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5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 16:16
Si cet été vous pouvez poser vos fesses sur le sable, c'est grâce à qui ?
1936 ? Léon Blum, loi sur les Congés payés : grâce à qui ? "Si vous posez vos fesses sur le sable, c'est parce que d'autres ont bougé les leurs"

1936 ? Léon Blum, loi sur les Congés payés : grâce à qui ? "Si vous posez vos fesses sur le sable, c'est parce que d'autres ont bougé les leurs"

Congés payés, liberté syndicale, Caisses de maladie, loi des huit heures, Caisses de retraites et de secours mutuelles, participation, minimum salarial, minimum vieillesse, la gauche n’a rien inventé, elle a recopié et appliqué les lois sociales royalistes des années 1840 et propositions de lois qu’elle avait depuis la Révolution refusées aux ouvriers. 

 [Même chose que pour l'égalité fiscale des Français devant l'impôt. Cf. La Révolution dite française: les privilégiés (francs-maçons et haute-noblesse parlementaire au XVIIIe siècle) firent obstruction à ce projet pour ne le reprendre et se le réappropier qu'en 1789]

 

Il suffit pour s’en convaincre, d’éplucher les archives comme nous l’avons fait et mettre sous les yeux du public les mensonges de l’histoire officielle.

Les maux dont nous souffrons restent principalement les mêmes dénoncés depuis des décennies.

 

- Crise économique et faillite du libéralisme avec ses conséquences
- une population salariale restant sans protection professionnelle comme les avocats et médecins qui, eux possèdent la propriété du métier.
- un nouvel esclavage avec les délocalisations où les individus peuvent être mis en concurrence avec d’autres dans des pays « sous-développés » et perdre travail et situation
- un certain patronat libéral sans foi ni loi, exporte ses entreprises à l’autre bout du monde, la main sur le cœur et parlant de république des droits de l’homme mais acceptant pour plus de profit, le déplacement de ses capitaux en mettant en faillite des familles entières de salariés…
- un Etat ayant perdu toute indépendance politique face à l’économique, devenu un satellite de l’Europe décidant de la vie ou de la mort de pan entier de son économie : agriculture, pêche, industrie au profit d’autres pays.
- un syndicalisme ne représentant plus le monde du travail mais la politique et dont les adhésions fondent comme neige au soleil
- Un Etat sacrifiant son peuple en acceptant que la misère du monde vienne s’implanter ici.
- une politique suicidaire en matière de démographie, un Etat ripoux-blicain surendetté dans une marche vers l’abîme et le néant


La plupart des lois sociales instituées, Conseil économique et social, sécurité sociale, participation, loi des 8 heures…n’eirent pas l’étendue réelle et l’autonomie dont les royalistes rêvaient qu’elles puissent avoir dans un véritable pays libre. Ces lois furent limitées par le système républicain les restreignant pour en garder le contrôle, comme pour la décentralisation.

Alors même si toutes les formes de gouvernements possèdent leurs contraintes, il reste des gouvernements destructeurs par essence et d'autres dont les bases restent humanistes. Retrouvons les racines de l'arbre de vie d'où notre France fut le fruit et Libérons nous…

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5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 14:05
Véronique Levy (petite soeur de BHL) à Paray Le Monial : "L'Eglise est la mère où je suis née"

Invitée par la communauté de l'Emmanuel, Véronique Levy témoigne sous le grand chapiteau le 20 juillet 2015 à Paray le Monial de son amour fou pour le Christ relaté dans le récit de sa conversion "Montre moi ton visage" (editions du Cerf).

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5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 13:59

Jean Christaki de Germain reçoit Véronique Lévy, à propos de son livre Montre-moi ton visage (éditions du Cerf) dédicacé à sainte Thérèse de Lisieux, dans l'émission "Promenade et flâneries au domaine de poésie" sur Radio Courtoisie le 3 juillet 2015.

Des poèmes d"amour écrits par deux femmes dont les coeurs d'enfants battent au rythme du coeur de Dieu.

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4 août 2015 2 04 /08 /août /2015 18:58
4 août 1789 : LES LIBERTÉS PERDUES ! - Isaac Le Chapelier (juif-franc-maçon)

«On représente les privilèges de l’Ancien Régime comme les privilèges des nobles qui ne payaient pas l’impôt. Mais savez vous ce qui a été aboli dans la nuit du 4 août 1789 ? Les privilèges des nobles seulement ? Non, tous les privilèges : ceux de certaines villes, ceux de certains métiers, de certaines corporations etc., et il y en avait une multitude, qui dépassaient de très loin le seul cadre des individus appartenant au Second Ordre. Or après deux cents ans, il est remarquable de constater que les privilèges sont revenus partout. (…) Privilège, oui. Toute société a ses privilèges nécessaires, je ne le conteste pas, sauf quand ce sont seulement des avantages injustifiés [comme en République]. Mais au moins, qu’on cesse de nous parler des privilèges de l’ancien Régime…»

 

Yves-Marie Adeline (Le royalisme en questions)

 

C'est tout le peuple français qui, sur le plan économique, perd ses libertés élémentaires.

 

Les paysans d'abord, et les plus pauvres. Cette Révolution est faite pour les propriétaires individuels, à l'encontre des droits collectifs du monde rural. La propriété est un « droit sacré » dont on veut « le maintien éternel ». Les révolutionnaires y tiennent d'autant plus que les biens nationaux sont vendus contre assignats, et qu'ils ne trouveraient pas acquéreurs si les titres de propriété en étaient contestés. Cambon souligne : « Nos assignats ne seraient rien sans le respect des propriétés. »

 

A l'Assemblée, le Normand Thouret s'est fait l'interprète de la nouvelle conception : « Il faut des propriétaires réels. Les communautés ne sont que des propriétaires factices. » Traduction :

 

l'Église, qui est une propriétaire collective, sera dépossédée, et ses biens seront vendus par la nation, contre assignats.

 

Autre traduction, qui abolit les vieux droits d'usage : il n'est plus permis aux vieillards, aux veuves, aux enfants, aux malades, aux indigents, de glaner les épis après la moisson, de profiter des regains, de recueillir la paille pour en faire des litières, de grappiller les raisins après la vendange, de râteler les herbes après la fenaison; tout ce qu'ont laissé sur place les moissonneurs, les vendangeurs ou les faneurs, selon la loi biblique et l'usage féodal. Il n'est plus permis aux troupeaux d'avoir libre accès aux chaumes, aux guérets, aux jachères : la Révolution prétend interdire la « vaine pâture », qui, étendue par le « droit de parcours », permettait de passer d'une paroisse à l'autre. Elle donne aux propriétaires le droit d'enclore leurs champs (loi du 6 octobre 1791). Elle édicte le partage des biens communaux, avec répartition par tirage au sort (loi du 10 juin 1793). Mais les traditions seront les plus fortes : elles maintiendront longtemps la vaine pâture et le droit de parcours fondés sur un usage immémorial. Le partage des communaux doit être rendu facultatif, puis, sous le Consulat, totalement arrêté.

 

Comme les paysans, les salariés de l'industrie et du commerce sont atteints par l'idéologie révolutionnaire, hostiles à tout ce qui peut s'interposer entre l'État et l'individu. Avant la Révolution, tandis que les confréries groupaient maîtres et compagnons, les compagnonnages rassemblaient, en fait ou en droit, et surtout dans les métiers nouveaux, qui étaient des métiers libres, les seuls compagnons face aux maîtres. Ces compagnonnages devenaient des organisations de solidarité, mais aussi souvent de lutte ouvrière.

 

La Révolution y met bon ordre. Après avoir aboli le système corporatif, elle supprime les compagnonnages, en interdisant aux citoyens d'une même profession, ouvriers et maîtres, de « nommer des présidents, secrétaires ou syndics, de tenir des registres, de prendre des arrêtés, ou délibérations, de former des règlements sur leurs prétendus intérêts communs ». Prohiber la nomination de « syndics », c'est prohiber les syndicats, c'est refuser toute coalition de salariés.

 

Le Constituant qui se fait le promoteur de cette loi s'appelle Isaac Le Chapelier [franc-maçon]. Élu de la sénéchaussée de Rennes, il a présidé l'Assemblée lors de la nuit du 4 août. Il a contribué à poser le principe de l'égalité dans les successions. Il a rédigé le décret qui abolit la noblesse et les titres féodaux. Cette fois, il exclut toute tentative d'union des travailleurs face à l'entrepreneur, il écarte toute menace de grève. La loi Le Chapelier, du 14 juin 1791, met fin à ce qui pouvait subsister de libertés ouvrières : « Si des citoyens attachés aux mêmes professions, arts et métiers faisaient entre eux des conventions..., lesdites conventions sont déclarées attentatoires à la liberté, et de nul effet... Tous attroupements composés d'artisans, ouvriers, compagnons, journaliers, ou excités par eux contre le libre exercice de l'industrie et du travail sont tenus pour séditieux. »

 

Le Chapelier est guillotiné en 1794, mais son oeuvre subsiste. Le Code civil ignore la législation du travail. Le Consulat parachève l'asservissement des salariés en exerçant sur eux un contrôle de police, avec le livret ouvrier, où sont consignés les embauches et les licenciements, voire les appréciations, élogieuses ou sévères, de l'employeur, ainsi que les sommes dont le salarié peut être débiteur. Le livret doit être visé par le commissaire de police à chaque changement de place. Ce système ne tombera en désuétude que sous la Restauration.

 

Les compagnonnages renaîtront seulement dans la clandestinité. Le droit de grève ne sera reconnu que sous le second Empire, et la liberté syndicale que sous la troisième République : la Révolution aura fait reculer la législation sociale de trois quarts de siècle.

 

René Sédillot, « Le coût de la Révolution française ».

 

Source et suite

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4 août 2015 2 04 /08 /août /2015 15:53

J'avais l'habitude de dire "vous n'avez pas voulu de la Croix, vous aurez le Croissant". Boris Le Lay, très précis, explique l'avenir "démocratique" que la "loi électorale du nombre" conjuguée à l'apostasie nationale... nous réserve :

Ma condamnation préfigure la votre, vous deviendrez les esclaves des musulmans sur la terre de vos ancêtres (Par Boris Le Lay)

Par Boris Le Lay

 

BREIZATAO – PENNADSTUR (04/08/2015) Je veux revenir sur un détail de ma condamnation à 6 mois de prison fermes par le tribunal du régime de Quimper pour avoir affirmé qu’il “n’existait pas de Celtes noirs”. Un détail, lourd de sens, qui mérite que je m’y attarde.

 

Le journal Le Télégramme avait rapporté à l’époque :

 

La procureur, Fatou Mano […] La magistrate du parquet est allée au bout de la vidéo de 25 minutes : « Boris Le Lay essaie de théoriser quelque chose qui est de l’ordre de la xénophobie, une logique de l’affrontement, assumée et revendiquée. C’est un appel à la violence contre ce que l’on partage le mieux, le vivre ensemble »

 

Le procureur “de la république”, c’est-à-dire de ce régime illégitime en Bretagne qui n’est que la vitrine de réseaux occultes explicitement érigés contre l’essence même de notre pays, s’était comme de juste livré à un réquisitoire idéologique dépourvu de toute base factuelle et objective.

