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Christ Roi

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6 octobre 2019 7 06 /10 /octobre /2019 16:06
Jacques Attali, souverainiste en Israël, mondialiste en France : deux poids deux mesures

Jacques Attali est souverainiste en Israël, mais mondialiste lorsqu'il s'agit de la France. Incohérence ou antifrancisme primaire ? 

Pour Attali, "le souverainisme n’est que le nouveau nom de l’antisémitisme." Sur son site internet, l’économiste s’est fendu d’un billet lunaire, où il compare purement et simplement le souverainisme… à l’antisémitisme.

Le souverainisme résumé à un refus de migrants et de musulmans

« Les juifs et les musulmans, menacés tous les deux par lui, doivent s’unir face aux fantasmes du grand remplacement », fait-il valoir. Si la comparaison est un peu obscure, Jacques Attali l’explique un peu plus loin : « Quand on parle de ‘souverainisme’, beaucoup de gens veulent croire qu’on ne parle, en Europe, que d’une maîtrise des importations et d’un refus des disciplines communautaires », mais « en réalité, dans la plupart des cas, ceux qui en font l’apologie parlent en fait ainsi à mots couverts d’un refus de migrants, et plus largement, d’un refus des musulmans », expose-t-il. L’adhésion à une théorie politique, la xénophobie et la discrimination religieuse se retrouvent ainsi dans le même sac, comme le souligne Marianne. Et l’économiste de poursuivre : « [La France] ne doit pas oublier non plus que ce qui se cache aujourd’hui derrière le ‘souverainisme’ désigne en fait la même xénophobie, la même fermeture, la même absence de confiance en soi que les idéologies anti-italienne, anti-polonaise, anti-arménienne, et antisémites des siècles passés ».

Attali veut faire taire Zemmour, Goldnadel et Finkielkraut

« Ces discours hostiles aux musulmans de France son mortifères », dénonce aussi Jacques Attali, « en particulier quand ils viennent de juifs, qui devraient ne pas oublier que l’antisémitisme vise à la fois les uns et les autres ». « Il faut donc à tout prix dénoncer les discours délirants d’Éric Zemmour, de Willian Goldnagel (sic), ou même, dans de trop nombreuses de ses déclarations, d’Alain Finkielkraut », insiste celui qui est l’un des mentors d’Emmanuel Macron. Il concède ensuite la nécessité de « s’opposer à toutes les tentatives religieuses, d’où qu’elles viennent, pour imposer une conception du monde, ou un mode de vie, contraires aux règles de la laïcité, non respectueuses des droits des femmes, ou plus généralement, violant les lois de la République ». (Valeurs Actuelles)

Ce proche de Nicolas Sarkozy et d'Emmanuel Macron a rapidement été raillé sur les réseaux :

«Les juifs et les musulmans, menacés tous les deux par lui [le souverainisme], doivent s’unir face aux fantasmes du grand remplacement», ajoute-t-il dans le tweet, comparant ainsi les défenseurs du souverainisme aux partisans de la théorie du «grand remplacement».

Il suffit pourtant d'ouvrir un dictionnaire Larousse pour découvrir la définition du souverainisme : «Doctrine des défenseurs de l'exercice de la souveraineté nationale en Europe.» D'aucuns rajouteraient à la souveraineté nationale la défense de la souveraineté populaire, mais il s'agit là d'un débat philosophique qui ne saurait remettre en cause la définition proposée par le Larousse. Le titre premier de la Constitution française se nomme d'ailleurs : «De la souveraineté.» Plus généralement, ceux qui se revendiquent souverainistes en France, à gauche comme à droite, reprennent la conception philosophique, venue du Québec, en revendiquant un problème démocratique en France du fait de l'imposition de normes et d'une supranationalité par l'Union européenne. Ils expriment globalement une critique virulente du libre-échange et du libéralisme économique, imposés selon eux par l'UE. Pour Jacques Attali, les tenants du souverainisme seraient en premier lieu des antimusulmans et des xénophobes. Il dénonce de fait «les discours délirants, d’Eric Zemmour, de William Goldnagel [qui se nomme en réalité Gilles-William Goldnadel], ou même, dans de trop nombreuses de ses déclarations, d’Alain Finkielkraut». Les trois personnalités citées sont d'origine juive. Elles seraient malgré tout, d'après Jacques Attali, des partisans de l'antisémitisme et, par voie de conséquence, du souverainisme. Fait cocasse, l'avocat Gilles-William Goldnadel, par exemple, est un libéral revendiqué, pas certain donc qu'il se définisse lui-même comme un «souverainiste»...

Celui-ci a d'ailleurs réagi sur Twitter, après l'accusation de Jacques Attali : «Tellement ravi de faire partie du top three avec Zemmour et Finkielkraut de la liste des honnis du contrefacteur Attali. Celui qui ferma les yeux par courtisanerie aux complaisances de Mitterrand pour Bousquet, l’organisateur de la déportation des petits juifs français.»

L'association d’étudiants de Sciences Po Paris «Critique de la raison européenne» constate de son côté : «Jacques Attali nous démontre la profondeur de sa pensée en un tweet. Donc si vous souhaitez restaurer la démocratie et osez critiquer l'Union européenne, c'est que vous êtes pour les chambres à gaz. Imparable !»

Le président des Patriotes, Florian Philippot, ironise : «Mince j’ignorais que la Constitution française, qui exige théoriquement la défense de la souveraineté nationale, était antisémite.»

Dans sa diatribe, l'essayiste oublie cependant que des défenseurs du souverainisme, donc de la souveraineté nationale, se situent également à gauche de l'échiquier politique, à l'instar de Jean-Pierre Chevènement ou de Jean-Luc Mélenchon. C'est enfin faire fi du fait que des personnalités musulmanes, bien que critiques de l'islamisme et de l’obscurantisme religieux, revendiquent être des promoteurs du souverainisme, à l'instar de Fatiha Agag-Boudjahlat par exemple. (RT)

En terme de "souverainisme", Jacques Attali ferait bien de regarder la poutre dans son oeil, lui qui, auteur pour la France du "Rapport Attali", cyniquement intitulé "Rapport de la Commission pour la libération de la croissance française : 300 décisions pour changer la France", dévoilait en 2008, dans un discours adressé uniquement aux Juifs intitulé "Discours Les Juifs au XXIe siècle, un avenir incertain", "c'est quoi aujourd'hui être juif en France et dans le monde" (Les Juifs au XXIe siècle, un avenir incertain, Jacques Attali, économiste, Paris, mars 2007), une conception ethnique et racialiste de l'identité "juive" au travers de son inquiétude de la disparition de la communauté juive "en tant que peuple" (sic).

Nous notions ainsi en 2008 à propos de ce discours d'Attali : "Ce qui est intéressant, c'est de constater le double jeu d'Attali, selon que l'on se place du point de vue de la France ou selon le point de vue d'Israël."

Dans son rapport, l'auteur préconisait en effet à Nicolas Sarkozy une politique immigrationniste d'ouverture des frontières en France (comme solution à la "libération de l'économie française". Sic). Il s'agissait d'« élargir et favoriser la venue des travailleurs étrangers » pour la France (Source : Rapport de la Commission pour la libération de la croissance française, Sous la présidence de Jacques Attali, La Documentation française, p. 172.) Le rapport expliquait par exemple: "Si l’arrivée d’immigrants ne peut être considérée comme une solution de long terme au vieillissement de la population (il faudrait un nombre extrêmement important d’immigrants – 920 000 personnes par an – pour maintenir le rapport entre actifs et inactifs), l’immigration peut permettre de remédier à des pénuries de main d’œuvre." (Décision 222, "Accueillir plus de travailleurs étrangers, p. 174) et précisait sans rire : "l’immigration a aussi un effet positif sur la croissance si le marché du travail est assez flexible pour l’absorber. [...] Au total, l’immigration de travail renforce la croissance en accroissant la population active et l’emploi." (Décision 222, p. 173.) 

