« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
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Livre des Actes des Apôtres 5,34-42. Comme les Apôtres étaient en train de comparaître, un membre du grand conseil se leva; c'était un pharisien nommé Gamaliel, docteur de la Loi honoré de tout le peuple. Il ordonna de faire sortir les Apôtres un instant, puis il dit : « Hommes d'Israël, faites bien attention à la décision que vous allez prendre envers ces hommes. Il y a quelque temps, on a vu surgir Theudas ; il prétendait être quelqu'un, et quatre cents hommes environ s'étaient ralliés à lui ; il a été tué, et tous ses partisans ont été mis en déroute et réduits à rien. Après lui, à l'époque du recensement, on a vu surgir Judas le Galiléen qui a entraîné derrière lui une foule de gens. Il a péri lui aussi, et tous ses partisans ont été dispersés. Eh bien, dans la circonstance présente, je vous le dis : ne vous occupez plus de ces gens-là, laissez-les. Car si leur intention ou leur action vient des hommes, elle tombera. Mais si elle vient de Dieu, vous ne pourrez pas les faire tomber. Ne risquez donc pas de vous trouver en guerre contre Dieu. » Le conseil se laissa convaincre. On convoqua alors les Apôtres, et, après les avoir fouettés, on leur interdit de parler au nom de Jésus, puis on les relâcha. Mais eux, en sortant du grand conseil, repartaient tout joyeux d'avoir été jugés dignes de subir des humiliations pour le nom de Jésus. Tous les jours, au Temple et dans leurs maisons, sans cesse, ils enseignaient cette Bonne Nouvelle : Jésus est le Messie.Lecture du Jour
Le Vatican et la Ligue arabeont signéjeudi un accord de coopération politique et culturel "en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité régionale et internationale", a indiqué jeudi le Vatican.
L'accord, qui entre en vigueur immédiatement, a été paraphé par le "ministre" des Affaires étrangères du Vatican, Mgr Dominique Mamberti, et le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a précisé le Vatican dans un communiqué.
L'accord renforce "les liens de collaboration existants entre le Saint-Siège et la Ligue arabe, spécialement au niveau politique et culturel, en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité régionale et internationale", dit le Vatican.
"En outre, il propose des formes de consultation entre les deux parties, notamment sur les initiatives de dialogue interreligieux", indique le Vatican.
M. Moussa sera reçu vendredi après-midi par le pape Benoît XVI, a indiqué jeudi le père Federico Lombardi, porte-parole du Vatican. Cet accord a été signé peu avant le premier voyage du pape en Jordanie et en Israël du 8 au 15 mai. (belga/th)
Les juifs messianiques sont des juifs ayant reçu Jésus comme leur Messie et Sauveur. Ils sont récents, leur courant est apparu au début du XXe siècle. Voici la façon dont ils sont reçus par les rabbins en Israël : video "Persécutions des juifs messianiques en Israël"
A noter, la réponse révélatrice d'une femme née juive orthodoxe convertie au Christ (02:02 au compteur) à un rabbin venu la persécuter devant chez elle : "Je suis née d'une famille orthodoxe, et j'ai quitté cette religion étant jeune, en raison de la violence, la haine, le racisme, le mensonge, et la tromperie". Le rabbin vient la persécuter devant une caméra, imaginons ce qui peut s'y passer sans caméra!
Question aux pleureuses du Lobby qui n'existe pas et à "Fdesouche" : cette video où l'on voit des juifs croyant en Jésus-Christ être persécutés, est-elle, elle aussi, une manipulation servant les "milieux nationalistes et antisémites" ?
- à La Gaubretière ( 85) au chateau de Ramberge les 8 et 9 mai, deux journées chouannes gratuites , avec un spectacle son et lumières ( gratuit ) à 21h30 le vendredi 8 mai ! stands scouts, et bivouac chouan accompagnés d'une veillée où nous écouterons au coin du feu l'histoire du départ des guerres de Vendée ! -petit pélerinage de 6 kms sur les traces des premiers soulèvements Vendéens , repas tiré du sac......Quand la Tradition et la passion des guerres de Vendée vous appellent , il ne faut pas hésiter , venez nombreux !!!!!! renseignements : 02.51.48.50.97 QUE LE SEIGNEUR GUIDE VOTRE CHEMIN !!
Un grand bravo au président du Collectif contre la grande mosquée de Bordeaux, Bruno Larebière, qui pose un principe : La France est chrétienne.
Il explique l'opposition des identitaires à la grande mosquée de Bordeaux, au milieu d’une assistance majoritairement musulmane qui en a été pour le moins surprise : "La France et l'Europe sont de civilisation chrétienne, un islam ostentatoire n'y a pas sa place (2:56 au compteur)". Une intervention fort pertinente sur les micros de Novopress.infoà écouterici.
L'affirmation de l'identité (de la France) est la condition d'un dialogue islamo-chrétien authentique que les musulmans doient prendre en compte. Ou bien, ce n'est plus "un dialogue", mais de l'hypocrisie...
Quant aux pleureuses du Lobby qui n'existe pas, attisant les divisions et le conflit de civilisation, insistant lourdement sur les agressions d'origine arabo-musulmane en France, mais occultant systématiquement l'identité chrétienne de la France et de l'Europe, elles ont là un contre-témoignage édifiant!
Le site "Fdesouche" censé défendre les intérêts des Français de souche, met en ligneune video "les manipulateurs du net" sur une soit-disant manipulation au sujet d'unevideooù l'on voit un juif dire avoir peur de la France, puis dire ensuite qu'il plaisante. Le moment où il reçoit chez lui le cameraman a été coupé!
