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Christ Roi

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  • : Blog d'informations royaliste, légitimiste, pour une France libre, indépendante et souveraine
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Horloge

28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 18:47

Deux jolies croix autour du cou que Marine ne craint pas de porter

Voici via
Nationspresse.info quelques extraits de ses propos :
 

- Sait-on que le modèle qui s’élabore en silence, conduira à reconnaître des facilités d’emploi, de logement ou de traitement en fonction de l’appartenance communautaire ?
- Doit-on accepter que la reconnaissance de la personne et de la liberté individuelle -qui sont des valeurs chrétiennes sécularisées par la République- cède le pas devant des pratiques comme les mariages forcés ?
- Peut-on accepter de revenir au droit personnel qui soumettait les individus à des lois différentes selon leur appartenance ?
- Doit-on, comme le faisait M. Darcos en 2008, limiter notre ambition en se contentant d’être content que les enfants « parlent une langue qui ressemble au français » (Figaro- 22/10/2008) ou doit-on rendre à la langue et à sa maitrise la place centrale qui est la sienne comme composante à part entière de notre identité nationale ?
- Peut-on, sans susciter l’anathème et l’invective et atteindre trop vite le point Goodwin, s’interroger sur l’opportunité de continuer à laisser entrer de manière massive une immigration qui, par sa culture et son nombre, dissout notre identité nationale ?
- Peut-on faire le bilan de la politique d’intégration et la comparer à la politique d’assimilation abandonnée depuis près de 30 ans ?
- Peut-on mener une réflexion sur la politique de naturalisation à tour de bras créant des droits et jamais des devoirs ?
- Peut-on culpabiliser indéfiniment les Français et au-delà les Européens, lorsqu’ils prétendent au droit de défendre leur identité alors que l’on porte au pinacle toutes revendications identitaires de tous les peuples, de tous les autres continents du monde ?

Débat loyal sur l’identité : le FN ne se dérobe pas !
Le Président Sarkozy a lancé une proposition de débat. Le FN, dit Chiche !
Parce que l’amour de la France est au cœur de son projet et que cette question de l’identité lui paraît vitale, le Front National se doit de participer activement à ce débat, d’y prendre toute sa place, d’y porter et d’y défendre ses convictions sur l’identité nationale.

Le FN est légitime
Premier à porter la question identitaire dans le débat politique, le FN a mené souvent dans l’adversité de critiques injustes, une réflexion très aboutie sur le sujet ; incontestablement, il a acquis une incomparable légitimité sur le sujet.
Les conditions d’un débat loyal
A sa proposition loyale, le Front national attend légitimement du Président de la République une réponse loyale :
- Le débat ne peut se faire que dans un cadre solennel à l’échelon national c’est-à-dire à l’image de ce qui s’est fait pour l’environnement dans le cadre d’un « Grenelle de l’Identité nationale » ;
- Il ne peut pas se réduire à un semblant de débat entre élites autoproclamées ou associations non représentatives pour terminer par un rapport technocratique dont les contours et la conclusion seraient d’ores et déjà fixés. Ce débat, si débat il y a, n’aura de valeur qu’autant que ses conclusions ne seront pas dictées d’avance par des « a priori idéologiques ».
- Le débat doit associer toutes les sensibilités, les forces politiques ou associatives sans exclusive mais aussi pour donner de la profondeur à la réflexion des historiens, des philosophes, des hommes de culture, des sociologues, des démographes, des linguistes, des français expatriés, et bien sûr un panel important de citoyens (consultés par internet, par voie de sondages ou directement).
- Il doit surtout, sous peine de perdre toute crédibilité et légitimité, être accessible à l’ensemble du peuple Français par internet, mais aussi (c’est une piste) par la voie de cahiers de doléances disponibles dans tous les bâtiments publics (postes, mairies, hôpitaux…).

Il est des moments dans l’histoire d’une nation où il est possible de choisir clairement le chemin qu’un peuple prend collectivement.
Le débat sur l’identité peut-être celui-là.
C’est la raison pour laquelle, j’ai demandé, ce matin, au nom du Front National en ma qualité de Vice-présidente, un entretien au Président de la République afin de l’entretenir de ces propositions.

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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 07:29
ROME, Mardi 27 octobre 2009 (ZENIT.org) - La Commission internationale mixte pour le dialogue théologique entre l'Eglise catholique et l'Eglise orthodoxe, lors de sa rencontre à Paphos (Chypre), du 16 au 23 octobre derniers, a fait un pas en avant dans sa réflexion commune sur la question décisive pour retrouver l'unité : le rôle de l'Evêque de Rome.

Un communiqué conjoint paru au lendemain de la réunion confirme la bonne avancée de la rédaction d'un document conjoint sur « le rôle de l'Evêque de Rome dans la communion de l'Eglise au premier millénaire ».

Ce document se base sur un « texte préliminaire préparé par le comité mixte de coordination, qui s'est réuni à Elounda (Crète, Grèce) l'année dernière » .

« Lors de son assemblée, la commission a considéré avec soin et amendé le texte provisoire préparé par le comité mixte de coordination. Elle a décidé de terminer l'année prochaine son travail sur ce texte, en réunissant de nouveau la Commission mixte », indique le communiqué. Le document répond à la demande de Jean-Paul II dans son encyclique « Ut unum sint » sur l' « engagement œcuménique » (25 mai 1995), proposant de « trouver une forme d'exercice de la primauté ouverte à une situation nouvelle, mais sans renoncement aucun à l'essentiel de sa mission » (n. 95).

Cela, ajoutait-il, est possible car « pendant un millénaire, les chrétiens étaient unis par la communion fraternelle dans la foi et la vie sacramentelle, le Siège romain intervenant d'un commun accord, si des différends apparaissaient au sujet de la foi ou de la discipline ».

Jean-Paul II invitait à chercher, « évidemment ensemble, les formes dans lesquelles ce ministère pourra réaliser un service d'amour reconnu par les uns et par les autres » . Vingt membres catholiques romains participaient à la rencontre et toutes les Églises orthodoxes, à l'exception du Patriarcat de Bulgarie, y étaient représentées.

Les travaux étaient dirigés par les deux coprésidents, le cardinal Walter Kasper et le métropolite Ioannis Zizioulas de Pergame.

D'après le compte-rendu des travaux rapporté dans le communiqué final, les représentants orthodoxes « ont discuté, entre autres, des réactions négatives au dialogue de la part de certains milieux orthodoxes et les a considérées, à l'unanimité, comme sans fondement et inacceptables, puisque fournissant des informations fausses et trompeuses ».

Via
le Forum catholique
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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 18:53
Le propre de l’identité française est d’être partagée par les “migrants”, “quelque soient leurs origines”, “étrangers ou français” (?!), ... cette “identité s’oppose au repli identitaire” (?!). L’identité nationale est enfin “métissée” ...

La lettre de mission de Sarkozy...

"Notre nation est métissée, l'immigration constitue une source d'enrichissement permanent de notre identité nationale." (Lettre de mission du président juif Nicolas Sarközy au juif Eric Besson, ministre de l'immigraSion)
 
ViaComprendre le projet politique juif

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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 07:23

Missing Links (« Chaînons manquants »), la version la plus complète sur l’origine des attentats
du 11-Septembre, est enfin traduite en français. A voir absolument !


