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Christ Roi

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Horloge

13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 22:55

toulouse BBR bruléC’était au soir du match Algérie-Égypte, devant la foule rassemblée sur la Place du Capitole à Toulouse, les policiers avaient reçu l’ordre de ne pas intervenir. Quelques Chances pour la France, surexcitées, en ont profité pour décrocher des édifices publiques des drapeaux nationaux puis… les brûler !

Les mêmes ont remplacé les couleurs nationales par un drapeau algérien, devant des policiers écœurés.

Malgré les demandes répétées par radio des fonctionnaires de police auprès de leurs autorités pour intervenir, il leur a été répondu que ces actes étaient « festifs » (sic !). Du côté de la mairie même réaction de passivité : le député-maire socialiste Pierre Cohen n’a pas jugé utile de s’exprimer et l’adjoint à la Diversité (sic !), n’a vu dans ce qui s’est passé qu’une simple « bêtise » sans conséquence, et n’a émis aucune condamnation formelle, tout en étalant un discours de compréhension et d’atténuation sur la responsabilité des auteurs de ce forfait.

Du côté du Parquet : silence radio ! Une Chance pour la France qui détruit un drapeau national sur une place publique doit être un acte licite à Toulouse… Nationspresse.info

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 21:16
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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 21:15
"Au nom des valeurs juives", une campagne est organisée par un lobby religieux pour empêcher les restaurant et les hôtels israéliens d'installer des sapins de Noël pour les fêtes de fin d'année, nous apprend le Yediot Aharonot. Ce mouvement est soutenu par un grand nombre de rabbins et menace de publier le nom des lieux publics où figurent des symboles chrétiens, appelant à les boycotter. Déjà, le Rabbinat de Jérusalem mène tous les ans son enquête pour s'assurer que les restaurants et les hôtels, qui ont le label Kasher, sont dénués de toute décoration à consonnance "chrétienne". Dans le cas contraire, le certificat de cacheroute délivré par le rabbinat sera immédiatement retiré.

Source :
Courrierinternational

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Encore une fois, deux poids deux mesures. Métissage et multiculturalisme prôné par le Lobby en France, mais uniformisation et homogénéisation culturelle et religieuse en Israël.

A lire : "Liberté religieuse" : Israël envisage d'imposer les lois de la Torah à ses citoyens
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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 18:45

Les batailles du Pont Milvius (312) et de Tolbiac (496) marquent la naissance de la civilisation chrétienne et française. Au moment où l'oligarchie se pique de parler d'"identité nationale", il est bon d'y revenir.

 

"Constantin écrasera les troupes de Maxence près de Rome, au Pont Milvius, le 28 octobre 312. Parmi les soldats de la IIe Légion Italica qui lui valent cette victoire décisive, on compte déjà beaucoup d'auxiliaires francs. Pour célébrer son triomphe, Constantin institue des Jeux franciques, où des prisonniers barbares sont sacrifiés. Il décrète aussi l'émission de monnaies commémoratives. Quelques-uns de ces sous d'or, admirablement conservés, représentent une femme prostrée, gémissant sur sa défaite. La légende désigne l'infortunée : Francia."

(Cf. Philippe DELORME, Préface de Jean TULARD de l'Institut, Contre-Histoire de France, Ni romance, ni repentance, Via Romana, Le Chesnay 2024, p. 34-35.)



http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d4/Ponte_Milvio-side_view-antmoose.jpg/400px-Ponte_Milvio-side_view-antmoose.jpgLa bataillle du Pont Milvius (312) vit deux visions du monde s'affronter, les légions gauloises et chrétiennes de Constantin face aux légions païennes de Maxence. Les premières invoquaient déjà le Dieu inconnu dont parlait Saint Paul à l'Aéropage d'Athènes, et devant chaque légion flottait un mystérieux étendard, d'une forme nouvelle, qui devait, disait-on, assurer la victoire aux soldats de Constantin. L'autre était l'armée du paganisme, et les prêtres de Jupiter offraient aux dieux des sacrifices pour le succès de Maxence, le tyran de Rome et l'ennemi des Chrétiens.

Deux empires, deux mondes s'affrontaient devant les siècles : l'empire des Césars et la monarchie chrétienne, le monde païen et le monde chrétien. Cette bataille, dit Chateaubriand, était du petit nombre de celles qui, expression matérielle de la lutte des opinions, deviennent, non un simple fait de guerre, mais une véritable révolution. Les anciens dieux du Janicule avaient, rangées autour de leurs autels, les légions qui avaient en leur nom conquis l'univers; en face de ces soldats étaient ceux du Christ. C'est pourquoi cette journée devait avoir une si grande importance sur le sort de la civilisation et de l'humanité.

Face à la monarchie païenne, la véritable nouveauté au plan politique était le christianisme. La religion nouvelle annonçant un Dieu unique au milieu des autels innombrables du polythéisme, prêchant la pureté, le renoncement et la charité dans un siècle abandonné à la luxure et à l'égoïsme, relevait la dignité de la femme et de l'esclave dans un monde qui reposait sur le droit de vie et de mort reconnu à l'époux et au maître, proclamait l'égalité des hommes devant Dieu au sein d'une société où tous les empereurs étaient inscrits au nombre des dieux, inventait une révolution laïque du pouvoir où l'empereur n'était plus un dieu incarné, cette nouvelle religion déplut aux césars et fut vouée à la proscription.

Jusqu'à Constantin, l'empereur était à la fois César aux plans temporel et spirituel (Souverain Pontife), les deux pouvoirs étaient confondus et reposaient sur une même tête (le césarisme est depuis le "moyen Âge" cette prétention politique des rois à dominer le spirituel). Cette confusion de l'Eglise et de l'Etat sur une même tête était la caractéristique de la tyrannie antique, et la caractéristique du totalitarisme du Bas-empire romain.


http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/3a/Milvbruck.jpg/290px-Milvbruck.jpgConstantin n'était pas aussi confiant que Maxence dans le résultat de la bataille. Le petit nombre de ses troupes l'effrayait. Il recruta des forces parmi les Germains et les Gaulois, ainsi que les hommes rassemblés en Bretagne au nombre d'environ 90.000 fantassins et 8.000 cavaliers. En face, Maxence avait des forces considérables : 90.000 Romains et Italiens, des Tyrrhéniens, Siciliens et Carthaginois au nombre de 170.000 fantassins plus 18.000 cavaliers. (Zosime, Histoire nouvelle, II, XV, 1-3.)