 

Mais si l’entreprise de destruction du régime républicain contre l’essence de la Bretagne, celtique et chrétienne, n’est pas nouvelle, les éléments qui se chargent de cette tâche ont un nouveau visage.

 

Car, comme le prénom du procureur précité le laisse paraître, c’est bien une africaine qui a été chargée de mener la charge contre le Breton que je suis. Ceci à Quimper, ancienne capitale de la province de Cornouaille évangélisée par Saint Korentin.

 

Cette évolution dramatique résume ce qui se joue : la convergence des forces de dissolution contre l’âme et le corps de la Bretagne. Et, par delà, de l’Europe.

 

La république jacobine fait la courte échelle à l’Afrique comme à l’islam, le tout sous le regard des loges, avec l’aide de nihilistes de tous ordres, chantres d’un démocratisme sans passé ni avenir. Leur projet, invariable : la table rase, la destruction de la légitimité, bref, l’oblitération des populations de souche européenne et de leur civilisation.

 

Pour l’anecdote, j’avais coutume de dire à des compatriotes qu’à l’avenir on verrait l’équivalent des “colonnes infernales” républicaines de 1793 sillonner la Bretagne. Républicaines assurément, elles seraient aussi de souche africaine et d’obédience islamique. Comme je le disais à ces Bretons, le jour n’est pas éloigné où des gendarmes afro-musulmans arrêteront les Bretons sur le bord des routes, les rançonneront en arguant d’excuses légales, les menaçant physiquement, devenant par la même l’outil servile et démoniaque d’un gouvernement républicain dont le fanatisme ne connait par principe aucune limite dans sa soif de destruction de l’ordre ancien.

 

La corruption le disputera au crime, et ces agents, loups excipant la légalité de l’ordre en place, violeront, voleront, tueront.

 

Au moment où j’écris ces lignes, 400 mosquées sont en chantier en France métropolitaine. Des milliers d’autres jailliront du sol, financées comme de juste par des états pétroliers islamiques, les terrains étant par ailleurs offerts par des maires empressés de s’attacher la bienveillance de ces pieux électeurs.

 

Déjà, dans les grandes villes de France, la colonisation de peuplement est telle que la mutation est déjà largement entamée. Les démographes les plus sérieux évoquent un doublement du nombre d’afro-musulmans tous les 15 ans. Ainsi, Jean-Claude Gourévitch affirme que d’ici à 2050 – soit 35 petites années – la France sera de peuplement majoritairement musulman.

 

Et encore est-ce là une estimation en chiffres absolus, ne tenant absolument pas compte de l’âge moyen des populations évoquées, donc de leur visibilité au quotidien. Ni des nuances de concentration géographique qui créeront, bien avant 2050, des territoires subjugués par la masse islamique.

 

Ce peuplement, avec son corollaire que sera un appauvrissement généralisé, engendrera une explosion de la criminalité ethnique. Il sera aussi le medium par lequel l’islamisme sévissant en Orient se diffusera comme nouvelle solution politique et sociale dans les territoires précités. Un semblant d’ordre politique, largement tribal et religieux, servira de mode de gouvernement aux seigneurs de tous les trafics dont l’enlèvement de blanches ne sera pas le moins profitable.

 

Le sort du Kosovo nous guette. Que celui qui doute de ce dont je parle observe l’évolution de l’Île-de-France et des grandes métropoles pour en juger. L’Angleterre a déjà introduit des tribunaux islamiques locaux, afin d’apaiser, très temporairement, la plèbe musulmane.

 

Par le jeu de l’immigration, de la natalité allogène, de la dénatalité européenne, d’un métissage sporadique mais réel et de conversions marginales, la France ne sera plus qu’un Liban à grande échelle. L’espoir d’une coexistence pacifique dans un contexte si dynamique – sans oublier la puissante volonté de revanche de populations jadis colonisées – n’est guère plus qu’une lubie criminelle soutenue par des cyniques, des fanatiques ou des niais.

 

La loi électorale du nombre fera s’effondrer les derniers scrupules des élus qui ajouteront aux bases politiques posées par la révolution française la touche finale de l’islamisme. Robespierre; Marx et Mahomet seront les deux piliers de cet ordre nouveau.

 

La déférence actuelle des politiciens comme des journalistes à l’égard de l’idole islamique tient en un mot : la peur.

 

J’ai été condamné par une “justice” raciale et tribale explicitement en guerre contre le monde blanc, contre le christianisme, contre l’Europe et, par voie de conséquence, contre la Bretagne. Ce que la coalition des traîtres socialo-marxistes appuyant l’entreprise appellent “la république” diversitaire.

 

Désireux de solder leurs comptes, les allogènes alimentent d’un sang neuf et furieux le corps jacobin révolutionnaire, lui donnant un visage nouveau et odieux mais non moins infernal.

 

Le destin est espiègle et c’est pour cela que c’est avec une condamnation empreinte d’absurdité que la providence a envoyé un message clair aux nôtres. La “farce du celte noir”, qui pouvait encore faire rire tous les esprits équilibrés il y a 5 ans, est devenue un dogme cocasse et ridicule, mais aussi, terriblement menaçant qui pèse comme une épée de Damoclès sur les têtes des petits Européens.

 

L’antiracisme n’est d’ores et déjà plus qu’un totem défendu par des marabouts frénétiques, vengeurs, truqueurs et phraseurs, venus des profondeurs obscures et humides d’une Afrique cannibale et superstitieuse. Les imprécations de l’antiracisme juif scellant l’alliance diabolique dans les médiats et prétoires.

 

L’homme celte, le Breton, ne peut plus, sans risquer les fers, s’affirmer pour ce qu’il est, en toute exclusivité. Le cas échéant, un tribunal exotique et mystérieux, brandissant des concepts qu’il ne comprend pas faute des qualités intellectuelles les plus élémentaires, prononce ses jugements colériques sur fond de jalousie raciale. L’antiracisme aux mains de cette populace n’est guère que le vieux réflexe assassin du démocratisme des incapables, soucieux de détruire tout ce qui les dépasse et les écrase.

 

De grotesques sanhédrins afro-marxistes et musulmans, maquillés à la va-vite en instances “républicaines”, feignant l’objectivité, se dessinent nettement à l’horizon. Avec l’appui d’un régime en bout de course – et à ce titre d’autant plus dangereux – voici le diabolique aréopage qui s’avance.

 

Ma condamnation par une pseudo “magistrate” africaine annonce votre condamnation, à vous tous. Vous les Blancs.

 

La haine fanatique et viscéralement raciale de cette “justice” n’opèrera pas, elle, de distinction. Elle se veut égalitaire dans le châtiment historique des peuples blancs, aidée en cela par les renégats de tous ordres, et singulièrement par une bourgeoisie émasculée et grasse, hébétée et vile qui croit s’acheter quelque répit en vivant de cette traite négrière d’un genre nouveau : la traite des Blancs d’Europe.

 

Des tribunaux composés d’afro-musulmans, excités par le virus marxiste de l’antiracisme, se dresseront sur la terre de vos ancêtres pour vous condamner. Le motif de cette condamnation sera votre simple existence, vous Européens, vous Chrétiens. Et la mémoire de vos ancêtres sera convoquée à la lecture de l’acte d’accusation pour légitimer votre assassinat, votre dépossession complète.

 

Ma condamnation, féconde des crimes à venir, annonce votre condamnation. Les étiquettes démocratiques ne suffiront pas à sauver vos têtes. Peu importe votre degré de soumission et d’empathie, réelle ou réputée, à l’égard de vos “compatriotes” de papiers, ce sera de votre être qu’il sera question et non de vos actes. L’Afrique ne connait pas la responsabilité individuelle, elle ne connait que le châtiment collectif, dans le temps et l’espace.

 

On est libre que si l’on veut demeurer libre, c’est-à-dire au prix de sa vie.

 

Si les Bretons, et par delà eux, si les Européens refusent de lutter pour leur survie, ils deviendront les esclaves des afro-musulmans sur la terre de leurs ancêtres. Ils ne pourront même plus parler de cet esclavage sans risquer la colère jalouse de leurs nouveaux maîtres. Ils seront esclaves sans le statut même d’esclaves.

 

Préparez-vous, car vos chefs “démocrates” vous ont déjà livrés pour quelques deniers. Et si vous ne faites rien, vous serez très bientôt à ma place. Et dans de bien plus terribles conditions.

 

Mon cas vous aura servi d’avertissement, je vous aurais moi-même mis en garde. Et si vous ne vous insurgez pas avant que cela n’advienne, ne maudissez personne d’autre que vous-même lorsque vous serez dans le boxe des accusés, au tribunal de Satan.

 

D’une certaine façon, votre condamnation sera alors pleinement justifiée par votre lâcheté et votre bêtise. Baisser les yeux ne suffira pas à apaiser l’ogre. Et vous ne pourrez plus lui échapper.

 

Source

Au moment où j’écris ces lignes, 400 mosquées sont en chantier en France métropolitaine. Des milliers d’autres jailliront du sol, financées comme de juste par des états pétroliers islamiques

Financées également par l'état républicain dit "français" depuis qu'un Conseil des ministres "particulier" a annoncé une "réforme de l'islam", dont le financement de la construction des mosquées et de la formation des imams ! (comme si au pays de la "laïcité" c'était à l'Etat à organiser le spirituel...)

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4 août 2015 2 04 /08 /août /2015 07:09

Une nouvelle profanation de cimetière considérée comme une "dégradation". De quelle confession est le cimetière ?

Un cimetière chrétien a été profané à Labry, dans l'Est de la France, avec des "crucifix retournés ou brisés et une plaque funéraire dégradée", a annoncé lundi soir le ministère de l'Intérieur.

"Ce lundi après-midi, les policiers (...) ont constaté la profanation d'une quarantaine de tombes chrétiennes dans le cimetière de la commune de Labry" dans le département de Meurthe-et-Moselle, selon un communiqué du ministère, précisant qu'"il s'agit de la cinquième profanation de cimetière dans le département depuis le début de l'année".

"Nous prenons cela très au sérieux", a déclaré le procureur de Briey, Yves Le Clair, qui a toutefois évoqué des "dégradations", plutôt qu'une "profanation". Selon lui, "trente-cinq ornements funéraires, principalement des crucifix et des plaques, ont été déplacés", dont quatre ont été brisés.

"D'après les dires du maire de Labry, ces faits sont susceptibles d'être l'oeuvre de jeunes pour faire les idiots", a dit le procureur.

 

Source: Une quarantaine de tombes profanées en Lorraine, Home ACTUALITE Flash Actu, Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 03/08/2015 à 23:49 Publié le 03/08/2015 à 21:46

Les chrétiens apprécieront que lorsqu'il s'agit de profanations de cimetières d'autres confessions on ne dit pas non plus qu'il s'agit de "jeunes pour faire les iditiots"..., mais on parle de "profanateurs" et de retour aux "heures les plus sombres de l'histoire".

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3 août 2015 1 03 /08 /août /2015 12:56

« Les Echos » ont compilé des indicateurs sur la qualité de vie dans plus de 300 bassins d’emploi en France.