De l'autre côté, en Israël, c'est un autre son de cloche. Attali faisait alors montre d'un enthousiasme immigrationniste plus relatif, et d'une vive inquiétude quant au nombre de la "population juive par rapport aux populations environnantes, qui sont elles-mêmes de plus en plus nombreuses dans la région" et, sur la scène mondiale, l'inquiétude face à "des peuples aussi sophistiqués que sont les Chinois et les Indiens" (Sic).

Il est donc frappant qu'un tel personnage au double discours, qui selon les pays envisagés (la France ou Israël), prône deux politiques radicalement différentes, soit encore écouté de nos jours et autorisé à donner son avis.

Pour Attali, en 2008, cela restait une question "presque évidente" : "nous sommes juifs, nous savons que nous avons un rôle historique particulier que nous avons joué au moins depuis 3000 ans… Ce rôle est inscrit dans l'histoire de l'humanité". Seulement, Attali soulevait immédiatement une inquiétude, celle du "cauchemar de la disparition du peuple juif" : "se poser la question si le peuple juif survivra au XXIe siècle, en tant que peuple", car "rien n'est éternel dans l'histoire humaine, et la meilleure façon de résister à une menace, c'est de la connaître. [...] Se pose en Israël la question, en Israël, de la population juive par rapport aux populations environnante."

"Toutes les communautés juives du monde disparaissent ou décroissent, soit en nombre absolus, soit en nombre relatifs, sauf quelques-unes, étranges, la communauté juive allemande, la communauté juive australienne, ou quelques autres. [...] Donc la probabilité que la communauté juive représente une part décroissante de l'espèce humaine, est une évidence, accélérée par ce phénomène … de l'assimilation par les mariages mixtes. Il y a donc un processus d'assimilation et de disparition hors de l'Etat d'Israël considérable," précisait Jacques Attali. 

"En Israël proprement dit, se pose la question de la population juive par rapport aux populations environnantes, qui sont elles-mêmes de plus en plus nombreuses dans la région, et qui à l'échelle de cinquante ans, seront non seulement plus nombreuses dans l'ensemble palestinien que dans l'ensemble israélien et à l'échelle de soixante ou soixante-dix ans plus nombreuses sur le territoire israélien en population non-juive qu'en population juive. Donc nous avons clairement à affronter le fait que la population juive est de plus en plus minoritaire, faible, et en voie de disparaître", ajoutait Attali. 

"Qu'est-ce qu'une identité d'un peuple dont la trace numérique dans l'histoire disparaît, et dont la présence sur un sol, sur un territoire, se réduit de plus en plus à une population dont la conception est celle d'une nation qui a à défendre son intérêt en tant que nation et qui le défend sans véritablement se poser la question du destin d'un peuple à vocation universelle, mais seulement comme nation… Cette identité où est-elle aujourd'hui?"

Attali exprimait alors la crainte du peuple juif devant "la montée et l'arrivée sur la scène mondiale de peuples aussi sophistiqués que les peuples chinois et indiens."

"Pourquoi jusqu'à aujourd'hui le peuple juif a-t-il été capable de survivre", demandait alors Attali.  "Parce que l'obsession du peuple juif, cela a été et cela reste de transmettre. L'obsession c'est de transmettre. J'ai toujours été frappé par cette définition talmudique qui dit qu'à la question 'qu'est-ce qu'être un juif', la première réponse, c'est d'avoir un père juif, la seconde réponse, c'est d'avoir une mère juive, la troisième réponse, mais pas du tout, c'est d'avoir des enfants juifs", concluait Jacques Attali.

Ce discours de 2008 d'Attali indiquait parfaitement l'ambivalence du discours pour la France ou pour Israël. D'un côté (Rapport Attali, "De la Commission pour la libération de la croissance française : 300 décisions pour changer la France"), pour la France, la préconisation de l'entrée de millions d'immigrés pour détruire l'identité française et le peuple français (promotion d'une immigration massive, remplacement de la population sur une trentaine d'années, ultra-libéralisme sauvage, "égalitarisme", "démocratie", "tolérance", "ouverture", etc.) et de l'autre côté, pour Israël, défense de l'identité juive coûte que coûte (la "transmission talmudique"), défense de "la population juive par rapport aux populations environnantes, qui sont elles-mêmes de plus en plus nombreuses dans la région", et "sur la scène mondiale", défense du peuple juif par rapport aux "peuples aussi sophistiqués que les peuples chinois et indiens"...

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7 avril 2017 5 07 /04 /avril /2017 09:37

Les Francophobes n'aiment ni la France ni les Français

Rare journaliste à décrire et expliquer le Réel, Ivan Roufiol sur son blog Le Figaro explique la haine des « francophobes », dont Emmanuel Macron, suite à son discours à Marseille, est devenu l'emblème. Les francophobes prêchent la bienveillance envers les autres nationalités qu'ils égrènent et différencient mais la haine envers les Français assimilateurs qui ne différencient pas.

Les francophobes sont les héritiers du colonialisme anglo-saxon, tandis que les assimilateurs sont proprement des héritiers du modèle français qui depuis toujours s'est opposé au colonialisme agressif anglo-saxon.

La civilisation espagnole a écrasé l’indien ; la civilisation anglaise l’a méprisé et négligé ; la civilisation française l’a étreint et chéri.

Francis Parkman (1823-1893), historien américain

Ainsi, l'historien Jean-Marc Soyez (1927-2008), dans Historama (juin 1984) a pu dire : "il ne faut pas oublier que de tous les étrangers qui ont abordé ou aborderont l’Amérique, les Français sont les seuls à y avoir été invités par les autochtones."

 

Continuons à présent. Décryptons l'antiracisme des antiracistes : l'antiracisme n'est rien d'autre qu'un racisme de racistes, habillé des oripeaux de la vertu.

« Être français de souche est une tare pour les "antiracistes". Mieux vaut être issu de la diversité. [...]. Emmanuel Macron est de ceux-là. Samedi, à Marseille, il a salué son public en ces termes :

 

"Je vois des Arméniens, des Comoriens, des Italiens, Algériens, Marocains, Tunisiens, Malais, Sénégalais ... Mais je vois quoi? Je vois des Marseillais...Je vois des Français. Regardez-les biens, messieurs et mesdames du FN, c’est ça être fier d’être français".

 

Le Français... français devient l’indésirable », résume Ivan Roufiol.

 

« "Le FN est l’ennemi de la République", assure le leader d’En Marche ! Il (Emmanuel Macron) prêche la bienveillance, mais déteste cet électorat attaché à ses origines; elles ne valent que pour l’immigré... », ironise Ivan Rioufol.

 

Autrement dit, dans l'esprit des progressistes antiracistes, l'attachement aux origines n'est valable que pour les autres. En niant les spécificités nationales, en interdisant l'amour national ils sont persuadés d'avoir trouvé un moyen de conduire à l'unité et à la paix. C'est le contraire qui arrive.

 

« Alors qu’une guerre civile menace la nation déchirée par l’islam politique, de souriants encravatés disent leur haine des Français qui s'inquiètent. Les défenseurs de la nation souveraine sont, aux yeux de ces francophobes, des nationalistes butés. Les partisans de l’assimilation sont des néocolonisateurs. Ceux qui suggèrent d’écouter les citoyens malheureux sont des populistes.

 

[...] Au prétexte de lutter contre Marine Le Pen ou François Fillon, l’élémentaire désir de conservation est criminalisé.

 

Derrière le gentil Macron au verbe creux et aux poses calculées se dissimule le tueur froid de la douce France, sacrifiée sur l’autel de la postmodernité et de son monde plat. »

 

Le führer d'En Marche Emmanuel Macron enfreint la loi et pourrait être poursuivi. Son mouvement "En Marche" pourrait faire l'objet d'une dissolution administrative en Conseil des Ministres pour illégalité. Faire en effet une différence entre les Français, selon "leurs origines, leur "ethnie", leur "nation", et égrener les nationalités comme il l'a fait à Marseille, c'est précisément essentialiser et faire du "racisme" selon la loi de la république (loi du 1er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme). C'est d'ailleurs sans doute, là, la raison profonde pour laquelle des citoyens, qui ont entendu et compris la tirade raciste de Macron à Marseille ont fui le meeting.

