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Christ Roi

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30 septembre 2023 6 30 /09 /septembre /2023 19:56
"Le divorce utilise les traumatismes des enfants pour le bonheur des parents"

"Une séparation indolore pour le bien des enfants est toujours une tromperie." L'affaire Esselunga brise un tabou: "Maman et papa exemplaires, mais la petite fille n'est pas contente: la publicité révèle l'homme de paille des ouvriers de l'usine du divorce, qui utilisent le traumatisme des mineurs pour le bonheur des parents". Entretien avec l'avocat de la famille Fiorin.

 

La publicité d'Esselunga (la petite fille fait des courses avec sa mère dans un supermarché d'Esselunga et lui demande de mettre une pêche dans son chariot, puis quand la petite fille doit se rendre chez son père, dont sa mère est séparée, elle prend le fruit avec elle et il dit : "Papa, maman te donne ça." Un mensonge, mais qui ravive une étincelle chez le père: "J'aime les pêches, ça voudra dire que ce soir j'appellerai maman pour la remercier". Conclusion de la publicité:" Il n'y a aucune dépense qui ne soit pas importante", pour remarquer que même l'achat d'un fruit insignifiant peut redonner de la valeur à une vie et l'élever. Ndt) est devenue l'affaire politique du moment et hier même la Première ministre Giorgia Meloni l'a commentée (positivement), méritant l'ouverture de Repubblica.it pendant quelques heures . A ce stade, les réactions des autres partis sont attendues. Il est clair que l'exploitation et les commentaires sur l'histoire d'Emma et de la pêche donnée à son père séparé de sa mère vont bien au-delà des besoins marketing exquis de la chaîne Caprotti.

 

Si tout le monde en parle, cela signifie que cette publicité ouvre un trou inhabituel et brise le mur des tabous et du politiquement correct en matière de divorce.

 

La Boussole en a parlé avec Massimiliano Fiorin, avocat familial, comme il aime se définir (ni avocat spécialisé en divorce ni avocat matrimonial), qui de son observatoire professionnel a à son actif plusieurs livres sur le divorce, dont "La fabrique du divorce - Il Diritto contro la Famiglia" (éd. San Paolo, 2008), "Jusqu'à ce que la loi vous sépare" (San Paolo, 2012), "L'amour n'abandonne pas" (éd. Ares, 2017), "Droit et désir - Se retrouver soi-même à travers les crises familiales" (Ares, 2021). En 2023 il publie également son premier roman "Le Rêve du Père", dans lequel il reprend dans une clé narrative les thèmes habituels de la crise des relations de couple et familiales.

 

Avocat, tout le monde en parle. Cette publicité est-elle vraiment si choquante ?

Oui, car elle brise un tabou, en plus d'être très bien réalisée techniquement. J'ai vu que derrière il y avait une réalisation française et une production internationale de créateurs américains, signe qu'il faudrait peut-être se détacher de nos lectures provinciales pour regarder cette histoire à travers le judas des controverses "facho-meloniennes". La question du divorce est une question sensible et à l’étranger, il y a évidemment plus de liberté pour l’aborder.

 

En Italie la lecture est exclusivement idéologique...

La lecture idéologique n'est que le premier des niveaux de lecture de cette publicité. Les lobbies bien connus qui s’opposent à la famille naturelle n’attendaient rien d’autre. J'ai vu que certains médias ont retiré l'histoire de l'affrontement d'Esselunga avec Coop, racontée dans le célèbre livre Falce & Carrello. Evidemment, pour un certain monde, Esselunga reste une entreprise "hérétique", déviante du courant dominant.

 

Pouquoi?

Il ne sert à rien de le cacher : il existe un lobby qui a promu des spots publicitaires dans lesquels il répétait jusqu'à l'épuisement que la seule famille qui soit bonne est la famille multiethnique ou monoparentale. Cette publicité a brisé ce stéréotype de la "famille" souvent promu dans de nombreuses publicités. Mais il existe un deuxième niveau de lecture qui me tient particulièrement à cœur.

 

Quel est-il?

Ceux d’entre nous, professionnels, qui font face à des séparations. Une vérité indicible est dite ici : les enfants ne voudraient jamais que leurs parents se séparent, même lorsque leurs parents se disputent, même lorsque les familles sont dysfonctionnelles ou en conflit.

 

Est-ce que c'est ce que vous voyez également dans les salles d’audience ?

Le système des séparations et des divorces devrait se fonder sur le principe de "l'intérêt prédominant du mineur", mais il cache soigneusement une réalité évidente à la vue de tous : l'intérêt prédominant du mineur est que le les parents ne se séparent pas. C'est un fait élémentaire et le spot brise le tabou car il nous le montre.

 

Pourtant, on dit généralement que si les parents ne s'entendent plus, la séparation est le seul moyen de faire du bien à leur enfant...

En est-on sûr ? Je dis NON. Ce n'est pas un hasard si tous les psychologues consultés aux tribunaux ont deux approches : soit ils s'en prennent au politiquement correct, en disant que la douleur des enfants ne peut pas être représentée parce qu'elle ravive le traumatisme des enfants, mais de cette façon ils admettent que le traumatisme est, ou ils soutiennent ce qui est contre la réalité et c'est que le problème n'est pas dans la séparation elle-même, mais dans le conflit excessif des parents.

 

Cela pourrait aussi être comme ça, ou pas ?

Suivez-moi dans mon raisonnement. L'annonce représente deux figures parentales idéales pour tous les professionnels, qu'ils soient magistrats ou avocats, médiateurs familiaux ou psychologues, qui gravitent autour des séparations dont ils tirent des revenus. Comment va maman?

 

Bienveillance?

Il n'est pas dysfonctionnel, il gronde Emma, ​​mais doucement, il joue avec elle, il la ramène à la maison, il la fait rire et quand son père vient la chercher il ne dit pas un mot, il ne commente pas. Et le papa ?

 

Je ne sais pas... est-il à sa place ?

Exact. Lorsqu'il arrive, il ne monte pas, il ne s'impose pas, même si l'on peut supposer que la maison d'où il a été expulsé est aussi la sienne. Il serre la petite fille dans ses bras avec affection, la laisse monter calmement dans la voiture - et Dieu merci, il lui reste une voiture, ce n'est pas du tout acquis - et quand elle lui donne la pêche, le père parvient à comprendre la situation et dit il appellera maman. Il agit comme un parfait parent séparé.

 

Alors, si nous sommes confrontés à deux parents parfaitement séparés, où est le problème ?

Puisqu’ils se comportent comme des parents séparés, pourquoi tout le monde se tortille-t-il ?

 

Oui pourquoi?

La réponse réside dans l’énorme non dit qu’il y a même parmi les professionnels : tout le monde se comporte bien, mais la séparation reste un traumatisme dont les enfants ne veulent pas. C’est pourquoi une séparation indolore pour le bien des enfants n’existe pas, c’est une gigantesque tromperie.

 

Mais de cette façon, les parents sont blâmés...

Non, au lieu de cela, on leur donne un beau message d'espoir, il y a une population de personnes qui ont subi directement les conséquences de la désintégration familiale et qui savent combien de souffrances provoque le divorce, tant du point de vue du la situation des enfants que de celle des parents séparés.

 

Mais vous êtes avocat, que dites-vous à vos clients ?

Je dis toujours que la séparation est mauvaise pour les enfants. Nous voyons chaque jour ce que représente la publicité. Nous voyons des jeunes qui disent "je ne me marierai jamais" parce qu'ils ne veulent pas risquer d'être expulsés de la maison, ils ont déjà la perception que se marier implique le risque de se retrouver au milieu de la rue et cela est une indication de la façon dont la situation juridique a maintenant conduit à un effondrement de la société.

 

Mais si la société est orientée vers le divorce, pourquoi blâmer les parents ?

Ce n'est pas le propos. Il faut admettre que le "divorce" a conduit à un renversement du bon sens : aujourd'hui le divorce est normal, le système le suggère et surtout, le plus odieux : on dit que se séparer est aussi dans l'intérêt des enfants. Tout le monde raconte le conte de fées dystopique sur lequel se construit une énorme souffrance, à savoir qu'il vaudrait mieux que les parents se séparent et retrouvent la sérénité, mais c'est un mensonge, c'est l'égoïsme de ceux qui veulent reconstruire leur vie sur la peau de leur enfants. C'est une altération du bon sens qui me fait dire qu'autrefois les parents se souciaient du bonheur de leurs enfants, aujourd'hui ce sont les enfants qui doivent se soucier du bonheur de leurs parents.

 

D’accord, mais qu’est-ce que ces blessures ont à voir avec une opération de marketing publicitaire ?

Si j'étais un expert en sciences de la communication, je commencerais à étudier ce phénomène. Esselunga joue involontairement le rôle du général Vannacci, elle dit à tout le monde une vérité qui est à la vue de tous.

 

Dans la vidéo, nous n'avons aucun élément permettant de dire que les deux parents étaient mariés, peut-être vivaient-ils ensemble. Pourquoi sommes-nous amenés à penser qu’ils étaient mariés ?

C'est un facteur culturel. Parfois, je reçois des clients qui craignent d'abandonner le domicile conjugal alors que cela n'est plus un crime. Il est clair que le modèle familial naturel continue d'exister dans les croyances des gens. Souvent, je vois l'étonnement dans les yeux de mes clients lorsqu'ils réalisent que ce sur quoi ils ont fondé leur projet de vie n'a en réalité plus aucune valeur au regard de la loi. Les gens éprouvent encore une nostalgie du modèle familial naturel, néanmoins les jeunes savent que s'ils se marient, ils n'auront aucune possibilité d'attendre que l'autre reste fidèle à ses promesses initiales et cela, sans être romantique, est un problème qui ne peut pas être petit car c’est un drame existentiel.

