« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
Christ Roi
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Cet article de Frédéric Mounier qui nous a déjà fort instruits (Présent du 5 et du 6 février) nous apprend encore autre chose.
Dès le 20 janvier, à propos de la réception par le Pape de trois prélats français, l’article en question nous avait avertis : ces trois-là se sont efforcés de faire valoir à Rome que, « selon les évêques », les groupes de fidèles qui réclament la messe traditionnelle « s’enracinent dans un terreau idéologique et politique proche du maurrassisme » ; mais les trois Français ont dû constater que « Maurras est peu connu au Vatican ».
Traduction : ils ont parlé de la nuisance maurrassienne contre laquelle, selon eux, il faut élever une condamnation solennelle ; mais on leur a répondu qu’on voyait mal en quoi une telle condamnation pourrait paraître urgente.
L’hostilité du noyau dirigeant de l’épiscopat français à l’égard du « courant maurrassien » est allée jusqu’à l’exacerbation manifestée par le cardinal Lustiger et ses vociférations contre « le néo-paganisme anti-chrétien de l’Action française ». L’abbé Vingt-Trois, on le sait, fut le disciple du cardinal Lustiger et il est l’hériter de son extrémisme, qui a prolongé les incroyables calomnies lancées contre Maurras, en 1926, par le cardinal Andrieu et approuvées par Pie XI. L’un et l’autre avaient silencieusement abandonné ces outrances dès 1927, ils ne les avaient cependant pas rétractées ni réparées, comme si leurs hautes fonctions surnaturelles les dispensaient des obligations les plus certaines de la loi naturelle. Bien que Pie XII ait entièrement levé en 1939 l’injuste condamnation de l’Action française, le parti démocrate-chrétien n’a jamais cessé de rabâcher contre la pensée de Charles Maurras les mêmes diffamations.
Le climat intellectuel du journal La Croix est de redouter en permanence la pensée contre-révolutionnaire de Maurras et de la soupçonner un peu partout. Par exemple à propos du rapprochement entre le Saint-Siège et l’Eglise orthodoxe de Moscou : Isabelle de Gaulmyn explique que le rapprochement n’est guère « théologique », mais qu’il est « en train de se jouer autour de l’éthique et de la conception du monde » (ce qui est exact, mais qui s’appelle un rapprochement sur la loi naturelle, selon l’orientation stricte donnée par Benoît XVI à l’œcuménisme). Bon, mais là-dessus Isabelle de Gaulmyn se met à « trouver dommage » qu’un tel rapprochement « se réduise à une nouvelle sainte-alliance contre la modernité ». Elle écrit « sainte-alliance » entre guillemets dans le texte et sans guillemets dans le titre. Une nouvelle sainte-alliance ! L’expression est inadéquate en ce que la Sainte-Alliance du XIXe siècle fut entre des pouvoirs temporels chrétiens et non pas entre des confessions religieuses. Mais il est bien vrai qu’aujourd’hui comme hier et comme demain, l’affrontement réel a été, est et sera entre la modernité et la loi naturelle.
Quoi qu’il en soit de la vitalité et de l’influence du « courant maurrassien », variables selon les saisons, la connivence intellectuelle entre saint Pie X et Maurras est évidente, bien qu’ils ne se soient jamais rencontrés, elle fut un cas particulier de l’homogénéité mentale entre le thomisme et le maurrassisme, entre la philosophie contre-révolutionnaire et la loi naturelle. Le clergé qui veut condamner Maurras est celui qui réhabilita Luther et qui accompagne Marx. Mais l’Eglise est naturellement et surnaturellement contre-révolutionnaire. Quand son clergé l’oublie, il perd une conscience claire de son identité.
«Je ne résiste pas à Solferino mais à Martine Aubry. Elle est l'élue de la fraude au Parti socialiste. Elle ne fait que passer. Elle m'utilise comme punching-ball pour sa campagne des présidentielles. Elle essaie de m'utiliser pour prendre de l'avance sur Strauss-Kahn, Ségolène Royal ou Hollande», a ironisé Georges Frêche.
