Sarkozy nouvel ordre mondial
N. Sarkozy : L'art de prendre les gens pour des cons
A voir aussi Sarko Super Menteur :
Français avez-vous encore confiance dans la "république"?
Regardez cette compile Chirac Sarko Sego Super Menteurs :
« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
Voici une video essentielle où le talmudiste Jacques Attali, conscience grise de Sarkozy, l'auteur pour la France du rapport Attali (cyniquement intitulé "Rapport de la Commission pour la libération de la croissance française : 300 décisions pour changer la France"), explique "c'est quoi aujourd'hui être juif en France et dans le monde" (Les Juifs au XXIe siècle, un avenir incertain, Jacques Attali, économiste, Paris, mars 2007).
Attali dévoile sa conception talmudique-sioniste, ethnique et racialiste, de l'identité juive au travers de son inquiétude de la disparition de la communauté juive "en tant que peuple".
Ce qui est intéressant, c'est de constater le double jeu d'Attali, selon que l'on se place du point de vue de la France ou selon le point de vue d'Israël.
Dans son rapport, Attali préconise à Sarkozy l'immigration comme solution à la "libération de l'économie française", et de l'autre, pour Israël, préconise l'exact inverse et fait montre d'une inquiétude quant au nombre de la "population juive par rapport aux populations environnantes, qui sont elles-mêmes de plus en plus nombreuses dans la région" et, sur la scène mondiale, l'inquiétude face à "des peuples aussi sophistiqués que sont les Chinois et les Indiens".
Il est donc frappant que nous soyons sous la férule d'un personnage qui, selon les pays envisagés (France ou Israël), prônent deux politiques radicalement différentes.
Tout d'abord, pour Attali, cela reste une question "presque évidente": "nous sommes juifs, nous savons que nous avons un rôle historique particulier que nous avons joué au moins depuis 3000 ans… Ce rôle est inscrit dans l'histoire de l'humanité".
Seulement, Attali soulève une inquiétude, celle du "cauchemar de la disparition du peuple juif": "se poser la question si le peuple juif survivra au XXIe siècle, en tant que peuple", car "rien n'est éternel dans l'histoire humaine, et la meilleure façon de résister à une menace, c'est de la connaître".
"Se pose en Israël la question en Israël de la population juive par rapport aux populations environnante" (4:00 au curseur).
Autre question: "toutes les communautés juives du monde disparaissent ou décroissent, soit en nombre absolus, soit en nombre relatifs, sauf quelques-unes, étranges, la communauté juive allemande, la communauté juive australienne, ou quelques autres." (2:47)
"Donc la probabilité que la communauté juive représente une part décroissante de l'espèce humaine, est une évidence, accélérée par ce phénomène … de l'assimilation par les mariages mixtes" (3:26)
"Il y a donc un processus d'assimilation et de disparition hors de l'Etat d'Israël considérable" (3:50)
Autre problème, "en Israël proprement dit (3:58), se pose la question de la population juive par rapport aux populations environnantes, qui sont elles-mêmes de plus en plus nombreuses dans la région, et qui à l'échelle de cinquante ans, seront non seulement plus nombreuses dans l'ensemble palestinien que dans l'ensemble israélien et à l'échelle de soixante ou soixante-dix ans plus nombreuses sur le territoire israélien en population non-juive qu'en population juive. Donc nous avons clairement à affronter le fait que la population juive est de plus en plus minoritaire, faible, et en voie de disparaître".
D'où la question d'Attali: "qu'est-ce qu'une identité d'un peuple dont la trace numérique dans l'histoire disparaît, et dont la présence sur un sol, sur un territoire, se réduit de plus en plus à une population dont la conception est celle d'une nation qui a à défendre son intérêt en tant que nation et qui le défend sans véritablement se poser la question du destin d'un peuple à vocation universelle, mais seulement comme nation…"
"Cette identité où est-elle aujourd'hui?" (5:05)
Attali exprime la crainte du peuple juif devant "la montée et l'arrivée sur la scène mondiale de peuples aussi sophistiqués que les peuples chinois et indiens" (6:45)
"Pourquoi jusqu'à aujourd'hui le peuple juif a-t-il été capable de survivre", selon Attali? (6:55)
Attali répond (on touche ici au cœur du discours) : "parce que l'obsession du peuple juif, cela a été et cela reste de transmettre. L'obsession c'est de transmettre. J'ai toujours été frappé par cette définition talmudique qui dit qu'à la question 'qu'est-ce qu'être un juif', la première réponse, c'est d'avoir un père juif, la seconde réponse, c'est d'avoir une mère juive, la troisième réponse, mais pas du tout, c'est d'avoir des enfants juifs".
