Source : Jama NetWork | Alexandra Henrion-Caude
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« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
Source : Jama NetWork | Alexandra Henrion-Caude
Source : La Minute de Ricardo
18 125 décès suite à vaccination en Europe au 10 juillet 2021
Source: Reaction19 Loi 1901
Ce chiffre de 18 125 morts déjà énorme doit être observé avec le fait qu'il n'y a pas plus de 5% de remontées d'informations: la plupart des décès ne sont pas comptabilisés car considérés comme n'ayant pas de preuve de lien avec la vaccination.
Source : Odysee La Croix du Sud
Source : Vaccins contre le Coronavirus et utilisation de cellules de fœtus avortés : état des lieux, Institut Européen de Bioéthique
[...]
Les sociétés pharmaceutiques ne faisant usage de lignées de cellules foetales dans aucune des trois étapes sont (*en orange : informations manquantes):
- Beijing Institute of Biological Products/ Sinopharm (Chine)
- Wuhan Institute of Biological Products/ Sinopharm (Chine)
- Barath Biotech/ Indian Council of Medical Research (Inde)
- Institute of Medical Biology, Chinese Academy of Medical Science
- John Paul II Medical Research Institute (Etats-Unis)
- Valneva et Dynavax (France, R-U, Etats-Unis)
- Shenzhen Geno-immune Medical Institute (Chine)
- Merck et IAVI (Etats-Unis)
- Federal Budgetary Research Institution State Research Center of Virology and Biotechnology “Vektor”
- Sorrento (Etats-Unis)
- University of Queensland and CSL Ltd. (Australie)
- CureVac (Allemagne)
- Genexine (Corée)
- Kentucky BioProcessing, Inc. (Etats-Unis)
- Symvivo Corporation (Canada)
- Meissa Vaccines, INC. (USA)
- Israel Institute for Biological Research (Israël)
- Osaka University, AnGes, Takara Bio (Japon)
- Zydus Cadila (Inde)
Mis à jour le 14/07/2021.
(Fin de citation)
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Parmi ces vaccins, on attend les ''informations manquantes'' concernant le vaccin français Valneva (laboratoire nantais). Ce vaccin (VLA2001) semble prometteur car il est actuellement le seul vaccin candidat à virus entier, inactivé (Valneva.com), une technologie qui traditionnellement n'utilise pas de cellules d'origine foetale humaines à quelque stade que ce soit dans son élaboration.
Le laboratoire Valneva est une "biotech" française "spécialisée dans la prévention des maladies engendrant des besoins médicaux importants ou non satisfaits".
VLA2001 se démarque des vaccins ARN (Comirnaty de Pfizer-BioNTech et COVID-19 Vaccine Moderna) ou à vecteur viral (AZD1222 de AstraZeneca et Ad26.COV2.S de Janssen) par le recours à un procédé (ou plateforme) plus ancien et éprouvé, déjà utilisé dans plusieurs vaccins à usage humain tels ceux de la poliomyélite, de l'hépatite A, de la rage ou de la grippe. Valneva produit déjà, selon le même procédé, le vaccin anti-encéphalite japonaise Ixiaro, autorisé par les principales agences du médicament internationales (EMA pour l'Union européenne, MHRA pour le Royaume-Uni et FDA pour les Etats-Unis) depuis plus de 10 ans.
VLA2001 est composé du coronavirus responsable de la covid 19, le SARS-CoV-2, cultivé sur cellules Vero (des cellules mises au point et contrôlées pour éviter toute contamination du vaccin par un autre agent). Le virus produit est concentré, "tué" par action d'un agent chimique, la β-propiolactone, puis purifié. Pour induire une immunité efficace et durable, un virus inactivé doit être associé à des adjuvants. A la suite des essais effectués chez l'animal (essais précliniques), c'est une association de deux adjuvants, l'hydroxyde d'aluminium et le CpG 1018, qui a été choisie. Cette association a permis d'obtenir le meilleur taux d'anticorps neutralisants et d'orienter la réponse immune vers une composante cellulaire Th1, plus protectrice.
Le vaccin VLA2001 est entré en phase d'essai clinique le 16 décembre 2020. Il s'agit du premier essai mené chez l'homme, de phase 1/2, destiné à évaluer l’innocuité, la tolérance et l’immunogénicité du vaccin sur 150 volontaires sains âgés de 18 à 55 ans. L'étude a été conçue pour tester 3 doses différentes de vaccin, chacune devant être administrée deux fois à 21 jours d'intervalle. Les résultats étaient attendus pour avril 2021 et devraient être connus prochainement.
[Le site du laboratoire Valneva indique que ''les données du topline sont attendues d'ici septembre 2021''].
Le vaccin VLA2001 devrait pouvoir être conservé entre 2 et 8 °C. Si les essais de phase 1/2 en cours, puis de phase 3, sont concluants, Valneva espère solliciter une autorisation de mise sur le marché (AMM) au mois d'octobre 2021.
Les procédés éprouvés utilisés pour la fabrication devraient simplifier l'évaluation par les autorités de santé. (Source : Le laboratoire français Valneva annonce les premiers résultats d'un vaccin anti-covid 19 "classique" mais utilisant un nouvel adjuvant)
L'entreprise d’origine nantaise développe un vaccin qui serait très efficace pour faire face aux nouveaux variants.
Valneva a mis au point un vaccin qui pourrait être prêt cet automne. Il s’agit d’un virus inactivé, comme le vaccin contre la polio déjà utilisé depuis plus de 50 ans.
[...]
Ce vaccin pourrait surtout mieux stimuler les défenses immunitaires face aux nouveaux variants. Jusqu’à présent tous ceux qui sont utilisés, quelle que soit la technologie, ARN ou autre, "apportent" seulement dans l’organisme la protéine Spike.
Le virus entre dans une cellule humaine, dont il pirate le matériel de manière à ce que la cellule infectée engendre un nouveau virus. Au cours de cette opération, il lui arrive très souvent de rater cette opération, un nucléotide est modifié, voire oublié. C’est ce qui s'appelle une mutation.
Un vaccin à base de virus inactivé
Les anticorps produits par les vaccins actuels, risquent à terme de ne plus pouvoir "s’y accrocher" pour neutraliser le virus. La stratégie du virus inactivé est très différente. Ce virus est rendu inoffensif, incapable de provoquer la maladie, il n’en reste que l’enveloppe.
En présentant aux défenses immunitaires toute l'enveloppe et pas seulement la spike, ce vaccin stimule des anticorps contre plusieurs cibles. Même si la spike mute, le virus pourrait quand même être neutralisé à d’autres niveaux.
4 000 volontaires au Royaume-Uni
Cet été avec le recrutement des 4 000 volontaires de l’essai de phase III qui vient d’être bouclé, l'efficacité pourrait être confirmée. Cela se passe au Royaume-Uni, l'efficacité sur le fonctionnement de ce vaccin face aux variants britanniques et indien devrait être connue assez vite.
[...]
Un vaccin français non testé en France !
C'est la mauvaise nouvelle, la phase III comme les autres, a seulement lieu au Royaume-Uni. C’est le gouvernement britannique qui a été le premier à soutenir ce projet nantais. Ils ont mis sur la table les centaines de millions d’euros nécessaires au financement de ce pari incroyable dès le printemps 2020.
Franck Grimaud, président de Valneva : "La dotation apportée par le Royaume-Uni va nous permettre non seulement de financer l’essai clinique mais également de construire une nouvelle usine qui va nous permettre de multiplier par vingt notre capacité de production existante !
En ce qui nous concerne oui c’est le Royaume-Uni qui a servi de locomotive et la contrepartie des gens qui investissent très rapidement est qu’effectivement ils reçoivent aussi les premières doses".
Usine de fabrication en Ecosse
Ces premières doses sont fabriquées en Ecosse. L'entreprise d’origine nantaise est devenue assez internationale et c’est là-bas qu’elle produit ses vaccins. Cela a beaucoup compté dans l’enthousiasme du gouvernement britannique.
Si tout va bien les autorités sanitaires donneront le feu vert à Valneva cet automne et la livraison sera immédiate.
Ces autorités sanitaires font tellement confiance à ce vaccin qu’il fait partie des vaccins testés dans le premier essai mondial qui évalue une troisième injection.
Valneva est un des 7 vaccins testés alors même que sa phase III n’est pas terminée. Le Pr Saul Faust, coordinateur de cet essai "Cov BOOST" explique que les résultats du candidat français leur avaient semblé suffisamment encourageants. [...] L’Europe ne l’aurait pas avant 2022. (AlloDocteurs)
Cov-Boost, dirigé par l'University Hospital Southampton NHS Foundation Trust, examinera sept vaccins COVID-19 différents, dont VLA2001, en tant que boosters potentiels. Ce sera le premier essai au monde à fournir des données vitales sur l'efficacité d'un rappel de chaque vaccin pour protéger les individus contre le virus. Les premières conclusions, attendues en septembre, aideront à éclairer les décisions du Comité mixte britannique sur la vaccination et la vaccination (JCVI) sur les plans d'un programme de rappel à partir de l'automne de cette année.
Le vaccin inactivé contre le SRAS-CoV-2 de Valneva devrait avoir un régime à deux doses. (Valnena.com)
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CureVac fonctionne avec la nouvelle technologie (expérimentale) de l'Arn messager (Le Parisien), comme les vaccins BioNTech Pfizer ou Moderna (Source)
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Le Comité Protestant Evangélique Pour la Dignité Humaine (CPDH) a publié un Pdf intitulé "Vaccins contre la Covid-19 et utilisation de cellules d’origine fœtale : un questionnement éthique pour les chrétiens".
Ce document évoque "un autre question qui "interpelle les chrétiens, respectueux de la vie humaine constituant un don de Dieu dès la conception, question qui n’est pas abordée dans les médias ni dans les recommandations scientifiques : certains vaccins contre la Covid auraient été élaborés à l’aide de cellules de fœtus avortés".
Des cellules provenant de fœtus avortés sont effectivement utilisées par certains laboratoires pour leur vaccin, mais de manière plus ou moins importante et à différents stades :
Pour leur conception et développement
Au cours de leur production industrielle
A l’occasion des Tests de contrôles en laboratoire, nécessaires en cours de production
C’est le cas, à un degré modéré, pour les vaccins des laboratoires PFIZER & BioNTech (COMIRNATY) et MODERNA (COVID-19 VACCINE MODERNA), actuellement utilisés en France. De même mais à un degré plus important, pour le vaccin de ASTRA ZENECA et OXFORD (COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA), commercialisé en France depuis le 2 Février.
1) Qu’est qu’une lignée cellulaire d’origine fœtale ?
Il s’agit de cellules cultivées à partir de cellules provenant d’organes de fœtus avortés. Voici les 2 lignées utilisées pour certains vaccins contre la Covid :
La lignée HEK2938 9 est issue du rein d’un fœtus avorté en 1972 aux Pays-Bas, elle est la plus fréquemment utilisée ici.
La lignée PER.C610 est issue du tissu rétinien d'un fœtus de 4 mois avorté aux Pays-Bas en 1985.
L’utilisation de Cellules Souches Embryonnaires Humaines (CSEH) pour la recherche en France est régie par l’Agence de la biomédecine. [...] Ces cellules issues donc d’un organe de fœtus sont cultivées et multipliées « à l’infini » comme si elles devenaient « immortelles », et sont donc utilisées pour des recherches en laboratoire.
Il est à noter que leur utilisation (et donc la conception de produits tels que des vaccins qui utiliseraient cette technique) ne nécessite donc pas de nouvel avortement, et que les avortements dont il est question n’ont pas été provoqués dans le but de la recherche médicale. Leur avantage par rapport à des cellules adultes est qu’elles se multiplient plus longtemps et que leur patrimoine génétique est moins susceptible d’être altéré (par des mutations ou des contaminations virales ou bactériennes).
2) Quels sont les vaccins anti-Covid concernés par l’utilisation de cellules d’origine fœtale ?