 

Source: https://lanuovabq.it/it/il-divorzio-usa-i-traumi-dei-figli-per-la-felicita-dei-genitori

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31 juillet 2023 1 31 /07 /juillet /2023 07:05

En Italie, comme en France, la même rhétorique de la peur est à l'œuvre. Hasard ?

Le régime d'urgence a créé un précédent très dangereux pour la liberté en déclenchant une compulsion de répétition qui pousse les politiques, les institutions et les médias à aborder d'autres problèmes avec la même méthode : semer la terreur dans la société, diaboliser la dissidence comme un "déni" et établir une forêt d'obligations et d'interdictions.

 

Après le Covid, c'est maintenant au tour de la chaleur.

Du Covid à la chaleur, même scénario

Le bombardement idéologique, apocalyptique et culpabilisant, centré sur l'idée para-religieuse millénariste de la culpabilité humaine omniprésente au sujet d'un "réchauffement climatique" (un "réchauffement climatique" qui serait d'origine anthropique. Ndlr.), ou d'une "crise climatique", fait rage sans limite dans les médias et la politique italienne, générant des pétitions d'interventions d'urgence qui manifestent en contraste de plus en plus des analogies rhétoriques et terminologiques comparables à l'ambiance de terreur et avec les restrictions construites ces dernières années durant la "pandémie" Covid-19.

 

Ce régime d'urgence a créé - comme il était facile de le prévoir - un précédent très dangereux pour la culture de la liberté et des limites du pouvoir, déclenchant une compulsion de répétition qui pousse la classe politique, les institutions, les médias à aborder d'autres questions avec la même méthode : semer la terreur dans la société en dépeignant des menaces imminentes, diaboliser toute dialectique ou dissidence comme du "négationnisme", établir une forêt d'obligations, d'interdits, de contrôles fondés sur une autorité déclarée indiscutable a priori.

 

C'était, en vérité, une tendance qui se répandait déjà surtout dans les sociétés plus anciennes , obsédées par la sécurité et la demande de protection comme les européennes. Mais la crise sanitaire de 2020-2022 a sans doute marqué un tournant décisif en ce sens, et l'Italie a été l'un des pays où les restrictions imposées ont été les plus lourdes, et ont laissé les séquelles les plus évidentes.

 

[...]

 

En fait, nous sommes toujours confrontés à l'héritage historique d'une tradition corporatiste, étatiste et de providence consolidée et sédimentée, qui dans notre pays se colore de manière cohérente et caractéristique même les urgences sanitaires ou environnementales. Qu'il s'agisse d'un prétendu fléau, ou d'une prétendue fin imminente du monde due à une apocalypse climatique causée par un comportement humain mauvais, en Italie "tous les psaumes se terminent dans la gloire".

SOURCE: https://lanuovabq.it/it/dal-covid-al-caldo-stesso-copione-listeria-emergenzialista

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30 mars 2022 3 30 /03 /mars /2022 22:21

L'Italie, un pays encore plus totalitaire que le nôtre quant à la liberté de culte réduite à presque rien depuis deux ans d'escroquerie covid :

https://lanuovabq.it/it/comunione-proposte-per-il-ritorno-alla-normalita

https://lanuovabq.it/it/comunione-proposte-per-il-ritorno-alla-normalita

ÉGLISE 30-03-2022

 

Enfin, la CEI (Conférence des Evêques d'Italie) s'ouvre à une reprise prudente également dans l'Église et à la communion sur la langue, mais Milan a déjà déclaré qu'elle continuerait à l'interdire. Mais la note des évêques signifie que les droits des fidèles doivent être respectés. Et pour ceux qui n'ont pas confiance ? Deux propositions : une file d'attente ad hoc pour ceux qui communient dans la bouche ou créer deux moments distincts (de distribution de la communion). Mais d'un point de vue médical, il n'y a jamais eu de risque.

 

 

Nous sommes enfin arrivés avec le 31 mars à la fin de l'état d'urgence pour l'épidémie de Covid-19. En conséquence, la Conférence épiscopale italienne a également décidé de s'adapter et, après un échange, le gouvernement italien a formellement communiqué "l'abrogation du Protocole du 7 mai 2020 pour les célébrations avec le peuple".

 

C'est ce que nous lisons dans une lettre de la Présidence de la CEI dans laquelle il est souligné que la situation "offre la possibilité d'une reprise prudente", après presque deux ans de mesures qui ont marqué la vie liturgique de l'Église italienne, à chaque niveau. Par "reprise prudente", on entend que l'Église italienne a décidé, indépendamment des indications du gouvernement, de maintenir certaines règles pour les fonctions liturgiques, sous la définition de "conseils et suggestions".

 

Seront-ils contraignants ? Les "services de sécurité" les feront-ils respecter avec une rigueur fanatique ? Cela reste à voir. La CEI souligne que le décret-loi 24/2022 prolonge l'obligation de porter des masques à l'intérieur jusqu'au 30 avril. Par conséquent, dans les lieux de culte intérieurs, vous devrez toujours accéder avec un masque pendant au moins un mois. On verra. La distance interpersonnelle d'un mètre n'est plus obligatoire. On devrait donc voir des bancs ne plus couverts pour éviter de s'asseoir les uns à côté des autres. Les bénitiers doivent continuer à être maintenus vides, contre toute preuve scientifique. Et enfin, la CEI touche au point sensible : la distribution de l'Eucharistie, qui doit avoir lieu "de préférence dans la main". Mais Milan a déjà mis carte sur table : un décret émis par le vicaire reconnaît la note de la CEI, mais maintient la communion strictement dans la main, signe qu'il y a un risque réel que chaque diocèse suive sa propre voie.

 

Le terme utilisé par la CEI, cependant, "de préférence", ouvre une lueur d'espoir pour les nombreux fidèles contraints au cours des deux dernières années à subir l'obligation de communion sur la main, que Paul VI lui-même a condamnée depuis les années 1960 comme non appropriée. La situation sanitaire épidémique avait offert une occasion incontournable aux innovateurs qui veulent se débarrasser définitivement de la Communion sur la langue, qui est d'ailleurs canoniquement un droit des fidèles, reconnu par le Redemptionis Sacramentum qui dit clairement : "Tout fidèle toujours a le droit de recevoir, selon son choix, la Sainte Communion dans la bouche". Ce "selon son choix" coïncide parfaitement avec l'expression désormais utilisée par la CEI : "de préférence" Ne signifie pas "exclusivement", et donc le croyant qui a l'intention de recevoir la communion sur la langue en a pleinement le droit.

 

Il n'est cependant pas difficile d'imaginer les scénarios qui pourraient survenir dans les églises au moment de la Communion : les fidèles qui, au cours de ces deux années, ont été lourdement endoctrinés par les médias, peuvent craindre que leurs frères qui ont l'intention de recevoir la Communion dans la bouche pourraient devenir des "facilitateurs" de virus pour toute l'assemblée liturgique. De ce point de vue, il serait important pour la CEI d'informer et d'éduquer à la santé en soulignant qu'au vu des connaissances scientifiques il n'y a pas de risque.

 

Au contraire : la modalité d'offrir la communion sur les mains n'a aucune valeur en termes de prévention et de protection de la santé des fidèles. Au contraire, les mains représentent l'un des véhicules les plus courants de transmission du virus. Le professeur Filippo Maria Boscia, président national des médecins catholiques, a déjà déclaré il y a deux ans que la communion sur la main présente un plus grand risque de contagion que celle sur la langue. L'OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises le rôle des mains dans la transmission de l'infection.

 

Après deux ans d'études sur le Covid, il n'y a aucune preuve scientifique qui documente que recevoir la Communion sur la langue puisse être un moyen de transmettre le virus. Il faut désormais le considérer comme un véritable fake, et l'on sait à quel point l'Église se soucie d'une information scientifique correcte et d'une distanciation claire vis-à-vis de la diffusion de fausses nouvelles pseudoscientifiques.

 

Il sera donc opportun de faire savoir aux fidèles , même par des communications publiques appropriées, qu'il n'y a aucun risque de contagion par la Communion distribuée selon les normes canoniques de l'Église.

 

Cependant, des solutions pratiques pourraient également être recherchées pour éviter les polémiques et les "frictions" entre les fidèles eux-mêmes. Par exemple, la Communion pourrait se faire en deux temps : d'abord pour les fidèles qui veulent la recevoir sur la main, puis pour ceux qui la reçoivent sur la langue, afin de rassurer les plus craintifs qu'il n'y aura pas de "contamination". [Ce qui se pratique déjà en France dans les paroisses où les prêtres n'ont pas le cerveau lavé par les médias et les annonces publicitaires gouvernementales Covid. Ndlr.]

 

Ou les fidèles pourraient  recevoir l'Eucharistie en suivant deux files : une pour ceux qui la reçoivent sur la main, et une pour ceux qui la reçoivent dans la bouche. Une solution de compromis, nous en sommes parfaitement conscients, mais qui en ce moment est nécessaire pour garantir avant tout les droits de ceux qui demandent l'Eucharistie sur leurs lèvres, et qui risquent de se voir refuser, et d'être discriminés au sein même de la Communauté .Ecclésial.

