Chapelles insolites
Avec trois superbes croix à 4:35, le clocher tordu de Saint-Côme à 4:44
« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
La force de l'âme est dans ses puissances, ses passions et ses facultés. Si la volonté les tourne vers Dieu et les tient à l'écart de tout ce qui n'est pas Dieu, l'âme garde pour Dieu toute sa force ; elle l'aime vraiment de tout son pouvoir, comme le Seigneur lui-même le commande.
Se rechercher soi-même en Dieu, c'est rechercher les douceurs et les consolations de Dieu, et cela est contraire au pur amour de Dieu.
C'est un grand mal d'avoir en vue les biens de Dieu plutôt que Dieu lui-même, l'oraison et le détachement.
Il y en a beaucoup qui cherchent en Dieu leurs consolations et leurs goûts, et désirent que sa Majesté les comble de ses faveurs et de ses dons ; mais le nombre de ceux qui prétendent lui plaire et lui donner quelque chose à leurs dépens, en méprisant leur propre intérêt, est très petit.
Il y a peu d'hommes spirituels, même parmi ceux que l'on regarde comme très avancés dans la vertu, qui acquièrent une parfaite détermination pour le bien. Ils n'arrivent jamais à se renoncer entièrement sur quelque point de l'esprit du monde ou de la nature, ni à mépriser ce qu'on dira ou ce qu'on pensera d'eux, quand il s'agit d'accomplir par amour pour Jésus Christ des oeuvres de perfection et de détachement...
Celui qui ne veut que Dieu seul ne marche pas dans les ténèbres, quelque pauvre et privé de lumière qu'il puisse être à ses propres yeux...
L'âme qui, au milieu des sécheresses et des délaissements, conserve toujours son attention et sa sollicitude pour servir Dieu, pourra avoir de la peine et craindre de ne pas réussir ; mais, en réalité, elle offrira à Dieu un sacrifice de très agréable odeur (Gn 8,21).
Source : Saint Jean de la Croix (1542-1591), carme, docteur de l'Église, Avis et maximes (121-143 in trad. Seuil 1945, p. 1199) Commentaire du jour
Deux citations sur le "sacrifice" :
"Une armée formidable et une nuée de barbares va fondre sur cette isle (Malte) ce sont les ennemis de Jésus-Christ : ... Heureux ceux qui, pour une si bonne cause, consommeront les premiers leur sacrifice ! Mais, pour nous en rendre dignes, allons mes chers frères, renouveler nos voeux aux pieds des autels, et que chacun puise dans le sang-même du Sauveur des hommes, et dans la pratique fidèle des sacrements, ce généreux mépris de la mort qui peut seul nous rendre invincibles." (Jean de la Valette Parisot, Grand Maître de l'Ordre de Malte, à l'occasion du grand siège de Malte en 1565).
[L]e sacrifice est une loi de la vie. [...] Il n'y a ni grandeur, ni beauté, ni sainteté sans sacrifice. Mais le sacrifice n'est pas une vertu réservée aux héros ou aux saints. Il doit être pratiquer par tous, car il est une nécessité spécifique de la vie humaine." (Alexis Carrel, Réflexions sur la conduite de la vie).
ROME, Mercredi 3 juin 2009 (ZENIT.org) - Après l’attentat meurtrier de l’église de l’Assomption, les chrétiens refusent de céder aux menaces des extrémistes hindous et manifestent pour la paix, rapporte « Eglises d’Asie » (EDA), l’agence des Missions étrangères de Paris.
Une grande manifestation organisée conjointement par les catholiques et les protestants a réuni, dimanche 31 mai, plus de 7 000 chrétiens à Katmandou, ainsi que de nombreux autres groupes dans une quinzaine de localités népalaises.
Tous protestaient contre l’attentat à la bombe meurtrier du 23 mai dernier dans l’église de l’Assomption, principale église catholique du Népal, qui a fait deux morts et plus d’une quinzaine de blessés graves dont l’un, la mère de l’une des victimes, vient de décéder des suites de ses blessures.