***
Or, je pose cette question à mes lecteurs: pour la France à présent, qu'a fait la communauté juive en France si ce n'est de rompre la chaîne de la transmission pour les Français? (lois républicaines de laïcisation puis d'immigration).
Le discours d'Attali indique parfaitement l'ambivalence du projet d'Attali, pour la France et pour Israël. D'un côté (rapport Attali-Attila), pour la France, détruire l'identité française et le peuple français(promotion d'une immigration massive, remplacement de la population sur une trentaine d'années, ultra-libéralisme sauvage, "égalitarisme", "démocratie", "tolérance", "ouverture", etc.) et de l'autre, pour Israël, défense de l'identité juive coûte que coûte (la transmission talmudique), défense de "la population juive par rapport aux populations environnantes, qui sont elles-mêmes de plus en plus nombreuses dans la région", et "sur la scène mondiale", défense du peuple juif par rapport aux "peuples aussi sophistiqués que les peuples chinois et indiens"...
Attali-Sarkozy. Deux poids deux mesures.
Un article du site alterinfo.net rapporte la phrase que la propagande républicaine prête à Marie-Antoinette : «S'ils ne mangent pas de pain, qu'ils mangent de la brioche !»
Cette exclamation a été prêtée à la reine Marie-Antoinette par l'histoire officielle à la suite des horreurs du 5 octobre 1789. Des Parisiennes s'étaient ce jour-là rendues à Versailles pour manifester au roi leur mécontentement face à la crise politique et à l'enchérissement des denrées... Voilà ce que raconte la légende républicaine.
Or, l'expression prêtée à Marie-Antoinette nous vient de Jean-Jacques Rousseau, mort une décennie plus tôt..., qui écrit dans ses Confessions : «Je me rappelai le pis-aller d'une grande princesse à qui l'on disait que les paysans n'avaient pas de pain, et qui répondit : Qu'ils mangent de la brioche !». (Source: herodote.net)
"On attribue à Marie-Antoinette cette citation — totalement erronée : « S'ils n'ont pas de pain, qu'ils mangent de la brioche ! ». On lui a attribué une phrase que Jean-Jacques Rousseau a écrite dans le livre VI de ses Confessions, paru en 1782." (Source: Wikipedia)
Ce que ne dit pas non plus la légende républicaine, c'est que Necker avait préparé "les émeutes" en affamant le peuple (Source: Abbé Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, 1797, Editions de Chiré, Poitiers 2005, tome 2, p. 458).
Les journées des 5 et 6 octobre 1789 avaient été savamment préparées et calculées par les Jacobins. Elles se soldèrent par des massacres inouïs commis à l'instigation de brigands, soudoyés pour l'insurrection du jour par les Jacobins (Necker, d'Orléans, Lafayette, Mirabeau, Chapellier, Péthion, Barnave, etc.). "Les frères excitateurs enverront de Paris les harpies des faubourgs demander du pain à Louis XVI... Mirabeau, Chapellier, Barnave en fixeront l'heure et l'objet; les ordres passeront de leur antichambre aux Jacobins et aux faubourgs..." (Abbé Augustin Barruel, ibid., p. 458-460).
L'expression faussement prêtée à Marie-Antoinette cache donc en réalité un vaste complot politique, dissimulant une famine politique provoquée en octobre 1789 (Necker), et une guerre européenne recherchée et provoquée en 1792, à des fins de politique intérieure. Ces deux techniques (famine et guerre) furent réemployées au cours du XXe siècle par les héritiers des Jacobins, dans les idéologies totalitaires qui firent des millions de morts et bâtirent le monde sur les ruines de 1945. Les mêmes "républicains"-"démocrates" (Bhl, Attali, Sarkozy, Strauss-Kahn, etc.) envisagent aujourd'hui de convertir le monde entier. Une nouvelle famine (les Cfr envisagent de diminuer de moitié la population mondiale), à l'échelle mondiale cette fois (via l'augmentation du prix des denrées alimentaires), une nouvelle guerre mondiale, planétaire, après avoir laissé les belligérants exsangues, permettront aux porteurs de lumières, sur les décombres du vieux monde, de créer cette République universelle, gouvernement mondial qu'ils appellent de leurs voeux.
Le mensonge inscrit dès le départ dans le régime républicain comme méthode de gouvernement et de politique intérieure
"Le 20 avril 1792, la Législative déclare la guerre au 'roi de Bohême et de Hongrie', François Ier, qui vient d'accéder au trône des Habsbourgs. La France s'engage dans un conflit qui durera vingt-trois ans, et s'achèvera par la défaite de Waterloo et l'occupation du pays. ...