La femme juive qui répond "on n'aime pas la France" aurait en fait dit pourquoi. Cela a été coupé! On n'aime pas les Français "parce que vous êtes contre la guerre en Irak" (sic). Avoir coupé ce passage est une odieuse manipulation servant les "milieux nationalistes et antisémites" (06:00 au compteur)... Grotesque.
Le site "Fdesouche" de plus en plus préoccupé de défendre le Lobby. Cela devient intéressant, les choses se clarifient. A suivre.
Renaissance Catholique - XVIIIe Université dété 2009 : Le Mondialisme
A noter la phrase très juste de Jean-Pierre Maugendre à 03:21 : "(Le mondialisme) C'est une certaine forme de confusion de spirituel et du temporel"... (césarisme au pays de la "laïcité"...)
"Cherchons à être des témoins de l’amour miséricordieux de Dieu",a déclaréBenoît XVI en polonais, depuis Castel Gandolfo, ce dimanche, après la prière du Regina Coeli. Le pape a évoqué en ces termes l’héritage spirituel de Jean-Paul II qui, l’an dernier, a donné lieu au premier congrès international, au Latran : "Aujourd’hui, en ce dimanche de la Miséricorde divine, je salue de façon particulièrement cordiale les compatriotes du Serviteur de Dieu Jean-Paul II. C’est lui qui nous a rappelés à tous le message du Christ miséricordieux, révélé àsainte Faustine(1905-1938). Il nous a exhortés à l’apporter au monde entier".
"Chers amis, vous portez la célèbre image de Jésus Miséricordieux : portez-la toujours en vous, et soyez partout ses témoins ! Bon dimanche à tous !"
L’image du Christ Miséricordieux vientd'une vision mystique du 22 février 1931 dans le monastère de Plock:
Un soir, alors que j’étais dans ma cellule, je vis Jésus vêtu d’une tunique blanche, une main levée pour bénir, la seconde touchait son vêtement sur la poitrine. De la tunique entrouverte sur la poitrine sortaient deux grands rayons, l’un rouge, l’autre pâle…Apres un moment Jésus me dit : "Peins un tableau selon l’image que tu vois, avec l’inscription : Jésus j’ai confiance en Toi. Je désire qu’on honore cette image, d’abord dans votre chapelle, puis dans le monde entier." (Petit Journal, 47)
Les paroles situées en bas de tableau parlent de cette attitude de confiance
« Jésus j’ai confiance en Toi ».
Pour tous ceux qui vénéreront cette image, Jésus a promis le progrès (croissance) dans la foi, une bonne mort et beaucoup d’autres grâces et bienfaits:
Je promets que l’âme qui honorera cette image ne sera pas perdue. (Petit Journal, 48)
Par cette image j’accorderais beaucoup de grâces aux âmes, que chaque âme ait donc accès à elle. (Petit Journal, 570)
La vénération de cette image (icône) consiste en une prière plaine de confiance, liée à des actes de miséricorde. Au culte de l’image, Jésus a attaché les promesses suivantes: la grâce du salut; le grand progrès sur la voie de la perfection chrétienne; la grâce de bien mourir ainsi que toutes sortes des grâces et des biens nécessaires pour vivre ici-bas pourvue qu’on prie avec confiance.
Jésus à Sœur Faustine dit:
Je donne aux hommes un vase, avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de ma miséricorde. Ce vase, c’est cette image, avec l’inscription: Jésus j’ai confiance en Toi.
(Petit Journal, 327)
Par cette image j’accorderai beaucoup de grâces aux âmes, que chaque âme ait donc accès à elle. (Petit Journal, 570)
Je promets que l’âme qui honorera cette image ne sera pas perdue. Je lui promets aussi la victoire sur ses ennemies dès ici-bas, et spécialement à l’heure de la mort. Moi-même, je la défendrai, comme ma propre gloire. (Petit Journal, 48)
Les flammes de la miséricorde me brûlent, je désire les déverser sur les âmes humaines. Oh! quelle douleur elles me causent, quand elles ne veulent pas les recevoir… Dis à l’humanité douloureuse de se blottir dans mon cœur miséricordieux et je la comblerai de paix. (Petit Journal, 1074)
+ L’humanité ne trouvera pas la paix tant qu’elle ne se tournera pas avec confiance vers ma miséricorde. (Petit Journal, 300)
Parle au monde de ma miséricorde, que l’humanité entière apprenne a connaître mon insondable miséricorde. C’est un signe pour les derniers temps, après viendra le jour de la justice. Tant qu’il en est le temps, que les hommes aient le recours à la source de ma miséricorde, qu’ils profitent du sang et de l’eau qui ont jailli pour eux. (Petit Journal, 848)
Entretien sur le sujet des Ong avec Aymeric Chauprade et Christophe Reveillard sur Radio Courtoisie. Extraits remontés par le collectif http://www.noslibertes.org/
A 01:53 : "Il y a une architecture visible de la mondialisation, les instruments de la mondialisation depuis 45, le F.M.I., la Banque mondiale, etc. et à la tête de ces organisations, ce sont des gens qui sont d'abord passés dans l'architecture invisible de la mondialisation, celle dont les medias ne parlent pas, c'est-à-dire, les réseaux qui nous évoquions, les fondations, la Commission Trilatérale, le groupe de Bilderberg, les grands réseaux transatlantiques qui adoubent en quelque sorte un certain nombre de personnalités internationales pour vérifier si elles participent de la même idéologie. Et ensuite, ces personnes arrivent au plus haut niveau de l'O.M.C., duFonds Monétaire International, etc. ... J'avais fait une étude très précise il y a quelques années... et je m'étais aperçu (cela allait beaucoup plus loin que ce que j'imaginais) que tous les gens qui avaient accédé au plus haut niveau étaient passés avant à la Commission Trilatérale, au groupe Aspen... Des réseaux transaltantiques très structurés qui se sont ramifiés pendant la Guerre froide à partir des Etats-Unis et ont fait souche en France...Pascal Lamy (directeur général de l'O.M.C.),Dominique Strauss-Kahn, Bernard Kouchner, tous ces gens sont passés dans ces organismes. Donc on a aujourd'hui des gens qui sont très clairement au service d'un idéal mondialiste et pas au service d'intérêts temporels, ceux des Etats qu'ils sont censés servir.... Ils ont un point commun au-delà des sensibilités politiques divergentes, de droite et de gauche, c'est d'avoir été tous en faveur en 2003 de la guerre contre l'Irak, et tous en faveur de l'indépendance du Kosovo... ils sont tous sur une ligne d'ingérence pro-américaine. Ce sont des faits...
