« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
La constante augmentation du recours aux techniques d'insémination artificielle à partir de sperme de donneurs signifie qu'augmente aussi le nombre des enfants qui ignorent l'identité de leur père biologique.
... [U]n récent rapport américain a examiné les conséquences sur la vie de ceux qui ont désormais atteint l'âge adulte.
L'enquête, publiée par la Commission sur l'avenir de la condition parentale et intitulée « My Daddy's Name is Donor: A New Study of Young Adults Conceived Through Sperm Donation » (« Le nom de mon père est Donneur : une nouvelle étude sur de jeunes adultes conçus au moyen de dons de sperme »), a été conduite par Elizabeth Marquardt, Norval D. Glenn et Karen Clark.
Selon l'étude, il naîtrait par dons de sperme aux Etats-Unis entre 30.000 et 60.000 enfants chaque année. Il ne s'agit, toutefois, que d'une estimation pondérée, car il n'existe aucun relevé statistique sur de telles pratiques. Cette recherche est, en outre, la toute première étude sérieuse réalisée sur l'évaluation du degré de bien-être des adultes nés de ces techniques.
Le rapport note que la donation de sperme est un phénomène international. Les demandes de dons de sperme aux Etats-Unis proviennent, en effet, du monde entier, en l'absence de toute réglementation. D'autres pays également comme le Danemark, l'Inde et l'Afrique du Sud contribuent avec leurs donneurs à un marché en plein essor du tourisme de la fertilité.
Les auteurs de cette étude développent une intéressante comparaison entre la donation de sperme et l'adoption. L'adoption est strictement réglementée, et les parents adoptifs sont soumis à un examen minutieux avant d'obtenir l'autorisation d'adopter. En revanche, dans le cas de la donation de sperme, il est possible de choisir le donneur sur des catalogues on-line, qui comparent les caractéristiques physiques, d'intelligence et de réussite professionnelle. Il suffit seulement de payer la transaction.
... Le rapport rappelle ... que ne sont pas prises en compte les difficultés que rencontrent nombre des enfants adoptés du fait de la séparation d'avec leurs origines biologiques. Mais les enfants adoptés peuvent se consoler en pensant que c'est peut-être à contre-cœur que leurs parents ont eu recours à l'adoption à la suite de circonstances exceptionnelles. Au contraire, dans le cas d'une naissance par don de sperme, l'enfant sait qu'il est le fruit d'une simple transaction commerciale, sans que le donneur ait jamais eu une quelconque pensée pour lui.
Conséquences négatives
Pour étudier la situation des personnes conçues par don de sperme et parvenues à l'âge adulte, les auteurs ont sélectionné un panel de plus d'un million de familles, puis un échantillon représentatif de 485 adultes âgés de 18 à 45 ans. L'échantillon a été comparé avec un groupe de 562 adultes qui ont été adoptés dès leur enfance et un autre de 563 adultes ayant grandi avec leurs parents biologiques.
« Nous avons découvert qu'en règle générale, les jeunes adultes conçus par donneur ressentent davantage une blessure, sont dans un plus grand état de confusion et se sentent davantage isolés de leurs familles », affirme le rapport.
Pas moins de 65% de ces adultes reconnaissent que « le donneur représente la moitié » d'eux-mêmes. Les mères aussi avouent être curieuses de connaître l'identité du père.
Près de la moitié de l'échantillon a exprimé un sentiment de malaise par rapport à ses origines, et ils sont nombreux à reconnaître y avoir pensé plus d'une fois. Certains disent se sentir différents, se considérer comme une expérience de laboratoire, d'autres avoir des problèmes d'identité. Pour beaucoup, le fait également que l'argent peut changer de mains au cours du processus les dérange. D'autres ont exprimé leur malaise à l'idée d'être un produit destiné à satisfaire les désirs de leur géniteur, et pas moins de 70% ont reconnu se demander comment est la famille de leur donneur.
Les problèmes de celui qui est né d'un don de sperme ne se limitent pas aux questions d'identité et de famille, mais concernent également les aspects médicaux. Selon le rapport, de certains donneurs sont nés des douzaines d'enfants, certains dépassant presque les cent procréations. En conséquence, les adultes actuels, enfants de donneurs, redoutent une éventuelle union avec leurs demi-frères ou demi-soeurs, ou que leurs enfants puissent s'unir à leurs cousins.
Ces dernières années, la question de la donation anonyme de sperme a été très controversée dans différents pays. Les critiques de cette pratique ont conduit le Royaume-Uni, la Suède, la Norvège, les Pays-Bas, la Suisse et certains Etats en Australie et en Nouvelle-Zélande à les interdire, selon le rapport. En revanche, aux Etats-Unis et au Canada, ces restrictions n'existent pas.
L'Eglise catholique est fortement contraire à toute pratique d'insémination artificielle, mais - comme explique le rapport - même si on ne partage pas cette position, il existe de bonnes raisons pour défendre les droits des enfants à connaître leur père et à mettre fin à la paternité anonyme.
L'étude s'est également penchée sur les problèmes sociaux et psychologiques. 21% des personnes nées d'un donneur font état de problèmes avec la loi avant l'âge de 25 ans, contre respectivement 18% et 11% des personnes adoptées et de celles ayant grandi avec leurs parents biologiques.
Résultats analogues pour les problèmes d'alcool et de stupéfiants. Les données restent inchangées si on prend en compte la situation socio-économique et autres variables.
Concernant les facteurs variables, une donnée intéressante ressort de l'étude: 36% des enfants de donneurs ont dit avoir grandi comme catholiques, contre 2% des enfants adoptifs et 28% des enfants biologiques. Une donnée surprenante, observe le rapport, compte tenu de l'opposition de l'Eglise catholique à de telles pratiques. En outre, 32% des enfants de donneurs se déclarent toujours catholiques, alors qu'un bon nombre des sondés des deux autres groupes affirment avoir abandonné l'Eglise.
Le secret sur les origines
Le secret qui pèse sur leurs origines constitue un autre élément de souffrance pour les enfants issus de donneurs. Très souvent, les deux géniteurs font croire, au départ, à ces enfants qu'ils ont des liens biologiques avec eux. Quand ensuite l'enfant découvre la vérité, il se sent trahi et la relation avec ses parents se dégrade. D'où un sentiment de méfiance, au point que 47% d'entre eux ont déclaré que leur mère leur a probablement menti sur d'autres questions importantes quand ils étaient petits. Une proportion bien plus élevée comparée aux 27% des personnes adoptées et aux 18% de celles qui ont grandi avec leurs parents biologiques. Des résultats analogues portent sur la probabilité que l'autre géniteur également ait pu mentir.
Rien d'étonnant à ce qu'une majorité substantielle des adultes conçus par don de sperme se soit exprimée en faveur du droit à tout savoir, aussi bien le droit de connaître l'identité du donneur que le droit d'avoir une relation avec cette personne. Savoir aussi s'il y a des frères et sœurs, et combien. A ce jour, la législation aux Etats-Unis ne concède aucun de ces droits. Au contraire, elle protège les donneurs et les cliniques de la fertilité, au détriment des enfants conçus.
Mais les problèmes ne finissent pas avec celui du secret. Il ressort des résultats du sondage que 44% des enfants de donneurs accepte ce mode de conception à condition que les géniteurs leur disent la vérité, de préférence à un âge précoce. D'un autre côté, des personnes ont exprimé leur contrariété lorsque les parents ont dit la vérité, et 11% ont affirmé que ce serait difficile pour les enfants même si les parents se montraient capables de bien gérer la situation.
En ce sens, le rapport fait observer que « la transparence à elle seule ne semble pas régler les éventuels préjudices, l'état de confusion et les risques qui peuvent découler de la décision de concevoir des enfants qui vont grandir sans un des deux parents biologiques ».
Le rapport conclut par une série de recommandations. Parmi elles, il y a l'observation selon laquelle aucune procédure clinique ne présente des implications aussi lourdes pour les personnes qui n'ont rien demandé : les enfants. Et on s'interroge : « une société saine peut-elle créer intentionnellement de cette façon ? ». Une question sur laquelle il vaudrait la peine de réfléchir.
Père John Flynn, LC
Traduction française : Elisabeth de Lavigne
Minarets: abrogation de l'interdiction ?