 

Constantin avait fait d'avance le sacrifice de sa vie; mais il ne pouvait penser sans inquiétude au sort qui attendait ses légions dans le cas d'une défaite. Pas un homme ne regagnerait les Gaules et ne reverrait ses foyers. Il sentait vaguement, c'est Eusèbe qui nous le dit, la nécessité d'un secours plus efficace que celui de ses soldats pour combattre les prestiges et les ressources de l'art magique dont le tyran s'environnait. Il voulait s'appuyer sur une force plus grande encore que celle de son armée : il comprenait que Dieu seul donne la victoire. Mais quel Dieu invoquerait-il ? Il se rappelait que son père Constance Chlore, seul entre tous les Césars, avait abjuré les traditions idolâtriques. En honorant le Dieu qui est au-dessus de tout, Constance avait trouvé en lui un sauveur, le gardien de son règne et le dispensateur de tout bien. Cette conduite avait été récompensée par une prospérité sans nuage, tandis que les autres empereurs, livrés à toutes les passions, avaient fini déplorablement leur vie, sans laisser à leurs descendants une seule des couronnes qu'ils avaient portées. Il se rappelait aussi les expéditions de Galérius et de Sévère contre Maxence. Entreprises toutes deux sous les auspices de l'idolâtrie, l'une avait échoué honteusement, l'autre avait entraîné la mort de son chef. A mesure qu'il déroulait ses souvenirs, il arrivait à se convaincre que les dieux de l'empire étaient de vains fantômes et le Dieu de son père le seul Dieu véritable. (Informations tirées de Eusèbe de Césarée, Vie de Constantin, I, XXVII)

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/ba/Eusebius_of_Caesarea.jpg/250px-Eusebius_of_Caesarea.jpgTelles étaient les préoccupations et les prières de l'empereur lorsqu'un prodige surnaturel vint frapper ses regards. "Si le récit que je vais faire, dit
Eusèbe, m'eût été transmis par une autre bouche, il pourrait trouver des auditeurs incrédules. Mais je le tiens de l'auguste prince lui-même. Bien des années après, quand j'eus l'honneur d'être admis dans son intimité, il me raconta le fait et m'en attesta plusieurs fois par serment l'authenticité. C'est sa narration que je vais reproduire, et bien téméraire serait celui qui oserait s'inscrire en faux contre un pareil témoin, au sujet d'un prodige que les évènements survenus depuis ont d'ailleurs suffisamment confirmé". (Eusèbe de Césarée, Vie de Constantin, I, XXVII-XXX)

Le récit que nous donne Eusèbe est confirmé implicitement par Nazarius, l'orateur païen chargé du panégyrique de Constantin neuf ans après la bataille. Le prodige eut lieu devant l'armée entière; de nombreux témoins vivaient encore, et toute supercherie eût été vivement relevée et raillée par les auteurs païens.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d1/Tiber.PNG/250px-Tiber.PNGC'était quelques jours avant la bataille. L'empereur, sachant que le combat était prochain, sortit du camp un peu après midi et gravit une colline, pour étudier la situation de l'ennemi. Ses officiers l'entouraient. Longtemps le prince demeura à la même place, examinant avec soin la plaine et le cours du
Tibre. Déjà le soleil s'abaissait sur l'horizon. Tout à coup les officiers jetèrent un cri de surprise. Constantin leva les yeux et resta stupéfait. Une croix lumineuse se détachait dans les airs, au-dessus du soleil : une inscription en lettres grecques se lisait distinctement sur la croix : In Hoc Signo Vinces, tu vaincras par ce signe !

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/b5/Labarum.svg/117px-Labarum.svg.pngL'armée entière aperçut le signe céleste et l'étonnement fut au comble. La croix n'était point encore un symbole connu de l'empire, et l'inscription paraissait inexplicable. Longtemps l'empereur, silencieux, chercha la signification d'un évènement si extraordinaire. Constantin était encore plongé dans ses réflexions, quand la nuit vint le surprendre et l'obliger à descendre de la colline et à rentrer au camp. La nuit, le prodige fut expliqué. Le Christ, Fils de Dieu, apparut au prince, pendant son sommeil, avec le même signe qu'il avair vu resplendir dans les airs, et lui ordonna de faire reproduire cette image sur les drapeaux, comme un gage certain de la victoire. Constantin n'hésita pas. Dès son réveil, il appela des orfèvres et leur décrivit l'étendard sacré. Ils en exécutèrent un modèle enrichi d'or et de pierreries.

C'était une haste allongée, munie d'une antenne transversale à l'instar de la croix; au sommet de la haste était une couronne portant en son milieu le monogramme du Christ, que l'on appelle aussi "
chrisme", un X traversé d’un P, (chi) et Ρ (rhô), la première apposée sur la seconde. Il s'agit des deux premières lettres du mot Χριστός (Christ). 

L'antenne soutenait un tissu de pourpre, formant un carré parfait, sur lequel l'empereur fit graver son buste et plus tard celui de ses enfants. Chaque légion reçut un étendard dessiné sur ce modèle :
Lactance nous dit que le signe céleste fut reproduit sur le casque et le bouclier de chaque soldat.

Tel était le labarum ! Après tant de persécutions et d'outrage, la croix, réservée jusque-là comme instrument de supplice pour les criminels, triomphait du monde et devenait l'étendard des légions romaines. "Quand, après trois siècles de tortures, dit le P. Lacordaire, du haut du mont Mario, Constantin vit dans l'air le
labarum, c'était le sang des chrétiens qui avait germé dans l'ombre, qui était monté comme une rosée jusqu'au ciel, et qui s'y déployait sous la forme de la croix triomphante !"


La bataille s'engagea le 28 octobre 312. C'est alors que Constantin put admirer pour la première fois cette protection merveilleuse que le labarum accordait à ses troupes, et dont l'empereur racontait plus tard les effets à Eusèbe, après la défaite de Licinius : en tous les endroits où paraissait l'étendard de la Croix, les ennemis prenaient la fuite. L'empereur, s'en étant aperçu, le fit porter à la tête des troupes qui commençaient à plier et à lâcher pied, et à l'heure même elles reprirent courage et se sentirent animées d'une ardeur toute divine. "Constantin, nous dit Eusèbe, avait choisi parmi ses gardes environ cinquante de ceux qui surpassaient les autres en force de corps, en grandeur de courage et en piété, et il les chargea de garder continuellement l'étendard et de le porter tour à tour. Le désordre s'étant mis dans l'armée au milieu de la chaleur du combat, celui qui portait le labarum eut peur et le donna à un autre pour éviter le péril. Mais il n'en fut pas sitôt déchargé qu'il reçut un trait dans le corps dont il mourut sur-le-champ en punition de sa lâcheté et de son infidélité. Celui qui s'étant chargé de l'étendard en sa place en fut protégé. Quelque quantité de traits que jetassent les ennemis, aucun ne tomba sur lui. C'était une chose merveilleuse à voir que tous les traits demeuraient dans le bois de la croix, quoiqu'il fût fort étroit, et qu'aucun ne toucha jamais ceux qui portèrent le signe de notre rédemption. Ce récit, ajoute l'historien, n'est pas de moi, il est de l'empereur, de la bouche duquel je l'ai appris.

Cependant, les heures s'écoulaient, l'inquiétude saisit Maxence. Le peuple, réuni à l'amphithéâtre commençait à croire que les dieux se déclaraient contre le tyran. Le bruit du combat, l'arrivée des messagers, leur allure précipitée, excitèrent les esprits. On oublia les jeux du cirque et... une émeute éclata à l'intérieur de la ville. Le peuple, dit Lactance, cria : "On ne vaincra pas Constantin!" On entoura le tyran: on lui reprocha de n'être pas avec les combattants, et son abstention fut traitée de trahison ouverte. Maxenxe éperdu, sentant sa couronne lui échapper, et n'osant cependant désobéir à l'oracle qui lui avait défendu de quitter Rome, réunit à la hâte quelques sénateurs dévoués à sa cause et fit consulter les Livres sibyllins. Leur réponse fut celle-ci : "En ce jour, l'ennemi du peuple romain doit périr". Maxence interpréta à son avantage cette parole ambiguë. Dans l'espérance d'une victoire, il sortit de Rome, franchit le Tibre et rejoignit l'armée. Le pont fut coupé derrière lui.