Interrogé sur ses dérapages, il s'est indigné : «Je ne présente aucune excuse. Je parle le français et pas cette espèce de langue formée que parlent les politiques parisiens.» Bref, Frêche ne fléchit pas : « Je compte finir bien au-delà de 40 % : 44 % ou 45 %.»
Source :Le Figaro, Frêche : Martine Aubry est «l'élue de la fraude», Nicolas Barotte et François-Xavier Bourmaud, 09/02/2010 | Mise à jour : 21:30
Rappel : pour connaître la technique de Georges Frêche pour se faire élire "par les cons" et autres "connards" (sic)..., écoutez sa leçon de démocratie (enregistrement d'un cours donné à ses étudiants) :
Georges Frêche: "J'ai toujours été élu par une majorité de cons"
Dimanche 14 février à 14h, des extrémistes homosexuels ont prévu de se rassembler juste devant Notre-Dame de Paris pour... s'embrasser sur la bouche durant 5 minutes.
... Etrangement, les extrémistes de la cause homosexuelle ne se rassemblent pas devant la Grande mosquée de Paris. Or, c'est en pays musulmans (où s'applique la Charia) que sont exécutés des homosexuels !
En réalité, les initiateurs de ce rassemblement savent qu'ils ne risquent rien en se moquant des catholiques. On lit d'ailleurs dans Têtu qu'Arthur Vauthier "ne craint pas les réactions hostiles".
Ne laissons pas certains groupuscules prendre la mauvaise habitude de venir nous insulter devant nos églises.
Rendez-vous dimanche à Notre-Dame pour la messe de 12h45, de façon spontanée ou avec une association, pour répondre avec fermeté et courtoisie aux provocateurs ! Source :E-Deo Défendons Notre-Dame!
"La désinformation est une manipulation de l'opinion publique, à des fins politiques, avec une information traitée par des moyens détournés. » ... le plus souvent la désinformation consiste à saturer l’espace médiatique d’informations anecdotiques ou secondaires au détriment d’autres faits plus porteurs de sens ; l’autocensure d’un côté, le passage en boucle d’informations secondaires de l’autre sont deux moyens implicites de désinformation. Les émissions de « téléréalité » et les « docufictions » visent le même objectif : brouiller l’image du réel..."Source
Sur l'autocensure :
"Se laisser imposer le vocabulaire de l'adversaire, c'est déjà, dans une guerre idéologique, perdre la moitié de la bataille".
a. On nie le(s) fait(s) ou on utilise le mode interrogatif ou dubitatif quand on les évoque. Les formules privilégiées sont : “On dit que… mais il s’agit d’une source serbe, ou néo-nazie, ou paléo-communiste, ou…”. On discrédite ainsi immédiatement l’information vraie que l’on fait passer pour peu “sûre”.
b. On procède à l’inversion des faits.
c. On procède à un savant mélange de vrai et de faux.
d. On modifie le motif d’une action, par exemple, l’agression des Etats-Unis et de l’OTAN contre la Serbie a été présentée non pas comme une action militaire classique mais comme une “mission humanitaire”. Pour l’Irak, la volonté de faire main basse sur les réserves pétrolières du pays est camouflée derrière une argumentation reposant sur le “droit international”.
e. On modifie les circonstances ou on ne les dit pas. Ce procédé est souvent utilisé dans les informations relatives au conflit israélo-palestinien ou à la guerre civile en Irlande du Nord.
f. On noie l’information vraie dans un nuage d’informations sans intérêt.
g. On utilise la méthode de la suggestion, conjuguée au conditionnel. Exemple : “Selon nos sources, il y aurait eu des massacres…”.
h. On accorde une part inégale à l’adversaire dans les temps consacrés à l’information. Un exemple récent : on a accordé trois minutes d’antenne à Le Pen au second tour des Présidentielles françaises du printemps 2002, ainsi qu’à Chirac, mais, avant cette distribution “égale” du temps d’antenne, on a présenté pendant vingt minutes des manifestations anti-Le Pen.
i. On accorde parfois la part égale en temps, en invitant les deux camps à s’exprimer : le premier camp, qui est dans les bonnes grâces des médias, est représenté par un universitaire habitué à parler sur antenne; l’autre camp, auquel les médias sont hostiles, est alors représenté par un chômeur alcoolique.