Afp 23/06/2010 | Mise à jour : 13:53
Les parlementaires du Conseil de l'Europe ont demandé aujourd'hui à la Suisse d'abroger l'interdiction de construire des minarets, ... qui discriminerait des Musulmans dans la Confédération.
A l'issue d'un débat sur "l'Islam, l'islamisme et l'islamophobie en Europe" l'Assemblée parlementaire (APCE) a demandé à la Confédération "d'adopter un moratoire sur son interdiction générale de construction des minarets car elle discrimine des communautés musulmanes".
Les Suisses avaient approuvé le 29 novembre dernier à 57,5% une réforme de la Constitution helvétique interdisant la construction de nouveaux minarets, soulevant un tollé dans le monde, et notamment dans les pays musulmans.
Une association musulmane avait déposé plainte pour discrimination devant la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) qui n'a pas encore pris position.
Les plus anciennes représentations des apôtres Pierre, Paul, Jean et André ont été découvertes à Rome dans les catacombes de sainte Thècle, un "caveau" situé à proximité de la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs.
Cette découverte, révélée au bout de deux ans de recherches et annoncée l'an dernier par L'Osservatore Romano, a été présentée officiellement le 22 juin 2010 lors d'une conférence de presse présidée par Mgr Gianfranco Ravasi, président de la Commission pontificale d'archéologie sacrée et du Conseil pontifical pour la culture.
Les catacombes de sainte Thècle sont situées sur la via Ostiense, dans le sud de la ville de Rome, à 500 mètres de la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs.
Les découvertes
Les représentations des apôtres ont été nettoyées au laser. C'est la première fois que cette technologie était utilisée par des restaurateurs dans un lieu aussi étroit et extrêmement humide.
Barbara Mizzei, responsable des travaux de restauration, a expliqué que cette découverte a été faite « à un moment particulier » où il n'y avait « aucune situation d'urgence ». Elle a expliqué que la couche de chaux qui couvrait les visages des apôtres « a été enlevée sans toucher à la pellicule picturale ». En effet, l'humidité a permis au laser de « toucher la couche comprimée de chaux » qui « se transformait et se vaporisait en provoquant une sorte de petite explosion qui entraînait le détachement ».
Contexte historique
Il semblerait que le cubiculum dans lequel ont été découvertes les représentations des apôtres ait servi de tombe à une femme apparemment noble, de l'aristocratie romaine, qui vécut à la fin du IVe siècle, à l'époque où l'on faisait à Rome les dernières tentatives pour défendre le paganisme, au temps de l'empereur Théodose.
Plusieurs dizaines d'années s'étaient écoulées depuis que l'empereur Constantin avait accepté le christianisme comme religion officielle de l'Empire [Ndlr. Edit de Milan, 313, qui donne la liberté de culte aux chrétiens]. C'était l'époque où la foi était arrivée aux niveaux les plus élevés de la hiérarchie de l'Empire romain. Les femmes pieuses et les vierges de l'aristocratie romaine promirent un culte aux martyrs et aux apôtres, à l'époque du pape Damase I (366-384).
Selon Mgr Ravasi, la présence des apôtres dans ce sépulcre « évoque une sorte de dévotion et de protectorat alternatif par rapport à celui des martyrs romains qui apparaissaient de toute façon dans les tombes des familles ».
Mgr Giovanni Carrú, secrétaire de la Commission pontificale d'archéologie sacrée a souligné que ces travaux « ont redonné aussi bien aux experts qu'aux visiteurs, un patrimoine iconographique très important pour reconstruire l'histoire de la communauté des chrétiens de Rome qui, à travers les peintures qui décorent leurs cimetières, expriment leur culture, leur civilisation et leur foi ».
La Commission pontificale d'archéologie sacrée fut instituée par le pape Pie IX en 1925. Elle se consacre à la conservation des catacombes chrétiennes, à la restauration des oeuvres et aux fouilles. Depuis une vingtaine d'années elle soutient un projet de récupération du patrimoine pictural conservé dans les catacombes.
L'activité de cet organisme du Vatican a contribué à récupérer et connaître en profondeur les catacombes chrétiennes d'Italie ainsi qu'à valoriser un patrimoine culturel et religieux qui témoigne de la vie du christianisme depuis ses origines.
Sous le titre Crash du vivre-ensemble à Belleville, un témoin relate sur son blog ce qu’il y a vu dimanche 20 juin 2010
Je me demande pourquoi je me fatigue à créer des fictions délirantes vu que la réalité a trois longueurs d’avance.
Cet après-midi, j’ai assisté à la manifestation contre l’insécurité organisée par la communauté asiatique de Belleville.
Qu’une communauté se voit contrainte d’organiser un tel rassemblement, vous avouerez qu’en soit c’est assez notable.
Mais en plus, entendre les manifestants, pour peu qu’on prenne la peine de discuter avec eux, désigner sans problèmes l’origine ethnique de leurs agresseurs, c’est vraiment la preuve - si l’en fallait une – que nous assistons à l’éclatement de l’idéologie multiculturelle, le vivre-ensemble. Je n’en dis pas plus, je laisserai les Chinois s’exprimer.
D’abord tranquille, la manif a dégénéré et carrément tourné à la ratonnade anti-racailles à plusieurs reprises. Sans les gendarmes mobiles, nous aurions eu de graves affrontements ethniques à Paris. Vous pouvez me croire, j’y étais. Voici donc ce qu’on ne vous dira pas dans la presse nationale.
Scène surréaliste, des milliers d’asiatiques marchent contre l’insécurité entre Belleville et Colonel Fabien. Esprit familial et bon enfant, mais très remonté quand même.
On se prend à rêver que les Français fassent de même.
Vaste programme n’est-ce pas ?
Un peu plus loin, les bobos vaquent à leur occupations de bobos. Pas de solidarité avec les camarades immigrés Chinois ?
Très peu de blancs dans la manif. Aucun noir, aucun arabe.
Premier incident. Le type à droite vient de se faire éclater la tronche par cinq jeunes Chinois. Il est de type oriental.
Ses agresseurs ont pris rapidemment la fuite. A droite, une bande de racailles ne perd pas une miette de la scène. On sent que ça va être une journée difficile pour le vivre-ensemble.
Les flics arrivent et entourent la victime. J’essaie d’en savoir plus. Une journaliste au look bobo qui a vu la scène est en colère. Elle lance au type « N’en rajoutez pas dans la provocation, vous les avez provoqués, aussi. »
Un veil arabe s’approche de moi :
« Pourquoi ils ont fait ça ? A cinq contre un, si c’est pas malheureux »
« Qui a fait ça, Monsieur ? »
« Les Chinois. C’est eux. »
Deuxième incident qui va faire dégénérer la manif. Un grand mouvement de foule, une course-poursuite. Des manifestants s’engouffrent dans une rue adjacente, à la poursuite de quelques racailles. Les flics arrivent en vitesse.
En bas de la rue, un commissariat. Les esprits sont chauffés à blanc. Les Chinois traitent les policiers de racistes.
Plus tard, on m’apprendra qu’un voyou avait volé quelque chose à un Chinois et que les flics « avaient protégé le voleur ».
Rumeur, déformation… Difficile de savoir.
Au bout de la rue, il y a une cité, une « cité de jeunes ». Les gendarmes bloquent l’accès. Les Chinois veulent passer.
Voici ce qui se passe au même instant, dans mon dos. Des black-beur inquiets. J’entends dire :
» Ils ont couru après des gamins. C’était des petits… »
Deux racailles arrivent peu après. Profil bas. Je leur demande, s’ils savent ce qui vient de se passer.
« Non, on vient d’arriver, M’sieur. »
Ils ont la trouille.
Les Chinois s’en prennent alors au commissariat. Les flics ferment en vitesse les rideaux métalliques.
Plus tard, des manifestants me diront leur ras-le-bol de voir ceux qui les agressent systématiquement libérés. Ils se sentent abandonné par la police et la justice.
Pas une raison pour attaquer un commissariat.
Les flics sont assiégés. Ils décident de contre-attaquer. Balancent des lacrymos et des coups de matraques à la volée, sans distinction.
Honnêtement, on ne peut pas leur en vouloir. Il faut un sang-froid extraordinaire pour faire la part des choses quand on est assiégé.
Les gendarmes mobiles arrivent et libèrent le commissariat. L’un d’entre eux dégueule, à cause des lacrymos.