 

De plus, cette solution serait également intéressante d'un point de vue médical, car les effets de ces comportements pourraient être détectés sur deux groupes différents. Et cela donnerait une confirmation scientifique supplémentaire de l'innocuité absolue de la Communion traditionnelle.

 

 

SourceLa Nuova Bussola Quotidiana 

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17 février 2021 3 17 /02 /février /2021 08:05

Le nouveau gouvernement n'est pas encore opérationnel mais Walter Ricciardi, consultant auprès du ministre de la Santé et nouvellement nommé membre de l'Académie pontificale pour la vie, appelle déjà à un verrouillage total avec une vaccination de masse. Peu importe si les cas et les décès sont en baisse, le croque-mitaine des variants est maintenant en train de s'agiter pour resserrer davantage les mesures de ségrégation.

Le consultant gouvernemental Walter Ricciardi

Le consultant gouvernemental Walter Ricciardi

 

C'était sa première sortie après sa nomination en tant que membre de l'Académie pontificale pour la vie, et comme cela arrive invariablement après chacun de ses discours, cela a immédiatement déclenché un foyer de controverses. Nous parlons de Gualtiero Walter Ricciardi, le professeur d'hygiène, consultant personnel du ministre de la Santé renouvelé, Roberto Speranza.

 

Ricciardi ces derniers jours a été nommé par le pape Bergoglio membre de la prestigieuse institution fondée par Saint Jean-Paul II dans le but de défendre et de promouvoir la valeur de la vie humaine et la dignité de la personne, en utilisant également la contribution de scientifiques impliqués dans la bioéthique. Le professeur Ricciardi ne se vante, parmi ses publications scientifiques, d'aucune intervention sur des questions telles que l'avortement, l'euthanasie, le contrôle des naissances. Au cours de sa carrière, il a traité des questions d'hygiène publique, mais n'a jamais été signalé pour un engagement pro-vie.

 

Ces dernières années, cependant, et notamment à l'occasion de la crise sanitaire actuelle, il s'est distingué comme l'un des partisans les plus convaincus de la vaccination de masse, vaccination que dans un article récent d'Avvenire il avait déclaré qu'il fallait aussi le faire en mode "drive through", c'est-à-dire aux personnes qui sortent un bras par la vitre de la voiture dans les parkings - au mépris des règles de base de la sécurité vaccinale - ou dans les salles de sport et hangars. La nomination faite par Bergoglio a semblé une sorte d'approbation du Vatican à la stratégie de vaccination du ministre Speranza et de son Richelieu. En revanche, derrière les murs Leonine, les vaccinations anti-Covid avec le vaccin Pfeizer battent leur plein depuis des semaines, et le "carnet de vaccination" controversé a déjà été créé, ce qui prouve que la vaccination a bien eu lieu.

 

Ainsi, fort de cette ardente nomination, le nouvel académicien pontifical s'est prononcé sur un autre thème qui lui est cher: le confinement. Une fermeture radicale et totale est nécessaire. "La stratégie de coexistence avec le virus, adoptée jusqu'à présent, est inefficace et nous condamne à l'instabilité". Ainsi a-t-il déclaré, avec la rhétorique belliqueuse qui distingue chacun de ses discours, en vérité pas très évangélique. Il a ajouté qu'il est urgent de changer immédiatement la stratégie de lutte contre le virus, au moyen d'un confinement total immédiat dans toute l'Italie, qui prévoit également la fermeture des écoles "sans préjudice des activités essentielles".

 

En bref: le tout fermé dans la maison, sauf ceux qui doivent sortir pour se faire vacciner. Mais face à la diminution constante des cas et des décès, quelle est la raison qui devrait conduire au confinement total du pays? Pour Ricciardi, comme pour d'autres virologues catastrophiques, à cause des variants. C'est le nouveau mot-clé de la stratégie de peur: il existe des variants. De nos jours, il n'est même pas question d'une éventuelle "troisième vague": c'est une vague continue et imparable. Un tsunami de nouveaux variants.

 

En réalité, la Covid a été caractérisé dès les premiers mois par ses nombreuses variantes, dont la plupart n'ont pas abouti à des formes plus sévères ou agressives de la maladie. Comme les cliniciens peuvent le documenter, les formes actuelles de Covid ont une gamme de manifestations cliniques différentes allant de la dermatite aux myalgies, mais ce qui conduit à la gravité clinique et à la mort est toujours une insuffisance respiratoire aiguë. Et ici, rien n'a changé, et les malades, lorsqu'ils sont traités avec des thérapies adéquates, par des anti-inflammatoires FANS et des stéroïdes, avec des antibiotiques et d'autres aides thérapeutiques, réagissent comme avant.

 

Le cas des vaccins est différent: les formes variantes pourraient en effet mettre sérieusement en difficulté l'efficacité des vaccins. Alors? Puis point final. En attendant de nouveaux vaccins encore à mettre en œuvre, nous revenons à ce qui est pour Ricciardi la seule solution: la ségrégation totale. Tout le monde à la maison, en attendant le "passe à nuttata", comme on le disait sur les scènes de la comédie napolitaine que Ricciardi pratiquait dans sa jeunesse.

 

Selon Ricciardi, toute possibilité de rassemblement doit être absolument évitée, au moins jusqu'à ce que l'immunité collective soit atteinte. Nous avons donc des temps difficiles à venir. Tant de larmes et de sang sont encore nécessaires, car comme l'a déclaré il y a peu de temps le consultant du ministre Speranza, nous sommes en guerre et nous sommes encore en 1941. 1945 est très loin.

 

Et en attendant, allez-y avec les trois armes: le confinement dur, le suivi des cas, qui selon le professeur doit être rétabli de manière massif, et les vaccinations, qui doivent être effectuées à raison de 300 000 par jour. Plus de deux millions par semaine. Un nombre surréaliste de vaccins théoriques pas encore disponibles. Mais Ricciardi a l'intention de parler directement avec Draghi, pour le convaincre de la bonté de ses théories. Dans cette phase d'interrègne entre l'ancien gouvernement Conte et l'actuel, Ricciardi semble vouloir faire son chemin et dépasser le même ministre dont il est également consultant. Une sorte de sous-secrétaire à Covid, avec la bénédiction d'au-delà du Tibre.

 

L'espoir est qu'au contraire le ministère pourra faire appel à un véritable sous-secrétaire, éventuellement compétent et qui fera un changement dans la gestion de la crise sanitaire sans infliger de nouvelles souffrances à un pays qui n'en a pas du tout besoin.

 

SourceLa Nuova Bussola Quotidiana

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6 février 2021 6 06 /02 /février /2021 13:41
L'Autriche et l'Italie interdisent le port du masque à l'école

Source: RTBF

___________

Italie : masques interdits à l’école, juge le Conseil d'État

 

 

Effet domino à venir ? Le président Frattini de la section III du Conseil d'État italien, a rendu une décision condamnant l’usage des masques à l’école chez les mineurs.

 

Dans son jugement il considère :

 

[...] que, dans l'affaire portée à l'attention de ce juge, le mineur représenté par ses parents, a documenté à plusieurs reprises par des certificats médicaux, des problèmes de manque d'oxygénation dus à l'utilisation prolongée de masques pendant toutes les heures de cours;

[...] que, dans la classe fréquentée par le mineur, il n'y a même pas de dispositif de contrôle de l'oxygénation - oxymètre, un instrument d'un coût minime et d'une utilisabilité très simple permettant à chaque enseignant d’intervenir au tout premier signe de difficulté à respirer chez les élèves très jeunes;

 

[...] Une décision importante qui sera assurément regardée par les avocats français qui ont déjà saisi le Conseil d’Etat français pour juger de cette problématique.

 

Me Manna analyse : « c’est la seconde décision du Conseil d’Etat italien qui après avoir levé l’objet sur la prescription de l’hydroxychloroquine pour la Covid-19 par les médecins, remet en cause l’obligation du port du masque pour les 6-10 ans au motif que les effets secondaires n’ont pas été suffisamment évalué et que son efficacité n’est pas prouvée ». « On ne manquera pas de faire valoir cet élément de droit comparé dans le cas de nos procédures en cours ».

 

Source: FRANCE SOIR

 

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2 janvier 2021 6 02 /01 /janvier /2021 12:46

LIBERTÉ DE RELIGION

02-01-2021

La Nuova Bussola Quotidiana

Roberto Marchesini

(Ma traduction)

 

Un article de La Stampa accuse un cours de la faculté de psychologie de l'Université européenne de Rome parce qu'il adopte le manuel de bioéthique du cardinal Sgreccia, qui reflète fidèlement la doctrine de l'Église sur les questions de l'avortement et de l'homosexualité. Et au nom de la laïcité, on attend de l'Église qu'elle n'enseigne plus ces vérités. Cette position est de plus en plus explicitement affirmée, ce qui montre à quel point le dialogue avec la culture moderne est une grande déception. En réalité, la laïcité a déclaré la guerre aux catholiques, il n'y a pas de possibilité de dialogue, il faut en prendre note et faire des choix. Autant que possible.

Université européenne de Rome

Ces derniers jours , un article signé par le célèbre avocat spécialisé en divorce Bernardini De Pace est apparu en première page de La Stampa, dirigée par Massimo Giannini (cliquez ici). Pour résumer: l'auteur de l'article a découvert (elle l'a appris en lisant un article de Libero de Giulia Sorrentino) que la célèbre et estimée professeure de philosophie morale de l'Université européenne de Rome Claudia Navarini a adopté, comme texte de bioéthique, un livre écrit par le cardinal Elio Sgreccia, théologien et moraliste de premier ordre. Dans ce livre, il est écrit que la seule union sexuelle moralement licite est le mariage et que l'avortement est mauvais.

