire du monde permis l'émergence de la liberté individuelle et notons-le de la bourgeoisie commerçante, en tant que force politique. 

 

"[...] Paradoxalement, et de façon ironique, c'est sous les coups de boutoir répétés de la liberté individuelle, elle-même manipulée à l'extrême, que disparaît la civilisation occidentale caractérisée par la liberté individuelle et par la liberté politique des masses populaires. L'ultra-individualisme revendiqué par des mouvements comme Lgbt, les 'droits de l'enfant', l'éducation sexuelle dès le plus jeune âge, est l'aboutissement logique de la domination politique absolue des principaux détenteurs de capitaux, ces derniers utilisant à leurs avantages exclusifs le principe de bonne politique consistant à diviser pour mieux régner [Principe du moteur de la Révolution. NdCR.] Diviser chaque être humain en une entité isolée de toute composante sociale pérenne et au-delà, diviser l'humain et la vie en des entités physiques autonomes, est l'une des armes les plus redoutées utilisées par le pouvoir économique global pour asservir l'humanité. En effet, cette méthode d'asservissement (diviser pour régner) n'est pas seulement utilisée de manière géo-politique pour diviser les peuples et les nations, mais également de façon beaucoup plus sournoise et dangereuse d'un point de vue politique, pour faire de chaque être humaine une entité instable, dépourvue de tout support émotionnel et affectif stable, l'humain devant alors un atome aisément manipulable analogue à un objet qu'il convient d'utiliser.

 

"Le contrôle du politique par les principaux détenteurs de capitaux a permis à ces derniers de se rendre les maîtres absolus du concept réglementaire (ce qu'ils appellent la 'loi'). Ils ont ainsi peu à peu, sur toute la surface du globe, imposé l'anonymat de leurs actions en développant de façon institutionnelle des intermédiations capitalistiques opaques (les paradis fiscaux et toutes les structures juridiques sur le modèles des trusts anonymes permettant tout un panel d'anonymat), interdisant toute recherche en responsabilité. La multiplication exponentielle des intermédiaires financiers a à son tour permis un resserrement létal de l'emprise des financiers sur tous les aspects de la vie en commun, économique et social.

 

"Par l'imposition au niveau international de leurs règles du jeu économico-financier, les banquiers globalistes à la manoeuvre ont réussi le tout de force de d'imposer l'unification des modes de fonctionnement qui était le préalable nécessaire à l'élaboration d'un gouvernement mondial.

 

"Dans ce contexte d'accaparement du pouvoir, il faut comprendre que le droit anglo-saxon est une brandie comme un bouclier antisocial et antinational par les tenanciers du pouvoir économique réel. Le droit réglementation à la mode anglo-saxonne sert à la foi de prétexte et de justification au renforcement de l'absolutisme financier."

 

(Fin de citation)

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2 juillet 2021 5 02 /07 /juillet /2021 19:51
Sur la licéité d'une obligation vaccinale anti-covid

Est-il juridiquement possible de rendre la vaccination anti-covid obligatoire ? En considérant les autorisations de mise sur le marché délivrées pour les vaccins et le droit positif applicable, la réponse paraît négative. En effet, la question de l’obligation vaccinale, bien que souvent évoquée, l’est rarement sous l’angle qui devrait être le sien : celui de l’expérimentation médicale à propos de laquelle les règles du droit de l’Union européenne comme celles du droit français sont clairement établies.

Par Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia

Quatre vaccins anti-covid sont aujourd’hui autorisés en France : le vaccin Moderna, le vaccin Pfizer & BioNTech (nom de marque : Comirnaty), le vaccin Astrazeneca (nom de marque : Vaxzevria) et le vaccin Johnson & Johnson (nom de marque : Janssen). La vaccination – technique médicale consistant à inoculer une substance capable de procurer une immunité contre une maladie infectieuse – est la réponse prioritairement choisie par les pouvoirs publics français en réponse à la pandémie de covid-19. Devant les résistances d’une partie de la population, la question de savoir s’il ne faudrait pas la rendre obligatoire pour les soignants, voire pour tous les Français, a fait son entrée dans le débat public[1].

De manière générale, l’obligation vaccinale trouve son fondement dans plusieurs textes internationaux et nationaux. Le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels du 16 décembre 1966 prévoit qu’afin de garantir le droit à la santé individuel, les États devront prendre les mesures nécessaires pour assurer « la prophylaxie et le traitement des maladies épidémiques » (art. 12). En France, c’est le ministre chargé de la santé qui élabore la politique de vaccination et la loi qui détermine quels vaccins sont obligatoires. Onze d’entre eux le sont aujourd’hui pour les enfants (art. L3111-2 CSP)[2]. Les professionnels de santé et thanatopracteurs sont également assujettis à certaines obligations vaccinales de même que les voyageurs qui souhaitent se rendre en Guyane. Il est, par ailleurs, admis que « lorsqu’un petit nombre de décès survient dans le cadre d’un programme de vaccination dont le seul but est de protéger la santé de la société en éliminant les maladies infectieuses », cela ne constitue pas une atteinte au droit à la vie protégé par la Convention européenne des droits de l’homme du 4 novembre 1950[3]. Les bénéfices de la vaccination, en effet, ne sont plus à démontrer : elle a permis l’éradication de la variole, une diminution de 99% des cas de poliomyélite entre 1988 et 2016, une réduction considérable des cas de tétanos, rougeole, diphtérie, coqueluche, etc[4]. À l’inverse, la recrudescence de certaines maladies infectieuses létales est liée à la diminution de la couverture vaccinale, ce qui peut justifier de rendre les vaccins obligatoires[5].

Dans une affaire récente, la Cour européenne des droits de l’homme a paru donner des gages aux États désireux d’imposer cette obligation en matière de lutte contre la covid-19. Dans l’arrêt Vavřička du 8 avril 2021, elle a considéré que si la vaccination obligatoire des enfants était une ingérence dans la vie privée, celle-ci était nécessaire dans une société démocratique au nom de la solidarité sociale[6]. Ce jugement, assorti du fait que le gouvernement français était intervenu dans la procédure, a été interprété comme un argument supplémentaire en faveur de l’obligation. Cela d’autant plus que le Conseil constitutionnel avait déjà refusé en 2015 de déclarer contraire à la Constitution l’obligation de vaccination infantile contre la poliomyélite, la diphtérie et le tétanos[7].

La crise sanitaire née de la pandémie de covid-19 pourrait donc justifier de rendre la vaccination obligatoire par voie législative pour un motif de santé publique. Le caractère exceptionnel des circonstances ne doit cependant pas faire oublier celui du moyen médical employé pour la faire cesser, à savoir le caractère inédit des procédés vaccinaux utilisés. Ainsi l’autorisation de mise sur le marché qui a été donnée aux fabricants en procédure accélérée par l’Agence européenne des médicaments (EMA) est conditionnelle. Selon l’EMA, ce type d’autorisation est délivrée « sur la base de données moins complètes que ce qui est normalement requis » et suppose que le fabricant s’engage à « fournir des données cliniques complètes à l’avenir ». Les rapports européens publics d’évaluation (EPAR) rendus au sein de l’Agence européenne des médicaments pour Pfizer[8] et Moderna[9] indiquent que les laboratoires pharmaceutiques doivent encore « fournir les résultats de l’essai principal, qui se poursuit pendant deux ans ». L’autorisation de mise sur le marché a été octroyée à Pfizer le 21 décembre 2020 jusqu’en décembre 2022. Le « rapport final de l’étude clinique » sera remis en décembre 2023. Pour Moderna, l’autorisation a été donnée le 6 janvier 2021 jusqu’en janvier 2023. Le « rapport final de l’étude clinique » sera remis en décembre 2022. Le fait qu’il s’agisse d’une vaccination en phase expérimentale ne saurait donc faire de doute.

Pour les deux autres vaccins, l’autorisation de mise sur le marché est également conditionnelle. Le vaccin AstraZeneca a été autorisé le 29 janvier 2021 et le vaccin Johnson & Johnson le 11 mars 2021. Les sociétés qui les commercialisent devront continuer de « de fournir les résultats des essais cliniques, qui sont en cours », comme l’indiquent les rapports d’évaluation du premier et du second[10]. Pour AstraZeneca, les « rapports d’étude cliniques finaux » sont attendus le 31 mai 2022[11]. Ceux du vaccin Johnson & Johnson sont attendus le 31 décembre 2023[12]. La formule « essai clinique » utilisée par l’Agence européenne est sans équivoque. Cette notion est définie par la directive 2001/20/CE du Parlement européen et du Conseil du 4 avril 2001[13]. Selon ce texte, un essai clinique est une « investigation menée chez l’homme, afin de déterminer ou de confirmer les effets cliniques, pharmacologiques et/ou les autres effets pharmacodynamiques d’un ou de plusieurs médicaments expérimentaux (…) dans le but de s’assurer de leur innocuité et/ou efficacité ». On notera, par exemple, qu’en dehors même des incertitudes relatives à leur technique spécifique – ARNm ou ADN recombiné[14] –, « aucune étude de cancérogénicité n’a été réalisée » pour le vaccin Moderna et « aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée » pour les vaccins Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson.

