Source : https://lozierinstitute.org/update-covid-19-vaccine-candidates-and-abortion-derived-cell-lines/
Le vaccin Novavax, fabriqué par le laboratoire "Novavax" (une société basée à Gaithersburg dans l'État du Maryland aux États-Unis) a été approuvé lundi 20 décembre par l'agence européenne des médicaments, le cinquième autorisé par la Commission européenne, qui "pourra être utilisé dans l'ensemble des pays de l'Union européenne qui en font le choix".
Ce vaccin utilise la technologie classique à particules virales. L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a détaillé le contenu de ce vaccin. Il contient des "fragments de microbe purifiés" à concentration suffisante pour une production correcte d'anticorps.
Les doses de Novavax sont déjà autorisées en Indonésie, c'est le premier pays qui l'a autorisé. Les Philippines ont aussi accordé une autorisation pour son administration en urgence. Les Etats-Unis et le Royaume-Uni pourraient eux-aussi l'autoriser dans les semaines ou les jours à venir. (Midi Libre)
À la différence des vaccins développés par Pfizer/BioNTech et Moderna, qui font usage de la technologie à ARN messager, le vaccin de Novavax est un vaccin dit « sous-unitaire », confectionné à base de protéines qui déclenchent une réponse immunitaire, sans virus. Une technologie déjà éprouvée sur des vaccins utilisés depuis de nombreuses années, à l’instar du vaccin contre l’hépatite B, ou encore de celui contre la coqueluche. Concrètement, « ce vaccin produit une protéine Spike similaire à celle qui est produite par le Sars Cov2, et la distribue à l’aide d’un adjuvant constitué d’un mélange de lipides qui va venir stimuler la protéine sous forme de petites billes », nous explique Stéphane Paul, immunologue au CHU de Saint-Etienne et membre du comité scientifique des vaccins contre le Covid-19. « L’avantage d’une telle technologie, c’est qu’elle a fait ses preuves depuis bien longtemps, et qu’elle peut donc susciter moins de défiance que les vaccins à ARN messager », indique encore l’immunologue. Sa technologie étant « plus classique » et suscitant moins de défiance, le vaccin de Novavax pourrait également être utilisé pour convaincre les 5 millions d’adultes éligibles à la vaccination qui refusent toujours de recevoir leurs premières doses. « Je ne sais pas si ça aura un impact réel, mais c’est une alternative et une proposition qui peut être faite, notamment aux Antilles, où la vaccination pose toujours problème », analyse-t-il, selon une information Le Parisien.
La réponse a été donnée par Olivier Véran sur Bfmtv le 22 décembre. Celui-ci ne croit pas au vaccin Novavax : "on vaccine en Arn messager. C'est honnêtement le plus efficace à date," a-t-il déclaré.
Ça commence : Olivier #Véran tape inutilement sur le nouveau vaccin accepté au niveau européen, celui de #Novavax (le Nuvaxovid) basé sur des protéines recombinantes - un vaccin plus "classique" pic.twitter.com/UTzzmWoDks
— 3615 Touittheure (@AllianceDroite) December 22, 2021
Proposer #Novavax*, un vaccin plus classique aux Français ?
— ⚡ ᴢᴇ́ʀᴏ ᴘᴏɪɴᴛᴜ (@ZeroPointu) December 22, 2021
Véran gêné : « On vaccine en #ARN messager, c'est honnêtement le plus efficace à date »
🤔
* #Novavax = vaccin à protéines recombinantes tout juste autorisé par l'UE.pic.twitter.com/OVojxgzeqf
Rappelons pour les craignants-Dieu que Novavax est favriqué à partir de cellules de foetus avortés, selon ce qu'en rapporte le tableau de l'Institut Charlotte Lozier répertoriant les vaccins ne faisant usage de lignées de cellules foetales dans aucune des trois étapes de l'élaboration d'un vaccin (IEB).
Nous recommandons d’éviter les vaccins qui utilisent ces cellules de fœtus avortés de manière plus ou moins importante et à différents stades pour leur conception et développement, au cours de leur production industrielle, ou à l’occasion des tests de contrôles en laboratoire, nécessaires en cours de production, particulièrement ceux utilisant des cellules de fœtus avortés dès le stade de leur conception voire à tous les stades, en particulier : le vaccin de ASTRA ZENECA et OXFORD et celui de JANSSEN et JOHNSON & JOHNSON.
Mais il s'agit aussi d'éviter des vaccins qui utilisent des cellules provenant de fœtus avortés de manière moins importante ou à un degré modéré : c’est le cas, pour les vaccins des laboratoires PFIZER & BioNTech (COMIRNATY) et MODERNA (COVID-19 VACCINE MODERNA).
Ces quatre vaccins sont ceux qui sont actuellement utilisés en France.