Tout autour, l’ambiance est électrique. Les racailles commencent à arriver. Ils ont le regard haineux et l’envie de casser du jaune. Un black aboie une insulte à un gendarme. Celui-ci ne fait rien mais ne le quitte pas des yeux.
Et maintenant nous voilà rue de Belleville. Les manifestants chinois restants sont là pour la bagarre. Il a suffit que quelques uns d’entre eux se fassent arrêter par les forces de l’ordre pour que les autres exigent leur libération. Nous sommes désormais dans le cadre plus banal, d’un affrontement flics/casseurs. Les flics focalisent l’attention et l’hostilité de tous.
Les gendarmes mobiles font un travail admirable, très pro, avec beaucoup de retenue.
Je discute avec de jeunes étudiants asiatiques :
« On en a marre de l’insécurité. Ça fait des années que ça dure. C’est toujours les mêmes. Nous on bosse, on est tranquille, on respecte la loi. Eux, les arabes (et blacks), ils ne bossent pas, ils ne font rien. On ne veut plus se laisser faire »
Ils s’expriment sans le moindre complexe, à haute voix. Des arabes écoutent et ne disent rien.
Quelques gauchistes font les malins, mais le cœur n’y est pas vraiment. Des bobos en vélib interrogent les passants.
Ils n’en reviennent pas de voir une manifestation contre l’insécurité. J’en entends plusieurs qui me disent « J’habite dans le quartier et je ne me suis jamais senti en insécurité. » « Demandez aux Chinois » je leur réponds.
Certains abrutis critiquent la police. Ils ne comprennent pas. Ils ne comprennent rien. Ils ne comprennent pas que si la gendarmerie mobile n’avait pas été là, ils auraient eu une chasse aux bougnoules et aux nègres dans les rues de leur cher paradis multiculturel.
Ce que je leur fais savoir, avec des mots choisis, pour ne pas éveiller le soupçon d’être un agitateur d’extrême-droite. Leur bêtise m’accable.
Plusieurs voitures renversées, feux de poubelle, mobilier urbain cassé. Comme si on avait besoin de ça, voici les racailles chinoises maintenant. J’ai vu des habitants du quartier, du haut de leur balcon, gueuler contre les casseurs et se prendre une volée de bouteilles.
En haut de la rue, une femme blanche ou vaguement orientale, hurle : « C’est de la folie ! C’est de la démence ! A quoi ça sert de courir après des noirs, comme ça ! » Apparemment je viens de rater un grand moment de joie multiculturelle.
Un vieux bobo un peu réac la tempère. « Il faut comprendre qu’ils en ont ras-le-bol, Madame »
Elle désigne un Chinois à blouson noir, et l’accuse de l’avoir frappée.
A un moment donné, trois ou quatre jeunes noirs filent devant moi comme des fusées. Ils sont poursuivi par des dizaines, puis des centaines de manifestants. Pas le temps de prendre des photos. Les flics réagissent immédiatement par des tirs de lacrymos. Tout le monde se disperse.
Plus tard, on voit ici et là des racailles en petits groupe, armés de bâton, comme sur cette photo.
Il s’agit d’une partie à trois. Les flics contre les casseurs chinois. Les racailles contre les flics, ... Et les Chinois contre les racailles. Je me doute bien que les médias occulteront ce dernier point.
Les jeunes noirs que vous voyez sur cette photo vont se faire attaquer dans quelques minutes par les Chinois. Ambiance pré-guerre ethnique. Les flics derrière vont immédiatement lancer leur lacrymos, et tuer dans l’œuf la bataille rangée.
Il est temps de rentrer. J’ai vu quatre ratonnade anti-racailles, sans compter celle dont j’ai entendu parler. Et tout ce que je n’ai pas vu.
Belleville, symbole multiculturel parisien dont les bobos raffolent, a montré aujourd’hui ce qui attend la France.
Tant que la Police réussit à focaliser toute la haine sur elle, alors tout va bien.
Le jour où elle sera débordée, nous aurons une guerre civile ethnique.
"Fdesouche", arrière-loge du B'Naï B'Rith ? Les preuves s'accumulent.
Vendredi 18 juin 2010 une manifestation "Apéro Saucisson Pinard" anti-islamisation avait lieu à l'appel des identitaires du Bloc identitaire et des extrême-gauches de "Riposte laïque", "Fdesouche.com" en fit largement l'écho et la promotion.
Or, sur le site de "Riposte laïque" on trouve une page intitulée "Liens" et en site amis" on trouve... le B'Naï B'Rith Paris".
Le site "Fdesouche.com" ferait-il donc lui aussi partie de la galaxie B'Naï B'Rith ?
-------------------------------
- "Apéro saucisson pinard" et "Plan B" : à boycotter.
- La "Déclaration des droits du Français de Souche"
- Fdesouche supprime un article
- La direction du FNJ face à ses propres contradictions
- Judéo-maçonnerie : le B’nai Brith de Francfort a 120 ans
- Le B’nai B’rith s’oppose à la réhabilitation des catholiques traditionalistes par le Vatican
- Le B'naï B'rith, le CRIF, la volonté générale et le Front national
David Rachline, coordinateur national du FNJ, était présent à l'apéro organisé par différentes associations en lutte contre l'islamisation de la France.
E-Deo s'étonne "à la suite des jeunes avec Gollnisch, de la présence de David Rachline aux côtés de personnalités politiques et d'associations qui, à l'instar de Riposte Laïque, combattent le Front National, voire qui lui suscitent des concurrents lors des élections, comme c'est le cas du Bloc identitaire. Nous nous en étonnons, dit-il car nous nous souvenons que ce même David Rachline, ... avait évincé les cadres FNJ présents au congrès du Renouveau Français sous le prétexte que s'y trouvaient des éléments hostiles au Front National. Pas moins sans doute qu'à la manifestation à laquelle il s'est rendu. A la différence cependant que le RF est une association nationaliste -ce qui n'est sûrement pas le cas de Riposte Laïque- et qu'il n'a jamais présenté de candidats contre le Front, offrant au contraire une tribune à ses responsables à l'occasion de leur congrès. Allez donc y comprendre quelque chose..." Source : http://e-deo.typepad.fr/mon_weblog/2010/06/la-direction-du-fnj-face-%C3%A0-ses-contradictions.html
Les Jeunes avec Gollnisch disent ne pouvoir "que se réjouir de voir certains de tous horizons Français vouloir s’opposer à l’islamisation de la France." Cependant, il aurait "été plus heureux encore de voir ces Français s’attaquer à la cause du problème: l’immigration de peuplement qui se substitue au substrat ethnique de notre nation. Ce qui n’est pas du goût de certains organisateurs qui, décidément, préfèrent la république à la France, c’est-à-dire au pays réel.
... Ultime questionnement: le coordinateur national du FNJ suivra-t-il sa propre logique qui est d’exclure les frontistes allant à la rencontre de personnes encartées ailleurs? Auquel cas, il devra se convoquer lui-même en vue de se remercier…".
Écrit par Xavier Moreau
Vendredi, 18 Juin 2010 00:00
Partie 1/2. Catholiques et Orthodoxes.
L'accession du cardinal Ratzinger à la papauté a accéléré le processus de rapprochement entre l'Eglise catholique et l'Eglise orthodoxe. Cette réconciliation, après 1000 ans de disputes, pourrait devenir réalité, tant elle est souhaitée par les patriarches de Russie, de Serbie, de Constantinople, de Chypre et le pape Benoit XVI. Elle est en outre, ardemment désirée par le pouvoir russe, qui cherche ainsi à désarmer un levier, que la puissance anglo-saxonne [Ndlr. Etats-Unis-Allemagne] a su utiliser avec habileté ces vingt dernières années.
Si l'origine de la querelle est théologique, la fracture entre l'Europe occidentale et orientale ne repose pas exclusivement sur la fameuse querelle du « filioque » [Ndlr. Le Saint-Esprit procédant du Père et du Fils]. Pour les orthodoxes et les catholiques, la foi, les sacrements, l'importance de la tradition sont les mêmes. Le Schisme s'est comporté pendant 1000 ans comme un organisme vivant, se nourrissant de querelles religieuses, mais aussi des conflits entre états catholiques et orthodoxes. C'est justement la multiplicité des acteurs, à la fois religieux et politiques, qui a rendu quasi-impossibles les tentatives de rapprochement, jusqu'à aujourd'hui. On peut distinguer dans l'histoire de ce schisme, trois grandes périodes jusqu'à la chute du communisme. La première qui s'écoule du VIIIème au XVème siècle, couvre la naissance et l'aggravation du conflit. La seconde, qui correspond au développement séparé des deux Eglises s'étend jusqu'à la Révolution russe. La dernière couvre les deux guerres mondiales et prend fin en 1991, à la disparition de l'Union Soviétique.