L’ensemble de ces informations suffisent à convaincre que la pandémie de covid-19 a conduit les autorités sanitaires à autoriser une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine. En période d’urgence, rien ne paraît juridiquement s’y opposer tant sur le plan de la santé individuelle afin de protéger les personnes vulnérables que sur le plan de la santé publique pour éviter la saturation des structures hospitalières. En revanche, le caractère expérimental de la vaccination invite le juriste à en recontextualiser l’usage, car en cette matière, le droit interne comme le droit international ont historiquement construit la notion de consentement du sujet comme garde-fou pour empêcher toute dérive (I). Dès lors, ce principe du consentement semble suffisamment bien établi pour constituer un obstacle à l’obligation vaccinale aussi longtemps que les phases de tests cliniques ne seront pas terminées (II).
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I- LE LIBRE CONSENTEMENT, UN FREIN À L’EXPÉRIMENTATION MÉDICALE
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A- Le conflit historique entre l’éthique et l’expérimentation médicale
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À partir du XVIe siècle, les progrès de la médecine ont incité aux expérimentations[15]. C’est d’ailleurs l’une d’elles qui a permis l’invention du vaccin. En 1796, le docteur Edward Jenner inocule à un enfant de huit ans du pus prélevé sur une trayeuse de vaches atteinte d’une maladie infectieuse des bovidés, la vaccine. En l’exposant ensuite à un malade contagieux, il démontre que l’injection a immunisé l’enfant contre la variole. La foi dans le progrès et l’exaltation des découvertes scientifiques incitent alors à expérimenter sur les « corps vils », jugés de peu de valeur : les détenus, les internés, les esclaves, les indigènes, les prostituées. Au XVIIIe siècle, des médecins se livrent à des expériences sur des esclaves noirs dans les colonies européennes des Antilles et d’Amérique du Nord[16]. L’inoculation préventive de maladies comme la petite vérole est utilisée sur des populations entières afin de tenter l’immunisation dans un contexte d’expérimentation de masse

Au XIXe siècle, les expériences se multiplient. Certains médecins témoignent d’une haute conscience éthique. C’est le cas, en 1833, d’un chirurgien militaire américain, William Beaumont, qui mène des expériences sur un patient atteint d’une fistule à l’estomac, mais seulement après avoir sollicité son accord et l’avoir engagé à cette fin[17]. En 1856, Claude Bernard, en posant les principes de la méthode expérimentale, recommande de « ne jamais pratiquer sur un homme une expérience qui ne pourrait que lui être nuisible à un degré quelconque »[18]. Cependant le 15 décembre 1859, le tribunal correctionnel de Lyon condamne pour blessures volontaires deux médecins hospitaliers qui ont volontairement inoculé la syphilis à un garçonnet de dix ans venu consulter pour une teigne[19]. En 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements[20]. Les exigences de l’expérimentation sont donc loin d’être d’emblée synonymes d’éthique. En 1892, en Allemagne, un médecin directeur de clinique est condamné pour avoir injecté la syphilis à des prostituées et à des mineurs à leur insu. À la suite de cette affaire, les services de santé allemands adoptent le 29 décembre 1900 une instruction aux directeurs de cliniques, polycliniques et établissements hospitaliers qui leur impose en matière d’expérimentation « le consentement clair » de la personne concernée[21].

C’est un médecin français, Pierre-Charles Bongrand, qui émet le premier l’idée moderne selon laquelle le sujet humain – et non le médecin – est au centre du dispositif expérimental. En 1905, dans sa thèse pour le doctorat en médecine, il constate que, tout en étant indispensables au progrès médical, les expériences sur l’être humain sont immorales, car elles sacrifient l’individu à la collectivité. C’est pourquoi il propose d’instaurer entre l’expérimentateur et le sujet un accord fondé sur le « consentement préalable »[22]. Cette conception ne se traduira pas immédiatement dans le droit[23]. Le principe du consentement éclairé du patient sera d’abord consacré pour la seule relation thérapeutique par la Cour de Cassation le 28 janvier 1942[24]. Quant à la recherche médicale, on continuera de présupposer qu’elle est humaniste du seul fait qu’elle vise à l’amélioration du sort de la collectivité. « Le labeur des hommes de génie, même orienté dans une direction erronée, finit presque toujours par tourner au plein avantage de l’humanité », écrivait ainsi Mary Shelley dans Frankenstein en 1818.

Le XXe siècle a pourtant largement démenti le présupposé des finalités humanistes de toute recherche médicale. Ainsi l’Unité 731, créé par le Japon impérial en 1932 aurait fait périr plus de dix mille prisonniers servant de cobayes humains en laboratoire[25]. En août 1944, le médecin en chef de l’armée japonaise, Nakamura Hirosato, a provoqué la mort de neuf cents Indonésiens après avoir ordonné l’injection expérimentale d’un vaccin contenant de la toxine tétanique chimiquement modifiée[26]. En Allemagne, ni le serment d’Hippocrate, ni les directives du gouvernement sur les thérapeutiques nouvelles et l’expérimentation scientifique du 28 février 1931 qui prévoyait que l’expérimentation était interdite « dans tous les cas où le consentement fait défaut » n’auront été suffisants pour empêcher les dérives médicales les plus tragiques. Le IIIe Reich a procédé à des expériences à vaste échelle sur des juifs déportés. À Auschwitz, à Buchenwald, à Dachau, à Natzwzeiler, les médecins nazis ont utilisé des cobayes humains auxquels ont été inoculés des pathogènes tels que le typhus, la fièvre jaune, la variole, la typhoïde, le choléra et la diphtérie afin de chercher des vaccins ou de mettre au point des traitements permettant l’immunité[27].
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B- La consécration du consentement éclairé après 1947
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Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, vingt médecins et trois fonctionnaires nazis seront accusés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité et jugés à Nuremberg du 9 décembre 1946 au 20 août 1947. Le jugement du Tribunal militaire américain des 19 et 20 août 1947[28] établit une liste des dix critères retenus pour apprécier les expérimentations reprochées aux accusés et connus aujourd’hui sous le nom de « Code de Nuremberg »[29]. Parmi eux, se trouve le principe du consentement éclairé du sujet. Pour leur défense, les accusés prétendaient qu’en temps de guerre, le serment d’Hippocrate ne tenait plus et que l’État pouvait décider de faire primer l’intérêt de la science sur celui de l’individu pour le bénéfice de la Nation. En réponse à cet argument, les juges de Nuremberg définirent des principes qui ne devaient pas dépendre d’une consécration juridique déterminée – c’est-à-dire du droit de tel ou tel État – mais d’une éthique médicale universelle et même du droit international[30]. C’est pourquoi le Pacte international sur les droits civils et politiques, adopté par l’Assemblée générale des Nations-Unies le 16 décembre 1966, prévoit à son tour qu’« il est interdit de soumettre une personne sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique » (art. 7).

En raison de leur atrocité, les crimes des médecins nazis ont laissé croire qu’il s’agissait d’un accident monstrueux de l’Histoire, faisant ainsi oublier ce qu’Hannah Arendt appelle « la banalité du mal ». Or, tout au long du XXe siècle, d’autres drames ont résulté d’expérimentations médicales sans l’accord des personnes[31]. L’histoire des États-Unis où elles sont bien documentées est édifiante : alimentation d’enfants retardés avec des céréales radioactives par des chercheurs du MIT à la Fernald State School (Massachusetts) dans les années 1940 et 1950[32], faux traitements administrés à des Noirs atteints de syphilis par le Service de santé publique de Tuskegee (Alabama) de 1932 à 1972[33], contamination d’enfants handicapés mentaux à l’hépatite par deux médecins universitaires à la Wilowbrook State School de New York de 1956 à 1972[34], essai sur 20 000 Américains du thalidomide – un sédatif responsable de graves malformations fœtales – sur simple prescription par des généralistes à la fin des années 1950 et jusqu’en 1961[35], injection de cellules cancéreuses à des malades âgés et indigents au Jewish Chronicle Disease Hospital de Brooklyn en 1963[36], etc.

Ces exemples attestent que pour certains, la fin peut toujours justifier les moyens. C’est pourquoi l’Association médicale mondiale, une organisation non gouvernementale de médecins créée en 1947, a jugé bon d’adopter en juin 1964 la déclaration d’Helsinki. Il s’agit du premier texte international postérieur à Nuremberg qui revient sur les questions d’éthique dans l’expérimentation. Ce texte affirme que « la participation de personnes capables à une recherche médicale doit être un acte volontaire » (art. 25). En France, les principes du Code de Nuremberg inspirent largement les garanties apportées par le droit. Ils ont été repris par le Comité consultatif national d’éthique dans un avis rendu en 1984[37] et par le rapport du Conseil d’État sur les sciences de la vie, l’éthique et le droit en 1988[38]. C’est toutefois la loi du 20 décembre 1988, dite loi Huriet-Sérusclat, qui a prévu pour la première fois une permission spécifique pour les essais médicaux sur des volontaires en bonne santé – jusqu’alors interdits – tout en tout en rappelant la nécessité d’un « consentement libre, éclairé et exprès »[39]rappelant la nécessité d’un « consentement libre, éclairé et exprès »[39].

II- LE LIBRE CONSENTEMENT,UN OBSTACLE À L’OBLIGATION VACCINALE
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A- L’encadrement juridique des expérimentations
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Les recherches médicales, y compris quand elles comportent une finalité thérapeutique, sont aujourd’hui régies par la loi du 5 mars 2012, dite loi Jardé[40]. Selon le Code de la santé publique, aucune recherche interventionnelle impliquant la personne humaine ne peut être pratiquée « sans son consentement libre et éclairé recueilli par écrit, après que lui a été délivrée l’information prévue » (article 1122-1-1). Les recherches interventionnelles sont celles « qui comportent une intervention sur la personne non justifiée par sa prise en charge habituelle » (article 1121-1), c’est-à-dire une intervention non dénuée de risque pour les personnes qui y participent. En font partie les recherches sur les médicaments, mais aussi les thérapies cellulaires ou les thérapies géniques comme le rappelle l’INSERM. Par leur nature comme par leur méthodologie expérimentale, les quatre vaccins anti-covid semblent entrer dans cette catégorie. Quant à l’information préalable, elle doit inclure notamment « les risques prévisibles » et « les éventuelles alternatives médicales » (article 1122-1).

Ces recherches interventionnelles supposent un avis favorable d’un organisme régional, le Comité pour la Protection des Personnes (CPP), qui dépend de l’Agence Régionale de Santé (ARS), suivi d’une autorisation par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM). En principe, le fait de ne pas avoir recueilli ce consentement est puni de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende par le Code pénal (art. 223-8). Néanmoins, la question du vaccin anti-covid a entraîné le dessaisissement des autorités sanitaires françaises au profit de l’Agence européenne des médicaments (EMA) sur le fondement du Règlement (CE) n° 726/2004 du 31 mars 2004. En ce qui concerne les « médicaments à usage humain contenant une nouvelle substance active », notamment pour le traitement des maladies virales, ce règlement prévoit, en effet, une procédure centralisée d’autorisation au niveau européen. En d’autres termes, ces médicaments doivent recevoir une autorisation de l’Agence européenne des médicaments (EMA) valable pour tous les États membres de l’Union européenne. Ce dessaisissement fait alors obstacle à une éventuelle action devant le juge français pour non-respect de la procédure d’avis et d’autorisation en droit interne, puisque sous la pression des circonstances, celle-ci s’est vu substituer une procédure européenne. En revanche, il ne dispense en rien de l’obligation d’obtenir l’accord des personnes.