Dans cet entretien, le catholicisme est ensuite abordé d'une manière fort intelligente qui coupe court aux théories dénonçant un catholicisme dilueur des Etats et des nations. A 07:41, l'universalisme catholique "n'induit pas une uniformisation du rapport des sociétés ou de l'homme... Bien au contraire, le catholicisme a par exemple développé les notions d'Etats, de souverainetés, de communautés d'êtres humains sociales[le catholicisme, en conséquence de la chute de la Tour de Babel... a développé le particularisme de chaque nation en employant le premier le terme de "diversité":Lettre du pape Grégoire IX à Saint Louis], tout à fait attachées à un enracinement particulier, à des traditions, à des façons d'organiser une culture, une économie humaine propre à leur communauté. Donc on a un universalisme dans le sens du salut, nous n'avons pas en revanche la volonté d'un universalisme qui déracinerait ces sociétés, qui leur donnerait vocation à être uniformisées.
Cela devient insupportable ces attaques récurrentes, obsessionnelles, nauséabondes... contre le Saint-Père.
Italie/Durban IILe grand rabbin de Rome juge "préoccupant" le soutien du pape
Rome, - Le grand rabbin de Rome Riccardo Di Segnia critiquélundi dans la presse le soutien apporté par Benoît XVI à la conférence de l'ONU contre le racisme, jugeant "préoccupant" que le pape "exalte" une déclaration finale qui contient "des phrases agressives de type antisémite". "C'est une situation alarmante et préoccupante. Je ne réussis vraiment pas à interpréter le geste de Benoît XVI. La décision du Vatican et l'aval du pape à +Durban II+ constituent un signal préoccupant", a estimé le grand rabbin de Rome dans un entretien accordé au quotidien La Stampa. "Le pape exalte la déclaration (finale) de +Durban+ qui se présente comme une réalité profondément angoissante, avec des affirmations inacceptables et des phrases agressives de type antisémite contre l'Etat d'Israël qui est accusé de crimes contre l'humanité, de discriminations raciales contre les Palestiniens et de menacer la paix internationale et la sécurité", dénonce le grand rabbin. ... Dimanche, Benoît XVI a qualifié d'"importante" la réunion dite de "Durban II" et a adressé "ses voeux les plus sincères" aux délégués qui participent à la conférence, boycottée par plusieurs pays occidentaux.
La déclaration de Durban reconnaît que "tous les peuples et les personnes forment une seule famille humaine riche en diversité", ce qui constitue "un progrès de la civilisation et de la culture, patrimoine commun de l'humanité", a souligné le pape.AngolaPress
L'agence Apic titre : "Le grand rabbins'en prend à Benoît XVI". Le grand rabbin de Rome Riccardo Di Segni a critiqué le soutien apporté par Benoît XVI à la conférence de l’ONU contre le racisme. Il estime "préoccupant" que le pape "exalte" une déclaration finale qui contient "des phrases agressives de type antisémite", rapporte l’Agence France presse. "C’est une situation alarmante et préoccupante. Je ne réussis vraiment pas à interpréter le geste de Benoît XVI. …
Le journal La Croixdonneplus d'informations. Alors que "des délégations européennes sont sortis de la salle lorsque le président iranien s'est lancé dans une violente diatribe contre Israël,... [l]a délégation du Saint-Siège conduite par Mgr Silvano Tomasi, l'observateur permanent du Vatican à l'ONU, 'n'a pas quitté la salle' a confirmé à l'AFP le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi. Le père Lombardi n'a pas souhaité commenter l'attitude des délégations européennes, [sortant de la salle] ... se bornant à indiquer que ces pays étaient 'libres' de leur choix.
La décision du Vatican d'envoyer une délégation à Genèvea été mal accueilliepar les associations juives. "En participant, le Vatican endosse la responsabilité de ce qui est en train de se préparer (contre Israël)", a dit le rabbin de Rome, Riccardo Di Segni, dans un entretien à La Stampa. Di Segni a qualifié la décision du pape Benoît XVI de "nouvelle mesure imprudente" dans ses relations avec les juifs, relations déjà soumises à des tensions après la levée de l'excommunication de l'évêque britannique Richard Williamson, accusé de négationnisme.... Pour Shimon Samuels, président du bureau européen du Centre Simon Wiesenthal, le Saint-Siège a donné "un sceau d'approbation à une campagne de haine".Lexpress.fr
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a accusé Israël d'être le «régime le plus cruel et le plus raciste». Il a critiqué la création de l'État hébreu après 1945. «Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, ils (les Alliés, ndlr) ont eu recours à l'agression militaire pour priver de terres une nation entière sous le prétexte de la souffrance juive», a expliqué Ahmadinejad devant un parterre de diplomates. Le Figaro Afp
Avant son départ pour Genève, le président iraniena déclaréqu'Israël était le "porte-drapeau du racisme", selon la télévision iranienne dimanche. Il a ajouté que les sionistes "pillent les richesses des nations en contrôlant les centres de pouvoir du monde et ont créé les conditions pour que rien ne puisse être dit au sujet de ce phénomène diabolique dont les effets pèsent sur les habitants des nations". Il a expliqué, toujours selon la télévision, que la Conférence de l'ONU aurait lieu alors que "le sionisme global allait avoir recours à tous les moyens possibles pour étouffer les voix innocentes contre la tyrannie".Info.rsr.ch
Le pape Benoît XVI avait qualifié 'd'importante' dimanche la réunion de Genève depuis sa résidence d'été de Castel Gandolfo. Benoît XVI avait adressé à la conférence 'ses voeux sincères pour que les délégués (...) travaillent ensemble, dans un esprit de dialogue et d'écoute réciproque à la fin de toute forme de racisme et de discrimination'.