A l'arrivée de Maxence, la lutte redoubla d'ardeur, et Constantin put juger, en entendant les cris poussés par l'ennemi, que son adversaire venait de prendre le commandement. Il invoqua de nouveau le labarum, et, décidé à en finir, il rallia ses légions et s'élança avec elles sur le point où se trouvait Maxenxe. Le choc fut formidable; mais alors se réalisa l'inscription merveilleuse : In hoc signo vinces. L'armée de Maxenxe, saisir d'une panique singulière à la vue du labarum qui flottait devant l'armée de Constantin, culbutée par les légions gauloises, fut mise en déroute. Maxence lui-même, entraîné par les soldats et contraint de fuir, se précipita vers le pont rompu. Une multitude immense en encombrait déjà l'abord. Maxenxe, pressé par la foule des fuyards, fut précipité dans le fleuve, il périt noyé dans le Tibre à l’instar du Pharaon poursuivant les Hébreux, qui s’était trouvé englouti par la Mer Rouge. Le détail est d’Eusèbe qui n’est jamais en retard d’un symbolisme biblique. La guerre était finie, la bataille gagnée. Le labarum dominait les aigles. Le Dieu des Chrétiens avait tenu parole à Constantin. La civilisation chrétienne allait succéder au paganisme.

La véritable gloire de Constantin fut de comprendre et de remplir à merveille le rôle de l'empereur chrétien qu'il définissait lui-même comme une pratique laïque du pouvoir distinguant pouvoirs temporel et pouvoir spirituel. Il s'adressa aux Pères du Concile de Nicée (325) en ces termes : "Vous avez été établis par Dieu évêques pour le dedans de l'Eglise, et moi, je l'ai été pour le dehors". Cette notion si juste de la monarchie chrétienne fut celle qui le guida dans ses réformes législatives et celle qui caractérisera la civilisation occidentale jusqu'au XXe siècle où une conception déformée de la laïcité vient prétendre que le pouvoir spirituel doit rester dans la sphère privée. Ce qui est non pas laïcité mais laïcisme de droit occulte; le "Grand Orient de France" fut le concepteur occulte de la loi dite de "laïcité" de 1905.

Une des lois révolutionnaires de Constantin punissait de mort comme "homicide" le maître qui avait mis à mort son esclave. Un édit supprimait la prison et la flagellation pour dettes; un autre interdisait les combats de gladiateurs: "Il ne convient pas que le sang humain soit versé en pleine paix comme un passe-temps à l'usage des oisifs".

En même temps, Constantin commençait à saper la pratique de l'esclavage avec prudence et habileté : il proclamait d'abord le principe éminemment chrétien, que même soixante ans de servitude ne pouvaient prescrire contre la liberté humaine. Il levait tous les obstacles qui avaient été apportés par la législation païenne à l'affranchissement, et permettait de rendre aux esclaves leur liberté dans l'Eglise en présence du peuple et des évêques. Il défendait aux juifs d'avoir des esclaves chrétiens car il n'était pas juste que ceux qui avaient été rachetés par le Sauveur demeurassent sous la puissance de ceux qui l'avaient tué; et enfin, il ordonnait à ceux qui connaîtraient des personnes injustement retenues en servitude d'en avertir les magistrats.

En l'année 316, l'empereur alla plus loin, il sanctionna l'observation du dimanche pour tout l'empire. Les tribunaux durent vaquer le premier jour de la semaine, dies dominica, et les travaux industriels et commerciaux durent être interrompus. Bienfait immense que l'on doit au christianisme. Une autre loi abolissait le supplice de la Croix. L'homme recouvrait enfin sa dignité et sa liberté. La civilisation naissait au moment où l'Eglise sortait radieuse des catacombes.

Tolbiac

Tolbiac vient sceller la nouvelle vision du monde initiée par Constantin, et chez nous, l'alliance des Gallo-Francs avec le Christ. Après Tolbiac tous les peuples reçoivent tour à tour le baptême, et ceux qui étaient ariens renoncent à leurs erreurs pour redevenir catholiques.

Le peuple romain était resté sourd à l'appel du Christ et de ses apôtres, les merveilles du Pont Milvius ne l'avaient pas éclairé. Les successeurs de Constantin, Constance, Julien l'Apostat et Valens, se livrèrent à l'hérésie ou à l'impiété et persécutèrent l'Eglise. En vain le grand Théodose fit-il renaître un instant les jours de Constantin et offrit-il après le massacre de Thessalonique l'admirable exemple de la pourpre impériale s'humiliant devant saint Ambroise, la coupe d'iniquité était pleine.

Ce furent d'abord les Wisigoths qui franchirent le Rhin et les Alpes, ravagèrent les Gaules et pénétrèrent en Italie. Une force inconnue poussait leur chef : "Une voix intérieure, disait-il, me crie sans cesse : Marche et va saccager Rome!" En 410, la ville éternelle fut pour la première fois vaincue, prise et pillée. Plus heureux qu'Annibal,
Alaric entra dans la cité de Romulus. L'empereur Honorius, indigne fils de Théodose, s'enfuit à Ravenne, et Rome fut mise à feu et à sang; mais le pape, saint Innocent (pape 401-417) resta à son poste et les barbares s'inclinèrent devant la majesté du souverain pontife.

L'empire n'existait plus; mais l'Eglise, après avoir été persécutée par lui pendant trois siècles, se tenait debout sur ses ruines.

En 481, un jeune homme de quinze ans,
Clovis fils de Childéric, était élu roi des Francs saliens et montait sur le pavois. La grande vertu des Francs était la fidélité aux traditions nationales, et ces traditions relevaient toutes du culte d'Odin. Abandonner devant les guerriers qui tant de fois avaient versé leur sang pour sa gloire, les dieux scandinaves, et se courber devant le dieu des chrétiens, c'était, aux yeux de Clovis, renier les ancêtres, s'aliéner le coeur des Francs et le soutien de son armée.

Pour raconter Tolbiac, il suffirait presque de traduire Grégoire de Tours. L'objectivité et la sincérité de cet historien qui écrivait déjà vers 580 est admise et reconnue aussi bien par les adversaires que par les amis de l'Eglise : "Une guerre éclata, dit-il, entre les Alamanni et les Francs. Clovis fut alors contraint par les évènements de faire ce qu'il avait toujours refusé jusque-là. Au moment où les deux armées étaient aux prises, les troupes franques furent repoussées en tel désordre, que les bataillons refoulés les uns sur les autres se donnaient mutuellement la mort. A ce spectacle, Clovis ne put retenir ses larmes. Le coeur brisé, il leva les yeux au ciel et s'écria : "Jésus-Christ, vous que
Clotilde appelle le Fils du Dieu vivant, s'il est vrai que vous protégez ceux qui vous invoquent et donnez la victoire à vos serviteurs, j'implore votre assistance. Si vous me faites triompher de mes ennemis, si vous étendez sur moi cette puissance, dont votre peuple reconnaît l'efficacité, je jure de croire en vous et de me faire baptiser en votre nom. J'ai prié mes dieux : ils ne m'ont point écouté. J'en ai la preuve. A vous de m'arracher au péril !"