Méthodologie de l'infographie animée  Pour mesurer la qualité de vie en France, « Les Echos » ont utilisé un découpage par zone d’emploi. Définie par l’Insee comme pertinent pour les diagnostics locaux, chaque zone est classée selon neuf critères économiques et sociaux. Une moyenne de ces neuf indicateurs a permis d’établir un classement global qui ressort en couleur sur la carte : les zones près de la Suisse, dans le Grand Sud-ouest et en Bretagne ressortent en turquoise, avec des niveaux de qualité de vie élevés, alors que les régions du Nord, la Côte d’Azur et le Centre, en rouge, s’en sortent mal. http://www.lesechos.fr/politique-societe/regions/021154921859-ou-fait-il-bon-vivre-en-france-1137323.php

Méthodologie de l'infographie animée Pour mesurer la qualité de vie en France, « Les Echos » ont utilisé un découpage par zone d’emploi. Définie par l’Insee comme pertinent pour les diagnostics locaux, chaque zone est classée selon neuf critères économiques et sociaux. Une moyenne de ces neuf indicateurs a permis d’établir un classement global qui ressort en couleur sur la carte : les zones près de la Suisse, dans le Grand Sud-ouest et en Bretagne ressortent en turquoise, avec des niveaux de qualité de vie élevés, alors que les régions du Nord, la Côte d’Azur et le Centre, en rouge, s’en sortent mal. http://www.lesechos.fr/politique-societe/regions/021154921859-ou-fait-il-bon-vivre-en-france-1137323.php

En écho à une infographie du « New York Times » , sortie en 2014, qui titrait : « Where Are the Hardest Places to Live in the U.S.? », nous avons cherché à déterminer où la qualité de vie était la plus dégradée de ce côté-ci de l’Atlantique, mais aussi là où elle est la meilleure.

 

Pour cela « Les Echos » ont compilé les données de 300 zones d’emplois selon neuf critères comme la démographie, l’emploi, les revenus, etc. Chaque zone a été classée pour chacun des critères puis dans un classement général issu de la moyenne des neuf classements.

 

« Les Echos » ont ensuite demandé un éclairage au géographe Hervé Le Bras, auteur d’un récent « Atlas des inégalités Les Français face à la crise ». « Les zones qui vont à peu près bien en France sont non pas les régions avec une forte tradition d'intervention de l'Etat mais d'anciennes zone religieuses où le catholicisme était une résistance à l'Etat. On y trouve plus de solidarité, plus de pratique associative. Le tissu de solidarité s'est donc maintenu. » « Le sud du Massif central, la Savoie et le Grand Ouest, en turquoise sur la carte, c'est donc la religion... », explique-t-il.

 

« A l'inverse, la frontière nord-est, le Languedoc-Roussillon et un large croissant qui s’étend de la Nièvre à la Dordogne, en rouge sur la carte, ont toujours historiquement été du côté du régime républicain, que ce soit pendant la Révolution puis pendant la Troisième République. Ce sont des régions qui défendent les principes républicains d’égalité et de laïcité. A ce titre, elles attendent beaucoup de l’Etat, sans doute trop maintenant où l’on souhaite plutôt des initiatives et des innovations », appuie Hervé Le Bras. Le taux de familles monoparentales est de 18,2% à Marseille et 17,3% à Perpignan, ce qui accentue la pauvreté (34,6% des mères de famille monoparentales vivent au-dessous du seuil de pauvreté) et diminue l’espérance de vie (moins de 84 ans pour les femmes, soit un an de moins que la moyenne nationale).

 

Espérance de vie

 

Sur la carte, la forme d’un chapeau se dessine en rouge sur tout le nord, avec les séquelles de l'industrie d'un côté et l'alcoolisme dans l’ouest de l'autre. On compte six années d’espérance de vie en moins pour les hommes de Calais et d’Arras par rapport aux Parisiens, qui peuvent espérer vivre plus de 80 ans ! « En revanche, on comprend mal la mortalité extrêmement faible du sud-ouest, pays du foie gras, du cassoulet et de l'armagnac ! », s’amuse Hervé Le Bras.

 

Enseignement supérieur

 

La carte des détenteurs d’un diplôme du supérieur est plus connue : les métropoles à un bout du spectre : 32,1% à Paris, largement en tête, 18% à Strasbourg, Lyon et Grenoble, 15% à Marseille, Nantes et Rennes... les poches rurales à très fort taux d’ouvriers industriels à l’autre bout : moins de 5% au sud de l’estuaire de la Somme, le Choletais dans l’ouest et les Ardennes, à la frontière avec la Belgique.

 

 

Source: Où fait-il bon vivre en France ? Les Echos, Jean-Marie Colomb / Journaliste | Le 16/07 à 11:40, mis à jour à 13:57

 

 

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3 août 2015 1 03 /08 /août /2015 12:47
Les églises font partie de l'identité de la France

FIGAROVOX/ANALYSE - L'intellectuel québécois, Mathieu Bock-Côté réagit à la polémique sur l'avenir des églises qui seraient peu fréquentées par les fidèles.

 

Mathieu Bock-Côté est sociologue (Ph.D). Il est chargé de cours à HEC Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal ainsi qu'à la radio de Radio-Canada. Il est l'auteur de plusieurs livres, parmi lesquels «Exercices politiques» (VLB, 2013), «Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois» (Boréal, 2012) et «La dénationalisation tranquille: mémoire, identité et multiculturalisme dans le Québec post-référendaire» (Boréal, 2007).

 

Vues de Montréal, où je vis, les controverses sur l'avenir d'églises catholiques qui seraient désertées par les fidèles ont l'immense mérite de poser directement une question qu'on a l'habitude d'esquiver ou de dissimuler derrière des considérations plus générales: celle des liens intimes entre l'identité de la France et son héritage chrétien. Cette question heurte de plein fouet ceux qui voudraient faire commencer la France en 1789 et qui ne lui connaissent qu'une identité républicaine. Elle oblige à reconnaître l'histoireet la mémoire sans lesquelles les sociétés sont condamnées à l'apesanteur.

 

On sait comment la question est apparue publiquement. Le recteurde la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, y est allé d'une proposition faussement candide: puisque des églises sont vides, pourquoi ne pas les confier aux musulmans en manque de mosquées? Une religion en vaut bien une autre. D'ailleurs ne prient-ils pas le même Dieu?

 

Sauf que c'est faire preuve ici d'un immense relativisme qui confirme le penchant postmoderne pour l'interchangeabilité de toutes choses. «Un temple est un temple: qu'importe qui on y priera», entend-on dans les cénacles parisiens. «Dans la mesure où l'État est indifférent aux religions,il ne distingue pas entre elles, pourquoi faudrait-il s'inquiéter de ce transfert d'appartenance?», estime-t-on à Saint-Germain-des-Prés.

 

Alain Finkielkraut a encore une fois trouvé les bons mots en rétorquant que ce raisonnement confortait la crainte récurrente d'une «submersion culturelle». Le transfert massif des lieux de culte confirmerait une mutation radicale de l'identité française. Elle serait vécue comme un mélange d'agression et de dépossession.

 

Il est évidemment légitime que les musulmans jouissent, en France, d'une égalité totale en matière de liberté de conscience et de culte. Toutefois, au plan symbolique, et quoi qu'on en pense, l'islam ne saurait prétendre au même statut en France que le catholicisme. L'islam est d'implantation récente dans ce pays alors que le catholicisme a façonné la France dans ses profondeurs les plus intimes. C'est un simple fait qu'il ne devrait pas être scandaleuxde rappeler.

 

Ce constat semble inacceptable pour l'égalitarisme multiculturel à la mode, qui assimile la reconnaissance du poids de l'histoire à une intolérable exclusion des nouveaux arrivés. Dans un monde remis à zéro, devant tout à l'utopie diversitaire, le passé serait dépouillé de ses privilèges. Une proposition revient souvent en France: il faudrait permettre à chaque confession d'avoir son jour férié au calendrier. Ou reconnaître un jour férié musulman valable pour l'ensemble des Français. On confirmerait ainsi l'inscription positive de l'islam dans la culture française.

 

Il est pourtant permis d'y voir autre chose: le refus de se plier aux mœurs françaises et aux repères identitaires de la société d'accueil. Ne demandait-on pas traditionnellement aux étrangers de respecter les us et coutumes de leurs hôtes? La vocation de l'immigré est de prendre le pli de la société qui l'accueille. Nul ne lui demande de sacrifierses croyances intimes, mais elles ne s'inscriront pas socialement de la même manière que dans son pays d'origine. La courtoisie voudrait même qu'on ne cherche pas à les imposer aux autres. La religion chrétienne est un marqueur de la civilisation occidentale. Les musulmans qui vivent dans les sociétés occidentales devraient savoir qu'ils sont dans des pays se définissant d'une manière ou d'une autre par leur identité chrétienne, et l'accepter.

 

On a hurlé au populisme, il y a quelques années, quand les Suisses ont voté en faveur de l'interdiction de nouveaux minarets dans leur pays. On a voulu y voir le symptôme d'une crispation identitaire ou, pire encore, d'une poussée xénophobe et islamophobe rappelant, comme il se doit, «les heures les plus sombres de l'histoire». Le refrain est connu. Le référendum suisse exprimait pourtant autre chose: un pays n'est pas qu'une entité administratrice et juridique seulement définie par son adhésion aux droits de l'homme. Un pays,c'est aussi des paysages, une physionomie culturelle, une mémoire inscrite dans mille lieux. Une identité, pour le dire ainsi.

 

Il est légitime de vouloir conserver l'héritage historique d'un pays, de rappeler son droit à la continuité.La votation suisse annonçait un réinvestissement existentiel du politique. L'État n'a pas seulement pour vocation d'administrer tranquillement, de manière gestionnaire, une société à la petite semaine. Dans les périodes de crise, quand l'histoire redevient houleuse,et c'est certainement le cas aujourd'hui,la puissance publique doit se porter à la défense des fondements de son pays, de sa part sacrée, qui ne saurait être altérée sans qu'il ne soit mortellement blessé. On pourrait dire qu'en renouant avec sa part chrétienne, la France assume une part refoulée de son identité civilisationnelle.

 

La question n'est pas seulement politique. Une France qui se couperait de son héritage chrétiense condamnerait probablement à l'assèchement spirituel. Qu'on le veuille ou non, c'est essentiellement à travers la médiation du catholicisme que la France s'est interrogée, au fil des siècles, sur les questions éternelles. Le catholicisme, à travers son héritage architecturalet culturel, connecte la France à la part la plus intime et charnelle de son identité. On voudrait aujourd'hui disqualifier moralement ce désir d'enracinement. Mais le patriotisme n'est pas une forme de maladie mentale.

 

Mathieu Bock-Côté

 

Source: Les églises font partie de l'identité de la France, Home FIGARO VOX Vox Societe, Par Mathieu Bock-Côté Publié le 30/07/2015 à 19:58

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2 août 2015 7 02 /08 /août /2015 15:50
Lors de son séjour au Nouveau-Brunswick, l’avocat a tenu deux conférences sur le 250e anniversaire de l’arrivée des Acadiens en Louisiane. - Acadie Nouvelle: Simon Delattre

Lors de son séjour au Nouveau-Brunswick, l’avocat a tenu deux conférences sur le 250e anniversaire de l’arrivée des Acadiens en Louisiane. - Acadie Nouvelle: Simon Delattre

Militant, avocat, auteur passionné d’histoire, l’infatigable Warren Perrin n’a jamais cessé d’œuvrer pour la survie du français et de revendiquer la culture acadienne en Pays Cajun.