Une video de 2 heures 5 minutes, Source site officiel

Les preuves et témoignages du complot du 11 septembre contre les Américains depuis Pearl Harbor s'accumulent... On attend les cris d'indignations, les qualifications de "paranoïa"..., les accusations d'"antisémitisme" de la part des anti-complotistes... Mention spéciale à SionDeSouche...


Add. La video est également visible sur 
Egalité & réconciliation : "Voici un document vidéo exceptionnel, réalisé par des patriotes américains, qui traite des événements du 11 septembre comme vous ne le verrez jamais à la télévision française. Missing Links (chaînon manquant) est le fruit d'une enquête longue et indépendante, il a été conçu en octobre 2007 pour une durée de 2h05. Bon visionnage."
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26 octobre 2009 1 26 /10 /octobre /2009 10:58

J'invite vivement à tous les fidèles à prier le Seigneur, par l'intercession de Marie, afin que Ut Unum Sint" (Qu'ils soient un, Motu proprio « Ecclesiae unitatem », le 2 juillet 2009)



Les discussions doctrinales entre Rome et la F.S.S.P.X. s'ouvrent aujourd'hui (source : dépêche Ats / Afp). Elles doivent permettre un éclaircissement des points ambigus du concile Vatican II qui ont été systématiquement interprétés dans une herméneutique de rupture avec la sainte Tradition et leur donner une interprétation conforme à l'enseignement de l'Eglise et des papes d'avant le Concile... Cela grince dans les rangs progressistes... Tous à vos chapelets chaque jour pour l'unité de l'Eglise ! Prions pour ce Pape intellectuel, pape de l'unité que la Providence nous a envoyé.

Les Anglicans rentrent à la maison, les orthodoxes envisagent de faire de même en étudiant la manière dont Rome accorde un statut disciplinaire aux Anglicans afin qu'ils conservent l'usage de leur rite et traditions. Tout cela relève du miracle. N'oublions pas que le schisme anglican remonte au XVIe siècle et le schisme orthodoxe à 1053... Ne lachons rien et continuons de prier.

*
Discussions Rome / FSSPX
*
Publication du Motu Proprio Ecclesiae unitatem

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26 octobre 2009 1 26 /10 /octobre /2009 10:46
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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 12:17
Dans un article à Slate.fr du 25 octobre 2009, intitulé "Le Vatican négocie avec ses intégristes", l'auto-proclamé "spécialiste des religions" Henri Tincq écrit :"Personne n'ignore l'état d'émiettement dans lequel se trouve aujourd'hui le milieu catholique intégriste. ... Au fil des ans, la dissidence intégriste est devenue la pitoyable victime des déviations familières à tout groupuscule sectaire". 

Un an auparavant, dans un autre
article au Monde publié le 03 juillet 2008, intitulé "Le pape Benoît XVI et ses intégristes", Tincq écrit du "groupuscule sectaire" (sic) : "Les "tradis" sont toujours là. Largement français à ses débuts - en raison de la nationalité de Mgr Lefebvre et des crispations dans l'Hexagone sur la liturgie moderne -, le phénomène s'est mondialisé. La frontière est de plus en plus poreuse, avec des manifestations de foi et de dévotion encouragées par un Benoît XVI, par un jeune clergé et des communautés dites "nouvelles" qui prônent le retour à la tradition comme mode de résistance à la sécularisation moderne. Les séminaires de la Fraternité saint Pie X, noyau dur du schisme, ont essaimé en Allemagne, en Australie, aux Etats-Unis dans le Minnesota, en Amérique latine. Les générations de prêtres (près de 500) qui en sortent et de fidèles (600 000, de source vaticane) héritiers de cette dissidence se sont renouvelées. Elles sont installées dans plus de trente pays. Typiquement européen, ce modèle d'une Eglise autoritaire, intransigeante, anti-oecuménique et anti-moderne, dominée par la figure du saint prêtre en charge du sacré, s'est exporté. Il est, pour les traditionalistes, le garant de cette part de mystère, d'émotion et de beauté propre à toute tradition et que la "nouvelle messe" aurait sacrifiée. Dans un monde éclaté, le latin y retrouverait un statut de langue universelle et les emprunts aux traditions culturelles, en Inde ou en Afrique, pousseraient vers la "tradition" les fidèles attachés à une liturgie et à un catéchisme uniques." (Fin de citation)
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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 11:59
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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 21:15


Nous apprenons ce soir qu'Obama a déclaré vendredi l'état d'urgence aux Etats-Unis... Autre source : dépêche Afp, H1N1: état d'urgence sanitaire aux USA. Pour le moment, l'infection par le virus H1N1 continue à se propager : 46 Etats sur 50 ont fait part de nombreux cas, qui se comptent par millions à l'échelle du pays et leur nombre continue à augmenter.

Arrivée des premiers décès consécutifs à la prise du vaccin. Des personnes
sont décédées brutalement après avoir reçu le vaccin H1N1 en Suède et en Hongrie.

Ultime alerte
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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 10:28


France 2 « Chronique dune violence ordinaire » - La Commanderie sortie de terre en 1961...

De Gaulle 1964 : "Et aujourd'hui, mes chers compatriotes, ce n'est pas dans la catastrophe, ce n'est pas dans le malheur, ce n'est pas dans l'angoisse qu'il m'arrive de parler aux Français, c'est au contraire dans cette période de paix, de développement, de progrès, de progrès à tous les égards, matériel, social, national, dans cette période aussi de considération internationale qui est maintenant donnée à la France"...


Mitterrand 1983 : "Adapter l'homme à la civilisation urbaine"

France 2 « Chronique dune violence ordinaire » - La Commanderie extrait

Il y a 25 ans le pouvoir socialiste souhaitait adapter l'homme à la civilisation urbaine, avec l'argent du contribuable bien sûr. Les belles paroles de 1964 et 1983 sont largement mises à mal avec le résultat pitoyable de cette adaptation comme nous pouvons le constater aujourd'hui ...
Fermeture d'usine, habitat pourri, familles cassées, économie délabrée, explosion de l'insécurité, intégration ratée, le rêve des planificateurs gaullistes des années 60 et des immigrationnistes socialistes des années 80 s'est transformé en cauchemar...
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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 08:31


A écouter pour le fond du discours, même si Le Pen reste lui aussi un républicain fidèle du système, un auxiliaire que le système inventerait s'il n'existait pas.
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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 07:11
"Le mouvement d'extrême-droite Bloc identitaire, réuni en convention à Orange samedi, annonce sa constitution en parti politique et sa participation aux élections régionales." (Source : Le Figaro, 17/10/2009).

Et un "parti d'extrême-droite" de plus comme faire valoir de la démocrasseuse... Décidément ils n'ont rien compris...

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 08:12
République "libre & égale" qu'ils disaient !

L'immonde ploutocratie d'argent tourne à plein régime et met en place une dynastie. Jean Sarkozy, 23 ans, fils de Nicolas Sarkozy, 
sera le prochain président de l'EPAD (Établissement public d'aménagement de La Défense), qui gère l'aménagement du plus gros quartier d'affaires européen... Il succédera à Patrick Devedjian qui atteint par la limite d'âge (65 ans) comptait sur un décret ministériel pour voir son mandat prorogé... Mais il n'en sera rien. "Tout cela ne doit évidemment rien au hasard" confie au journal un élu des Hauts-de-Seine... Une nouvelle fonction qui pourrait bien lui servir de tremplin pour de nouvelles ambitions ! "Cela permet à Jean de prendre pied dans un vrai territoire d'Ile-de-France, et éventuellement d'envisager d'aller aux régionales de mars", décrypte un élu pour le Parisien.