A peine eut-il parlé ainsi, que le combat changea de face. Les Francs reprirent une ardeur nouvelle. Bientôt les Alamanni plièrent et se mirent en pleine déroute. Leur roi fut tué. Les vaincus implorèrent alors la clémence du roi des Francs. "Faites cesser le massacre, lui dirent-ils. Nous sommes prêts à reconnaître votre autorité et à devenir votre peuple". Clovis donna aux siens l'ordre de cesser le carnage et ramena ses troupes sous la tente. Au retour, il raconta à la reine comment il devait la victoire à l'invocation du nom de Jésus-Christ. Dans ce récit si simple et si plein de grandeur est renfermée toute la tradition française. C'est tout ce qui nous reste de l'un des plus graves évènements qu'ait vus l'histoire; mais ces quelques lignes suffisent pour nous permettre de louer à jamais le Dieu des Armées, Deus Sabaoth, qui exauça les prières de Clotilde et prêta l'oreille au cri du chef barbare.

C'est depuis ce jour et cette heure que nous sommes une nation chrétienne et que notre patrie, la patrie qui donna à Constantin les légions gauloises du Pont Milvius, est devenue la fille aînée de l'Eglise.

Saint Rémi l'attendait à Reims avec Clotilde. "Père saint, lui dit Clovis, je suis prêt. Pourtant une considération me retient encore. Le peuple qui me suit ne veut pas qu'on abandonne ses dieux. Je vais convoquer les Francs, et je leur parlerai dans le sens de vos instructions". L'assemblée eut lieu. Sans doute le projet royal était connu de tous, car avant même que Clovis eût pris la parole, aussitôt qu'on le vit paraître, une acclamation générale se fit entendre :

"Pieux roi, dirent les Francs, nous abjurons le culte des dieux mortels, nous voulons servir le Dieu immortel que Remi adore!" Le bienheureux évêque, en apprenant la décision nationale, fut rempli d'une grande joie, et prépara tout pour le baptême solennel.

Le jour choisi pour le baptême était le jour de Noël 496. Rémi, pendant qu'il parlait, une lumière céleste éclata soudain dans l'église, effaçant la lueur des cierges allumés, et une voix se fit entendre qui disait : "La paix soit avec vous ! C'est moi, ne craignez point. Persévérez dans mon amour". Après ces paroles, la lumière surnaturelle disparut et un parfun d'une suavité céleste se répandit dans l'enceinte. Le roi et la reine se précipitèrent aux genoux du saint pontife, en versant des larmes d'émotion et de joie. L'homme de Dieu, illuminé lui-même par l'esprit prophétique,
s'écria :
"Apprenez, mon Fils, que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l'Église romaine qui est la seule véritable Église du Christ ...
"Ce royaume sera un jour grand entre tous les royaumes, il embrassera les limites de l'empire romain et il soumettra tous les peuples à son sceptre... Il durera jusqu'à la fin des temps !
"Il sera victorieux et prospère tant qu'il sera fidèle à la foi Romaine, mais il sera rudement châtié toutes les fois où il sera infidèle à sa vocation. " (d'après Flodoard, Historia Ecclesiae Remensis)

La prière de l'évêque de Reims à l'autel de Marie est gravée dans la mémoire nationale : regnum Galliae, regnum Mariae ! Royaume de France Royaume de Marie. Nos plus chères traditions sont établies sur ces journées de décembre 496.

Source:
 

Ferdinand Hervé-Bazin, Les Grandes Journées de la Chrétienté, Librairie Victor Lecoffre, Paris, 1887, rééd. Editions Saint-Rémi.

 

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 18:44
La structure Jeunes UMP : "changer le monde"... Une idéologie maçonnique totalitaire.
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Pour rappel, le protestant franc-maçon Rabaut-Saint-Etienne à la tribune de la
Constituante en 1790 (un hasard… car “il n’y a pas de complot”…) : 

"Pour rendre le peuple heureux, il faut le RENOUVELER, CHANGER ses idées, CHANGER ses lois, CHANGER ses moeurs, CHANGER les hommes, CHANGER les choses, tout détruire, oui, tout détruire, puisque tout est à recréer"... 

Source : Rabaut-Saint-Etienne cité in Henri Delassus, La Conjuration antichrétienne, Le Temple maçonnique voulant s'élever sur les ruines de l'Eglise catholique, 1910, rééd. Expéditions pamphiliennes 2007, p. 280. Phrase à archiver tant ont voit qu'elle est d'actualité... à chaque élection !

Le catholicisme est la religion de l’incarnation, la religion du Verbe fait chair, qui s’incarne dans les réalités de ce monde, elle s’incarne dans les réalités sociétales, développe et sublime ce qu’il y a de meilleur dans l’homme et dans les traditions nationales, elle reprend et aboutit le meilleur de chaque peuple, alors que l’Anti-France, le républicanisme est une idée, une idéologie désincarnée, totalitaire, qui tout en prétendant être originée dans la “souveraineté populaire” (démocratie dite “libérale”) s’emploie à changer les peuples, changer les sociétés, faisant table rase de leur passé pour construire “le monde nouveau”, ici "changer le monde".., créer “l’homme nouveau”, la “France d’après”, la "France métissée", etc., Ce régime diabolique refuse les réalités humaines, refuse même le respect du droit naturel et de la loi naturelle dont il prétend être ‘au-dessus’… détruit les spécifités sociales, sociétales et toutes les solidarités naturelles qui ne doivent pas faire obstacle au plan des porteurs de “Lumières”... Cet aspect contradictoire du régime dit “démocratique” doit être toujours plus appréhendé, pensé, étudié, et démasqué pour ce qu’il est : l’archétype du totalitarisme.

Autre citation de Rabaut-Saint-Etienne, "une maxime qu’il dit à la Constituante" : « Notre histoire n’est pas notre code »... Source : wikipedia
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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 18:42

L’ouvrage de combat d’Europae Gentes est enfin disponible aux éditions DUALPHA :

Intitulé « LES ALTER EUROPEENS, Cette autre Europe de Paris à Berlin via Moscou» et dirigé par Frédéric Pichon.

Frédéric Pichon est avocat au barreau de Paris. Il est aussi Président de l’Association EUROPAE GENTES qui se fixe pour objectif de créer un pôle alternatif et militant à l’Union Européenne actuelle qui se construit sur le sable mouvant du relativisme éthique, culturel et spirituel et du dogme libre-échangiste. Loin de cette Europe là qui a signé son arrêt de mort en renonçant à ses racines gréco-romaines et chrétiennes, l’objectif de cet ouvrage est de contribuer à l’émergence d’une élite aristocratique et populaire afin de redonner un sens et une espérance à la jeunesse d’Europe. Mais avant de pouvoir construire, il convient de retrouver les fondements authentiques de l’unité européenne. C’est le sens de la première partie de cet ouvrage qui s’interroge sur les racines de l’Europe.