Au sein du Conseil de l’Europe, la Recommandation n°R(90)3 du Comité des Ministres concernant la recherche médicale sur l’être humain, adoptée le 6 février 1990, énonce un certain nombre de principes. Selon le troisième, « aucune recherche médicale ne peut être effectuée sans le consentement éclairé, libre, exprès et spécifique de la personne qui s’y prête » et, selon le treizième, « les personnes susceptibles de faire l’objet de recherches médicales ne doivent pas être incitées à s’y soumettre d’une manière qui compromette leur libre consentement ». Ce texte, s’il vaut engagement politique et éthique, n’a cependant pas de valeur juridique obligatoire. En revanche, le règlement (CE) du 31 mars 2004 prévoit d’une manière contraignante au sein de l’Union européenne le respect de certaines exigences éthiques lors de la conduite d’essais cliniques de médicaments autorisés au niveau européen (point 16). Ces exigences sont prévues par la directive 2001/20/CE du 4 avril 2001 qui se réfère explicitement à la déclaration d’Helsinki et qui prévoit elle aussi le consentement éclairé (art. 3). Enfin, la Cour européenne des droits de l’homme a eu l’occasion de juger en 2002 que l’imposition d’un traitement sans le consentement du patient est « une atteinte à l’intégrité physique de l’intéressé »[41] et que « les vaccinations obligatoires en tant que traitements médicaux non volontaires constituent une ingérence dans le droit au respect de la vie privée »[42].

Une question demeure : ce principe s’applique-t-il lorsque l’expérimentation consiste en un vaccin ? La réponse est positive, car la directive du 4 avril 2001 vise les médicaments tels qu’ils sont définis par un autre texte, la directive 65/65/CEE du 26 janvier 1965. Selon celle-ci, un médicament est « toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales. Toute substance ou composition pouvant être administrée à l’homme ou à l’animal en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier des fonctions organiques chez l’homme ou l’animal est également considérée comme médicament » (art. 1er). Les vaccins anti-covid répondent sans conteste à cette définition. Dans la mesure où ils sont encore en phase expérimentale, ils sont soumis aux principes éthiques imposés par le règlement de 2004. La règle du consentement libre et éclairé à une expérimentation est donc bien établie en droit français comme en droit de l’Union européenne.
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B- Inviolabilité du corps humain et dignité de la personne
.

Si l’arrêt Vavřička rendu par la Cour européenne le 8 avril 2021 ne fait pas obstacle à l’obligation vaccinale anti-covid, il ne la rend pas pour autant plausible ni juridiquement acceptable. Dans cette affaire, il s’agissait de vaccins longuement éprouvés qui ne suscitent plus que des contestations marginales chez les adversaires radicaux de toute vaccination. Il en va tout autrement des vaccins anti-covid. Ceux-ci se trouvant, de l’aveu même de l’Agence européenne des médicaments, en phase d’essais cliniques, il paraît difficile de les imposer compte tenu des garanties juridiques existantes. Une obligation vaccinale dans un contexte d’expérimentation risquerait fort de se heurter à la sanction du juge, ce d’autant plus que le droit français est fondé sur le principe de l’inviolabilité du corps humain. Cette prohibition s’exprime dans l’adage Noli me tangere, « ne me touche pas », repris de la parole du Christ ressuscité à Marie Madeleine[43] et traduisant le caractère sacré du corps. Si ce principe d’inviolabilité n’a pas reçu de consécration constitutionnelle, il traverse toutefois tout notre système juridique et est couvert par la « sauvegarde de la dignité de la personne », notion plus large que le Conseil constitutionnel a élevé au rang de principe constitutionnel dans sa décision du 27 juillet 1994 à propos de la loi relative au respect du corps humain[44].

Il est commun de dire que l’expérimentation médicale profite à l’espèce humaine tout entière bien qu’elle puisse s’exercer au détriment éventuel de celui qui s’expose à ses risques. Autrement dit, le bénéfice attendu par le plus grand nombre vaudrait bien le danger encouru par quelques-uns. Cependant l’expérimentation médicale sur l’être humain ne peut pas se réduire à une équation qui la rendrait aussi évidente qu’un calcul avantages/inconvénients. En effet, un tel raisonnement postule sa finalité désintéressée en faisant l’économie de ses déterminants économiques, politiques et sociaux. Dans l’affaire Vavřička, le juge Wojtyczek a observé dans une opinion dissidente publiée à la suite de l’arrêt « qu’il n’a été soumis à la Cour aucun élément propre à montrer que les États ayant mis en place l’obligation vaccinale obtiennent de meilleurs résultats en matière de santé publique que les États qui n’ont pas instauré cette obligation ». La remarque est cruciale et lourde d’implications.

Il faut se garder, en effet, d’une vision idéalisée de la rationalité scientifique qui conduirait à faire abstraction des enjeux de pouvoir, des intérêts financiers et des stratégies institutionnelles qui la conditionnent. La recherche médicale possède sa propre logique de déploiement qui n’est pas nécessairement humaniste et qui peut être assujettie à la quête du profit comme l’a rappelé encore récemment l’affaire du Médiator[45]. C’est un fait, par ailleurs, que la rationalité pure échappe à toute norme morale et menace de se retourner contre elle-même comme l’a montré Max Horkheimer[46]. Un marqueur de la civilisation peut alors se transformer en « progrès régressif » selon la formule de Theodor Adorno[47].

Si l’idée de neutralité scientifique est un leurre[48], le seul usage du terme « éthique » dans les textes juridiques ne suffit pas à en garantir l’innocuité. Même lorsque les recherches sont strictement encadrées par le droit, le principe du libre consentement paraît souvent fragile dans le rapport asymétrique qui lie l’autorité médicale au sujet. On voit mal, du reste, comment le consentement pourrait être tout à fait « éclairé » en présence d’un risque inconnu et d’une technique vaccinale complexe. Comme le rappelait Yannick Bardie en 2016, un essai clinique est par nature « un exercice très dangereux et non éthique »[49]. Compte tenu des nombreuses incertitudes qui pèseront jusqu’à la fin des essais sur les vaccins anti-covid, s’il est légitime de laisser aux volontaires, en particulier aux personnes vulnérables, la possibilité de les recevoir en toute connaissance de cause, il paraîtrait contraire au droit en vigueur et aux principes qui fondent notre système libéral de vouloir les imposer à tous les citoyens.

[1] Académie nationale de médecine, « La vaccination des soignants contre la Covid-19 doit devenir obligatoire », Communiqué de l’Académie nationale de médecine, 9 mars 2021.

[2] Loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018, JORF, 31 déc. 2017.

[3] CommissionEDH, 12 juill. 1978, Association X. Contre Royaume-Uni, n°7154/75.

[4] D. Lévy-Bruhl. « Politique vaccinale », in F. Bourdillon (dir.), Traité de santé publique. Lavoisier, 2016, pp. 311-322.

[5] Ph. Sansonetti, « La défiance vis-à-vis des vaccins, un luxe pour ceux qui sont protégés par les autres ? », Après-demain, vol. n° 42, n° 2, 2017, pp. 9-11.

[6] CEDH, 8 avr. 2021, Vavřička c. République tchèque, n°46621/13.

[7] CC, déc. n° 2015-458 QPC, 20 mars 2015, Époux L.

[8] Comirnaty. An overview of Comirnaty and why it is authorised in the EU, EMA/215190/2021, p. 4.

[9] Covid-19 Vaccine Moderna. An overview of COVID-19 Vaccine Moderna and why it is authorised in the EU, EMA/704373/2020, p. 4.

[10] COVID-19 Vaccine Janssen. An overview of COVID-19 Vaccine Janssen and why it is authorised in the EU, EMA/229490/2021; Vaxzevria. An overview of Xaxzevria and why it is authorised in the EU, EMA/213411/2021.

[11] Committee for Medicinal Products for Human Use, Covid-19 Vaccine AstraZeneca, Assessment report, EMA/94907, 20 January 2021, p. 176.

[12] Committee for Medicinal Products for Human Use, Covid-19 Vaccine Janssen, Assessment report, EMA/158424, 11 March 2021, p. 209.

[13] Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du Conseil du 4 avril 2001 concernant le rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres relatives à l’application de bonnes pratiques cliniques dans la conduite d’essais cliniques de médicaments à usage humain, J.O. n° L121, 1er mai 2001, p. 34-44.

[14] Janssen Vaccines & Prevention B.V., Summary Notification Information Format for the Release of Genetically Modified Organisms Other Than Higher Plants in Accordance with Article 11 of Directive 2001/18/EC, Ad26COVS1, 6 July 2020.

[15] Ph. Amiel, « Expérimentation sur l’être humain », in C. Bonah, J.-M. Mouillie et al., Médecine, santé et sciences humaines, Les Belles Lettres, pp. 564-576, 2011.

[16] G. Chamayou, Les corps vils. Expérimenter sur les êtres humains aux XVIIIe et XIXe siècles, La Découverte, 2014, pp. 341-384.

[17] W. Beaumont, Experiments and Observations on the Gastric Juice, Plattsburgh, P. P. Allen, 1833, p. 20.

[18] C. Bernard, Introduction à la médecine expérimentale, J. B. Baillère & Fils éd., 1865, II, chap. 2, § 3.

[19] A. Claudy, Histoire de la dermatologie lyonnaise, Société française d’Histoire de la dermatologie.

[20] L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332.

[21] Schleswig-Holstein Ministerium für Soziales, Gesundheit, Jugend, Familie und Senioren, Wissenschaftliche Untersuchung der Praxis der Medikamentenversuche in schleswig-holsteinischen Einrichtungen der Behindertenhilfe sowie in den Erwachsenen-, Kinder- und Jugendpsychiatrien in den Jahren 1949 bis 1975, 12 Januar 2021, p. 35.

[22] P.-C. Bongrand, L’expérimentation sur l’homme. Sa valeur scientifique et sa légitimité, 1905, Presses de l’Institut Gustave Roussy/IGR Press.fr, 2011, p. 122.

[23] Ph. Amiel, Des cobayes et des hommes ; expérimentation sur l’être humain et justice, Les Belles Lettres, 2011.

[24] Cass, 28 janv. 1942, Teyssier, Gaz. Pal. 1942, 1, p. 177 ; B. Hoerni et J.-P. Bouscharain, « Arrêt Teyssier de la Cour de Cassation, 28 janvier 1942 : quelques remarques sur une décision “oubliée” », Histoire des sciences médicales, t. XXXV, n°3, 2001.