j. On estime que chaque camp a une part égale en responsabilité. Dans le cas du conflit israélo-palestinien, les Palestiniens lancent des pierres, les Israéliens ripostent avec des chars. Le conflit est jugé insoluble : les deux camps sont de “mauvaise volonté”. Ainsi le conflit perdure au bénéfice du plus fort.
k. On présente l’information en ne disant que la moitié d’un fait. Exemple pris pendant la crise du Kosovo : “Les Serbes ont utilisé des gaz”. Sous-entendu : des “gaz de combat” ou des “chambres à gaz”. En réalité, la police serbe avait dispersé une manifestation avec des gaz lacrymogènes.Source
Bible selon la Vulgate de Saint Jérôme. Editeur: DFT (EDITIONS). Traduite en français, avec des notes par l'Abbé Glaire (mort en 1879). Introduction, notes complémentaires et appendices par F. Vigouroux. Seule approuvée après examen fait à Rome par la Sacrée Congrégation de l´Index. Edition 1902.
Le succès du christianisme entraîna une réaction hostile des pharisiens et une polarisation. Après la révolte nationaliste juive en Palestine tous les Juifs présents en Palestine furent exterminés par les armées de Titus, empereur romain (79-81). Ceci fit aussi disparaître les membres des courants nationalistes juifs (y compris ceux ce la diaspora montés prêter main forte en Palestine). Cela laissa alors le champ libre aux extrémistes religieux et ce furent donc les pharisiens qui prirent le dessus sur la communauté juive. Ils redéfinirent de manière étroite les concepts de «judaïsme» et de «juif», de manière à exclure les chrétiens. Ils mirent par écrit au cours des siècles leur tradition orale (dénoncée par Jésus dans l'évangile de Saint Marc), donnant naissance au Talmud, le "Nouveau Testament" des juifs. Ils modifièrent l'Ancien Testament dans un sens anti-chrétien. Par exemple la «vierge» dans la prophétie d'Isaie7,14 est transformée en «jeune fille». [1] Ces falsifications, les Juifs et les gnostiques commencèrent à les faire au IIe siècle après J.-C., si l'on en croit le témoignage de saint Irénée dans son ouvrage Contre les hérésies :
« Une altération juive de la prophétie de l'Emmanuel
Dieu s'est donc fait homme, et le Seigneur lui-même nous a sauvés en nous donnant lui-même le signe de la Vierge. On ne saurait dès lors donner raison à certains, qui osent maintenant traduire ainsi l'Écriture : « Voici que la jeune femme concevra et enfantera un fils. » Ainsi traduisent en effet Théodotion d'Éphèse et Aquila du Pont, tous les deux prosélytes juifs. Ils sont suivis par les Ébionites, qui disent Jésus né de Joseph, détruisant ainsi autant qu'il est en eux cette grande « économie » de Dieu et réduisant à néant le témoignage des prophètes, qui fut l'œuvre de Dieu. Il s'agit en effet d'une prophétie qui fut faite avant la déportation du peuple à Babylone, c'est-à-dire avant l'hégémonie des Mèdes et des Perses ; cette prophétie fut ensuite traduite en grec par les Juifs eux-mêmes longtemps avant la venue de notre Seigneur, en sorte que personne ne puisse les soupçonner d'avoir traduit comme ils l'ont fait dans l'éventuelle pensée de nous faire plaisir : car, s'ils avaient su que nous existerions un jour et que nous utiliserions les témoignages tirés des Ecritures, ils n'auraient certes pas hésité à brûler de leurs mains leurs propres Écritures, elles qui déclarent ouvertement que toutes les autres nations auront part à la vie et qui montrent que ceux-là mêmes qui se vantent d'être la maison de Jacob et le peuple d'Israël sont déchus de l'héritage de la grâce de Dieu.