 

Je répète et résume: un cardinal de l'Église catholique a divulgué la morale catholique dans un livre de bioéthique. En fait, d'un certain point de vue, on pourrait aussi le considérer comme une actualité mais, ironie mise à part, l'article propose des idées bien plus intéressantes.

 

Je cite : "L'Église catholique, qui exprime son magistère au sein de notre État laïque [...] a-t-elle le droit d'enseigner ouvertement comment s'opposer aux lois ? Le texte cité enseigne-t-il ouvertement comment s'opposer aux lois ? Dans les extraits cités dans l'article, cela ne semble pas être le cas. Il dit que l'Organisation mondiale de la santé a corrigé le DSM (qui est le manuel de diagnostic de l'Association psychiatrique américaine, mais ne soyons pas subtils) dépathologisant l'homosexualité, mais il ne semble pas que le manuel de diagnostic d'une organisation américaine ait force de loi en Italie. Il est fait référence à "l'histoire des femmes [de toutes?] dans les années 60 et 70" ; l'histoire est-elle un droit ? Le cardinal Sgreccia affirme que la seule union sexuelle moralement licite est celle du mariage ; quelle loi cette affirmation inviterait-elle à être violée ? Pourquoi sommes-nous passés du livre d'un cardinal aux relations entre l'Église et l'État ?

 

Ensuite: "Notre État critique-t-il et se moque-t-il de l'Église?". Je crois que l'implication implicite est "Alors pourquoi l'Église critique-t-elle et se moque-t-elle de notre État?" Le saut est maintenant terminé: le sujet, maintenant, est la relation entre l'Église et l'État italien. L'Église critique-t-elle et se moque-t-elle de l'État italien? À mon humble avis, il le critique que trop peu, et ne se moque pas du tout de lui, je ne pense pas. Je comprends, cependant, que l'État italien mette continuellement l'Église dans une position inconfortable avec une attitude très peu coopérative.

 

Oubliez la mise en œuvre de 194, euthanasie masquée et la question des unions homosexuelles; voulons-nous parler de l'imposition de l'idéologie du genre dans les écoles primaires ? Ou du projet de loi Zan contre l'homotransphobie ? Non seulement il (ce projet de loi) introduit la propagation de l'homosexualité dans les écoles ( compris les écoles primaires); mais il place une épée de Damoclès menaçante sur la tête des catholiques. Les prêtres en chaire, les évêques dans leur magistère peuvent-ils divulguer ce que la Bible, le Catéchisme et la morale catholique affirment sur l'homosexualité ? C'est un piège qui peut être déclenché à tout moment, mais même s'il n'est pas tendu, il a toujours un effet menaçant. Même si indirectement (jusqu'à quand ? À la discrétion de qui ?), la loi Zan est en fait une loi qui restreint la liberté d'expression.

 

Allons-y et allons droit au but: "Est-il correct de former de jeunes psychologues en les couvrant d'une éducation vétéro-catholique, paternaliste et, oserais-je le dire, dictatoriale ? Je reformule : est-il exact qu'il existe une éducation catholique ? Est-il exact qu'il existe un enseignement gratuit et alternatif à l'enseignement laïc ? Est-il tolérable que l'Eglise enseigne, s'exprime ? Ma réponse est : évidemment oui. C'est l'une des tâches fondamentales de l'Église.

La réponse de l'avocat Bernardini De Pace est: absolument pas. Ce qui veut dire que l'Église est tolérée (jusqu'à quand?), Mais n'a pas le droit de parler. Les catholiques peuvent (malheureusement?) penser comme ils veulent, mais ils n'ont aucun droit d'expression.

 

C'est le point clé. Nous avons une culture moderne qui utilise des termes tels que "liberté", "tolérance", "pluralisme", "débat", "droits", etc. Mais ce n'est que de l'hypocrisie. Toutes ces choses s'appliquent à l'Église, et seulement tant qu'elle dispose d'un certain pouvoir. Ensuite, on enlève le masque : censure, interdiction de manifester et d'enseigner, prison. Je l'ai écrit (cliquez ici) et je le répète : chercher un dialogue avec la culture moderne signifie se faire mettre un pied dans la porte par quelqu'un qui veut voir les catholiques dans les catacombes.

 

Le Magistère de l'Église, immuable et éternel, serait-il le "vétéro-catholicisme" ? Bien sûr, parce que l'Église doit (j'insiste : doit) se mettre à jour. Évidemment, dans le sens qui plaît à ses messieurs. Le "paternalisme", je n'en parle pas : c'est un oubli ou un insert comique dans une déclaration de guerre dramatique. J'avoue que j'étais un peu confus quant à l'utilisation de ce mot dans ce contexte et j'ai eu recours au dictionnaire Garzanti : "attitude politique de souverains absolus qui ont accordé des lois ou des mesures favorables au peuple, mais en les considérant comme des actes de bienveillance personnelle, et non comme une reconnaissance de droits". C'est bon, ne nous fâchons pas.

 

Le dernier mot de l'article reste : "dictatorial". Mais comment : vous voulez empêcher l'Eglise de remplir l'une de ses principales missions, vous voulez la priver de la liberté d'expression ... et vous l'accusez d'être dictatoriale ? Ah, oui, nous l'avons déjà dit. L'invocation de la dictature n'est qu'un artifice rhétorique hypocrite ; ce n'est qu'une matraque avec laquelle on peut matraquer les catholiques. C'est la même vieille rhétorique (au moins cinq cents ans) du "tyran" qui, après tout, est celui qui s'oppose aux plans des révolutionnaires.

 

J'espère maintenant que c'est clair : nous sommes en guerre, il n'y a pas de possibilité de dialogue. il s'agit de faire un choix, tant que c'est possible.

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3 juillet 2020 5 03 /07 /juillet /2020 20:27
https://www.lanuovabq.it/it/cattolici-in-piazza-conta-la-verita-da-difendere

https://www.lanuovabq.it/it/cattolici-in-piazza-conta-la-verita-da-difendere

(traduction)

 

Pour s'opposer au projet de loi Zan, il faut du courage, comme pour les manifestations Restons Libres. Le catholique qui veut descendre dans la rue aujourd'hui contre les lois inhumaines qui sont proposées doit savoir qu'il le fait contre l'Église officielle. Le problème est que l'Église n'éduque plus à la vérité et change sa théologie morale. La morale qui mène à la rue est celle d'avant Amoris laetitia.

 

Lorsqu'il s'agit de descendre dans la rue, pour les catholiques, les problèmes commencent. Certaines personnes ont le courage, comme dans le cas des prochaines manifestations de Restiamo Liberi (Restons Libres) samedi 11 juillet dans de nombreuses villes italiennes. Mais les nombreux incidents qui se sont produits en cours de route, les tentatives de dissuasion, les boycotts en coulisses, le manque de soutien de l'épiscopat en général et les silences de nombreux évêques en particulier, montrent qu'aujourd'hui les catholiques descendent dans la rue à leurs risques et périls et avec beaucoup de difficultés, même si la raison, à savoir l'opposition populaire au très dangereux projet de loi Zan contre la soi-disant homophobie, est plus que justifiée. Pourquoi est-il aujourd'hui si difficile pour les catholiques de descendre dans la rue ?  

 

Le catholique qui veut descendre dans la rue aujourd'hui contre l'une ou l'autre des lois inhumaines qui sont proposées doit savoir qu'il le fait contre l'Église officielle. Il s'agit d'une première donnée de prise de conscience requise par la situation. Et c'est aussi une donnée qui explique les difficultés à organiser une présence d'un peuple sur la place publique. Beaucoup de fidèles n'ont pas envie de s'écarter de la ligne pastorale de l'Église, des évêques italiens, de leur évêque diocésain... Rassembler les troupes est devenu une entreprise. Les associations laïques qui gravitent directement ou indirectement dans l'ombre de la CEI (Conférence des évêques d'Italie. Ndlr.) ne participent pas ni ne boycottent. Les mouvements sont ignorés. Jusqu'à ce qu'un prélat contacte l'homme politique ou l'autre qui promet un report de la loi en question et le front restant est divisé.

 

Aujourd'hui, seul le catholique ou l'association qui a pris cette décision adhère à une mobilisation de rue : en matières de principes non négociables pour la foi et la juste raison, j'agis non seulement sans le soutien du clergé mais aussi contre la ligne ecclésiastique officielle, même au prix de mettre en évidence l'existence d'une fracture dans l'Église. Le courage catholique est nécessaire pour descendre dans la rue aujourd'hui.

 

En outre, notre peuple catholique ne sait rien de ces choses. La messe catholique n'informe pas de la mobilisation prévue le 11 juillet. L'entretien de Zan, le premier signataire de la loi, à Avvenire, qui se dit ouvert à différentes contributions, puis interroge Lupi, qui adoucit le problème comme il l'a fait à l'époque de Cirinnà, les hebdomadaires diocésains n'en parlent pas ou publient une intervention ecclésialement correcte de Agensir, l'agence de presse de la CEI. Les paroisses sont silencieuses, pas de réunion d'information sur le sujet le soir, pas même un mot de l'ambon pendant les homélies, pas d'affiches de Restiamo Liberi sur les tableaux d'affichage de l'église. L'Église n'éduque plus, elle dit simplement que Dieu nous aime, que Dieu nous aime, que Dieu nous aime. Bien sûr, il y a une contre-information catholique de qualité et croissante qui - grâce à Dieu - maintient le sujet en vie, mais c'est précisément une contre-information et, comme toute contre-information, ce n'est pas un régime et donc même pas une majorité. Le fait de descendre dans la rue se heurte donc à une information institutionnelle contraire de l'Église.