Benoît XVI doit se rendre en Israël du 11 au 15 mai prochain.
Alors que les rescapés du séisme qui a durement frappé les Abruzzes s’efforçaient tant bien que mal de célébrer les fêtes de Pâques, les pompiers qui poursuivaient les travaux de déblaiement ont découvert, lundi, une statue en marbre de la Vierge miraculeusement intacte. Elle était cachée sous les gravats de l’église de Paganica, près de la ville martyre de L’Aquila. Un peu partout dans la région, des milliers de déplacés ont assisté à la messe pascale dans les villages de tentes et les centres d’hébergement installés à la hâte par les autorités. Des prêtres ont donné la communion devant des autels improvisés et des secouristes ont distribué des œufs de Pâques aux enfants. Source: Le Figaro, Arrêt sur image, 17/04/2009.
Dans l'histoire, de nombreux cas ont pu être observés de statues de la Vierge miraculeusement conservées suite à une catastrophe naturelle, une profanation ou une dévastation.
Exemples (non exhaustif):
- Vers 1295, pendant la guerre contre les Anglais, la chapelle de Verdelais est pillée, incendiée...
Mais la statue est cachée et enfouie dans un trou maçonné. Le Monastère est détruit en 1377... La statue sera retrouvée en 1390 par la comtesse de Foix au pas de la mule!
- En Equateur, à Latacunga, capitale de la Province de Cotopaxi, la statue peinte de la Vierge del Salto (v. 1610), fut retrouvée miraculeusement après un séisme.
- La statue de la Vierge dans le sanctuaire Notre-Dame-de-Beauregard (commune d'Orgon, diocèse d'Aix-Arles), lors d'une des innombrables dévastations commises par les protestants dans le sud de la France, "L'AN 1562 ET LE 8 SEPTEMBRE DES SOLDATS APRES AVOIR DEVASTE LA CHAPELLE DE BEAUREGARD TENTERENT DE BRISER LA STATUE DE LA VIERGE ET LA PRECIPITERENT D'ICI SUR LES ROCHERS DE LA DURANCE.MIRACULEUSEMENT CONSERVEEELLE ARRIVA PRESQUE INTACTE AU BAS DE LA FALAISE." Cette inscription est gravée sur une frise surmontant l'autel-tombeau.
- En Alsace voisine, il semble qu'on connaissed'autres exemples,mais pour des statues de la Vierge. Au pèlerinage de Trois-Epis, durant laguerre de Trente ans, une piéta en terre cuite, échappa au feu, ainsi qu'une autre statuette de la Vierge, en bois.
- A Masevaux, ce siècle encore, une autre piéta échappa à l'incendie de l'église paroissiale et est conservée dans une chapelle particulière de l'église rénovée. Relevons qu'à Massevaux, un Jésuite, le P. Sudan, S.J. , professeur au collège de Porrentruy, relate dans son abrégé qu'une image de la Vierge avait pleuré dans l'église des religieuses de l'Abbaye alors que durant la guerre de Trente ans, les impériaux cette fois, s'en prenaient à elles et commettaient des sacrilèges. Voyant le phénomène, ils s'enfuirent...
- En 1615, deux missionnaires espagnols (fray Alonso de Buenaventura et Louis de Bolanos) arrivèrent à Itatí, petit village sur la rive du grand fleuve Parana où ils fondèrent une mission ; ils avaient avec eux, une statue de la Sainte Vierge pour laquelle ils construisirent un petit oratoire avec les galets du fleuve. Mais l'oratoire fut saccagé par les Indiens. La statue de Marie fut retrouvée deux jours plus tard par deux enfants indiens Guaranis -rapporte la tradition- qui aperçurent la statue de Marie, beaucoup plus belle qu'avant, environnée d'une lumière rayonnante et posée sur une pierre de la rive en un endroit désert, alors qu'ils descendaient le fleuve en pirogue.
- En 1791, de l'acide chlorhydrique fut accidentiellement renversé au-dessus du côté droit du Tilma deNotre-Dame de Guadalupe (Patronne de l'Amérique Latine et des Amériques, une
apparition mariale reconnue par l'Eglise), au bout de 30 jours, sans aucun traitement particulier, le tissu affecté s'est lui-mêmereconstitué miraculeusement.
- L’église Sainte-Colombe de Cologne, du Xe siècle avait été détruite durant la Seconde Guerre mondiale. Seuls quelques pans de murs subsistaient, ainsi qu’un pilier et une statue de la Viergemiraculeusement épargnéepar les bombardements. La « chapelle de la Vierge parmi les décombres » a été construite autour de ce pilier dans les années 1950. Quant aux fouilles archéologiques menées de 1973 à 1976, elles ont montré l’existence d’un bâtiment chrétien de l’époque romaine.