 

Lors de sa première visite à Moncton en 1988, l’avocat de Lafayette, au sud des États-Unis, ne parlait pas un mot de français. Il ignorait même tout de ses origines acadiennes. «J’ai été interdit de parler français, raconte-t-il. À l’école on ne nous montrait rien de notre héritage.» Il se lance alors dans une vaste recherche sur ses ancêtres francophones.

 

Aujourd’hui, le drapeau des Acadiens de Louisiane ne quitte plus sa veste. Pendant une quinzaine d’années, Warren Perrin a mené campagne pour que la déportation des Acadiens soit officiellement reconnue. Grâce à de nombreux soutiens, comme Jean Chrétien ou la SNA, il obtient en 2003 une proclamation royale, signée de la main d’Élisabeth II, reconnaissant les torts causés par le Grand Dérangement.

 

«Ma plus grande réalisation, lâche-t-il avec un large sourire. Tout le monde croyait que j’étais fou. Ça m’a donné la chance de voyager partout, de faire des présentations sur l’histoire des Cadiens. À l’époque, personne ne connaissait les Acadiens…» À 68 ans, il continue avec la même énergie à parler de ceux qui ont accosté en Louisiane, il y a 250 ans.

 

Joseph Broussard en Acadia HRoe 2009.jpg

«Les Cajuns sont les seuls francophones qui ont essayé de ne pas perdre leur héritage en s’installant aux États-Unis. Les premiers arrivants étaient des militants, ils ont transplanté une culture.» Fondateur du musée acadien d’Erath, au cœur du Pays Cajun, Warren Perrin a écrit plusieurs ouvrages historiques. On lui doit notamment la biographie de Joseph Broussard, dit Beausoleil, leader acadien qui a résisté aux Anglais en 1755.

 

«On ne nous a pas tués»

 

Entre 1994 et 2010, l’avocat a présidé le CODOFIL, le Conseil pour le Développement du français en Louisiane, et a tenté de développer l’enseignement francophone. «C’est toujours une bataille, la langue est menacée par des problèmes budgétaires, on n’attire pas assez de professeurs étrangers. Ce qui est encourageant c’est que la demande est là, la fierté est là, plus que jamais!»

 

Aujourd’hui la Louisiane offre près de 5000 places en immersion française, et s’apprête à ouvrir une première école entièrement francophone à Lafayette. «Si on n’avait jamais commencé il y a 30 ans, la langue était foutue, souligne-t-il. Maintenant les jeunes musiciens ne veulent que la musique cadienne et créole.» Cette fierté, il veut désormais la transmettre à ses descendants. «On a survécu à la déportation, on ne nous a pas tués et je ne veux pas qu’ils oublient.»

 

Artisan du Congrès mondial acadien de 1999 en Louisiane, Warren Perrin a également représenté les États-Unis lors des sommets de la Francophone d’Hanoi, Moncton, Bucarest, Québec et Montreux. «Maintenant je connais des Acadiens de partout», s’amuse-t-il. «Grâce aux CMA et à internet, les relations entre la Louisiane et le Nouveau-Brunswick sont bien plus fortes.»

 

«Lâche pas la patate!»

 

Le défenseur de la langue n’a pas fini de militer, il participe actuellement à l’organisation du troisième Grand Réveil Acadien. Le festival de 9 jours commémorera l’héritage cajun au mois d’octobre 2015. Il est aussi impliqué de près dans le projet Nouvelle Acadie, une initiative archéologique qui vise à localiser le premier lieu d’établissement des Acadiens en Louisiane en 1765. «On veut trouver un lieu de mémoire, on n’a rien de la première génération.»

 

De ces années d’engagement, il affirme n’avoir aucun regret. Chaque nouvelle reconnaissance des francophones de la Louisiane le galvanise. Mais des défis les attendent encore, explique-t-il, comment transformer cette richesse culturelle en richesse économique? «Comme on dit : “lâche pas la patate!“ Nos ancêtres ont su adapter leur façon de vivre. Si on veut que notre culture survive, il ne faudra pas avoir peur d’évoluer.»

 

Source : Warren Perrin, 25 ans de combat pour les Cadiens de Louisiane, Acadie Nouvelle, Publié: 8 h 19 min, mardi 21 juillet 2015 par Simon Delattre

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2 août 2015 7 02 /08 /août /2015 14:28
Le dogme européiste contredit par la réalité

Hormis affirmer péremptoirement que la situation aurait été bien pis pour les Etats-membres s’ils n’avaient pas appartenu à l’Union européenne, quel politicien en a jamais apporté la moindre preuve ? Les comparaisons internationales prouvent incontestablement le contraire et les contre-exemples s’accumulent : Angleterre, Islande, Suède, Suisse, Norvège… [1]

Le mythe (mensonge) de l’euro qui nous protégerait ne peut plus durer si l’on se base sur une analyse rationnelle, scientifique et non pas sur un dogme, comme le font les européistes.

Tous les indicateurs macroéconomiques de la zone euro montrent que c’est une catastrophe et on nous rabâche en permanence les mêmes discours apocalyptiques sur une éventuelle sortie de l’euro.

Les faits sont pourtant têtus et ils montrent que les pays qui n’ont pas l’euro s’en sortent bien mieux et que la zone euro est la plus faible zone de croissance du monde. [2]

 

Notes

 

[1] La Grèce en défaut de paiement, Reinformation.Tv, 1 juillet 2015 14 h 45 min·

[2] Le lien entre l’euro et le taux de chômage par Charles-Henri Gallois, UPR, Publié le 2 mai 2013

 

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2 août 2015 7 02 /08 /août /2015 14:24

 

Anthony Hervey drapeau confédéré

Anthony Hervey était sur le chemin de sa maison à Oxford, Mississippi, lorsque la voiture dans laquelle il se trouvait avec Arlene Barnum a été prise en chasse par une autre voiture qui a volontairement provoqué une embardée.

Anthony Hervey, 49 ans, a été tué dans « l’accident ». Arlene Barnum a survécu et est à l’hôpital.

Anthony-Harvey

Cet « accident » suscite beaucoup d’attention médiatique dans le Sud des Etats-Unis. Il survient en pleine controverse concernant la volonté des « antiracistes » de bannir le drapeau confédéré. Sous prétexte que l’auteur de la tuerie de Charleston aimait le drapeau confédéré, celui-ci est réduit à un symbole raciste.

Or Anthony Hervey, citoyen noir des Etats-Unis d’Amérique, était un défenseur inconditionnel du drapeau confédéré. Lorsqu’il a été pris en chasse par une autre voiture dans laquelle se trouvait d’autres noirs, Anthony Hervey revenait d’un rassemblement de soutien à un monument confédéré à Birmingham, en Alabama.

anthonyHervey meeting confédéré

Arlène Barnum, survivante de cet « accident », avait tweeté en direct durant la poursuite pour avertir de ce qui se passait. L’autre véhicule transportait quatre ou cinq jeunes hommes noirs, selon le témoignage d’Arlène Barnum.

tweet avant accident

Les enquêteurs se refusent à tout commentaire pour l’instant.

Anthony Hervey, originaire du Mississippi, était l’auteur d’un livre publié en 2006 était intitulé « Pourquoi je brandis le drapeau confédéré, écrit par un homme noir« . Anthony Hervey était connu à Oxford. Il manifestait fréquemment à proximité de l’Université du Mississippi en uniforme confédéré, drapeau confédéré en main.

livre Anthony Hervey confédéré

En 2000, Anthony Hervey avait commencé à faire parler de lui en organisant des manifestations pour protester contre le retrait du drapeau confédéré du sommet de la coupole du Capitole de Caroline du Sud.

supporters noirs du drapeau confédéré

La mobilisation s’était intensifiée depuis quelques semaines. Anthony Hervey expliquait qu’il ne manifestait pas seulement pour défendre le drapeau confédéré, mais aussi pour honorer les soldats noirs qui ont combattu pour la Confédération.

remember black confederates soldiers

« Ce n’est pas du racisme. C’est mon patrimoine », aimait déclarer Hervey.

black-confederate-soldiers

« Anthony était probablement notre première véritable expérience avec la vraie liberté d’expression », a déclaré le directeur de l’Université du Mississipi qui, au départ, voulait l’empêcher de manifester son soutien au drapeau confédéré. « Il nous a remis en question et nous avons dû revoir certaines choses. »

Durant la campagne des élections présidentielles en 2008, il promenait aussi une pancarte avec pour slogan « Je ne suis ni un homme noir, ni un homme blanc, mais un homme droit ». Se faisant appeler le «redneck noir, » il déclarait aussi volontiers aux journalistes qu’il était contre les programmes sociaux de discrimination positive.

« Abaisser les normes d’admission pour entrer au collège, c’est insultant. C’est dégradant « , disait-il.

Anthony Hervey embarrassait ceux qui promeuvent les communautarismes et attisent les haines ainsi que ceux qui réécrivent l’Histoire à des fins idéologiques.

Anthony Hervey n’était pas un noir isolé. Sur les réseaux sociaux, de nombreux noirs refusent de suivre le discours conformiste et victimaire et se font à leur tour les défenseurs du drapeau confédéré. Mais ce ne sont pas les médias mainstream qui vous en parleront.

Karen-Cooper-femme noire drapeau confédéré

"I came to honor Strom Thurmond," said 55-year-old H.K. Edgerton of Ashville, N.C.  (Takaaki Iwabu photo / The State)

black_confederates 1

black-confederates3

black confederates 2

noir sudiste drapeau confédéré

livre Black_Confederates_by_Charles_Barrow

Southern Pride

 

Source

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2 août 2015 7 02 /08 /août /2015 14:15
L'Occident prêt à lâcher l'Ukraine pour la Russie (Expert US)

Un analyste américain estime que les Etats-Unis pourraient laisser tomber l'Ukraine pour obtenir le soutien de Moscou sur de nombreux dossiers internationaux, dont le nucléaire iranien et le règlement de la crise en Syrie.

Depuis quelques semaines, les dirigeants européens et américains cherchent à s'entendre avec le président russe Vladimir Poutine, écrit l'observateur politique Brian Whitmore dans The Atlantic Magazine.

"Les Etats-Unis et l'Europe peuvent renoncer à l'Ukraine en échange du soutien de Moscou dont ils ont besoin pour sécuriser l'accord sur le nucléaire iranien", estime l'analyste.

Brian Whitmore pointe également la visite de la sous-secrétaire d'Etat américaine Victoria Nuland à Kiev où elle a persuadé les parlementaires ukrainiens d'amender la Constitution de manière à accorder un statut spécial au Donbass.

Conformément au projet de réformes constitutionnelles proposé par Washington, l'Ukraine doit devenir un Etat fédéral, indique l'analyste. Il s'agit de mettre en place un système administratif à trois niveaux: municipal, régional et de district. Le gouvernement fédéral sera représenté à chacun de ces niveaux par des fonctionnaires nommés par décrets présidentiels.

Kiev avait autrefois déclaré que ces affirmations étaient inacceptables. Cependant, estime Brian Whitmore, la situation peut parfaitement changer d'ici à cet automne.