 

L'Église change rapidement sa théologie morale. Aujourd'hui, il y a trois mœurs catholiques: celle d'avant Amoris laetitia, celle d'Amoris laetitia, et celle d'après Amoris laetitia. La morale catholique qui mène à la rue est celle d'avant Amoris laetitia, les deux autres ne sont plus capables de le faire, en effet elles considèrent que c'est une erreur morale et pastorale que de le faire (mais morale et pastorale pour la nouvelle théologie morale sont identiques). Ce qui était autrefois considéré comme une obligation est maintenant considéré comme un péché. L'Église - dit-on - ne parle pas à l'extérieur, mais aux consciences; elle n'enseigne pas les règles abstraites à appliquer mais forme les consciences capables d'évaluer librement une situation; elle n'enseigne pas le bien et le mal du haut de sa présomption mais les fait découvrir en dialogue avec les autres; il n'y a pas de lois à rejeter, mais seulement des lois à examiner et éventuellement à améliorer; le bien ne précède pas les lois, mais les traverse de l'intérieur; Le christianisme est une interprétation continue de l'intérieur de l'histoire, etc. À partir de ces croyances, aucun carré n'existe. Pour ce faire, il faudrait croire qu'il y a une vérité à annoncer et à défendre même sur la place publique, une vérité que seule l'Église peut annoncer et défendre, et que si elle ne le fait pas, personne d'autre ne le fera jamais.

 

Je ne pense pas qu'il existe actuellement d'autres voies : tous ceux - laïcs et associations - qui sont disposés à faire le choix que j'ai indiqué ci-dessus doivent se connecter les uns aux autres, multiplier les informations pour les catholiques en dehors des canaux institutionnels, augmenter, plutôt que réduire la présence dans la rue et créer une véritable culture catholique. En assumant aussi le risque d'être accusé de diviser et en gardant à l'esprit que de nombreux catholiques, y compris des prêtres et des évêques, qui aujourd'hui par peur se taisent, soutiennent secrètement  ces gestes du fond du cœur, même si ce n'est pas de mise, applaudissent, attendant de pouvoir revenir pour le faire, même dans la rue.

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4 juillet 2019 4 04 /07 /juillet /2019 19:51

Le président russe Vladimir Poutine a rencontré aujourd'hui pendant 50 minutes le pape François, dans le cadre de son voyage officiel en Italie. La dernière fois que le pape François avait reçu Vladimir Poutine c'était en juin 2015, ils avaient alors évoqué la crise ukrainienne et le pape François avait demandé au président russe de faire en sorte que tous les moyens soient mis en oeuvre afin d'apporter la paix. Mais le pape avait un air grincheux car Vladimir Poutine était arrivé avec une heure de retard. Cette fois-ci, Vladimir Poutine est arrivé pile à l'heure et pendant 50 minutes ils se sont échangés des cadeaux et des présents.

"Je voudrais dire que dans la première partie de la journée j'ai rencontré le pape et nous avons traité des relations entre la Russie et le Vatican, notamment dans le domaine de la culture, de la santé publique et de l'enseignement, et notamment aussi de la protection des peuples chrétiens au Moyen-Orient et notamment en Syrie. Et il est important de noter que nous avons une convergence de vue ici sur la préservation des valeurs traditionnelles et de la mise en place d'un dialogue culturel sain", a déclaré à la presse Vladimir Poutine dans le cadre de sa visite officielle en Italie (à partir de la 15e minute dans la video RT France ci-dessous).

Après la double frappe aérienne sur le centre de migrants de Tadjourah, banlieue est de Tripoli en Libye mardi soir 2 juillet, et qui a fait 53 morts, les Nations Unies ont accusé les gardiens du camp d’avoir ouvert le feu sur des migrants qui tentaient de fuir. Il s'agit du bilan le plus lourd pour une frappe aérienne ou un bombardement depuis le début de l'offensive terrestre et aérienne lancée il y a trois mois par les forces du maréchal Khalifa Haftar pour s'emparer de Tripoli, où se trouve le gouvernement libyen reconnu par la communauté internationale. Le gouvernement d'union nationale basé à Tripoli (GNA) a dénoncé dans un communiqué une attaque du criminel de guerre Khalifa Haftar.  L'Armée nationale libyenne (ANL) de son côté a nié avoir touché le centre de détention lors du raid aérien, affirmant que des milices alliées à Tripoli l'avaient bombardé après une frappe de précision menée contre un camp militaire. (Radio-Canada),

 

Selon Le Monde, également, le porte-parole des forces pro-Haftar, Ahmad Al-Mesmari, a démenti toute implication dans l’attaque, accusant en retour le GNA de « fomenter un complot » pour leur faire endosser la responsabilité du carnage.

La communauté internationale s’est émue de ce drame. La France a « condamné » l’attaque et le ministre italien des affaires étrangères, Enzo Moavero, a fait part de sa « consternation ». Les Etats-Unis ont vivement dénoncé ce bombardement « abject ». « Ces pertes tragiques et inutiles, qui ont frappé l’une des populations les plus vulnérables, soulignent le besoin urgent pour toutes les parties libyennes de faire baisser d’intensité les combats à Tripoli et de revenir à un processus politique », a dit la porte-parole du département d’Etat, Morgan Ortagus.

 

Pour l’émissaire des Nations unies (ONU) en Libye, Ghassan Salamé, « cet attentat pourrait clairement constituer un crime de guerre, frappant des innocents (…) contraints d’échouer dans cet abri par des conditions de vie épouvantables ». Le patron de l’ONU, Antonio Guterres, a demandé une « enquête indépendante » sur l’attaque contre le centre et réitéré son appel à un « cessez-le-feu immédiat en Libye ».

 

[...] Une réunion d’urgence a été convoquée, mercredi, à New York, au Conseil de sécurité de l’ONU. Mais les Etats-Unis ont empêché l’adoption d’une condamnation unanime sur cette attaque meurtrière, ont rapporté des diplomates. Aucune explication n’a pu être obtenue dans l’immédiat auprès de la mission américaine sur les raisons du blocage de ce projet de texte proposé par le Royaume-Uni, qui appelait aussi à un cessez-le-feu et au retour à un processus politique. (Le Monde)

 

Interrogé par la presse sur ce carnage en Libye, le président russe a sobrement répondu (à partir de la 31e minute): "Nous avons traité de cette question essentielle aujourd'hui, de façon pratique, et au Vatican nous en avons parlé aussi, et avec le président italien, et aussi avec le président du Conseil italien, cette question a été discutée plusieurs fois. Et ce que je voudrais dire en préliminaires, la question de savoir ce que doit faire la Russie, ce qu'elle va faire, ce qu'elle ne va pas faire, c'est une question importante. Mais ce serait serait bien aussi de se souvenir de ce par quoi tout avait commencé. Qui a détruit la structure de l'Etat en Libye ? C'est une décision de l'OTAN, ce sont des avions européens qui ont bombardé la Libye. Le résultat, on le voit aujourd'hui. L'Etat en Libye a disparu. Sur le territoire de ce pays, on voit le chaos et une lutte incessante entre différents groupes. Je ne pense pas que la Russie doive apporter une contribution cruciale dans cette question. Cela c'est la première chose. Nous ne rejetons pas la responsabilité, mais nous soutenons des discussions, des relations égales tant avec Haftar et Fayez al-Sarraj, son rival. (Ndlr.) Les deux ont été à Rome, les deux ont été à Moscou. Mais comme je l'ai dit, nous considérons qu'il faut cesser aussi vite que possible les confrontations armées, établir le dialogue et se mettre d'accord sur la façon de rétablir la structure de l'Etat en Libye. Nous sommes tous intéressés par cela. Et je vois en effet par exemple en Libye, une infiltration de rebelles islamiques depuis Idlib en Syrie.

 

Lire : Des militants armés gagnent la Libye depuis la Syrie, dit Poutine, Par Le Figaro avec Reuters Publié le 04/07/2019 à 20:40

En Syrie, toute la province d’Idlib passe à l’heure djihadiste, La Croix, 11 janvier 2019

 

"Et c'est un danger pour tous parce qu'à partir de là ils peuvent se répandre partout. Nous sommes prêts à aider pour contribuer à restaurer le dialogue entre les différentes parties en Libye et à aider le peuple libyen à avoir un Etat et des institutions." (Fin de citation de Vladimir Poutine.)