Malgré les fortes pluies de la mousson, les participants, comprenant un grand nombre de protestants (au nombre de 4 000 environ), de catholiques (plus de 3 000, venus des trois paroisses de Katmandou) ainsi que des hindous et des musulmans, ont rallié le cœur de la capitale en une « Marche de la paix et de la non-violence, contre le meurtre, la violence et le terrorisme ».
... Comme les premiers indices trouvés sur les lieux du drame le laissaient supposer, le groupuscule hindouiste, l’Armée de Défense du Népal (Nepal Defence Army, NDA), a confirmé le 29 mai sa responsabilité dans l’attentat, par une déclaration menaçante : « Nous voulons que le million de chrétiens quitte le pays, sinon nous mettrons un million de bombes dans toutes les maisons où vivent les chrétiens et nous les ferons exploser. » Suite
ROME, Mercredi 3 juin 2009 (ZENIT.org) - Les jeunes ne connaissent aujourd’hui « plus rien ou presque de la doctrine catholique », a déploré le Secrétaire de la Congrégation pour l’éducation catholique et Président de la Commission doctrinale des évêques de France Mgr Jean-Louis Bruguès, de en évoquant l’impact de la sécularisation qui a « profondément transformé nos Eglises ».
Lors d’une rencontre avec les recteurs des séminaires pontificaux, le secrétaire de la Congrégation pour l’éducation catholique a souligné l’importance de revoir les « programmes de formation » de ces jeunes qui n’ont plus aucun « background culturel ». Son intervention a été publiée le 3 juin dans L’Osservatore Romano.
« Je suis convaincu depuis longtemps que la sécularisation est devenue un terme-clé pour penser dans notre société, aujourd’hui, mais aussi dans notre Eglise », a affirmé Mgr Bruguès.
« Quelle que soit la forme qu’elle a prise, la sécularisation a provoqué dans nos pays un écroulement de la culture chrétienne », a-t-il expliqué. « Les jeunes qui se présentent dans nos maisons de formation ne connaissent plus rien ou presque de la doctrine catholique, de l’histoire de l’Eglise et de ses coutumes ». « Cette inculture généralisée nous oblige à effectuer des révisions importantes dans la pratique suivie jusqu’à aujourd’hui ».
Pour le haut prélat français, cette « confrontation avec la sécularisation dans nos sociétés a profondément transformé nos Eglises ». « Nous sommes passés d’une Eglise ‘d’appartenance’, dans laquelle la foi était donnée à la naissance, à une Eglise de ‘conviction’, où la foi se définit comme un choix personnel et courageux, souvent en opposition avec son groupe d’origine ».
... Pour Mgr Bruguès, « l’environnement social d’appartenance ne les soutient plus : ils ont choisi d’être prêtres par conviction et ont renoncé, pour cette raison, à toute ambition sociale ».
Pour ces jeunes à qui il manque « le background culturel nécessaire », Mgr Bruguès a prescrit « une période - d’une année ou plus - de formation initiale, de ‘rattrapage’, d’un genre en même temps catéchétique et culturel ». « Les programmes peuvent être conçus de manière différente, en fonction des besoins spécifiques du pays ». « Personnellement, je pense volontiers à une année complète pour l’assimilation du Catéchisme de l’Eglise catholique, qui se présente comme un compendium très complet », a-t-il ajouté.
L'annonce parue au Bulletin officiel de la Principauté du 30 janvier 2009, autorise la création d'une Grande Loge Nationale Régulière de la Principauté de Monaco (G.L.N.R.P.M.). L'archevêché, par la voix de Mgr René Giulano, vicaire général de l'archidiocèse de Monaco, a exprimé sa défiance, et souligne les «points de divergences» qui subsistent toujours entre les «frères» et l'Eglise, à plus forte raison dans un pays où «la religion catholique, apostolique et romaine est religion d'Etat». (Article 9 de la constitution monégasque).
