Rav David Zaoui, chargé de mission du Rabbi de Loubavitch MhM chlita à Neuilly sur Seine et le président Nicolas Sarkozy
« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
1988 : le Dr Ellen Grant, gynécologue véritable apôtre de la contraception hormonale, sonne le tocsin avec son livre "Bitter Pill". Elle dénonce les dangers de phlébite, d'accidents vasculaires cérébraux, d'infarctus du coeur chez des femmes jeunes, de cancers du sein et de l'utérus: "Prenez-la le moins longtemps possible!" Ce livre est courageusement préfacé par le Professeur Lucien Israël qui confirme la mise en garde.
Mais, désinformation oblige, aucun grand média ne reprend l'information. Les directeurs de magazines féminins refusent de la diffuser jusqu'au jour où plusieurs de leurs collaboratrices très jeunes sont atteintes de cancer du sein. Le nombre de nouveaux cas de femmes atteintes de cancer du sein ne cesse de croître. En 1975, 7 000 cas sont découverts. En 2008 nous en sommes certainement à 53 000 nouveaux cas, découverts chez des femmes de plus en plus jeunes.
En 20 ans, le livre du Dr Ellen Grant n'a pas pris une ride. Toutes ses données scientifiques ont été confirmées. Ce qu'écrivait le Professeur Lucien Israël dans sa préface est devenue réalité. La pilule est vraiment dangereuse pour la santé ! Même mini-dosée... Plus d'infos. Commander le livre Amère Pilule.
Source
- Prophéties de Paul VI sur la contraception et la société du "plaisir égoïste"
Les tabous de l'intégration
Merci à Reconquista
Jean Raspail sur le royalisme
Jean Raspail explique les raisons qui ont fait de lui un royaliste.
Source : Action française Via E-Deo
- Jean Raspail, citation (sur le nouvel ordre mondial)
- Jean Raspail, site officiel : http://jeanraspail.free.fr/
- Jean Raspail : "La Patrie trahie par la République"
- Qu'est-ce que la royauté ?
- Avantages de la monarchie
Jusqu’ici, les polémiques autour de cette méthode, quoique alarmantes, étaient de nature surtout académique (b). Aux arguments qui s’opposaient, on pouvait toujours reprocher de ne raisonner que sur des faits de laboratoire et des idées théoriques : il leur manquait l’éloquence du résultat. La méthode globale étant une méthode d’enseignement de la lecture, la question est simple et claire : apprend-on mieux à lire avec elle qu’avec la méthode syllabique employée jusqu’alors ?
Un verdict accablant
Le verdict, le voici : il est accablant.
La méthode globale fut introduite aux Etats-Unis au cours des années 30.
Les pédagogues américains, soucieux de juger de l’arbre à ses fruits, procédèrent alors dans leurs écoles à des bilans statistiques avec, notamment, le test d’intelligence de Binet-Stanford. Ce test comportant des épreuves standard de lecture, on possède, dûment chiffrés, les résultats obtenus dans les écoles primaires américaines à cette époque. Il suffit, pour comparer, de faire subir maintenant aux élèves des mêmes écoles primaires exactement le même test.
Ce qui vient d’être fait en Californie. Résultat : les enfants américains de 1970 lisent à douze ans comme les enfants américains de 1937 à dix ans. Il s’agit, soulignons-le, d’une moyenne, non de cas particuliers choisis en vue d’une démonstration quelconque.
Les éducateurs américains ont voulu être sûrs que la cause de cet effondrement était bien la méthode globale. Ils ont donc procédé à une enquête approfondie sur les circonstances et concomitances de l’effondrement constaté. Leurs expériences ont mis en relief deux catégories de concomitances :
1. L’influence de la télévision. Les enfants, jadis, avaient envie d’apprendre à lire parce qu’ils avaient envie de lire. La télévision satisfait leur goût de l’imaginaire sans leur demander aucun effort.
2. La psychanalyse freudienne vulgarisée dans les familles par des best-sellers comme le livre du docteur Spock [1] où l’on explique aux parents que l’enfant est horriblement menacé de « traumatismes » et de « complexes » si on lui impose le moindre effort ou la moindre contrainte. (On sait que les Européens sont toujours choqués par les manières des petits Américains et le laisser-aller où ils grandissent.)