 

LireExécution de Kadhafi par les alliés islamistes aux cris d’Allah Akbar: L'OTAN et les "alliés" sont bien des démocraties

Poutine : "Ce qui ce passe en Libye est une conséquence de l’intervention militaire de 2011"

Les partisans du maréchal Khalifa Haftar ont accusé le Gouvernement d’union nationale (GNA) de Fayez al-Sarraj de se faire livrer des armements de son allié turc, eux-mêmes reçoivent des véhicules d’origine jordanienne, et des armes en provenance d’Égypte et des Émirats arabes unis ont également fait leur apparition sur le champ de bataille, tout comme des drones français, selon Al-Jazeera. (Jeune Afrique.com, 2 juillet 2019)

 

Focalisés sur leur affrontement, Haftar et Sarraj "ont laissé le champ libre à l’État islamique dans le centre et le sud du pays. Même affaiblis, les jihadistes sont toujours actifs.  Samedi, deux gardes ont ainsi été tués dans une attaque revendiquée par le groupe État islamique (EI) contre un barrage de sécurité, dans le centre de la Libye, la troisième du genre en deux semaines visant les forces loyales au maréchal Khalifa Haftar." (Jeune Afrique.com, 19 mai 2019)

 

La décision de Washington de bloquer une condamnation internationale du bombardement sanglant d'un camp de migrants en Libye, attribuée aux forces de Khalifa Haftar par ses ennemis, atteste du soutien désormais affiché de l'administration Trump à l'homme fort de l'Est libyen, selon des experts. Ce soutien au maréchal Haftar se manifeste au détriment du gouvernement d'union nationale (GNA) de son rival Fayez al-Sarraj, pourtant reconnu par l'ONU comme la seule autorité légitime en Libye."Ce n'est guère une surprise. C'est un signe du changement de la politique américaine envers la Libye", observe James Dorsey, spécialiste du Moyen-Orient basé à Singapour et responsable d'un blog réputé sur la région. (La Croix)

 

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22 juin 2019 6 22 /06 /juin /2019 11:07

Serge Petitdemange, ancien officier marinier de la Marine nationale, dirigeant du mouvement "Renaissance française", dénonce l'influence de la franc-maçonnerie qui gangrène la justice française et monégasque et a "saccagé des vies entières", "anéanti des vies" de justiciables.

Dans sa video du 21 juin, au sujet du royaume monégasque, il dit très justement  : "Quand le peuple et les institutions marchent la main dans la main, le simple bonheur de vivre règne."

Depuis le décès du prince Rainier, à Monaco, la France n'a de cesse de s'immiscer dans les affaires du Rocher par le biais de la franc-maçonnerie. Serge Petitdemange conseille donc au prince Albert de "regarder à deux fois" avant de "ratifier une prochaine affectation d'un magistrat français en principauté", et "d'"adopter" ce qu'il "propose depuis plus d'un an pour la France et son peuple, à savoir l'adoption d'un quatrième pouvoir, celui du peuple souverain chargé de surveiller le bon fonctionnement des trois pouvoirs existants.

 

Extrait :

 

"La principauté de Monaco étant un Etat souverain disposant de sa propre Constitution du 17 décembre 1962.

"[...] Pour bien comprendre le problème, par opposition à l'article 1er de la constitution française du 4 octobre 1958 (qui dit ceci : 'La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale', ce qui signifie qu'en France la justice est rendue au nom de la république), l'article 9 de la principauté de Monaco précise que 'la religion catholique, apostolique et romaine est religion d'État.' À Monaco, la justice est rendue au nom de Dieu. Le Prince Albert de Monaco est constitutionnellement le garant de la Constitution monégasque.

"Seulement voilà, depuis le décès du prince Rainier, la France n'a de cesse de s'immiscer dans les affaires du Rocher par le biais d'une secte pernicieuse que j'ai dénoncée dans ma video du 15 mai 2019 [dans laquelle Serge Petitdemange affirme: "Je m'adresse à ceux (des magistrats) dont le serment prêté à la franc-maçonnerie, principalement la Grande Loge nationale de France et le Grand Orient, est pour eux supérieur à celui prêté à la république. Je porte à la connaissance de mes concitoyens les signes de reconnaissance employés : triangle pointe en haut, triangle pointe en bas, et les trois points alignés. Ces codes de reconnaissance permettent de confirmer ou d'infirmer la décision prise en instance précédente, que la prochaine instance suivra à l'étape suivante. Si un jugement est renvoyé en appel ou en cassation, le juge saura immédiatement si son confrère demande la confirmation du dit jugement. Dès lors les cours d'appel ou de cassation ne jouent que le rôle d'exécutant en jouant ce jeu inique de trafics d'influence. C'est ignoble et totalement illégal. [...] Un juge qui décide de faire passer les intérêts d'une secte quasi-satanique avant les intérêts de la justice est un fourbe, un traître [...] vis-à-vis du serment prêté."] 

[...] Monaco dispose bien d'un pouvoir judiciaire. Comment alors faire comprendre au prince Albert que ses cours et tribunaux sont gangrénées par des magistrats français francs-maçons ? L'antinomisme est flagrant : un franc-maçon est par essence anticlérical, il vénère le G.A.D.L.U (le Grand Architecte de l'Univers), mais pas Dieu. Comment alors, en toute conscience, un magistrat français franc-maçon, rendant la justice au nom de la république, lorsqu'il exerce en France, une fois affecté à Monaco, toujours incroyant, peut-il rendre la justice dans un pays souverain, dont la Constitution le contraint à la rendre au nom de Dieu ?... Tous les rouages de la justice et des forces de l'ordre monégasques sont corrompus par cette secte maléfique, comme en France. Le pire, c'est que les magistrats français francs-maçons exerçant à Monaco violent la Constitution de la Principauté, mentent au Prince Albert.

"Comme en France, ils sont partout, la justice, la police, l'armée, le corps médical, les avocats, infiltrés, influençant les personnes en vue, dans le but évident de s'en servir à des fins néfastes pour la cohésion et le bonheur du peuple.

"[...] Je pense qu'avant de ratifier une prochaine affectation d'un magistrat français en principauté, le Prince Albert va y regarder à deux fois. C'est ce que je ferais à sa place ! 

"[...] Je propose à l'état monégasque d'adopter ce que je propose depuis plus d'un an pour la France et son peuple, à savoir l'adoption d'un quatrième pouvoir, celui du peuple souverain chargé de surveiller le bon fonctionnement des trois pouvoirs existants. 

"Quand le peuple et les institutions marchent la main dans la main, le simple bonheur de vivre règne.

"[...] L'Italie l'a bien compris, elle qui interdit toute appartenance franc-maçonne aux membres de son gouvernement. Renaissance française' au pouvoir y mettra bon ordre. Le 4e pouvoir est la clé du retour à la normalité de la vie courante de nos compatriotes. L'association monégasque des victimes de la franc-maçonnerie a décidé à l'unanimité de rejoindre le combat de Serge Petitdemange, le combat de Renaissance française."

Note du blog Christ-Roi. La proposition de Serge Petitdemange et du mouvement "Renaissance française" de créer un 4e pouvoir chargé de contrôler le bon fonctionnement des trois pouvoirs existants (en écartant réellement les trafics occultes d'influence) est originale. Elle fait écho au fait que l'unité du peuple et des institutions était le principe de gouvernement de la France jusqu'en 1789, une royauté où la loi appartenait au peuple (le roi ne pouvait y toucher quant au fond), et où peuple et roi étaient un. C'est une secte maléfique, corrompue - la franc-maçonnerie - qui a cherché à dissocier les deux (en appliquant le principe moderne machiavélique "Diviser pour mieux régner".)

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5 juin 2019 3 05 /06 /juin /2019 00:04

Le ministre de l'intérieur italien, Matteo Salvini confie l'Italie, le futur et le destin du continent européen au Coeur Immaculé de Marie.

 

"Je remercie le Seigneur. J'ai confié au Coeur Immaculé de Marie non pas un vote, ou le succès d'un parti, mais le futur et le destin d'un pays et d'un continent", a déclaré Mateo Salvini embrassant un crucifix, dans un extrait video diffusé sur TMC Quotidien du 27-05-2019 pour célébrer sa victoire aux européennes.

 

Dès le premier jour de sa campagne en février 2018, il avait donné le ton en montrant un chapelet qu'on lui avait offert et qu'il ne lâcha plus depuis. 

 

Et le 18 mai dernier, il confia l'Italie, sa vie et celle de ses partisans au Coeur Immaculé de la Vierge Marie "qui nous conduira à la victoire".

 

Son parti Lega (la Ligue) a remporté l'élection européenne avec 34% des suffrages.

Source: GloriaTv

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16 décembre 2018 7 16 /12 /décembre /2018 17:05

Boris Le Lay a publié le 12 décembre, au lendemain de l'"attentat de Strasbourg", une intéressante analyse au sujet des Gilets jaunes et de l'instrumentalisation médiatique de l'attentat.  

 

À la question "trente ans depuis la série d'attentats et toujours pas de vérité, comment est-ce possible ?", l'italien Ferdinando Imposimato, président honoraire de la Cour de cassation italienne (décédé le 2 janvier 2018 dernier), avait répondu : 

 

« Non, une partie de la vérité, nous l'avons découverte, les choses sont plus claires maintenant. Il y a eu des complicités de l'État, ou de fractions de l'État, avec la mafia, le terrorisme et la franc-maçonnerie, complicités qui ont fusionné au travers d'une organisation dénommée "Gladio" (unités clandestines secrètes de l'OTAN mises en place sous l'égide de la CIA et existant dans tous les pays d'Europe de l'Ouest durant la guerre froide jusqu'en 1990. Ndlr.), ou "stay behind", une organisation internationale manoeuvrée par la CIA. Tout ceci est maintenant avéré. »

 

Derrière ces réseaux qui forment un État dans l'État (ce qui est le contraire d'une démocratie qui appartient au peuple), Ferdinando Imposimato explique que la réalité du pouvoir appartient au groupe Bilderberg :

 

« Le groupe Bilderberg est l'un des responsables de la stratégie de la tension, dont aucun journal ne parle des réunions, et donc aussi des attentats. Responsables des attentats... 