 

Il y a un double phénomène de négation progressiste et d'inversion symétrique des résultats

 

L'antiracisme négateur de la France et des Français (seuls), débouche sur du racisme institutionnel. Le même échec se retrouve malheureusement dans la culture, où le progressisme aboutit à des résultats inverses aux buts initiaux :

 

"La France a un problème avec la culture, a expliqué le philosophe François-Xavier Bellamy dans une émission de C News. Dire 'il n'y a pas de culture française et la France est ouverte à tous'... repose (sur) un malentendu tragique, parce que derrière ce débat, il y a des enjeux concrets et des enjeux sérieux et notamment la question décisive de l'intégration. Ce que dit Emmanuel Macron lorsqu'il en appelle à toutes les communautés, c'est que la France n'a pas de culture et vous êtes tous les bienvenus. Mais cela ne marche pas et c'est la dissolution de l'unité nationale que se joue là. [...] C'est le vocabulaire de la lutte des classes qui nous a fait soupçonné 'la culture' au nom du fait qu'elle aurait des propriétaires. La culture n'a pas de propriétaires. Le propre de la culture, contrairement à tout ce que nous a dit  Pierre Bourdieu (dans son livre "Les Héritiers" de 1964), c'est qu'elle n'est pas un capital. Un capital, plus vous le partagez, plus vous le divisez et il n'appartient jamais qu'à quelques propriétaires, alors que le propre de la culture est que vous pouvez la partager, sans que jamais elle ne soit divisée. Le grand drame aujourd'hui, [...] c'est justement que Pierre Bourdieu a produit la situation qu'il avait dénoncée ! Pierre Bourdieu était fils d'ouvriers agricoles du Béarn. Aujourd'hui, nous ne saurions plus inventer en France l'école qui est née ici, nous ne saurions plus construire des parcours comme celui de Pierre Bourdieu a eu, nous ne saurions plus offrir à des enfants d'immigrés ce que la France savait partager à des enfants issus de milieux y compris très modestes... Ce n'est pas une conviction personnelle, c'est une certitude statistique."

 

Verdict du temps : le progressisme appliqué à la France et aux Français a abouti sur un racisme systémique endémique. Appliqué à la culture, il a débouché sur une panne sèche de l'ascenseur social !

 

C'est sans doute pour ces raisons que les Français ne veulent plus entendre parler des vieilles recettes qui ont échoué et autres idéologies recyclées du passé. Ces expériences échouées sont en passe d'être éliminées du corps comme les toxiques radicaux libres sont éliminés de l'organisme.

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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 21:09
Merci à Dominique F. pour l'image de l'article, ainsi que pour le lien de cet article intéressant sur le concept d'antijaphétisme.

Merci à Dominique F. pour l'image de l'article, ainsi que pour le lien de cet article intéressant sur le concept d'antijaphétisme.

Comme l’antisémitisme, l’antijaphétisme procède directement des idées républicaines et de leur inadéquation au réel.

 

L’antijaphétisme, c’est la haine des fils de Japhet, cet ancêtre primordial des Européens selon la tradition biblique. On pourrait donc le définir comme un vulgaire racisme (le « racisme anti-blanc ») à ceci près que le racisme est d’abord une pulsion non théorisée, parfois violente, alors que l’antijaphétisme apparaît comme un système pensé, rationnel, une idéologie qui peut provoquer la pulsion raciste irraisonnée mais qui ne peut se réduire à celle-ci.

 

L’antijaphétisme prend corps environ un siècle après l’apparition de l’antisémitisme moderne, au sein d’un même système politique républicain, avec la complicité des mêmes élites républicaines, et dans une société qui ne parvient pas à fonctionner harmonieusement selon le modèle républicain. L’antijaphétisme comme l’antisémitisme, désigne fort opportunément un peuple bouc émissaire qui endossera à bon compte la responsabilité des revers rencontrés par ce modèle, innocentant ainsi ce modèle et les préjugés sur lesquels il repose.

 

Si nous avons dit « préjugés » plutôt que « valeurs », c’est que celles-ci ne sont qu’escroqueries intellectuelles, concepts abstraits et creux constitutifs d’un opium du peuple dont, notamment mais pas seulement, l’Ecole républicaine, simple salle de shoot, a eu pour mission d’assurer la diffusion. Le modèle de société mondialisée que la République a engendré repose tout entier sur un article de foi que tout républicain doit psalmodier : « Je crois que la République est faite de valeurs universelles et je crois qu’Elle est donc en mesure de faire « vivre ensemble » des hommes de toutes provenances, de toutes origines, cultures ou religion ». Pour le croyant, la République dispose d’une sorte de recette magique qui permet de rendre compatibles les identités incompatibles. Elle a miraculeusement découvert un modèle d’organisation social et politique qui peut convenir à tous, un modèle universel en capacité de faire cohabiter harmonieusement des juifs, des chrétiens, des musulmans, des athées, des hommes venus de toute la terre s’enrichissant mutuellement de leurs différences (Coulibaly, si tu m’entends…). Cette foi en l’universalité des principes républicains est le cœur nucléaire de la République, résume toute l’idéologie républicaine : détruisez-la et la République, qui ne repose sur rien d’autre, s’effondrera d’elle-même.

 

En vérité, il est inutile de se charger d’une telle besogne, puisque le réel s’en est déjà occupé. C’est pourquoi la réalité est ennemie de la République et qu’il importe pour la République de lui substituer un système républicain de représentation de la réalité. C’est la mission assignée aux médias, à l’université, au discours politique, à la publicité… : fabriquer un réel de métissages qui cadre avec l’idéologie dominante et le politiquement correct. Néanmoins, l’écart entre le « réel » républicain (voyez la télévision) et le vécu de la société melting-pot étant pour le moins abyssal (Sid Ahmed Ghlam si tu m’entends…), il n’est pas possible pour le système républicain de nier l’intégralité des problèmes rencontrés par le « vivre ensemble ». Dès lors, la République se trouve dans l’obligation soit de remettre en cause ses principes et son crédo fondateur (« nous nous sommes trompés, nos valeurs universelles ne sont ni universellement acceptables, ni universellement acceptées »), soit d’imputer à un tiers les difficultés rencontrées par ce « vivre ensemble ». Dans les années 1880, les républicains, toute honte bue, avaient imputé aux Juifs la persistance d’une nation juive, donnant ainsi naissance à l’antisémitisme moderne. Dans les années 1970-1980, ils vont sans vergogne imputer aux Autochtones européens de France, l’échec des politiques d’intégration. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, la République, véritable ventre d’une bête immonde, allait accoucher de l’antijaphétisme comme elle avait produit l’antisémitisme.

 

L’antijaphétisme se présente comme un système d’avilissement du peuple autochtone, avec en ligne de mire la volonté implicite d’imputer à ce peuple les échecs du modèle républicain. Par son discours, l’antijaphétisme imprègne les consciences d’une représentation avilissante de l’Autochtone et conduit celles-ci à considérer que l’autochtone est, par nature, celui qui empoisonne le « vivre ensemble », comme autrefois le Juif était celui qui empoisonnait les puits. En restant autant que faire ce peut dans le non dit, utilisant anecdotes édifiantes, falsification ou amplification de certains faits, jugements bien à propos, « indignations » sélectives, n’hésitant pas à verser dans l’explicite si nécessaire (« les Français sont racistes »), le système d’avilissement s’impose dans les esprits comme une description objective, et non comme un système pervers et raciste. En chacun, de manière inconsciente, la caricature dévalorisante de l’Autochtone devient la norme, la référence, l’image mentale correspondant à l’Autochtone. Dès lors, le jugement altéré par ce portrait déshumanisé peut accepter, contre les faits et les évidences, l’idée que l’échec du modèle républicain est tout entier imputable aux comportements inacceptables d’un groupe humain particulier. Le but du système d’avilissement n’est donc pas d’avilir : il est de modifier la perception des réalités de manière à manipuler le sens moral au bénéfice du régime politique en place.