Pour nous y retrouver, nous nous reporterons au tableau récapitulatif assez bien documenté « Candidats au vaccin COVID-19 et lignées cellulaires dérivées de l'avortement » (en anglais) élaboré par l’institut américain Charlotte Lozier, organisme scientifique américain qui analyse les données scientifiques par rapport à l’éthique du respect de la vie.
Ce tableau est reproduit en annexe.
Nous nous attarderons en particulier sur les vaccins pré-commandés par l’Union Européenne qui affirme au 12/02/21 sur son site : « Des contrats ont été conclus avec AstraZeneca (400 millions de doses), Sanofi-GSK (300 millions de doses), Johnson and Johnson (400 millions de doses), BioNTech-Pfizer (600 millions de doses), CureVac (405 millions de doses) et Moderna (160 millions de doses). La Commission a conclu des discussions préliminaires avec la société pharmaceutique Novavax pour acheter jusqu’à 200 millions de doses, et avec Valneva en vue d’acheter jusqu’à 60 millions de doses. »
Pour fabriquer des vaccins, on peut dans certains cas être amené à cultiver :
Soit des virus atténués ou inactivés (technologie classique) qui seront injectés avec très peu ou pas de risque infectieux, et provoqueront une réaction immunitaire préventive chez la personne vaccinée.
o La très grande majorité de ces vaccins n’utilise pas de cellules d’origine fœtale humaines à quelque stade que ce soit dans leur élaboration (à l’exception d’un laboratoire chinois, et uniquement pour les tests finaux).
o Pour le vaccin de Valneva et Dynavax (virus inactivé), il nous manque encore l’information sur les tests de contrôle finaux. Idem pour un vaccin américain.
Soit des vaccins dits « sous-unitaires » (technologie classique) qui ne comprennent qu’une partie seulement du virus. Dans les vaccins contre la Covid, il s’agit le plus souvent de la protéine S (« Spike » ou « spicule » qui se situe sur l’enveloppe du SARS-CoV-2) ou d’une partie de celle-ci, qui permet de déclencher la réponse immunitaire (fabrication d’anticorps)
o Si un vaccin chinois et un américain ont recours pour leur conception et/ou leur production à des cellules d’origine fœtale,
o Celui du labo NOVAVAX (USA) peut en utiliser uniquement pour la phase finale de certains tests de contrôles en laboratoire.
o Pour celui de SANOFI-GSK, il manque encore l’information sur les tests de contrôle finaux.
Soit un virus vecteur dans le génome duquel on a inséré le gène codant la fabrication de la protéinecible, ici la protéine S (nouvelle technologie) déclenchant la réponse immunitaire:
o Plusieurs laboratoires utilisant cette nouvelle technologie ont recours massivement à des cellules d'origine foetale, pour la conception et aussi aux deux autres stades de leur développement : vaccin de L’UNIVERSITE D’OXFORD et ASTRAZENECA, celui de JANSSEN et JOHNSON & JOHNSON, et le vaccin SPUTNIK V développé en Russie.
o Le vaccin de Institut Pasteur/ Thémis/Merck a été arrêté le 25/01/21 en raison d’une efficacité insuffisante.
o En revanche, le vaccin du laboratoire israélien ISRAEL INSTITUTE FOR BIOLOGICAL RESEARCH (IIBR) encore en début d’études cliniques, n’utilise jamais de cellules d’origine fœtale.
Soit des vaccins à ARN messager (ARNm)f ou à ADNg (nouvelle technologie) constitués de la séquence génétique permettant à la cellule hôte de coder et fabriquer la protéine S (Spike) déclenchant la réponse immunitaire.
Ces vaccins n’utilisent pas à ce jour de cellules d’origine fœtale pour leur conception, mais certains de ces vaccins peuvent en utiliser pour la phase finale de certains tests de contrôles en laboratoire, avant leur commercialisation :
o c’est le cas pour les laboratoires PFIZER & BioNTech (COMIRNATY®) et MODERNA (COVID19 VACCINE MODERNA®).
o En revanche le vaccin ARNm du laboratoire allemand CUREVAC, dont les essais cliniques sont bien avancés, et dont l’union européenne a précommandé 405 millions de doses, n’utilise de cellules d’origine fœtale à aucun des stades de son développement.
Le document dans son chapitre III demande : "Peut-on se faire vacciner avec des vaccins ayant utilisé des cellules d’origine fœtale ?"
1) Notions de base pour bien circonscrire le problème
De ce que nous avons développé dans les chapitres précédents, nous retiendrons les notions suivantes, afin de bien préciser les questions que cela peut nous poser d’un point de vue éthique.
Ces vaccins ne contiennent pas de cellules d’origine fœtale, ces cellules ne sont donc pas injectées dans le corps du bénéficiaire.
La lignée cellulaire concernée est en fait un « clone immortalisé » de la cellule originelle qui a été prélevée sur un fœtus avorté.
Chaque lignée est issue d’un unique fœtus avorté dans les années 1970-1980 : il n’est pas nécessaire d’utiliser de nouveaux fœtus pour continuer à produire ces vaccins, même dans l’avenir.
Les avortements en question n’ont pas été provoqués pour les besoins de la science : il s’agissait d’IVG demandés par la mère pour ses raisons personnelles.
Cette lignée est utilisée à l’un ou plusieurs des stades du développement du vaccin (cf. introduction du paragraphe I), et ceci de manière plus ou moins importante. Certains vaccins utilisent cette lignée dès leur conception et parfois sur les 2 autres stades de leur développement. D’autres ne les utilisent que partiellement dans certains tests finaux avant leur commercialisation. Bien entendu nous avons vu que d’autres vaccins n’utilisent pas du tout de cellules d’origine fœtale, et ce à aucun stade de leur développement ; cependant ces vaccins, dont nombre d’entre eux sont encore à l’étude, ne sont pas tous commercialisés en France.
2) Prendre en compte le degré de responsabilité
Il faut prendre en compte la notion de degré de responsabilité éthique …
…qui diffère avec la distance dans le temps ou dans le processus d’utilisation par rapport à l’acte répréhensible.
Ainsi, celui qui a demandé ou réalisé une IVG n’a pas le même degré de responsabilité que celui qui a prélevé des cellules sur le fœtus mort, ou que les politiques et organismes qui encouragent ou financent ces recherches ;
il n’est pas le même non plus pour le laboratoire qui a acheté une lignée clonée depuis 40 ans à partir de la cellule originelle ; il est encore moindre pour une personne qui veut se protéger d’une maladie potentiellement grave en utilisant un vaccin sur la conception duquel il n’a eu aucun pouvoir de décision.
Ce principe est particulièrement développé par l’église catholique. La Congrégation pour la doctrine de la Foi, dans sa « Note sur la moralité de l’utilisation de certains vaccins anti-Covid-19 » (traduit ici de la version anglaise), fait appel à la notion de « degrés de responsabilité dans la coopération au mal ». Elle y affirme que « dans les organisations où des lignées cellulaires d’origine illicite sont utilisées, la responsabilité de ceux qui décident de les utiliser n’est pas la même que celle de ceux qui n’ont pas voix au chapitre dans une telle décision ».
Même les catholiques traditionalistes qui suivent l’enseignement de Mgr Lefebvre, que l’on ne peut certainement pas taxer de complaisance avec l’avortement, se rangent à cette décision et recommandent la vaccination quel que soit le type de vaccin.
[Extrait : Jugement moral d’après les principes posés
Puisque certains des vaccins proposés n’ont pas été préparés illicitement, ils ne posent pas de problème moral d’utilisation de ce point de vue. Ils doivent donc être préférés aux autres.
Les vaccins qui ont utilisé une préparation moralement illicite, doivent autant que possible être laissés de côté.
Mais si, dans un cas particulier, une personne se trouve dans la nécessité de se faire vacciner, et dans l’impossibilité d’obtenir un vaccin “licite”, n’ayant à sa disposition qu’un vaccin “illicite” ? Cela peut se présenter pour raison de santé – personne âgée vulnérable ; ou à cause de la situation professionnelle – personnel médical exposé ; ou encore pour raison professionnelle, comme un voyage en avion, car il y a déjà au moins une compagnie aérienne – Qantas en l’occurrence – qui a averti qu’elle exigerait la vaccination pour accepter un passager, dès que les vaccins seront disponibles...
La coopération n’étant que lointaine, et la raison invoquée étant suffisamment grave, il est possible, dans ces cas, d’user d’un tel vaccin. Il reste d’ailleurs à chacun le devoir de juger, avec l’aide de conseils appropriés, de cette réelle nécessité.
Il faut affirmer nettement que nous sommes ici dans le domaine d’un jugement de prudence, qui ne peut être uniforme pour tous et dans tous les cas. La théologie morale dit ce qui est licite ou illicite. Elle donne les principes. Mais c’est à la prudence personnelle de juger au cas par cas de leur application.
Quant aux éléments extérieurs à cette question [de la licéité en fonction de la provenance et de la préparation du vaccin], ils sont de l’ordre de l’opinion personnelle. Comme toute opinion qui ne peut être prouvée absolument, il est vain et impossible de vouloir l’imposer à tous...
Une dernière remarque
Il faut noter que, outre le cas de ces vaccinations que nous avons étudié, la coopération au mal se présente dans de multiples situations analogues : ces dernières peuvent être traitées et résolues selon les mêmes principes moraux. Ainsi :
Faut-il cesser de payer l’impôt, par exemple en France, parce qu’une partie de l’argent sert à rembourser l’avortement ou la PMA ?
Faut-il accepter de se fournir chez un pharmacien qui vend des produits illicites : abortifs, préservatifs, contraceptifs ? Ne serait-ce pas une forme d’encouragement ?
Faut-il accepter de se laisser soigner par un médecin qui agrée l’avortement et qui prescrit la pilule ?
Faut-il accepter d’aller dans un grand magasin ou dans une librairie qui vend de mauvais journaux ?
Une caissière doit-elle refuser d’encaisser le paiement d’un client qui lui présente un mauvais DVD ? Il est clair que la liste pourrait s’allonger indéfiniment.
Un dernier exemple sera tiré du nouveau Testament : Est-il permis de manger des idolothytes, autrement dit des viandes sacrifiées aux idoles (1 Co 8, 1) ?
Il faut savoir, pour bien situer cette question, que toute la viande consommée dans l’Antiquité passait obligatoirement par les temples. Il n’y a d’ailleurs qu’un mot en grec, mageiros (utilisé exclusivement au masculin), pour désigner le sacrificateur, le boucher et le cuisinier : pour qui voulait s’abstenir de viande immolée, il n’y avait pas d’autre viande à consommer.
Ajoutons que le péché d’idolâtrie est l’un des plus graves, puisqu’il s’attaque à Dieu lui-même.
La réponse que donne saint Paul est : il est permis de manger de ces viandes, sauf si cela scandalise le prochain. [Voir aussi Rom 14,14] Cela signifie que celui qui consomme cette viande ne participe pas au péché d’idolâtrie. Sans quoi saint Paul n’aurait pu répondre ainsi.
De même, celui qui est dans une situation de coopération matérielle suffisamment éloignée dans l’usage d’un vaccin contre le Covid-19, dont la fabrication aurait bénéficié d’une des lignées cellulaires susmentionnées, ne participe pas au péché d’avortement commis il y a 35, 48 ou 54 ans.
Cependant, comme il a été dit, il faut, autant que c’est possible, éviter une coopération au mal, même matérielle, et s’il y a le choix, prendre le vaccin qui ne pose aucun problème moral.
Nous ne devons cependant pas nous contenter de ce déplorable état des choses sans rien faire. Les catholiques influents doivent user de tout leur pouvoir pour inciter l’industrie pharmaceutique à développer leurs nouveaux vaccins sur des supports cellulaires qui ne soulèvent aucune difficulté morale.]
. L’article fait remarquer à juste titre que ce problème de « coopération au mal » se pose de la même manière lorsque nous payons nos impôts (dont une partie servira à rembourser des IVG etc), que nous consultons un médecin qui est favorable à l’IVG ou allons dans une pharmacie qui fournit des produits abortifs (stérilet, pilule du lendemain (cf fiche repère du CPDH sur la « contraception »).