Frédéric PichonQuant à l’avenir, c’est autour de quatre défis que sont l’identité, la puissance, la justice sociale et le respect des libertés et solidarités communautaires que cette nouvelle Europe doit se construire. De tels axes de combat sont, à l’évidence, révolutionnaires. Si la philosophie de l’ouvrage est aux antipodes de celle de 1789 et qu’il en récuse à la fois la violence et le nihilisme, il va de soi qu’une telle alternative ne peut s’accommoder du réformisme d’un système intrinsèquement pervers dont les règles du jeu sont faussées. À l’image des insurgés irlandais de Pâques 1916, il convient de réhabiliter la valeur de l’exemple, du sacrifice et de l’honneur dans ce monde marqué par une anesthésie générale, replié sur sa tristesse et à la vertu de l’espérance…

Avec les collaborations de : Augustin Troly – Jean Baptiste Balmel – Christophe Boucher – François Joseph de Castellan – Thomas Doherty – Philippe Edmond – Guillaume de Flandres – François de Rhope.

« Soit l’Europe se construira sur les valeurs du marché, de l’hédonisme et du matérialisme, soit elle essaiera de renouer le fil d’Ariane rompu par les idéologies et les démarches nihilistes. L’Europe a donc le choix entre la vie ou la mort. Pour notre part, nous choisissons la vie… »

Cet ouvrage est disponible à la Librairie Primatice, 10 rue Primatice 75013 Paris ou en le commandant par internet en allant sur le site www.dualpha.com

Source : Europae Gentes

viaNovopress.info

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 18:01
Paolo Rodari cite Jean-Paul II qui disait à des cardinaux de Curie : « L’Église belge est comme un cimetière ». Son article d’Il Floglio, intégré – écrit pour être intégré – dans les revues de presse préparées pour les hauts responsables romains, prend date : la responsabilité historique en sera imputée au cardinal Godfried Danneels.

Le but n’est pas d’assassiner moralement l’archevêque des Belges avant qu’il ne se retire, mais de préparer l’opinion en faisant bien comprendre à tous les lecteurs qu’il est nécessaire de procéder à une nomination qui tournera cette page désastreuse. Car on saura bientôt qui va succéder au cardinal de 76 ans sur le siège de Malines-Bruxelles. Une nomination de cette importance est de fait directement réservée au Pape. Tout laisse d’ailleurs penser que sa décision n’est pas encore prise : comme toujours en ce type d’affaire, les dicastères intéressés (Congrégation des Évêques ; Secrétairerie d’État) ne laissent filtrer que des informations difficiles à interpréter.

L’article d’Il Foglio entre clairement dans le cadre des grandes manœuvres préparatoires. Ce que dit Rodari, le Pape le sait mieux que quiconque. Mais, pour que sa décision soit plus facile à prendre, il importe qu’on le dise et qu’on le répète. On m’accordera que je m’y suis moi-même employé du mieux que j’ai pu. Car il n’est pas douteux que Paolo Rodari, vaticaniste (très ratzinguérien) d’un quotidien dont les informations religieuses, lues et commentées en Curie, y passent pour parfaitement solides, n’a pas lancé son brûlot du 5 décembre – « Ce qui reste de l’Église en Belgique » – sans avoir, disons, procédé à quelques consultations. Le Pape décidera vers Noël, affirme Rodari.

Il analyse : l’Église belge est divisée entre la « continuité », représentée par Mgr Jozef De Kesel, auxiliaire et dauphin de Danneels, et la « discontinuité » que représenterait l’évêque de Namur, Mgr Léonard. Un candidat peut certes en cacher un autre et, s’il est clair que Rodari prémunit Léonard, qui pourrait en effet « sortir », il ne s’étend nullement sur ses chances ou sur celles d’autres noms. Le coup de tonnerre d’un nom inattendu n’est qu’une hypothèse, mais qu’on ne peut a priori exclure de la part de Benoît XVI.

En revanche, Rodari s’appesantit sur l’état de l’Église belge. Danneels n’a rien fait pour infléchir la politique de son progressiste prédécesseur, Suenens, qui s’opposait à Humanae vitae. Danneels n’a rien fait pour empêcher la dérive de l’Université catholique de Louvain. Danneels, au fond, n’a rien fait. Et le résultat éclate dans un chiffre : 71 séminaristes seulement pour toute la Belgique, dont 35 à Namur. Il Foglio conclut : « En substance, c’est la débâcle ! »

Il est vrai qu’à peu de choses près, on pourrait en dire autant de l’Église allemande, en dire autant de l’Église suisse, en dire autant de l’Église autrichienne. Et si l’Église de France du cardinal Vingt-Trois est un peu moins durement touchée, le mieux, très relatif, est une écharde dans la chair du malheureux cardinal : l’exception française tient à sa « réserve » traditionaliste!...
Source : Osservatore vaticano
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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 12:56
Retrouvons le vrai sens du 8 décembre lyonnais


LUGDUNUM SUUM 2009
envoyé par lespetitslyonnais.

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L'association Les Petits Lyonnais remercie tous les

participants de Lugdunum Suum 2009.

Vous étiez deux fois plus nombreux cette année à retrouver le vrai

sens du 8 décembre lyonnais!

A l'année prochaine !

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 07:22
Evangile de Jésus-Christ selon saint Luc 3,10-14.

Les foules qui venaient se faire baptiser par Jean lui demandaient : « Que devons-nous faire ? » 
Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu'il partage avec celui qui n'en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu'il fasse de même ! »
Des publicains (collecteurs d'impôts) vinrent aussi se faire baptiser et lui dirent : « Maître, que devons-nous faire ? »
Il leur répondit : « N'exigez rien de plus que ce qui vous est fixé. » 
A leur tour, des soldats lui demandaient : « Et nous, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « Ne faites ni violence ni tort à personne ; et contentez-vous de votre solde. »
Lecture du jour
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La
Bible de Jérusalem traduit cette dernière phrase de Jean le Baptiste par : "Ne molestez personne, n'extorquez rien, et contentez-vous de votre solde". La Vulgate traduit : "N'usez de violence ni de fraude envers personne, et contentez-vous de votre paye", avec cette note : "Ni de fraude. Le mot du texte (...) s'emploie assez souvent dans la Bible pour fraude, injustice."

Contrairement à une idée répandue, le métier des armes n'est donc pas interdit aux chrétiens à condition de ne faire aucune violence, fraude, injustice aux personnes, c'est-à-dire aux civils qui ne font pas la guerre. De nombreux saints au calendrier catholique, ou personnages considérés comme par la piété populaire, ont été des militaires ou des gens d'armes (Saint Michel, Saint Martin, Saint Sébastien, Saint Georges, Saint Clovis, Saint Charlemagne, Saint Louis, sainte Jeanne d'Arc, etc.)

A lire :
La légitime défense, le concept catholique de "guerre juste"
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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 18:15
L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé Afssaps fait état, le 12 décembre, du décès, intervenu le 8 décembre, d’un enfant de neuf ans quatre jours après une vaccination contre la grippe A/H1N1 avec le vaccin Panenza®. Ce cas a été notifié le 9 décembre 2009 à l’Afssaps dans le cadre de la pharmacovigilance.

Les éléments disponibles à ce jour ne permettent pas d’établir l’origine du décès, précise l’Afssaps. Cet enfant, « vacciné le 4 décembre 2009 avec le vaccin Panenza®, a présenté 48h après la vaccination de la fièvre et des troubles digestifs importants, se poursuivant jusqu’au mardi 8 décembre avec l’apparition en milieu de journée d’un malaise sévère nécessitant la prise en charge par le SAMU. Le décès est intervenu deux heures après cette prise en charge. Une autopsie médico-légale a été effectuée le 10 décembre à la demande du parquet de Puy en Velay, compte tenu du caractère subit du décès. Les résultats de l’autopsie ne sont pas encore disponibles. D’autres investigations sont en cours sur ce cas, notamment des analyses virologiques et bactériennes.»