La chrétienté des Xème et XI siècles s'est construite autour de deux ensembles politiques issus de l'Empire romain, l'un latin et l'autre oriental. A cette époque la civilisation est en Orient. Les peuples qui composent l'Europe occidentale sont considérés comme des barbares par les Byzantins. Anne de Kiev, qui devient Reine de France en 1051, en épousant Henri Ier, est frappée par la rusticité de la cour de ce dernier. Tandis que Constantinople rayonne encore de l'héritage de l'Empire romain, les chrétiens latins s'efforcent de rivaliser avec la grandeur byzantine. Ils ont pour eux la jeunesse et la vigueur de leurs peuples. Alors que le fondateur des Carolingiens s'est illustré, en 732, en écartant définitivement le péril arabo-musulman à Poitiers, que les Espagnols poursuivent leur « Reconquista », la vieille puissance byzantine résiste mal aux coups des Arabes, puis des Turcs. Du côté latin, la papauté qui siège à Rome veut affirmer sa primauté sur Constantinople en tant qu'héritière du trône de Saint Pierre. Au VIIIème siècle, l'Eglise romaine a rajouté de manière unilatérale, le fameux « filioque » au CREDO chrétien. Les Catholiques professent donc que le Saint-Esprit procède du Père et du Fils. Ce que reprochent surtout les chrétiens orientaux, c'est l'unilatéralité de la décision romaine, prise sans consulter les autres patriarcats. Le pape a rompu la « Sobornost », notion extrêmement importante pour les chrétiens orientaux, proche de la « collégialité ». En 1054, la rupture théologique est consommée. Cette querelle doctrinale aurait pu prendre une moindre importance, sans l'orgueil des clercs de part et d'autre, et surtout, sans le déroulement catastrophique des croisades.
La deuxième moitié du XIème siècle est marquée dans l'empire romain d'Orient, par la volonté de l'empereur Alexis Ier Comnène, de restaurer la puissance byzantine, notamment contre l'invasion des Turcs Seldjoukides. La faiblesse de son armée pousse Alexis Ier à demander de l'aide au pape Urbain II, pour recruter des mercenaires occidentaux. Emu par le sort des chrétiens orientaux, le pape Urbain II appelle à la croisade en 1095. Cet appel rencontre un écho exceptionnel dans une Chrétienté latine avide de pèlerinages et brûlant de libérer le tombeau du Christ. Pourtant, ce qui aurait du restaurer l'Union des deux Eglises, contre l'ennemi commun, contribue à renforcer l'hostilité voire la haine entre les deux peuples chrétiens. Les armés croisées se montrent souvent indisciplinées et surtout incontrôlables par le pouvoir byzantin. Elles s'attirent l'hostilité et la méfiance des populations chrétiennes de l'Empire romain d'Orient. L'irréparable est commis lors de la IVème croisade en 1204. Le doge de Venise exige la prise de Constantinople en échange du transport de l'armée croisée vers la Terre Sainte. Après maintes péripéties, la ville est mise à sac. Cela constitue une perte immense pour l'Empire byzantin, et ruine définitivement ses espoirs de repousser les envahisseurs musulmans. Plutôt que d'avoir sauvé les chrétiens d'Orient, les croisés latins les ont condamnés à la « dhimmitude ». Une ultime tentative de réconciliation a lieu en 1439. A Florence, un concile œcuménique parvient à réunir le pape, le patriarche de Constantinople et le Métropolite de Moscou, Isidore de Kiev. Les trois parties s'entendent, mais ni les Byzantins, ni le Grand Prince de Moscou, Vassili II, ne veulent de cet accord. Ce dernier enferme Isidore de Kiev dans un couvent en 1441. Cet événement, ainsi que le mariage, en 1472, de son fils, Ivan III, avec Sophie Paléologue, nièce du dernier empereur byzantin, font de Moscou la troisième Rome. Le monde orthodoxe suit désormais une sorte de développement séparé où la Russie est la puissance dominante. A la fin du XVème siècle, les deux confessions commencent à s'étendre géographiquement, l'une par la conquête du nouveau monde, l'autre par la poussée russe vers l'Orient.
Les relations avec la papauté sont désormais quasi systématiquement conflictuelles. La menace militaire polonaise, que subit la Russie à sa frontière du nord-ouest contribue à cet état de fait. Pourtant, Ivan le Terrible demande au Vatican, en 1580, d'intercéder pour obtenir une paix négociée avec le roi de Pologne. Le pape dépêche un émissaire jésuite, le père Antonio Possevino, en espérant la réconciliation des Eglises et la levée d'une nouvelle croisade. Antonio Possevino fournit un récit détaillé de son voyage en Russie de 1581 à 1582. Ivan le Terrible se montre hermétique à toute idée de rapprochement, même s'il concède quelques libertés de circulation aux catholiques. Possevino négocie la paix de Jam Zapolski en 1582, à laquelle les Polonais mettront fin en prenant Moscou en 1605. Possovino estime que la réconciliation des deux Eglises est impossible et recommande la conversion par la création d'Eglises orientales rattachées à Rome. Les Jésuites seront d'ailleurs trè
s actifs dans ce processus qui s'est mis en place depuis le XIIème siècle. Ces Eglises orientales ou gréco-catholiques ou encore « uniates » constituent jusqu'à aujourd'hui une des principales pommes de discorde entre Catholiques et Orthodoxes. Le XVIIème siècle voit ainsi se prolonger le développement séparé des deux églises. Au XVIIIème siècle, alors que l'ordre catholique traditionnel vacille en Occident, sous les coups des philosophes des lumières, les Russes l'emportent successivement sur les protestants suédois et les catholiques polonais. Sous Catherine II, ils commencent à porter des coups décisifs à l'Empire ottoman qui amorce son déclin.
Le siècle suivant est marqué par la suprématie russe sur les Turcs et par la libération des peuples chrétiens orientaux du joug musulman. Dans le même temps, les chrétiens latins et orientaux doivent faire face à une nouvelle menace : l'athéisme, né de l'Europe des lumières et de la Révolution française. La déchristianisation qui a commencé en France dès les premiers moments de la révolution inquiète particulièrement l'empereur Alexandre Ier. Les révolutionnaires français inaugurent les premiers massacres de masse, qui inspireront Lénine 120 ans plus tard. L'Empereur russe met en place, après le Congrès de Vienne de 1815, la Sainte Alliance sensée unir les princes chrétiens contre les dangers des idées révolutionnaires. Tandis que l'orthodoxie se renforce politiquement sous la houlette de la Russie impériale, le XIXème siècle est pour l'Eglise catholique synonyme de persécutions en Europe. C'est aussi pour elle, le siècle de la rédaction de textes fondamentaux sur sa doctrine, notamment la doctrine sociale. En 1891, l'encyclique Rerum Novarum apporte la seule réponse alternative sociale au marxisme et à la lutte des classes. Elle reste sans équivalent dans l'Eglise orthodoxe jusqu'à la chute du communisme. Ce développement de la doctrine catholique est accompagné par le renforcement de la hiérarchie vaticane. L'affirmation en 1870, de l'infaillibilité pontificale, creuse un peu plus le fossé entre catholiques et orthodoxes, même si celle-ci ne fut invoquée qu'une fois en 140 ans. Ainsi le XIXème siècle semble achever la séparation des deux Eglises, qui vont affronter en ordre dispersé les formes les plus sanglantes et inhumaines de l'athéisme, le communisme et le nazisme.
L'autocratie impériale et l'orthodoxie échouent contre les tendances anarchistes et révolutionnaires qui trouvent en Russie un terreau particulièrement favorable. Netchaïev, Bakounine, Kropotkine sont les précurseurs ; Lénine, Trotski et Staline, les exécuteurs fanatiques. Pendant les 70 ans de communisme qui s'abattent sur la Russie, la question du rapprochement des Eglises disparaît. L'Eglise orthodoxe est persécutée, même si la Grande Guerre Patriotique force Staline à rouvrir les Eglises. Etroitement contrôlée, l'Eglise orthodoxe parvient alors à se maintenir tant bien que mal. Cette soumission au pouvoir communiste lui sera reprochée, notamment par les Catholiques. Les Eglises uniates roumaine et ukrainienne lui sont rattachées de force.