On peut aussi considérer le but à atteindre :
C’est-à-dire éviter un mal bien plus grand. C’est ainsi que le vaccin contre la rubéole chez la femme (utilisant nous l’avons vu des cellules clonées d’origine fœtale dans son élaboration) a permis d’éviter de nombreuses malformations fœtales qui auraient pu amener une IVG ou une IMG (interruption médicale de grossesse, possible jusqu’au terme), et des malformations infantiles (surdité, lésions oculaires, malformations cardiaques, retard psychomoteur, arrêt de développement du cerveau…).
Dans le cas de la Covid, les personnes dites vulnérables car âgées ou atteintes d’une pathologie prédisposant à une forme grave de Covid-1925 avec un haut risque de passage en réanimation (et une issue fréquemment fatale), peuvent être protégées de ces conséquences en se faisant vacciner. Mais à ce jour les patients en France n’ont pas le choix entre les différents vaccins (problèmes de disponibilité, choix des autorités qui définissent les indications de chaque vaccin).
Le document conclut :
Si cette possibilité est offerte, nous recommandons d’éviter les vaccins qui utilisent ces cellules dès le stade de leur conception voire à tous les stades, en particulier :
- Le vaccin de ASTRA ZENECA et OXFORD (COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA®)
- Celui de JANSSEN et JOHNSON & JOHNSON
- Le vaccin SPUTNIK V développé en Russie.
On privilégiera dès que possible, si leur efficacité et leur innocuité s’avèrent satisfaisantes, les vaccins n’utilisant pas du tout de telles lignées cellulaires :
- Le vaccin ARNm du laboratoire allemand CUREVAC
- Le vaccin à virus vecteur du laboratoire israélien ISRAEL INSTITUTE FOR BIOLOGICAL RESEARCH (IIBR)
- Les vaccins américains élaborés par le John Paul II Medical Research Institute (qui dans sa charte éthique s’engage à ne jamais utiliser de cellules provenant d’IVG)
Nous sommes dans l’attente des données manquantes (tests finaux) concernant les vaccins de NOVAVAX, de SANOFI/GSK, et de VALNEVA/DYNAVAX.
De la sorte notre choix encouragera les laboratoires qui ont fait l’effort de ne pas utiliser des lignées illicites. En effet des alternatives existent : cellules animales, cellules souches pluripotentes induites (iPSC, obtenues par reprogrammation d'une cellule du corps humain adulte), sang de cordon ombilical, placenta… En effet nous souhaitons que le gouvernement français arrête de financer des projets de recherche utilisant des tissus ou des lignées cellulaires obtenues à partir de fœtus avortés, comme l’a décidé le gouvernement américain en 2019."
(Fin de citation)
Jean Christophe Lagarde a déclaré ‘’Celui qui n’est pas vacciné contre le COVID, qui est hospitalisé en réanimation, c’est quand même tout le monde qui paye… alors un jour où l’autre faudra se poser la question : Est ce qu’on doit payer la réa à quelqu’un qui a refusé de se protéger ?’’ (Source: Twitter)
Art. 2 de la Déclaration des droits de 1789. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme.
L'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements. (Préambule de la Déclaration)
Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution...
C'est tout le monde qui paye, certes, mais c'est le principe des caisses de sécurité sociale qui veut que chaque cotisant cotise pour ses droits et ceux des autres.
Le raisonnement de Jean-Christophe Lagarde, raisonnement de rupture du pacte social à sens unique et contre une catégorie de la population est un jeu dangereux pour les oligarques.
D'une part, cela divise les Français en deux classes montées l'une contre l'autre, les purs et les impurs... Du déja vu dans notre histoire en 1789 et 1940.
D'autre part, au jeu de l'État défaillant, si l'État peut refuser de prendre en charge la réa de quelqu'un qui aura refusé la vaccination expérimentale, cette personne pourra tout aussi bien à titre de réciprocité refuser de payer ses impôts. Qu'est-ce qui empêchera alors cette personne de demander à verser ses cotisations sociales ailleurs qu'à la sécurité sociale, dans un organisme qui (par exemple) respectera ses engagements, les droits de la personne, bref qui respectera le contrat social ? Cette personne ne sera-t-elle pas justifiée à demander, en contre-coup, un nouveau pacte social, plus juste ?
On le voit, ce genre de provocation verbale cache un réel débat de fond, philosophique et politique, quant au respect des engagements de l'État..., respect des engagements et du rôle du président de la république dans sa défense et la protection des droits des Français... Un débat que pas un grand média ne relèvera, mais que nous relevons ici.
Source: https://www.bfmtv.com/police-justice/les-policiers-et-gendarmes-ne-seront-pas-soumis-a-l-obligation-vaccinale-en-septembre_AN-202107120497.html
Si les sapeurs-pompiers et les ambulanciers sont concernés, les membres des forces de l'ordre ne sont pas soumis à l'obligation vaccinale à partir du 15 septembre, indique-t-on place Beauvau.
Les membres des forces de l'ordre ne seront pas inclus dans les professions soumises à l'obligation vaccinale à partir du 15 septembre, indique à BFMTV.com l'entourage du ministère de l'Intérieur.
Art. 12. La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
"Macron déclare la guerre aux non vaccinés". Remplacez "non vaccinés" par "français" & vs avez la réalité, un président & un gouvernement qui obligent sous contraintes un peuple à se faire inoculer des vaccins expérimentaux :
Source: https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/vu-de-letranger-macron-declare-la-guerre-aux-non-vaccines
Emmanuel Macron a imposé lundi 12 juillet le pass sanitaire à l’entrée de la plupart des lieux publics et rendu obligatoire la vaccination pour les soignants, avec des sanctions à la clé. Une stratégie qui permet au chef de l’État de contourner l’obligation vaccinale tout en rendant le vaccin incontournable, analyse la presse européenne.
En imposant le pass sanitaire à l’entrée de la plupart des lieux publics et en rendant la vaccination obligatoire pour les soignants, Emmanuel Macron a mis lundi les non-vaccinés sous pression. Le quotidien suisse Le Temps évoque même une “traque” ou encore une “guerre” contre les vaccino-réticents. “Emmanuel Macron a choisi sa cible : les non-vaccinés, contre lesquels la ‘mobilisation générale’ est déclarée”, estime le journal. “Un choix préféré à l’autre option sur la table” alors que les contaminations au variant Delta augmentent rapidement : “le reconfinement total ou partiel des zones les plus contaminées”.
Pour Le Soir, “si l’annonce de la vaccination obligatoire des soignants a pu interpeller par sa dureté, le tour de vis spectaculaire autour du pass sanitaire se révèle l’arme fatale du plan du chef de l’État français”. Macron “contourne l’obligation vaccinale pour tous… en rendant le vaccin incontournable”, analyse le quotidien belge.
Pendant qu'Emmanuel Macron annonce "le pass sanitaire obligatoire pour les plus de 12 ans", des scientifiques tirent la sonnette d'alarme quant à la vaccination Covid chez les jeunes:
Source: https://www.journaldemontreal.com/2021/06/04/vaccination-chez-les-jeunes-des-scientifiques-tirent-la-sonnette-dalarme
Des scientifiques mettent en garde la population sur les dangers de la vaccination contre la COVID-19 chez les 10-19 ans, les risques étant, à leur avis, plus élevés que les bénéfices pour cette catégorie d’âge.
«Le principe de précaution joue, selon nous, contre une utilisation à grande échelle des injections de Pfizer chez les mineurs», peut-on lire dans un article daté du 27 mai, cosigné par cinq scientifiques québécois, dont le professeur honoraire de pharmacologie médicale de l’Université de Montréal, Pierre Biron.
«Le faible taux d’hospitalisation chez les 10-19 ans [et] le taux de mortalité quasi nul minimise le bénéfice du vaccin pour cette catégorie d’âge, sauf pour les personnes avec une condition médicale particulière», a renchéri Isabelle Picard, une des scientifiques signataires de l’article, dans un échange de messages avec l’Agence QMI.
[...] Les vaccins à ARN messager (ARN-m) sont aussi associés, chez les jeunes, à des cas de myocardite, une inflammation du muscle du cœur.
[...] Israël envisage de ne pas administrer une seconde dose aux adolescents dont l’âge varie entre 12 et 15 ans en raison du risque de myocardite, pouvait-on lire le 31 mai dans le «Israel Hayom», un important quotidien israélien.
[...] Interrogé sur les dangers liés à la myocardite, le Dr. De Serres a indiqué que «la fréquence [à laquelle cela survient] n’est pas encore claire», mais que les problèmes de ce genre «semblent se produire après la deuxième dose».
[...] Le scientifique a admis qu’il y a bel et bien eu des cas de myocardite au Québec, mais n’est pas en mesure de les quantifier.
LA SANTÉ PUBLIQUE POURRAIT ANNULER LA DEUXIÈME DOSE POUR LES JEUNES
Il n’est pas impossible que la deuxième dose de vaccin soit annulée pour les 12-17 ans au courant des prochaines semaines.
Le 24 novembre 2020, disant qu'il voulait "être clair", Emmanuel Macron avait annoncé que la vaccination ne serait "pas obligatoire". Il fallait être bien naïf pour le croire.
Source: https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-la-vaccination-ne-sera-pas-rendue-obligatoire-assure-emmanuel-macron-24-11-2020-8410284.php
Le gouvernement avait renoncé à imposer la vaccination obligatoire en décembre 2020 face aux protestations suscitées par un texte qui réservait au premier ministre la possibilité d'imposer une obligation vaccinale de fait. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, reporta sine die l'examen du projet. Le gouvernement proposa ''de reporter le texte de plusieurs mois", ce qui signifiait, comme nous l'écrivions, qu'ils n'abandonnaient pas leur projet de "vaccination obligatoire".
Le 29 avril 2021 encore Emmanuel Macron déclarait : "Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis."
Source: https://www.leparisien.fr/politique/etapes-du-deconfinement-vaccins-pass-sanitaire-linterview-demmanuel-macron-29-04-2021-GIV6GRBP4VF3TGBLBKKRAZEGMA.php
Or ce soir, alors que l'épidémie de Covid est au ralenti (voir la courbe des décès du variant delta très contagieux mais peu dangereux au 7 juillet 2021 ci-dessous),
que les études sortent sur les effets secondaires graves et les milliers de décès suite à la vaccination Covid, alors que nous apprenons que "tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts sont des pays qui ont vacciné massivement” (Pr Perrone), Emmanuel Macron annonce dans une allocution télévisée à 20h la vaccination obligatoire pour les soignants et "le pass sanitaire obligatoire pour les plus de 12 ans" :
Source: https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-variant-delta-pass-sanitaire-vaccination-des-soignants-ce-qu-il-faut-retenir-des-annonces-de-macron-20210712
- la "vaccination obligatoire des soignants et non soignants des établissements de santé, contrôles dès le 15 septembre
"Un projet de loi visant à rendre obligatoire la vaccination des soignants va être transmis au Conseil d'État mardi, avant d'être présenté en Conseil des ministres lundi 19 juillet prochain. Il sera ensuite examiné dans le courant de la semaine prochaine par le Parlement, dans le cadre d'une procédure accélérée. Cette mesure s'appliquera «sans attendre», et les concernés auront «jusqu'au 15 septembre» pour s'y conformer. Après quoi «des contrôles seront opérés et des sanctions seront prises».
"Emmanuel Macron annonce la vaccination obligatoire pour tous ceux au contact des personnes fragiles
- "le pass sanitaire va être obligatoire pour les plus de 12 ans dans les «lieux de loisirs et de culture» de plus de 50 personnes dès le 21 juillet prochain. Il sera ensuite étendu à partir du début du mois d'août, et concernera le train, l'avion, les bars et les restaurants, ainsi que les hôpitaux, les maisons de retraite, et les établissements médico-sociaux. Cette liste pourra encore s'allonger par la suite, a précisé Emmanuel Macron. Concrètement, l'accès à ces lieux sera réservé à des personnes vaccinées depuis plus de quinze jours, ou à celles qui ont réalisé un test PCR ou antigénique négatif récent.