[...] [La série d'attentats] n'a pas servi à déstabiliser l'État, mais pour entraver la dynamique politique, afin de déplacer les équilibres politiques de la droite vers le centre gauche et la gauche. Ils ont fait cela, non pas pour un coup d'État, mais pour renforcer le pouvoir.

Il (le groupe Bilderberg) dirige le monde, et les démocraties de façon invisible. » (Fin de citation).

 

Des manifestants Gilets jaunes des samedi 8 et 15 décembre ont témoigné avoir été empêchés de manifester. Une video réalisée par une jeune femme montre un wagon de train vide, expliquant que des forces de l'ordre ont empêché des Gilets jaunes qui avaient des billets de monter dans le train en direction de la manifestation parisienne. Il s'agit d'une violation très grave d'un des rares droits de l'homme qui permettent à l'homme d'être libre, celui de manifester et de se révolter (droit de "résistance à l'oppression" de l'article 2 et droit de manifester article 10). Les tenants du système n'ont que le mot Révolution de 1789 à la bouche et république, et ils dénient aux Français de 2018 le droit de réaliser ceux que leurs ancêtres auraient réalisé. Y a-t-il un mensonge au sujet de la soit-disant "révolution française" ? La Révolution de 1789 est-elle vraiment une révolution du peuple ou une révolution de bourgeois parisiens ?

 

On ne l'a pas dit assez jusqu'ici mais ces manifestations des Gilets jaunes s'appuient également sur le "droit de constater, par eux-mêmes ou par leur représentants, la nécessité de contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée" (article 14 de la déclaration des droits de 1789). En refusant de donner le droit aux Gilets jaunes de constater par eux-mêmes, consentir et déterminer la quotité des impôts (audit des dépenses publiques refusé par Macron, où va le pognon ?!), le président Macron se rend coupable de violations répétées de la dite déclaration des droits de 1789 sur plusieurs semaines, sans qu'aucun journaliste du système ne s'en émeuve.

 

La caste, l'oligarchie composée de professionnels de la politique, a peur. Il y a eu des arrestations préventives sans aucune raison, des personnes placées en garde à vue, simplement parce qu'elles voulaient manifester. La police ne sert pas à protéger les citoyens, mais à protéger le régime et les institutions. La caste utilise la police, qui servilement accepte de servir à ce sinistre rôle de répression du peuple français. Un peuple français qui manifeste son désespoir avec des millions de gens qui n'en peuvent plus du racket fiscal et de tout cet argent dont les politiciens se gavent depuis si longtemps.

 

Dans ce contexte a eu lieu la prise de parole de Macron le lundi 10 décembre, le jour même où Macron signait le Pacte de Marrakech, sur l'accueil des migrants, sans que le peuple français se soit prononcé sur ce pacte engageant l'avenir du pays. C'est assumé : le peuple ne doit par être consulté car la caste a un agenda secret sur lequel le peuple n'a pas à être consulté. Tout au long de la semaine, les medias ont donc demandé aux Gilets jaunes de rentrer chez eux et d'arrêter de manifester, en annonçant que non seulement la police arrêtera, mais réprimera les manifestants avec des tirs de flash ball, quitte à éborgner des jeunes femmes), des tirs de grenades dans la tête, composées de 25 grammes de Tnt, donc des explosifs sur la population.

Les arrestations préventives avec l'ordre du préfet de police "interpellez, interpellez, interpellez". Résultat le 8 décembre, 2000 arrestations ont été recensées ! La Chine ou la Corée du Nord n'ont qu'à bien se tenir ! 

Le peuple français ne peut plus manifester. Le peuple n'a pas son mot à dire, la démocratie est une illusion...  

 

Et pour se féliciter, sur Bfmtv ou sur Lci, une série de félicitations obscènes à l'adresse des forces de police tournaient en boucles. Tous ces grands medias s'étonnent d'être détestés par la population et se félicitent des violences policières sur les manifestants du peuple pacifique !

 

Afin de calmer les Gilets jaunes, Emmanuel Macron a annoncé sa fake news d'augmentation du Smic de 100 euros, annonce mensongère, puisque la dite augmentation du Smic ne concerne pas le Smic mais la prime d'activité qui n'est pas réclamée aux Caf par la grande majorité des smicards, qui ne la connaissent pas, et cette augmentation préalablement prévue sur trois années est simplement ramenée à une seule année. Donc il n'y aucune annonce, il y a simplement un mensonge, une manipulation.

 

Donc ce système tremble et celui qui le représente est à la fois méprisant, menaçant, veut en découdre manifestement avec le peuple français (son "venez me chercher"). Il veut lancer sa police contre le peuple et blesser le peuple. Tous les témoignages convergent de gens pacifiques qui se font bloquer dans des avenues, des places, les forces de l'ordre empêchant les manifestants de s'en aller, et se font tirer dessus comme des lapins.

 

Sur Sputnik, ce dimanche, au lendemain de la manifestation des Gilets jaunes de samedi 15 décembre, des manifestants témoignent : «Ils nous ont tous rassemblés, ils ont attendus qu'on soit bien compacts et ils nous ont gazés comme jamais […] C'est ça la France», a-t-elle déploré.

 

«On nous demande d'attendre sans nous en dire plus. Au même moment les deux lignes de blindés et camions à eau se resserrent.[…] Sans sommation, une déferlante de gaz nous asphyxie, toujours sans qu'aucune sortie ne soit ouverte», a-t-elle martelé. (Source)  

 

Après cette vague de répression policière, après la vague de fake news sur le Smic, après la manipulation médiatique sur l'essoufflement du mouvement et des chiffres de participation à la baisse, voici venu le temps de l'"attentat de Strasbourg" mardi 11 décembre. Pendant trois jours entiers, mardi, mercredi, jeudi, l'"attentat de Strasbourg" a tenu le haut du pavé de l'information sur toutes les chaines d'info en continu sans interruption ! Si vous vouliez connaître l'information internationale ou celle des Gilets jaunes, autant éteindre vos téléviseurs !

 

L'instrumentalisation médiatique à outrance de l'"attentat de Strasbourg" a dégoûté la grande majorité du peuple. Puis, vendredi soir, les Gilets jaunes sont revenus à l'écran des chaines d'info. Samedi 15 décembre, le ministre de l'Intérieur Castener a vu 10 000 Gilets jaunes sur toute la France ! Sur internet le peuple voit la réalité de milliers de gens dans la rue partout en France, de Bordeaux à Toulouse, en passant par St-Etienne ou Lyon, dans chaque ville, et même dans chaque petite ville, des milliers de Gilets jaunes. Une campagne médiatique tente alors de démoraliser le peuple en parlant d'essoufflement de la mobilisation !

Castener avait lui-même accusé mardi 20 novembre, dans la matinale de France 2, les Gilets jaunes de faire le jeu des terroristes. (Les gilets jaunes affaiblissent le pays face au terrorisme, argue Christophe Castaner Par Magazine Marianne Publié le 20/11/2018.)

 

L'"attentat de Strasbourg" pendant une semaine est tombé à pic ! Sur les chaines d'info, c'était décidément trop visible !  Gladio serait-il à la manoeuvre ? Ce qui est certain c'est que le peuple de France est en train de s'unir, des gens de "gauche" défilent avec des gens de "droite", ce qui est du jamais vu. La caste tente donc d'activer la division, par tous les moyens. Ne tombez pas dans le piège, dénoncez les mensonges des imposteurs. Occupez-vous les uns des autres, et restez unis !

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12 juin 2018 2 12 /06 /juin /2018 15:45

"Aquarius / migrants : l'Europe est-elle à la hauteur. Pourquoi l'Europe n'est-elle pas solidaire ?", était le sujet d'une émission ce matin sur RMC. Une autre question nous vient : l'Europe est-elle à la hauteur de ce commerce cynique ?

Ce week-end, l'"Aquarius", un navire humanitaire secourant les migrants en difficulté en Méditerranée s'est vu refusé l'accès des ports d'Italie et de Malte. À son bord, 629 migrants dont la majorité sont des enfants en bas âge et des femmes enceintes. Face à cette situation, l'Espagne a ouvert son port et le président de l'Assemblée de Corse a également offert l'asile au bateau. Jusqu'à ce mardi matin, alors que plusieurs élus de LaREM ont estimé que "la France se serait honorée" à imiter l'Espagne, le silence de l'exécutif face au refus italien de recevoir l'Aquarius a été relevé par Le Figaro qui titre en fin de matinée : Aquarius : l'inaction de la France fracture LaREM et pousse l'exécutif à se justifier.

Ce n'est en effet que lors du Conseil des ministres de ce mardi matin, que selon le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, le chef de l'État aurait dénoncé le "cynisme et l'irresponsabilité" de l'Italie après avoir "rappelé le droit maritime" qui indique "qu'en cas de détresse, ce soit la côte la plus proche qui assume la responsabilité de l'accueil". [1]

Pourtant le cynisme froid et l'irresponsabilité ne sont-ils pas aussi du côté des navires et des Ong passant eux-mêmes les migrants en Europe afin d'approvisionner les usines en main d'oeuvre docile, laborieuse et peu rémunérée ? Ne s'agit-il pas là de ce néo-esclavagisme aux mains de grands groupes proposant aux migrants des salaires de misère dans leurs entreprises afin de faire pression à la baisse sur les salaires moyens eux-mêmes ? Ce nouveau commerce mondialisé "humanitaire" trans-méditerranée, ne participe-t-il pas du même mercantilisme cynique et irresponsable que fut l'ancienne traite trans-atlantique et l'esclavage des Noirs vers les Amériques à partir des ports de l'atlantique ?