 

Le système d’avilissement antijaphite a ainsi vocation à expliquer l’échec du projet républicain de « vivre ensemble ». C’est pourquoi ce système d’avilissement des Autochtones de France se structurera essentiellement autour des accusations de « racisme », de « xénophobie », d’islamophobie, d’antisémitisme… On associera les Autochtones aux « discriminations » diverses et variées (à l’emploi, au logement, à l’entrée de certains lieux…), aux multiples expressions de «l’intolérance », aux « ghettos » (fruits d’une « ségrégation insidieuse et multiforme »), aux « replis frileux » de toutes sortes, aux « stigmatisations insupportables »…. Ainsi le rapport sur le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie de la très républicaine Commission Nationale Consultative des droits de l’Homme (CNCDH , 09 avril 2015), comme les comptes rendus qui en sont faits dans les médias républicains (ici, à titre d’exemple le Nouvel Observateur), désignent clairement les victimes du racisme (les Noirs, les Juifs, les Arabes, les musulmans, les Roms, les Asiatiques) et pointent du doigt ceux qui, par définition, ne sont jamais victimes et toujours coupables : les « Français ». Chacun comprend immédiatement, nul besoin de le préciser tant notre conditionnement pavlovien est profond, que le « Français » en question n’est ni Noir, ni Arabe, ni Juif… : c’est un Français de souche (qui, confirmation de son origine autochtone, pense qu’il y a « trop d’immigrés en France »). L’expression « Français raciste » est un stimulus qui déclenche automatiquement, en chacun de nous, l’image mentale d’un Autochtone blanc. Le système d’avilissement qui manipule nos représentations nous a appris à associer quasi instinctivement le « racisme », donc la « haine », la « nausée » ou le « dégoût » (le lecteur trouvera de lui-même des dizaines d’autres qualificatifs habituellement employés par les belles âmes), à l’Autochtone blanc. Cette association dévalorisante, fruit d’un véritable lavage de cerveau, est destructrice de l’estime de soi. Elle domestique par la honte des milliers de jeunes Autochtones qui pour mieux laver cette tâche héréditaire indélébile manifestent la négation de soi à travers l’engagement tiers-mondiste, l’aide aux clandestins, ou un ethnomasochisme faisant reposer sur le « on » le fractionnement d’une société invivable.

 

Il est un fait que personne en République n’objecte que les Français de souche européenne sont des hommes comme les autres, ni plus, ni moins racistes que les autres hommes et que les stigmatiser en particulier relève donc du racisme le plus flagrant. Personne n’observe que les accabler revient à les extraire de l’humanité en général, à en faire des êtres « à part », moralement inférieurs et réduits à la malfaisance. Pourtant, affirmer péremptoirement que « Les Français sont racistes » n’est-il pas interdit par une loi qui punit les propos diffamatoires en raison de la nationalité, de la race ou de l’ethnie ?

 

Dissocier l’Autochtone européen du reste de l’humanité présente néanmoins un intérêt certain pour les républicains. En effet, si l’homme en général est « raciste », si « l’Homme » manifeste universellement une volonté de vivre au milieu de ses semblables en origine, culture ou religion, plutôt qu’avec des étrangers, alors il faut admettre que le projet républicain de faire « vivre ensemble » des « dissemblables » est anthropologiquement absurde. Mais, si cette inclinaison n’est pas universelle mais propre à un groupe humain seulement, alors elle devient une anomalie malsaine… et le projet du « vivre ensemble » universel devient anthropologiquement valide, pour peu que l’on fasse disparaître cette anomalie. C’est pourquoi les républicains admettent si difficilement l’universalité du comportement raciste et répugnent à reconnaître le racisme anti-blanc. La stigmatisation du peuple autochtone de France est donc nécessaire à la République : c’est une manière de signifier que son projet est anthropologiquement viable. Le dogme selon lequel la République sait faire des mélanges que l’Histoire nous montre explosifs, ne doit jamais être remis en cause. Pour la République, cela est vital.

 

En République, l’antijaphétisme prend l’apparence d’un racisme officiel, d’un racisme d’Etat. Le CNCDH, organisme de la République, qui dans son sondage pose des questions sur la perception des immigrés par les « Français » cible à l’évidence le groupe autochtone qu’il s’agit de stigmatiser. Les médias républicains qui rapportent que ce groupe est « lourdement raciste » donne corps à cet avilissement abject. La justice républicaine qui ne réagit pas à ces propos odieux participe de cette représentation avilissante ainsi que la HALDE ou autre « Défenseur des droits ». Et que dire des ligues antiracistes républicaines qui étonnamment ne voient pas matière à procès, de l’Assemblée nationale et du Sénat qui ne jugent pas opportun de légiférer, de toute cette nomenklatura républicaine dont le silence est assourdissant, de ces « autorité morales » et de ces commentateurs politiques qu’on a connu plus prompts à s’indigner ?

 

Toute l’opération consiste à alimenter une rhétorique qui diabolise l’Autochtone européen. Cela est indispensable au régime et tout le système doit y participer : le juge, l’instituteur, le journaliste, le politicien, l’universitaire, la star de télé réalité, le PDG du CAC 40... Il faut réécrire l’Histoire pour montrer l’atavisme de certains comportements xénophobes, il faut imposer des « devoirs de mémoire » pour que l’Autochtone n’oublie jamais sa malfaisance innée, il faut diaboliser les partis politiques dans lesquels l’Autochtone pourrait se reconnaître, il faut persuader que le racisme et la xénophobie sont depuis des temps immémoriaux dans la nature de l’Autochtone européen (voyez la colonisation !). Et pour bien montrer le caractère immuable de cette nature malfaisante on édicte à grand bruit des lois mémorielles et des lois antiracistes qu’on espère en capacité de lui faire barrage. Mais contenir la nature perverse de l’Autochtone européen ne suffit pas : il faut aussi la surveiller, la mesurer régulièrement pour qu’elle ne franchisse pas les digues. Des organismes républicains plus ou moins barbouzes sont institués pour « tester » et « sonder » régulièrement l’indice de tolérance de l’Autochtone, on institue des « compagnies de vigilants » (Badinter), des CNCDH, des HALDE, on subventionne des associations qui font procès aux déviants, on nomme des juges qui condamnent pour l’exemple et on paie des journalistes pour le faire savoir. Il faut infantiliser le « Blanc », lui faire battre régulièrement sa coulpe, lui mettre le nez dans son Auschwitz et dans son Sétif, l’humilier et lui faire honte de ce qu’il fut, et de ce qu’il est. Et puis, lorsqu’il sera accablé par la honte, lui faire reconnaître, dans une sorte d’autocritique à l’échelle d’un peuple, sa culpabilité historique dans le naufrage du Titanic républicain, cette société Frankenstein fruit de la démesure et de la bêtise. Quand l’Autochtone européen aura absout et se sera renié, il réintégrera humblement l’humanité, acceptera avec joie la « mixité sociale », cet « enrichissement » extraordinaire que la loi doit bizarrement lui imposer, et il s’adonnera enfin au « vivre ensemble » dans un paradis métissé : le meilleur des mondes.