- Au Sri Lanka, en janvier 2005, la statue de "Notre-Dame de Matara" a été miraculeusement épargnéepar les raz-de-marée dévastateurs qui ont noyé les rivages de l'océan Indien. "Les bâtiments, les propriétés des particuliers, on peut les reconstruire. Mais cette statue, elle est unique", déclare le recteur du pèlerinage. Dimanche 2 janvier, les catholiques de cette région se sont réunis pour rendre grâce à Dieu. Au moment où une messe était en train d'être célébrée dans l'église, l'immense vague a traversé le lieu de culte et "un garçon de douze ans a vu la statue disparaître, glisser de sa cage de verre et se diriger tout droit vers la mer", raconte le curé de la paroisse. Quelques jours plus tard, la statue a été retrouvée à quelques centaines de mètres de son abri, dans l'arrière-cour d'un habitant bouddhiste qui l'a rendue à l'église. La Vierge a perdu ses bijoux dans les eaux bouillonnantes mais l'Enfant Jésus est encore dans ses bras, et sa couronne est toujours suspendue à sa tête. "Les gens ont été vraiment heureux de la retrouver. Ils étaient tellement inquiets", ajoute le P. Hewasassam. Depuis, les quelque 200 catholiques du village, dont 18 ont péri dans le cataclysme, croient que la statue, emportée par la première vague, a retenu les eaux dix à quinze minutes avant le deuxième assaut de l'océan, suffisamment longtemps pour que la population puisse fuir. "Son sens de la solidarité l'a poussée à rentrer dans la même lutte que menait la population, avec Jésus, puis elle est revenue parmi nous", disent-ils. La statue n’en est pas à son premier sauvetage. En 1907, elle était retrouvée par des pêcheurs sri lankais qui n'ont pas réussi à déterminer sa provenance. Elle était alors en piètre état et l'évêque de Galle, ville dont dépend Matara, l'a envoyée dans son pays, la Belgique, pour y subir des réparations. Mais le navire qui devait la transporter au retour a fait naufrage. En fait, deux semaines plus tard, la Vierge est réapparue dans un colis qu'un autre bateau avait par erreur pris à son bord. Le 8 septembre de chaque année deux cent mille fidèles viennent en pèlerinage à "Notre Dame de Matara ». (source : presse - information : archevêché de Colombo,InfoCatho).
Agnès Segni est née le 28 janvier 1268 à Gracciano, près de Montepulciano, de parents suffisamment fortunés et très bons chrétiens. Enfant, elle fut confiée aux sœurs de Montepulciano, appelées Sœurs du Sac parce que leur habit, de toile grossière, ressemblait à un sac; on lui confiera bientôt la charge d'économe; à 17 ans elle dirige la construction du couvent à Procéna, où par le bref pontifical elle devient abbesse; à 32 ans elle revient à Montepulciano pour y fonder un couvent de Soeurs Dominicaines, où elle sera prieure. Elle meurt le 20 avril 1317, à l'âge de 49 ans.
Son corps, miraculeusement préservé de la corruption, repose au Couvent des Dominicaines de Montepulciano.
On la représente soit avec trois cailloux en souvenir de la construction du monastère dont les pierres lui avaient été offertes par la Sainte Vierge, soit en compagnie d'un agneau, par la similitude avec son prénom et son adoration de l'Agneau de Dieu, soit portant une crosse, dans sa fonction d'abbesse.
Elle fut béatifiée par Clément VIII en 1608. Et canonisée par Benoît XIII en 1726.
Sources:
René-M. Groleau, O.P., Saints Dominicains, p. 17-18.
Prêtre à Cordoue (Espagne), il ne cachait pas son engagement religieux. Les musulmans qui occupaient l'Espagne l'arrêtèrent et le décapitèrent.L'Evangile au quotidien
Il desservait une paroisse et, comme tous ses confrères, il savait qu'il risquait sa tête à vouloir convertir les musulmans. Il se méfia donc quand deux musulmans l'abordant dans la rue lui demandèrent ce qu'il pensait de Mahomet et de Jésus car, disaient-ils, "nous ne désirons que nous instruire". Il se mit à leur prouver que Mahomet était un faux prophète et que seul Jésus était le sauveur. Ils souhaitèrent le bonjour à saint Parfait, le laissèrent rentrer tranquillement chez lui, puis quelques jours après, ils le dénoncèrent à des amis. Traduit devant le tribunal arabe, il fut condamné à mort. Une fois encore et publiquement, il dit ce qu'il pensait de Mahomet et du Coran. Son culte passa en France puisque les chanoines de la cathédrale de Paris chantèrent longtemps une messe solennelle en son honneur chaque 18 avril. Nominis.cf.fr
Une video édifiante sur les moeurs d'accueil, l'ouverture et la tolérance bien connues des Juifs à l'égard des étrangers. Ces "juifs" ont gardé des préceptes juifs de l'époque du Christ comme l'interdiction de lier compagnie avec un étranger, d'aller chez lui ou de manger à sa table (Maurice Vallery-Radot, L'Eglise des premiers siècles, Collection Tempus, Paris 2006, p. 73; Jean Daniélou, L'Eglise des premiers temps, Point Histoire, p. 32.)... D'où ces comportements exclusifs de rejet et de haine. D'autant plus s'il s'agit de Français!
A noter, ce record d'inversion accusatoire à 01:33 : "Nous sommes plus ouverts que vous ne le pensez!"...
Dans le document Liberté et Vérité (1999), Benoît XVI, alors cardinal, fait une critique des "Lumières". Il constate leur échec au XXe siècle dans le "plus grand système d'esclavage des temps modernes" que fut ce "mouvement de libération" qu'a été le communisme, à côté du national-socialisme (p. 85). Mais il ne répudie pas "l'héritage des Lumières en tant que tel et en totalité", il propose d'en corriger le cours sur trois points :
1- Corriger la Liberté conçue sans normes, "une conception fausse".