« […] Ceux qui changent le texte d'Isaïe pour lire : "Voici que la jeune femme concevra en son sein" et qui veulent que l'enfant en question soit le fils de Joseph, qu'ils changent donc le texte de la promesse qui se lit en David, là où Dieu lui promettait de susciter « du fruit de son sein » une "Corne" (Psaumes 131, 17) qui ne serait autre que le Christ Roi ! Mais ils n'ont pas compris ce texte, sans quoi ils auraient eu l'audace de le changer lui aussi. »
La découverte des rouleaux de la Mer Morte a permis de montrer que l'Ancien Testament grec (la version des Septantes, IIIe s. av. J-C.), utilisé par les chrétiens des premiers siècles et par l'Église orthodoxe grecque est plus proche du texte original, et que la version massorétique (Ancien Testament en hébreu datant de l'an 1000 environ) a été volontairement «retouché».Source
Ainsi, alors que le texte massorétique du Psaume XXI (Hébr. 22), 17 s'exprime en ces termes: "Comme un lion mes mains et mes pieds", les Manuscrits de la Mer Morte reviennent à l'original: "Ils ont percé mes mains et mes pieds" (préservé dans la Version des LXX = Septante), dont l'application à la crucifixion du Fils de Dieu est évidente... [2]
La préface à l'édition de la Vulgate précise que "l'oeuvre deSaint Jérômeaboutit à une nouvelle traduction latine de la Bible : la Vulgate, ainsi appelée parce que d'usage général ou "vulgaire". Saint Jérôme avait à sa disposition les manuscrits hébreux les plus anciens et de précieux documents qui ont disparu depuis, et qui n'avaient pas été altérés par les falsifications introduites par les Juifs qui voulaient gommer ou atténuer les prophéties qui les condamnaient clairement. ... Aucun des manuscrits que nous possédons aujourd'hui n'a l'antiquité de ceux que suivait saint Jérôme; ils sont de beaucoup postérieurs à la Vulgate elle-même (l'hébreu massorétique - compilation et révision des anciens manuscrits - date du Xe siècle).
Il fallut la Réforme Protestante pour se défier de la Vulgate et opérer un retour aux prétendus "textes originaux" hébreux, araméens et grecs, et opérer de nouvelles traductions faites sur ces textes. De là viennent toutes les bibles modernes actuellement disponibles qui, même chez les catholiques, rejettent comme un "écran" la Vulgate de saint Jérôme. Or, ... letexte massorétiquehébreu que nous possédons ... a subi plusieurs variantes, altérations et d'interpolations. Ce texte hébreu n'est pas, tant s'en faut, le texte authentique et primitif. D'autre part, la Vulgate a elle-même été rédigée par saint Jérôme sur le texte primitif, original hébreu qui a disparu. LaVulgateest à ce titre au même niveau que la Septante (grecque)." (Source : La Sainte Bible selon la Vulgate traduite en français par l'Abbé J.-B. Glaire, Nouvelle Edition, Editions D.F.T. 2002, p. VII, VIII).
Cette falsification de la Bible par les Pharisiens au Xe siècle (Bible "massorétique") peut être mise en relation avec ce passage du Christ Notre-Seigneur sur les Pharisiens, et qui révèle que ces Pharisiens changeaient déjà la Parole de Dieu, du temps du Christ, pour la conformer à des traditions humaines :
Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc 7,1-13.
"Les pharisiens et quelques scribes étaient venus de Jérusalem. Ils se réunissent autour de Jésus,
et voient quelques-uns de ses disciples prendre leur repas avec des mains impures, c'est-à-dire non lavées. -
Les pharisiens en effet, comme tous les Juifs, se lavent toujours soigneusement les mains avant de manger, fidèles à la tradition des anciens ;
et au retour du marché, ils ne mangent pas avant de s'être aspergés d'eau, et ils sont attachés encore par tradition à beaucoup d'autres pratiques : lavage de coupes, de cruches et de plats. -
Alors les pharisiens et les scribes demandent à Jésus : « Pourquoi tes disciples ne suivent-ils pas la tradition des anciens ? Ils prennent leurs repas sans s'être lavé les mains. » Jésus leur répond : « Isaïe a fait une bonne prophétie sur vous, hypocrites, dans ce passage de l'Écriture : Ce peuple m'honore des lèvres, mais son coeur est loin de moi.