 

Source: Expert US: l'Occident prêt à lâcher l'Ukraine pour la Russie, SputnikNews, 20:43 31.07.2015(mis à jour 21:03 31.07.2015)

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2 août 2015 7 02 /08 /août /2015 14:05
Le Bureau américain des prisons vient de reconnaître l’humanisme comme une croyance religieuse

À force de matraquage, la religion de l’« humanisme » s’est peu à peu imposée comme croyance religieuse. Une récente décision du Bureau américain des prisons vient d’ajouter à sa visibilité.

 

Est « humaniste » celui qui aime l’Homme et sa nature déchue, à condition qu’il soit sans limite, sans exigence, sans frontière et sans Dieu créateur. L’ « humanisme » puise son idéologie dans les doctrines franc-maçonnes : il rejette le Dieu créateur pour adopter le « paradigme » panthéiste et holistique. En reniant le Dieu créateur, l’humanisme n’abandonne pas l’idée de religion : il la transpose pour faire de l’homme, de l’univers et de l’évolution son Dieu immanent. Il singe le vocabulaire de la religion pour mieux la remplacer.

 

D’autres branches de la maçonnerie et de l’humanisme se réclament du strict athéisme et de la « pensée rationnelle ». Elles ne sont que l’antichambre des branches mieux « éclairées ».

 

Il y a peu encore, cette idéologie restait discrète. Ce temps semble révolu : le bureau fédéral américain des prisons vient de reconnaître l’humanisme comme une croyance religieuse parmi d’autres, dont pourront se revendiquer les prisonniers qui le désirent. Ils pourront donc célébrer la « journée de Darwin » et bénéficier des équipements jusqu’à maintenant réservés aux détenus croyants.

 

Après l’armée, le Bureau des prisons ajoute l’humanisme dans sa liste des croyances religieuses

 

 

Le Bureau fédéral des prisons a également consenti à ajouter une rubrique sur l’humanisme dans son manuel sur les croyances et pratiques religieuses des prisonniers. Les autorités des prisons devront désormais prendre en compte les requêtes des prisonniers humanistes : accéder au matériel d’étude, observance des fêtes religieuses, demande de temps ou d’espace pour pratiquer leurs activités religieuses. Il y a un peu plus d’un an, c’était déjà l’armée américaine qui ajoutait l’humanisme à sa liste des croyances religieuses reconnues.

 

Il est encore impossible de savoir combien de prisonniers s’identifient comme humanistes pour la simple raison qu’ils ne le revendiquaient nulle part. Maintenant qu’ils pourront inscrire ce courant comme préférence religieuse dans les fichiers du bureau des prisons, il sera possible de les compter.

 

Les prisonniers qui se réclament de l’humanisme pourront désormais fêter la « journée de Darwin »

 

 

Cette décision du Bureau des prisons est la conséquence d’une plainte déposée l’année dernière par le prisonnier Michael Holden, soutenu par l’Association humaniste américaine. Cette dernière trouvait anormale que les prisonniers « humanistes » n’aient pas le droit de former un groupe d’étude dans la prison fédérale de Sheridan, dans l’Oregon, alors que les autres prisonniers croyants peuvent le faire.

 

Michael Holden, emprisonné depuis plus de 10 ans pour un vol à main armé, expliquait en mai 2014 que tous les athées n’étaient pas humanistes mais qu’il souhaitait pour sa part pouvoir pratiquer.

 

« En tant qu’humanistes, nous croyons que l’humanité a la capacité de transcender nos différences et de trouver un terrain d’entente pour rendre le monde meilleur ». Depuis que la plainte a été déposée, Holden a donc obtenu le droit d’organiser son groupe d’étude, qui pourra durer aussi longtemps qu’il y aura au moins deux prisonniers pour y participer. Il pourra sans doute réfléchir à la manière de rendre le monde meilleur en braquant d’honnêtes gens…

 

Mais il pourra également fêter la journée de Darwin, le 12 février, jour anniversaire de la naissance du naturaliste. Les humanistes se servent de cette journée pour célébrer les sciences : pour marquer la date, Holden a pensé que les prisonniers pourraient regarder un film et réclamer un repas particulier… À quand la journée mondiale de Darwin, sous l’égide de l’ONU et fériée sur l’ensemble de la planète au nom de l’humanisme ?

 

Béatrice Romée

 

http://www.foxnews.com/us/2015/07/27/us-bureau-prisons-agrees-to-recognize-humanism-as-religious-preference/

 

 

Mots-clés : humanisme croyance religieuse prison

 

Source : Le Bureau américain des prisons vient de reconnaître l’humanisme comme une croyance religieuse, Reinformation.Tv, 31 juillet 2015 20 h 05 min·

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31 juillet 2015 5 31 /07 /juillet /2015 05:43
Un millier de scientifiques mettent en garde contre les robots-tueurs

Un millier d’experts ont publié une lettre ouverte dénonçant les dérives militaires de l’utilisation de l’intelligence artificielle. Issus des quatre coins du monde, ils appellent l’ONU à légiférer d’urgence, pour la sécurité de tous.

Dans les domaines de la santé et de la sécurité, les évolutions et performances liées à l'intelligence artificielle sont certainement à encourager. Mais dans bien d'autres domaines, cette forme d'intelligence peut rapidement conduire à des dérives dangereuses que l'homme lui-même ne sera peut-être plus capable de freiner.

C'est le cas de la sphère militaire où l'utilisation de la technologie par des groupes terroristes ou par des dictateurs est devenue monnaie courante. Face à cette évolution, environ 1 000 éminents chercheurs et experts en robotique et intelligence artificielle (IA) ont publié lundi 27 juillet une lettre ouverte appelant l'ONU à interdire les armes offensives autonomes, mieux connues sous le nom de "killer robots" ou "robots-tueurs".

Quand il n'y a plus d'humanité

Cette lettre a été rendue publique à Buenos Aires, où se tient jusqu'au 31 juillet la Conférence internationale sur l'intelligence artificielle (IJCAI). Dans une interview accordée à l'AFP, l'un des signataires, l'expert britannique Toby Walsh, met en garde contre l'utilisation mal intentionnée de la technologie et l'absence de raisonnement et de sentiments humains dans les processus qui régissent les robots. "La différence entre les armes autonomes et les drones que nous avons vus en Irak et ailleurs c'est qu'il n'y a pas d'humain dans le processus (de décision). Un drone, vous avez derrière un soldat américain quelque part, parfois aux États-Unis, qui le guide avec un joystick, qui prend la décision de tuer quelqu'un ou pas. Là, nous avons un ordinateur ayant le pouvoir de vie ou de mort", fait remarquer le scientifique anglais.

Dans la lettre ouverte, il est en effet précisé qu'à ce stade, les robots-tueurs sont capables "de sélectionner et de combattre des cibles sans intervention humaine". Un comportement qui, selon M. Walsh, peut révolutionner, pour le pire et dans un futur dangereusement proche, la manière dont les hommes se font la guerre. Il y a d'abord eu l'invention de l'arme à feu, rappelle l'expert. Ensuite, l'arme nucléaire est considérée comme la seconde révolution en matière d'armement. L'IA et les robots-tueurs constituent une troisième révolution qu'il faut arrêter, sinon encadrer, rapidement. "La plupart des pays disposent de cette technologie", confie l'expert membre de l'Association pour le développement de l'intelligence artificielle (AAAI), citant entre autres les États-Unis et la Chine. "C'est une technologie qui est connue et il faut éviter qu'elle tombe entre les mains de terroristes ou de groupes armés."

 

Une législation à à adopter d'urgence

 

Toby Walsh encourage l'ONU à légiférer le plus rapidement possible car les éventuelles dérives militaires que peut engendrer l'IA sont à nos portes. "Nous soutenons la demande d'interdiction pour éviter une course à l'armement", martèle-t-il. "Il y a des arguments légaux, éthiques, politiques et techniques. Ce ne sont pas des décisions faciles à prendre, elles requièrent de l'éthique, mais il faut une législation pour l'encadrer."

Il dénonce également la faille quant à la responsabilité légale de cette arme. "Il n'y a pas de cadre légal en place" qui permette de juger le responsable dans le cas où l'armement tue une personne innocente. "Est-ce le fabricant ? Est-ce le programmateur ? Celui qui a allumé la machine ?", s'interroge le scientifique britannique. Les signataires exhortent l'ONU à passer à l'action. Ils plaident pour l'interdiction des armes autonomes offensives pour que davantage de sécurité soit assurée pour chacun d'entre nous.

Parmi le millier de scientifiques ayant signé la lettre ouverte adressée à l'ONU, on retrouve notamment le PDG de SpaceX et Tesla, Elon Musk, le physicien Stephen Hawking, le co-fondateur d'Apple Steve Wozniak, le co-fondateur de Skype Jaan Talinn et le linguiste et activiste Noam Chomsky.

sources: InfoCatho.be

via Aleteia

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25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 12:27
Les Cahiers de l’Université d’été de l’UCLF

L’Union des Cercles Légitimistes de France propose déjà plusieurs outils de formation comme son Programme des études politiques ou le Manifeste légitimiste. Les Cahiers de l’Université Saint-Louis constituent, eux-aussi, une synthèse de la pensée royaliste facilement utilisable dans le cadre d’un travail en cellule d’étude. Chaque année, de nouveaux textes illustrant la pensée légitimiste sont ainsi publiés. L’édition de l’Université d’été 2015 est maintenant téléchargeable.

 

Source

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20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 20:08
Big brother: 60% des Américains voient l'Etat américain comme "une menace pour les libertés individuelles", 60% de fous

Selon un article publié par Sud-Ouest Afp,

 

"environ 60% des Américains voient l'Etat américain (au sens de pouvoir central) comme "une menace pour les libertés individuelles", selon un sondage réalisé en mai."

 

Mais pour les media mainstream, pas de quoi s'inquiéter: ce sont des "complotistes". [1]

 

Si l'on prend la définition des mots, complotiste signifie celui qui, avec d'autres personnes, monte en secret une action dans l'ombre contre d'autres personnes, groupe ou Etat. Ce qui est un phénomène historique très répandu. Il suffit de se pencher sur les organisateurs de la Révolution dite "française"... ou sur la Révolution bolchévique dite "russe"...

 

Les personnes qualifiées de "complotistes" par les media mainstream sont donc en fait ceux qui dénoncent les personnes qui complotent ! Soit l'inverse du sens que veulent en donner les media du grand courant, en les faisant passer pour des délirants, des "malades", etc...

 

Alors que les media qui font office, paraît-il, d'organes d'"information", devraient alerter sur le niveau de défiance des Américains vis-à-vis de leur Etat central ... et quand à la défense de leurs libertés individuelles, non ils préfèrent donner rapidement l'information en passant dessus tout en faisant passer ces 60% d'Américains étato-sceptiques pour des fous...

 

Bienvenu dans Big brother!

 

Notes

 

[1] Un exercice militaire vire à la théorie du complot aux États-Unis, Sud-Ouest, Publié le 20/07/2015 à 10h21 , modifié le 20/07/2015 à 10h21 par SudOuest.fr, avec AFP

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20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 06:04

Elle fit qu'à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front.

Apocalypse, 13, 16

Un immeuble dans le centre d'affaire de Stockholm est équipé pour fonctionner avec des puces électroniques. Une société propose d'implanter une puce sous la peau de ses employés afin d'avoir accès aux bureaux et pour d'autres usages.