Jean Sarkozy devrait être élu lors du prochain conseil d'administration de l'EPAD le 4 décembre.  Mais pour cela, il doit être élu auparavant au conseil d'administration, condition indispensable pour en briguer la présidence. La démission d'un administrateur devrait régler le problème...

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 15:16
Une fois n'est pas coutume, cela mérite d'être souligné, le parti socialiste par la voix de son porte-parole, Benoît Hamon, réagit fort opportunément contre l'inverti de la culture Frédéric Mittérand et qualifie aujourd'hui de "choquant" le livre que celui-ci publia en 2005, qui raconte ses épisodes de tourisme sexuel. Il dénonce un "ministre consommateur".

"Je
trouvechoquant qu'un homme puisse justifier, à l'abri d'un récit littéraire, le tourisme sexuel", a déclaré M. Hamon, interrogé par l'AFP, à propos de cet ouvrage, "La mauvaise vie", dans lequel M. Mitterrand confesse son penchant pour les "jeunes garçons" durant ses voyages.

Le porte-parole du PS dénonce également le soutien apporté par le ministre au cinéaste franco-polonais Roman Polanski, arrêté le 26 septembre en Suisse, sur mandat américain, pour une affaire d'abus sexuels sur mineure remontant à plus de 30 ans. "M. Mitterrand, qui n'a démontré pour l'instant aucune qualité comme ministre de la Culture, s'est illustré sur un terrain qui n'est ni à l'honneur du gouvernement, ni au sien", affirme le responsable socialiste. Que Benoît Hamon soit félicité de cette sortie !

La droite des valeurs, totalement absente du parti de Nicolas Sarközy - qui avait pourtant fait campagne sur les valeurs et l'identité nationale -, le franc-maçon et secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand,
trouve "choquant" que le porte-parole du PS, Benoît Hamon, "se situe sur le terrain" du Front national... A cette heure, mis à part le front national, le parti socialiste est la seule voix qui se positionnant sur l'honneur, défende la lutte anti-pédophile.

La question à présent est : combien de temps Frédéric Mittérand tiendra-t-il comme ministre ? Comment un homme politique peut-il être ministre tout en se vantant d'abus sexuels sur de jeunes garçons, cela en toute impunité ? Comment cela peut-il seulement être imaginable ? Comment des hommes politiques peuvent-ils défendre un tel personnage ? 
 
Le sinistre F. Mittérand 
répond à Benoît Hamon ce mercredi, en début d'après-midi, à l'issue d'une audition devant la commission des Affaires culturelles de l'Assemblée nationale:"C'est bien dommage de pouvoir imaginer que des élus de gauche aillent rejoindre le Front national. Je dois dire que les bras m'en tombent". Et d'ajouter : "Si le Front national me traîne dans la boue, c'est un honneur. Si un député de gauche me traîne dans la boue, c'est une honte pour lui."

Le Front national publie depuis le 1er octobre 2009 une pétition pour demander la démission du sinistre de la culture Frédéric Mittérand. Signez-la
ici, détruisez le salop !
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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 07:01
Le déficit du budget de l'Etat français a atteint 127,6 milliards d'euros au 31 août, contre 67,6 milliards il y a un an.

«Le solde général d'exécution au 31 août 2009 s'établit à -127,6 milliards d'euros contre -67,6 milliards à la même date en 2008» a indiqué le ministère . «L'écart d'une année sur l'autre (60 milliards d'euros) s'explique principalement par le poids de la conjoncture économique. ...

Les recettes fiscales nettes se sont effondrées et diminuent de 39,1 milliards d'euros en un an, dont 11,1 milliards de manque à gagner lié aux mesures de soutien à la trésorerie des entreprises dans le cadre du plan de relance de l'économie. Même hors mesures de relance, le produit des recettes fiscales est en recul de 28 milliards d'euros par rapport à fin août 2008, ce qui donne une idée de l'ampleur de la récession traversée par la France.

Les entreprises ont été particulièrement frappées par la crise: les recettes de l'impôt sur les sociétés (IS) enregistrent la chute la plus marquée et plongent de 89,3% en un an, passant de 27,4 milliards d'euros fin août 2008 à seulement 2,9 milliards douze mois plus tard. Les recettes de TVA reculent aussi, de 12%, sur la même période, avec 76,2 milliards d'euros encaissés contre 86,6 milliards un an plus tôt.
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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 07:00

Sophie Coignard vend son bouquin et nous explique sa vision de l'influence franc-maçonnique en France.
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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 06:20

Décidément, cet homme est imprévisible !

Ahmadinejad showing papers during election
 

Ahmadinejad showing papers during election. It shows that his family's previous name was Jewish

Connu pour ses violentes diatribes contre Israël, Mahmoud Ahmadinejad pourrait avoir des origines juives. C'est en tout cas ce qu'affirme le Daily Telegraph. Selon le journal britannique, une photo du passeport du président iranien prise alors qu'il brandissait sa pièce d'identité lors d'un meeting électoral en mars 2008 prouve les racines juives de sa famille. Un agrandissement du document montre que celle-ci s'appelait précédemment Sabourjian, nom juif. Une brève note sur le passeport suggère que la famille du président iranien a changé de nom lors de sa conversion à l'islam, après la naissance de Mahmoud Ahmadinejad.

Sources :
telegraph.co.uk viaE-deoetLe Point Publié le 04/10/2009 à 11:58 - Modifié le 04/10/2009 à 22:58

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 06:19
Les brigades de sécurité scolaire entrent en action

Le Figaro

Marie-Estelle Pech
05/10/2009 | Mise à jour : 11:47


Bagarres, intrusions, drogue : la première «équipe mobile de sécurité» est prête à faire face à tous les maux qui peuvent affecter les établissements scolaires sensibles. Depuis leur «QG », une vaste salle laissée à leur disposition par le lycée Jean-Zay, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), munies de téléphones et d'ordinateurs, les dix personnes recrutées par le ministère de l'Éducation nationale se déplacent en voiture à la demande des proviseurs en mal de sécurité. Le chef du groupe est un ancien officier de l'armée royale belge, qui travaille entre autres avec un ancien policier, un conseiller principal d'éducation, un gendarme auxiliaire, un éducateur sportif, un chef d'établissement et des enseignants. Ce sont tous des profils atypiques, âgés de 27 ans en moyenne, soigneusement recrutés à l'aide d'un commissaire de police placé auprès du recteur de Créteil. Des aptitudes physiques particulières sont exigées, telle une pratique des arts martiaux.

... A mourir de rire... Et dire que les républicains prétendaient "éduquer" d'une façon "égale" les enfants que l'"Ancien Régime" laissaient de côté... La farce se termine en eau de boudin comme on dit.
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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 06:18
En Suisse, deux jours après qu’Oskar Freysinger (UDC) a comparé l’islam au nazisme, les associations musulmanes ne décolèrent pas. Le Conseiller national UDC pourrait avoir à répondre de diffamation devant la justice.