Il est inutile, le culte qu'ils me rendent ; les doctrines qu'ils enseignent ne sont que des préceptes humains. Vous laissez de côté le commandement de Dieu pour vous attacher à la tradition des hommes. »
Il leur disait encore : « Vous rejetez bel et bien le commandement de Dieu pour observer votre tradition.
En effet, Moïse a dit : Honore ton père et ta mère. Et encore : Celui qui maudit son père ou sa mère sera mis à mort.
Et vous, vous dites : 'Supposons qu'un homme déclare à son père ou à sa mère : Les ressources qui m'auraient permis de t'aider sont corbane, c'est-à-dire offrande sacrée. '
Vous l'autorisez à ne plus rien faire pour son père ou sa mère,
et vous annulez la parole de Dieu par la tradition que vous transmettez. Et vous faites beaucoup de choses du même genre. » (L'Evangile au quotidien)
Nous conclurons donc que la traduction catholique classique peut être conservée. De manière assez récurrente, les textes qui apparaissent comme prophétiques dans la traduction des LXX perdent cette portée dans les Massorètes. On trouvera un autre exemple de ce phénomène sur la virginité de Marie. (Source) Ainsi, les bibles dites "oecuméniques" (catholiques protestantes) donne dans le Nouveau Testament un tout autre sens au verset 25 du premier chapitre de l'Evangile selon saint Matthieu. Dans la T.O.B., par exemple, la version est: "24. A son réveil, Joseph fit ce que l'Ange du Seigneur lui avait prescrit: il prit chez lui son épouse, 25. mais il ne la connut pas jusqu'à ce qu'elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus." La Vulgate mentionne : "24. Ainsi réveillé de son sommeil, Joseph, fit comme l'ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui. 25. Or il ne l'avait point connue, quand elle enfanta son fils premier-né, à qui il donna le nom de Jésus." La version moderne laisse entendre que Joseph eut des relations avec Marie après "qu'elle eût enfanté un fils" tandis que la Vulgate nous dit simplement que Joseph ne l'avait point connu quand elle enfanta Jésus. Dans Le Nouveau Testament, traduit en français courant d'après le texte grec. Alliance Biblique Universelle. Traduction Société Biblique française, Imprimatur Paris 22 mars 1973, le verset 25 sous-entend que Joseph a eu des relations après avec Marie. Un pas est franchi : "Mais il n'eut pas de relations avec elle jusqu'à ce qu'elle ait mis au monde son fils, que Joseph appela Jésus".
Notes
[1] En ce qui concerne Isaïe 7,14, il convient de se reporter au dictionnaire de Mayer-Lambert (ancien grand Rabbin de France) qui ne donne que deux traductions possibles pour 'alma : vierge ou jeune-fille. Mais pas jeune-femme. Source
[2] Dans certaines traductions de la Bible, on ne trouve pas « ils m’ont percé les mains et les pieds » mais « comme un lion, [ils sont] à mes mains et à mes pieds », ce qui fait perdre au texte sa portée prophétique [et n'a aucun sens. Ndlr.].
C’est ce que donne la traduction du texte massorétique qui s’écarte de la version des Septante : dans le texte massorétique, on trouve le mot ka’ari qui veut dire « lion » ; il faut donc supposer que les Septante, qui ont traduit par « ils ont percé » (oruxsan) disposaient d’un texte différent. Lequel ? C’est assez simple : en l’occurrence, le verbe « percer » pourrait s’écrire karu. Comment trancher ? Nous avons ici deux éléments :
1. le texte massorétique n’est grammaticalement pas très satisfaisant, puisqu’il manque un verbe dans la phrase (littéralement, on devrait traduire par « comme un lion, mes mains et pieds »).
2. Les manuscrits hébreux de Nahal Hever datés de 50-68 ap. J.-C., donc plus anciens que la version massorétique, portent le mot ka’aru, forme archaïque de karu, ce qui conforte les Septante (Source: Peter W. Flint, « Biblical Scrolls from Nahal Hever », Discoveries in the Judean Desert, 38, Oxford, Clarendon Press, 2000, p. 133-166).