En dépit d'une légende bien installée, jamais ont ne verra d'entente des rois contre la France révolutionnaire. ...
'Il faut déclarer la guerre aux rois et la paix aux nations', lance Merlin de Thionville. ... 'La Législative, rappelle François Furet, a voulu le conflit avec l'Europe pour des raisons de politique intérieure: là-dessus tous les historiens sont d'accord'.
... L'épopée patriotique de l'an II? Encore un mythe. Parmi la population, aucun enthousiasme ne se manifeste. Ce ne sont pas des volontaires qui vont se battre, mais des hommes désignés au sein de chaque commune. Un nombre considérable choisit l'insoumission ou la désertion. Pierre Gaxotte rapporte qu'en 1794, sur 1 200 000 mobilisés, on recense 800 000 déserteurs" (Jean Sévillia, Historiquement correct, Pour en finir avec le passé unique, Perrin, Saint-Amand-Montrond 2003, p. 185).
"Le crime, peut-être le crime majeur, plus grand encore de la Révolution, est d'avoir déclencher la guerre à l'égard de nos voisins et d'avoir dissimulé que c'était une guerre d'agression. À partir de ce moment-là, le patriotisme des Français a été piégé… Autrement dit, pendant un siècle et demi, qui voulez-vous qui parle de la guerre de Vendée? … À gauche, on préférait ne pas trop évoquer parce que n'était pas très glorieux; à droite, on était gêné, parce que dans une certaine mesure, la Vendée, c'était ceux qui étaient censés avoir donné le coup de poignard dans le dos aux armées françaises, puisque on avait dissimulé que la France était l'agresseur et que d'autre part, les puissances européennes n'avaient nulle intention de partager, de déchirer la France… Ils ont pu le faire en 1814-1815, ils ne l'ont pas fait. Par conséquent, vous avez un énorme mensonge. L'énorme mensonge de la guerre, à l'égard de l'étranger, qui a permis de justifier en quelque sorte le crime contre la Vendée" (Pierre Chaunu, 10:20 au curseur, video 1).
"25 avril (1792) Le Chant de guerre pour l'armée du Rhin, la future Marseillaise, est chanté pour la première fois par Rouget de Lisle dans le salon du maire de Strasbourg.
28 avril (1792) Début de la guerre. Offensive française et entrée des troupes de Rochambeau en Belgique..." (Jean Tulard, J.F. Fayard, A. Fierro, Histoire et Dictionnaire de la Révolution française 1789-1799, Bouquins Robert Laffont, Paris 2004, p. 342).
Pour ne pas oublier les racines chrétiennes de notre culture, le professeur Henri PRABIS, agrégé de l'Université, poursuit un cycle de conférences sur "les grands saints fondateurs et défenseurs de l'Europe".
Samedi 26 avril 2008, de 10h30 à 11h30, il présentera: "LA MONARCHIE FRANÇAISE, MODÈLE EUROPÉEN (Ste Clotilde - St Louis, roi de France – Ste Jeanne d’Arc)".
Les réunions ont lieu au couvent des Dominicains de Marseille (35 rue Edmond Rostand, 13006) (métro Castellane). Entrée par le 30 rue Ste Victoire.
Le programme de l'année en cours est disponible sur le site du couvent.
Les conférences de l'an dernier étaient consacrées aux "Saints de France" et elles ont été enregistrées sur fichier mp3. Vous pouvez ainsi entendre "Fils de St Louis, montez au ciel", consacré aux martyrs de la Révolution Française." (federationroyalisteprovencale)
martyrs de la Révolution Française.
"Les quarante ans de Mai 68. Pour la gauche passéiste, la France ne serait pas ce qu’elle est sans cette "révolution". En effet: d’autres pays voisins, qui l’ont évitée, sont plus avancés qu’elle…" (Blog.lefigaro.fr)
"La philosophe Chantal Delsol fait cette remarque, dans le numéro d’avril de la Revue des deux mondes (qui consacre un dossier sur le thème : "Où va la droite ?"): "Dans les années soixante, soixante-dix, quatre-vingt, l’élite française, grisée par une volonté d’émancipation généralisée, croyait que nous pouvions impunément faire éclater les cadres de la famille, déstructurer l’école, conférer aux enfants une liberté de s’inventer sans critères ni modèles. Aujourd’hui, les "valeurs familiales" s’affichent au palmarès, la nécessité de l’autorité est réaffirmée à l’école et l’idée même de limite est devenue l’enjeu de débats. (…) L’envie est grande de soupirer : si on nous avait écoutés plus tôt, quels dégâts aurions-nous évités !". Les réalités, y compris économiques, sont en train d’avoir raison des dogmes hérités de ce mai 68, qui ne mérite pas tant d'honneur." (Blog.lefigaro.fr)
Inimaginable il y a seulement dix ans, Vladimir Poutine a décidé de décorer des descendants de Russes blancs prestigieux. Entre nostalgie, culpabilité et volonté de retrouver ses racines, la Russie renoue avec son passé après des années d'oubli volontaire.