Quelques heures plus tard ce matin, le premier ministre Édouard Philippe a été contraint de s'exprimer sur le sujet durant la séance de questions d'actualité à l'Assemblée nationale, à la suite d'une question d'un député de la majorité, Pieyre-Alexandre Anglade. "Nous sommes évidemment prêts à aider les autorités espagnoles pour accueillir et analyser la situation de ceux qui, sur ce bateau, pourraient vouloir bénéficier du statut de réfugié", a déclaré le chef du gouvernement, en se disant "heureux" de la décision de l'Espagne d'ouvrir le port de Valence.

 

Ce matin dans l'émission Brunet-Neumann à réécouter en podcast sur RMC, le journaliste Éric Brunet a expliqué :

 

"Je suis toujours un peu gêné avec ces 'il n'y a qu'à..., il faut qu'on; il y a de la souffrance, nous devons être compassionnels et accueillir plus de monde'. Typiquement les opinions publiques, les électeurs européens, dans leur majorité, sont plutôt hostiles à cela. Ce qui est intéressant et ce qui se joue aujourd'hui en Méditerranée, c'est le premier bras de fer entre un exécutif et un ministre de l'intérieur populiste Matteo Salvini qui est à la droite de la Ligue du Nord [...] et qui a sur la question de l'immigration une position très dure. Et là il est testé par cette ONG européenne SOS Méditerranée, qui est soutenue d'ailleurs par l'ONG du milliardaire américain George Soros, 'Open Society', qui veut un monde plus ouvert aux migrants. Donc il y a un bras de fer idéologique [...], un affrontement entre deux visions de politiques migratoires. C'est un choc qu'on attendait." (Fin de citation)

 

La réponse de Laurent Neumann qui ne conteste pas l'information apportée par Éric Brunet du financement de l'ONG Sos Méditerranée par Soros, est intéressante :

 

"On n'est pas forcément en désaccord ce matin. Ce qu'il faut bien avoir en tête c'est qu'en trois ans, il y a six cent trente mille migrants qui sont arrivés en Italie et que les 26 autres pays de l'Union européenne ne joue pas la solidarité. Et il y aura d'autres bateaux..."

 

On a sans doute-là la raison pour laquelle les scrutins se succèdant voient partout les populistes arriver au pouvoir en Europe.

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20 mai 2018 7 20 /05 /mai /2018 18:30
Le futur gouvernement italien sera interdit aux francs-maçons : le "Grand Orient" s'indigne

Une nouvelle étonnante nous arrive d'Italie en ce dimanche de Pentecôte. Un gouvernement anti-système se précise et le cauchemar de Bruxelles prend forme. Le Mouvement 5 Etoiles et la Ligue ont présenté leur contrat de gouvernement qui prévoit notamment d'interdire aux francs-maçons de gouverner. 

Le "code éthique" de la future coalition gouvernementale italienne a été dévoilé le 18 mai. S'il prévoit entre autres d'interdire l'accès au gouvernement à des personnes condamnées pénalement, il réserve le même sort pour les membres de la franc-maçonnerie italienne.

Celle-ci n'a pas manqué de condamner dans un communiqué ce qu'elle qualifie de clause "contraire aux principes constitutionnels". Le Grand Orient d'Italie déplore une décision qui selon lui "rappelle les lois fascistes que les francs-maçons ont toujours dénoncées et qui représentent les conséquences d'une dérive liberticide dangereuse".

Et le communiqué de poursuivre par une mise en garde adressée à la future coalition : "Ceux qui pensent utiliser à des fins politiques une campagne contre les francs-maçons pour les empêcher d'exercer leurs droits élémentaires, commettent un abus et devront en assumer la responsabilité."

Après avoir reçu le feu vert de Silvio Berlusconi, les nationalistes de la Ligue et les antisystèmes du Mouvement 5 Etoiles s'apprêtent à diriger l'Italie. Les deux partis ont notamment en commun un rejet des forces politiques traditionnelles et des promesses en matière de retraites et de lutte contre l'immigration. (1)

 

Note du blog Christ-Roi. Dans un contexte de "démocratie", de transparence et de "laïcité", on ne voit pas trop pour quelle raison le "Grand Orient" d'Italie, autrement dit la secte maçonnique la plus anticléricale qui existe, s'indigne que les francs-maçons soient interdits de gouverner ? L'autre solution a minima serait d'imposer aux francs-maçons une déclaration d'appartenance à la franc-maçonnerie afin que les citoyens soient éclairés lors de leur vote et qu'ils sachent qui fait quoi.

 

Sources:

 

(1) RT, Le futur gouvernement italien sera interdit aux francs-maçons : le Grand Orient s'indigne 20 mai 2018, 16:31

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 21:39

 

Le Pape François a soutenu le mécontentement populaire

Le Pape François a soutenu le mécontentement populaire

 

Le Pape François a exprimé son soutien aux Italiens qui protestent contre les mesures d’austérité et le chômage, mais il les a exhortés à abandonner « la tentation de la violence ».

 

Le mouvement des Fourches a été inspiré à l'origine par des paysans siciliens, mais il s'est transformé en une vague plus large de mécontentement de l'incapacité du gouvernement à parvenir à une amélioration de la situation économique.

 

Les manifestants ont défilé dans plusieurs villes en Italie, pour la plupart pacifiquement, mais certains d'entre eux ont bloqué les autoroutes et les voies ferrées. A Turin, des affrontements avec la police ont eu lieu. Dans certaines villes, les manifestants ont forcé les commerçants à fermer leurs magasins et à les rejoindre.

 

Source: http://french.ruvr.ru/news/2013_12_22/Le-Pape-Francois-a-soutenu-le-mecontentement-populaire-2835/

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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 22:58

Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi, devant des partisans venus lui souhaiter bon anniversaire, s'est dit victime des "juges de gauche" et a raconté une blague sur les juifs, selon une vidéo diffusée vendredi sur le site du journal Repubblica.

M. Berlusconi est descendu mardi à minuit au bas du palais Grazioli, sa résidence romaine, pour saluer un groupe de jeunes et a alterné confidences politiques et plaisanteries. La blague racontait l'histoire d'une famille juive qui cachait un autre juif en lui faisant payer une énorme mensualité, sans lui dire que la guerre était finie.

Silvio Berlusconi s'en est pris à la magistrature italienne. "Il faudrait une enquête parlementaire pour vérifier, comme je le pense, l'existence d'une association de malfaiteurs au sein de la magistrature entre juges de gauche qui cherchent à renverser les résultats électoraux", qui l'ont ramené au pouvoir en 2008, affirme le chef du gouvernement dans la vidéo. M. Berlusconi qui fait l'objet de deux procès à Milan (nord) pour corruption de témoin et fraude fiscale, a accusé la "magistrature de gauche" de chercher à ternir son image pour l'obliger à démissionner. "J'ai contre moi la gauche, le centre, les grands journaux, les juges...", s'est plaint M. Berlusconi.

Beaucoup d'opposants au chef du gouvernement ont critiqué ces déclarations, le dirigeant communiste Pino Sgobio comparant M. Berlusconi au personnage de "Dr Jekyll et Mr Hyde", qui juste avant de prononcer un discours conciliateur au parlement pour obtenir la confiance, "a mis à nu sa vraie nature" en privé.

Sa blague sur les juifs a en outre été dénoncée par Amos Luzzatto, président de la communauté juive de Venise, comme véhiculant "les pires stéréotypes antisémites".

 

Source

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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 19:12

Face à l’impuissance des autorités publiques à assurer la sécurité des citoyens, les habitants de plusieurs quartiers de Naples se sont insurgés, rasant les camps roms à proximité. Ces fortes représailles populaires font suite à la tentative manquée d’une gitane (aujourd’hui en prison) d’enlever un nouveau-né du quartier Ponticelli samedi dernier.
Plusieurs rapts avortés (ou pas…) s’étant déjà produits, la rumeur des gitans voleurs d’enfants n’est hélas plus une légende urbaine à Naples.
Au-delà de l’information pure, ce qui heurtera notre esprit français malade, c’est cette réponse du peuple, la capacité de la communauté à réagir pour assurer sa propre sécurité.
Comme à Rome, Ascoli ou Milan l’an dernier, à l’annonce de l’incident les Napolitains se sont armés de battes, de pierres et de cocktails molotovs et ont incendié les campements roms de la ville, obligeant leurs occupants à évacuer les lieux. Les mères de famille enragées expliquent clairement et sans crainte d’être taxées de racisme par les médias : « Nous avons averti les roms qu’ils devaient s’en aller, les forces de l’ordre n’ont pas détruit les baraques, nous les avons donc brûlées pour qu’ils ne reviennent pas dans quinze jours ». Les incendies ont maintenant été maitrisés mais les habitants menacent : « Eteignez les feux, nous les rallumerons. »
Gianni Alemanno, maire de Rome, justifie les faits en expliquant que quand l’Etat ne donne pas au citoyen la sensation de protection, « il est contraint à se défendre tout seul. »
Suite Novopress

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27 décembre 2007 4 27 /12 /décembre /2007 18:19

Il n'y a pas que la France pour vouloir l'application du Motu Proprio, en Italie aussi: site Papa Ratzinger Blog

Et dire que nos évêques pensent que l'intérêt pour la messe tradie est une affaire purement franco-française! ... (
Le Forum Catholique).

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