La Bible selon la Vulgate de Saint Jérôme. Editeur: DFT (EDITIONS), traduite en français, avec des notes par l'Abbé Glaire (mort en 1879), introduction, notes complémentaires et appendices par F. Vigouroux, seule approuvée après examen fait à Rome par la Sacrée Congrégation de l´Index, Edition 1902, précise dans la note 17., p. 1127 : "Ils ont percé mes mains et mes pieds. Il faut renoncer à toutes les lois de la critique et de l'herméneutique, pour traduire avec les Juifs, comme un lion, mes mains et mes pieds, et avec les hébraïsants rationalistes, ils ont lié, ou souillé mes mains et mes pieds."
Les élus du Front national au Conseil Régional d’Ile-de-France, emmenés parMarie-Christine Arnautu,nous livrent une remarquable recension des subventions de copinage accordées par l’exécutif UMPS-écolo-bobo à leurs divers « potes ». Un document accablant à diffuser partout sur la toile, et ailleurs !
Selon unarticledu Monde paru dans l'édition du 17.11.09, l'Etat d'Israël a demandé à une société créée en 2006, la "Holocaust Victims Assets Restitution Company", de retrouver les biens des victimes de la Shoah et de les restituer à leurs bénéficaires. Depuis sa création en 1948, l'Etat israélien était en possession des dossiers sur les biens spoliés pendant la Shoah, mais il n'a rien dit, rien fait. Il s'agit d'avoirs sur des banques privées israéliennes, s'élevant à des "centaines de millions de shekels qui ont fructifié pendant plus de soixante ans sur des "'comptes dormants'", dont les intérêts générés "se présentent aussi sous forme d'actions au capital desdites institutions financières". Le journaliste du Monde termine son article par cette phrase qui disqualifie à jamais l'Etat sioniste : "Il restera alors à l'Etat d'Israëlà expliquer pourquoi il a gardé un silence assourdissant pendant plus de soixante ans sur les biens des survivants de l'Holocauste". En plus d'enfermer mentalement les descendants de la Shoah dans une culture obsessionnelle et paranoïaque ("ils sont tous antisémites"), et maladive ("ne jamais oublier, ne jamais pardonner"), le sionisme vole leurs biens ! Comme quoi, le "devoir de mémoire" n'est pas fait pour tout le monde...
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Source :
Trois banques israéliennes rendent une partie des fonds des victimes de la Shoah
LE MONDE| 16.11.09 | 14h59 • Mis à jour le 16.11.09 | 14h59
De guerre lasse, et en espérant que ce versement serait considéré comme solde de tout compte, trois banques israéliennes ont versé, fin octobre, 25 millions de shekels (4,7 millions d'euros) à la Holocaust Victims Assets Restitution Company, la société qui a été chargée par la loi israélienne de retrouver les biens des victimes de la Shoah et de les restituer à leurs bénéficiaires. PourZvi Kanor, le président de cette société créée en août 2006, ce remboursement représente une première victoire dans un long processus. "Les banques israéliennes,rappelle-t-il, n'ont jamais entrepris la moindre démarche pour retrouver les rescapés de la Shoah, ou leurs héritiers."Quant à l'Etat israélien, ajoute-t-il, il avait en sa possession, dès sa création en 1948, des dossiers sur les biens spoliés pendant la Shoah, et sans doute aussi les moyens de retrouver une partie des bénéficiaires. Or il n'a rien dit, rien fait. Le double constat iconoclaste dressé par Zvi Kanor remue beaucoup de souvenirs, et de mauvaise conscience. Les poursuites engagées par les autorités israéliennes contre les banques suisses qui détenaient des avoirs juifs aboutiront à un règlement en juillet 1997. En Israël, il faudra cependant attendre le début de l'année 2000 et la publication d'un livre du professeurYossi Katz, de l'universitéBar Ilan, pour que commencent à être pointées du doigt lesresponsabilités de l'Etat et des banques privées, qui détiennent les "biens de la Shoah". En 2002, la Knesset, le Parlement israélien, crée une commission d'enquête, présidée par Colette Avital. C'est de ses travaux que naîtra, à