07h50. Selon une information du Point, la France a envoyé au large de la Syrie une frégate (le Chevalier Paul). Partie de Toulon, elle doit rejoindre la flotte internationale, actuellement à proximité des côtes syriennes, qui compte notamment quatre frégates lance-missiles de l'US Navy, ainsi qu'un certain nombre de sous-marins nucléaires d'attaque américains et britanniques.
Cette frégate Chevalier Paul se dirige vers une zone non spécifiée en Méditerrané. La préfecture maritime de Méditerranée précise qu'il s'agit d'une sortie programmée de ce bâtiment de guerre et invite à ne pas établir de lien de cause à effet avec le conflit syrien.
11h14. Pierre Bayle, porte-parole du ministère de la Défense, annonce que "les armées françaises sont en position de répondre aux demandes du président de la République, s'il prenait la décision d'engager les forces françaises".
Le porte-parole a indiqué qu'il ne donnerait pas de précisions supplémentaires.
Source: http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/29/97001-20130829FILWWW00285-syrie-les-armees-francaises-pretes-a-repondre.php
12h11. Syrie : les Français peu favorables à une frappe, les politiques divisés...
Selon un sondage Ifop, une majorité dee Français est contre une intervention contre le régime de Bachar El-Assad. La classe politique française se divise également.
59% des personnes sondées sont contre 41% pour. Ce sont les sympathisants de gauche qui se montrent le plus favorables à une action presque annoncée par François Hollande (54%) tandis que l'électorat de droite se montre très défavorable (60% à l'UMP et 81% au FN).
Autre enseignement de ce sondage, les Français ne semblent favorables à une intervention en Syrie que si elle a la légalité donnée par un vote à l'ONU et que si la France n'y participe pas. Dans ce cas, 55% des personnes sondées accepteraient une action de l'ONU. Interrogé par le Figaro, le patron du département opinion de l'Ifop explique cette position par le fait que « les Français ont le sentiment d'avoir déjà beaucoup donné, sur la Syrie et sur d'autres fronts, comme le Mali ».
Cette opposition d'une majorité de Français à une action se retrouve également dans les opinions publiques américaine et britannique. Selon un sondage Reuters réalisé avant l'attaque chimique, 9% des Américains étaient pour une intervention, contre 60% à y être opposés, soit le niveau le plus faible jamais observé pour une intervention militaire.
Outre l'opposition de l'opinion française, il est à noter que la classe politique se divise sur une éventuelle frappe en Syrie, contrairement à ce qui s'était passé pour le Mali. Mercredi (28 août NdCR.), François Fillon a émis des réserves importantes à une décision de ce type, privilégiant la recherche d'une solution politique, notamment par un dialogue avec la Russie. D'autres dirigeants de l'UMP sont sur la même longueur d'onde que l'ancien Premier ministre. Jeudi (29 août NdCR.), dans le Figaro, Dominique de Villepin a affirmé qu'une intervention sans mandat de l'ONU serait une erreur.
- Source: http://lci.tf1.fr/france/societe/l-opinion-publique-pas-chaude-pour-une-frappe-en-syrie-8254763.html
13 heures. Une majorité d'Allemands contre une intervention militaire.
58% des Allemands se déclarent opposés à une intervention militaire occidentale selon une étude Politbarometer menée après l'attaque chimique présumée du 21 août. Seulement 33% des personnes interrogées pour la chaîne de télévision publique ZDF estiment au contraire que les puissances occidentales devraient frapper la Syrie, 9% étant sans opinion.
13h07. Les Occidentaux soufflent le chaud et le froid. Si l'éventualité d'une attaque imminente d'une coalition internationale s'éloigne dans la bouche des dirigeants, les Occidentaux sont en train de renforcer leur présence militaire en Méditerranée.
À Damas, on évacuerait les QG militaries et la Russie déploie à son tour des bâtiments militaires dans la région.