«C’est extrêmement grave, ces propos méritent d’être poursuivis», s’exclame Hafid Ouardiri, directeur de la Fondation de l’Entre-Connaissance et ancien porte-parole de la Mosquée de Genève. Selon l’intellectuel musulman, très en colère, les paroles tenues par le Valaisan devant l’assemblée des députés de l’UDC mettent en danger l’équilibre de la société suisse. La dignité et la solidarité entre les peuples, inscrites dans la Constitution helvétique, sont selon lui mises à mal par ce discours qu’il juge «ultra-fasciste». Les associations font de grands efforts pour que toutes les personnes habitant en Suisse vivent en harmonie, quelque soit leur religion ou origine, explique Hafid Ouardiri. ... «Je connais Oskar, précise-t-il, c’est un fabriquant de peur et de diabolisation».
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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 06:17

Le président du Venezuela Hugo Chavez et son homologue libyen Mouammar Kadhafi ont lancé un appel à l’union de leurs deux régions pour établir un nouvel équilibre mondial, lors de la première journée du deuxième sommet Amérique du Sud-Afrique (ASA).

«Nous commençons à mettre en oeuvre ce processus qui nous semble vital: l’union de l’Amérique du Sud et de l’Afrique», a déclaré le dirigeant socialiste vénézuélien, en ouverture de ce sommet rassemblant jusqu’à dimanche une trentaine de chefs d’Etats des deux régions dans l’île vénézuélienne de Margarita (nord-est).

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3 octobre 2009 6 03 /10 /octobre /2009 16:19


Des responsables religieux entourent l'archevêque de Lyon Philippe Barbarin (au centre),
le 13 septembre 2005 à Lyon, lors d'une procession cloturant la 19e rencontre interreligieuse
pour la paix de la communauté catholique italienne Sant'Egidio, organisée
pour la première fois en France (Photo Merle/AFP).

"Nous sommes en communion avec nos frères musulmans
qui célèbrent en ces jours la fin du Ramadan " !

(Père Michel Lovey - Prédicateur à la messe du dimanche 20 septembre)

 

Lettre d'un fidèle "conciliaire", âgé de 36 ans, adressée au cardinal Barbarin et reçue par La Porte latine avec demande de publication

"Bonsoir,

je me permets de vous informer du scandale dont j'ai été témoin ce matin, alors que j'assistais à la Messe célébrée en la Cathédrale Saint Jean-Baptiste de Lyon. Je ne m'étendrai pas davantage sur ce point, car vous pourrez prendre connaissance de l'ensemble des informations concernées dans le document que je vous adresse en pièce jointe [NDLR : voir ci-dessous] et que j'ai adressé par mail au Cardinal BARBARIN, Evêque de Lyon.
Je ne fréquente pas l'une de vos chapelles, mais je suis avec attention votre oeuvre, tout en bénissant le bien que vous faites à l'Eglise.
Par ailleurs, je vous encourage à consulter, au plus vite, le site de l'évèché de Lyon : le premier article visible est consacré à la fête de la fin du Ramadan [1], l'Aïd-al-Fitr, et le second, à l'éveil à la connaisssance du Judaïsme[2]...en fait, si les chétiens de Lyon ont besoin d'une assistance et d'un guide pour appronfondir leur vie spirituelle (surtout un dimanche!!!), ils doivent éviter de consulter le site du Diocèse de Lyon qui ne semble guère préter d'attention qu'à nos frères musulmans et juifs ! Tout simplement affigeant.[...]
Union de prière en Jésus et Marie.
CB - Lyon"

"Père,

Suite

 La Porte Latine

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3 octobre 2009 6 03 /10 /octobre /2009 16:18

les francs macons
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26 septembre 2009 6 26 /09 /septembre /2009 07:00
Voici quelques nouvelles. J'ai décidé d'arrêter la propédeutique après quelques jours de discernement. A partir des retraites spirituelles de Saint-Ignace déjà réalisées dans ma vie en 2003, 2004 et 2006, j'ai discerné dès le 4e jour que je n'avais pas la vocation. J'invite tous les hommes à réfléchir à leur vocation dans la vie, faire une, voire plusieurs retraites de St Ignace (dites d'"élection") si ce n'est pas clair. Et pourquoi pas, d'essayer ensuite une année de propédeutique (année de discernement pour une vocation sacerdotale de prêtre diocésain). Dans tous les cas, mon conseil est de ne jamais changer de résolution ensuite ("en période de désolation on ne change rien". St Ignace de Loyola).

Je continuerai d'alimenter ce blog de temps en temps, mais d'une manière moins régulière qu'auparavant.

Si des commentateurs réguliers se sentent une âme de dévoué serviteur pour alimenter ce blog de leurs textes, articles ou réactions face à l'actualité, ils peuvent m'écrire sur ingomer@netcourrier.com
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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 11:00

Dans un article que vient de publier le blog dirigé par l’abbé Carusi, Disputationes theologicae, intitulé « Les discussions entre le Saint-Siège et la FSSPX : le Concile au risque de l’interprétation de Mgr Gherardini », l’abbé Claude Barthe met en contexte ces discussions prêtes à s’ouvrir. [I]l donne les noms des trois consulteurs de la Congrégation pour la Doctrine de la foi qui auraient été pressentis pour mener ces discussions sous la direction de Mgr Guido Pozzo, Secrétaire de la Commission Ecclesia Dei. Il s'agit de trois théologiens « restaurationnistes », fidèles à un thomisme rigoureux :

- le P. Charles Morerod, op, nouveau Secrétaire de la Commission théologique internationale, doyen de la faculté de philosophie de l’Université romaine Saint-Thomas d’Aquin, qui a déjà participé à des discussions préliminaires avec la FSSPX ;
- le P. Karl Becker, sj, théologien lui aussi très proche de Benoît XVI, ancien professeur à l'Université grégorienne ;
- et Mgr Fernando Ocáriz, de l’Opus Dei, professeur à l’Université Pontificale de la Sainte-Croix.
 Source : Osservatore Vaticano

A lire sur le Forum catholique : "il aurait été justement intéressant d'avoir en face des théologiens plus modernistes, afin de mieux mettre en évidence le fossé qui nous sépare... C'est ce que voulait Mgr Tissier : arriver à comprendre et à percevoir comme eux perçoivent les choses.

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L'article
http://disputationes.over-blog.com/article-35795536.html

On peut s'interroger sur l'efficacité réelle de la "dispute theologique" et sur les limites effectives du débat autour du Concile Vatican II, qui semble comporter aujourd'hui encore un certain nombre de tabous insurmontables. On ne peut nier cependant que la personnalité d'un Pape "universitaire" ait engagé la discussion théologique dans une perspective de recherche de la Verité moins soumise aux préjugés qu'il y a quelques années. Il faut noter toutefois qu'en contrepartie, un pessimisme chronique d'une certaine frange du monde traditionel semble vouloir fermer les yeux face à l'ouverture intellectuelle qui s'annonce à l'horizon.

L'Abbé Barthe, déjà connu de nos lecteurs pour son intervention sur le Magistère ordinaire infaillible, délimite ici le cadre d'une telle ouverture chez les théologiens du Vatican, qui laisse apercevoir de réelles perspectives d'approfondissement sur les problèmes théologiques majeurs. En particulier, il met en évidence la disponibilité du Saint Siège à écouter les objections relatives à certains passages du Concile Vatican II, quelle que soit l'origine de ces objections : théologiens de l'école romaine ou même membres de la Fraternité Saint Pie X. La recherche de la Verité ne s'impose pas a priori de limites.
Dans l'ensemble, le cadre dessiné par cette nouvelle ouverture est celui d'un climat de recherche encourageant, qui semble avoir abandonné le stérile esprit de dialectique hégelienne qui prétend laisser chacun dans "sa" vérité, pour aborder la discussion dans l'esprit d'une véritable "disputatio theologica" aboutissant à l'unique vérité que les deux parties doivent embrasser : le but en est, dans la limite du possible, de parvenir à une réelle résolution des problèmes. La Vérité n'appartient pas aux uns ou aux autres, la Vérité doit être à tous et pour tous.