En Occident, l'Eglise catholique, qui s'est remarquablement comportée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, est déstabilisée à partir du concile Vatican II, en 1962. Les clergés français, allemand et latino-américain, conquis par la théologie de la libération et les influences protestantes, s'éloignent de l'enseignement traditionnel de l'Eglise catholique. Le théologien brésilien, Leonardo Boff, déclare que « la barbe de Fidel Castro se confond avec celle des apôtres». Il est sanctionné en 1984 par la « Congrégation pour la doctrine de la foi », présidé par le cardinal Joseph Ratzinger. Ce désordre inquiète les Eglises orthodoxes. Pourtant le concile Vatican II réaffirme la proximité des deux confessions et rappelle que « les Eglises d'Orient possèdent depuis leur origine un trésor auquel l'Eglise d'Occident a puisé beaucoup d'éléments de la liturgie, de la tradition spirituelle et du droit (...) les dogmes fondamentaux de la foi chrétienne sur la Trinité, le Verbe de Dieu, qui a pris chair de la Vierge Marie, ont été définis dans des conciles œcuméniques en Orient.»
A la chute du communisme en URSS, les églises se remplissent massivement, 70 ans de matérialisme communiste ne sont pas venus à bout de la foi orthodoxe. Elle se retrouve, comme l'Eglise catholique depuis 30 ans, à devoir faire face au matérialisme libéral. La réconciliation est immédiatement à l'ordre du jour et semble possible. C'est sans compter avec les politiques impériales allemande et américaine, qui ont décidé d'utiliser cette fracture civilisationnelle pour accomplir leurs objectifs géopolitiques en Europe, quitte à mettre au passage, la Yougoslavie à feu et sang.
Source : http://realpolitiktv.com/editos/geopolitique-du-christianisme-catholiques-et-orthodoxes
--------------------------------------------
- Un nouveau signe du rapprochement avec le patriarcat de Moscou
- La nouvelle doctrine de défense russe
- Medvedev: "La Russie ne doit pas être une république parlementaire. Ce serait fatal"
- Une vidéo montrant l'évolution des esprits en Russie
- La conversion de la Russie devient fête nationale
- Le tsar Nicolas II réhabilité par la justice russe
- La Russie réhabilite le jeune frère du dernier tsar et une soeur de la dernière tsarine
- Poutine : "La religion chrétienne renforce la Russie"
- Miracle en Russie : croix solaires dans le ciel de Moscou et Saint-Petersbourg (janvier 2010)
- Poutine réhabilite les Russes blancs
- Renouveau religieux en Russie
- Svetlana Medvedeva communie des mains du patriarche Cyrille
- Moscou (ou la renaissance de l'orthodoxie)
- Medvedev à Paris : le front collé contre une icône de la Sainte Vierge
Mercredi 5 mai dernier, l’ancien premier ministre Dominique de Villepin a été reçu par des francs-maçons. Le but de la rencontre était de présenter ses positions sur la république, l’État, la nation, l’Europe et la citoyenneté.
La franc-maçonnerie se crée sa propre représentation et ses propre partis.
Plusieurs obédiences maçonnes étaient représentées.
Il est raisonnable de penser que cela fait partie de manœuvres pré-électorales en vue de 2012, tant le poids des différents groupes occultes est important en démocratie. La maçonnerie n’étant pas des moindres.
Un hasard sans doute, ce samedi après-midi, après que Dominique de Villepin ait pris ses directives chez les "frères" trois points, 2.500 personnes à la Halle Freyssinet à Paris, ont lancé le «mouvement» "République solidaire" qui doit le porter jusqu'en 2012.
Révélations sur nos origines
Il est loin le temps où l'homme pensait descendre du singe. La génétique vient de révéler que nous sommes issus à la fois de Neandertal et d'Homosapiens. Mieux : un nouveau cousin est apparu en Sibérie... Notre grande famille n'en finit pas de se recomposer.
Six mai 2010. L'information tourne en boucle sur les radios et les télévisions du monde entier. Publiés dans la célèbre revue américaine Science, les travaux de l'Institut Max-Planck de Leipzig (Allemagne) et du Pr Richard E. Green de l'université de Santa Cruz (Etats-Unis) font l'effet d'une bombe. «Nous pouvons désormais dire que, selon toute vraisemblance, il y a eu transfert de gènes entre les néandertaliens et les humains», annonce calmement Richard E. Green. Ce n'est pas l'arrivée des Martiens surTerre,mais tout de même! Celui qu'on a longtemps regardé comme un vague cousin un peu brutal s'impose comme l'un de nos «papas». Quelque 2 % de ses gènes se retrouvent dans le patrimoine génétique des Eurasiens, des populations originaires d'Europe ou d'Asie.
Il ne se passe plus une semaine sans qu'une étude ajoute une nouvelle pièce au puzzle de l'histoire de nos origines. Dernières en date? La découverte d'une nouvelle espèce de dinosaure à cornes géantes au Mexique. Encore plus excitante:la mise au jour d'une simple phalange d'un auriculaire d'hominidé dans une caverne à Denisova, dans l'Altaï sibérien. Parmiracle, il a été possible de recueillir un fragment d'ADN de cette phalange. Son analyse, révélée fin mars dans la revue Nature, passionne la communauté scientifique. «Le petit homme de Sibérie», comme l'appelle Yves Coppens, est vieux de 40 000 ans. Pourtant, il n'apas les mêmes caractéristiques génétiques que ses contemporains Homo sapiens et Neandertal.
Cela prouverait que l'homme de Denisova ne serait issu ni de la grande migration venant d'Afrique des ancêtres de Neandertal, il y a 500.000 à 300.000 ans, ni de celle de l'homme moderne, Homo sapiens, il y a 50.000 ans. Une découverte qui montre l'émergence d'un nouveau type d'hominidé.
Une fois de plus, c'est l'Institut Max- Planck qui est à l'origine de cette révélation. Ce laboratoire de Leipzig est devenu, en quelques années, la Mecque de l'anthropologie évolutive et Svante Pääbo, le directeur de son département de génétique, le nouveau gourou du décryptage de l'ADN ancien.
L'exercice privé comme communautaire du droit à la liberté religieuse peut être blessé par la conception moderne et "révolutionnaire" de la "laïcité".
Le 16 juin à La Havane, le Secrétaire pour les relations avec les états, Mgr Dominique Mamberti, lors de l'inauguration de la Semaine sociale catholique de Cuba, traitant de la laïcité de l'Etat, a souligné combien le terme, hier comme aujourd'hui, concerne avant tout l'Etat.
"Sans l'Evangile, il n'y aurait pas eu de distinction fondamentale entre ce que l'homme doit à Dieu et ce qu'il doit à César, au pouvoir civil... Le mot laïcité dérive de laïc, qui est d'origine ecclésiale". Est laïc qui n'est pas clerc, tel est le sens primitif. Au Moyen Age, "les souverains rejetant la soumission au Pape n'étaient pas pour autant hors de l'Eglise. Même lorsqu'ils entendaient contrôler leur Eglise nationale, ils n'avaient pas la volonté de se séparer de l'Eglise ou de l'exclure de la société. A partir des Lumières, puis dramatiquement lors de la Révolution française, la laïcité prend un sens différent, celui d'une opposition radicale dans la vie sociale entre civil et religieux" [Ndlr. alors que jusque-là, bien que distingués, ils coopéraient au Bien commun].
"La laïcité est souvent utilisée de nos jours pour entraver la vie et les activités de l'Eglise, qui ne saurait exister sans le christianisme. Comme d'autres valeurs de la modernité, le respect de la dignité de la personne ou le droit à la liberté et à l'égalité, elle est souvent invoquée pour critiquer l'Eglise et plus largement la religion. Alors même que ces valeurs sont largement le fruit de l'influence de l'Evangile dans la culture, même si plus tard on les a distinguées de leur origine chrétienne. Dans nombre de constitutions civiles la laïcité est un principe fondamental, en particulier pour ce qui touche aux rapports de l'Etat avec la dimension religieuse du citoyen... On ne saurait oublier qu'au nom de ce principe on prend parfois des décisions et élabore des lois qui blessent l'exercice privé comme communautaire du droit à la liberté religieuse... L'absence de subordination logique et ontologique de la laïcité au principe du respect absolu de cette liberté fondamentale, met cette dernière en grand danger... Paradoxalement, l'Etat ne devient ainsi pas vraiment laïque car il fait de la laïcité sa valeur suprême, une idéologie dominante qu'il transforme en une sorte de religion, avec ses rites et ses liturgies civiles".