L’Afssaps précise que de premiers résultats d’analyse des causes du décès de l’enfant seront publiés avec son prochain rapport de pharmacovigilance, le 17 décembre.


Le dernier rapport de pharmacovigilance de l’Agence européenne du médicament, sur la vaccination anti H1N1 en Europe
a fait état, le 4 décembre d’un total de 55 signalements de décès intervenus après vaccination contre le virus H1N1.

55 signalements de décès après vaccination avec Pandemrix®, en Europe, sur une base de 5,7 millions de personnes vaccinées. L’Agence européenne du médicament (EMEA) publie son premier bulletin de pharmacovigilance sur les effets indésirables, en Europe, des vaccins anti-H1N1. L’EMEA a donc réalisé, comme le fait l’Afssaps en France, une estimation du nombre de doses de vaccins et d'antiviraux distribuées ou administrés en Europe, un résumé des effets indésirables, liés aux signalements transmis à l'agence européenne après injection de ces vaccins et prise de ces d'antiviraux. Ce bilan européen de pharmacovigilance porte ainsi sur les vaccins Celpavan®, Focetria® et Pandemrix®, principal vaccin utilisé en France. En France, ce premier décès est lui, intervenu, après vaccination avec le vaccin Panenza® de sanofi.

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 10:54
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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 09:16
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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 09:15
Samedi 14 Novembre 2009
Parce que quelques images valent souvent mieux qu'un long discours.
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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 09:14

Cannibalisme de masse dans un village du néolithique

Le Figaro

Jean-Luc Nothias
11/12/2009 | Mise à jour : 07:42


http://www.lefigaro.fr/medias/2009/12/11/5a152e14-e61e-11de-a03d-029ddc0dd5d7.jpg
Sur le site de Herxheim, en Allemagne, les chercheurs découvrent des crânes et des os humains brisés.
Des traces de découpe ont été retrouvées sur des milliers d'ossements humains.

Cela se passait il y a plus de 7 000 ans, à une centaine de kilomètres de ce qui est aujourd'hui Strasbourg. Des centaines d'hommes, de femmes ou d'enfants ont vécu là leurs derniers moments dans, apparemment, des conditions très violentes et sanguinaires. Le site de Herxheim, en Allemagne, s'est révélé être une véritable mine d'or archéologique. Et les milliers d'ossements qui reposent là, humains ou animaux, les céramiques et poteries, dont certaines très bien conservées, et bien d'autres éléments ont commencé à livrer leurs secrets. Et éclairent d'un jour nouveau le possible cannibalisme de nos ancêtres du Néolithique.

L'aventure commence au milieu des années 1990 dans cette région de Rhénanie-Palatinat où les travaux préalables à la création d'une zone commerciale mettent au jour les vestiges d'un petit village datant d'une période appelée Rubané, au Néolithique, vers 5 500 av. J.-C. L'archéologie de sauvegarde appelée à la rescousse découvre vite des traces d'habitations entourées d'une double série de fosses, presque circulaires mais discontinues. Et dans ces fosses, les chercheurs découvrent des crânes et des os humains brisés, enchevêtrés, mais disposés de manière extrêmement ritualisée. Les restes de près de mille individus seraient ainsi présents sur le site.

«Cannibalisme guerrier »

Cimetière avec rites funéraires, lieu d'une bataille, «temple» d'une «religion» de l'époque ? Une première campagne de fouille, menée de 1996 à 1999, n'apporte guère de réponses sûres. La deuxième campagne, effectuée entre 2005 et 2008, fruit d'un programme de recherche franco-allemand impliquant des archéologues de Rhénanie-Palatinat emmenés par Andrea Zeeb-Lanz et des chercheurs des universités de Strasbourg et de Bordeaux, s'avère plus riche d'enseignements.

À partir d'un puzzle de plus de 2 000 restes humains récoltés sur un seul site, provenant d'une dizaine de personnes, sans doute deux bébés, quelques adolescents et quelques adultes, une équipe française vient de publier ses premiers résultats dans la revue Antiquity.

«Eh oui, nous avons employé l'expression cannibalisme de masse car ce sont les conclusions de nos études sur les ossements. Il y a clairement des traces de découpe “bouchère”, pour enlever les chairs, couper les tendons, des traces d'écorchement des crânes, résume Bruno Boulestin, anthropologue au Laboratoire d'anthropologie des populations du passé de l'université Bordeaux-1. Mais parmi les différentes formes de cannibalisme, on peut exclure celui de nécessité alimentaire. Il ne semble pas non plus que ce soit des rites funéraires. Pour le moment, nous penchons plutôt pour un cannibalisme guerrier. Des sortes de sacrifices, avec consommation de viande humaine, sur des populations victimes de razzias.» Il reste encore bien des études à mener sur tous ces vestiges archéologiques. Et même si de nouvelles fouilles ne sont pas à l'ordre du jour, ce qui a été déjà exhumé ne demande qu'à parler encore plus.

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 06:03
 

En effet, Marthe Robin a prophetisé la chute de la franc-maconnerie qui devrait avoir lieu bientôt, tout comme elle a prophétisé la chute du communisme qui est effective.

La chute des francs-maçons ouvrira une ère de liberté et le retour de la royauté de droit divin.

Ne souhaitons aux francs-maçons que l'humiliation publique qu'ils subiront alors suite au dévoilement de leurs actions secrètes, et leur conversion au vrai Dieu, dont la miséricorde n'a pas de limites.

Source: La France couronnée

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A partir de 1930, elle cesse de s'alimenter, hormis en hosties consacrées,
inédie qui durera jusqu'à sa mort 51 ans plus tard. Au début du mois d’octobre 1930, selon le témoignage du père de Malmann, elle reçoit les stigmates. En octobre-novembre 1931, selon son propre témoignage, elle commence à souffrir la passion chaque vendredi, phénomène qu’elle vivra ensuite chaque semaine jusqu’à sa mort. Pour Bernard Peyrous : « Le fond de la vocation personnelle de Marthe, c’est l’identification à Jésus dans sa passion » (Bernard Peyrous, Vie de Marthe Robin, Ed. de l'Emmanuel/Ed. Foyer de Charité, 2006 p.186). « Elle le fait donc par l’offrande quotidienne de sa vie souffrante. Elle porte en elle quelque chose du devenir de l’Eglise et de l’humanité comme chaque homme, sans le savoir, le fait lui-même » (Ibid., p.186).
Marthe Robin s'éteint le 6 février 1981. Une cause de béatification et de canonisation de Marthe Robin est actuellement en cours d’instruction.

 

. Qui est Marthe Robin ? (vidéo officielle)

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 06:03
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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 07:23
Il y a les grands principes et… les dures réalités électorales. La direction du PS a fini par se ranger aux secondes. (...) [L]a Rue de Solferinoa choisi, mardi soir, de laisser la voie libre pour les régionales en Languedoc-Roussillon à Georges Frêche, pourtant exclu du Parti socialiste en 2007 après un dérapage verbal sur les harkis.