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19 juillet 2015 7 19 /07 /juillet /2015 21:03

Les forêts restent vierges dans la région de Mourmansk (nord de la Russie). Elles offrent un spectacle inoubliable de beauté, d'abondance d'eau pure et limpide…

Forêts vierges du Nord russe

Ici, pas le moindre touriste.

 

Source

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19 juillet 2015 7 19 /07 /juillet /2015 19:37

La grande peur des Anglais, des Américains et de leurs laquais en France et en Europe c'est précisément qu'un choc des civilisations survienne et permette aux nationalistes de reconquérir le pouvoir sur leurs terres.

Boris Le Lay

Au moment où l'on apprend que le président américain, Barack Obama, a souhaité jeudi 16 juillet aux mahométans un « joyeux Aïd », en référence à la fête de l’Aïd el-Fitr marquant l’achèvement du ramadan et a émis le vœu que la mesure prise par le maire de New York d’ajouter deux fêtes musulmanes aux jours de congés dans ses écoles et donc de dispenser les écoliers de classe lors de l’Aïd el-Fitr et de l’Aïd el-Kébir à partir de la rentrée prochaine soit étendue à tous les écoliers américains [1], voici une Intéressante contribution audiovisuelle de Boris Le Lay à propos de l'assertion courante selon laquelle l'Axe mondialiste souhaiterait pousser le monde européen contre le monde musulman (théorie dite du "choc des civilisations"). Cette théorie serait fausse.

Au contraire, détaillant l'"Agenda multiculturel", Boris Le Lay explique qu'"il y a aujourd'hui une alliance entre les Etats-Unis, l'Angleterre, la finance atlantique et l'islam politique, à la fois dans le monde arabo-musulman et en Europe" pour promouvoir "l'équilibre politique multiculturaliste, profondément fragile, qui bénéficie à l'Axe atlantique et globaliste" :

 

Prix Chatham House de 2012 aux hommes politiques tunisiens Moncef Marzouki et Rached Ghannouchi (chef du Parti Ennahdha en république de Tunisie).

Prix Chatham House de 2012 aux hommes politiques tunisiens Moncef Marzouki et Rached Ghannouchi (chef du Parti Ennahdha en république de Tunisie).

Extrait:

 

"Le gouvernement américain a détruit tous les régimes laïques du monde arabo-musulman: l'Irak baasiste de Saddam Hussein, la Syrie baasiste de Bachar Al Assad (ou du moins c'est en cours), l'Egypte nassérienne de Moubarak et aujourd'hui d'Al Sissi. Rappelons qu'Hillary Clinton, à l'époque ministre des Affaires étrangères américaine, avait pris et fait et cause pour les Frères musulmans, que depuis plus d'un demi-siècles, les Frères musulmans sont soutenus par Londres notamment.

Rappelons également le cas d'Ennahdha en Tunisie, aussi soutenu par les Etats-Unis." [Le prix Chatham House 2012 fut remis aux hommes politiques tunisiens Moncef Marzouki et Rached Ghannouchi (chef du Parti Ennahdha en république de Tunisie). Chatham House est le think tank du Royal Institute of International Affairs (RIIA). Fondé en 1920, il est l'équivalent anglais du Conseil des relations étrangères américain (CFR). NDLR.]

 

La destruction de la Libye de Mouammar Kadhafi qui n'était pas un régime islamiste et qui aujourd'hui est un pays ravagé entre des milices proches des Frères musulmans, proches du Qatar, un certain nombres d'autres qui refusent de se soumettre, etc.

 

Et dans la ligne de mire, toujours, des forces anglo-américaines et aussi de la finance juive new-yorkaise (il faut quand même le dire), l'Algérie. L'Algérie issue de la décolonisation qui elle aussi, est de type laïque et socialiste.

 

Il y a eu une destruction patiente de tous les gouvernements de coloration nationaliste arabes pour mettre au pouvoir un islam politique proche des Frères musulmans dans la galaxie desquels on retrouve par exemple le Hamas, qui est soutenu certes par l'Iran mais aussi par le Qatar et qui à Gaza, avait accueilli la direction politique clandestine des Frères musulmans égyptiens avant la révolution amenant au renversement de monsieur Moubarak, l'ancien président égyptien.

 

Mais il y a aussi bien évidemment monsieur Erdogan, et l'AKP, parti néo-islamiste qui soutient les islamistes en Syrie et même l'état islamique en Irak.

 

Bref, cette politique de destruction du nationalisme arabe a été constante. Et il y a aujourd'hui en France et en Europe, mais la France plus encore qu'ailleurs parce que la France comme l'Ukraine est désormais un champ de batailles où il n'y a plus de gouvernement à proprement parler, mais où des factions s'affrontent qui sont instrumentées par le pouvoir financier américain, notamment. Et la politique du gouvernement d'Occupation est très claire. C'est une politique de soutien à l'islam politique, à un certain islam politique, c'est-à-dire un islam qui a noué une alliance avec le gouvernement américain. C'est évidemment la tendance des Frères musulmans et des pétromonarchies du Golfe.

Manuel Valls : "L'islam est en France pour y rester."

Manuel Valls : "L'islam est en France pour y rester."

 

"Monsieur Manuel Valls a déclaré que l'islam était en France pour y rester. Le Parti socialiste a annoncé son intention de doubler le nombre de mosquées. Le durcissement des lois 'antiracistes' témoigne de cette volonté de combattre les forces qui s'opposent à l'islamisation et à l'immigration de masse. Manuel Valls s'est déplacé dans le nord de Marseille pour inaugurer un établissement scolaire créé par l'UOIF. Des membres de l'UOIF étaient présents au Ministère de l'Intérieur avec le ministre Bernard Cazeneuve et aussi Manuel Valls, dans le cadre de ce réaménagement du Conseil Français du Culte Musulman, qui voit la montée en force progressive, justement de cette tendance islamique dans le pays. Manuel Valls a pris soin aussi de ne pas dénoncer en bloc le salafisme." [On se demande en effet bien quand le peuple français a donné mandat au Premier ministre Manuel Valls pour intervenir dans les affaires de l'islam en France et organiser cette religion?! Et décider pour nous! NDLR.]

 

"[...] Nous voyons donc une alliance se forger sous l'impulsion de l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique, ce que l'on a pu appeler la doctrine Rifkin, du nom de cet ambassadeur d'origine juive en poste à Paris de 2009 à 2013, et qui consiste depuis 2003, à neutraliser l'antiaméricanisme dans les masses afro-musulmanes en cooptant un certain nombre de dirigeants proches des réseaux américains, notamment Frères musulmans, et par ce processus de management ethnique, de conjurer le 'choc de civilisation' qui menace cet équilibre politique multiculturaliste, profondément fragile, qui bénéficie à l'Axe atlantique et globaliste."

Notes

 

[1] Quand Obama sert les desseins de l’islamisme mondial, 18 juillet 2015 http://www.bvoltaire.fr/aristideleucate/obama-sert-desseins-de-lislamisme-mondial,194151

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18 juillet 2015 6 18 /07 /juillet /2015 19:04
Pour le patriarche copte Tawadros, le prétendu "Évangile de Barnabé" est un faux

Le mystérieux "Évangile selon Barnabé", que même la presse internationale a fait passer pour un document authentique qui aurait été retrouvé en Turquie, est un "livre bourré d'erreurs historiques et géographiques, l'œuvre d'un faussaire", sans aucune valeur ni rien qui puisse améliorer la vie de l'homme d'aujourd'hui.

Telle est l'opinion du patriarche Tawadros II sur le document qui aurait été découvert en mai 2012 dans le fonds du palais de justice à Ankara. Le Primat de l'Église copte orthodoxe a été catégorique dans sa critique durant sa catéchèse, le mercredi 24 juin, consacrée à la figure de saint Barnabé, le disciple de Jésus qui se convertit au christianisme après la Pentecôte.

 

Quasi-unanimité des chercheurs : il s'agit d'un texte médiéval


Dans le texte manuscrit, relié en cuir avec des lettres d'or et conservé dans le secret pendant 12 ans, que les autorités turques ont présenté au monde comme ayant été écrit il y a 1 500 ou 2 000 ans, certaines pages en syriaque (langue araméenne) ont été présentées comme un nouvel évangile attribué à Barnabé.

Dans ces pages, notamment, on lit que Jésus n'a pas été crucifié, qu'Il est monté vivant au Ciel comme un prophète et non comme le Fils de Dieu, et que Judas Iscariote aurait été crucifié et serait mort sur la Croix à sa place, et surtout que Jésus aurait annoncé de façon explicite la venue, après Lui, de Mahomet.

La réalité est que les chercheurs sont pratiquement unanimes dans leur opinion : il s'agit d'un texte médiéval faussement attribué à Barnabé. Le seul livre du premier siècle qui le soit est l’Épître de Barnabé, un écrit apocryphe ne figurant pas dans le Nouveau Testament. Et cette lettre du premier siècle parle de Jésus comme du Seigneur crucifié et ressuscité.

Adapté de l'espagnol par Élisabeth de Lavigne
Article initialement publié par l'Agence Fides 

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16 juillet 2015 4 16 /07 /juillet /2015 17:17
Technologie et robots : le Forum économique mondial (Davos) annonce la fin du travail tel que nous le connaissons, et la fin de la classe moyenne

Le Forum économique mondial vient de publier un article de Jean Pisani-Ferry, conseiller au Plan pour le gouvernement français, qui annonce la fin du travail tel que nous le connaissons. Technologie et robots sont là, et leur emprise croissante permet de penser que le monde du travail en sera profondément bouleversé, affirme-t-il. Tout en rappelant que la plupart des avancées technologiques ont permis le développement de nouveaux métiers et la création d’emplois, il ne cache pas combien les robots vont rendre obsolètes certaines professions qui peuvent parfaitement être mécanisées grâce à l’informatique. Ce sont les métiers exercés par la classe moyenne qui sont les plus menacés.

[...] Les tâches routinières seront les premières affectées. Pisani-Ferry prévoit une hémorragie particulière parmi les employés et les professionnels qui font du traitement de données : les comptables par exemple. A l’inverse, les « créatifs » ou les soignants pourraient prospérer et voir leur productivité augmenter grâce aux nouvelles techniques – il cite les chirurgiens ou les coiffeurs.

 

Source et suite: Technologie et robots : le Forum économique mondial (Davos) annonce la fin du travail tel que nous le connaissons, et la fin de la classe moyenne, Reinformation.Tv, 15 juillet 2015 13 h 50 min

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15 juillet 2015 3 15 /07 /juillet /2015 18:17

En Russie, les multinationales ne pourront pas arguer de traités internationaux pour faire des procès à l'Etat et condamner l'Etat (Cf. le Traité transatlantique qui donnera cette capacité aux multinationales) :

La Cour suprême de Russie affirme la primauté de la Constitution russe sur les décisions de la CEDH

La Cour suprême russe a décidé, mardi 14 juillet, qu’aucun traité international ne prévaut sur la souveraineté nationale et accordé à la Russie le droit de ne pas appliquer les décisions de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) si ces dernières contredisent la Constitution ou la loi russes. « La Convention européenne pour la protection des droits de l’Homme et les libertés fondamentales, tout autant que les positions légales de la CEDH qui s’appuie sur celle-ci, ne peuvent pas supprimer la primauté de la Constitution » a affirmé le juge Serguei Mavrin, pendant la session de la Cour constitutionnelle. « Toutes les décisions de la CEDH devront être exécutés en considérant d’abord la primauté de la Constitution russe. Exceptionnellement, la Russie pourra donc refuser d’appliquer certaines obligations, dans le cas où un refus serait la seule manière d’empêcher une violation de la loi russe », a-t-il ajouté.