[25] R. Working, « The Trial of the Unit 731 », The Japan Times, 5 June 2005.

[26] J. K. Baird, « War Crimes in Japan-Occupied Indonesia: Unraveling the Persecution of Achmad Mochtar », The Asia-Pacific Journal Japan Focus, Jan. 1, 2016, vol. 14, issue 1, n° 4.

[27] J. Graven, « Le procès des médecins nazis et les expériences pseudo-médicales. Esquisse d’une étude de synthèse, Annales de droit international médical, n°8, juin 1962, p. 5.

[28] Ph. Amiel, « Expérimentations médicales : les médecins nazis devant leurs juges », in F. Vialla, Les grandes décisions du droit médical, LGDJ, 2009, pp. 431-444.

[29] Ph. Amiel, «“Code de Nuremberg” : traductions et adaptations en français», in Des cobayes et des hommes, op. cit.

[30] Ph. Amiel, F. Vialla, « Le “code de Nuremberg”, une jurisprudence pénale inaugurale endroit international de la santé », in E. Cadeau, É. Mondielli, F. Vialla (dir.), Mélanges en l’honneur de Michel Bélanger : modernité du droit de la santé, Les éditions hospitalières, 2015, pp.573-585.

[31] A. M. Salam, A. S. Carr, « Racing for Covid-19 Vaccine and Cure: Lessons and Tragedies in Human Subject Research », Heart Views, 2020 Jul-Sep, 21(3), p. 229–234.

[32] R. Leung, « America’s Deep, Dark Secret », CBS News, Apr. 29, 2004.

[33] Center for Disease Control and Prevention, The Tuskegee Timeline.

[34] S. Krugman, « The Willowbrook Hepatitis Studies Revisited: Ethical Aspects », Reviews of infectious diseases, vol. 8, n°1, Jan.-Febr. 1986, 157-162.

[35] B. Fintel, A. T. Samaras, E. Carias, « The Thalidomide Tragedy: Lessons for Drug Safety and Regulation », Helix, Jul. 28, 2009.

[36] « Hospital Accused on Cancer Study », The New York Times, Jan. 21, 1964.

[37] CCNE, Avis sur les essais de nouveaux traitements chez l’homme. Réflexions et propositions, n°2, 9 oct. 1984.

[38] Sciences de la vie : de l’éthique au droit, Rapport G. Braibant, La Documentation française, 1988.

[39] Loi n°88-1138 du 20 déc. 1988 relative à la protection des personnes qui se prêtent à des recherches biomédicales, JORF, 22 déc. 1988.

[40] Loi n° 2012-300 du 5 mars 2012 relative aux recherches impliquant la personne humaine, JORF, 6 mars 2012. Voir : J. Ducruet, « Protection des personnes qui se prêtent à des recherches biomédicales », Laennec, vol. 56, n°3, 2008, pp. 6-24.

[41] CEDH, 29 avr. 2002, Pretty c. Royaume-Uni, n°2346/02.

[42] CEDH, 9 juill. 2002, Salvetti C. Italie, n°42197/98.

[43] Jean, 20, 17.

[44] CC, déc. n° 94-343/344 DC, 27 juillet 1994, Loi relative au respect du corps humain et loi relative au don et à l’utilisation des éléments et produits du corps humain, à l’assistance médicale à la procréation et au diagnostic prénatal, JORF, 29 juill. 1994, p. 11024.

[45] CAA Paris, 8ème ch., 4 août 2017, 16PA00157 et 16PA03634.

[46] M. Horkheimer, Éclipse de la raison, 1947, Payot, 1974.

[47] Th. W. Adorno, Minima Moralia. Réflexions sur la vie mutilée, 1951, Payot, 2016.

[48] K. Abbasi, « Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science », The British Medical Journal, 2020, 371. En ligne: <https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4425> (consulté le 7 mai 2021).

[49] L’Obs, 15 janv. 2016. Voir aussi Y. Bardie, Essai clinique : du patient à l’objet de science, Éd. Sauramps Médical, 2013.

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29 juin 2021 2 29 /06 /juin /2021 11:55

"Il se crée sans cesses des variants.

 

"Il est bien possible que la vaccination soit moins efficace vers ce nouveau variant (indien) et envers d'autres comme en Israël et que donc la politique extrêmement active de vaccination n'aura pas donné les résultats escomptés, et que donc le modèle que l'on nous présentait (du tout vaccinal sans traitement précoce Ndlr) est actuellement derrière nous en terme épidémiologique.

 

"La courbe des vaccinés .augmente et on n'a pas l'impression qu'elle soit radicalement différente de celle des non-vaccinés.

 

"Donc on n'a pas de solution parfaite avec ce type de vaccins.

 

"Pour les vaccinés nous avons globalement une mortalité qui est comparable à celle que nous avions pour celle des non-vaccinés. Mais les gens qui meurent sont des sujets très âgés et qui ont une espérance de vie très faible. C'est une maladie qui tue des gens de plus de 65 ans qui ont des facteurs de risques associés, ou des gens de plus de 75 ou de 85 ans qui ont une espérance de vie très faible. Donc ce n'est pas une maladie qui va se mettre à tuer les enfants, sauf si le virus change. Mais ce n'est pas le cas.

 

"Donc 1, cela ne mérite pas un tel affolement,

2 il faut soigner et en particulier soigner les personnes âgées 

3 il faut tester les molécules comme l'hydroxychloroquine et l'ivermectine, en particulier dans les EHPAD où c'est le problème le plus important. Or on sait que presque toutes les demandes d'essais thérapeutiques dans les EHPAD ont été refusées.

 

"On a l'impression sur nos données que le variant indien est plutôt relativement plus fréquent chez les personnes vaccinées. On voit qu'en Angleterre et en Israël c'est comme cela que cela se passe."

 

Source: Bulletin d'information scientifique de l'IHU Méditerranée-Infection 29 juin 2021

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26 juin 2021 6 26 /06 /juin /2021 13:43

Patrick Buisson, politologue et ancien conseiller personnel du président Sarkozy, publie un nouvel essai "La Fin d'un monde, oui c'était mieux avant !" (éditions Albin Michel), qui raconte tout ce que la modernité a déshumanisé et délier dans les âmes et la vie du monde. Dans "le Grand entretien, le Piège moderne" il est interrogé par Charlotte d'Ornellas pour Valeurs actuelles :

Extrait :

 

"Oui, c'était mieux avant. Je le sais, donc je parle en connaissance de cause. L'ancien monde pouvait avoir quelque chose de pesant, d'injuste souvent, et d'insupportable. Mais ce que nous avons gagné globalement relève de la technique, c'est un progrès technique. Ce que nous avons perdu relève de l'humanité : la joie de vivre, l'entraide, le don, la gratuité, la légèreté, la solidarité. Nous avons perdu tout cela, c'est-à-dire ce trésor d'humanité que nous avons dilapidé.

 

"De même face à la mort, on peut dire que la religion était l'invention des hommes et que l'humanité a amassé ce trésor d'intelligence pour contenir son angoisse de la finitude. Cela, on peut le dire, mais le fait est que le trésor était là, alors qu'il ait été un don divin ou une création humaine, en tous les cas il remplissait une fonction. Et cette fonction aujourd'hui n'est plus remplie.

 

"[...] Moi, je vois le remplacement des hommes par des post-humains, je vois le remplacement de l'homme sacré, de l'homme religieux par le consommateur. Et de tout ce qui s'est passé, rien ne peut être compris si on ne comprend pas cela, si on ne comprend pas que tout est permis à partir de ce grand remplacement-là.

 

"[...] Donc à un moment, la transformation technique est faite. On est sorti de cette paysannerie pré-capitaliste, d'une économie de subsistance, et on l'on a oublié la religion en route. Et on aura détruit cinq millions d'emplois. On aura détruit nos paysages, avec le remembrement, crime contre cette vieille France. [...] On a détruit tout cela, la table rase, la Révolution avec la bénédiction des évêques. On saccage les paysans, les paysages, c'est le thème exploité par de nombreux historiens, pour cinquante ans après revenir à ce qu'étaient les techniques agricoles d'avant la révolution agricole, la permaculture, l'agriculture bio. Et on se dit cela a servi à quoi finalement la révolution agricole ? Quel est ce progrès qui a tout détruit puisque finalement on revient à ce qui était avant ?

 

"Il faudrait pouvoir un jour - c'est mon rêve - inaugurer un monument, un martyrologe du progrès, toutes les millions de vies humaines qui ont été sacrifiées au progrès, à commencer par les millions de vies humaines de femmes ou d'enfants dont le capitalisme du XIXe siècle.

"Il suffit de lire un livre comme celui de Jack London, Le Peuple de l'abîme (1903), pour savoir ce qu'a été la condition des ouvriers, des femmes et des enfants (au XIXe s. NdCr). Les premiers à se pencher sur cette question d'ailleurs, c'est l'Église catholique (les légitimistes, la droite conservatrice) qui veut légiférer et qui impose une législation sur le travail des femmes, sur le travail des enfants, qui se dresse la première, avant même les socialistes français, contre ce capitalisme-là. Et des millions de vies ont été sacrifiées au nom du progrès.

 

Lire : C'est la droite légitimiste et traditionaliste qui la première prend la défense des travailleurs

 

"On nous dit toujours regardez ce que le progrès sauve comme vies humaines. Mais regardez ce qu'il a coûté en vies humaines aussi ! [...] Le passif est énorme et il faut l'apprécier.

 

"Tout progrès finalement entraine un anti-progrès et ne pas le voir c'est avoir une approche idéologique des choses.

 

"[...] Il ne faut pas avoir de scrupules. Vous connaissez le grand procès des progressistes 'vous voulez revenir en arrière', le péché absolu. Mais, l'histoire ne fait que revenir en arrière. Ainsi, le cycle de mai 68 est en train de se terminer, les Français plébiscitent l'institution militaire, mai 68 c'est le rejet de l'autorité, le rejet de toutes institutions. Donc on revient bien en arrière. Après le temps des totalitarismes il y a eu le temps des démocraties, on est donc revenu en arrière, à la période d'avant. [La dite "Renaissance" elle-même (sic) est un retour en arrière... ("réactionnaire"?), puisqu'elle consistait à un retour aux textes antiques comme modèle de vie, d'écriture et de pensée : 'rajeunir les idées fanées est la tâche de l'humaniste...' (Michaël Rabier, Nicolas Gomez Davila, Penseur de l'Antimodernité, Vie, œuvre et philosophie, Préface de Stephen Launay, Collection Théôria, L'Harmattan, Paris 2020, p. 167.) NdCR.] L'histoire balbutie, revient sans cesse en arrière.