La perspective envisagée ici par l'abbé Barthe se revèle d'un intérêt particulier, dans la mesure où elle trace les contours réels du débat, et met en évidence l'unique façon de l'envisager aujourd'hui.

Les discussions entre le Saint-Siège et la FSSPX :
le Concile au risque de l’interprétation de Mgr Gherardini

par M. l'abbé Claude BARTHE

Le point de départ de mon présent article – dont les réflexions n’engagent bien entendu que moi – est ma lecture dans le dernier numéro de La Nef (septembre 2009, p. 21), d’un entretien du P. Manelli, supérieur des Franciscains de l’Immaculée, avec Christophe Geffroy et Jacques de Guillebon. Le P. Manelli déclare : « Il [le Pape] cherche à éviter des ruptures, notamment dans la réception du Concile Vatican II – c’est la fameuse "herméneutique de la réforme dans la continuité". Il peut toutefois exister dans le Concile des discontinuités sur des points précis, cela n’aurait rien de scandaleux, car celui-ci s’est voulu "pastoral", il a pu y avoir en cela des "erreurs" que le pape peut corriger, comme Mgr Gherardini l’a montré dans une étude que nous avons publiée et qui sera traduite bientôt en français ».

De telles déclarations, nouvelles non pas dans leur fond, mais dans la claire assurance avec laquelle elles sont désormais formulées, sont en effet comme cristallisées par la « ligne herméneutique » que représente Mgr Bruno Gherardini [1], à laquelle Disputationes theologicae a donné un large écho [2]. Elle réactive, en la renouvelant substantiellement, celle de la minorité conciliaire – minorité dont on ne saurait oublier l’importance du rôle dans l’élaboration de textes de transaction, ou dit plus polémiquement d’ambiguïté – à savoir en résumé : un certain nombre de points de Vatican II sont susceptibles, non seulement de précisions, mais aussi éventuellement de futures corrections.

D’une autre manière, Mgr Nicola Bux, voix très écoutée à la Congrégation pour la Doctrine de la foi, déclarait à l’agence Fides le 29 janvier 2009 : « On a constaté qu’il n’y avait pas de différences doctrinales substantielles, et que le Concile Vatican II, dont les Décrets furent signés par S. Exc. Mgr Marcel Lefebvre, ne pouvait pas être séparé de la Tradition entière de l’Eglise. Dans un esprit de compréhension, il faut ensuite tolérer et corriger les erreurs marginales. Les divergences anciennes ou plus récentes, grâce à l’action du Saint-Esprit, seront redressées grâce à la purification des cœurs, à la capacité de pardon, et à la volonté de parvenir à les dépasser définitivement ».

Dans ce contexte de liberté théologique et de bouillonnement de saines disputationes auxquelles ce site veut participer, les conversations doctrinales à venir évoquées implicitement par Nicola Bux, qui vont bientôt s’ouvrir entre des théologiens représentant la Congrégation de la Doctrine de la foi et des théologiens représentant la Fraternité Saint-Pie-X, devraient logiquement faire avancer les choses. C’est en tout cas ce que l’on peut penser, compte tenu de la qualité des trois théologiens, tous les trois consulteurs à la Congrégation de la Doctrine de la foi, qui devraient participer à ces discussions du côté du Saint-Siège (dans la mesure où les informations concernant ces nominations sont bien exactes et étant évident que l’« équipe » ainsi constituée peut être modifiée, réduite ou augmentée), sous la houlette de Mgr Guido Pozzo, nouveau secrétaire de la Commission Ecclesia Dei.

Quel degré d’autorité pour les points qui font difficultés dans Vatican II ?

De Mgr Pozzo, qui a enseigné de manière fort classique à l’Université du Latran, Le Figaro du 8 juillet citait ces propos : « Le point faible de l'Église est son identité catholique souvent pas claire », en ajoutant : « Ce n'est pas en renonçant à sa propre identité que l'Église se mettra dans de meilleures conditions pour dialoguer avec le monde, c'est exactement le contraire », pour enfin conclure : « Nous avons besoin de sortir de cette illusion optimiste, quasi irénique, qui a caractérisé l'après-concile ». Il est, entre autres, un spécialiste de ce que l’on appelle les « notes théologiques » (valeur normative que l’on peut attribuer aux textes doctrinaux), de sorte que les discussions ne pourront éviter de traiter de la normativité des assertions discutées, de leur valeur contextuelle, de l’éventuelle absence de toute obligation de foi qu’elles comportent [3].

Le P. Charles Morerod, nouveau Secrétaire de la Commission théologique internationale, qui devrait participer à ces discussions, est un dominicain helvétique qui a fait sa thèse sur Luther et Cajetan. Il est doyen de la faculté de philosophie de l’Université Saint-Thomas d’Aquin, l’Angelicum à Rome, rédacteur de l’édition française de la revue Nova et Vetera. A la demande de la Congrégation de la foi, il a beaucoup travaillé sur la question de l’anglicanisme. C’est un proche du cardinal Cottier, il jouit de la totale confiance du Secrétaire d’État, jadis Secrétaire du Saint-Office et du Pape lui-même.

Dans son importante bibliographie, on peut citer : Tradition et unité des chrétiens. Le dogme comme condition de possibilité de l’œcuménisme [4] ; Œcuménisme et philosophie. Questions philosophiques pour renouveler le dialogue [5].

Il est désormais notoire que le P. Morerod a participé avec des membres de la FSSPX à des conversations doctrinales que l’on pourrait qualifier de préliminaires. Dans une réunion publique tenue dans le cadre du Grec (Groupe de Rencontres entre catholiques), dans les locaux de Saint-Philippe-du-Roule, à Paris, le 26 février 2008, où il débattait avec l’abbé Grégoire Célier, de la FSSPX, sur le thème : « Réviser et/ou interpréter certains passages de Vatican II ? », les deux orateurs étaient arrivés à une très intéressante convergence. Le P. Morerod expliquait qu’il lui paraissait : 1°/ que la possibilité d’une réception de Vatican II « qui se fonderait très fortement sur l’état du Magistère antérieur » pourrait parfaitement avoir sa place dans l’Église, avec pour condition, lui semblait-il, que cette interprétation ne soit pas un rejet de Vatican II ; 2°/ et que pouvait être admise la non-confession de certains points de Vatican II, avec « une certaine exigence de respect » de l’enseignement « officiel » de Vatican II.