 

On aura compris que la doctrine du « vivre ensemble », et avec elle la validité de l’universalisme républicain, véritable clé de voûte de la République issue de 1789, est bien au centre de la problématique. Tous le système d‘avilissement des Autochtones mis en place en France depuis les années 1970 a pour seul objectif d’expliquer les difficultés du « vivre ensemble » et les échecs des politiques d’intégration. Le racisme des Autochtones peut tout expliquer : les difficultés d’insertion des étrangers, leur plus grande peine à trouver un logement ou du travail, leur relégation dans des « ghettos », leur sous représentation dans les médias, l’échec scolaire de leurs enfants, leur compréhensible radicalisation, la révolte des banlieues… Pour le système, le modèle de société imaginé par 1789 n’est pas à remettre en cause. Le caractère universel des « valeurs » républicaines est toujours valide : grâce à ces « valeurs », les hommes peuvent vivre ensemble quelle que soit leur origine ou leur religion. Si ça ne marche pas, il faut donc chercher ailleurs, du côté du racisme qui « exclut » les étrangers de la société française, qui les pénalise, leur donne un sentiment de rejet et les conduit à refuser en bloc les valeurs de la République et l’intégration. Les Autochtones européens, ces Français du « repli sur soi », de la « France frileuse », de la «France rance » opposés à la « France de la diversité », la « France ouverte », la « France généreuse », sont les responsables tout désignés de l’échec du « vivre ensemble » et du modèle de société proposé par la république. Derrière la stigmatisation des Autochtones, il y a la justification implicite d’un système anthropologiquement faux et depuis longtemps récusé par le réel.

 

L’antijaphétisme n’est donc pas un racisme ordinaire. C’est avant tout une idéologie, une grille de lecture du social, un système dont la prouesse consiste à expliquer l’explosion d’un produit instable sans mentionner les calculs fantaisistes du chimiste amateur. Les lois mémorielles, les lois antiracistes, les lois sur la mixité sociale, les propositions de discrimination positive, les discussions sur le CV anonyme… ont toutes explicitement pour objectif « l’intégration » et le « vivre ensemble », désignent toutes implicitement l’Autochtone européen comme bouc émissaire des échecs de cette intégration et de ce « vivre ensemble ». Aucune ne pose la question de l’inadéquation du projet avec les réalités anthropologiques.

 

La République a besoin de l’antijaphétisme pour survivre. Le racisme institutionnalisé est la condition de sa légitimité et de l’acceptabilité de son projet universaliste. C’est pourquoi ce racisme s’exprime sans retenue dans les médias, dans les jugements des tribunaux, dans les discours politiques, à l’école, dans les livres d’histoire… La stigmatisation récurrente des Autochtones (« les Français », « les Blancs »…) est raciste selon la loi mais participent de cet antijaphétisme institutionnel et politiquement correct, ce qui la rend juridiquement non condamnable.

 

La République ne pourra donc jamais dénoncer l’antijaphétisme. Le fait qu’elle refuse de reconnaître les « Français de souche », les « Blancs » ou le peuple des Autochtones européens de France (de "race blanche". Nadine Morano. NdCR.) qu’elle avilit pourtant ouvertement, prouve sa volonté de persister dans ce racisme systématique : si les fils de Japhet n’existent pas l’antijaphétisme n’existe pas, et l’on ne récuse pas ce qui n’existe pas.

 

La République est un monstre froid dénué de tête, au fonctionnement mécanique basé sur la délation réciproque et l’exécution sociale et politique de celui qui doute du modèle républicain de société. Un fils de Japhet voulant « entrer en République » devra se renier et se dissocier tôt ou tard de son peuple diabolisé (Ex: Marine Le Pen qui coupe la tête à son père, ou Nadine Morano à qui on reproche d'être encore trop proche du peuple autochtone. NdCR.). Celui qui espère en des élections victorieuses pour orienter différemment cette société et mettre fin au système d’avilissement doit donc s’attendre à de grosses désillusions. Sans compter que les idéaux universalistes de la Révolution ont infecté tout l’Occident, avec les mêmes conséquences. Le problème du fractionnement des sociétés hétérogènes et de l’antijaphétisme qui en découle est devenu continental. Pourra-t-on se passer d’une solution à l’échelle du continent ?

 

Antonin Campana

 

Source

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13 juillet 2015 1 13 /07 /juillet /2015 11:58
Discrimination anti-française : le témoignage d'Angelo, SDF

Ce jeune SDF français est à la rue depuis plusieurs mois avec sa femme et son bébé. Et il n'obtient aucune aide... parce qu'il est français et non clandestin.

 

Source: Contribuables associés

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23 juin 2012 6 23 /06 /juin /2012 18:39

 

Billet d’humeur d’Isabelle Weber

Le gamin avait 13 ans et toute sa vie devant lui… sauf que sa vie à lui s’est arrêtée à 13 ans… c’est court pour une vie. Pourquoi est-il mort si brutalement ? Il aurait, selon certains journaux, osé regarder Souleymane dans les yeux au lieu de baisser la tête… Et le présumé responsable, fort de son bon droit de caïd de 16 ans en troisième dans un collège de Rennes, aurait à priori explosé la tête de ce petit gamin sur le sol à coups de pieds, lui bloquant la carotide du bout du pied…

Killian est mort. A 13 ans. Normal ? Non. Abject, oui ! Devons-nous nous souvenir de ce voleur de scooter qui dès l’accident avec les forces de police a eu droit à la visite d’Emmanuel Valls ? Killian a-t-il eu droit sur son lit d’agonisant à la visite des plus hautes sphères de l’Etat ?

La réponse est tristement, horriblement, non !

Imaginons l’inverse… Killian, 13 ans tabasse à mort Souleymane, 16 ans… Le MRAP, SOS-Racisme, la LICRA, et tout le toutim seraient intervenus en parlant des « heures les plus sombres de notre histoire ». Mais Killian avait 13 ans, il était Breton… et au fond, cela va suffire à trouver des circonstances atténuantes à la présumée violence meurtrière de Souleymane… Évidemment !

Pourquoi Valls n’est-il pas venu de suite ? Pourquoi ces communiqués larmoyants de la part de ce gouvernement qui ne s’est pas donné la peine de se déplacer avant la mort de ce gamin ? Terrible affaire à suivre… Mais gardez en mémoire les événements. Bienvenue dans le monde socialiste.

 

Source: http://www.nationspresse.info/?p=173762

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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 21:31
Les pompiers attaqués à Chanteloup-les-Vignes
Ils sont de plus en plus pris pour cibles lors de violences urbaines qui suscitent leur indignation. La police se dit solidaire.

 

Trop c'est trop! Les pompiers n'en peuvent plus d'être pris pour cibles par les bandes. Et ils entendent le dire avec force jeudi, à l'occasion d'une opération de communication orchestrée par leurs représentants syndicaux au niveau national. L'événement qui a mis le feu aux poudres est l'attaque de la caserne de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), dans la nuit de vendredi à samedi dernier. Un fait divers «occulté», à leurs yeux, et qui traduit, disent-ils, une dégradation significative du climat dans les quartiers sensibles.

«Jusqu'alors, alerte un pompier local, nous étions visés par des jets de projectiles lors de nos interventions au pied des barres, mais à Chanteloup, ce n'est plus un simple caillassage. C'est un assaut en règle que nous avons subi, le premier du genre, mené par une horde d'individus ivres de haine.» Ces débordements seraient consécutifs à une opération de police réalisée, ce soir-là, contre le trafic de drogue, dans la cité toute proche du quartier de La Noé. Une action de représailles de la pègre locale, en somme. «D'autant plus inadmissible qu'elle était dirigée contre des pompiers au seul motif qu'ils portent un uniforme», s'indigne Thierry Gerber, expert en sécurité auprès de la CGT.

Jean-Claude Delage, le patron du syndicat de gradés et gardiens Alliance (proche de la majorité), rappelle que des membres des forces de l'ordre ont également été agressés à Chanteloup, lors de cette intervention. «La police dérange parce qu'elle fait son travail», estime-t-il. Selon lui, un «stade supérieur» de la violence a été atteint cette nuit-là. Au lendemain de ces faits, le syndicat SGP-FO, majoritaire dans la police, avait diffusé, pour sa part, un communiqué, passé un peu inaperçu: «La Courneuve, Chanteloup-les-Vignes, Auxerre, Orléans, Lyon. La liste est longue et malheureusement loin d'être exhaustive. Chaque jour, chaque nuit, les représentants de l'État, policiers nationaux, gendarmes, pompiers, sont les victimes privilégiées de quelques voyous qui agissent toujours avec une très grande lâcheté», peut-on y lire.