Il faut donc réaffirmer, a poursuivi Mgr.Mamberti, "le droit absolu à la liberté religieuse. Le respecter ne signifie pas seulement ne pas s'y opposer ou seulement permettre une adhésion intérieure à la foi. Il s'agit de respecter fondamentalement l'acte personnel qui ne réduit pas la position de l'Etat par rapport à la dimension religieuse. Comme la personne, la foi besoin de s'extérioriser au monde, d'être exprimée personnellement comme collectivement...."
A quelques jours de la première audience de la Cour européenne des droits de l'homme sur le recours présenté par l'Italie qui revendique le droit d'exposer le crucifix dans les lieux publics, prévue pour le 30 juin (cf. Zenit du 1er juin 2010), les évêques d'Europe rappellent l'importance du respect des sentiments religieux des populations et des traditions des nations.
Pour la première fois dans l'histoire de la Cour européenne des droits de l'homme (ECHR), 10 Etats membres, dont la Russie, interviennent simultanément comme « tierce partie » dans une affaire, la fameuse affaire Lautsi, ou « l'affaire du crucifix », sur l'interdiction du crucifix dans les salles de classe, qui sera examinée par la Grande Chambre de la Cour, le 30 juin.
La Cour a transmis ce mardi la liste de ces Etats au Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ). Il s'agit de l'Arménie, de la Bulgarie, de Chypre, de la Grèce, de la Lituanie, de Malte, de la principauté de Monaco, de la République de Saint-Marin, de la Roumanie et de la Fédération russe.
Ces dix membres (sur les 47 que compte le Conseil de l'Europe), ont formellement demandé à la Cour d'être officiellement « tierce partie » dans la procédure devant la Grande Chambre de la Cour.
Le statut de « tierce partie », également connu sous le nom de « Amicus curiae » permet aux Etats de devenir officiellement partie dans une affaire et de soumettre leurs observations écrites et orales à la Cour.
Ils interviennent tous en faveur de l'Etat italien, dans l'espoir que l'on revienne sur la décision du 3 novembre dernier. Aucun Etat n'est intervenu (ni aucune ONG) pour soutenir la sentence interdisant le crucifix.
Plusieurs Etats (outre les dix Etats ayant demandé à intervenir comme tierce partie) s'étaient prononcés contre la sentence de novembre, même publiquement, comme l'Autriche, intervenue le 19 novembre et la Pologne, intervenue le 3 décembre.
« L'affaire Lautsi est unique et sans précédent. Dix Etats sont en effet en train d'expliquer à la Cour quelles sont les limites de sa juridiction ; quelle est la limite de sa capacité de créer de nouveaux 'droits' contre la volonté des Etats membres. Ceci peut être vu comme une sorte de contre pouvoir », ajoute Grégor Puppinck, directeur du ECLJ.
Pour les évêques bulgares « personne ne met en doute le fait que les racines d'Europe soient chrétiennes et que la civilisation européenne existe grâce au christianisme ».
... Les évêques grecs affirment quant à eux que « la condamnation de l'Italie par la Cour Européenne, pays historiquement et culturellement chrétien, de tradition catholique, ayant comme capitale Rome, où se trouve le siège de l'Evêque de Rome et le centre de l'Eglise catholique, est le début d'une série de procédures qui se dessinent à l'horizon et se réfèrent au refus de certains chefs politiques et de représentants des pays de la communauté européenne, de reconnaître à la Constitution européenne les racines chrétiennes du continent européen ».
« Une petite minorité ne doit pas empêcher l'écrasante majorité dans l'exercice de sa foi religieuse, selon les traditions de ce peuple », affirment-t-ils. Pour eux, le fait d'interdire l'exposition de symboles religieux « constituerait une contradiction et une négation de l'héritage religieux et culturel d'un pays, où prennent source leurs racines et le fondement de leur avenir ».
Dans un texte signé par le vice-président de la Conférence épiscopale albanaise, Mgr Angelo Massafra, les évêques albanais affirment, toujours selon Radio Vatican, que « toute nation a le droit-devoir de sauvegarder les signes religieux et les symboles typiques de sa culture ». Ils expliquent que « dans la culture et la tradition chrétienne, la croix manifeste le salut commun et la liberté de l'humanité, une expérience qui n'est pas imposée, le plus haut degré d'altruisme et de générosité uni à une profonde solidarité offerte à tous ».
Sources :
- http://visnews-fr.blogspot.com/2010/06/semaine-sociale-catholique-de-cuba.html
- http://www.zenit.org/article-24787?l=french
-------------------------------------------------
Osservatore vaticano s'interroge en résumant parfaitement la situation : "La phobie anti-crucifix de la CEDH va-t-elle nous sortir de la "pastorale de l'enfouissement" ?
Les juges laïcards de la Cour européenne des droits de l'homme vont peut-être réussir le tour de force de réaliser l'union sacrée de tous les chrétiens (au-delà même du cercle des catholiques)!
A quelque jours de la première audience sur le recours présenté par l'Italie contre la prohibition des crucifix (le 30 juin), bon nombre d'épiscopats européens, notamment des pays qui ont connu le joug soviétique, et plusieurs pays (y compris la Russie!), ont publiquement rappelé l'existence des racines chrétiennes de l'Europe et notre volonté de prendre une parole publique au nom de notre foi…
Si ce jugement inepte et inique peut être l'occasion de quitter enfin la désastreuse "pastorale de l'enfouissement", au nom de laquelle pendant des décennies nous avons renoncé à évangéliser, ce sera une excellente chose!
Ce 17 juin, Christ-Roi annule son message du 15 juin 2010 selon lequel nous ne devions pas "bouder" cette manifestation contre l'islamisation ou nous "y opposer publiquement". Les organisateurs de l'"Apéro saucisson pinard" ont pris soin de préciser ce même jour qu'ils veulent des drapeaux "sans marque dessus" (comme si le tricolore n'était pas déjà lui-même connoté...) Christ-Roi appelle donc à boycotter cet "apéro". On ne boit pas un verre avec des gens qui ne veulent pas de nous.
Edit. 17 juin, 17:34. Christ-Roi appelle à boycotter ces "apéros"-manifs qui comme par hasard, et miraculeusement surgissent le lendemain spontanément d'on ne sait où dans des villes moyennes (rapport au 14 juillet 1789 et à la "Grande peur"...) comme Valence, Amiens ou Douai, où "des initiatives similaires se multiplient". En revanche, libre à chacun de choisir de se rendre à ce type de manifs avec ses drapeaux du Sacré-Coeur ou drapeaux blancs fleurdelysés.
Edit. 18 juin, 10:00. Je souhaiterais rappeler quelques faits. En 1792, les Français firent la guerre à l'Europe pensant défendre la France, ils défendirent le drapeau de la Finance, le drapeau de "la Révolution de 1789".
En 1914-1918, les catholiques et les nationalistes ont pensé défendre la France en allant au front : ils moururent par centaines de milliers pour la "patrie révolutionnaire" (lire Les Deux Patries de Jean de Viguerie)...
Dans les années 30 les nationalistes dénoncèrent les cumulards de la Gauche républicaine, ses porte-parole Juifs, leurs affinités avec la Haute-finance et l'Hyper-capitalisme, leur politique anti-militariste conduisant au désarmement national... en 1940 après la guerre et la débâcle - qu'ils avaient été les premiers à annoncer malgré les insultes et les diffamations des républicains... -, ils se mirent aussitôt au service de la "Résistance" pour un système qui devait les conduire à la "Libération" de 1945 !...
Ce 18 juin 2010, les "identiraires" dénoncent l'"islamisation de la France" comme ils dénoncèrent dans les années 30 la "judaïsation"... Naturellement comme leurs ancêtres, à la recherche systématique de compromis et d'adoubement par le système, ils rejoignent l'extrême gauche laïcarde ("Riposte laïque") à bout de soufle, et leur tendant la main... Extrême-gauche laïcarde et républicaine qui pourtant a créé de toute force cette immigration-islamisation ces trente dernières années et ne se retourne contre cette immigration qu'uniquement parce qu'elle s'aperçoit qu'elle lui est néfaste pour sa survie et qu'elle doit rebondir dessus (ordo ab chao) pour renforcer le Régime en place (défense de la "laïcité", "défense de la République française"), ou disparaître...