Des précisions interprétatives à goût d’inachevé

Le P. Karl Josef Becker, jésuite qui devrait lui aussi participer à ces discussions, né en 1928, théologien très aimé de Benoît XVI, a été professeur invité à la Faculté de théologie de l'Université grégorienne (il a notamment enseigné la théologie sacramentaire, et écrit sur la justification, l’ecclésiologie). Il a publié un article paru dans L’Osservatore Romano du 5 décembre 2006 [6], dans lequel tout le monde a vu une application du discours du Pape du décembre 2005 que j’évoquerai plus loin. Il y défendait que le subsistit in du n. 8 Lumen gentium (l’Eglise du Christ subsiste dans l’Eglise catholique) ne veut rien dire d’autre que le traditionnel : est (l’Eglise du Christ est purement et simplement l’Eglise catholique). Et même, selon la relecture très volontariste du P. Becker, le subsistit in serait destiné à renforcer le est, d’où il résulterait, estimait-il, en visant la part de l’œcuménisme conciliaire qu’il est le plus difficile à faire concorder avec la doctrine traditionnelle, que l’ecclésialité partielle des Eglises séparées est très douteuse [7].

[va dans le sens du document du Cardinal Ratzinger Dominus Iesus § 17 qui ne reconnait pas la qualité d'Eglises au sens propre aux églises réformées, "communautés ecclésiales qui n'ont pas conservé l'épiscopat valide et la substance authentique et intégrale du mystère eucharistique"]


Fernando Ocáriz, le troisième théologien qui devrait également faire partie de l’équipe Pozzo pour participer à ces débats théologiques, né en 1944, vicaire général de l’Opus Dei, a enseigné à l’Université Pontificale de la Sainte-Croix, est l’auteur de très nombreux ouvrages.

Sa désignation tient assurément à son intérêt pour la question de l’interprétation homogène de la déclaration sur la liberté religieuse, Dignitatis humanae, à propos du point le plus sensible – l’apparent remplacement de la doctrine de la tolérance par celle de liberté en matière de "droit public de l’Église" [8] – sur lequel il a lui-même écrit [9]., ou sur lequel il a dirigé des thèses d’étudian. On peut d’ailleurs sans grand risque affirmer qu’il est pour beaucoup dans la formulation que l’on pourrait qualifier de transactionnelle de la liberté religieuse dans le Catéchisme de l’Église catholique [10].

Quant au P. Charles Morerod, profitant de la part importante qu’il a prise aux travaux de l’Anglican-Roman Catholic International Commission (ARCIC), il a montré dans Œcuménisme et philosophie. Questions philosophiques pour renouveler le dialogue [11] qu’un dialogue œcuménique sérieux se devait d’intégrer des éclaircissements sur les présupposés philosophiques des positions théologiques des chrétiens séparés, présupposés qui peuvent largement expliquer leur incompréhension des dogmes de l’Eglise.

Mais c’est surtout son ouvrage Tradition et unité des chrétiens. Le dogme comme condition de possibilité de l’œcuménisme [12] qui mérite une particulière attention pour le sujet qui nous intéresse. Cet ouvrage représente un considérable effort d’interprétation traditionnelle de l’œcuménisme porté à un degré très élevé d’acuité et d’agilité, puisqu’il ne vise à rien moins qu’à montrer comment le dogme catholique en général et celui de l’infaillibilité pontificale en particulier sont… les moteurs les plus efficaces de l’œcuménisme. Démonstration paradoxale (paradoxale dans la mesure où l’on tient communément, pour s’en réjouir ou pour le regretter, que l’œcuménisme cherche à atténuer les arrêtes dogmatiques de la doctrine catholique). Or le paradoxe redouble lorsque la pia interpretatio du savant dominicain fait une lecture thomiste d’un point souvent critiqué dans le texte conciliaire, la « hiérarchie des vérités ».

Selon lui, si l’on accorde aux séparés que, des deux côtés, il y a eu mauvaise compréhension des positions respectives, il faudra bien émettre à la fin quelque formule obligatoire pour tous – autrement dit, un dogme – qui manifestera que l’on se comprend désormais parfaitement et que l’on s’accorde univoquement en exprimant la foi reçue des Apôtres. Concernant le décret conciliaire sur l’œcuménisme, au n. 11 § 3 [13], il rappelle que la tradition catholique, notamment par la bouche de saint Thomas, a toujours affirmé que le refus de croire un quelconque article de foi revient à refuser l’autorité de Dieu de qui dépend la foi, et annihile par le fait le motif de croire et donc pulvérise la foi. Cependant, comme l’expose aussi saint Thomas, l’ensemble des vérités à croire s’organise selon un certain ordre, qui ne supprime aucunement l’importance de chaque article. Le P. Morerod explique, qu’ainsi entendue, la « hiérarchie des vérités » n’est fondamentalement rien d’autre qu’une méthode de catéchèse élémentaire pour expliciter, par exemple, la Maternité divine à partir de l’Incarnation, un moyen pédagogique d’amener à la foi catholique ceux qui s’en sont écartés.

Un nouveau contexte théologique et ses virtualités

Les démonstrations en forme de précisions des PP. Becker, Ocáriz, Morerod, et de bien d’autres encore, sont très séduisantes. L’ennui est qu’elles sont justement rendues nécessaires parce que les textes concernés (dans ce que j’ai évoqué : le n. 8 de Lumen gentium, le n. 2 de Dignitatis humanae, le n. 11 d’Unitatis redintegratio, mais il existe d’autres lieux de difficulté [14]) ne contiennent pas ces précisions qui auraient évité toute interprétations déviantes

N’est-ce pas, plus généralement, la grande difficulté que soulève telle ou telle assertion de Vatican II, à savoir celle d’avoir eut l’effet de ce que l’on pourrait qualifier un « réenveloppement » du dogme (pour faire allusion à la théorie du « désenveloppement » que représente, selon le cardinal Journet, la fonction dogmatique) ?

Mais auparavant, il faut remarquer que le phénomène déclenché par le discours adressé le 22 décembre 2005 par un pape théologien, Benoît XVI, à la Curie romaine, sur la bonne interprétation de Vatican II, se situe dans une phase historique de « retour au dogme » particulièrement intéressante. On pourrait au reste défendre que l’exercice de sa charge de Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, spécialement de 1985 (publication de L’Entretien sur la foi) à 2005, a constitué une espèce de pré-pontificat de réinterprétation et d’encadrement des points sensibles de Vatican II.

A la limite, ce que l’on dit et écrit aujourd’hui librement un peu partout était parfaitement connu : à savoir que l’autorité des passages de Vatican II qui ont paru ou paraissent, prout sonant, ne pas s’accorder avec des assertions dogmatiques antérieures, n’avaient rien de dogmatiques. De même, on pourrait dire que les réinterprétations en forme de précisions orthodoxes de ces passages qui se multiplient aujourd’hui sous des plumes très autorisées ont toujours existé. Mais il est permis de remarquer que ces deux voies conjuguées, qui prennent aujourd’hui un caractère quasi officiel, restent jusqu’à un certain point insatisfaisantes : la première voie (la non-infaillibilité des points contestés) parce qu’elle est purement négative et ne règle pas le fond du débat ; la seconde (la réinterprétation thomiste de ces points) parce qu’elle semble relativement artificielle ou qu’elle est en tout cas évidemment a posteriori.

Mais cependant, de même que dans la vie spirituelle l’accession aux voies mystiques ne peut faire l’économie des purifications ascétiques, tout le bouillonnement actuel déclenché ou activé par le discours théologique libérateur de 2005 a une valeur préparatoire à long terme – et sans doute très long terme – indispensable. Me sera-t-il permis de dire que la situation magistérielle présente (je parle toujours ici, uniquement, des points sensibles de Vatican II, et en aucune manière des avancées indiscutables de ce concile, comme le décret Ad gentes, et, à mon avis la constitution Dei Verbum) est assez inédite dans l’histoire des dogmes. Il ne s’agit pas, comme classiquement, d’hérésies externes et de condamnations internes, mais de flous doctrinaux internes et de rejet (jusqu’à présent) à l’extérieur de leur contestation. On est en présence d’une crise qui ressemble si l’on veut à une crise – fort tardive, il est vrai – d’adolescence, où le meilleur et le pire se mêlent pour accéder à une maturité.