 

"Il n'y a aucune honte à revenir à l'endroit où l'on s'est trompé de chemin pour prendre la bonne route. C'est même plutôt une réaction saine et intelligente. Plutôt que de continuer à foncer à folle allure sur l'autoroute qui ne mène à rien, ou qui mène à l'abîme, c'est se dire je me suis trompé de chemin et je fais demi-tour, cela s'appelle le courage politique. Mais revenir en arrière, ce concept même pour un progressiste est absolument blasphématoire."

Dorset Street de Londres dans le fameux quartier Whitechapel, photographié en 1902 pour Le Peuple de l'abîme de Jack London

Dorset Street de Londres dans le fameux quartier Whitechapel, photographié en 1902 pour Le Peuple de l'abîme de Jack London

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25 juin 2021 5 25 /06 /juin /2021 23:21
Mgr Paprocki : Concernant le débat sur la communion &quot;Il ne devrait pas y avoir d'unité avec l'iniquité&quot;

Source: Catholic World Report

 

Salle de presse de Denver, 23 juin 2021 / 16 h 56 (AIIC).

 

Dans une déclaration publiée le 23 juin 2021, Mgr Thomas Paprocki, évêque du diocèse de Springfield, dans l'Illinois, a critiqué la récente couverture médiatique du vote de l'USCCB concernant la rédaction d'un document sur l'Eucharistie.

 

Parmi les erreurs signalées dans la déclaration, on trouve les affirmations de plusieurs médias selon lesquelles le "Vatican aurait averti les évêques catholiques des États-Unis de ne pas adopter cette proposition", a déclaré Mgr Paprocki.

 

L'évêque Paprocki a déclaré: "C'est tout simplement faux."

 

Pour clarifier la question, l’évêque a poursuivi: "En fait, le cardinal Luis Ladaria, SJ, chef de la Congrégation pour la doctrine de la foi du Vatican, avait écrit au président de l’USCCB appelant au 'dialogue . . .  d’abord parmi les évêques eux-mêmes, puis entre les évêques et les politiciens catholiques pro-choix dans leurs juridictions. En fait, les évêques et les politiciens dialoguent sur cette question depuis de nombreuses années.'

 

Il a fait valoir que le projet de document était "précisément" l’impulsion nécessaire pour donner au dialogue la forme et le fond. Les procédures de l’USCCB permettront désormais aux réunions des évêques régionaux de discuter du document et d’un débat et d’un vote formels sur le document – avec la possibilité de proposer des amendements – lors de la réunion de novembre.

 

En outre, il a noté que l’un des "arguments trompeurs" avait été exprimé par les évêques et les cardinaux au sein de l’USCCB. Ces évêques et cardinaux ont fait valoir que "la rédaction de ce document [...] serait source de division et nuirait à l’unité de la conférence épiscopale", selon le communiqué.

 

Cependant, l'évêque Paprocki a rétorqué qu'"il ne devrait pas y avoir d'unité avec l'iniquité".

 

"Oui, nous devons tendre vers l’unité, mais notre unité doit être basée sur les vérités de notre foi telles qu’elles se trouvent dans les Saintes Écritures et la tradition constante de l’Église. Personne ne devrait vouloir être uni sur le chemin de la perdition."

 

L’évêque a souligné que d’autres membres de la hiérarchie en Amérique latine se sont unis dans l’enseignement sur la "cohérence eucharistique", "y compris le cardinal Jorge Bergoglio (aujourd’hui pape François)". Les évêques latino-américains ont été les premiers à utiliser le terme "cohérence eucharistique", bien qu’ils se soient appuyés sur le terme "cohérence eucharistique" utilisé dans Sacramentum Caritatis du pape Benoît XVI. Le terme a été explosif dans le contexte américain, bien qu’il ait été une caractéristique de la pensée théologique et papale avec peu de controverse avant d'être immergé dans son contexte actuel.

 

Abordant une autre inexactitude, il a affirmé que la cohérence eucharistique ne concerne pas simplement "l’avortement et l’euthanasie", mais le problème du péché grave "de toute nature".

 

Alors que les reportages traditionnels ont souvent donné l'impression que les évêques ont récemment décidé qu'un seul péché empêcherait quelqu'un de recevoir l'Eucharistie, "cela a été l'enseignement constant de l'Église catholique au cours des deux mille dernières années que les personnes conscientes d'un péché grave doivent d'abord se repentir, confesser leurs péchés à un prêtre et recevoir l'absolution sacramentelle avant de recevoir la sainte communion", a déclaré l'évêque.

 

"Cet enseignement se reflète dans le droit canon et la discipline sacramentelle de l'Église", a-t-il noté.

 

Enfin, Mgr Paprocki a conclu avec une description du serment prêté par un évêque lors de son ordination et une exhortation à ses frères évêques à "avoir le courage de remplir leur serment solennel".

 

Le serment dit : "En remplissant la charge qui m'a été confiée au nom de l'Église, je retiendrai le dépôt de la foi dans son intégralité ; Je le transmettrai fidèlement et l'expliquerai, et j'éviterai tout enseignement contraire. Je suivrai et favoriserai la discipline commune de toute l'Église et je maintiendrai l'observation de toutes les lois ecclésiastiques, en particulier celles contenues dans le Code de droit canonique."

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25 juin 2021 5 25 /06 /juin /2021 13:25
https://twitter.com/Flobga/status/1407848319527927817

https://twitter.com/Flobga/status/1407848319527927817

Dupond-Moretti affirme que les détenus ont le droit de refuser le vaccin, "car les détenus ne sont pas des cobayes, c'est une question de dignité".

 

Les soignants que le gouvernement contraint, mais n'importe qui aussi sait maintenant comment argumenter.

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23 juin 2021 3 23 /06 /juin /2021 09:11

Mais il m’a déclaré : "Ma grâce te suffit."

2 Co 12,9

Un moyen très-efficace pour vaincre toutes sortes de tentations

Un moyen très-efficace pour vaincre toutes sortes de tentations, et pour acquérir la perfection de toutes les vertus, c'est de ne compter point sur nous-mêmes, mais uniquement sur le secours de Dieu.

 

Cassien dit que c'était une tradition constante parmi les anciens Pères du désert, et en quelque façon, comme un principe fondamentale, que l'on ne pouvait acquérir la pureté du cœur, ni la perfection des autres vertus, si l'on n'était premièrement convaincu que tout le soin que l'on y peut apporter de soi-même est inutile sans une assistance particulière de Dieu, qui est l'auteur et le dispensateur de tout bien. Et cette connaissance, ajoute-t-il, ne doit pas être une connaissance de pure spéculation, fondée ou sur ce qu'on a ouï dire, ou sur ce qu'on a lu, ou sur les révélations de la foi ; ce doit être une connaissance pratique et expérimentale, qui nous rend cette vérité sensible et qui nous la fasse toucher, pour ainsi dire, au doigt et à l'œil. C'est-là en effet le troisième degré d'humilité dont nous parlons : c'est de cette sorte d'humilité que l'on doit entendre tant de passages de l’Écriture Sainte, qui promettent de si grands biens aux humbles ; et c'est avec beaucoup de raison que les Saints établissent le souverain degré de l'humilité dans la connaissance dont nous parlons. Ces mêmes Saints assurent que cette connaissance est le fondement de toutes les vertus, et une disposition nécessaire pour recevoir tous les autres dons de Dieu. Cassien traite particulièrement ce sujet, et parlant ensuite de la chasteté, il dit que tous les efforts que nous pouvons faire pour l'acquérir, sont inutiles, jusqu'à ce que nous sachions par expérience que nous ne la pouvons acquérir par nos propres forces ; mais que ce doit être un don de la libéralité et de la miséricorde de Dieu. La doctrine de Saint Augustin s'accorde très-bien avec celle de ce grand Maître de la vie spirituelle. Il dit que le principal moyen pour obtenir la chasteté et pour la conserver, c'est de ne pas croire qu'on puisse l'obtenir de soi-même par ses efforts, parce que dès ce moment on a mérité de la perdre, lorsqu'on se repose sur un aussi faible appui, mais qu'il faut être bien persuadé que cette vertu est véritablement un don de Dieu, que c'est d'en haut qu'elle doit venir, et que c'est du Ciel qu'il faut l'attendre.

Au reste cette doctrine n'est pas seulement celle de Saint Augustin, de Cassien et des anciens Pères du désert, elle est aussi celle du Saint-Esprit, qui en parle au Livre de la Sagesse en des termes où la pratique se trouve jointe à la théorie : Lorsque je sus, dit Salomon, que je ne pouvais demeurer dans la continence sans un don de Dieu (et cela même était une extrême sagesse de savoir de qui ce don-là pouvait venir), je me prosternai devant le Seigneur, et je le priai de tout mon cœur. C'était encore de cette même vérité dont était pénétré le Prophète royal, quand il disait : « Que si le Seigneur ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent travaillent en vain ; et que s'il ne prend la ville en sa garde, c'est inutilement que l'on veille à la garder. » Il faut que ce soit Dieu qui nous donne, il faut que ce soit Dieu qui conserve après nous avoir donné : autrement tout ce que nous ferons sera inutile.

 

(Abrégé de la Pratique de la Perfection Chrétienne)

 

Source: Le Petit Sacristain

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23 juin 2021 3 23 /06 /juin /2021 08:48
Des nanoparticules dans le vaccin Covid : confirmation par le Dr Fouché, médecin-anesthésiste

DES NANOPARTICULES dans le VACCIN COVID : confirmation par le Dr FOUCHE, médecin-anesthésiste et réanimateur à Marseille.

 

"Il y a une enzyme luminative qui est bio-liminescente lorsqu'on passe un appareil de détection et qui déterminerait où en est le carnet de vaccination de l'individu."

 

"Oui. C'est cela. Et c'est très inquiétant. On ne doit pas rentrer dans votre corps pour vous expliquer comment vous devez vivre, ou où vous en êtes. Il y a des lois là-dessus, dont la loi de 2002, L 1111-4 du Code de Santé Publique, sur la liberté de consentir ou non à un traitement.