l'issue d'un nouveau délai de quatre ans, la compagnie présidée par Zvi Kanor. Trois ans plus tard, en novembre 2009, ce dernier ferraille toujours avec les banques pour récupérer lescentaines de millions de shekels qui ont fructifié pendant plus de soixante ans sur des "comptes dormants". Cinq institutions financières israéliennes détiennent toujours d'importants avoirs (terres, immeubles, actions et comptes bancaires) appartenant aux survivants de la "solution finale" ou à leurs descendants : les banques Leumi, Hapoalim, Discount, Hamizrahi et Mercantile. Ce sont les trois premières qui ont fait ce geste de 25 millions de shekels (dont 20 millions pour la Leumi). Les deux autres établissements n'ont encore admis aucune responsabilité : "Jusqu'à une date très récente, précise Zvi Kanor,les banques ne voulaient pas nous parler, prétextant que nous n'avions aucune preuve." On comprend pourquoi : à la seule banque Leumi (ancienneAnglo PalestineCompany), la Compagnie pour la restitution des biens des victimes de l'Holocauste réclame 350 millions de shekels, qui seraient disséminés sur quelque 3 500 comptes bancaires. Nul ne sait avec exactitude le montant total des biens spoliés, d'autant qu'il n'est pas encore question d'ouvrir ledossier, ô combien sensible, des intérêts générés par ces avoirs, lesquels se présentent aussi sous forme d'actions au capital desdites institutions financières ! "Non seulement les banques n'ont rien fait pour retrouver les survivants ou leurs héritiers,souligne Mme Avital, mais pendant des années, elles ont opposé une fin de non-recevoir à ceux qui venaient les voir avec des documents, des lettres, des carnets, de leur père ou grand-père, prouvant leur droit de propriété." Aujourd'hui, une âpre bataille judiciaire se déroule entre les avocats des banques et ceux de la société présidée par Zvi Kanor. Celle-ci a déjà identifié quelque 740 millions de shekels d'avoirs divers revenant de droit aux victimes de la Shoah et à leurs héritiers. Plus de 200 millions de shekels ont déjà été versés aux plus démunis d'entre eux, mais on est loin du compte. L'identification des survivants et de leurs familles reste un défi majeur. Une campagne internationale de sensibilisation, dans les journaux et les communautés juives à travers le monde, va être lancée début décembre. Par souci de couper court à une fâcheuse publicité, les banques pourraient se résoudre à un règlement amiable. Il restera alors à l'Etat d'Israëlà expliquer pourquoi il a gardé un silence assourdissant pendant plus de soixante ans sur les biens des survivants de l'Holocauste.
Laurent Zecchini Article paru dans l'édition du 17.11.09
Reprenant la dépêche du quotidien La Provence (icietici) et l'articlede notre excellent confrère du sitePerepiscopus, nous avons écrit hier que Mgr Cattenozdevaitinaugurer la mosquée de Monclar. Or, nous apprenons aujourd'hui, que l'archevêque d'Avignon, n'a pas inauguré cette mosquée.
Ahmeida Bahi, président de l'association cultuelle de la mosquée, avait invité Mgr Cattenoz (ainsi que le rabbin), comme cela se fait désormais partout, sous couvert de "dialogue interreligieux".
Mais Mgr Cattenoz n'est pas venu, comme l'a signalé un lecteur duForum Catholique. Et sonagendaindique qu'il est en retraite à Paray-le-Monial. L'archevêque d'Avignon a brisé le consensus épiscopal qui veut que les évêques inaugurent les mosquées de leur diocèse. Honneur lui soit rendu.
Tout en étant « souchien » ou sous-chien comme ils disent,
Je suis un agrégat, que ces gens là méprisent,
Par la loi de l’équerre, du fil et du compas.
Ces gens là sont bien nés : de veaux dans l’écurie
Sont devenus poulains* qui hennissent à leur aise…
Dans le champ du voisin ! Et par notre incurie
Ils nous mettront, demain, le cul … hors de nos chaises.
Nos ancêtres ont fait souche dans un passé lointain
Sur la terre de France où plongent nos racines
Si nous n’y prenons garde, nous ne serons demain
Qu’un troupeau décimé, peuple qu’on assassine !