Alors que Barack Obama assure ne pas avoir encore pris la décision d'attaquer la Syrie, que François Hollande a à son tour calmé le jeu ce matin, d'importants mouvements militaires sont en train de s'opérer dans la région. Les Occidentaux renforcent actuellement leur présence autour de la Méditerranée orientale. En Syrie, on se prépare également à des frappes aériennes.
Les Américains ont fait savoir ces derniers jours que l'US Navy allait renforcer sa présence en Méditerranée orientale avec un quatrième navire de guerre armé de missiles de croisière. Deux porte-avions ainsi qu'un sous-marin sont également sur place.
Six avions de chasse de l'armée de l'air britannique (RAF) ont été envoyés ce jeudi à Chypre par "mesure de précaution pour protéger les intérêts britanniques", a annoncé le ministère britannique de la Défense. "Ils ne sont pas déployés pour prendre part à une action militaire contre la Syrie", assure le ministère, précisant que leur action est uniquement "défensive" et s'inscrit dans le cadre d'une mission "air-air".
La Russie va quant à elle envoyer en Méditerranée orientale un navire anti-sous-marins ainsi qu'un croiseur équipé de missiles, rapporte ce jeudi l'agence de presse Interfax, qui cite des sources militaires russes.
Les deux bâtiments quitteront leur port d'attache dans les jours à venir car la situation "nécessite que nous procédions à des ajustements" des forces navales, dit-on de même source. Mais la marine russe dément que ce déploiement soit liée avec les événements de Syrie et a indiqué qu'il s'inscrivait dans le cadre d'une rotation prévue de longue date de ses navires en Méditerranée.
La Russie a par ailleurs évacué depuis mardi 116 Russes et citoyens d'autres ex-républiques soviétiques à bord de deux avions du ministère des Situations d'urgence. Un premier avion, un Iliouchine 76, a ramené mardi soir de Lattaquié, à l'ouest de la Syrie, 89 personnes. "Parmi eux se trouvent 75 citoyens russes, essentiellement des femmes et des enfants", a déclaré le porte-parole du ministère des Situations d'urgence, Irina Rossious, citée dans le communiqué. Neuf Bélarusses et cinq Ukrainiens ont aussi été évacués à bord de cet appareil, qui avait amené en Syrie 20 tonnes d'aide humanitaire. Un deuxième avion, un Iliouchine 62, a décollé mercredi matin de Lattaquié avec 27 Russes à bord, a ajouté Irina Rossious.
Damas de son côté se prépare également des frappes occidentales. Des habitants de la capitale syrienne et des sources proches de l'opposition ont rapporté que les forces gouvernementales syriennes avaient apparemment évacué la plupart des centres de commandement et des bâtiments militaires du centre de la capitale dans l'attente d'une attaque. Des unités de l'armée stationnées près de la capitale ont réquisitionné plusieurs poids lourds, semble-t-il pour transporter des armes lourdes vers d'autres sites, même si aucun mouvement important de matériel militaire n'a été signalé, indique une source proche de l'opposition.
Des véhicules blindés et des camions de transport de troupes ont toutefois été vus quittant le secteur de l'aéroport international de Damas, où se trouvent trois bases militaires.Ces véhicules ont pris la direction de la ville de Harran al Aouamid, a déclaré un militant de l'opposition, Ma'moun al Ghoutani par téléphone. Parmi les bâtiments qui ont été partiellement évacués figurent celui de l'état-major place des Omeyyades, de même que celui de l'armée de l'air non loin de là, de même que les locaux de la sécurité dans le quartier de Kfar Sousseh, à l'ouest de Damas.
Selon des opposants présents à Lattaquié, ville portuaire de la Méditerranée, plusieurs bâtiments de guerre syriens se sont rangés le long de navires marchands dans une zone réservée à la marine marchande, semble-t-il pour réduire le risque d'être identifié et bombardé. Enfin, selon le général Moustafa al Cheikh, figure de l'armée qui est passé dans le camp des insurgés, l'ASL dispose de renseignements permettant de penser que l'état-major général des forces syriennes a déménagé vers un site au pied de la chaîne de l'Anti-Liban, au nord de Damas. "Différents commandements s'installent dans des écoles et des bunkers souterrains. Mais je ne crois pas que cela fasse beaucoup de bien au régime", a dit le général Moustafa al Cheikh.