 

"Thomas Madde (qui fabrique les nanoparticules lipidiques pour les producteurs de vaccins) a lui-même dit que 'le développement était tellement rapide que l'on n'a pas du tout pu faire de test de stabilité sur ces nanoparticules'." (Source: www.futura-sciences.com/sante/actualites/vaccin-vaccin-pfizer-naurait-finalement-pas-besoin-etre-stocke-70-c-84282/ )

 

Source: Video Gloria.Tv

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23 juin 2021 3 23 /06 /juin /2021 07:02
Fauci admet que les scientifiques avaient reconnu que la COVID-19 &quot;pouvait être une maladie inventée en laboratoire&quot; au début de 2020

Source: FoxNews

Fauci dit qu'il était ouvert à la théorie des fuites de laboratoire des coronavirs depuis le début

 

Le Dr Anthony Fauci a déclaré que les scientifiques, remontant à février 2020, ont reconnu que COVID-19 "pourrait être un virus artificiel" avec le potentiel d'une fuite accidentelle d'un laboratoire, mais maintient que l'origine la plus probable était la transmission zoonotique.

 

Fauci a discuté d'une conférence téléphonique qui a eu lieu le 1er février 2020, quelques jours seulement après que l'Organisation mondiale de la santé a relevé le niveau d'alerte sur COVID-19, la qualifiant d'urgence de santé publique de portée internationale, lors d'une interview avec USA Today cette semaine.

 

"Je m'en souviens très bien", a déclaré Fauci à USA Today. "Nous avons décidé lors de l'appel que la situation devait vraiment être examinée attentivement."

 

L'appel comprenait plusieurs scientifiques, dont Kristian Andersen, expert en maladies infectieuses au Scripps Research Translational Institute en Californie.

 

Dans un e-mail à Fauci la veille de l'appel, et examiné par Fox News, Andersen a écrit: "Les caractéristiques inhabituelles du virus ne représentent qu'une très petite partie du génome (<0,1%), il faut donc regarder de très près toutes les séquences pour voir que certaines des fonctionnalités semblent (potentiellement) conçues."

 

Dans l'e-mail, Andersen a ajouté que lui et plusieurs autres experts pensaient que le génome était "incohérent avec les attentes de la théorie de l'évolution", mais a noté que "ces opinions pourraient encore changer" après d'autres analyses.

 

Fauci a déclaré à USA Today cette semaine que la réunion était "une conversation très productive où certains lors de l'appel ont estimé qu'il pourrait éventuellement s'agir d'un virus artificiel". Fauci a déclaré que d'autres participants à l'appel estimaient que les preuves étaient "fortement pondérées" en faveur d'une transmission zoonotique naturelle.

 

"J’ai toujours eu l’esprit ouvert", a déclaré Fauci à USA Today. "Même si je me sentais alors, et que je le sens toujours, que l’origine la plus probable était un hôte animal." Mais quelques jours après la téléconférence, selon un courriel obtenu par USA Today, Andersen avait changé de position, affirmant que les données "montrent de manière concluante" que le virus n’a pas été conçu.

 

Andersen, offrant des commentaires sur un document que les scientifiques auraient travaillé à mettre en place pour les Académies nationales des sciences, de l’ingénierie et de la médecine à envoyer au Bureau de la politique scientifique et technologique de la Maison Blanche, a déclaré: "Je me demande si nous devons être plus fermes sur la question de l’ingénierie."

 

"Les principales théories cinglées qui circulent en ce moment concernent ce virus en quelque sorte conçu avec intention et ce n'est manifestement pas le cas", a déclaré Andersen dans le document. "L'ingénierie peut signifier beaucoup de choses et peut être réalisée soit pour la recherche fondamentale soit pour des raisons néfastes, mais les données montrent de manière concluante qu'aucune n'a été faite…"

 

Il a ajouté : "Si l'un des principaux objectifs de ce document est de contrer ces théories marginales, je pense qu'il est très important que nous le fassions avec force et en langage clair ("cohérent avec" [l'évolution naturelle] est l'un de mes préférés lorsque je parle aux scientifiques, mais pas lorsqu'ils s'adressent au public - en particulier aux théoriciens du complot)."

 

Selon USA Today, le document n'a pas discuté de la possibilité d'ingénierie, et a plutôt noté que les données d'échantillons viraux étaient nécessaires pour déterminer l'origine.

 

Le mois dernier, le président Biden a publié une rare déclaration publique, révélant que la communauté du renseignement américaine s'est "fusionnée autour de deux scénarios probables" sur les origines de COVID-19, "y compris s'il est issu d'un contact humain avec un animal infecté ou d'un accident de laboratoire , " et a demandé un " suivi supplémentaire".
 

Le président a demandé à la communauté du renseignement de "redoubler d'efforts pour collecter et analyser des informations qui pourraient nous rapprocher d'une conclusion définitive, et de me faire rapport dans 90 jours".

 

"Dans le cadre de ce rapport, j'ai demandé des domaines d'enquête supplémentaires qui pourraient être nécessaires, y compris des questions spécifiques pour la Chine", a ajouté le président Biden tout en notant que l'effort inclurait le travail de "nos laboratoires nationaux et d'autres agences de notre gouvernement pour augmenter les efforts de la communauté du renseignement" et demander à l'IC de "tenir le Congrès pleinement informé de ses travaux".

 

"Les États-Unis continueront également de travailler avec des partenaires partageant les mêmes idées dans le monde entier pour faire pression sur la Chine pour qu'elle participe à une enquête internationale complète, transparente et fondée sur des preuves et pour donner accès à toutes les données et preuves pertinentes."

 

Pendant ce temps, les législateurs républicains ont appelé Fauci à témoigner sur ses e-mails, qui ont été publiés dans le cadre d'un procès en vertu de la Freedom of Information Act, alors que les responsables américains tentent de faire la lumière sur les origines de la pandémie. Certains législateurs républicains ont également appelé Fauci à démissionner de son poste de directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, affirmant qu'il avait perdu la confiance du public.

 

La Maison Blanche défend Fauci au milieu des critiques, le qualifiant d'"atout indéniable" pour le pays pendant la pandémie, le président Biden se disant "très confiant" en Fauci.

 

Fauci, la semaine dernière, a répondu aux critiques, affirmant que les attaques contre lui "sont des attaques contre la science".

 

"Toutes les choses dont j'ai parlé de manière cohérente depuis le tout début ont été fondamentalement basées sur la science", a déclaré Fauci lors d'une interview avec Chuck Todd de MSNBC. "Parfois, ces choses étaient des vérités gênantes pour les gens et il y a eu un recul contre moi, donc vous savez, si vous essayez de m'attaquer en tant que responsable de la santé publique et scientifique, vous n'attaquez vraiment pas seulement le Dr Anthony Fauci, vous attaquez la science."

 

Fauci a poursuivi: "Et quiconque regarde ce qui se passe le voit clairement. Vous devez être endormi pour ne pas voir cela. C'est ce qui se passe. La science et la vérité sont attaquées."

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22 juin 2021 2 22 /06 /juin /2021 22:57

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21 juin 2021 1 21 /06 /juin /2021 19:22
Le gouvernement britannique a confié un contrat à une société informatique qui &quot;complote ouvertement&quot; pour transformer les passeports vaccinaux en carte d'identité nationale, prévient un groupe de protection de la vie privée

Source: RT anglais

Le gouvernement britannique a été accusé de vouloir mettre en œuvre secrètement un programme national d'identification, après s'être associé à une entreprise qui a préconisé de transformer les passeports vaccinaux en un document polyvalent.

Entrust, une entreprise informatique qui se présente comme un "leader mondial en matière d'identités, de paiements et de protection des données", a obtenu le mois dernier un contrat du ministère de la Santé et des Affaires sociales pour travailler sur le système britannique de certificat de vaccin Covid-19. La société a reçu 250 000 £ (346 000 $) pour fournir des services de cloud computing pour le programme de certification du statut Covid du gouvernement, a rapporté iNews. Le contrat doit expirer en mars 2022, mais le gouvernement a la possibilité de le prolonger d'une année supplémentaire.

 

Le secrétaire à la Santé, Matt Hancock, a déclaré le mois dernier qu'une preuve de vaccination serait "nécessaire" pour les voyages internationaux, et ces dernières semaines, des rapports ont été publiés affirmant que le gouvernement britannique pourrait exiger le document des personnes assistant à des événements sportifs ou à d'autres grands rassemblements.

 

À en juger par la propre position d'Entrust sur la question, il est possible que le gouvernement ait des plans encore plus ambitieux pour le certificat numérique. Dans un article de blog publié en février sur le site Web de l'entreprise, Jann Markey, directeur du marketing des produits d'Entrust, a fait valoir que l'avènement des passeports vaccinaux pourrait être utilisé comme une opportunité pour déployer une carte d'identité nationale dans le cadre de "l'infrastructure de la nouvelle normalité."

 

"Envisagez une stratégie nationale d'identification : avec l'infrastructure et les investissements nécessaires pour garantir un passeport vaccinal viable, pourquoi ne pas redéployer cet effort dans un programme national d'identification des citoyens qui peut être utilisé à plusieurs fins, notamment la prestation sécurisée de services gouvernementaux, la sécurité transfrontalière les voyages et la documentation de la vaccination", déclare le blog, qui explore les passeports vaccinaux dans le "monde post-pandémique" .

 

Notamment, la société basée aux États-Unis a déjà aidé l'Albanie, le Ghana et la Malaisie à déployer des systèmes d'identification nationaux, a déclaré iNews.

 

Le partenariat d'Entrust avec le gouvernement britannique a déjà sonné l'alarme parmi les organisations de défense des libertés civiles et les législateurs.

 

Le député conservateur David Davis, membre du groupe anti-confinement Covid Recovery, a demandé des explications au gouvernement. Il a déclaré à iNews qu'il était "extraordinaire" que le ministère de la Santé puisse conclure des accords avec de telles entreprises sans obtenir au préalable l'autorisation du Parlement, ajoutant qu'il était particulièrement inquiétant qu'un contrat puisse être attribué à une entreprise "avec cette attitude sinistre envers la surveillance des citoyens."

 

L'ancien chef conservateur Sir Iain Duncan Smith s'est fait l'écho d'un mécontentement similaire, affirmant que le contrat contredit la "position déclarée du gouvernement" et devrait être annulé.