"Faire porter les restrictions sur les non vaccinés plutôt que sur tous"
"Le quotidien des «vaccinés» et des «non-vaccinés» ne sera plus le même. La philosophie est simple : «Reconnaître le civisme et faire porter les restrictions sur les non-vaccinés plutôt que sur tous»."
"Les tests PCR dits «de confort» déremboursés cet automne
"À compter du mois d'octobre, les Français ne pourront plus bénéficier de tests PCR gratuits sans ordonnance, dits «de confort».
"Dès la prochaine rentrée scolaire, des campagnes de vaccination «spécifiques» seront déployées auprès de tous les collégiens, les lycéens et les étudiants du pays.
Selon Macron, "la vaccination de tous les Français est le seul chemin pour le retour à la normale".
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Source: https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccins-vu-travers-la-pharmacovigilance-de-loms
Entretenue par des déclarations politiques prônant l’autorité, la tension semble monter entre une part de la population peu encline à recevoir l’un des vaccins anti-Covid disponibles en France, et une partie de l’opinion, plus proche de la position officielle, souhaitant accélérer et généraliser la vaccination.
Si ces deux « camps » s’opposent, c’est probablement parce que les informations dont ils disposent ne sont pas les mêmes.
A la recherche d’informations peu accessibles dans le débat public, on a consulté la base de pharmacovigilance de l’OMS, qui regroupe les déclarations d’effets secondaires des médicaments au niveau mondial.
La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants.
La page d’accueil précise bien que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement. Tous les suspects n’étant pas coupables, il y a donc là un facteur de surévaluation du nombre d’événements indésirables réels.
Inversement, la plupart des systèmes de pharmacovigilance qui apportent leurs données à VigiBase et à VigiAccess ne recueillent que les événements qui leurs sont déclarés, en général sur la base de déclarations volontaires, faites par le personnel médical ou par les patients eux-mêmes, selon les systèmes mis en place dans chaque pays. Ces déclarations ne peuvent pas être exhaustives, et de façon générale, on estime qu’entre 1 % et 10 % des événements indésirables réels sont rapportés. Il y a donc un facteur de sous-évaluation du nombre d’événements indésirables réels.
Entre un facteur de sous-évaluation et un facteur de surévaluation, que l’on ne peut espérer calculer ni l’un ni l’autre, on sait qu’à partir des chiffres tirés de ces bases de pharmacovigilance on ne peut pas déduire le nombre réels d’événements survenus.
Mais ce phénomène touchant a priori tous les médicaments — sans doute pas exactement dans les mêmes proportions, mais selon les mêmes mécanismes — on peut partir de l’hypothèse (approximative) que le taux de sous- ou surévaluation est à peu près du même ordre de grandeur pour la plupart des médicaments, et on peut par exemple chercher à comparer entre elles les données rapportées pour deux ou plusieurs médicaments.
La base de données de pharmacovigilance VigiAccess a toutefois plusieurs faiblesse : notamment, elle ne fournit ni le nombre de doses administrées ni le nombre de personnes traitées pour chaque médicament. Or, comparer le nombre d’événement indésirables rapportés n’a de sens que si l’on compare le nombre de traitements administrés.
Si on veut comparer deux médicaments entre eux, il faut donc chercher ailleurs le nombre de doses administrées pour chacun d’eux.
Ici, on a cherché à comparer le nombre d’événements indésirables rapportés en lien avec les vaccins anti-Covid avec le nombre d’événements indésirables rapportés pour d’autres vaccins.
Parmi les limitations de VigiAccess, on regrettera qu'il ne soit pas possible d'y lire séparément le nombre d’effets indésirables pour chacun des différents vaccins utilisés contre une même maladie. En effet, tous les vaccins anti-Covid sont réunis dans le même sac : ils s’appellent « Covid-19 vaccines » (Fig.1 à 3). Dans notre comparaison, on ne pourra donc pas savoir quelle proportion de tel ou tel effet indésirable a été rapportée en lien avec le vaccin de Spikevax de Moderna, avec le Coronavac de Sinopharm ou avec le Vaxzevria d’AstraZeneca par exemple.
Comme on peut le voir, quel que soit le nom du vaccin anti-Covid recherché (Comirnaty, Spikevax, Vaxzevria, Coronavac, mais aussi Sputnik V ou Janssen Covid-19 vaccine), les données affichées par VigiAccess sont identiques. On se contentera de ce résultat groupé.
Afin d’avoir une base de comparaison un peu solide, on a cherché à savoir quels étaient les vaccins les plus largement administrés dans le monde. Un document de l’OMS — un rapport sur le marché mondial des vaccins — nous donne une réponse.
Un tableau, page 3 de ce rapport, fournit le top 15 des vaccins les plus utilisés (Fig.4), en donnant pour chacun un ordre de grandeur du nombre de doses distribuées en 2019. Par exemple, en 2019, environ 1 milliard et demi de doses de vaccin bOPV contre la polio ont été distribuées. A eux 15, ces vaccins totalisent plus de 5 milliards de doses administrées en 2019.
Pour ce qui est des vaccins anti-Covid, depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, 3,3 milliards de doses ont été administrées (Fig.5), à 2 milliards de personnes (Fig.6)
Le nombre de doses administrées étant à peu près comparable, on a donc décidé de comparer les vaccins anti-Covid aux 15 principales familles de vaccins que désigne le rapport.
VigiAccess ne permettant pas de connaître, par exemple, le nombre de décès associés à chaque vaccin, et puisque les éventuels effets secondaires des différents vaccins n’ont pas de raison de se ressembler — il ne serait pas pertinent de s’intéresser spécifiquement au nombre de thromboses ou de myocarditesdéclarées suite à un vaccin contre la polio, par exemple —, on s’est contenté de compter le nombre total d’effets secondaires indésirables, toute nature et toute gravité confondues, enregistrés dans VigiAcess pour chaque famille de vaccins.
Dans VigiAccess, on a alors cherché les données recueillies pour chacun des 15 vaccins retenus :
- Les vaccins bOPV, comme les anciens OPV ou les tOPV, de même que les IPV présents plus bas dans le tableau, sont rassemblés par VigiAccess en tant que « polio vaccines ».
- Pour D&T-containing, on a cherché les données pour les vaccins contre la diphtérie seule, contre le tétanos seul, les vaccins DT, et toutes les combinaisons incluant DT, et coqueluche (pertussis en anglais), polio, Hib, Hépatite B, qu’elles combinent 3, 4, 5 ou 6 vaccins. Certaines combinaisons, présentant moins de 200 événements déclarés depuis 1968, n’ont pas été retenues. (Pour le détail, voir ici : EI non comptés (pdf, 413.0 kB)) (Astuce : VigiAccess permet de tomber sur l'ensemble des données associées à une combinaison en fournissant le nom commercial d'un vaccin correspondant à cette combinaison. C'est de cette façon qu'on a pu retrouver certaines données.)
- MCVs et Meningococcal sont rassemblé dans la catégorie « Meningococcal vaccine »
- la grippe saisonnière (seasonal influenza) a sa rubrique attitrée dans VigiAccess « influenza vaccine »
- BCG a la sienne : « BCG »
- DTwP-HepB-Hib correspond à une famille de vaccins pentavalents et se retrouve sous « Diphtheria vaccine;Hepatitis b vaccine;HIB vaccine;Pertussis vaccine;Tetanus vaccine » ou plus facilement sous le nom commercial de l'un d'entre eux : "Quinvaxem".
- PCV correspond à « Pneumococcal vaccine »
- Les rubriques « Rotavirus vaccine », « Hepatitis B vaccine », « Yellow fever vaccine », « Japanese encephalitis vaccine », « Varicella vaccine » et « HPV vaccine » complètent facilement la recherche dans VigiAccess.
(Pour le détail des intitulés de vaccins dont les effets indésirables ont été recherchés et comptabilisés, voir ici : Détail Vaccins (pdf, 1.3 MB))
On a ensuite tracé les graphiques rapportant le nombre d’effets indésirables associés à chaque type de vaccin, année par année depuis 1968 (Fig.8) d’une part et tranche d’âge par tranche d’âge (Fig.9) d’autre part.
Le graphique tracé année par année montre que le nombre d’effets indésirables rapportés suite aux 3,3 milliards d’injections de vaccins anti-Covid en 2021 est inédit. Il est près de 10 fois supérieur au total des événements rapportés en 2019, tous vaccins confondus, pour plus 5 milliards de doses administrées.
Le graphique par tranches d’âge rassemble, pour chaque tranche, la totalité des événements indésirables rapportés depuis 1968. On y voit que pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-covid ont été autorisés, le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.
Pour la tranche 12-17 ans, qui n’est pourtant autorisée que depuis peu et dans quelques pays seulement à recevoir les vaccins anti-Covid, les effets indésirables commencent déjà à être visibles sur le graphique : ils représentent déjà 14% de l'ensemble des effets indésirables rapportés depuis 1968 pour les vaccins les plus courants.
Ces illustrations permettent de voir en un coup d’œil que les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,8 million en 50 ans (soupçonnés aussi).
Il se trouvera toujours des voix pour rappeler que cela ne prouve rien. Mais comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Est-il bien raisonnable de pousser à la vaccination, y compris les enfants, ou à une troisième dose, avant d’avoir clairement établi combien d’effets graves sont réellement dus aux vaccins ? Avancer que rien ne prouve que les effets secondaires sont dus aux vaccins anti-Covid ne suffit pas à prouver qu'il n'y a aucun lien de causalité.
Par ailleurs, il est vrai que les événements indésirables restent « rares », et que rien ne permet de croire que « tout le monde » va être atteint par des effets indésirables. Mais rare ne signifie pas négligeable : si l’on distribue 10 milliards de doses provoquant seulement un effet grave une fois sur 20.000 doses (ce qui est considéré comme « très rare » sur les notices de médicament), on provoque 500.000 victimes d’événements graves, certes « rares » en proportion, mais nombreux dans l’absolu : c’est à peu près le nombre de victimes d’armes à feu dans le monde chaque année.
VigiAccess ne permet pas de distinguer les effets indésirables graves, les décès, ou les cas ayant conduit à un handicap, par exemple, qui sont certainement minoritaires parmi les 1,3 millions d’effets indésirables rapportés. Dans son dernier point d’actualité, le 2 juillet 2021, l’ANSM rapporte qu’environ un quart des événements indésirables rapportés en France pour les vaccins anti-Covid sont « graves ». On ne peut pas extrapoler cette proportion aux résultats de VigiAccess, puisque les différents pays ne filtrent pas de la même façon ce qui est rapporté, mais on peut se poser la question. Le rapport de l’ANSM ne compare pas le nombre d’effets indésirables des vaccins anti-Covid à ceux d’autres médicaments, se contentant de dire que les 55.000 événements, dont environ 15.000 graves, enregistrés après une injection, ne constituent pas un « signal ». L’ANSM a-t-elle annoncé à partir de combien d’événements elle voit un signal ?
Quoi qu’il en soit, les contours imprécis que l’on voit se dessiner au travers des chiffres de VigiAccess sont cohérents avec ce que la base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de son côté (Fig.10) de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés suite à un vaccin. Ou 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées.
C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.
A parti des données dEudraVigilance, des chercheurs ont cherché à savoir si le nombre de personnes mourant à cause des vaccins est beaucoup plus faible que le nombre de personnes sauvées par les vaccins. Leur réponse est négative, comme le détaille Décoder l'Eco.
Comme de nombreux scientifiques, on ne conclut pas qu'il faut rejeter en bloc les vaccins. Mais il y a une balance bénéfice/risque a étudier pour chaque personne : dans certains cas (personnes à risques en raison de leur âge ou de co-morbidités) il est très possible que la vaccination soit essentiellement bénéfique ; mais pour d'autres, dont les risques de souffrir du Covid-19 sont extrêmement faibles, il est de plus en plus manifeste que le risque encouru est supérieur au bénéfice. Est-il raisonnable de faire prendre des risques aux jeunes, voire aux enfants, en espérant protéger ainsi les personnes à risque ?