2- Corriger le mythe progressiste d'un ordre idéal des choses à atteindre, un ordre "qui n'existera jamais". Les concepts qui l'accompagent tels que 'changement' et 'révolution' doivent eux aussi être démythifiés. La transformation du monde est un mythe. (Ex: la France d'après de Nicolas Nagy-Bocsa Sarkozy!... Nouveau totalitarisme républicain à méditer...)
3- Corriger le rêve de "l'autonomie absolue de la raison et de son autosuffisance". La raison humaine a besoin de s'appuyer sur les grandes traditions éthiques et religieuses de l'humanité qui coïncident avec le Décalogue, cette idée que Dieu a de la vérité de l'homme "dans lequel le bien de tous et la liberté sont indissolublement liés". "Même l'éthique philosophique ne peut être complètement autonome. Elle ne peut renoncer à l'idée de Dieu, ni à l'idée d'une vérité de l'être ayant un caractère éthique. S'il n'y a pas de vérité de l'homme, alors l'homme n'a pas de liberté. Seule la vérité rend libre.
Dans cet important document, titre original Freiheit und Wahrheit, Benoît XVI fait également une critique de la nation conçue comme "unité de référence". Avis aux "nationalistes" (sic) républicains qui considèrent qu'au-dessus de la nation il n'y a rien.
"Pendant l'ère des Etats-nations, on partait du principe que la nation était l'unité de référence, que son bien commun était aussi le juste critère de la liberté commune. Les évènements de notre siècle ont suffisamment montré qu'on ne pouvait se contenter de ce point de vue. Saint Augustin dit à ce propos qu'un Etat qui ne se détermine que par rapport à ses intérêts communs, et non à la justice elle-même, n'est pas structurellement différent d'une bande de brigands bien organisée, qui ne fait rien d'autre que considérer son bien propre indépendamment de celui des autres. Si nous considérons l'époque coloniale et les dégâts qu'elle a laissé derrière elle dans le monde, nous voyons bien que des Etats, aussi ordonnés et civilisés soient-ils, se rapprochent effectivement des bandes de brigands lorsqu'ils ne pensent pas au bien en soi, mais seulement à leur bien propre. La liberté ainsi garantie a donc en elle-même quelque chose de la liberté du brigand.
... Le critère du droit véritable ne peut donc être que le bien du tout, le bien en soi. C'est à partir de là que hans Jonas a proposé le concept de responsabilité comme concept central de l'éthique (H. Jonas, Le principe responsabilité, Ed. du Cerf, 1991). Cela signifie que la liberté, pour être bien comprise, doit toujours être pensée en rapport avec la responsabilité."
Depuis 2000 ans, l'alliance des "judéo-chrétiens", juifs et gnostiques francs-maçons contre les chrétiens, catholiques, païens et hellénistes, est toujours d'actualité. Les sionistes se distinguent à leur utilisation maniaque du terme "judéo-christianisme" pour décrire et définir la "civilisation européenne" (sic). Cette définition aurait pour avantage de permettre par la suite l'intégration de l'Etat d'"Israël" dans l'ensemble dit "européen"...
Or, d'un point de vue théologique, historique, ethnique et culturel, l'expression est fausse. L'élément "judéo" dans la définition de la civilisation européenne est tout simplement impropre. La civilisation européenne n'est pas "judéo-chrétienne" pour la première raison que le judéo-christianisme est une interprétation théologique ethniquement juive d'obédience pharisienne, et donc non européenne..., une interprétation qui du point de vue de la foi s'est effondrée au concile de Jérusalemen 49 ap. J.-C...
"Le judéo-christianisme triomphant en 49, s'effondrera; le christianisme paulinien commencera sa destinée triomphale. Au seuil de cette époque se situe leconcile de Jérusalem, qui en marque les données; à son terme la chute de Jérusalem qui tranche les questions." (Jean DANIELOU,L'Églisedes premiers temps, des origines à la fin du IIIe s., Points Histoire, Tours 1999, p. 37).
"Disons-le, cette Eglise judaïsante... supportait mal la greffe de l'Evangile. Elle était ainsi vouée à disparaître. Nous la verrons s'éteindre au terme d'une lente agonie" (Maurice VALLERY-RADOT,L'Eglise des premiers siècles,Collection Tempus, Paris 2006, p. 131).
"De retour à Antioche vers 48, Paul [l'apôtre des nations] et Barnabé rendent compte de leur mission dont le succès, qui dépassait toutes les prévisions, est considéré comme l'oeuvre de l'Esprit-Saint. Toutefois, l'afflux des conversions soulevait un problème. ... La question se posait toujours de savoir comment admettre dans l'Eglise les nouveaux convertis. A part les Juifs de race, on distinguait soit les païens d'origine, soit des ressortissants de la mouvance judaïque." (Maurice VALLERY-RADOT, ibid. p. 105.)
"[S]ous les pas de saint Paul, le terrain était bien souvent miné par les Juifs qui ne lui pardonnaient ni sa conversion ni son action apostolique. Il y avait pire. Des prédicateurs 'judéo-chrétiens', dits prédicateurs judaïsants, firent de même. Demeurés fidèles aux pratiques du judaïsme et les estimant obligatoires pour tous, ... [n]ous avons rencontré ces prédicateurs à Antioche où ils tentèrent de séparer Pierre et Paul. On les retrouvera en Galatie où leur prédication fut sur le point de faire chavirer les Eglises que venait de fonder l'Apôtre des Nations. Les voici maintenant à l'oeuvre à Corinthe. Ils y perturbent la jeune Eglise déjà si chancelante... Les judaïsants parachèvent leur action dissolvante en dénigrant violemment Paul. A ces attaques, nous devons l'épître aux Galates, toute frémissante d'émotion." (Maurice VALLERY-RADOT, ibid., p. 123).