 

La Cour suprême de Russie résiste aux décisions de la CEDH

 
Fin 2013, la Cour constitutionnelle russe s’était accordé le droit de décider ou non de l’exécution de décisions de la CEDH opposées au droit russe. Cette nouvelle décision étend la suprématie de la Cour constitutionnelle sur des cours internationales ou des traités internationaux, et établit clairement la priorité de la Constitution russe en général.
 
Cette décision de justice est une réponse à un groupe de députés de la Douma qui avait contesté un certain nombre de lois russes qui semblaient obliger les tribunaux russes à exécuter les ordres de la CEDH, au détriment parfois de la Constitution russe.
 
Le député Aleksandr Tarnavskiy avait ainsi expliqué que les députés qui réclamaient cette clarification craignaient qu’un certain nombre de décisions de la CEDH soient prises pour diluer la souveraineté de l’Etat russe, basée sur la priorité de la Constitution et la reconnaissance de la Cour constitutionnelle comme seul pouvoir d’Etat ayant la possibilité d’exécuter une surveillance constitutionnelle.

 

Primauté de la Constitution russe : la Russie n’est pas seule à affirmer la force des lois nationales

 
A la suite de cette décision, le juge Mavrin a annoncé que la Cour constitutionnelle pourrait se pencher sur le cas Ioukos, à condition que les plaignants se présentent eux-mêmes devant le tribunal.
 
Fin juillet 2014, la CEDH avait condamné la Russie à verser près de 2,5 milliard d’euros aux ex-actionnaires du groupe Ioukos qui appartenait à l’oligarque critique du Kremlin, Mikhaïl Khodorkovski, et démantelé pour fraude fiscale en 2007.
 
C’est à la suite de cette décision qu’une centaine de députés russes ont saisi la Cour constitutionnelle pour demander si la Russie, qui a signé la Convention européenne des droits de l’Homme en 1996, était obligée d’appliquer toute décision de la CEDH, même en cas de contradiction avec la Constitution russe.
 
Le président du comité d’enquête de la Fédération de Russie, Aleksandr Bastrykin, a affirmé que de nombreux pays respectaient ce principe de primauté de leurs lois fondamentales dans l’application des décisions de la CEDH, citant notamment l’Allemagne, l’Italie, l’Autriche, la Grande-Bretagne. Il a également évoqué les pays qui donnent la priorité à leurs lois par rapport aux traités internationaux, prenant l’exemple des Etats-Unis, de l’Inde ou du Brésil.

 

Béatrice Romée

 

Source: La Cour suprême de Russie affirme la primauté de la Constitution russe sur les décisions de la CEDH, Reinformation.Tv, 15 juillet 2015 13 h 45 min·

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15 juillet 2015 3 15 /07 /juillet /2015 17:33
Macron : l'accord sur la Grèce "ne purge pas le sujet de la dette intellectuellement"

Alors que François Hollande a déclaré "la Grèce reste dans la zone euro. L'Europe a gagné", le ministre français de l'Economie, Emmanuel Macron, sur la même ligne que le FMI, s'est montré lors d'un point presse mercredi matin beaucoup plus dubitatif et circonspect sur la possibilité de conclure à court terme un accord sur un allègement de la dette grecque. 

 

L'accord sur la Grèce (conclu entre la Grèce et ses créanciers lundi) "ne purge pas le sujet de la dette". [1]

 

C'est le cas de le dire. Il y aurait tout un débat à faire et qui n'a jamais été fait sur la dette et le financement de la vie politique par la dette, qui est le contraire même d'une saine politique, transparente et rationnelle conçue à long terme et qui, le plus grave, est la source de la nouvelle esclavagisation des peuples et de ce que des observateurs appellent déjà le "néo-féodalisme". (Cf. "Money Masters", les maîtres de la monnaie (1/2); Ce qui vous attend après la faillite de la Grèce (Valérie Bugault et Jean-Michel Vernochet)

Après le diktat lundi des créanciers à la Grèce pour un troisième plan d'aide à Athènes, la surprise est venue du Fonds monétaire international qui a reconnu mardi que la dette grecque n'était pas viable, ce qui suppose que ses créanciers l'annulent ou qu'ils lui accordent un délai de grâce de 30 ans.

Le FMI propose trois pistes explosives aux créanciers européens. La première consiste à étendre de 10 à 30 ans le délai de grâce pendant lequel la Grèce n'aurait pas à rembourser sa dette aux Européens, y compris sur les nouveaux prêts. La seconde, consisterait, pour les États européens, à réaliser des «transferts annuels explicites» au budget de l'État grec. Enfin, la dernière -et la plus controversée- consisterait pour les créanciers à accepter de «sérieuses décotes» de la dette. Autrement dit, un effacement pure et simple. Une option dont l'Allemagne refuse d'entendre parler. [2]

Alors que l'Assemblée dite "nationale" française a approuvé à une très large majorité cet après-midi cet accord, largement encouragé par le président de la République, par 412 voix "pour" et 69 "contre" [3], Emmanuel Macron fait une critique plus réaliste et a ouvertement critiqué cette "avancée". Il a estimé que si "l'accord qui a été trouvé" était "le meilleur accord possible", compte tenu des exigences des uns et des autres [4], 

 

"l'accord ne purge pas le sujet de la dette intellectuellement. Théoriquement, je ne pense pas que sur le long terme ce niveau de dette soit possible (...) politiquement et de manière réaliste, à court terme il est impossible d'avoir un accord sur le sujet." [5]

 

Selon le jeune ministre qui a succédé à Arnaud Montebourg, il faudra reconsolider la confiance dans la zone euro et améliorer son fonctionnement pour envisager une approche à long terme du problème.

 

"Au-delà de l'accord qui a été trouvé, il faut que nous puissions redéfinir les voies et moyens d'un redémarrage de l'économie grecque, ce que ne permet pas l'accord a ce stade", a-t-il poursuivi.

 

Lors de son interview du 14 juillet, François Hollande avait lui salué le courage d'Alexis Tsipras, premier ministre grec, et considéré que les réformes annoncées étaient "dures" mais nécessaires.

 

 

Notes

 

[1] EN DIRECT - Grèce : démissions en série dans le gouvernement Tsipras, Le Figaro, Mis à jour le 15/07/2015 à 16:34 Publié le 15/07/2015 à 11:36

[2] Le FMI réclame un allégement drastique de la dette grecque, Home ECONOMIE Conjoncture, Par lefigaro.fr Mis à jour le 15/07/2015 à 16:35 Publié le 15/07/2015 à 09:34

[3] EN DIRECT Grèce : l'Assemblée nationale donne son feu vert, Les Echos | Le 15/07 à 12:27, mis à jour à 18:15

[4] Grèce : Emmanuel Macron sceptique sur l'accord, Publié le 15/07/2015 à 15:50 | Le Point.fr

[5] Grèce : Emmanuel Macron pessimiste sur l'accord, Le Figaro, Home LE SCAN Les verbatims, Par Mathilde Siraud, AFP, AP, Reuters Agences Publié le 15/07/2015 à 14:58

 

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15 juillet 2015 3 15 /07 /juillet /2015 10:31

On a vu dans un reportage video de Reinformation.Tv que l'agriculture française s'effondre, sacrifiée sur l'autel d'une Europe de la finance et des magouilles de Bruxelles, de la mondialisation, l'explosion des suicides parmi les agriculteurs, des éleveurs de porcs et des producteurs de lait étranglés par les charges et les baisses des prix de leur production, le silence des media. Voici une exception avec "Marianne.net" dont un excellent article pointe l'hypocrisie des dirigeants (maltraitance des animaux, des vaches traitées trois fois par jour par des robots pour maximiser la production", "ne voyant jamais un brin d'herbe" et qui "pataugent dans leurs excréments"):

La ferme de Fair Oaks est un des plus gros élevages de vaches laitières des Etats-Unis

La ferme de Fair Oaks est un des plus gros élevages de vaches laitières des Etats-Unis

On ne sait ce qui doit le plus inquiéter avec les dernières nouvelles de la « ferme des 1 000 vaches ». Ce qu'elles nous apprennent. La manière dont elles nous parviennent. Ou le peu d'écho qu'elles provoquent. Cette « innovation », symbole d'un tournant de l'histoire de l'agriculture française, continue de baigner dans l'hypocrisie générale. Hypocrisie commençant avec le terme de « ferme », premier mensonge pour désigner cette usine à vaches laitières qui s'installe dans la Somme.

C'est un site environnementaliste (Reporterre.net), créé par un journaliste viré d'un grand quotidien, qui nous apprend que ce projet mélange déjà sordide et illégalité. Un employé témoigne de l'état physique et sanitaire pitoyable des animaux qui, ne voyant jamais un brin d'herbe, pataugent dans leurs excréments. Et il révèle que s'entassent près de 800 vaches, contre les 500 autorisées, l'usine ne disposant pas encore d'assez de terrains pour répandre les tonnes de résidus de 1 000 bêtes.

« Votre article a éveillé l'intérêt des services de l'Etat », a réagi la préfecture. Les autorités, qui avaient la tête ailleurs, ont vérifié et remercié Reporterre.net d'avoir fait leur propre travail. « Il y a là un manquement, il sera sanctionné », a renchéri Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture et porte-parole du gouvernement. Sachant le dossier sensible, il a ajouté : « J'applique toutes les règles et toute la loi, et rien que les règles et rien que la loi. » Justement, plus que le laxisme de ses services de contrôle, voilà le vrai problème. Les « règles ». Des règles permettant ces « 1 000 vaches » auraient dû faire débat en France. Pour empêcher une entreprise si contraire à tous les beaux discours officiels.

Contraire à la politique en matière de souffrance animale. La loi votée le 16 février prescrit que les bêtes, « êtres vivants doués de sensibilité », doivent être protégées contre les « mauvais traitements ». Or, les éthologues qualifient tel le sort de ces vaches entassées dans un hangar, nourries au maïs ensilé et auxquelles des robots imposent trois traites par jour pour maximiser la production.

Contraire à la politique énergétique et écologique. EDF rachète à prix majoré l'électricité issue de la méthanisation des bouses, mais de telles usines consomment plus de calories que l'élevage à l'herbe et rejettent en masse nitrates et résidus médicamenteux dont on voit la Bretagne inondée par ses élevages industriels porcins.

Contraire à « l'agroécologie » prônée par le ministre de l'Agriculture. Il récompense de « trophées de l'agriculture durable » des fermes modèles employant du personnel et dans lesquelles les bêtes sont nourries avec les céréales produites sur place. Mais il laisse se créer des usines folles. Tout en précisant, gêné, qu'il n'y est pas « favorable ». Et en plaidant la « cohabitation ». Autre hypocrisie. Il n'y a pas de synthèse possible en la matière. Avec ces « règles » favorisant l'industrialisation, ce sous-lait à prix cassé va sinistrer les fermiers déjà fragilisés par la fin des quotas laitiers. C'est achever la soumission de l'agriculture aux réflexes financiers du lobby agroalimentaire. Lequel ne se demande pas ce qu'il produit, mais comment le faire au plus bas coût et avec le plus de marge. Modèle : l'Allemagne, où il va déjà acheter du lait dans ces milliers d'ex-kolkhozes de l'Est reconvertis avec les méthodes américaines et les salaires d'Europe centrale à 3 € l'heure.