Il est notable — et regrettable — que ce type d’analyses, fondées sur des données officielles, sont uniquement considérées comme « favorisant l’hésitation vaccinale » ou comme de la « désinformation ». Et il est inquiétant qu’elles ne soient pas menées par les grands médias et restent absentes des discours officiels.
Puisque seule une partie du public y a accès et qu’une autre partie a des raisons de considérer a priori qu’il s’agit de désinformation puisque cela n’apparaît pas dans les médias, on comprend que la tension monte entre les uns et les autres…
Enfin — et c'est un élément clé dans le calcul de la balance bénéfice/risque des vaccins anti-Covid — rappelons que la recherche scientifique a établi que de nombreux traitements, pour peu qu’ils soient administrés précocement (ou préventivement dans certains cas), réduisent considérablement les risques de faire une forme grave ou de décéder du Covid-19 si on l’attrape. La méta-analyse de Hill et al. sur l’ivermectine, commandée par l’OMS et récemment publiée dans l’Open Forum Infections Diseases, le confirme encore : même si les auteurs précisent qu’il n’est pas exclu que les chiffres issus de larges essais cliniques (encore en cours) modifient leurs résultats, ils observent que les traitements par ivermectine réduisent de 56 % la mortalité du Covid-19 et réduisent les hospitalisations.
L’Inde en est sans doute un exemple : elle est rapidement venue à bout de la vague due au variant delta après avoir recommandé des traitements précoces — dont l’ivermectine. Rappelons-le : comme l'OMS l'affichait jusque récemment, l'ivermectine n’a pas d’effets secondaires graves et peut sans risque être massivement administrée contre diverses maladies. Elle est donc, de façon certaine, beaucoup plus sûre que les vaccins, et, de façon probable, d'une efficacité comparable en prévention : comme le calcule la méta-analyse de Bryant et al. publiée dans Frontiers of Pharmacology, l'ivermectine réduit de 86% le risque d'être infecté, ce que même les vaccins ne prétendent pas faire.
La vaccination n’est donc pas la seule option pour empêcher les drames dus au Covid-19. En revanche c’est la seule qui offre un marché de 100 milliards de dollars par an à l’industrie pharmaceutique. Coûte que coûte ?
Source: Planetes360 | Twitter
Le tableau ci-dessous montre le nombre de cas confirmés en Israël, du 27 juin au 3 juillet, parmi les personnes vaccinées (cases vaccinated) et les personnes non-vaccinées (cases unvaccinated).
L'écart le plus important se trouve dans la tranche d'âge de 70 à 79 ans (7 cas confirmés parmi les non-vaccinés pour 90 cas confirmés parmi les vaccinés).
La seconde tranche d'âge la plus touchée est celle entre 60 et 69 ans (16 cas confirmés parmi les non-vaccinés pour 134 cas confirmés parmi les vaccinés). La troisième est celle entre 50 et 59 ans (18 cas non-vaccinés pour 127 cas vaccinés).
Quelle peut donc être la raison de la poursuite du tout vaccinal sans traitement lorsque les chiffres montrent que l'épidémie en Israël (un des pays qui a le plus vacciné au monde et atteint la dite "immunité collective" avec 78% et plus de la population vaccinée) touche aujourd'hui (selon la tranche d'âge) entre quatre à treize fois plus les personnes vaccinées que les personnes non-vaccinées ?
Nous atteignons ici les limites de l'irrationnel dans les politiques de santé au plan mondial. Ce qui montre bien qu'il doit y avoir un objectif non-dit dans cette folie vaccinale planétaire qui, manifestement, vise à tuer le plus de monde possible.
https://www.lifesitenews.com/news/exclusive-doctor-who-pioneered-hydroxychloroquine-zinc-treatment-for-covid-19-speaks-to-lifesite
Source: LifeSiteNews
Le Dr Vladimir Zelenko, le médecin new-yorkais qui a été le pionnier de l'utilisation de l'hydroxychloroquine (HCQ) et du zinc comme traitement du COVID-19, a accordé une longue interview à LifeSiteNews expliquant pourquoi ce protocole a été un tel succès. S'adressant à Claire Chrétien de LifeSite, Zelenko a discuté des vaccins contre les coronavirus et du "groupe de sociopathes" qui veut administrer ces injections au monde entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le traitement du virus.
Zelenko est médecin de famille depuis deux décennies dans le nord de l'État de New York. COVID-19 a balayé cette région à l'avènement de l'épidémie de coronavirus en mars 2020. Parmi les cas les plus graves de coronavirus de Wuhan à cette époque, la plupart des patients ont été mis sous respirateur, mais "80 à 90 pour cent des personnes sous respirateur étaient mourant, ce n'était donc pas un très bon modèle de traitement", a noté Zelenko.
Sur 3 000 patients positifs au COVID dont il s'occupe, Zelenko en a identifié 1 000 comme "à haut risque" avec lesquels son intervention médicale à base de HCQ et de zinc "a réduit le taux de mortalité de 7,5% à moins d'un demi pour cent".
"C'est une réduction de 84% des hospitalisations et des décès."
"Sur les 600 000 morts américains que nous avons, nous aurions pu empêcher 510 000 d'aller à l'hôpital et de mourir."
Pourtant, ce protocole n'a pas été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains qui ont attrapé le coronavirus ont découvert que leurs médecins ne prescriraient pas d'hydroxychloroquine, ou que les pharmaciens ne rempliraient pas les ordonnances pour cela.
"Il a été adopté par des médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de raisonnement déductif et ne sont pas endoctrinés", a déclaré Zelenko à LifeSite, mais "malheureusement, 90% des médecins de ce pays sont incapables de penser de manière indépendante".
"Le résultat net est qu'ils suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des agences gouvernementales sans faire preuve de bon sens. Ils ne font que suivre les ordres, comme le faisaient les nazis.
Cependant, Zelenko a attiré l'attention sur un certain nombre de médecins éminents tels que Peter McCullough, MD, cardiologue et professeur de médecine au Texas A&M University Health Sciences Center, et Harvey Risch, MD, Ph.D., professeur d'épidémiologie à l'Université de Yale, tous deux dont ont utilisé avec succès son protocole HCQ pour le traitement de COVID-19. Ils ont témoigné, y compris devant le Sénat américain, que "une intervention précoce en milieu préhospitalier est la clé pour surmonter ce problème de santé".
"Il existe des dizaines d'études qui corroborent" son approche du traitement du virus, a ajouté Zelenko, avant d'ajouter que son protocole n'est pas le seul remède efficace : l'ivermectine est l'une des mesures préventives les plus puissantes contre la maladie due au virus.
Malgré les restrictions gouvernementales sur la distribution de HCQ, un élément nécessaire du protocole, Zelenko a trouvé une alternative en vente libre qui fonctionne de la même manière pour aider le zinc à pénétrer dans les cellules et à inhiber la réplication virale.
"C'est le remède contre la tyrannie", a-t-il déclaré, ajoutant que les principales raisons pour lesquelles un patient mourra d'une infection au COVID-19 sont centrées sur "le gouvernement sous lequel vous vivez et le médecin que vous choisissez", plutôt que sur le virus lui-même.
Expliquant, Zelenko a déclaré: "Si je peux vous dire 'Allez à la pharmacie et procurez-vous de la corcidine, de la vitamine C, de la vitamine D et du zinc' qui sont partout en vente libre, et si vous les utilisez à la bonne dose, vous vous améliorerez, et resterez en bonne santé, tout d'un coup, j'ai donné à l'individu le pouvoir de ne pas être subjugué ou brutalisé par une terrible gouvernance, les méfaits et les fautes professionnelles des médecins.
"Il n'y a aucune nécessité médicale pour ce liquide expérimental"
Compte tenu du succès de son schéma thérapeutique, Zelenko a déclaré qu'"il n'y avait aucune nécessité médicale pour ce liquide expérimental", en référence aux vaccins de thérapie génique à ARNm administrés dans le monde. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), les personnes de moins de 18 ans ont une "récupération de 99,998% de COVID sans traitement", a noté Zelenko.
Cela contraste avec les quelque 7 000 décès et les centaines de milliers d'événements indésirables signalés après l'injection d'un vaccin à ARNm, a déclaré le médecin, ajoutant que le risque de préjudice pour les enfants lié aux vaccins pourrait atteindre 50 à un.
"Ce n'est pas un risque, c'est un meurtre", a-t-il déclaré.
Parmi les 18 à 45 ans, Zelenko a expliqué que le taux de récupération chute légèrement à 99,95 %. De même, les risques d'innocuité liés à la prise d'une substance expérimentale l'emportent sur tous les avantages potentiels, dont Zelenko dit que l'efficacité est "discutable", même parmi les personnes appartenant aux catégories à haut risque pour lesquelles son protocole médical a eu un avantage démontrable.
'Complot pour commettre un génocide par un groupe de sociopathes qui pensent qu'ils sont Dieu'
Qualifiant la crise des coronavirus de "plus grande guerre psychologique de l'histoire de l'humanité", Zelenko a poursuivi en expliquant que le monde entier était rempli "de peur pathologique".
"Cette peur est ensuite utilisée pour manipuler le comportement humain", a-t-il déclaré, rappelant comment certains des hommes les plus puissants du monde, comme le fondateur et milliardaire de Microsoft Bill Gates, qu'il a qualifié de "sociopathe", ont utilisé la peur pour faire avancer un programme selon lequel "la population mondiale doit être réduite."
Concernant la prise de contrôle actuelle de la santé publique, "en 2020, Gates a déclaré que sept milliards de personnes devront être vaccinées", avec une solution qui reste dangereuse et non testée.
Reconnaissant la tâche gigantesque de convaincre sept milliards de personnes de prendre un vaccin, Zelenko a suggéré que cette fin ne peut être atteinte qu'en "générant une telle peur pathologique, puis en proposant une solution artificielle. Vous devenez leur sauveur."
"Il y a toujours eu des tyrans et des despotes qui se font des illusions selon lesquelles ils sont une divinité, ou divins, et estiment qu'ils ont le droit de tracer le cours de l'histoire humaine."
La base de la nature humaine, a déclaré Zelenko, peut être considérée de deux manières principales.
Premièrement, "vous pouvez considérer un être humain comme étant fait à l'image et à la ressemblance de Dieu… cela signifie que nos vies sont saintes… cela signifie que nos vies ont des droits humains."
"Si tel est le cas, ce n'est pas dans le domaine de l'être humain de décider combien de personnes devraient être dans le monde et combien de temps nous devrions vivre."
En opposition, a déclaré Zelenko, se trouve "l'approche darwiniste … eugéniste qui veut que la hiérarchie de dominance de l'humanité dépend d'une constitution génétique supérieure".
"L'idéologie nazie était exactement cela", a-t-il déclaré. Les nazis se sentaient en droit d'éradiquer "ceux qu'ils considéraient comme des sous-humains", y compris ceux qui n'étaient pas d'accord avec eux sur le plan politique, a-t-il ajouté. "La même chose se produit maintenant, sauf que ce n'est pas antisémite."
Selon Zelenko, Gates et Klaus Schwab du Forum économique mondial, qui a écrit le livre The Great Reset, font partie d'un "groupe de sociopathes".
Ce groupe pense avoir "évolué vers un être supérieur", un type de "surhumain".
"Ils font avancer ce programme transhumaniste", a averti Zelenko, tout en encourageant l'éradication de la propriété privée et des combustibles fossiles, et en essayant de vacciner chaque personne sur terre.
"C'est un complot – mais pas une théorie – et c'est un complot pour commettre un génocide par un groupe de sociopathes qui pensent qu'ils sont Dieu… C'est une guerre contre Dieu.
"Nous vivons dans la Troisième Guerre mondiale… le problème est que l'arme qui est utilisée [la peur] est un tueur silencieux", a-t-il déclaré.
Le médecin a exhorté les gens : "Ne cédez pas à la peur."