Ces deux causes suffisent-elles à expliquer la dramatique progression de l’analphabétisation dans le pays le plus avancé du monde ?
Remarquons d’abord que la méthode globale agit dans le même sens que ces deux causes. Comme la télévision, elle tend à remplacer l’abstraction de l’analyse syllabique par l’image ; et comme la psychanalyse, elle flatte les tendances de l’enfant à la vision synthétique et sa répugnance à l’analyse. En fait, les trois causes concourent à un même effet, celui d’enfoncer l’enfant dans sa condition infantile en retardant ses premiers contacts avec les structures rationnelles. Elles encouragent ses tendances à la subjectivité et à l’irrationalisme.
Reviendrons-nous à l’idéogramme ?
Cependant, ceci n’est qu’un raisonnement « a priori ». La preuve expérimentale, bien plus convaincante, a été administrée par un psychologue de l’Université de Pennsylvanie, le docteur Paul Rozin. Rozin a tout simplement appris à des enfants profondément dyslexiques la lecture du chinois, ou plus exactement de l’anglais écrit en chinois (c ). Le chinois, comme on sait, est idéographique, c’est-à-dire qu’il écrit l’idée, non le son. Et sa lecture est par excellence une lecture globale. Les enfants y sont très bien arrivés. Mais leur dyslexie s’est montrée irréductible à l’égard de l’anglais enseigné par la méthode globale. La conclusion est évidente : cette méthode est un leurre et le restera tant que l’on écrira l’anglais (et toutes les langues occidentales) avec un alphabet.
Si l’on renonce à la méthode syllabique, il faut donc revenir à l’idéogramme : allons, un petit effort, messieurs les Réformateurs, il ne s’agit que d’un retour de trois mille ans en arrière, aux hiéroglyphes égyptiens et aux cunéiformes babyloniens.
Au fait, quelqu’un de ces réformateurs s’est-il demandé pourquoi les civilisations les plus primitives ont toujours commencé par la méthode globale et progressé ensuite vers la méthode syllabique. Et pourquoi l’invention de l’alphabet avantagea tellement les Sémites et les Grecs que leurs civilisations respectives ont ensemble conquis l’univers ? Mais il ne sert à rien de poser ces questions et mille autres semblables. La méthode globale, comme l’enseignement des ensembles, c’est l’expression d’une mentalité. Et cela ne se discute pas.
SourceLes exhortations au chapelet quotidien de Notre Dame du Rosaire à Fatima
13 mai 1917 : « Récitez le chapelet tous les jours, afin d’obtenir la paix pour le monde et la fin de la guerre ».
13 juin 1917 : « Je veux … que vous disiez le chapelet tous les jours ».
13 juillet 1917 : « Je veux … que vous continuiez à réciter le chapelet tous les jours en l’honneur de Notre Dame du Rosaire, pour obtenir la paix du monde et la fin de la guerre, parce qu’elle seule pourra vous secourir ».
19 août 1917 : « Je veux … que vous continuiez à réciter le chapelet tous les jours ».
13 septembre 1917 : « Continuez à réciter le chapelet afin d’obtenir la fin de la guerre ».
Commentaire de Sœur Lucie de Fatima sur ces paroles de Notre Dame :
« Le Message nous demande la persévérance dans la prière, c’est-à-dire de continuer à prier pour obtenir la fin de la guerre. Il est vrai qu’à cette époque-là, le Message parlait de la guerre mondiale qui tourmentait alors l’humanité. Mais cette guerre est aussi le symbole de beaucoup d’autres guerres qui nous entourent et dont nous avons besoin de voir la fin, par notre prière et notre sacrifice. Je pense aux guerres que nous font les ennemis de notre salut éternel : le démon, le monde et notre propre nature charnelle » (Appels du Message de Fatima, 1ère édition française de juillet 2003, chapitre XVI : Appel à la persévérance dans le bien, page 157).
13 octobre 1917 : « Que l’on continue toujours à réciter le chapelet tous les jours ».