Le pire serait de rester au milieu du gué – par exemple : Unitatis redintegratio n’assigne pas de but clairement précisé en termes dogmatiques à l’œcuménisme. Le meilleur est dans la matière nouvelle qui a émergé – je parle toujours à titre personnel –, et qui fait que, n’en déplaise à ceux qui voudraient revenir à un statu quo ante, il est impossible de prétendre par exemple rayer l’œcuménisme de l’enseignement de l’Église. Plus exactement, il faudra, au terme d’un labeur théologique qui n’a certes jamais cessé depuis 40 ans mais auquel un Pape théologien permet un développement libre et inespéré, faire de l’œcuménisme un enseignement de l’Église comme tel. Les difficultés de ces textes que j’appelle « d’adolescence » (puisqu’on m’a reproché de toutes parts l’appellation de « magistère inachevé ») peuvent être alors comprises comme des questionnements.

Je m’explique en approfondissant cet exemple de l’œcuménisme. A lire le n. 3 d’Unitatis redintegratio, on peut comprendre ce texte comme la reconnaissance traditionnelle de l’existence d’éléments de l’Église catholique, tels le baptême, l’Écriture Sainte, parfois l’ordre, au sein des communautés séparées : « Parmi les éléments ou les biens par l’ensemble desquels l’Église se construit et est vivifiée, plusieurs et même beaucoup, et de grande valeur, peuvent exister en dehors des limites visibles de l’Église catholique ». Mais Unitatis redintegratio rajoute, ce qui apporte une considérable difficulté, une certaine légitimation ecclésiale de ces communautés séparées comme telles : « En conséquence, ces Églises et communautés séparées, bien que nous les croyions souffrir de déficiences, ne sont nullement dépourvues de signification et de valeur dans le mystère du salut. L’Esprit du Christ, en effet, ne refuse pas de se servir d’elles comme de moyens de salut, dont la force dérive de la plénitude de grâce et de vérité qui a été confiée à l’Église catholique ». Les termes du texte semblent donc dire qu’en tant que séparées ces Églises seraient des « relais » de l’Église catholique. Ce qui serait, si telle était la véritable interprétation, en rupture avec l’enseignement antérieur.

Et pourtant, force est de convenir que si – conformément à la doctrine traditionnelle – des séparés de bonne foi accèdent au salut par ces éléments catholiques qui se trouvent de facto dans leurs communautés, n’est-ce pas leur appartenance concrète à ces communautés séparées qui peut (dans le mystère insondable de Dieu) leur apporter ces éléments catholiques salutaires. En même temps, il est vrai, que cette appartenance est aussi le principal obstacle objectif à leur retour dans l’unité de l’Église. Il est clair que le dogme du passé n’a pas intégré explicitement ce fait que les éléments catholiques qui existent dans ces communautés séparées peuvent être instruments de la grâce pour des chrétiens séparés de bonne foi et donc de leur éventuel rattachement in voto à l’Église de Pierre, ni qu’ils sont en attente d’être revivifiés par le retour à l’Église catholique des chrétiens séparés qui en bénéficient. (Ce dont je ne prétends aucunement rendre raison en quelques lignes). Comme si le « questionnement » du n. 3 d’Unitatis redintegratio témoignait de deux sortes d’insuffisances, l’une pour le passé qui disait trop peu, et l’autre pour le présent qui en revanche dit trop.

Abbé Claude Barthe

1. Concilio Ecumenico Vaticano II. Un discorso da fare, Case Mariana Editrice, 25 mars 2009.

2. Mgr Brunero Gherardini, « La valeur magistérielle de Vatican II », dans Disputationes theogicae, jeudi 9 mai 2009 ; Claude Barthe, « Le Magistère ordinaire infaillible. L’abbé Barthe défend la position de Mgr Gherardini », jeudi 18 juin 2009.

3. Sur la manière dont la FSSPX décline le thème de la non-infaillibité des points contestés de Vatican II : Jean-Michel Gleize, « Le concile Vatican II a-t-il exercé l’acte d’un véritable magistère ? » et Alvaro Calderón « L’autorité doctrinale du concile Vatican II », dans Magistère de soufre (Iris, 2009, pp. 155-204 et 205-218)

4. Parole et Silence, 2005.

5. Parole et silence, 2004.

6. « Nel clima dell’Immacolata i quarant’anni del Concilio. Subsistit in (Lumen gentium, 8) », pp. 1, 6-7.

7. Un autre ancien professeur de l’Université Grégorienne, le P. Francis A Sullivan, avait d’ailleurs contesté cette interprétation dans « A Response to Karl Becker, S.J., on the Meaning of Subsistit In » Theological Studies, vol. 67 (2006), pp. 395-409. Le P. Sullivan, d’une tendance opposée à celle du P. Becker, ne croit cependant pas davantage que lui à l’autorité infaillible de Vatican II. Dans la ligne Sullivan, mais dans une perspective tout autre que le débat sur les points contestés de Vatican II, la bibliographie sur la relativisation de l’autorité magistérielle dans la théologie actuelle est considérable. En français : un classique, Jean-François Chiron, L’infaillibilité et son objet. L’autorité du magistère infaillible de l’Église s’étend-elle aux vérités non révélées ? (Cerf, 1999) ; et la plus récente contribution : Grégory Woimbée, Quelle infaillibilité pour l’Église ? De jure veritatis (Téqui, 2009).

8. Dernier ouvrage paru donnant un bref, mais très substantiel résumé du débat : Guillaume de Thieulloy, « Vers une relecture de Vatican II), dans La théologie politique de Charles Journet (Téqui, 2009, pp. 149-163). Pour l’état le plus complet et le plus parfaitement référencé de la doctrine d’avant Dignitatis humanae, voir le chapitre 9 du schéma De Ecclesia (Documenta oecumenico Vaticano II apparando, Constitutio De Ecclesia, c. 9, traduction dans Claude Barthe, Quel avenir pour Vatican II. Sur quelques questions restées sans réponse (François-Xavier de Guibert, 1999, pp. 163-179).

9. « Délimitación del concepto de tolerancia y su relación con el principio de libertad », Scripta Theologica 27 (1995), pp. 865-884. Cf. sur cette question : P. Basile Valuet, osb, La liberté religieuse et la Tradition catholique, éditions Sainte-Madeleine, 1998, dont il faut souligner qu’il ne semble pas vouloir assimiler l’enseignement conciliaire au magistère ordinaire universel. Tiennent, en revanche, pour la qualification de magistère ordinaire et universel à la doctrine conciliaire de la liberté religieuse (dont ils donnent des interprétations catholiques aux nuances diverses, qu’il n’est pas possible de rapporter ici) : Brian W. Harrison, Le développement de la doctrine catholique sur la liberté religieuse (Dominique Martin Morin, 1988) ; de nombreux articles de Dominique-M. de Saint-Laumer, par exemple « Liberté religieuse. Le débat est relancé », Sedes Sapientiae, 25, pp. 23-48 ; Bernard Lucien, : Les degrés d’autorité du Magistère (La Nef, 2007).