Face à cette réaction, les maçons initiés à la Grand Loge Nationale Française (G.L.N.F.) ont tenté de se montrer rassurant :
"Nous ne nous plaçons pas dans un rapport de force ; c'est aux maçons de prouver qu'il n'existe pas d'opposition avec l'Eglise. Il n'y a pas d'incompatibilité à être franc-maçon et chrétien, bien au contraire. Nous sommes de bons chétiens et, il vaut mieux pour l'Eglise qu'il y ait ici des francs-maçons chrétiens, qui soutiendront l'Eglise en Principauté, plutôt qu'ils ne le soient pas...".
Mgr René Giulano rappelle à ce sujet les déclarations du cardinal Joseph Ratzinger en 1983, Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi devenu Benoît XVI :
Selon lui, des cérémonies païennes d'inspiration druidique y auraient lieu. Ces dirigeants sont supposés être des modèles de rationalité matérialiste. Mais chaque année au mois de Juillet, ils se rendent en jet privé à Monte Rio en Californie, à 120km au Nord de San Francisco, dans un immense domaine de 1500 hectares de nature sauvage, de forêts de séquoias et de lacs.
Ils y discutent des affaires du monde et s'entendent sur des stratégies politiques ou économiques. Mais surtout, ils participent à des cérémonies païennes d'inspiration druidique et souvent satanique, avec notamment un bûcher nocturne devant une immense statue de hibou, et qui est en fait une représentation de Moloch, une divinité babylonienne, et de Lilith, une divinité sumérienne. Le hibou est aussi le logo du Bohemian Club.
Moloch était une divinité à laquelle les Babyloniens offraient des sacrifices humains. Or selon des témoignages, des sacrifices humains ainsi que des rites sataniques à caractère sexuel auraient lieu dans les parties éloignées du parc. Il est probable que seule une partie des convives y participent.
La cérémonie du Cremation of care qui ouvre les deux semaines annuelles de séminaire au Bomemian Grove reprend des rites druidiques et babyloniens au bord d'un lac artificiel et au pied d'une statue de hibou en ciment de 12 mètres (le hibou est le symbole du club, que l'on retrouve sur son logo). Durant la cérémonie, des haut-parleurs sont posés à côté du hibou, donnant l'illusion qu'il parle, agissant ainsi en tant que maître de cérémonie. La voix enregistrée de l'ancien-journaliste Walter Cronkite, un membre Bohemian Club, est utilisée comme voix du hibou pendant la cérémonie. Les parties du manuscrit peuvent contenir des allusions aux prisonniers prétendus des druides représentant les tribus ennemies. À la fin de la cérémonie, une barque contenant un cercueil dérive jusqu'au pied du hibou. Le cercueil contient une effigie d'enfant, qui est alors brûlée sur un bûcher, ce qui fait penser au culte des démons Baal ou Moloch.
Membres (comme par hasard tous sionistes) : les participants sont en majorité des Américains, souvent proches du Parti Républicain. Mais quelques Européens sont aussi invités, comme Michel Rocard (ancien premier ministre français) Valery Giscard d'Estaing (ancien président français, et concepteur de la Constitution Européenne), ou John Major (ancien premier ministre britannique).
et quelques 2 000 autres… depuis 1872
Alex Jones évite de parler en termes de « libéraux (au sens américain, de gauche) contre conservateurs » ; il considère les deux camps comme étant différents spectres de la même menace ou comme « les deux faces d’une même monnaie », comme il le dit dans son monologue dans le film Waking Life.
Affirmant avoir d’abord été « particulièrement laïc » durant less années 1990, mais qu’il est devenu plus ferme dans ses convictions chrétiennes après avoir pris conscience de la nature satanique et occulte des élites. Alex Jones déclare qu’il n’est pas important qu’on croie ou pas dans le satanisme, mais que ce qui est grave soit que les élites y croient.