13h58. L'absence (pour l'instant) de preuves indépendantes
Jusqu'à présent, Etats-Unis, Royaume-Uni et France ont affirmé avoir la conviction que le pouvoir syrien était à l'origine de l'attaque. John Kerry, le ministre des Affaires étrangères de Barack Obama, a même souligné lundi soir avoir vu des preuves. Problème : ils n'ont montré aucune de ces preuves, qui proviennent toutes des rebelles.
Face au scepticisme créé par la manipulation de 2003 en Irak, beaucoup demandent d'attendre le rapport des inspecteurs de l'Onu. Ceux-ci poursuivent ce jeudi leur mission et quitteront la Syrie samedi (31 août NdCR.). Ils devraient probablement livrer leurs conclusions dimanche.
. Le gouvernement syrien impute l'emploi d'armes chimiques aux rebelles
. Syrie : l'attaque chimique, une mise en scène ?
14h28. Syrie: Londres prêt à passer outre l'ONU
Selon un porte-parole des services du Premier ministre britannique qui ont rendu public les conclusions des avocats du gouvernement sur une possible intervention, Londres "serait toujours autorisée" à mener "une intervention militaire ciblée" en Syrie même en cas de blocage au conseil de sécurité de l'ONU, "en vertu de la doctrine d'intervention humanitaire".
Moscou. Ria Novosti. 14h30. Six avions de chasse de l'armée de l'air britannique ont été envoyés jeudi matin à Chypre par "mesure de précaution", a annoncé le ministère britannique de la Défense.
"Six jets Typhoon sont déployés ce matin à Akrotiri, sur l'île de Chypre. Il s'agit d'une mesure de prudence et de précaution afin de protéger les intérêts du Royaume-Uni et assurer la défense de nos zones de souveraineté dans une période de tensions accrues dans la région... Ils ne sont pas déployés pour prendre part à une action militaire contre la Syrie", précise le ministère dans un communiqué.
Auparavant, certains médias ont rapporté que la Grande-Bretagne avait commencé à envoyer des chasseurs et des avions cargos vers sa base d'Akrotiri dans le cadre des préparatifs à une éventuelle intervention militaire en Syrie.
Source: http://fr.rian.ru/world/20130829/199141784.html
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Moscou. Voix de la Russie. 15h00. Syrie : Ban Ki-Moon demande à Obama du temps pour les experts
Par La Voix de la Russie | Les experts ont besoin de quatre jours pour boucler leur mission, avant de procéder à des analyses et présenter leur rapport, a déclaré le Secrétaire général des Nations-Unies Ban Ki-Moon, lors d’un entretien à téléphonique avec le président américain Barack Obama.
« J’ai persuadé M. Obama que nous présenterions toutes les informations nécessaires », a indiqué le Secrétaire général.
15 heures. Cameron contraint d'attendre le rapport de l'ONU. La motion gouvernementale, présentée dans une heure à la Chambre des Communes et soumise au vote dans la soirée, condamne «l'usage d'armes chimiques en Syrie le 21 août 2013 par le régime de (Bachar al-) Assad» et «convient qu'une réponse humanitaire forte est requise de la part de la communauté internationale, impliquant si nécessaire une action militaire qui soit légale, proportionnée et destinée à sauver des vies en empêchant tout usage futur d'armes chimiques en Syrie».
Mais pour passer de cet accord de principe, s'il est adopté, au lancement effectif d'une intervention militaire, la motion prévoit un second vote, une fois connus les résultats de l'enquête de l'ONU sur l'attaque présumée aux armes chimiques en Syrie.
Moscou. Ria Novosti. 15h14. L'Egypte est hostile à l'idée d'une intervention étrangère dans le conflit syrien, a déclaré jeudi le ministre égyptien des Affaires étrangères Nabil Fahmy.