Du point de vue ethnique et culturel, les judéo-chrétiens ne sont pas des européens mais des Juifs, convertis au christianisme au Ier siècle, qui voulaient garder les observances juives dont la circoncision "et l'interdiction de manger avec les non-juifs, c'est-à-dire avec les païens convertis" (Jean DANIELOU, ibid., p. 32). Or, dès l'origine les Apôtres ont reconnu que la communauté chrétienne était ouverte aux païens (aux nations...) Ceci posera un problème aux "judéo-chrétiens" qui se "sentaient toujours liées par les observances juives" (Jean DANIELOU, ibid., p. 29-32).
"[U]n fait constant : dans toute ville où la pénétration de l'Evangile atteignait un niveau dangereux pour lui, le judaïsme traditionnel qui montait la garde s'efforçait par tous les moyens de livrer l'apôtre [saint Paul] et ses collaborateurs aux autorités romaines dans l'espoir de les faire condamner à mort, à tous le moins à la prison..." (Maurice VALLERY-RADOT, ibid., p. 118). Au départ, la persécution antichrétienne venait bien des Juifs et non des Romains. Furent l'objet de leur vindicte Jean, Etienne et Paul, ainsi que les premiers évêques de Jérusalem, Jacques et Siméon. Si Pierre, Jean et Paul échappèrent miraculeusement à la mort, les autres furent exécutés. Pour le sacerdoce juif, le christianisme, qui lui faisait perdre sa raison d'être, se présentait comme la plus redoutable des hérésies qu'il importait dès lors d'éradiquer dans l'oeuf en faisant périr sinon tous ses adeptes du moins les meneurs. ... Un Juif devenu chrétien se mettait automatiquement hors la Loi mosaïque encourant ainsi la peine de mort par lapidation. L'animosité de la Synagogue contre les chrétiens perdura. Les Juifs n'hésitaient pas à les dénoncer à la justice romaine... C'est ainsi que l'évêque de Smyrne, Polycarpe fut brûlé vif et le futur pape Calixte condamné aux mines en Sardaigne... (Maurice VALLERY-RADOT, ibid., p. 329-330-407).
Un autre élément à prendre en considération est qu'à cette époque, "les pharisiens étaient favorables aux hébreux et hostiles aux hellénistes" (Jean DANIELOU, ibid., p.15). Il existait un courant juif favorable à l'hellénisme dès le IIIe siècle av. J.-C. Or, précisément, le christianisme se répand rapidement chez les hellénistes, païens et juifs, à Antioche... Les pharisiens qui n'acceptaient pas Jésus, n'acceptaient pas plus les hellénistes. Ils se rapprochèrent donc des "judéo-chrétiens" et des premiers gnostiques pour contrer les développements du christianisme à l'intérieur de l'Eglise... Ils tentèrent un coup de force auconcile de Jérusalemen 49, où l'on vit des "chrétiens de la secte des pharisiens" défendre la thèse de la circoncision des gentils (Jean DANIELOU, ibid., p. 38)... "Pierre au nom des Apôtres, Jacques au nom des anciens tranchent en faveur de Paul. ... Cette décisison capitale marque la rupture du christianisme et de la communauté juive, qui va aller en s'accusant dans les années suivantes" (Jean DANIELOU, ibid., p. 38) Exit donc l'élément "judéo"... Aujourd'hui, parler de "civilisation européenne judéo-chrétienne" est donc une imposture. Ce "judéo-christianisme" s'est éteint en 49 ap. J-C. On retrouvera ensuite les "judéo-chrétiens" dans les sectes hérétiques gnostiques,marcionites,ébionites, lesvalentiniens, lestatianistes, et dans l'hérésiemontaniste (Jean DANIELOU, ibid., p . 106, 107, 130-132).
A la suite de l'enseignement de Saint Irénée, tout un courant défavorable au "judéo-christianisme" va s'amplifier dès la fin du IIe siècle, prolongé plus tard par celui d'Origène. "Tous deux considèrent que les judéo-chrétiens forment désormais une secte... Saint Jérôme écrira à leur sujet: 'Ils se veulent chrétiens et juifs. Ils ne sont ni Juifs, ni chrétiens'" (Maurice VALLERY-RADOT, ibid., p. 164-165).
Pour toutes ces raisons, le Saint-Père défend avec insistance les racines helléniques et chrétiennes de l'Europe.
"Mgr Williamson nie que le peuple juif soit le peuple élu de Dieu, renouant avec la vieille théorie de la « substitution », selon laquelle l'Eglise a pris la place d'Israël comme peuple élu de Dieu, une vision explicitement rejetée par Jean Paul II puis Benoît XVI."
Note 1 dudécret Optamam Totiusdu très Saint Concile Vatican II (site du Vatican): Le Christ a voulu que le progrès de tout le peuple de Dieu dépende principalement du ministère des prêtres. Cela ressort des paroles par lesquelles Notre-Seigneur a constitué les apôtres ainsi que leurs successeurs et coopérateurs, hérauts de l'Évangile, chefs du nouveau peuple élu et dispensateurs des mystères de Dieu. Cela est encore confirmé par les paroles des Pères et des saints. ainsi que les documents répétés des souverains pontifes. Cf. en premier lieu: S. Pie X. exhortation au clergé Haerent animo, 4 août 1908, S. Pii X, Acta IV, pp. 237- 264. -- Pie XI, encycl. Ad Catholici Sacerdotii, 20 déc. 1935: AAS, XXVIII (1936), surtout pp. 37-52. -- Pie XII, exhortation apostolique Menti Nostrae, 23 sept. 1950: AAS, XLII (1950), pp. 657-702. -- Jean XXIII, encycl. Sacerdotii Nostri Prirnordia, ler août 1959: AAS LI (1959), pp. 545-579. -- Paul VI, lettre apostolique Summi Dei Verbum. 4 nov. 1963: AAS, LV (1963), pp. 979-995.