En 2007, il a interviewé le cinéaste Aaron Russo à propos d'un plan de domination mondial. L'acteur est mort quelques moirs après, le 24 août 2007, officiellement "des suites de son cancer".
Source : wikipedia
« Il faut remarquer que les efforts pacifiques des pro-vie à Wichita était sur le point d’aboutir à la révocation de la licence de Tiller. Il avait été jugé voici peu pour avoir enfreint plusieurs dispositions de la loi du Kansas relative aux avortements tardifs. Un jury l’avait acquitté, mais d’autres instructions étaient en cours sur d’autres violations de la loi. S’il advenait que fut révélé que l’assassinat de ce jour le fut au motif de tenter de mettre un terme à l’avortement (et, répétons-le, ce n’est absolument pas évident), il ne faudrait pas oublier que l’assassinat d’autres avorteurs ou de membre de leurs personnels (David Gunn, 1993 ; John Britton, 1994 ; Shannon Lowney et Leanne Nichols, 1994, Barnett Slepian, 1998) se sont produits dans un environnement marqué par une grande frustration née des initiatives pro-avortement du président Clinton. Aujourd’hui, on ressent une frustration semblable en raison de la présidence Obama et de son soutien à l’avortement. Il ne s’agit pas de faire porter le reproche sur nos présidents des actions dévoyées de quelques-uns. Mais nous ne devons pas non plus ne pas constater ce qui peut se manifester comme modèle. Quand diminue l’espoir que le gouvernement va faire quelque chose pour protéger les vulnérables, la tentation de faire justice soi-même grandit. »
En Christ Dieu nous fait passer de son image à sa ressemblance (Gn 1,27)
"Pourquoi, homme, te méprises-tu tellement, alors que tu es si précieux pour Dieu ? Pourquoi, lorsque Dieu t'honore par la naissance du Christ en notre chair, te déshonores-tu à ce point ? Pourquoi cherches-tu comment tu as été fait et ne recherches-tu pas en vue de quoi tu es fait ? Est-ce que toute cette demeure du monde que tu vois n'a pas été faite pour toi ? C'est pour toi que la lumière se répand et dissipe les ténèbres, c'est pour toi que la nuit est réglée, pour toi que le jour est mesuré ; pour toi que le ciel rayonne des splendeurs diverses du soleil, de la lune et des étoiles ; pour toi que la terre est émaillée de fleurs, d'arbres et de fruits ; pour toi que cette foule étonnante d'animaux a été créée, dans l'air, dans les champs, dans l'eau si belle, pour qu'une lugubre solitude ne gâte pas la joie du monde nouveau...
En outre, le Créateur cherche ce qu'il peut bien ajouter à ta dignité : il dépose en toi son image (Gn 1,27), afin que cette image visible rende présent sur terre le Créateur invisible, et il te confie la gérance des biens terrestres, afin qu'un aussi vaste domaine n'échappe pas au représentant du Seigneur... Et ce que Dieu a fait en toi par sa puissance, il a eu la bonté de l'assumer en lui-même ; il a voulu se manifester vraiment dans l'homme en qui, jusqu'alors, il n'était apparu qu'en image. Il a donné à l'homme d'être en réalité ce qu'il n'était auparavant que par une simple ressemblance... Le Christ naît donc pour rendre toute son intégrité à la nature déchue."
Saint Pierre Chrysologue (v. 406-450), évêque de Ravenne, docteur de l'Église
Sermon 148, Sur le mystère de l'Incarnation (trad. bréviaire rev. ; cf Orval) Commentaire du jour
La lecture d'un article publié sur le blog de Guillaume de Thieulloy, intitulé "Le saint-siège et Israël", me rappelle que nous ne pouvons pas critiquer Israël et la politique sioniste pour la France (mélange des peuples dans un seul Etat, multiculturalisme, multireligionisme obligatoire sauf pour Israël bien évidemment "Etat qui appartient aux Juifs" seuls) en reproduisant la doxa sioniste et les erreurs commises en France et en Palestine. Cela n'a pas de sens de combattre le sionisme politique en utilisant ses armes et ne sert au final que l'idéologie que nous combattons. Nous devons au contraire nous opposer au sionisme politique frontalement, face à face, avec nos armes, en opposant nos principes traditionnels aux leurs. Il y a quand même largement moyen de critiquer le sionisme sans avoir à en reproduire le catéchisme ! N'y a-t-il pas déraison et incohérence à dénoncer le sionisme tout en imposant sa doxa pour la France et l'Etat israélien (multiculturalisme, multireligionisme obligatoire) ?