"L'Egypte ne participera à aucune frappe militaire contre la Syrie et s'y oppose avec force, conformément à sa position de principe contre toute intervention militaire étrangère dans ce pays", a annoncé le chef de la diplomatie égyptienne.
Source: http://fr.rian.ru/world/20130829/199142177.html
15h30. Merkel et Poutine veulent attendre le rapport des inspecteurs de l'ONU. Lors d'un entretien téléphonique les deux dirigeants ont convenu que le Conseil de sécurité de l'ONU devait étudier le rapport.
15h45. Amnesty et Human Rights Watch refusent de se prononcer sur d'éventuelles frappes. Deux des principales organisations de défense des droits de l'Homme refusent de se prononcer sur la légalité de frappes en Syrie.
15h50. Un cinquième destroyer américain déployé en Méditerranée.
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Moscou. Voix de la Russie. 16h20. L’armée de l’air syrienne envisage d’utiliser les pilotes kamikazes si l’Occident venait à attaquer Damas, écrit le quotidien britannique The Guardian se référant à un officier innomé.
Selon lui, 13 pilotes avaient signé une promesse cette semaine en disant qu’ils formeraient un équipage de martyrs, prêts à se suicider pour détruire les avions de guerre américains.
« Nous avons plus de 8000 personnes prêtes à se suicider dans l’armée syrienne. Moi-même, je suis prêt à me faire exploser contre un porte-avion américain » a t-il dit.
Moscou. Voix de la Russie. 16h44. La Grande-Bretagne déclare qu'elle a le droit de frapper la Syrie sans l'approbation du Conseil de sécurité
La Grande-Bretagne a déclaré qu'elle avait les fondements juridiques pour mener une opération contre la Syrie même si cette opération n'est pas approuvée par le Conseil de sécurité de l'ONU, rapporte jeudi l'agence Reuters.
Une réunion extraordinaire de la Chambres des communes se déroule jeudi à Londres. Les députés examinent les propositions du gouvernement britannique portant sur une opération militaire contre la Syrie suite à l'utilisation présumée des armes chimiques par les autorités de ce pays.
Moscou. Ria Novosti. 19h20. Les travaillistes lui ayant demandé des "preuves convaincantes" de la responsabilité du régime de Bachar el-Assad, le premier ministre britannique David Cameron a reconnu jeudi devant les députés ne pas avoir 100% de certitude quant à la responsabilité ou non du régime syrien dans l'usage d'armes chimiques dans une banlieue de Damas.
"Il n'y a pas, effectivement, 100% de certitude quant aux responsables de l'attaque chimique (près de Damas). Nous n'avons pas de preuves attestant l'absence d'armes chimiques chez l'opposition et la possession de telles armes par le régime (…). Cela ne suffit pas pour affirmer que le régime en est responsable et en répondra", a déclaré le chef du gouvernement.
M.Cameron a été contraint par l'opposition travailliste d'attendre le rapport des inspecteurs de l'Onu avant toute décision sur une intervention militaire en Syrie.
Ainsi, le premier ministre, dont le gouvernement avait lancé les préparatifs militaires en début de semaine, a dû revenir sur son intention de soutenir une intervention militaire immédiate, notamment en raison des réticences de l'opposition travailliste et de parlementaires de son propre parti.
Source: http://fr.rian.ru/world/20130829/199146661.html
18h49. Nouvelle réunion du Conseil de sécurité. Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, qui ont un droit de veto, se réuniront de nouveau à huis clos sur la Syrie à 18h30 GMT, 20h30 à Paris. Les ambassadeurs des cinq pays (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Chine, Russie) s'étaient déjà réunis mercredi, sans parvenir à conclure sur une résolution autorisant une intervention militaire en Syrie, Moscou et Pékin continuant de rejeter toute action en Syrie.