 

Big Brother Watch, un groupe de protection de la vie privée et des libertés civiles, a déclaré que le contrat Entrust représente une tentative du gouvernement de délivrer des cartes d'identité "par la porte dérobée".

 

"Le fait que le gouvernement ait conclu un accord avec Entrust, une entreprise qui trace ouvertement une route des passeports vaccinaux aux cartes d'identité numériques, ne fait que souligner quelle menace sérieuse que transmet Covid serait pour nos libertés civiles et notre vie privée", a prévenu le directeur de la recherche de l'organisation, Jake Hurfurt.

 

Un porte-parole du ministère de la Santé a insisté sur le fait que l'application du NHS utilisée pour certifier le statut de vaccination ne sera pas utilisée comme système d'identification national, décrivant le programme comme un "moyen simple et sécurisé" pour permettre les voyages internationaux. Entrust a refusé de commenter lorsqu'il a été contacté par iNews.

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21 juin 2021 1 21 /06 /juin /2021 06:33
Les dispositions prévues dans la loi à la demande du Conseil d'Etat imposent au gouvernement de mettre fin sans délai au &quot;Pass sanitaire&quot;

Selon Santé Publique France, la France n’est plus en situation épidémique au 19 juin (données du 16 juin).

 

Les dispositions prévues dans la loi à la demande du Conseil d'Etat imposent désormais à MM. Jean CASTEX, G. Darmanin, O. Veran de mettre fin sans délai au "Pass Sanitaire".

 

Source : Dominique Peretti Twitter

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18 juin 2021 5 18 /06 /juin /2021 14:21

Depuis 2020, si tu as un coup d’avance, tu es un génie. Si tu en as deux, tu es un complotiste.

(Et une pensée pour les funérailles de nos chers médias qui se débattent une fois de plus dans le ridicule...)

&quot;Portés à l'extérieur les masques n'auraient jamais été très utiles&quot; admettent un an après les medias
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16 juin 2021 3 16 /06 /juin /2021 14:23
Le couvre-feu sera levé dès dimanche à 6 h et la fin du masque à l'extérieur dès demain, annonce Jean Castex

Le premier tour des élections régionales est dimanche prochain : le Premier ministre Jean Castex annonce donc la levée du couvre-feu dès dimanche prochain à 6 h... et la fin du masque à l'extérieur dès demain...

 

Attendez-vous en revanche à un retour de la Covidiotie idolâtre à la rentrée avec leur "quatrième vague", déjà annoncée ici, ou .

 

Pour le moment, sur son compte Twitter, le Premier ministre précise que le couvre-feu sera levé ce dimanche matin, dès 6 h.

 

Le couvre-feu à 23h sera levé à partir du dimanche 20 juin, annonce Jean Castex.

 

Le port du masque à l'extérieur ne sera plus obligatoire à partir de jeudi, sauf dans certaines circonstances comme les regroupements, les lieux bondés ou les stades, a annoncé mercredi Jean Castex. Cette décision a été prise car la situation sanitaire «s'améliore plus vite que nous l'avions espéré», explique le Premier ministre à l'issue du Conseil de défense et du Conseil des ministres.

 

En revanche, le port du masque restera obligatoire dans les lieux clos.

 

Source: CNews

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16 juin 2021 3 16 /06 /juin /2021 13:03
Le port du masque à l’école n’est &quot;pas une obligation juridique&quot; précise le Conseil d’État
Le port du masque à l’école n’est &quot;pas une obligation juridique&quot; précise le Conseil d’État

SourceMidi Libre Hérault : le port du masque à l’école n’est "pas une obligation juridique" précise le Conseil d’État | Coro Infos Twitter | Coro Infos Twitter Une photo de l'article en question

On est heureux d'apprendre selon l'expression de Midi Libre que "le Conseil d’État a rendu une décision qui risque de changer la vie des familles à la rentrée" ! (On ne savait pas entre parenthèses que les enfants risquaient quelque chose en enlevant l'immonde tissu facial.)

 

Des parents héraultais avaient saisi le Conseil d’État au mois de mai. Il vient de rendre sa décision "le 1er juin dernier", annonce Midi-Libre quinze jours après...

 

1000 parents en France ont déposé un recours en excès de pouvoir au conseil d'État contre le tissu facial obligatoire à l'école. Le Conseil d'État a décidé que ce n'est "pas une obligation juridique" seulement des consignes et il ne peut y avoir de sanctions.

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15 juin 2021 2 15 /06 /juin /2021 15:00
La tempête qui a provoqué la désacralisation de la liturgie semble désormais derrière nous

Lundi, 14 juin 2021. La position d’un moine bénédictin à propos de la réforme liturgique :

« La réforme liturgique était nécessaire dans le rite latin de l’Église catholique. Le concile Vatican II a eu raison de la décréter. Dans les faits, cette réforme a échoué. En beaucoup d’endroits, l’authentique liturgie catholique n’existe plus et le mystère eucharistique est falsifié et dénaturé. Les causes principales sont les suivantes : le manque d’une vraie vie intérieure, une fausse conception des rapports entre ministère ordonné et laïcat, un grand nombre de chants en langue vernaculaire qui privilégient l’émotionnel et qui occultent la richesse de la doctrine et, last but not least, les nouveaux autels placés devant les anciens maîtres-autels pour permettre une célébration vers le peuple et non plus vers le Seigneur qui vient vers nous.

Si, dans les années qui viennent, la situation ne s’améliore pas ou si elle continue à se dégrader, je ne vois d’autre solution pour les catholiques lucides, que de revenir à la liturgie du missel de 1962, dans l’attente du jour où une vraie réforme sera faite, dans l’esprit de l'authentique Vatican II. »

 

Heureusement, il y a des monastères et quelques paroisses (conduites par de valeureux prêtres) qui ont compris Vatican II et en appliquent les idées sans les accommoder au goût du jour. Et on remarque aussi que le jeune clergé - hélas trop peu nombreux et obligé de composer avec des situations difficiles - est de plus en plus appliqué à respecter et à faire comprendre ce qu’a vraiment voulu le Concile. La tempête qui a provoqué la désacralisation de la liturgie semble désormais derrière nous ; mais tel un tsunami, elle aura laissé une Eglise passablement dévastée.

* * * * Vendredi, 11 juin 2021. Message envoyé par un internaute :

« L’un des derniers articles publiés sur le site de Pro Liturgia, d’un grand intérêt, commence par : « Le sujet qui devrait être en tête de liste des préoccupations actuelles dans nos diocèses et nos paroisses est bien la liturgie ». Cette seule phrase suscite le commentaire que je me permets de vous livrer.

La liturgie est un sujet sérieux et grave. Les orthodoxes la considèrent comme centrale dans la vie chrétienne et toute leur formation spirituelle, qu’ils soient laïcs ou religieux, y est fermement amarrée. Dans un reportage sur les journées d’études liturgiques du centre Saint-Serge, à Paris, diffusé il y a quelques années, son directeur tenait des propos sans ambigüité à ce sujet. On est loin de la logorrhée du « Service National de Pastorale Liturgique » (« et sacramentelle » depuis peu) !

Du côté oriental, on préserve la source et tout ce qui irradie de l’intérieur la vie spirituelle, tandis que du côté occidental liturgistes et autres exégètes intellectualisants des années 1950 ont desséché, désincarné la liturgie, la livrant toujours davantage aux fruits de leurs circonlocutions cérébrales. Abordé sous cet angle, le retour à l’unité dans l’Eglise du Christ n’est pas pour demain.

Devant la tristesse du spectacle que laissent nos églises vides, et pourtant soucieux de les remplir de fidèles, les évêques français persistent à organiser des synodes diocésains (où l’on retrouve souvent les mêmes personnes et les mêmes invités) pour « insuffler un nouvel élan missionnaire », « redynamiser la mission »... Bref, comme si, en quelque sorte, chacun d’eux cherchait à se positionner vis-à-vis de ses confrères, en faisant comme eux (et si possible mieux) sur le thème : « comment attirer le chaland ; forces et faiblesses de la pastorale ». Comment « remonter le moral des troupes » ? Au moyen de quel événement ?

Comment mais jamais pourquoi. La forme mais jamais le fond. Les conséquences mais jamais les causes... Et à chaque fois c’est reparti pour un tour. Alors, entre une célébration d’ouverture et une Messe de clôture (généralement organisées dans des stades ou des palais des expositions (lieux sacrés s’il en est), se succèdent des sessions produisant cahiers synodaux et rapports d’étape naturellement votés en assemblée plénière en fin de parcours. De tout ce travail législatif sort un épais catalogue de bonnes résolutions (tenant généralement sur plusieurs dizaines de pages) que l’on retrouve formulées autrement après chaque synode et avec le vocabulaire à la mode du moment. En parcourant cette paperasse, on se dit que, décidément, rien n’a changé dans l’Eglise en France depuis 50 ans. Les gens se font plaisir mais tournent en rond. Pour renouveler un genre passablement usé, la dernière trouvaille consiste à organiser un synode diocésain se déroulant dans les paroisses (les cadres vieillissants seraient-ils devenus moins mobiles ? A moins que ce ne soit pour mieux atteindre des fidèles peu au fait des « démarches synodales »). On change les modalités en pensant que celles-ci sont la clé de résolution des problèmes. Malheureusement, l’expérience démontre que ce n’est pas ainsi que l’on remplit les églises ; si les synodes diocésains (et autres conciliabules du même acabit) donnaient du fruit, ouvraient les portes du ciel, cela se verrait !

Dans le christianisme, un synode est une assemblée délibérative d’ecclésiastiques. Observons en passant notre conception occidentale du synode où celui-ci fonctionne comme une assemblée de parlementaires en débat (non élus mais cooptés), laquelle diffère notablement de la conception orientale, orthodoxe. Ainsi par exemple, dans l’Eglise russe, le Saint-Synode (ou « concile » permanent) est une institution collégiale placée au sommet de la hiérarchie religieuse. Composé aujourd’hui du patriarche, de sept membres permanents (métropolites) et cinq membres tournants choisis dans le reste de l'épiscopat, le Saint-Synode est notamment chargé de désigner les nouveaux évêques, de nommer les recteurs des séminaires et des académies de théologie, de pourvoir à la nomination des supérieurs monastiques (d’après wikipedia). Décidément, les deux poumons de l’Eglise jadis indivise ne respirent pas le même air...