10. « Le devoir social de religion et le droit à la liberté religieuse », nn. 2104-2109.

11. Op. cit., Parole et silence, 2004.

12. Op. cit., Parole et Silence, 2005.

13. « En exposant la doctrine, ils [les théologiens catholiques] se souviendront qu’il y a un ordre ou une "hiérarchie" des vérités de la doctrine catholique en raison de leur rapport différent avec les fondements de la foi chrétienne ».

14. Le n. 2 de la Déclaration Nostra aetate : « « Elle [l’Église catholique]considère avec un respect sincère — observantia : respect religieux — ces manières d’agir et de vivre, ces règles et doctrines qui, quoiqu’elles diffèrent en beaucoup de points de ce qu’elle-même tient et propose, cependant apportent souvent un rayon de la Vérité qui illumine tous les hommes ».

15. En ce qui concerne l’ensemble des difficultés levées par la FSSPX et la manière dont elle les présente, on peut notamment lire le livre collectif : Magistère de soufre, op. cit. (Iris, 2009).


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Au sujet de la messe dans le rite moderne, un article précédent du blog de DISPUTATIONES THEOLOGICAE donne la parole à Monseigneur Domenico Bartolucci proche du pape Benoît XVI qui avoue n'avoir jamais dit la messe du rite moderne. ...
"Que le nouveau rite ait des déficiences est désormais une évidence pour tout le monde, et le Pape a dit et il a écrit plusieurs fois que celui-ci devrait « regarder vers l’ancien ».
[15].

En 2006, Mgr Bartolucci a dirigé, à la demande du pape Benoît XVI, un concert dans la chapelle Sixtine au cours duquel a été créé le motet à six voix Oremus pro Pontifice nostro Benedicto, dédié au pape.

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 10:59

Samedi 26 septembre 2009 en la fête des Quatre-Temps, à 9h30 en la cathédrale de Toulon, monseigneur Dominique Rey ordonnera deux prêtres selon la forme extraordinaire du rite.

Monseigneur Dominique Rey ordonnera prêtre pour le diocèse de Fréjus-Toulon :

- Eloi Gillet (membre de la Société des Missionnaires de la Miséricorde Divine)

- Marc de Saint-Sernin

Le diocèse de Fréjus Toulon,
La société des des Missionnaires de la Miséricorde Divine
Le Séminaire de La Castille
Et les familles des Ordinands
Vous invitent à partager leur joie et leur action de grâces en participant ou en vous unissant par la prière à la messe d’ordination.

----------------

Le 6 septembre 2008, Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, en France,
a ordonné deux diacres selon l'ancien rituel au cours d'une Messe pontificale traditionnelle qu'il a lui-même célébrée en l'église de Saint-François de Paule.
Les deux nouveaux diacres étaient M. l'abbé Eloi Gillet, membre de la Société des missionnaires de la miséricorde divine, et M. l'abbé Marc Laparre de Saint-Sernin. Ils seront bientôt ordonnés prêtres.

Les prêtres et les séminaristes de la Société des missionnaires de la miséricorde divine exercent leur ministère à la paroisse de Saint-François de Paule, la première paroisse personnelle traditionnelle d'Europe.

La Messe tridentine est célébrée quotidiennement à la paroisse Saint-François de Paule. Pour consulter l'horaire : http://www.diocese-frejus-toulon.com/Horaires-de-Saint-Francois-de.html

Mgr Dominique Rey provient de la Communauté de l'Emmanuel et est le fondateur du mouvement "Communion, Évangélisation". Le Grand Séminaire de son diocèse attire plusieurs vocations. Avec plus de 64 séminaristes et une moyenne de 5 ordinations par an, c'est le deuxième plus important séminaire de France.

Engagé dans le mouvement pro-vie et dans la Nouvelle Évangélisation, Mgr Dominique Rey est reconnu pour être très favorable à la Tradition ainsi qu'aux manifestations de renouveau dans l'Église.

Son diocèse a accueilli... 27 communautés nouvelles !

Pour connaître la liste de ces communautés nouvelles:
http://www.diocese-frejus-toulon.com/Les-communautes-nouvelles.html

(Mgr Marc Aillet, le nouvel évêque de Bayonne, était présent)


L'Église a besoin d'évêques comme Mgr Dominique Rey qui se démarquent par la fidélité à la Tradition, au Pape et aux signes des temps.


Source :
http://www.diocese-frejus-toulon.com/Ordination-diaconale-d-Eloi-Gillet.html


via http://motupropriochicoutimi.over-blog.com/article-27011789.html


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Le samedi 22 septembre 2007 a eu lieu dans la cathédrale (archicomble) de Toulon, l'ordination selon le rite Saint Pie V par l'évêque de Toulon, Mgr Dominique Rey (entouré de nombreux prêtres du diocèse et de 80 séminaristes) de M. l'abbé Jean-Raphaël Dubrule, de la Société missionnaire de la divine miséricorde. L'abbé Dubrule va devenir vicaire de la paroisse personnelle Saint Pie V, au centre du vieux Toulon. C'était la première fois depuis bien longtemps qu'une ordination sacerdotale selon le rit ancien se faisait en France.


Cette paroisse est la première paroisse traditionnelle personnelle d'Europe, il faut le souligner.

La messe était donc célébrée dans sa forme extraordinaire selon la recommandation de la Commission Ecclesia Dei. Les chants grégoriens étaient dans leur forme la plus ancienne (http://ecoledelouange.free.fr/chantantique.html), sous le patronage de Damien Poisblaud, et c'est la chorale La Paloma qui a donné les chants en français. Merci Mgr Rey. Merci à tous.

Il faut encore souligner que L'Abbé Dubrulle a été nommé vicaire de la paroisse St François de Paule, dont le curé est l'Abbé Loiseau, que tous deux sont respectivement membre et supérieur de la Société des Missionnaires de la Miséricorde Divine, laquelle a reçu ses statuts ce jour. Remarquez bien que leur soutane est blanche avec une ceinture noire !

Un grand repas a été organisé à La Castille (domaine viticole où est installé le séminaire) où se sont retrouvés plus de 400 personnes, dont Mgr Rey, des prêtres, des religieux et religieuses de congrégations plus ou moins locales, les familles d'Eloi Gillet et de l'Abbé Dubrulle, ainsi que leurs amis, notamment des membres de Missio dont j'ai pu apprécier la compagnie. Merci à eux aussi.

 

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    Cet Alexandre que nous fêtons aujourd'hui ne doit pas être confondu avec saint Alexandre, Martyr à Apamée sur le Méandre en Phrygie (Turquie) l'an 171. Alexandre, d'origine grecque, natif de Lugdunum, et Épipode, sont deux jeunes hommes nés au milieu...
  • Mort du pape François, fin d'une époque ?
    Maj permanente Les oeuvres du Christ ne reculent pas, mais elles progressent. Après le décès du pape François ce matin, certains commencent déjà à demander si l'on verra les "progressistes" poursuivre les thèmes portés par François dans le prochain pontificat...
  • Les preuves convaincantes de la Résurrection du Christ
    Dans un monde qui court après des illusions passagères, une vérité inébranlable demeure : Jésus-Christ est ressuscité des morts. De l'image mystérieuse du Suaire de Turin au martyre courageux des apôtres, les preuves sont convaincantes. Explorons… Le...