 

«Il a fallu se barricader» 

 

«Les gars ont eu vraiment peur», raconte l'un des porte-parole des pompiers de Chanteloup-les-Vignes. «Les voyous des immeubles voisins sont arrivés à quarante, capuche sur la tête et écharpe nouée sur le visage pour ne pas être reconnus», raconte un soldat du feu. «Il y a trois ans, une poignée d'imbéciles avait bien brûlé une ambulance sur le parking, mais là, comme un commando, ils nous ont attaqués de tous côtés, à coups de pavés, de boules de pétanque et de cocktails Molotov», poursuit-il.

La petite douzaine de soldats du feu qui occupent cette caserne, imbriquée dans la cité, se croyait protégée par ses hauts murs et son portail métallique bien verrouillé. «Mais sous la pluie de projectiles, il a fallu se barricader», se souvient l'un d'eux. Les voyous tentaient d'empêcher les pompiers d'éteindre les cocktails Molotov qui s'enflammaient dans la cour. Chanteloup est l'une des rares casernes à disposer de caméras de surveillance. Mais en milieu hostile, leur effet dissuasif reste visiblement limité.

 

Source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/11/24/01016-20101124ARTFIG00714-les-pompiers-attaques-a-chanteloup-les-vignes.php

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 08:16

Étranger à nos mœurs, à notre histoire et à notre peuple, Pierre Nora (Ndlr. de l'Académie dite "française"...) dans une lettre ouverte au ministre de la culture Frédéric Mitterrand publiée dans l'édition du Monde du 11 novembre 2010, s’est élevé contre le projet de la Maison de l'histoire de France (projet qui figurait dans le programme du candidat Sarkozy en 2007), qui changerait pourtant un peu des musées de la shoah, de l’holocauste, du génocide, de l’immigration et de l’esclavage.

  

Ce musée « aura beaucoup de mal à se remettre de son origine impure et politicienne » affirme-t-il.

 

Il prétend que Sarközy « l'a lancé en janvier 2009, en pleine remontée du Front national et pour 'renforcer l'identité nationale'. Il s'est trouvé pris dans la lumière, ou plutôt dans l'ombre de cette funeste enquête sur ladite identité. C'est là son péché originel ». 

 

 

Sur le Figaro, vous pouvez veau-ter : "Etes-vous favorable à la création d'une Maison de l'histoire de France ?" Réponse : oui à 56, 60 % à cette heure-ci.

 

 

Sources : 1, 2

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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 11:41

En Israël, un rabbin colon auteur d'un livre justifiant le meurtre, de goys (non-juifs), y compris des enfants, a été arrêté jeudi par la police israélienne, a annoncé la radio militaire.

Ce rabbin, Yossef Elitzur, résidant dans la colonie d'Yitzhar dans le nord de la Cisjordanie et co-auteur d'un ouvrage intitulé "La Torah du roi", est soupçonné d'incitation à la haine raciale et à la violence.

Dans cet ouvrage publié au début de l'année, les rabbins Elitzur et Yitzhak Shapira affirment que les non-juifs ne sont pas, "par nature, sujets à la compassion" et que les attaquer "peut freiner leurs inclinations malignes", selon des extraits publiés par le quotidien Haaretz.

Les deux auteurs estiment également qu'il peut être licite de tuer les bébés et les enfants des "ennemis d'Israël car il est clair qu'ils nous porteront préjudice lorsqu'ils auront grandi". 

 

Rabbin Yosef Elitzur

 

"Partout où l'influence de goys constitue une menace pour la vie d'Israël, il est permis de les tuer, même s'il s'agit des Justes parmi les nations", soulignent ces rabbins en faisant allusion à ceux qui ont sauvé des juifs durant la Deuxième Guerre mondiale.

L'ouvrage a été publié avec l'imprimatur de deux autres rabbins plus connus, Dov Lior et Yaakov Yossef, fils du rabbin Ovadia Yossef, fondateur et chef spirituel du Shass, un parti ultra-orthodoxe représenté au gouvernement.

Ces deux rabbins ont refusé de répondre à une convocation de la police qui voulait leur demander des explications.

 

Sources : 1; 2; 3; 4; 5

 

Commentaire de Christ-Roi : tendre la joue gauche et prier pour ses ennemis contre la loi du talion on se demande bien qui est compassionnel et qui ne l'est pas ! ... Lire les enseignements du Talmud sur les Chrétiens : édifiant !

 

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Add. vendredi 20 août 2010 11:45

Le rabbin arrêté jeudi par la police israélienne, Yossef Elitzur, résidant dans la colonie d'Yitzhar dans le nord de la Cisjordanie occupée, a été libéré quelques heures plus tard, apprend-on vendredi auprès d'une association qui a pris sa défense.

 Le tribunal de Rishon Le Zion, au sud de Tel-Aviv, a ordonné sa libération reprochant à la police de ne pas l'avoir convoqué auparavant pour interrogatoire, selon un communiqué de l'association de juristes ultra-nationalistes Honenu.

Sources: 1; 2

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 08:08

Peu de personnes connaissent les propos qu’a tenu le professeur Noel Ignatiev dans le journal d’Harvard en septembre 2002, dont certains sont repris sur le site antifrançais « Indigènes de la République ». Ignatiev, américain d’origine russe juive, est chercheur à  l’Institut Dubois de Recherche Afro-Américaine.
 
- « Le Blanc est un oppresseur raciste, sexiste et homophobe ».
- « Il faut abolir la race blanche ».
- « Pour ce faire, les abolitionnistes ne doivent rejeter aucun moyen d’action. »
- « Le but d’abolir la race blanche est si désirable que certains pourraient trouver très dur à  croire qu’il y ait une opposition. Si des gens s’y opposent, alors ce sont des suprémacistes blancs. »
- « La clé pour résoudre les problèmes sociaux de notre temps est l’abolition de la race blanche ».
- « Ne vous trompez pas. Notre intention est de continuer à  frapper sur les mâles blancs, morts ou vifs, et les femmes blanches aussi, jusqu’à  ce que le concept social connu sous le nom de « race blanche » soit détruit : pas simplement « déconstruit » : détruit. »

 

Source

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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 15:34

La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) et le Mrap exigent le retrait d'une affiche électorale du Front national dans le sud-est de la France proclamant "Non à l'islamisme".

L'organisation a saisi le juge des référés du tribunal de grande instance de Marseille qui rendra sa décision lundi.

L'affiche, placardée par le mouvement de jeunesse du FN en Provence-Alpes-Côte d'Azur, représente une femme en burqa devant une carte de France recouverte d'un drapeau algérien et d'une demi-douzaine de minarets, à la manière de celles qui plaidaient pour le "oui" au référendum suisse de novembre dernier sur les minarets.

Pour slogan, on peut lire: "Non à l'islamisme, la jeunesse avec Jean-Marie Le Pen".

"C'est une mystification. C'est une caricature du message politique, une incitation à la haine raciale", a plaidé Me Michel Pezet, qui a réclamé au nom de la Licra son retrait de l'affichage et du site internet du Front national.

L'avocat du FN, Me Wallerand de Saint-Just, a pour sa part dénoncé le "procès d'intention" fait selon lui par l'organisation de défense des droits de l'homme. "Cette affaire n'attaque, en aucun cas, l'islam ou les musulmans, mais l'islamisme", a-t-il dit. "Pour essayer de la faire interdire, vous êtes obligés de torturer la liberté d'expression".

Tête de liste du FN dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Jean-Marie Le Pen a assisté à l'audience.