Le Figaro, 11.04.2008
... Un acte totalement inconcevable il y a encore quelques années. Et pourtant, l'ex-URSS ne cesse de regarder derrière elle et multiplie les tentatives pour retrouver son histoire. Une révolution qui, pour être comprise, nécessite une plongée dans l'histoire complexe de l'émigration russe.
... Aujourd'hui, la mémoire n'est plus à sens unique. De nombreux Russes de l'ex-URSS viennent souvent se recueillir dans l'étonnante nécropole de Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne), où reposent la plupart de ceux qui ont fait la Russie impériale. Avec ferveur et parfois à coup de milliers d'euros, certains de ces « nouveaux Russes » écument les salles des ventes à la recherche d'objets « d'avant ».
A l'image d'Andrei Schmemann, d'autres descendants de familles « blanches » font le voyage vers la Russie, tandis que le nouveau régime, qui a accueilli les cendres du général Denikine, se pose désormais la question de savoir s'il faut réhabiliter le tsar Nicolas II et sa famille, exécutés en 1918. Entre réconciliation et espoir, d'un bout à l'autre de l'Europe, un peuple lentement se retrouve.
Alexandre Jevakhoff, Les Russes blancs, éditions Tallandier.
Benoît XVI a été reçu vendredi aux Nations unies par le secrétaire général, Ban Ki-moon, avec qui il a eu un entretien en tête-à-tête d’environ un quart d’heure.
Benoît XVI a rappelé aux Etats leur devoir de protéger leurs populations victimes de violations des droits de l’Homme.
Le pape a estimé que "la promotion des droits de l'homme demeure la stratégie la plus efficace pour éliminer les inégalités entre pays et entre groupes sociaux". (Afp)
Benoit XVI s’est aussi attaché à défendre le droit à la liberté religieuse. "Il n’est donc pas imaginable que des croyants doivent se priver d’une partie d’eux-mêmes - de leur foi - afin d’être des citoyens actifs" a-t-il dit. (news.catholique.org)
Devant les représentants des 192 États membres de l'ONU, il a souligné que ces derniers ne devaient pas oublier et surtout nier les droits de Dieu. Il a ainsi insisté sur l'indivisibilité de la loi naturelle» et des principes qui régissent les droits de l'homme. ... Ces droits trouvent leur fondement dans la loi naturelle inscrite au cœur de l'homme et présente dans les diverses cultures et civilisations», a-t-il ainsi expliqué. Détacher les droits humains de ce contexte signifierait restreindre leur portée et céder à une conception relativiste» , a-t-il mis en garde. Un leitmotiv chez le Pape pour qui la grande variété des points de vue ne peut pas être un motif pour oublier que ce ne sont pas les droits seulement qui sont universels, mais également la personne humaine, sujet de ces droits».
Pour le Pape, les droits de l'homme ne peuvent pas faire l'économie de la dimension religieuse» de l'homme et donc inclure le droit à la liberté religieuse». (Le Figaro, 18.04.2008).
[I]l a plaidé pour une solidarité mondiale, déplorant que le multilatéralisme reste "subordonné aux décisions d’un petit nombre". ... Evoquant "le paradoxe évident d’un consensus multilatéral qui continue à être en crise parce qu’il est encore subordonné aux décisions d’un petit nombre", il a affirmé que "les problèmes du monde exigent, de la part de la communauté internationale, des interventions sous forme d’actions communes". (news.catholique.org)
"Les problèmes du monde exigent, de la part de la communauté internationale, des interventions sous forme d'actions communes", a-t-il dit, énumérant "les questions de sécurité, les objectifs de développement, la réduction des inégalités (...) la protection de l'environnement, des ressources et du climat".
Benoît XVI s'est inquiété "de la manière dont les résultats de la recherche scientifique et des avancées technologiques ont parfois été utilisées", "en violation évidente de l'ordre de la création" et "en contradiction avec le caractère sacré de la vie". (Afp)
... En fin d'après-midi le pape s'est rendu à la synagogue de l'East Park de New York pour présenter ses voeux à la communauté juive de New York avant Pessah. Benoît XVI a été accueilli par le rabbin Arthur Schneier, un survivant de la Shoah qui milite pour le rapprochement entre les religions.
C'est la troisième visite d'un pape dans une synagogue, après Jean Paul II à Rome et Benoît XVI à Cologne." (Afp)