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« Que l’on récite le chapelet tous les jours. Notre Dame a répété cela dans toutes ses apparitions, comme pour nous prémunir contre ces temps de désorientation diabolique, pour que nous ne nous laissions pas tromper par de fausses doctrines et que, par le moyen de la prière, l’élévation de notre âme vers Dieu ne s’amoindrisse pas. » (Lettre de Sœur Lucie, du 12 avril 1970, à Maria Teresa da Cunha, l’une de ses amies, engagée avec zèle dans la défense de la dévotion mariale)
« Je vois par votre lettre que vous êtes préoccupé par la désorientation de notre temps. Il est triste en effet que tant de personnes se laissent dominer par la vague diabolique qui balaye le monde et qu’elles soient aveuglées au point d’être incapables de voir l’erreur ! Leur faute principale est qu’elles ont abandonné la prière ; elles se sont ainsi éloignées de Dieu, et sans Dieu, tout leur fait défaut : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » […].
Le diable est très rusé et cherche nos points faibles afin de nous attaquer. Si nous ne sommes pas appliqués et attentifs à obtenir de Dieu la force, nous tomberons, car notre temps est très mauvais et nous sommes faibles. Seule la force de Dieu peut nous tenir debout. » (Lettre de Sœur Lucie, du 13 avril 1971, au Père José Valinho, salésien, l’un de ses trois neveux prêtres)
« […] Ce que quelques désorientés ont répandu contre la récitation du chapelet est faux. La lumière du soleil est plus ancienne que la récitation du chapelet, et ils ne veulent pas cesser de bénéficier de son éclat ; plus anciens sont les psaumes et, eux aussi, comme les prières qui constituent le chapelet, font partie de la liturgie sacrée.
La répétition des Ave Maria, Pater noster et Gloria Patri est la chaîne qui nous élève jusqu’à Dieu et nous attache à lui, nous donnant une participation à sa vie divine, comme la répétition des bouchées de pain dont nous nous nourrissons entretient en nous la vie naturelle, et nous n’appelons pas cela une chose surannée !
Cette désorientation est diabolique ! Ne vous laissez pas tromper. » (Lettre de Sœur Lucie, du 29 décembre 1969, à l’un de ses trois neveux prêtres)
Source (et suite)
"Nous recourons à vous dans notre tribulation, ô bien-heureux Joseph : et, après avoir imploré le secours de votre sainte Epouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage. Par l'affection qui vous a uni à la Vierge Immaculée, Mère de Dieu; par l'amour paternel, dont vous avez entouré l'Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l'héritage, que Jésus-Christ a conquis au prix de son sang, et de nous assister de votre puissance et de votre secours, dans nos besoins.
Protégez, ô très sage gardien de la divine Famille, la race élue de Jésus-Christ. Préservez-nous, ô Père très aimant, de toute souillure d'erreur et de corruption, soyez-nous favorable, ô notre très puissant libérateur. Du haut du ciel, assistez-nous dans le combat, que nous livrons à la puissance des ténèbres; et de même que vous avez arraché autrefois l'Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd'hui la Sainte Eglise de Dieu, des embûches de l'ennemi et de toute adversité. Couvrez chacun de nous de votre perpétuelle protection, afin que, à votre exemple, et soutenus par votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir, et obtenir la béatitude éternelle. Ainsi soit-il."
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- Neuvaine à Saint-Joseph
Environ 200 manifestants se sont rassemblés pour protester contre la réception de Simone Veil à l’Académie française.
Les chapelets ont alterné avec les harangues de prêtres ou de laïcs tel le célèbre Docteur Dor. L’abbé Beauvais, curé de Saint Nicolas du Chardonnet, a pour sa part prononcé une allocution remarquée durant laquelle il interpella l’avorteuse en lui rappelant le poids de ses actes.
Le rassemblement devait se faire face à l’Académie injuriée, mais la préfecture l’a déplacé de l’autre côté de la Seine, avant de lui interdire l’utilisation de sa sono ! Il ne fallait surtout pas que le grand raout républicain fut troublé, d’aucune façon. D’où une attitude hostile et nerveuse de la part des gendarmes mobiles présents, en parfait décalage avec l’ambiance du rassemblement…
Rappelons que l’Académie française est une institution ayant pour but premier de veiller sur la langue française, dont les membres « ont tous illustré particulièrement la langue française ». C’est le critère d’entrée officiel.