"Je suis venu dire non à l'emprise algérienne sur notre pays. Que chacun prenne ses responsabilités", a déclaré Jean-Marie Le Pen.

Sources :
1, 2, 3, 4

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14 janvier 2010 4 14 /01 /janvier /2010 18:11
Jessica Sebaoun-Darty et Jean Sarkozy viennent d’avoir leur premier enfant.

Le jeunes couple lui a donné le joli prénom de Solal. Après des recherches, il nous a fallu conclure qu’il n’existait pas de Saint Solal dans notre calendrier. En réalité, le prénom du chérubin est bien peu traditionnel dans notre pays mais très porté en Israël.
Précisons pour nos lecteurs peu ouverts sur les richesses culturelles du monde qu’il s’agit d’un prénom masculin.
En plein débat sur l’identité, la famille présidentielle apporte une réponse à tous les partisans de l’"identité française"...

Source
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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 20:50

Eric Besson, sinistre de l'Immigration avait déjà nié qu'il y ait un "peuple premier en France" dans l'émission de Jean-Jacques Bourdin sur Rmc-Info. Hier, mardi 5 janvier 2009, à la cité des 4.000 à La Courneuve en Seine-Saint-Denis (la cité que Nicolas Sarkozy voulait «nettoyer au kärcher» lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, en 2005)..., Eric Besson réitère sa négation du peuple français :

« [L]a France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage».

Une trentaine de personnes, principalement des hommes d'origine maghrébine ou africaine, de 30 à 40 ans, avaient fait le déplacement pour cette rencontre. Le débat était organisé dans une médiathèque au coeur de la cité. ... Le débat a duré plus d'une heure, dans le calme.

Source :
Le Parisien, 05.01.2010, 18h05 | Mise à jour : 20h36

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Martine Aubry : "L'identité de la France n'est pas ethnique, pas religieuse, pas culturelle"
- Le rêve égalitaire et libéral, racines du mal totalitaire détruisant le réel : les princes des nuées ou l'"art royal"
- "Changer le monde" avec les jeunes de l'Ump
- La France "ne se définit pas par rapport à un territoire et seulement à une histoire" (Michel Rocard)
-
Eric Besson : "Il n'y a pas de français de souche"
-
"Les Français sont des minables et négatifs" (Carla Bruni)
- Une France où l'expression "Français de souche" aura disparu... (Nicolas Sarkozy)

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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 19:43
Voici un communiqué remarquable de Marine Le Pen, "A Lorient : Sarkozy impose la loi des racailles" où elle nomme les choses par leur nom, dénonçant un racisme anti-français qui conduit Nicolas Sarkozy à s'en prendre aux victimes plutôt qu'aux agresseurs et une "escalade insupportable de la haine anti-française".

Source :
Communiqué de Presse de Marine LE PEN, Vice-Présidente du Front National

Après une série d’agressions perpétrées contre des soldats français par des bandes ethniques, les autorités militaires ont interdit aux 3 000 marins de Lorient la fréquentation nocturne d’une partie du centre-ville.

Face à la montée d’un racisme anti-français toujours plus violent et aux attaques répétées contre les symboles de la nation, Nicolas Sarkozy préfère s’en prendre aux victimes plutôt qu’à leurs agresseurs.

Marine Le Pen, vice-présidente du Front National, dénonce cette escalade insupportable de la haine anti-française qui se manifeste désormais dans toutes les villes de France.

Face à ce barbarisme ethnique qui ne connaît aucune limite comme on a pu le voir à Marseille, Roubaix ou encore Toulouse, elle en appelle à une réaction ferme et intransigeante de l’Etat.

Les Français ne sauraient tolérer encore plus longtemps d’être humiliés, insultés et méprisés dans leur propre pays et de devoir payer de leur liberté le laxisme criminel de l’Etat à l’égard des délinquants.
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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 12:50
"Je trouve ce débat inutile et dangereux", a déclaré sur France Inter Michel Rocard, interrogé sur "le grand débat sur l'identité nationale" lancé par le ministre de l'Immigration Eric Besson (ex-Parti socialiste) qui a chargé les préfets de l'organiser.

"La France, c'est l'ouverture permanente, c'est le changement constant" et l'idée de vouloir "formaliser" une identité nationale "me paraît dangereuse", a-t-il expliqué. Selon lui, la France est un pays qui "ne se définit pas par rapport à un territoire et seulement à une histoire. Il se définit par une manière d'être ensemble".

"Quand on veut s'isoler pour se définir, on renonce" à la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789 proclamant: "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits", a-t-il conclu.

(Fin de citation)

Fantastique inversion du socialiste Rocard qui n'en est pas à sa première imbécilité... Ne serait-ce pas plutôt la définition de l'identité nationale française et son affirmation qui précisément conditionnerait le respect des droits de l'homme, à commencer par le droit à la sûreté et à la sécurité ?

N'est-ce pas ce relativisme dans la définition de l'identité nationale qui légitime toutes sortes d'expressions anti-françaises ?  

La richesse et la diversité dans le monde n'impliquent-t-elles pas la reconnaissance des identités nationales de chaque nation et a fortiori celle de la France ? Pourquoi cet acharnement à nier l'être de la France ?

La négation des identités nationales n'ont-elles pas été dans l'histoire la source de graves conflits ?...
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 20:01


A comparer avec Jean Sévillia, Le Terrorisme intellectuel :

"Selon le discours en vogue, la France aurait toujours été un creuset de population. Du point de vue historique, cette assertion est fausse (Jacques Dupâquier, Histoire de la population française, PUF, 1995). Du VIe au XIXe siècle, le fond du peuple français est demeuré le même. Au XIXe siècle apparaît une immigration saisonnière, les travailleurs retournant dans leur pays après leur labeur. La première grande vague migratoire a lieu après la Iere Guerre mondiale. Elle est constituée d'Italiens, d'Espagnols, de Polonais et de ressortissants d'autres nations de l'Est. Ceux-ci s'assimilent peu à peu par le biais de l'école, du service militaire et de la guerre - certaines institutions exerçant une force intégratrice : l'Eglise catholique, les syndicats, et même le parti communiste. A partir de 1946, la seconde vague migratoire vient d'Algérie. Sous la IVe république, contrairement à ce qui se répète, ce n'est pas le patronat qui fait venir cette main d'oeuvre : ce sont les pouvoirs publics. ... Si l'immigration est officiellement interrompue en 1974, le regroupement familial autorisé en 1975, accroît dans les faits le nombre d'arrivants. D'autres courants migratoires apparaissent, issus d'Afrique noire ou d'Asie. Et en vertu de la loi, tout enfant né en France de parents étrangers peut, à sa majorité, accéder à la nationalité française" (Jean Sévillia, Le Terrorisme intellectuel, Collection Tempus Perrin, Paris 2004, p. 141).



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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 09:21
Eric Bessona ouvertle lundi 2 novembre 2009 le "grand débat sur l'identité nationale", qui se déroulera jusqu'au 31 janvier 2009.

Le débat est ouvert à l'ensemble des "concitoyens" par l'intermédiaire d'un site Internet, mis en ligne le 2 novembre 2009, à l'adresse suivante :
www.debatidentitenationale.fr". Ne doutons pas un instant de l'authenticité des réponses qui y seront présentées...

"Dans un premier temps, le site diffusera des questions et propositions soumises au débat, un appel à contribution, une sélection de contributions reçues, des prises de position de personnalités, une sélection de textes de références, ainsi que le calendrier et le compte rendu des réunions locales. Dans un second temps, dans un délai de deux semaines, un forum interactif et un questionnaire à choix multiples seront mis en ligne afin d'animer le débat auprès des internautes".

La synthèse du pseudo débat sera présentée par le ministre à l'occasion d'un colloque organisé le 4 février 2010.