Il est désormais acquis que le saint-siège reconnaît la légitimité d'Israël (c'était le cas depuis longtemps, mais cela a été officialisé par l'"Accord fondamental" du 30 décembre 1993 entre le Vatican et l'Etat d'Israël).
La question qui se pose alors est double:
1) Quelle doit être la capitale de l'Etat hébreu (Jérusalem, comme le veut Israël, ou Tel Aviv comme le veut la quasi-totalité de la communauté internationale)? Et, corollairement, quel doit être le statut de Jérusalem? Sur ce thème, lesaint-siège continue à privilégier un statut international pour la Ville sainte
2) Quelles doivent être les frontières de l'Etat d'Israël? Le saint-siège continue à contester les annexions israéliennes de 1967 (notamment celle de Jérusalem Est). Dans ce cadre, le statut de la bande de Gaza et de la Cisjordanie, également annexées en 1967, est également susceptible de discussion (l'annexion de ces territoires en 1967 n'a pas été reconnue par l'ONU, mais, depuis, Israël et les autorités palestiniennes ont posé les bases d'un accord sur une autonomie progressive et la communauté internationale semble décidée à laisser les parties en présence s'accorder sans maintenir ses propres exigences juridiques).
Sur la question de Jérusalem, rien de nouveau n'apparaît dans les déclarations publiques de Benoît XVI, lors de son pèlerinage en Terre sainte de mai 2009.
En revanche, le Pape a déclaré le 13 mai, à Bethléem, aux autorités palestiniennes, et tout spécialement à Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne:
"Le Saint-Siège soutient le droit de votre peuple à une patrie palestinienne souveraine dans le pays de vos ancêtres, dans la sécurité et la paix avec ses voisins, dans des frontières reconnues de façon internationale."
Derrière ces mots d'apparence anodine, il est donc clair que le Vatican soutient les revendications palestiniennes d'un retour aux frontières d'avant 1967.
Il convient également de noter que le Vatican prend ainsi parti dans un autre débat: il est, semble-t-il, favorable à l'établissement de deux Etats (Israël et un Etat palestinien) entre l'Egypte, le Liban et la Jordanie (c'est-à-dire dans les frontières d'Israël postérieures à 1967, non compris le Sinaï restitué à l'Egypte en 1979).
Plusieurs promoteurs de la paix dans cette région soutiennent, au contraire, qu'il faudrait un unique Etat multiculturel, multiethnique et multireligieux. [Cas de la liste antisioniste me semble-t-il. Ou du moins discours de certains militants sur cette liste. Sur ce point Yahia Gouasmi, Dieudo et Alain Soral doivent évoluer et réflechir à ne pas reproduire en Palestine les erreurs sionistes commises en France via le multiculturalisme, le mélange obligatoire, le métissage, l'immigrationnisme de masse, soutenus par le Lobby, erreurs sociales qui détruisent l'identité de la France. On peut critiquer le sionisme sans avoir à reproduire son discours... et faire d'Israël ce qu'est la "république" dite française, un Etat Israélien forcément "multiethnique", "multiculturel", "multi-religieux", et cela même si sur place, les populations furent toujours multiples, l'arabité et l'islamité étant en Palestine un trait identitaire indéniable. D'où la position traditionnelle de l'Eglise pour la Palestine : un Etat indépendant d'Israël. Dans cette optique, on peut par exemple critiquer la duplicité et l'hypocrisie sioniste qui prône un Etat israélien appartenant aux Juifs seuls, mais en dénie ce droit aux Palestiniens, d'avoir eux aussi un Etat libre et indépendant, Palestiniens qui pourtant en terme de légitimité sont largement plus légitimes en Palestine que les Juifs chassés depuis 2000 ans.]