Benoît XVI,Audience générale du 19 octobre 2005, paragraphe 3. (site du Vatican): Nous pensons que le peuple élu, le peuple de Dieu, c'est à présent nous.
Après ce rappel, que vont dire les Juifs intégristes, les sionistes politiques et les judaïsants? Et oui, le peuple élu, à présent, et depuis 2000 ans, c'est nous.
Gloria Patri et Filio et Spiritui Sancto, sicut erat in principio, et nunc, et semper : et in saecula saeculurum. Amen.
"Puis il déclara : « Rappelez-vous les paroles que je vous ai dites quand j'étais encore avec vous : Il fallait que s'accomplisse tout ce qui a été écrit de moi dans la loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes. » Alors il leur ouvrit l'esprit à l'intelligence des Écritures. Il conclut : « C'est bien ce qui était annoncé par l'Écriture : les souffrances du Messie, sarésurrection d'entre les morts le troisième jour, et la conversion proclamée en son nom pour le pardon des péchésà toutes les nations, en commençant par Jérusalem. C'est vous qui en êtes les témoins." (Evangilede Jésus-Christ selon saint Luc 24,35-48)
Mais que dit le Seigneur Jésus ? « Pourquoi ce trouble, et pourquoi ces doutes qui s'élèvent dans votre coeur ? » Il est bon pour l'homme non que sa pensée s'élève dans son coeur, mais que ce soit son coeur qui s'élève -- là où l'apôtre Paul voulait établir le coeur des fidèles, à qui il disait : « Du moment que vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les choses d'en haut, là où se trouve le Christ, assis à la droite de Dieu. Tendez vers les réalités d'en haut, non celles de la terre. Car vous êtes morts et votre vie est désormais cachée avec le Christ en Dieu. Quand le Christ sera manifesté, lui qui est votre vie, alors vous aussi serez manifestés avec lui pleins de gloire » (Col 3,1s). Et quelle est cette gloire ? La gloire de la résurrection... (Commentaire du jour, Saint Augustin 354-430, évêque d'Hippone Afrique du Nord et docteur de l'Église Sermon 116 ; PL 38, 657, trad. Solesmes, Lectionnaire, vol. 3, p. 85 rev.)
Un Catholique n'est pas un révolutionnaire, il n'emploie pas les armes des ténèbres; il ne risque pas sa place au Ciel, en se compromettant avec ses ennemis, en utilisant leurs basses méthodes.La fin ne justifie pas les moyens![contrairement à ce qu'affirme le porteur de "lumières" Adam Weishaupt...]
Le Contrerévolutionnaire lutte d'abord par la prière, puis il étudie, et enfin il agit; toujours en Catholique fidèle, pour l'amour de Dieu et de sa patrie, avec honneur.Le Légitimiste
Dans l'Evangile selon saint Luc 24, 13-35 Jésus vient ramener à la foi deux disciples inconnus par ailleurs dans les Ecritures. Ces deux disciples avaient perdu la foi suite au scandale de la Croix, Jésus les ramène à lui en allant à leur rencontre. Ils étaient en route vers le village appelé Emmaüs. Ils pensaient que Jésus seraient le "libérateur d'Israël". Jésus leur dit qu'ils n'avaient pas compris, que leur coeur étaient lents à croire tout ce qu'ont dit les prophètes. Lorsqu'ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d'aller plus loin. Mais ils s'efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous : le soir approche et déjà le jour baisse. » Il entra donc pour rester avec eux. Quand il fut à table avec eux, il prit le pain, dit la bénédiction, le rompit et le leur donna. Alors leurs yeux s'ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards. "Le Seigneurest apparu, sans toutefois se montrer à eux sous une forme qu'ils puissent reconnaître. Le Seigneur a donc réalisé à l'extérieur, aux yeux du corps, ce qui en eux s'accomplissait à l'intérieur, aux yeux du coeur. À l'intérieur d'eux-mêmes, les disciples aimaient et doutaient tout à la fois ; à l'extérieur, le Seigneur leur était présent sans cependant manifester qui il était. À ceux qui parlaient de lui, il offrait sa présence ; mais à ceux qui doutaient de lui, il cachait son aspect familier, qui leur aurait permis de le reconnaître. Il a échangé quelques paroles avec eux, leur a reproché leur lenteur à comprendre, leur a expliqué les mystères de l'Écriture Sainte qui le concernaient. Et pourtant, dans leur coeur il demeurait un étranger, par manque de foi ; il a donc fait semblant d'aller plus loin... La Vérité, qui est simple, n'a rien fait avec duplicité, mais elle s'est simplement manifestée aux disciples dans son corps telle qu'elle était dans leur esprit.
Par cette épreuve, le Seigneur voulait voir si ceux qui ne l'aimaient pas encore comme Dieu étaient du moins capables de l'aimer comme voyageur. La Vérité cheminait avec eux ; ils ne pouvaient donc pas demeurer étrangers à l'amour : ils lui ont proposé l'hospitalité, comme on le fait pour un voyageur. Pourquoi d'ailleurs disons-nous qu'ils lui ont proposé, alors qu'il est écrit : « Ils le pressèrent. » Cet exemple nous montre bien que nous ne devons pas seulement offrir l'hospitalité aux voyageurs, mais le faire de façon pressante.
Les disciples mettent donc la table, offrent de quoi manger ; et Dieu, qu'ils n'avaient pas reconnu à l'explication de l'Ecriture Sainte, ils le reconnaissent à la fraction du pain. Ce n'est donc pas en entendant les commandements de Dieu qu'ils ont été éclairés, mais en les mettant en pratique."
(Saint Grégoire le Grand vers 540-604, pape, docteur de l'Église, Homélie 23 sur l'Évangile, trad. Barroux rev.)