"L’anti-islam met d’accord extrême droite et extrême gauche." (Jean-Yves Camus ) Leur appel à manifester en commun contre "l'islamisation de la société" est émouvant, il se réalise 70 ans après l'appel du 18 juin 1940 ! Les forces occultes demeurent apparemment toujours aussi puissantes pour manipuler les foules. Il y a vraiment des imbéciles qui ne comprennent rien à rien et qui décidément ne retiennent jamais les leçons de l'histoire.
Une dépêche du Figaro du 18 juin 2010 intitulée "Sarkozy revient aux fondamentaux du gaullisme" semble nous indiquer la route tracée par le Régime pour les prochains évènements. "Le chef de l'État célèbre vendredi à Londres le 70e anniversaire de l'appel du 18 juin 1940." A suivre...
-------------------------------------------------
Edit. 18 juin, 17:15. Voici les soutiens et sites amis de "Riposte laïque" avec lesquels certains "nationalistes" vont manifester ce 18 juin 2010 pour protester contre l'"islamisation de la société". Vous noterez sans surprise la présence entre autres de "Bivouac-id" (proche de "Fdesouche"...), la "Libre pensée"..., et la très démocratique loge juive intégriste "B'Naï B'Rith Paris"...
Source : http://www.ripostelaique.com/spip.php?page=liens
Athéisme
--------------------------------------------------------------
Dans un communiqué publié sur Novopress.info, les organisateurs de l'"apéro Saucisson pinard" le 18 juin à la Goutte d'Or interdit par la Préfecture de Police, annulent l'apéro prévu et passent au "plan B". Ils invitent "tous les Parisiens - et, au-delà, tous les Français qui le peuvent" à les "rejoindre place de l'Etoile, à l'angle de l'avenue des Champs-Elysées, vendredi 18 juin à 19 heures".
"C’est là que, le 11 novembre 1940, malgré la publication d’un communiqué de la préfecture de police affirmant qu’« aucune démonstration publique ne sera tolérée », deux mille lycéens et étudiants eurent le courage de se réunir pour défier l’occupant." (un petit coup au passage pour nous rappeler les "Heures Les Plus Sombres de Notre Histoire"..)
La justice a jusqu'à vendredi après-midi pour statuer sur le référé-liberté déposé par les organisateurs.
Les organisateurs rappelent "solennellement qu’aucun lieu public en France ne doit être régi par des lois religieuses".
Cette exigence est dangereuse car elle ostracise les chrétiens (processions interdites dans les rues, défense au pape de revenir aux invalides - 13 septembre 2008 -, défense aux tradis de faire la messe du lundi de Pentecôte à Montmartre...). Cela a l'air voulu (francs-maçons de Riposte laïque) et si cela ne l'est pas, il faut que les organisateurs fassent attention à ce qu'ils disent. Il va de soi qu'aucun chrétien ne peut cautionner cet athégrisme.
Les organisateurs indiquent en outre qu'ils n’acceptent "que des drapeaux français, sans marque dessus". Donc pas de drapeaux du Sacré-Coeur ni de drapeau blanc (!) : la France est née en 1789 apparemment !...
Ces organisateurs invitent donc "tous les Parisiens - et, au-delà, tous les Français" à s'associer à eux à condition qu'ils soient politiquement conformes !
Sources :
- http://fr.novopress.info/61125/communique-des-organisateurs-de-lapero-geant-a-la-goutte-dor/
-----------------------------------------------------------
Le drapeau tricolore frappé du Sacré-Coeur
Pendant la première guerre mondiale, en réponse à la demande adressée par Sainte Marguerite Marie, en 1675, plus de douze millions de drapeaux et fanions français ornés du Sacré Cœur de Jésus furent portés par les soldats, les régiments, etc.. En 1917, la République a interdit la consécration individuelle des soldats au Sacré Cœur et le port du Sacré Cœur.
-----------------------------------------------------------
Le drapeau blanc fut le drapeau français pendant la première et la seconde restauration (1814-1830).
Les medias se sentiraient-ils obligés de donner l'info au compte-goutte, petit à petit afin d'éviter d'affoler la population ? (Voir les videos ci-dessous, dont les infos recoupent la dépêche Afp de ce jour "Marée noire : des mails montrent la négligence de BP", mais dont la véracité quant au cataclysme annoncé est pour le moment impossible à vérifier). Quelques personnes bien informées ont réussi à vendre leurs actions BP quelques jours avant l'accident. Un hasard sans doute...
Marée noire : des mails montrent la négligence de BP
15/06/2010 | Mise à jour : 13:46
La commission d'enquête parlementaire sur la marée noire a dévoilé des documents internes qui montrent que la société a bradé la sécurité de sa plate-forme pour des raisons de coût.
A mesure qu'avance l'enquête parlementaire sur l'explosion de la plateforme Deepwater Horizon, la thèse de négligences coupables commises par BP ne fait que se renforcer. Dans un document rendu public lundi, les sénateurs Henry Waxman et Bart Stupak accusent le groupe pétrolier d'avoir sciemment pris des risques dans le golfe du Mexique par simple souci d'économie.
Les deux élus président la sous-commission d'enquête de la commission parlementaire de l'Énergie et du Commerce, chargée de faire la lumière sur l'accident à l'origine de la marée noire.
Pour mener à bien leur mission, ils ont examiné plus de 105.000 pages de documents internes de BP. Il y a trois semaines, leurs premières conclusions montraient que des employés du groupe pétrolier avaient ignoré trois avertissements annonçant l'imminence du danger, juste avant l'explosion mortelle de la plateforme.
Cette fois, dans une lettre adressée au président de BP, Tony Hayward, ils accusent la compagnie d'«avoir pris de nombreuses décisions pour des raisons économiques, qui ont augmenté le risque d'une défaillance catastrophique du puits». «L'enquête de la commission soulève de graves questions sur les décisions prises par BP dans les jours et les heures qui ont précédé l'explosion de Deepwater Horizon», écrivent-ils dans une missive de 14 pages, assortie de dizaines de documents.
Un puits "cauchemar"
Au moment de l'explosion le 20 avril, les parlementaires ont en effet découvert que BP était très en retard sur le calendrier du forage. Amorcé en octobre, celui-ci avait en effet dû faire face aux dommages causés par l'ouragan Ida. Or chaque jour de retard coûtait à la compagnie plusieurs centaines de milliers de dollars. «Il semble que cela ait créé une certaine pression, menant à prendre des raccourcis pour se dépêcher de terminer le puits», expliquent les parlementaires. En clair, la sécurité du puits a été «bradée pour des raisons de coût».
A l'appui de leurs accusations, les élus font état d'une série d'emails échangés entre des salariés du groupe. Le 14 avril, un ingénieur évoque ainsi un «cauchemar de puits». Dans un autre message daté du 16, un responsable de la compagnie reconnaît que des risques ont été pris mais conclut : «Qu'importe, c'est fait, fin de l'histoire, tout va probablement bien se passer».
«Si c'est réellement ce qui s'est passé, la négligence et la complaisance de BP ont eu un coût élevé pour le golfe, ses habitants et les personnes qui travaillaient sur la plateforme», écrivent Henry Waxman et Bart Stupak au directeur général de BP. Celui-ci, l'avertissent-ils donc, devra faire face jeudi à des questions difficiles lorsqu'il témoignera devant la commission. D'ici là, BP s'est refusé à tout commentaire sur ces nouvelles informations.
Bonne stratégie de Marine Le Pen qui (depuis l'échec de 2007) a choisi de durcir son discours contre l'islam et de rester sur ce durcissement, même si elle sait parfaitement qui est derrière l'organisation de l'Apéro géant "saucisson pinard" (les francs-maçons de Riposte laïque...), elle les double par la droite. Il faut être partout et ne pas laisser le terrain de la lutte anti-immigration aux francs-maçons... Comme certaines voix le voudraient.
Concernant la ligne du Christ-Roi, bien que cette manifestation ne soit pas organisée par des catholiques, nous ne devons pas la bouder (ou du moins nous ne devons pas nous y opposer publiquement) car si on ne fait rien maintenant ce sera trop tard dans vingt ans : ce n'est pas quand les musulmans seront devenus majoritaires dans certains quartiers (c'est déjà le cas...) que nous aurons la possibilité d'agir politiquement dans le respect de la loi...