Source: Le Blog de Guillaume de Thieulloy Osservatore-vaticano http://www.osservatore-vaticano.org/article-31899397.html
A lire Un programme pacifique et démocrate : "Jérusalem doit rester la capitale d'Israël" (video d'Obama rampant devant le Lobby Aipac)
La position officielle du Saint Siège est qu’il y ait deux états, israélien et palestinien
[Sainte Catherine a entendu Dieu lui dire] : « Toute créature douée de raison possède en elle-même une vigne, qui est la vigne de son âme. C'est la volonté, par le libre arbitre, qui est l'ouvrier de cette vigne durant le temps de la vie ; passé ce temps, elle n'y peut plus faire aucun travail ni bon ni mauvais, mais pendant la vie, elle peut cultiver sa vigne dans laquelle je l'ai envoyée.
Cet ouvrier de l'âme a reçu de moi une telle force qu'il n'est ni démon ni autre créature qui puisse la lui enlever, s'il s'y oppose.
C'est dans le baptême qu'il a reçu cette force et en même temps le glaive de l'amour de la vertu et de la haine du péché. C'est pour cet amour et cette haine, pour l'amour de vous et en haine du péché, qu'est mort mon Fils unique, en répandant pour vous tout son sang. Et c'est cet amour de la vertu et cette haine du péché que vous trouvez dans le saint baptême qui vous rend la vie par la force de son sang...
« Arrachez donc les ronces des péchés mortels et plantez des vertus..., ayez la contrition, le dégoût du péché et l'amour de la vertu ; alors vous recevrez les fruits du sang de mon Fils. Vous ne pourrez pas les recevoir si vous ne vous disposez pas à devenir de bons sarments unis au cep de la vigne, mon Fils, qui a dit : « Moi, je suis la vraie vigne, mon Père est le vigneron, et vous, les sarments » (Jn 15,1.5).
Source : Sainte Catherine de Sienne (1347-1380), tertiaire dominicaine, docteur de l'Église, co-patronne de l'Europe, Le Dialogue, 23, trad. cf Hurtaud, et Guigues, Seuil 1953, Commentaire du jour
À 13 ans, Jeanne entendit les voix des sainte Catherine et Marguerite et de l'archange saint Michel lui demandant d'être pieuse, de libérer le royaume de France de l'envahisseur et de conduire le dauphin sur le trône.
En réponse à la manifestation satanique organisée par la ville de Clisson en juin, la "fête de l'enfer" avec des subventions du conseil régional Pays de Loire et du conseil général de Loire-Atlantique, signe de la Providence, le Saint-Père, lors de la messe de Pentecôte au Vatican, dimanche 31 mai, rappelle quelques bases de la doctrine catholique et dénonce "les images qui mettent en scène le plaisir, la violence et le mépris pour l'homme et la femme", auxquelles la société semble s'être "habituée".
"Tout comme il existe une pollution de l'atmosphère qui empoisonne l'environnement et les êtres vivants, il existe aussi une pollution du coeur et de l'esprit qui mortifie et empoisonne l'existence spirituelle", a dit Benoît XVI. "De la même façon qu'il ne faut pas s'habituer aux poisons de l'air, il faudrait en faire autant pour ce qui corrompt l'esprit", a-t-il ensuite ajouté.
"On dit que cela est la liberté, sans reconnaître que tout cela pollue, intoxique l'âme, surtout celle des nouvelles générations, et finit par conditionner la liberté elle-même". Gloire à Dieu de nous avoir donné un si grand pape.
Source : Le pape Benoît XVI s'en prend à "la pollution de l'esprit" dans les sociétés modernes