Or il semble que les principaux talents et faits d’armes de Simone Veil sont d’avoir été déportée, d’avoir promu le « droit à l’avortement » (et donc le génocide que nous connaissons) et d’avoir été une militante européiste acharnée.
Tout porte à croire que l’Académie française change de vocation, pour devenir une sorte de temple honorifique des grandes figures du Système, avant que leur dépouille finisse dans l’église Sainte Geneviève (renommée « Panthéon »).
Selon la réponse donnée en 1998 par la Congrégation pour la doctrine de la foi, présidée à l'époque par le cardinal Joseph Ratzinger, les pèlerinages officiels, notamment diocésains, ne sont pas autorisés, mais les pèlerinages privés encadrés par des prêtres sont permis, à condition qu’ils ne soient pas considérés comme une authentification d’événements en cours qui demandent un examen par l’Église.
En juillet 2009, un nouveau coup dur est porté à la reconnaissance officielle des apparitions de Medjugorje. Le prêtre franciscain Tomislav Vlasic, qui a été durant plusieurs années le directeur spirituel des six voyants de Medjugorje et qui a déjà fait l'objet d'une sanction en 2008, est réduit définitivement à l'état laïc par le pape Benoît XVI. Tomislav Vlasic est accusé d'« immoralité sexuelle » et de « manipulation des consciences ». De plus, il doit se soumettre à un certain nombre de restrictions sous peine d'excommunication (Nicolas Seneze, « Le prêtre accompagnateur des voyants de Medjugorje sanctionné par Rome », dans La Croix, 29 juillet 2009). Cette situation est en contradiction avec les déclarations qu'aurait tenues la Vierge, selon les voyants de Medjugorje, à propos du père Vlasic, tels que « Remerciez Tomislav [Vlasic], qui vous guide si bien ! » (message du 28 février 1982), « Tomislav [Vlasic] a bien commencé, qu'il continue ! Il est sur la bonne voie. » (septembre 1983) [Source : René Laurentin, Message et pédagogie de Marie à Medjugorje. Corpus chronologique des messages, FX de Guibert, 1990, p. 129 et 179]. Enfin, lui-même se présente comme « Celui qui, par la divine Providence, dirige les voyants de Medjugorje » (Lettre de Tomislav Vlasic à Jean-Paul II, 13 avril 1984).
La vie des voyants est un autre sujet d'interpellation au sein de l'Eglise. A l'inverse de Bernadette Soubirous ou Lúcia de Jesus dos Santos, aucun des voyants n'a choisi un état de vie religieux ou relativement modeste. Ils sont tous mariés et ont des enfants, Ivan Dragičević a notamment épousé une ancienne Miss Massachusetts. De plus, ils se sont considérablement enrichis grâce aux nombreuses conférences, produits dérivés et spectacles autour de Medjugorje.
Contrairement à ce qui est affirmé ici ou là, les prêtres ne sont pas autorisés à porter n'importe quel vêtement : ils doivent porter un vêtement qui les distingue, qui permet de les reconnaître, et qui doit être le même pour tous.
Voici à ce sujet ce que rappelle le Magistère :
"Obligation de l'habit ecclésiastique
Dans une société sécularisée et qui tend au matérialisme, où les signes extérieurs des réalités sacrées et surnaturelles disparaissent souvent, on ressent aujourd'hui particulièrement la nécessité que le prêtre - homme de Dieu, dispensateur de ses mystères - soit reconnaissable par la communauté, également grâce à l'habit qu'il porte, signe sans équivoque de son dévouement et de son identité de détenteur d'un ministère public. Le prêtre doit être reconnu avant tout par son comportement mais aussi par sa façon de se vêtir, pour rendre immédiatement perceptible à tout fidèle et même à tout homme son identité et son appartenance à Dieu et à l'Eglise.
Pour cette raison, le prêtre doit porter "un habit ecclésiastique digne, selon les normes indiquées par la conférence épiscopale et selon les coutumes locales légitimes". (Cf. Droit canonique) Cela signifie que, lorsque l'habit n'est pas la soutane, il doit être différent de la manière de se vêtir des laïcs, et conforme à la dignité et la sacralité du ministère. La coupe et la couleur doivent en être établies par la conférence épiscopale, toujours en harmonie avec les dispositions du droit universel."