20h17. Les inspecteurs de l'ONU ont recueilli «quantité» d'éléments. Les échantillons recueillis par les enquêteurs sur place seront transmis à des laboratoires en Europe pour analyse, conformément à la procédure prévue par la Convention sur l'interdiction des armes chimiques. Ces analyses pourraient prendre des semaines, laisse entendre le porte-parole de l'ONU, Farhan Haq. «Le secrétaire général s'attend à recevoir un compte-rendu oral et ensuite, quand les analyses en laboratoire seront terminées, ils (les experts) fourniront un compte-rendu final», selon le porte-parole.
21h27. Début de la réunion du Conseil de sécurité. Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, qui ont un droit de veto, entament, à New York, de nouvelles consultations à huis clos sur la Syrie. Cette discussion se tient à la demande de la Russie, farouchement opposée à toute action militaire en Syrie, ont indiqué des diplomates.
21h50. La réunion du Conseil de Sécurité a été brève. Elle a duré à peine 45 minutes, sans faire de progrès apparents dans leurs discussions. L'objet des consultations était un projet de résolution britannique qui justifierait une intervention militaire contre le régime de Bachar al-Assad.
21h56. Obama se réserve le droit d'agir seul. Le président américain, Barack Obama, se réserve le droit d'agir unilatéralement contre le régime syrien, a laissé entendre la Maison Blanche.
«Le président doit avant tout rendre des comptes aux Américains qu'il a été élu pour protéger. Et le président est fermement convaincu que les enjeux de cette situation concernent des mesures nécessaires pour protéger nos intérêts cruciaux de sécurité nationale», indique son porte-parole adjoint, Josh Earnest. Son homologue du département d'Etat, Marie Harf, qualifie quant à elle les consultations internationales sur la Syrie d'«extrêmement importantes», mais prévient aussi que les Etats-Unis prennent leurs «décisions en suivant (leur) propre calendrier».
L’attaque de la Syrie est prévue depuis... 2001 (Général Wesley Clark)
En avril 2011, sur Christ-Roi nous avions rédigé un article intitulé "Preuve que l’attaque de la Libye était prévue depuis... 2001 (Général Wesley Clark)". Obama se réservant le droit d'agir seul, il semble que cela soit à présent au tour de la Syrie exactement comme l'a annoncé le général Wesley Clark dans une interview du 2 mars 2007 dans laquelle il expliquait que plusieurs autres attaques de pays du Moyen-Orient figuraient à l'agenda des Etats-Unis d'Amérique...
Dans cette interview Clark citait un mémo qui lui fut présenté en 2001, mémo du Bureau du Secrétariat à la Défense, à l'époque dirigé par Donald Rumsfeld et son secrétaire adjoint Paul Wolfowitz (ancien président de la Banque mondiale) expliquant comment l'administration américaine envisageait de prendre le contrôle de 7 pays en cinq ans, l'Irak (chose faite), la Syrie, le Liban, la Libye (chose faite), la Somalie, le Soudan, et l'Iran.
22h01. Moscou. RiaNovosti. Le Canada s'abstiendra d'intervenir.
Le premier ministre canadien Stephen Harper a déclaré jeudi que son pays ne participerait pas à une opération militaire en Syrie, a annoncé l'agence Reuters.
"Le gouvernement du Canada ne prévoit pas […] d'avoir une mission militaire", a déclaré M. Harper.
Source: http://fr.rian.ru/world/20130829/199148106.html
23h55. LeFigaro. GB: le Parlement rejette la motion de Cameron sur une action militaire en Syrie
La motion présentée par le Premier ministre David Cameron qui défendait le principe d'une intervention militaire en Syrie, a été rejetée ce soir par le parlement britannique.
Après ce vote, Cameron a réagi: "Il est clair que le Parlement britannique ne veut pas d'intervention militaire britannique. Je prends note et le gouvernement agira en conséquence", ajoutant qu'il était "attaché au respect de la volonté de la Chambre des Communes".
. EN DIRECT. Syrie, le 28 août 2013
. Syrie : Une nouvelle guerre qui a pour but d'éliminer les chrétiens de la région ?