Edit. d'un camarade : "tu devrai préciser que cet apéro est organisé un vendredi, et que le vendredi, la viande ( et donc le saucisson) est interdite;
donc aucun catholique ne peut participer à cela;;;;;
vin rouge / sardine ok!
ou
vin rouge/ saucisson le jeudi !"
Merci à mon frère Arnault pour ces précisions.
------------------------------------------------
Communiqué de presse de Marine Le Pen, vice-présidente exécutive du FN
La préfecture de police de Paris a interdit la tenue d’un apéritif géant « saucisson et pinard » qui devait se tenir le 18 juin dans le quartier parisien de la Goutte d’Or.
Sous la pression de la gauche communautariste et d’organisations politico-religieuses, l’État français capitule une fois encore, interdisant une manifestation parfaitement légale et ne troublant pas l’ordre public.
Ce même État se refuse depuis des mois à faire respecter la loi républicaine dans ces quartiers, autorisant la réquisition illégale par des musulmans de la voie publique pour organiser la prière du vendredi.
Incapable de s’attaquer à ceux qui remettent en cause l’ordre républicain, l’État cède à toutes les exigences communautaristes, acceptant de fait d’interdire une manifestation légale au prétexte incroyable qu’elle constituerait une provocation aux yeux d’une population qui bafoue, sans vergogne, chaque vendredi les lois de la République française !
Constitution apostolique Servatoris Jesu Christi de Pie XI (1925)
Constitution apostolique Per annum sacrum de Pie XII (1950)
les Actes du Synode romain promulgué par le Pape de Jean XXIII (1963)
la Déclaration de la Sacrée Congrégation pour la Doctrine de la Foi du Préfet Cardinal Joseph Ratzinger (1983)
"Quelques rues du centre de Paris sont égayées par de très belles robes de nos visiteurs marocains. Il y en a de vertes, il y en a de roses, il y en a de toutes les nuances. Certains de ces majestueux enfants du désert apparaîtraient « vêtus de probité candide et de lin blanc » si leur visage basané et presque noir ne faisait songer au barbouillage infernal. Que leurs consciences soient couleurs de robe ou couleur de peau, leurs costumes restent enviables : notre ami Eugène Marsan m'est témoin que le plus négligent des hommes serait capable des frais de toilette qui aboutiraient à ces magnifiques cappa magna, à ces manteaux brodés de lune et de soleil. Notre garde républicaine elle-même, si bien casquée, guêtrée et culottée soit-elle, cède, il me semble, à la splendeur diaprée de nos hôtes orientaux.
Toute cette couleur dûment reconnue, il n'est pas moins vrai que nous sommes probablement en train de faire une grosse sottise.
Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon. Il n'y a peut-être pas de réveil de l'Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l'on fait se trouve aussi être la plus vaine des choses. Mais, s'il y a un réveil de l'Islam, et je ne crois pas que l'on en puisse douter, un trophée de cette foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où enseignèrent tous les plus grands docteurs de la chrétienté anti-islamique représente plus qu'une offense à notre passé : une menace pour notre avenir. On pouvait accorder à l'Islam, chez lui, toutes les garanties et tous les respects. Bonaparte pouvait se déchausser dans la mosquée, et le maréchal Lyautey user des plus éloquentes figures pour affirmer la fraternité de tous les croyants : c'étaient choses lointaines, affaires d'Afrique ou d'Asie. Mais en France, chez les Protecteurs et chez les Vainqueurs, du simple point de vue politique, la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse. Quelqu'un me disait hier : — Qui colonise désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ?
J'aperçois, de-ci de-là, tel sourire supérieur. J'entends, je lis telles déclarations sur l'égalité des cultes et des races. On sera sage de ne pas les laisser propager trop loin d'ici par des haut-parleurs trop puissants. Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère.
Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l'amitié. Nous venons de commettre le crime d'excès. Fasse le ciel que nous n'ayons pas à le payer avant peu".
Charles Maurras, Action française du 13 juillet 1926.
Source : http://maurras.net/textes/113.html
Le juge des référés (tribunal de Nantes) a rendu sa copie: la Confédération des associations familiales catholiques n'obtiendra pas la communication des textes des "chansons" qui seront jouées par les 114 "artistes" programmés lors du "festival" de musique metal Hellfest ("fête de l'enfer"), événement programmé du 18 au 20 juin à Clisson.
Sources :
Video, et commentaire d'E-Deo :
Un débat déséquilibré (le député Poisson est seul contre Bobineau, Carlier et Fogiel), comme on en a l'habitude... :
On ne le rappellera jamais assez : 20 000 personnes sont attendues les 18, 19 et 20 juin 2010 à Clisson, pas 60 000 comme le disent les médias.
Ce n'est pas la première fois que le site de la Grotte Notre-Dame-de-Lourdes, route de Lorient à Plouay (Bretagne) est victime de malveillance, de dégradations, de vandalisme.
Mais cette fois l'autel a été « gravement profané ». Sa croix de marbre blanc a été brisée en trois morceaux à coups de lourdes pierres qui ont été retrouvées sur place. Le Christ en fonte, qui ne date que de l'an passé, est cassé. Par ailleurs, une demi-douzaine de poteaux destinés à soutenir les stations du Chemin de croix ont été brisés, d'autres ont été emportés. Ce sont des passants qui ont signalé ces méfaits récents.
Ce sont les membres du comité d’entretien du site de la Grotte Notre-Dame de Lourdes qui ont constaté des dégradations. La nouvelle a suscité une vive émotion dans le quartier. Quelques membres du comité d’entretien se sont réunis pour évoquer les mesures à envisager pour la protection de ce lieu de culte. Il n’est cependant pas question de fermer ce site «qui a pour vocation d’accueillir les fidèles». Excédés par les malveillances à répétition, des bénévoles ont décidé d’expliciter et de renforcer la signalisation de ce «terrain privé, propriété du diocèse de Vannes, à la charge de la paroisse de Plouay et réservé au recueillement». Ils se proposent d’exercer une surveillance accrue du site, car «les exactions ont assez duré. Cela devient vraiment pénible, voire irritant». Le préjudice pourrait avoisiner le millier d’euros. La mairie a été informée et une plainte a été déposée à la gendarmerie.
L’Observatoire de la christianophobie a contacté la mairie de Plouay. « M. le maire est actuellement sur Paris » nous a expliqué le policier municipal qui a « constaté les dégradations avec M. le curé et un adjoint du maire ». Selon le policier il s’agirait du fait de « grands gamins du coin » et pas d’un acte christianophobe... [Comme par hasard, c'est toujours la même chanson. On attend les indignations ministérielles et gouvernementales...]
Sources :
Le drapeau d'une mairie brûlé
Le drapeau français accroché sur la façade de la mairie de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) a été brûlé dans la nuit et remplacé par un drapeau algérien, a-t-on appris de source policière.
Dimanche soir, l'équipe nationale d'Algérie a été battue par la Slovénie, lors de la Coupe du monde de football.
Les faits ont été découverts ce matin à l'ouverture de la mairie, a précisé cette source.
Contactée, la mairie a annoncé avoir immédiatement déposé plainte.
La Chancellerie travaille actuellement à la rédaction d'un décret qui pourrait être publié avant l'été pour punir les outrages au drapeau tricolore.
Aujourd'hui, outrager publiquement les symboles de la République que sont l'hymne national ou le drapeau tricolore constitue bien un délit, mais uniquement lorsque le méfait est produit « au cours d'une manifestation organisée ou réglementée par les autorités publiques». Le coupable encourt jusqu'à 7.500 euros d'amende et plusieurs mois d'emprisonnement dans certaines circonstances.
À l'avenir, porter atteinte au drapeau français, même en dehors d'une manifestation, pourrait faire l'objet d'une contravention de 5e classe, au même titre par exemple, qu'une partie des violences volontaires (qui ne provoquent pas d'interruption de travail). L'auteur de l'atteinte pourrait risquer une amende allant jusqu'à 3.000 euros en cas de récidive, si le décret ne prévoit pas de spécificité. Les contraventions de 5e classe peuvent également être l'occasion, pour le tribunal de police qui statue, de prononcer des peines complémentaires, comme un stage de citoyenneté obligatoire. [dérisoire...]