Rediff. Georges Frêche: "J'ai toujours été élu par une majorité de cons"



-Leçon de démocratie par Aristophane et Georges Frêche
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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 07:08
Jean Baptiste nous recommande d'accomplir de grandes choses : « Produisez des fruits dignes du repentir » et encore : « Celui qui a deux vêtements, qu'il partage avec celui qui n'en a pas ; celui qui a de quoi manger, qu'il fasse de même » (Lc 3,8.11). N'est-ce pas donner à comprendre clairement ce qu'affirme celui qui est la Vérité : « Depuis le temps de Jean Baptiste jusqu'à présent, le Royaume des cieux se prend de force ; ce sont les violents qui s'en empare » ? Ces paroles nous viennent d'en haut ; nous devons les méditer avec une grande attention. Il faut rechercher comment le Royaume des cieux peut se prendre de force. Qui peut faire violence au ciel ? Et s'il est vrai que le Royaume des cieux se prend de force, pourquoi cela n'est-il vrai que depuis le temps de Jean Baptiste et non auparavant ?

      L'ancienne Loi...frappait les pécheurs par des peines rigoureuses, mais sans les ramener à la vie par la pénitence. Mais Jean Baptiste, annonçant la grâce du Rédempteur, prêche la pénitence afin que le pécheur, mort par suite de son péché, vive par l'effet de sa conversion : c'est donc vraiment depuis lors que le Royaume des cieux s'est ouvert à ceux qui le prennent de force. Qu'est-ce que le Royaume des cieux, sinon le séjour des justes ?... Ce sont les humbles, les chastes, les doux, les miséricordieux qui parviennent aux joies d'en haut. Mais quand les pécheurs...reviennent de leurs fautes par la pénitence, eux aussi obtiennent la vie éternelle et entrent dans ce pays qui leur était étranger. Ainsi..., en enjoignant la pénitence aux pécheurs, Jean leur a appris à faire violence au Royaume des cieux.
Saint Grégoire le Grand (v. 540-604), pape et docteur de l'Église, Homélie 20 sur les Evangiles, § 14 (trad. Le Barroux rev.)
Commentaire du jour

Evangile selon saint Matthieu, XI, 12 : "Depuis les jours de Jean le Baptiste jusqu'à présent le Royaume des Cieux souffre violence, et des violents s'en emparent". (Bible de Jérusalem)
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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 06:47
A l'attention de : L'Assemblée nationale française

A diffuser le plus largement possible :

Les citoyens suisses viennent tout juste d'approuver l'initiative proposant d'interdire la construction de minarets,

La modification constitutionelle française du 23 juillet 2008 prévoit l'introduction de référendum d'initiative populaire.
La loi devant définitivement permettre ce type de référendum doit intervenir sous l'actuelle session parlementaire.

Pour qu'un tel référendum puisse avoir lieu, une loi doit être présentée par voie parlementaire puis soutenue par un cinquième des parlementaires (184 parlementaires), et par un dixième des électeurs (4,4 millions de Français).

Cette pétition a pour but de sensibiliser les parlementaires, pour un référendum d'initiative populaire sur la construction de mosquées en France.

Donner la voix au peuple et plus seulement à ses représentants sur des points si sensibles est une réelle avancée démocratique, montrons que le peuple se sent réellement concerné par ses nouveaux pouvoirs !

Lien vers le texte :
http://pourunevotationcitoyenneenfrance.hautetfort.com/

Signez la pétition
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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 14:46

Ce que les media libéraux, laïques et obligatoires ne vous diront pas, c'est que dans le Paris de 1730 à 1789 régnait un niveau de paix et de sécurité unique dans l'univers, jamais égalé.

Pierre Chaunu l'exprime ainsi : "Cette vieille alliance entre la monarchie sacrée et la société, en France, a eu un effet bénéfique largement perçu. (...) [A]ucun souverain du XIIIe au XVIIIe (...) n'a obtenu, par comparaison, un niveau de paix intérieure comparable. (...) Être français s'est d'abord confondu avec le privilège de vivre protégé sous les fleurs de lys. Niveau de paix dans Paris unique en l'univers au milieu du XVIII° siècle.



(...) Aucune ville au monde n'est aussi sûre que Paris, de jour et de nuit, de 1730 à 1789. C'est connu, c'est célèbre, cela constitue et participe au prestige. Le Paris coupe-gorge (...) - Louis Chevalier l'a montré -, c'est le Paris de la première moitié du XIX° siècle. Sous cet angle, aussi, vous notez la régression. Aucune campagne, non plus, dans le monde n'est aussi sûre que la campagne française au XVIII° siècle". *

A comparer avec la France d'après 1789, et spécialement celle de Nicolas Sarkozy.


* Source : Pierre Chaunu, Le Grand déclassement, à propos d'une commémoration, Robert Laffont, Alençon, 1989, p. 77-78.
 

 


Crise de l'autorité, crise de la vérité, insécurité
Déclin, déclassement et décadence de la France: points de vue d'historiens

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 07:35
Contrairement à certains évêques, le cardinal français Jean-Louis Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, a déclaré dansLa Croix, suite au vote suisse sur les minarets :
  • "Il nous pose la question de la place de l’islam en Europe, aujourd’hui et demain. (...) Nous devons également réaffirmer la liberté de religion, dans son sens le plus large, qui suppose comme minimum nécessaire que chacun puisse disposer de lieux de culte adéquats, cela en Europe comme au Moyen-Orient. Naturellement, les mosquées comme les églises doivent respecter le paysage urbain et le contexte culturel. Pas question de construire une cathédrale devant la grande mosquée de Riyad ou une mosquée devant Notre-Dame de Paris ! Le sens commun doit nous dicter le respect d’autrui. Comme l’ont fait remarquer des personnalités musulmanes, le minaret n’est pas essentiel à une mosquée. Le muezzin doit obéir à la loi locale, tout comme les cloches de l’église y obéissent !"
(...) le cardinal rappelle où se situe vraiment le problème : dans les pays musulmans, où les chrétiens ne peuvent pas célébrer la messe :
  • "Malheureusement, en dépit de la visite historique du roi Abdallah d’Arabie saoudite au Vatican le 7 novembre 2007, nous ne voyons rien venir."


Source

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 07:34
Quas Primas l’a rappelé vigoureusement, la royauté du Christ ne doit pas être limitée à une dimension purement intérieure et spirituelle comme on nous la présente trop souvent en chaire de nos jours. Tout le propos de cette encyclique est de rappeler la doctrine éternelle de l’Eglise pour qui même si le royaume du Christ « concerne avant tout l’ordre spirituel» ce serait cependant « une grossière erreur de refuser au Christ-Homme la souveraineté sur les choses civiles quelles qu’elles soient» écrit Pie XI.