"Vous êtes mis à l'épreuve par Dieu. À qui vas-tu te prosterner ?"
Zelenko lui-même a été persécuté pour son refus de garder le silence sur ses recherches. Indépendamment de l'efficacité de son protocole pour sauver la vie des patients, il a été banni de Twitter, Facebook et YouTube, tout cela en raison de son approche réussie et contre-narrative du COVID-19.
En termes non équivoques, Zelenko a décrit la suppression de ses informations sur les traitements salvateurs et les informations salvatrices fournies par d'autres, dans le cadre d'un "complot en vue de commettre un meurtre".
"Je pense que toutes les morts que nous avons subies en tant que société et monde ont été intentionnelles, volontaires, malveillantes et dues à une gouvernance néfaste", a-t-il décrié. "C’est un crime d’envergure historique et biblique."
Zelenko a également déclaré à LifeSiteNews qu'au début de l'épidémie de coronavirus, lorsqu'il a commencé à parler de l'utilisation du HCQ et du zinc pour traiter le virus, le chef de cabinet du président Trump, Mark Meadows, l'a appelé pour parler des découvertes de Zelenko. Zelenko a déclaré avoir traité un certain nombre de patients de premier plan, dont l'ancien maire de New York Rudy Giuliani.
Information totalement censurée, le prix Nobel Luc Montagnier qui a alerté le monde en disant que la Covid-19 était un virus sorti de laboratoire, affirme que "les variants proviennent des vaccinations" et qu'il y a déjà 10 000 morts en Europe.
"C'est la vaccination qui a créé les variants."
"Ce qui est apparu c'est un virus variant qui résiste à la vaccination."
Pour le professeur, "vacciner en période épidémique est impensable. Tous les gens savent cela."
"Les épidémiologistes savent cela. Il est clair que les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination. Mais, c'est ce que n'ont pas compris ces gens, la nature a trouvé des moyens qu'elle n'utilise pas. Ce sont les séries harmoniques de nombres.
"Il va y avoir de plus en plus d'accidents avec les vaccins (Covid). Les conséquences, personne ne peut le dire."
Dans cette video, le professeur Montagnier demande encore aux 200 000 médecins généralistes de "se comporter en médecins et non pas en moutons."
Enfin, au sujet du professeur Fourtillan aujourd'hui en prison pour avoir essayer de soigner avec des patchs, le professeur Montagnier considère cela "pas normal" : "on peut mettre des patchs sur la peau, ce n'est pas un crime!" Il compare cet emprisonnement avec les actuels 10 000 morts en Europe directement attribuables à la vaccination : "là, personne ne dit rien."
Source : Odysee
On s'approche du Game over pour le "tout #vaccin" et le #ZeroCovid.
Pendant que le discours officiel continue de dire que "se vacciner c'est protéger les autres", Malte observe une résurgence épidémique avec pourtant 78% de sa population vaccinée (deux doses). (Voir les trois courbes ci-dessous tirées du site "Our World in data" en source)
Les derniers chiffres de Our World in Data sont même de 78% de la population complètement vaccinée à Malte (Source) :
On attend bien évidemment les commentaires éclairés de nos chers médias vérificateurs de faits.
N’aimez pas le monde, ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui.
Ne savez-vous pas que l’amour pour le monde rend ennemi de Dieu ? Donc celui qui veut être ami du monde se pose en ennemi de Dieu.
En nul autre que lui, il n’y a de salut, car, sous le ciel, aucun autre nom n’est donné aux hommes, qui puisse nous sauver.
Dans son dernier livre, La Fin d'un monde, Oui, c'était mieux avant !, chez Albin Michel, Patrick Buisson dresse un réquisitoire du concile Vatican II, en suggérant des pistes de sortie de la crise.
"Le passage d'un capitalisme de producteurs à un capitalisme de consommateurs achève de disqualifier l'idéologie sacrificielle du christianisme, sa culture du renoncement à la jouissance des biens terrestres, son schéma salvifique de la satisfaction différée qui apparaissent désormais, au regard du grand nombre, comme autant d'insupportables entraves à la réalisation de ses propres désirs, autant de limites au déplafonnement des possibilités de bonheur qu'apportent l'enrichissement général..., explique Patrick Buisson.
"C'est le moment où le 'bon pape' Jean XXIII décide de convoquer le concile Vatican II.
Le défi qu'elle se lance alors d''entrer en conversation avec le monde' engage imprudemment l''Elise éternelle' dans l'exposition aux changements du monde contemporain, autrement dit au risque de devenir abusivement temporelle et d'accélérer ainsi la sortie du religieux de la durée historique.
"En France, un décrochage massif de la pratique catholique vient déjouer le pari de ceux qui avaient misé sur les réformes conciliaires...
"Sous couvert d'un retour à l''Eglise primitive', fourrier de toutes les hérésies à travers l'Histoire, on s'en prend à la piété dionysiaque et par trop démonstrative des milieux populaires. on s'acharne contre les dévotions des petites gens, ces moyens pauvres de la religion, en oubliant que ce sont précisément ces moyens qui rendent le catholicisme accessible aux pauvres. On renonce à tout ce qui marquait la souveraineté églisière dans l'espace sociale et tissait le lien communautaire entre les croyants: rogations, processions de la Fête-Dieu, de la communion solennelle ou de l'Assomption. Prônant une foi déritualisée et entièrement polarisée par la rationalité, le nouveau clergé se pose en antagonisme du vieux catholicisme de clocher, familial et festif...
"Ainsi l'institution ... s'attache-t-elle à la liquidation du monde ancien, jusqu'à en expurger les derniers vestiges dès lors qu'ils lui parurent faire obstacle à sa volonté d''aggiornamento' , c'est-à-dire de compromis avec la culture moderne et les idoles du jour. (Patrick Buisson, La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021.)
"... [L]es débuts du concile accréditèrent abondamment l'idée d'une lutte politico-idéologique entre l'assemblée conciliaire et la, curie romaine, entre une majorité progressiste empressée d'ouvrir un dialogue avec le monde moderne et de scruter les 'signes des temps' ... et une minorité conservatrice soucieuse de maintenir le dépôt 'immuable et inaliénable' de la foi dans son intégrité. ... Liberté religieuse, oecuménisme, humanisme transcendant, promotion du laïcat : toutes les avancées doctrinales de Vatican II, qui allèrent aboutir à un renversement du rapport de force à l'intérieur de l'Eglise, s'étaient d'abord développées à l'état de semi-hérésies dans les écrits de la théologie française des années cinquante avant d'être revêtues des habits chatoyants de la nouvelle orthodoxie par les pères conciliaires.
"Ironie ou accélération de l'histoire, trois des experts français en théologie, le jésuite Henri de Lubac et les dominicains Yves Congar et Marie-Dominique Chenu qui furent nommés par le pape en qualité de periti, c'est-à-dire de consultants pour le concile, avaient quelques années auparavant, subi, à tour de rôle, les foudres du Saint-Office pour des écrits hétérodoxes. En état de dissidence permanent, le père Congar s'était très tôt distingué par sa propension à défier l'autorité romaine et à évoluer à contre-courant du magistère de l'Eglise. En 1937, son premier ouvrage, Chrétiens désunis, Principes d'un oecuménisme catholique, conférait une valeur théologique positive à l'œcuménisme, contrairement à l'encyclique Mortalios Animos (1928) par laquelle Pie XI avait rappelé que l'unité des chrétiens ne pouvait se concevoir que par la conversion des non-catholiques à la 'seule véritable Eglise du Christ'. Soumis à la censure préalable des instances romaines suite à la ,publication, en 1950, de Vraie et fausse réforme de l'Eglise, le turbulent dominicain se vit refuser le nihil obstat pour trois ouvrages successifs, tandis que Pie XII lui signifiait l'interdiction d'enseigner avant de l'exiler à l'Ecole biblique de Jérusalem. Empêché de publier, il vécut cette discrimination sur le double mode d'une lancinante récrimination et d'un vif ressentiment, au point d'aller compisser la porte d'entrée du Saint-Office à Rome, une première fois en 1946, une seconde en 1954.
"D'avoir arrosé le temple de l'ancienne Inquisition ou d'avoir défriché le terrain pour une plus grande liberté de recherche théologique, nul ne sut jamais de quoi ce clerc séditieux et facétieux se sentit le plus fier lorsque Jean XXIII lui offrit l'éclatante réhabilitation d'un poste de grande influence auprès des pères conciliaires. Peu enclin à l'humilité dont il laissait volontiers l'usage à autrui, le père Congar s'attribua, dans Mon journal du concile, la paternité de quelques-uns des grands textes de Vatican II, y compris même dans les éléments de vocabulaire (Yves CONGAR, Mon Journal du concile, Cerf, vol. 1 et 2, 2002). Il est vrai que des chapitres entiers de la constitution Lumen gentium sur 'peuple de Dieu', les liens de l'Eglise avec les chrétiens non-catholiques et les religions non-chrétiennes (LM # 16) ou sur l'ecclésiologie, avec la remise en cause du dogme qui identifiait exclusivement l'Eglise catholique au corps mystique du Christ, étaient sortis directement de la plume de l'irrégulier théologien rentré brusquement en grâce sans qu'il ait eu à modifier en quoi que ce soit ses positions. A telle enseigne que ses détracteurs l'élevèrent sans hésitation à l'indignité de 'père de l'hérésie matricielle de Vatican II'.
"... Le décret Unitatis Redintegratio (21 novembre 1964) allait encore plus loin dans la légitimation d'un pluralisme religieux en reconnaissant que 'plusieurs et même beaucoup d'éléments de grande valeur peuvent exister en dehors des limites visibles de l'Eglise catholique'. Avec la déclaration Nostra Aetate, adoptée le 15 novembre 1965, le concile en rupture avec une longue tradition d'indifférence ou d'hostilité envers les autres religions, développait une 'vision positive de l'action du Dieu unique au coeur même des religions non chrétiennes'.
"... Apothéose de ce courant révisionniste, la constitution dogmatique Lumen gentium (21 novembre 1964) abolissait le privilège des catholiques en faisant de l'Église, non plus l'opératrice du salut de ses seuls fidèles, mais l'instrument d'un salut pour tous sans discrimination de croyance.
"... Toute l'humanité, qu'elle ait ou non reçu l'Evangile, était donc affirmée comme 'ordonnée au peuple de Dieu'. ... En bref, nul n'était plus exclu de la possibilité du salut éternel et les bénéfices de l'affiliation à l'Église visible se trouvaient, du même coup, quasiment réduits à néant. On pouvait être sauvé sans appartenir à la maison Dieu via sa filiale romaine. À la stupéfaction de très nombreux fidèles, la divine Providence semblait abandonner l'enseigne évangélique du 'beaucoup d'appeler, mais peu d'élus' (cf. Ma 22,14) [en exagérant le trait, à présent ce serait beaucoup d'appeler et tous élus. NdCR.]
"... [E]n affichant une conception plus ouverte du salut des 'autres', la majorité conciliaire s'empêtrait dans ses propres incohérences.
"À quoi bon l'élan missionnaire érigé en priorité pastorale en direction de 'ceux qui étaient loin', si ceux-ci pouvaient désormais être sauvés sans que leur conversion fût obligatoire ni même nécessaire ? (sauvés même contre leur gré ? NdCR.) (Patrick Buisson, La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 85-93.)
Un concile des Lumières ?
Dans "La déclaration de droits de l'homme et du citoyen", le juriste Stéphane Rials situe l'acte de naissance de l'optimisme juridique sur la nature humaine en 1789 :
"Les Lumières ont parié - mais elles ignoraient en général que ce fût un pari - sur la possibilité de l'amélioration intellectuelle et morale de tous. La Déclaration était l'un des instruments de ce pari. (La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, Présentée par Stéphane Rials, Hachette, Pluriel Inédit, Paris 1988, p. 16)
"[...] Ainsi le légicentrisme de quatre-vingt-neuf est-il à claire dominante d'optimisme rationaliste." (p. 371)
Or, "Paul VI ... concéda, avant de congédier l''auguste sénat' :
'Il faut reconnaître que ce concile, dans le jugement qu'il a porté sur l'homme, s'est arrêté bien plus à l'aspect heureux de l'homme qu'à son aspect malheureux. Son attitude a été nettement et volontairement optimiste.'