Pour mémoire (ce qu'ils entendent par "identité nationale" et pour laquelle les Français ont voté pour Sarkozy en 2007) :


"Notre nation est métissée. L'immigration constitue une source d'enrichissement permanent de notre 'identité nationale'. ... Je suis un homme de sang mêlé à la tête d'une nation métissée..."  (Lettre de mission du j.:.uif Nicolas Nagy Bocsaï Sarközy SS au j.:.uif Eric Besson SS).

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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 07:29

Ignorant depuis des mois les dizaines de profanations de cimetières, d'églises et de calvaires catholiques (voir ici ou ), le Chef de l'Etat a encore eu la larme à l'oeil aujourd'hui pour des tags sur une mosquée :

"Le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy m'a informé de l'indignation du président de la Republique et de sa détermination à trouver et à faire punir les coupables".

S'il a raison de réagir contre ce genre de forfait, preuve est faite qu'il en est capable et nul ne nous fera croire qu'il n'est pas au courant des violations en tout genre d'édifices catholiques (Votre blog est lu dans plusieurs ministères). Son silence est coupable. Que celui qui en doute, adresse à Nicolas Sarkozy les profanations perpétrées contre l'Eglise catholique et attende sa réaction. Le Salon Beige

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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 07:26

Il n'avait rien fait lorsque le curé avait été menacé, caillassé et obligé de fuir de la ville. Mais des tags sur la mosquée ont obligé Brice Hortefeux à rédiger un courrier indigné promettant une réaction déterminée des services de police :

"rien ne saurait venir troubler la quiétude que la République garantit à l'exercice des cultes".

Si quelqu'un comprend encore quelque chose à la laïcité à la française. Le Salon Beige

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7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 19:15

En janvier 2008 dans le Daily Mail, Carla Bruni explique trouver les Français “minables”, “négatifs” et “toujours de mauvaise humeur”. La capitale, elle, est “d’une pollution intolérable”. Pour elle, “vivre en plein centre de Paris est vraiment très dur, insupportable”.

C'est sans doute pour cela que les prix de l'immobilier y atteignent des sommets !

Toutefois, elle dresse un portait élogieux de Nicolas Sarkozy, avec qui elle ne vit pas encore à l'époque. Elle compare le président français à Prince et à Napoléon !

Pour finir, elle déclare qu’elle ne se sent absolument pas française. E-deo

Et les Juifs, Carla Sarkozy les trouve comment ?

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22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 18:53
Carla Bruni (mannequin et auteur-compositrice-interprète française née italienne, 1967)


"Les Français sont des minables et négatifs."

Carla Bruni interview au dailynews le 19 Janvier 2008
Source :
Devoir de mémoire
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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 13:20



Ces trois hommes disent la vérité naturelle (l’occupation de la France par l’entité atlanto-sioniste). Cette vérité est comme à mi chemin de la Vérité surnaturelle (la Libération par la déclaration du “Christ Roi de France” selon la formule de la sainte Patronne de la Patrie). Hormis le vote (qui est une participation au système "libéral" et matérialiste), je n’ai rien trouvé de contestable dans leur argumentation. Sauf qu'un combat politique fondé exclusivement sur la dénonciation du mal n’est pas un programme politique, tout au plus une plateforme politique. Mais il se peut que, du fait même de la difficulté - je dirai surnaturelle - à comprendre l'enjeu titanesque qui se joue en ce moment, ces trois hommes n’entendent pour l’instant rien d’autre que cela, réunir les personnes autour d’une plateforme politique qui permettra ensuite de remettre la France à sa place.

Un bémol au discours de la "France black blanc beur" que Soral met en avant (2e video), comme le disait de Gaulle, les Français sont "quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.” (Cité dans Alain Peyrefitte, C'était de Gaulle). Cette définition du peuple français est la meilleure que je connaisse. Toute politique tendant à transformer cette réalité pour faire des Français un peuple gris, intégrationné, mélangé, métissé, ré-éduqué, multiracial et multiculturel (sauf en Israël, "Etat juif pour les Juifs" bien évidemment) est un attentat contre notre identité, une négation de la réalité du peuple Français depuis quinze siècles, que seuls les sionistes ont porté jusqu’ici. Donc attention à ne pas reproduire sur ce point, ici en France, un défaut que nous critiquons chez nos oppresseurs.

Reste à établir LE PROGRAMME qui restaurera la France dans son essence. Le président du Centre Zahra, même si musulman, a compris que le salut de la Palestine et du monde passe par le salut de la France. Ses propos trouvent un echos dans la déclaration il y a neuf siècles du pape
Grégoire IX à saint Louis roi de France, le 21 octobre 1239 : “Dieu, auquel obéissent les légions célestes, ayant établi ici-bas des royaumes différents, suivant la diversité des langues et des climats, a conféré à un grand nombre de gouvernements des missions spéciales pour l’accomplissement de Ses desseins. Et, comme autrefois, Il préféra la tribu de Juda à celles des autres fils de Jacob et comme Il la gratifia de bénédictions spéciales, ainsi Il choisit la France de préférence à toutes les autres nations de la terre, pour la protection de la foi catholique et pour la défense de la liberté religieuse. Pour ce motif, la France est le Royaume de Dieu même, les ennemis de la France sont les ennemis du Christ.”

Daigne Dieu faire comprendre à ces trois hommes qu'Il veut régner sur la France comme avant 1789, date de naissance de l'occupation sioniste.

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24 avril 2009 5 24 /04 /avril /2009 10:54
Esther Benbassa dans un article intitulé "L'égalité par l'"action positive", paru dans l'édition du Monde du 18.04.09, se targue de défendre une "France fraternelle et solidaire" (sic) tout en appelant à en finir avec une certaine France, l'"aristocratie blance" ! Elle dit défendre une "action positive" tout en prônant l'exclusion des blancs. Est-ce tolérable?

Esther Benbassa dans le texte :

Discrimination et racisme sont le couple infernal qui bloque la créativité de tant de pays européens, arc-boutés sur leur "aristocratie" blanche, sortie du moule, amollie par le bien-être, dominante dans les corps de l'Etat mais aussi au-delà.

... Je suis femme, juive, française, plutôt blanche, franchement cosmopolite (au meilleur sens !), pas mal diplômée, j'ai aussi un accent et je suis une immigrée qui vit depuis plus de trente-cinq ans en France.

... Je suis de gauche, professeur d'université, j'ai passé quelques concours pour y arriver et je me sens à l'aise dans nombre de pays, y compris en France, dès que je descends de l'avion.

...
est-on donc condamné à rester à jamais l'"immigré" de l'Autre, du Français sans tache ? Finissons-en avec cette France-là. Tentons d'oeuvrer pour une République vraiment indivisible, celle qui reconnaît l'égalité de tous ses citoyens, une France fraternelle et solidaire. Moi, l'immigrée d'origine, j'aimerai vivre alors dans cette France dont j'ai rêvé, et qui me déçoit tant depuis que j'y ai fait mes premiers pas. Fin de citation.
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23 décembre 2008 2 23 /12 /décembre /2008 09:11
avez-vous entendu parler de cette tentative d'assassinat ?

Si non, comparez avec le bruit médiatique que peut faire la profanation d'une tombe juive ou musulmane.

Non seulement il y a quelque chose de pourri dans les médias français (on le savait depuis longtemps), mais les choses atteignent ici un degré vraiment impressionnant : on a l'impression que, dans un avenir assez proche, l'assassinat des personnes n'appartenant pas aux communautés protégées par la HALDE pourra se faire le plus tranquillement du monde, sans émouvoir personne…

Un ami m'affirmait récemment qu'on allait vers des massacres généralisés à côté desquels les heures les plus noires de notre histoire (les années 1789-1795, bien sûr) paraîtront des amusements d'enfants de chœur.

Je crains de plus en plus qu'il ait raison… Via le
Forum catholique
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27 août 2007 1 27 /08 /août /2007 21:23
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27 août 2007 1 27 /08 /août /2007 09:31

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