Ainsi ce n’est pas que dans un sens uniquement « métaphorique », rappelle Pie XI, qu’il faut comprendre la Royauté de notre Seigneur « car le nom et la puissance de roi doivent être attribués au sens propre du mot, au Christ dans son humanité»

Et pour bien situer à quel niveau se situe cet enseignement Pie XI écrit : «C’est un dogme de foi catholique (rappelé par le concile de Trente) que le Christ a été donné aux hommes à la fois comme Rédempteur et comme Législateur, à qui ils sont tenus d’obéir... Les Evangiles nous montrent Jésus dans l’exercice même de son pouvoir législatif. »

C’est donc bien également sur le domaine civil que le Christ-Roi étend sa souveraineté. Quas Primas et Ubi Arcano Dei Consilio, la première encyclique de Pie XI, sont consacrées, en partie, à illustrer les ravages que cause la soustraction de la loi des hommes à la loi du Christ. « Il est l’unique auteur, pour l’Etat comme pour chaque citoyen, de la prospérité et du vrai bonheur : la cité ne tient pas son bonheur d’une autre source que les particuliers, vu qu’une cité n’est pas autre chose qu’un ensemble de particuliers unis en société. Les chefs d’État ne sauraient donc refuser de rendre - en leur nom personnel, et avec tout leur peuple - des hommages publics de respect et de soumission à la souveraineté du Christ » Or de nos jours, plus que jamais, la royauté du Christ a été écartée de la vie publique. Et l’essentiel des homélies de nos prêtres l’invite d’ailleurs à rester confinée dans le sanctuaire de la vie intérieure. Est-ce bien le rôle des prêtres de reléguer sa royauté à cette seule dimension?
En tous les cas, c’est un enseignement constant du magistère : dès lors que l’ordre public n’est plus référé au Roi de l’Univers et ordonné à sa loi ( que l’on appelle la loi naturelle), il est irrémédiablement voué à engendrer le chaos, à sombrer dans une logique conduisant au totalitarisme écrivait Jean Paul II dans Centesimus annus.

Source : Julien Gunzinger
http://www.wmaker.net/eschaton/Retour-sur-le-Christ-Roi_a35.html
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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 07:15
En ce temps-là, Jésus prit la parole: "Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.

Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos.

Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » (Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 11,28-30)


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
L'Evangile au quotidien

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 06:09
Hier, pour la solennité de l'Immaculée Conception de la Sainte Vierge, le pape Benoît XVI mettait en garde :

"Chaque jour, en effet, à travers les journaux, la télévision, la radio, le mal est raconté, répété, amplifié, nous habituant aux choses les plus horribles, nous rendant insensibles et d'une certaine façon nous intoxiquant, parce que le négatif n'est jamais totalement éliminé et s'accumule jour après jour, le cœur se durcit et la pensée s'assombrit."


-------------------------------------------------

Les media utilisent le pouvoir évocateur de l'image et de la musique afin de manipuler nos modes de pensées. Nous pensons agir librement, n'être soumis à aucune propagande d'Etat, nous pensons vivre dans des Etats "laïques" et neutres ? Nous constatons dans les faits que nous agissons de façon impulsive, parfois compulsive, imitant ce que nous voyons, entendons... Faisant des choix inconscients. Qu'est ce qui nous pousse à acheter un produit plutôt qu'un autre ou à choisir une philosophie plutôt qu'une autre ? Comment les médias influencent les perceptions, compréhensions, idées, habitudes et valeurs ? La société est finalement devenue le reflet de ce que les médias diffusent.

Le site "
lesublinal.fr"
 "Mieux comprendre comment les medias manipulent", montre cette destruction de la personnalité, comment la musique, les films ou les jeux peuvent entraîner une dérive comportementale et sectaire. Certains s'isolent et se désociabilisent au plus grand étonnement des parents.
Les psychologues constatent parmi leurs patients combien la musique ou les jeux vidéos influencent la psychologie, les modes de pensées et les comportements des ados.
Les médias omniprésents influencent les perceptions et créent des stéréotypes émotionnels, sexuels, raciaux, religieux ou sociaux. C'est un sujet tabou et douloureux car il touche aux émotions et aux habitudes.


Plus largement, comment arriver à conserver son esprit critique et sa liberté de penser dans un monde qui tente de toujours nous convaincre de quelque chose ?

---------------------------------------------------

Saint Ignace de Loyola dans ses Exercices spirituels nous indique un des moyens pour faire notre salut : n'utiliser les créatures qu'autant qu'elles servent à faire notre salut. Nous saurons ainsi trouver les moyens de nous prémunir de la suggestion médiatique.
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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 18:35
Pendant que la république "française" organise un pseudo débat sur l'"identité nationale française", l'Etat d'Israël envisage d'imposer aux citoyens israéliens les lois de la Torah... On est très loin des libertés religieuse, de conscience et autre liberté de culte que le lobby prétend défendre ici en France, alors qu'il ne s'agit visiblement pour eux que d'un prétexte pour la dissolution de la France chrétienne. Encore une fois, deux poids deux mesures.

Source :

Israël: la justice se rapproche de la Torah

Le Figaro AFP
08/12/2009 | Mise à jour : 11:56


Le ministre israélien de la Justice a estimé que la Halacha, la tradition religieuse juive, devrait avoir force de loi et régir l'Etat d'Israël, dans des propos diffusés aujourd'hui par la radio de l'armée.

"Pas à pas, nous imposerons aux citoyens d'Israël les lois de la Torah, et nous ferons de la Halacha la Loi régissant la nation", a déclaré Yaacov Neeman lors d'une intervention publique hier soir à Jérusalem.

"Nous devons imposer l'héritage des pères de la nation. La Torah donne la réponse complète à toutes les questions qui nous interpellent", a-t-il ajouté.

Les lois religieuses en Israël concernent surtout l'état civil.

Juriste notoire et juif religieux pratiquant, Neeman est une personnalité politique indépendante choisie pour ce poste par le premier ministre Benjamin Netanyahu. Il a tenu ces propos en présence notamment du Grand rabbin ashkenaze d'Israël, Yona Metzger, du chef spirituel du parti orthodoxe sépharade Shass, le rabbin Ovadia Yossef, du chef de cette formation Eli Yishaï, et du député du Likoud (droite) Yisraël Katz.
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    Saint Fidèle de Sigmaringen Fidèle, de son nom civil Marc Roy, né le 1er octobre 1577 à Sigmaringen, petite ville d'Allemagne voisine de la Suisse, est mort assassiné martyr pour la foi à Seewis im Prättigau (Suisse) le 24 avril 1622. Son éducation fut...
  • Saint Georges († 303)
    Georges de Lydda naît vers 275/280 à Mazaca, en Cappadoce (Turquie), dans une famille relativement aisée. Son père, Gérontius, noble d’Arménie, vint en Cappadoce servir dans l'armée romaine. S on éducation fut toute chrétienne. À l'âge de dix-sept ans,...
  • Saints Alexandre de Lyon et Épipode, Martyrs à Lyon († 178)
    Cet Alexandre que nous fêtons aujourd'hui ne doit pas être confondu avec saint Alexandre, Martyr à Apamée sur le Méandre en Phrygie (Turquie) l'an 171. Alexandre, d'origine grecque, natif de Lugdunum, et Épipode, sont deux jeunes hommes nés au milieu...
  • Mort du pape François, fin d'une époque ?
    Maj permanente Les oeuvres du Christ ne reculent pas, mais elles progressent. Après le décès du pape François ce matin, certains commencent déjà à demander si l'on verra les "progressistes" poursuivre les thèmes portés par François dans le prochain pontificat...
  • Les preuves convaincantes de la Résurrection du Christ
    Dans un monde qui court après des illusions passagères, une vérité inébranlable demeure : Jésus-Christ est ressuscité des morts. De l'image mystérieuse du Suaire de Turin au martyre courageux des apôtres, les preuves sont convaincantes. Explorons… Le...