"N'était-ce pas là, en vérité, une nouvelle religion qui était proposée, beaucoup plus centrée sur l'homme que sur Dieu?, s'interroge justement Patrick Buisson (La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 99.)
Un parallèle peut être établi entre ce concile optimiste et le bonheur promis à l'humanité en 1789. C'est ce qu'entrevoit bien Patrick Buisson, en ces termes : "Il faudra quelques années encore pour que l'homme nouveau, obsédé par l'idéologie hédoniste, s'aperçoive que l'expérience du bien-être ne l'avait pas fait accéder au bonheur et que le grand projet de l'humanisme anthropocentrique débouchait sur ce que Chomsky avait appelé 'le troisième totalitarisme'. Autrement dit, la réduction du monde et des hommes eux-mêmes à la marchandise. Entre-temps, une antique humanité avait disparu, victime d'un véritable génocide ethnoculturel, une humanité dont on découvrira sans doute un jour à quel point elle fut proche de ce que l'homme avait de meilleur, celle qui, ..., croyait qu''on n'a pas besoin du bonheur pour être heureux.'" (La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 24.)
Le seul péché, c'était de ne pas croire au bonheur !
"Pour mener à bien son projet d'émancipation, la révolution hédoniste des années soixante lança une grande offensive culturelle contre la culpabilité et toutes les formes de culpabilisation qui agissaient encore comme autant de freins à la consommation et à la jouissance, comme autant d'entraves à la libre expression du désir individuel et à la légitime aspiration au bien-être. Le mot d'ordre fut à la désinhibation. La pudeur, la réserve, la frugalité et surtout la notion chrétienne de péché devinrent le coeur de cible d'une vaste campagne de lessivage des consciences et de reformatage psychologique. ... Publicitaires, marchands, entrepreneurs qui avaient quelque chose à vendre se relayèrent pour accréditer plus ou moins habilement une idée simple qui allait servir de nouveau catéchisme à la modernité triomphante : il n'y avait pas de mal à se faire du bien, le seul péché, c'était de ne pas croire au bonheur. Il fallait en finir avec tout ce qui empêchait, différait ou ralentissait l'acquisition de biens et de produits ou la poursuite de fins exclusivement terrestres..." (La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 261.)
Aujourd'hui le monde matérialiste et ses promesses de bonheur, ces petits plaisirs passagers souvent mesquins n'ont pas tenu leur promesse.
En 2009, la complexité et la gravité de la situation économique actuelle ont conduit le pape Benoît XVI à proposer dans l'encyclique Caritas in veritate des réponses à la crise mondiale et à la mondialisation. "La crise devient ainsi, écrit-il, une occasion de discernement et elle met en capacité d’élaborer de nouveaux projets. C’est dans cette optique,... qu’il convient d’affronter les difficultés du moment présent" (§ 21).
Benoît XVI fournit la clé d'un développement authentique qui reconnaît la pleine nature de l'homme avec sa dimension transcendante, et sa dignité : la juste compréhension de la nature de l'homme, ou ce qu'il appelle le "développement humain intégral" ( § 4), qui est est portée vers la transcendance, une "écologie de l'homme" qui "concerne unitairement la totalité de la personne dans chacune de ses dimensions (§ 11). Le développement humain intégral sur le plan naturel, réponse à un appel du Dieu créateur, demande de trouver sa vérité dans un "humanisme transcendant, qui (…) donne [à l’homme] sa plus grande plénitude: telle est la finalité suprême du développement personnel". La vocation chrétienne à ce développement concerne donc le plan naturel comme le plan surnaturel; c’est pourquoi "quand Dieu est éclipsé, notre capacité de reconnaître l’ordre naturel, le but et le 'bien' commence à s’évanouir" (§ 18).
Le Saint-Père précise que si "[l]’Église n’a pas de solutions techniques à offrir et ne prétend "aucunement s’immiscer dans la politique des États"... [e]lle a toutefois une mission de vérité à remplir, en tout temps et en toutes circonstances, en faveur d’une société à la mesure de l’homme, de sa dignité et de sa vocation ( § 9).
Du point de vue économique, "La richesse mondiale croît en terme absolu, mais les inégalités augmentent... Dans les pays riches, de nouvelles catégories sociales s’appauvrissent et de nouvelles pauvretés apparaissent. Dans des zones plus pauvres, certains groupes jouissent d’une sorte de surdéveloppement où consommation et gaspillage vont de pair" (§ 22).
... "L’humanité tout entière est aliénée quand elle met sa confiance en des projets purement humains, en des idéologies et en de fausses utopies." (§ 53).
"Le développement de la personne s’étiole, si elle prétend en être l’unique auteur. Analogiquement, le développement des peuples se dénature, si l’humanité croit pouvoir se recréer en s’appuyant sur les "prodiges" de la technologie. De même, le développement économique s’avère factice et nuisible, s’il s’en remet aux "prodiges" de la finance pour soutenir une croissance artificielle liée à une consommation excessive. Face à cette prétention prométhéenne, nous devons manifester un amour plus fort pour une liberté qui ne soit pas arbitraire, mais vraiment humanisée par la reconnaissance du bien qui la précède. Dans ce but, il faut que l’homme rentre en lui-même pour reconnaître les normes fondamentales de la loi morale que Dieu a inscrite dans son cœur." (§ 68).
"Les droits humains risquent de ne pas être respectés soit parce qu’ils sont privés de leur fondement transcendant soit parce que la liberté personnelle n’est pas reconnue." (§ 56).
"L’homme moderne est parfois convaincu, à tort, d’être le seul auteur de lui-même, de sa vie et de la société. C’est là une présomption, qui dérive de la fermeture égoïste sur lui-même, qui provient – pour parler en termes de foi – du péché des origines. La sagesse de l’Église a toujours proposé de tenir compte du péché originel même dans l’interprétation des faits sociaux et dans la construction de la société: 'Ignorer que l’homme a une nature blessée, inclinée au mal, donne lieu à de graves erreurs dans le domaine de l’éducation, de la politique, de l’action sociale et des mœurs'. À la liste des domaines où se manifestent les effets pernicieux du péché, s’est ajouté depuis longtemps déjà celui de l’économie. Nous en avons une nouvelle preuve, évidente, en ces temps-ci. La conviction d’être autosuffisant et d’être capable d’éliminer le mal présent dans l’histoire uniquement par sa seule action a poussé l’homme à faire coïncider le bonheur et le salut avec des formes immanentes de bien-être matériel et d’action sociale. De plus, la conviction de l’exigence d’autonomie de l’économie, qui ne doit pas tolérer 'd’influences' de caractère moral, a conduit l’homme à abuser de l’instrument économique y compris de façon destructrice. À la longue, ces convictions ont conduit à des systèmes économiques, sociaux et politiques qui ont foulé aux pieds la liberté de la personne et des corps sociaux et qui, précisément pour cette raison, n’ont pas été en mesure d’assurer la justice qu’ils promettaient. (§ 34).
"[L]a fermeture idéologique à l’égard de Dieu et l’athéisme de l’indifférence, qui oublient le Créateur et risquent d’oublier aussi les valeurs humaines, se présentent aujourd’hui parmi les plus grands obstacles au développement. L’humanisme qui exclut Dieu est un humanisme inhumain (§ 78).
L'homme est fait de matière, mais aussi d'esprit et il est doté d'une âme. Aussi un humanisme intégral se doit-il de prendre la nature humaine dans sa totalité, et pas simplement dans son simple aspect matériel. Il y a là sans doute l'objet d'une future mise à jour de la pastorale de l'Église qui s'était arrêtée à l'optimisme des Lumières lors du concile Vatican II.
Patrick Buisson entrevoit un chemin vers cette nouvelle pastorale lorsqu'il regrette qu'"au lieu de résister et de déployer, comme l'Église avait su si souvent le faire par le passé, toutes les ressours de la sotériologie, autrement dit de sa vision globale du salut de l'humanité, une nouvelle forme historique du catholicisme, sensible au déplafonnement des possibilités de bonheur 'ici et maintenant' qu'apportaient avec les Trente glorieuses l'enrichissement général et l'amélioration des conditions de vie du plus grand nombre, mit l'accent sur le primat du salut terrestre, refoulant progressivement dans un non-dit honteux la culpabilisation pécheresse, la notion d'épreuve expiatoire, et la crainte du châtiment divin.
"La poursuite du salut, le rachat des fautes individuelles n'exigeaient plus ni ascèse, ni sacrifice, ni même pénitence. ... Le christianisme ne devait plus être mortification mais épanouissement de la personne. ... La prédication de ce salut sans peine où ... toute notion de rédemption des fautes par un sacrifice expiatoire avait disparu, rencontra moins d'enthousiasme que de de scepticisme." (La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 262.)
L'engouement actuel pour le "Moyen-Âge" parmi les jeunes montre que le développement optimiste du concile Vatican II ne les a pas inspiré.
La modernité et ses mirages d'accumulation de biens matériels vu comme horizon indépassable, loin de nous conduire au pur bonheur nous en éloigne.
Au XIVe siècle, le Bienheureux Henri Suso a proposé une sagesse bien éloignée de la nôtre : "Sache que le renoncement intérieur conduit l'homme à la suprême vérité..."
"Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux" (Mt 5,3)
La pauvreté dont le divin Maître parle est l'inverse d'une accumulation d'un trésor matériel personnel passager. Il s'agit de trouver celui qui n'est pas temporaire mais éternel, pour que Lui seul agisse dans nos vies.
"'Ne sais-tu pas que je suis la porte par laquelle doivent passer tous les vrais amis de Dieu, disait le Crucifié, il faut pénétrer dans les plaies ouvertes de mon humanité souffrante pour atteindre véritablement à la pure divinité.'" (Renée ZELLER, Le Bienheureux Henri Suso ( † 1366), Le Serviteur de l'éternelle Sagesse, Librairie de l'Art catholique, Protat Frères, Macon 1922, p. 59)
"Celui qui désire une plus grande récompense et son salut éternel, une haute science et une profonde sagesse, celui qui veut garder l'égalité d'âme dans la joie et la souffrance, être assuré contre tout mal et goûter au breuvage de vos amères souffrances comme de votre douceur ineffable, celui-là doit, Jésus crucifié, vous porter en tout temps devant les yeux de son cœur. ... Qu'il est donc heureux, l'homme qui l'a en tout temps devant les yeux et l'étudie ! Que de sagesse et que de grâces il peut acquérir, de de consolations et de douceur ! quelle aversion de tout péché, quel sentiment constant de ma présence !" (Le Livre de la Sagesse éternelle, cité dans Le Bienheureux Henri SUSO, Oeuvres traduites par Jeanne ANCELET-HUSTACHE, Les Maîtres de la Spiritualité chrétienne, Textes et études, Aubier, Paris 1943, p. 381.)
Ne voulant plus parler de pénitence et de mortification dans les années post-concile, l'Église est ainsi passée à côté de l'essentiel.
"La rencontre de la religion du Dieu fait homme et de la religion de l'homme fait Dieu (sans le Christ crucifié Ndlr.) avait tourné au fiasco. 'Pourquoi ? questionnait Clavel. Parce que la religion du Dieu fait homme nous impose de mourir à nous-mêmes pour retrouver notre substance et notre nature divine. Elle est difficile. La religion de l'homme fait Dieu, qui consiste à se diviniser narcissiquement et à ne croire qu'en soi, elle est facile. Le difficile s'est mis en contact avec le facile, et une fois de plus, c'est le facile qui l'a emporté. Et c'est toute l'exigence, toute l'assise de la vie spirituelle qui s'est trouvée emportée et dissipée.'" (La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 100.)