L'investisseur de la « ferme des 1 000 vaches », grande fortune française, est un géant du BTP. D'autres annoncent 2 000 vaches et chèvres laitières en Touraine, 200 000 poules pondeuses dans la Somme. Avec ces nouveaux acteurs, visant le profit plutôt que la qualité, l'élevage bovin, encore peu industrialisé, basculera dans un autre monde que celui des paysans. Ces paysans que Montesquieu aimait parce qu'« ils ne sont pas assez savants pour raisonner de travers ».

Car l'hypocrisie couvre l'absurdité. Outre le scandale écologique qu'elle constitue, cette industrialisation heurte d'abord le bon sens économique. Le créneau commercial français est celui des terroirs, des appellations et de leurs savoir-faire. La valorisation d'un héritage et d'une géographie culturelle. Mais à l'absurdité s'ajoute le mépris pour un monde paysan dont on ne reconnaît plus la valeur ajoutée, comme le résume Elisabeth de Fontenay : « Voilà près de cinquante ans que le Crédit agricole et la FNSEA montent les fils contre les pères, qu'on piétine la prudence des traditions, pour faire triompher la démesure du productivisme et la pollution qui toujours l'accompagne. » La philosophe ajoute que personne n'ose dire aux paysans qu'« ils sont des hommes de trop sur la Terre ».

Mercredi 17 juin, quelques-uns de ces vrais paysans, condamnés pour une tentative de « démontage » de la « ferme des 1 000 vaches », se sentaient bien seuls devant la cour d'appel d'Amiens. A part José Bové et Jean-Luc Mélenchon, pas un leader des Verts pour les soutenir. En revanche, l'ancien rapporteur de l'ONU pour le droit à l'alimentation était là. Olivier De Schutter s'était déplacé pour les défendre, expliquant que, acculés dans « une impasse complète », ils n'avaient « pas d'autre choix ». Avant de conclure que « la question est de savoir pourquoi les canaux politiques sont autant asservis aux intérêts de l'agro-industrie ».

Source: Mille vaches et pas mal d'hypocrites, Marianne.net, Mardi 30 Juin 2015 à 5:00

Mille vaches et pas mal d'hypocrites

Rappelons qu'alternative gratuite au supermarché, pour le producteur comme pour le consommateur, le site "Paysans.fr", fondé en 2003 (achat sur internet et livraison à domicile) est l’un des premiers services de logistique livrant à domicile les produits frais de petits producteurs, en-dehors des circuits de la grande distribution.

 

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14 juillet 2015 2 14 /07 /juillet /2015 11:02
Défilé du 14 juillet 2015 : François Hollande hué et sifflé malgré des interpellations préventives

M@J Permanente

 

Pas un défilé du 14 juillet sans que François Hollande ne soit accueilli par des sifflets. Ce 14 juillet 2015, "malgré des interpellations préventives, François Hollande a été hué une fois de plus sur les Champs-Elysées. Et pourtant, les autorités mettent tout en place pour circonscrire les opposants. Les interpellations préventives ont débuté tôt ce matin. Et les télévisions suivent à la lettre les consignes de ne pas laisser entendre les sifflements durant le passage de François Hollande sur les Champs-Elysées." [1] Les chaînes d'info montrent des gens souriants, les interrogent, contents d'être dans "l'ambiance" du 14 Juillet.

Défilé du 14 juillet 2015 : François Hollande hué et sifflé malgré des interpellations préventives

La honte pour François Hollande : un "coup d'Etat" déjoué, 300 personnes interpellées. Du jamais vu depuis mai 68.

19h13 : Une seconde dépêche Afp publiée à 19h13 titre "300 manifestants pour "un coup d'Etat" interpellés à Paris". [2] Toujours aucun écho dans les chaînes d'info télévisées qui sifflent toujours en l'air à 20h45 passé.

 

A l'appel du "Mouvement du 14 juillet", quelque 300 personnes qui rêvaient de prendre le pouvoir à la faveur d'un "coup d'État" ont manifesté mardi à Paris avant d'être pour la plupart interpellées.

 

Le "Mouvement du 14 juillet", rassemblement hétéroclite qui diffuse des théories complotistes, avait appelé sur internet à se rassembler place de la Concorde dans la matinée, pour rallier à lui l'armée qui y défilait, avant de manifester près de l'Assemblée nationale dans l'espoir de prendre le pouvoir.

 

En début d'après-midi dans le calme derrière l'Assemblée nationale, quelque 300 sympathisants de ce mouvement, certains portant le masque des "Anonymous", se sont rassemblés. Les manifestants étaient 500, selon le site agenceinfolibre qui relaie les actions du mouvement. Ils ont ensuite manifesté dans Paris à proximité de la gare du Nord puis de Beaubourg où "près de 300 personnes ont été interpellées" dans le calme en fin d'après-midi,.

 

Ces interpellations avaient pour but de vérifier l'identité des participants sans pour autant mener à des mesures de garde à vue. Cette manifestation n'a pas été déclarée et est donc considérée comme illégale. Sur son site internet, le "Mouvement du 14 juillet" appelait au "devoir d'insurrection" en France pour qu'un "nouveau gouvernement remplace l'ensemble des politiciens actuels dès le 14 juillet".

 

Myriam Vouters, porte-parole du mouvement aux Inrockuptibles avait déclaré: "on se rassemblera place de la Concorde où se terminent les défilés ce jour-là. (...) Les forces militaires auront un choix à faire, et on espère bien qu'elles vont nous rejoindre. Ensuite, on prendra le contrôle des bâtiments stratégiques: Élysée, Matignon, palais du Luxembourg et Assemblée nationale".

 

 

 

L'Agence Info Libre consacre un article "Spécial 14 juillet, suivez l’information sur le site de l’Agence Info Libre":

 

18h20 : le groupe Beaubourg a été embarqué, y compris les reporters de l'Agence de Presse Info Libre qui couvraient l'évènement, Jonathan et Lucas.

Défilé du 14 juillet 2015 : François Hollande hué et sifflé malgré des interpellations préventives
Défilé du 14 juillet 2015 : François Hollande hué et sifflé malgré des interpellations préventives
Défilé du 14 juillet 2015 : François Hollande hué et sifflé malgré des interpellations préventives

18h10 : les manifestants encerclés par les CRS à Beaubourg attendent d’être embarqués.

 

17h38 : Un groupe arrive rue Beaubourg. Il est attendu par un nombre impressionnant de CRS.

 

17h26 : Altercation à Beaubourg, les CRS lancent les Gaz lacrymogènes.

 

17h18 : un groupe s’oriente vers la place de la Concorde pendant que Sylvain Baron et 30 autres personnes se dirigent vers BFM TV.

 

16h45 : 300 personnes descendent le Boulevard Magenta (10e arr)

 

16h40 : 400 à 500 personnes arrivent Gare du Nord.

 

16H16 : L'Afp publie une première dépêche à 16h16 évoquant des interpellations et une centaine de gardes à vue à Paris :

 

Lors d'incidents et de violences urbaines qui ont touché l'Ile-de-France en marge des festivités du 14 Juillet, quelque 100 personnes ont été placées en garde à vue à Paris, 109 en Seine-Saint-Denis. [3]

Dans la capitale dans la nuit, 145 personnes ont été interpellées, dont quelque 100 ont été placée en garde à vue. A La Courneuve (Seine-Saint-Denis), "une médiathèque, l'école de la deuxième chance (qui forme en alternance des jeunes adultes sans diplôme ni qualification, ndlr) et un commerce alimentaire ont été incendiés."

Selon Grégory Goupil, secrétaire régional adjoint du syndicat Alliance, à Neuilly-Plaisance, une voiture de la police municipale a brûlé. Les locaux de la police municipale y ont été "assiégés par une centaine d'individus".

Le climat a été tendu dans le XIXe arrondissement de Paris et dans le Val-de-Marne. "Plus d'une trentaine" de véhicules ont été incendiés et 52 personnes ont été interpellées dans le Val-de-Marne. Une source policière évoque elle "des jets de projectiles", notamment "des pétards et des mortiers" sur les forces de l'ordre mais juge le niveau de débordements stable par rapport aux années précédentes. Dans le XVIe arrondissement, l'incendie d'un scooter s'est propagé à 26 voitures.

 

15h50 : 400 à 500 personnes se dirigent vers la Gare du Nord.

Défilé du 14 juillet 2015 : François Hollande hué et sifflé malgré des interpellations préventives

Des personnes brandissent des pancartes : "Vos armes, vos guerres, on en veut pas", "Démocratie maintenant"

 

15h35 : 400 personnes rue de Saint-Pétersbourg. Ça commence à se frotter avec les CRS.

 

14h : devant l’Assemblée Nationale, Thierry Borne, Sylvain Baron et d’autres, prennent la parole devant le public de plus en plus nombreux.

 

Les manifestants scandent "Tous unis".

 

13h50 : Pendant ce temps-là en zone occupée : François Hollande, 14 juillet 2015 : « La croissance est là en France, mais elle est encore trop faible. » [4]

 

13h35 : on compte environ 500 personnes devant l’Assemblée Nationale.

12h29 : des manifestants debout chantent la Marseillaise devant l’Assemblée Nationale, d'autres sont assis, silencieux à la manière des Veilleurs.

12h15 : arrivée à l’Assemblée Nationale.

11h45 : les manifestants commencent à se rassembler près de l’Assemblée Nationale

 

11h00 : plusieurs personnes ont quitté la place de la Concorde pour la place de l’Étoile.

 

10h22 : multiplication des interppelations et contrôles dans Paris :

A 9h30: premières interpellations de personnes devant l'Assemblée dite "nationale" :

Défilé du 14 juillet 2015 : François Hollande hué et sifflé malgré des interpellations préventives

Notes

 

[1] Malgré des interpellations préventives, François Hollande a été hué une fois de plus, Medias-presse.info, in Politique / by Léo Kersauzie / on 14 juillet 2015 at 11 h 41 min /

[2] 300 manifestants pour "un coup d'Etat" interpellés à Paris, Home ACTUALITE Flash Actu, Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 14/07/2015 à 19:35 Publié le 14/07/2015 à 19:13

[3] VIDÉO - 14 Juillet: incidents en Ile-de-France, Home ACTUALITE Flash Actu, Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 14/07/2015 à 16:29 Publié le 14/07/2015 à 16:16

[4] La croissance «est là», mais elle est encore «trop faible», déclare Hollande... Fin du défilé militaire..., 20 Minutes, Publié le 14.07.2015 à 09:40, Mis à jour le 14.07.2015 à 14:50

[5] A propos du projet de loi sur l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples homosexuels, dans un entretien publié dans "Ouest France", Christiane Taubira, ministre de la Justice, a déclaré le 7 novembre 2012 : "C'est une réforme de société et on peut même dire une réforme de civilisation". Source : Mariage homosexuel: "une réforme de civilisation" pour Christiane Taubira, Nouvel Obs, Publié le 07-11-2012 à 11h40

 

 

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