Comprendra-t-on un jour, dans l’hémisphère occidental, que les bonnes intentions ne remédient pas à la désertion des églises ? Les fidèles participants aux commissions et autres groupes de travail ont le sentiment d’œuvrer pour l’Eglise mais en réalité ils vivent en circuit fermé, « autoréférentiels » comme l’avait dit Benoît XVI aux évêques de France ; ce ne sont pas des résolutions qui feront (re)venir les fidèles dans les paroisses. Si beaucoup ont décroché, tandis que ceux à qui leurs parents n’ont pas transmis la foi (et qui cherchent) sont de plus en plus nombreux à rester sur le seuil, c’est parce qu’ils ont le sentiment de trouver devant eux un club d’initiés qui ne se reconnaissent que dans le « faire » et dans l’ « agir » : « faire Eglise », agir ou « s’engager » pour (ou contre). Un milieu où l’on est d’autant plus considéré que l’on est « militant ». Or, un engagement caritatif (et le « paraître » qui va avec) ne se suffit pas à lui-même : il demeure stérile s’il n’est pas nourri.

Depuis des années, l’Église, en France, fait tout à l’envers. L’épiscopat, piégé par le langage des convenances médiatiques autant que par certaines postures mondaines, n’a rien vu, n’a rien compris. A-t-il conscience que les fidèles se trouvent spirituellement en danger ? Que sont, pour lui, tous ceux dont la foi a été stérilisée par le résultat de plusieurs décennies de pastorales où l’Essentiel a été sacrifié sur les autels de la mode, des tendances ? Le résultat des enquêtes ou des études sur la connaissance de leur religion par les catholiques en France est à cet égard particulièrement éloquent ! Dramatique !

Beaucoup frappent à la porte. Mais une fois celle-ci ouverte, ce qu’ils découvrent lorsqu’ils la franchissent suscite guère leur enthousiasme : les « célébrations » apparaissent comme d’aimables divertissements « autour de », comme des robinets d’eau tiède laissant chacun assoiffé. A contrario, une liturgie ordonnée, tournée vers le sacré et la transcendance, tendue vers les réalités d’En-Haut (Col 3, 1-2), suscite une ferveur intérieure, touche les cœurs. On peut ainsi observer dans les grandes villes combien les liturgies dignes, soignées (et parfois même célébrées en latin) attirent un nombre croissant de jeunes parmi lesquels certains n’avaient jusqu’alors aucun contact avec l’Eglise. Tout ceci démontre que la solution existe ; il suffit de vouloir l’appliquer (ce qui suppose évidemment de la clairvoyance et un certain courage.)

L’avenir de l’Église s’annonce très compliqué ; comment faire face aux nombreux (et terribles) défis qui se présentent à elle ? Pas seulement climatiques ou environnementaux, mais aussi - et surtout - sociaux, culturels, spirituels et religieux, civilisationnels, donc comportementaux, donc environnementaux. Le substrat chrétien de la société française part en lambeaux. Va-t-il subsister ? Combien de temps ? Que va-t-il en rester ? La nature ayant horreur du néant, le vide spirituel ambiant sera tôt ou tard, et d’une manière ou d’une autre, comblé par les plus entreprenants. N’y-a-t-il pas urgence car non-assistance à personnes en danger ? »

 

Source: Pro Liturgia

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15 juin 2021 2 15 /06 /juin /2021 06:04

14/06/2021 (2021-06-14)

[Source anglophone : Hal Turner Radio Show]

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.

Il existe des anticorps (comme ceux que le “vaccin” est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.

Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.

Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : “Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites”. Nous avons accepté de dissimuler son identité.

Il nous a ensuite dit :

“Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.

D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale”.

Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :

Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.

Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré “aucun changement morphologique associé au COVID” dans ses organes.

“Morphologique” signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.

L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.

Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.

Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :

Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)

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14 juin 2021 1 14 /06 /juin /2021 20:07

Parmi les effets secondaires et les maladies graves de longs termes entraînés par les vaccins anti-covid et dénoncés par le rapport britannique de l'Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd (Royaume-Uni), on trouve ceux que dénoncent les "complotistes" depuis des mois, à savoir : Amorçage pathogène; maladie inflammatoire multisystémique et auto-immunité; réactions allergiques et anaphylaxieactivation des infections virales latentes; neurodégénérescence et maladies à prions...; émergence de nouveaux variants du SARSCoV2...; intégration du gène de la protéine de pointe dans l'ADN humain...

Un rapport britannique &quot;urgent&quot; demande l'arrêt complet des vaccins COVID chez l'homme

Un "rapport préliminaire urgent sur les données de la carte jaune" publié par l'Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, basée au Royaume-Uni, et soumis à l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), indique que "la MHRA dispose désormais de plus de preuves qu'il n'en faut sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins COVID-19 dangereux pour l'utilisation chez l'homme".

 

Semblable au système américain de déclaration des événements indésirables des vaccins (VAERS), la MHRA décrit le but de son système de carte jaune comme fournissant "un avertissement précoce indiquant que la sécurité d'un médicament ou d'un dispositif médical peut nécessiter une enquête plus approfondie."

 

Le rapport, signé par Evidence-based Medicine Consultancy Ltd et le directeur d'EbMC Squared CiC, le Dr Tess Lawrie (MBBCh, PhD), déclare : "nous avons recherché les rapports Yellow Card en utilisant des mots clés spécifiques à la pathologie pour regrouper les données selon les critères suivants. cinq [sic] grandes catégories cliniquement pertinentes :

  • EIM hémorragiques, coagulantes et ischémiques
  • Effets indésirables du système immunitaire
  • EIM "douloureux"
  • Effets indésirables neurologiques
  • Effets indésirables impliquant une perte de la vue, de l'ouïe, de la parole ou de l'odorat
  • EIM de la grossesse"

Le rapport poursuit en disant : "Nous sommes conscients des limites des données de pharmacovigilance et comprenons que les informations sur les effets indésirables signalés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament en question provoque généralement l'effet observé ou est dangereux à utiliser. Nous partageons ce rapport préliminaire en raison du besoin urgent de communiquer des informations qui devraient conduire à l'arrêt du déploiement de la vaccination avant qu'une enquête complète soit menéeSelon l'article récent de Seneff et Nigh, les pathologies potentielles aiguës et à long terme comprennent :

  • Amorçage pathogène, maladie inflammatoire multisystémique et auto-immunité
  • Réactions allergiques et anaphylaxie
  • Amélioration dépendante des anticorps
  • Activation des infections virales latentes
  • Neurodégénérescence et maladies à prions
  • Emergence de nouveaux variants du SARSCoV2
  • Intégration du gène de la protéine de pointe dans l'ADN humain

"Il est maintenant évident que ces produits dans le sang sont toxiques pour l'hommeUn arrêt immédiat du programme de vaccination est nécessaire pendant qu'une analyse de sécurité complète et indépendante est entreprise pour enquêter sur l'étendue complète des dommages, qui, selon les données de la carte jaune du Royaume-Uni, incluent la thromboembolie, les maladies inflammatoires multisystémiques, la suppression immunitaire, l'auto-immunité et l'anaphylaxie, ainsi que comme l'amélioration dépendante des anticorps (ADE).

Le rapport conclut : "La MHRA dispose désormais de suffisamment de preuves sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins COVID-19 dangereux pour une utilisation chez l'hommeDes préparatifs doivent être faits pour intensifier les efforts humanitaires pour aider les personnes touchées par les vaccins COVID-19 et pour anticiper et atténuer les effets à moyen et long terme. Étant donné que le mécanisme des dommages causés par les vaccins semble être similaire à celui du COVID-19 lui-même, cela comprend la collaboration avec de nombreux médecins et scientifiques internationaux ayant une expertise dans le traitement réussi du COVID-19.

"Il y a au moins 3 questions urgentes auxquelles la MHRA doit répondre :

  1. Combien de personnes sont décédées dans les 28 jours suivant la vaccination ?
  2. Combien de personnes ont été hospitalisées dans les 28 jours suivant la vaccination ?
  3. Combien de personnes ont été handicapées par la vaccination ?"
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14 juin 2021 1 14 /06 /juin /2021 19:43
Mgr Aillet appelle les catholiques de boycotter le quotidien &quot;La Croix&quot;

Source: Le Forum Catholique | Riposte catholique

 

La Croix publie un article à charge contre Mgr Jean-Pierre Cattenoz, archevêque émérite d’Avignon, où Mgr François Fonlupt a été nommé vendredi 11 juin.

 

Mgr Georges Pontier, administrateur apostolique durant l’intérim, aurait reçu des témoignages d’abus d’autorité commis par Mgr Cattenoz.

 

La Croix souligne que le vigoureux Mgr Cattenoz aurait provoqué avec des positions « sans concession » sur l’avortement, l’homosexualité, l’islam… La Croix oublie de mentionner la défense de l’identité catholique des établissements scolaires. Mgr Cattenoz avait lancé un pavé dans la mare de l’enseignement diocésain sur ce sujet, entrainant la réprobation de certains de ses confrères.

 

En face, on ne comprend pas bien, en lisant La Croix, si ce sont les prêtres ou les laïcs “”attachés à l’héritage de Vatican II” qui se plaignent. Mgr Cattenoz, en retraite dans le diocèse de Bayonne, n’a pas souhaité répondre à La Croix. Mais Mgr Marc Aillet a pris sa défense :

 

"Le lynchage médiatique de Mgr Cattenoz auquel se prête La Croix est particulièrement indécent. C’est un scandale contre l’unité et la charité. Les catholiques soucieux de communion et adeptes de « Fratelli tutti » seraient en droit de boycotter ce quotidien."

 

https://mobile.twitter.com/MgrMAillet/status/1404082932248190984

 

 

Sur les 84 prêtres en activité, plus une dizaine à la retraite ou en année sabbatique, La Croix a mené 35 entretiens de prêtres et laïcs et a trouvé une dizaine de prêtres diocésains qui se plaignent de l’évêque émérite. Une partie des laïcs travaillant à l’archevêché témoignent que Mgr Cattenoz avait « fort à faire » avec des prêtres diocésains soixante-huitards « rétifs à l’autorité ». De même la majorité des nombreux prêtres étrangers du diocèse sont reconnaissant envers Mgr Cattenoz. Et de nombreux laïcs sont reconnaissant pour l’impulsion missionnaire donnée au diocèse.

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