"Le vent du concile avait soufflé : la religion devait se faire plus intérieure, plus discrète, se purifier des scories du paganisme, domestique les vestiges d'une religiosité originellement 'sauvage'. On la voulait moins triomphante, et pour tout dire, moins ostentatoire.
... Un peu partout les processions de la Fête-Dieu furent rapatriées à l'intérieur de l'église avant de disparaître définitivement. l'heure de l''enfouissement' était venue...
"...En 1969, la Congrégation pour le culte divin édicta de nouvelles normes universelles de l'année liturgique" qui donnaient toute latitude aux évêques locaux pour adapter les rogations et les Quatre-Temps aux divers besoins des lieux et des fidèles, ainsi que l'autorité de "régler leurs ordonnances pour ce qui concerne le temps et la manière de les célébrer." Il ne fallut pas deux ans pour que ces rites soient supprimés dans la majorité des paroisses rurales avant de disparaître complètement du calendrier liturgique. les noces multiséculaires du catholicisme français et du monde rural, fondées sur la permanence, la stabilité, la répétitivité et l'étroite correspondance des cycles religieux et des cycles temporels, furent ainsi rompues comme fut refoulé l'univers symbolique qui s'y rattachait. Par une cruelle ironie de l'Histoire, l'Eglise renonçait aux rogations au moment même où elle aurait pu, en maintenant sa tradition, revivifier son lien avec le monde, apparaître aux yeux de tous comme l'avant-garde de la nouvelle sensibilité attentive à la protection de la nature qui commençait à s'emparer des esprits.
"Au moment même où la vague de l'écologie commençait à se former et à redonner tout son lustre et toute sa jeunesse à l'éternelle promesse du Livre de la Genèse : "Tant que la terre subsistera, les semailles et la moisson, le froid et la chaleur, l'été et l'hiver, le jour et la nuit ne cesseront jamais." (Gn 8,22) (La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 239-241.)
"Vous n'êtes pas allés au monde, vous vous êtes rendus au monde. Vous avez dit amen à tous les vents finissants du siècle." (Maurice Clavel, cité dans La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 161.)
"Pour affronter les mutations du siècle et le grand mouvement historique qui se voulait porteur de l'affranchissement de l'homme, il aurait fallu tenir, et maintenir, plutôt que d'ouvrir le comptoir des soldes et courir après l'air du temps. Au lieu de cela, l'Eglise s'acharna à dilapider en quinze ans tout ce qu'avaient engrangé deux millénaires de christianisme." (La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 190.)
"Pour répondre à l'attente du monde, il suffisait que l'Église se préservât, qu'elle ne cédât pas à la mode." (François Bluche et Pierre Chaunu, Lettre aux Églises, Fayard, 1977, p. 193, cités dans La Fin d'un monde, Albin Michel, Paris 2021, p. 190.)
Beaucoup sont appelés, mais peu sont élus.
Entrez par la porte étroite. Elle est grande, la porte, il est large, le chemin qui conduit à la perdition ; et ils sont nombreux, ceux qui s’y engagent.
Mais elle est étroite, la porte, il est resserré, le chemin qui conduit à la vie ; et ils sont peu nombreux, ceux qui le trouvent.
Source: Benoit et moi
A ce rythme, on aura vite fait d’arriver à la fin de l’alphabet grec (*)! Documenté par une étude rigoureuse de la revue Science, ce variant est apparu en Californie, et il serait le premier à échapper à la couverture vaccinale. De quoi inviter sérieusement les autorités et les scientifiques « officiels » qui les conseillent (le Dr Gulisano cite ici le ministre de la santé italien, Speranza, mais on peut facilement remplacer son nom par celui de Véran) à revoir totalement leur stratégie de lutte contre le virus, basée sur la seule vaccination.
(*) Les différents variants identifiés actuellement: https://www.sciencesetavenir.fr/sante/covid-19-comment-classe-t-on-les-nouveaux-variants_155178
Dr Paolo Gulisano
La NBQ
5 juillet 2021
Ma traduction
Alors que les virologues « officiels » déclenchent la campagne de haine contre les non-vaccinés, la revue Science publie une étude substantielle qui montre de manière concluante que le nouveau variant Epsilon échappe à la couverture vaccinale, en esquivant les anticorps produits par le vaccin. Il s’agit d’un fait attendu depuis longtemps qui devrait nous faire reconsidérer toute la stratégie avec laquelle la pandémie est abordée et, surtout, qui contredit le ministre Speranza et ses conseillers qui persistent à prétendre que le vaccin est efficace contre tout variant.
Une maxime ancienne mais toujours d’actualité dit que dans les situations difficiles, les sages cherchent des solutions, les imbéciles des coupables. C’est ce qui se passe ces jours-ci, avec les attaques enragées des virologues et infectiologues « officiels » contre les personnes non vaccinées (**). Si le redoutable variant Delta se propage, la faute n’en reviendra qu’à eux, aux réticents, aux sceptiques, à ceux qui n’ont pas fait le vaccin, et qui méritent donc une punition exemplaire, comme un lockdown perpétuel.
Si le variant Delta d’août devient effectivement la souche virale prédominante, la seule solution – selon eux – sera d’augmenter à tout prix le nombre de vaccinés, dépassant un seuil fixé à 85% à la mi-octobre. Si cela arrive, a dit Bassetti [Massimo Bassetti, l’un des virologues « de régime »], « le variant Delta nous fera un pied de nez ». Et pour atteindre ce but, en avant pour une série de contraintes de plus en plus dures sur les personnes non vaccinées, contre lesquelles, après ce blâme public, il n’est pas difficile d’imaginer que se déclenchera une campagne de haine qui n’a pas été vue depuis l’introduction des lois contre les juifs de 1938.
Pier Luigi Lopalco, épidémiologiste et conseiller sanitaire de la région des Pouilles, confirme : « Dans la pratique, la diffusion du green pass va dans ce sens : les vaccinés se verront accorder beaucoup plus de possibilités. Je pense que cela suffit comme incitation à la vaccination ».
Citoyens de série A et de série B. Une discrimination pratiquée sous le prétexte de la lutte contre le Covid, et en particulier à ce qui a été appelé « le dernier variant ». Mais est-ce vraiment le cas? Le thème des variants s’avère être l’un des arguments-clés de la propagande. Le mot « variant » en lui-même est effrayant. Pourtant, des variants génétiques du SRAS-CoV-2 sont apparues et ont circulé dans le monde entier pendant la pandémie de COVID-19. Aux États-Unis, les mutations et les variants viraux font l’objet d’un suivi régulier par le biais d’une surveillance basée sur le séquençage, d’études de laboratoire et d’enquêtes épidémiologiques.
Un variant présente une ou plusieurs mutations qui le différencient des autres variants en circulation. Les scientifiques comparent les différences génétiques entre les virus afin d’identifier les variants et la façon dont ils sont liés les uns aux autres. Un groupe interagences du gouvernement américain a mis au point un système de classification des variants qui identifie trois classes de variants du SRAS-CoV-2, appelées respectivement Variant of Interest, Variant of Concern et Variant of High Consequence ou High Risk.
À ce jour, aucun variant à haut risque n’a été identifiée aux États-Unis et pas non plus Delta. Toutefois, ce système de surveillance permet de suivre l’émergence d’autres nouvelles versions modifiées du virus qui a débuté à Wuhan. C’est le cas de ce qui pourrait devenir le variant Epsilon, et dont personne en Italie ne parle, et encore moins les experts qui sont tous focalisés sur le Delta et sur le type de punition à infliger aux fraudeurs du vaccin.
Ce variant a été signalée pour la première fois en Californie. Son histoire et ses caractéristiques sont décrites dans un article solide, complet et rigoureux paru ces jours-ci dans la revue Science. (Mc Callum et al., Science 10.1126 2021). Le titre de l’article est très significatif : Sars-Cov-2 Immune evasion by the B.1.421/B.1.429 variant of concern. Donc un variant inquiétant, comme le Delta. Nous ne sommes pas en alerte rouge. Cependant, dans l’article, il est illustré de manière absolument documentée comment l’Epsilon échappe à la couverture vaccinale, en esquivant les anticorps produits par le vaccin. C’est la première fois qu’il a été démontré de manière concluante que le vaccin – contre un variant – peut être totalement inutile.
Quelle est la cause de cette réfractarité aux anticorps dérivés du vaccin ? Une mutation qui s’est produite dans la glycoprotéine Spike. Les scientifiques qui ont mené cette étude ont constaté cette inefficacité du vaccin (pour mémoire Pfizer) même chez les sujets qui avaient déjà reçu la deuxième dose.
Un fait sur lequel il faut évidemment réfléchir, et qui devrait nous faire repenser toute la stratégie avec laquelle on fait face à l’épidémie, centrée presque exclusivement sur une campagne de vaccination trop hâtivement donnée pour décisive, sans si et sans mais.
Le ministre Speranza et ses conseillers experts qui continuent à soutenir qu’avec les vaccins actuels il n’y a pas de risque d’infection par des variant du Covid, comment répondent-ils à cette recherche, à un travail passé au crible hyper-sélectif de Science ? Ils n’apportent aucune donnée scientifique, aucune étude : des scientifiques qui s’auto-promeuvent et prétendent être crus par pure auto-référence, par fidéisme.
Source: La Minute de Ricardo, 06/07/2021
"Oui, nous savons que la vérité l'emportera sur tous vos mensonges.
"Oui, nous savons que tout cela n'est que temporaire.
"Oui, nous savons tout ce que vous prévoyez pour nos enfants. Et biensûr que l'on ne vous laissera pas faire !
"Nous savons que les menteurs paniquent aujourd'hui parce qu'ils ne pourront plus longtemps cacher tout ce scandale des piqures.
"Et puis, et puis il y en a d'autres. Nous savons que les effets secondaires graves sont aujourd'hui absolument considérables.
"Nous savons que cette crise n'est pas sanitaire mais biensûr totalitaire.
"Nous savons que vous avez tué nos vieux à coups de Rivotril, truqué les chiffres, empêché les gens de se soigner et la médecine préventive d'agir.
"Nous savons que vous asphyxiez nos enfants vraiment pour rien depuis septembre (2020).
"Nous savons que votre but est finalement de nous contrôler, et biensûr de nous appauvrir.
"Nous savons que jamais, oui jamais, nous nous soumettrons.
"Nous savons que la vérité l'emportera en dépit de l'effondrement moral, intellectuel, spirituel mis en oeuvre aujourd'hui.
"Nous savons que vous savez que les masques à l'extérieur, les confinements, les couvre-feu ne servent à rien.
"Nous savons que vous nous mentez depuis le début. Tous ces politiciens véreux et tous ces télé-toubibs.
"Nous savons finalement que notre union sera votre chute.
"Alors oui à ce titre 'La Une Tv' qui va réunir, vous le savez, début septembre, dans une seule et même vitrine télévisuelle les vingt meilleurs des opposants lanceurs d'alerte les plus connus à ce jour à ce régime, à ce système. Tous ceux qui drainent des milliers, des centaines de milliers de followers et d'abonnés. Oui, tous réunis dans un seul et même media. Oui, cette Une Tv jouera, je le dis, un rôle essentiel de coordination médiatique dans cette opposition au régime et au système, qui vous le voyez commence sérieusement à prendre forme.
"Et puis, oui, un tout dernier nous savons.
"Nous savons que vous savez aussi.
"Merci beaucoup. Et à demain."
Dans une video publiée sur le site de l'IHU Méditerranée Infection, le professeur Peter A. McCullough seminary @IHU_Marseille avertit :
"Nous avons un problème indéniable de mortalité avec le #VaccinCovid"
"Les vaccins semblent être plus dommageable que la maladie elle même" Source
Peter A. McCullough est un professeur de médecine américain. Il est actuellement vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l'Université A&M du Texas Health Sciences Center.
Peter A. McCullough avertit encore que :
"Aujourd'hui aux Etats-Unis il y a plus de blessures et de décès dus à la vaccination que les hospitalisations et les décès dus à l'infection respiratoire.
"Le vaccin cause plus de dommages que le problème initial."
A écouter à partir de la 18e minute de la video