Le simple complet-veston gris ne saurait être le vêtement des clercs puisqu'il n'est pas différent de la manière de se vêtir des laïcs. Il faut au moins que sa coupe soit spécifique. Quant à la chemise-cravate, on n'en parle même pas... tout comme les chemises à col romain dont les couleurs sont des plus fantaisistes.
La petite croix portée sur le revers de la veste ne suffit pas non plus à transformer un vêtement laïc en vêtement de clerc: elle reste un signe que tout le monde peut porter. (Rappelons aussi en passant qu'il n'est pas permis le porter l'étole ou la croix pectorale sur un vêtement civil.)
Le texte magistériel poursuit: "A cause de leur incohérence avec l'esprit de cette discipline, les pratiques contraires ne peuvent être considérées comme des coutumes légitimes et doivent être supprimées par l'autorité compétente. Sauf des situations totalement exceptionnelles, ne pas utiliser l'habit ecclésiastique peut manifester chez le clerc un faible sens de son identité de pasteur entièrement disponible au service de l'Eglise." (Cf. Congrégation pour le Clergé, Directoire pour le Ministère et la Vie des Prêtres, 31 janvier 1994.)
De violents affrontements ont éclaté entre manifestants palestiniens et l’armée et la police israélienne au lendemain de l’inauguration provocatrice de la synagogue de « Hourva », à proximité de la mosquée d’al-Aqsa.
Des juifs extrémistes ont distribués des tracts dans le quartier arabe d’Al-Qods (Jérusalem), à l’occasion de l’inauguration de la synagogue de « Hourva », proche de la mosquée sainte d’al-Aqsa, qui indiquaient : « La Torah dit que la terre d’Israël est un territoire qui représente la propriété des juif seulement, et que les autres peuples ne doivent pas habiter dans ces terres ».
Ce tract prétend également que « le peuple juif a été éloigné de ses terre depuis plus de 1000 ans, et qu’il est maintenant venu le temps de son retour. En conséquence, les Palestiniens doivent quitter la ville ».
Il a considéré que ces « agressions représentent une tentative du gouvernement Netanyahou pour garantir une majorité juive dans à Al-Qods (Jérusalem) afin d’empêcher la possibilité de créer la capitale palestinienne dans la partie Est de la ville. »
Khaled Mechâal, chef du bureau politique du mouvement de résistance Hamas, a affirmé que « le gouvernement d’occupation joue avec le feu, à travers les mesures prises, et suscite la colère des Palestiniens d’al-Quds occupée », prévenant « contre la première étincelle qui mènera la région à l’explosion ».
De son coté, le secrétaire général du Jihad Islamique, Ramadan Chalah, a affirmé que le silence face aux agressions israéliennes contre Al-Qods (Jérusalem) et la mosquée d’Al-Aqsa avait pour but d’ouvrir la voie à l’expulsion collective du peuple palestinien de ses territoires.
Il faut se pincer pour le croire : les États-Unis ont rejeté lundi les critiques palestiniennes à l’encontre des israéliens.
« Nous trouvons profondément dérangeantes les déclarations de plusieurs responsables palestiniens présentant sous un jour erroné cette manifestation, ce qui ne peut qu’accroître les tensions que l’on voit », a dit Philip Crowley, le porte-parole du département d’État.
Crowley a ajouté que « toutes les parties devaient faire le nécessaire pour maintenir leur calme ». Pire encore, il a demandé « aux responsables palestiniens de mettre fin à leurs provocations ».
Il n’est pas inutile de rappeler que la tension entre Palestiniens et Israéliens étaient également montée la semaine dernière avec le feu vert donné par le ministère israélien de l’Intérieur à la construction de 1.600 logements pour des colons dans la partie orientale de Jérusalem occupée.
Ce soir (et malgré les déclarations atlanto-onusiennes de dissensions, oppositions factices servant de paravent "démocratique"), les États-Unis ont réaffirmé leur « soutien indestructible » envers Israël.
Source
- IIIe Guerre mondiale : ils envoient les autres combattre et mourir pour eux
- Jérusalem-est : annexion en cours
- Reconstruction du temple de Jérusalem, intervention russe ?
- N.O.M. et religion mondiale à Jérusalem