Nos rois ont fait la France, ce pré carré de Dieu,
Terreau de nos terroirs, humus d’identités,
Tombeau de nos vraies gloires, nommées fidélités.
Nos racines ont des ailes qui montent jusqu’aux cieux.
Mais aux hexagonaux, sans racines et sans lieu
On donne la com-pote** onusienne et complice
Qui promeut le profit, l’orgueil et puis le vice
Qui voudrait mettre à mort nos bébés et nos vieux.
La France fut, à Reims, en Clovis baptisée,
Consacrée au Seigneur, Maître de notre histoire.
Prions qu’elle ne soit demain martyrisée,
Seul Il nous donnera la force et la victoire.
Jeudi 4 février 2010
«la France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage». Eric Besson, Ministre de l'Immigration et de l’Identité nationale de la république française… le 5 janvier 2010 à La Courneuve.
* Selon le principe de la loi du sol (Jus soli) toute personne née en France est Français : un veau né dans une écurie devient aussitôt un cheval (disons un poulain). L'écurie étant l'étable des cheveaux, tout comme "le Carème est le Ramadan des chrétiens." [Sic] Entendu sur France Intox il y a quelques années.
Le président russe Dmitri Medvedev a validé aujourd'hui une nouvelle doctrine militaire qui place l'Otan en tête des menaces pesant sur la sécurité de la Russie.
Le texte de la doctrine, publié sur le site du Kremlin, place au premier rang des "principaux dangers militaires extérieures" le fait que l'Otan cherche à "mondialiser ses fonctions, en violation des normes du droit international". Le document dénonce aussi le rapprochement des frontières russes "de l'infrastructure militaire des pays membres de l'Otan, notamment par la voie de l'élargissement du bloc".
Moscou dénonce depuis des années l'entrée d'Etats de l'ex-bloc soviétique dans l'Alliance atlantique, et fait tout, sur le terrain diplomatique, pour empêcher l'Ukraine et la Géorgie de rejoindre l'Otan.
Parmi les autres dangers auxquels la Russie fait face, la doctrine s'inquiète du développement possible d'un "système stratégique antimissile" et du développement "d'armes stratégiques conventionnelles de haute précision".
La Russie a dénoncé le projet américain d'un bouclier antimissile en Europe de l'Est, que les Etats-Unis ont fini par abandonner, et veut obtenir des Etats-Unis que d'éventuelles armes stratégiques conventionnelles soient soumises aux mêmes restrictions que les armes nucléaires.
L'Organisation des nationalistes ukrainiens - l'Armée insurrectionnelle (OUN-UPA) soutiendra Ioulia Timochenko à l'élection présidentielle en Ukraine, a déclaré le leader de l'Organisation, Mikhaïl Zelentchouk.
"L'OUN-UPA appelle tous les patriotes de l'Ukraine à voter pour Ioulia Timochenko et à l'aider à devancer le pro-moscovite Viktor Ianoukovitch", a insisté M. Zelentchouk.
Il espère que le nouveau président et le nouveau parlement reconnaîtront la lutte de l'OUN-UPA pour un Etat ukrainien indépendant.
Dimanche 7 février, les Ukrainiens se rendront de nouveau aux urnes pour élire leur président. Au second tour de l'élection présidentielle, la première ministre Mme Timochenko s'affrontera avec le leader du Parti des régions (opposition) Viktor Ianoukovitch.
L'Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA) a été formée en octobre 1942. Son principal objectif était l'indépendance totale de l'Ukraine. Les leaders de l'UPA, notamment Stepan Bandera et Roman Choukhevitch, sont accusés d'avoir été complices des nazis. Source
Gideon Levy est un journaliste de l'Etat colonisateur, il dénonce la guerre à Gaza et les crimes de guerre israéliens à Gaza.
Gideon Levy : "la société israélienne est totalement endoctrinée". Elle est dit-il, "très nationaliste, très favorable à l'armée". "Les Israéliens sont totalement aveuglés, ... sûrs que l'armée israélienne est la plus morale du monde, ils n'ont pas de problème de morale, ne se remettent pas en question, ils sont très contents d'eux".
"Israël n'est rien sans le soutien des Etats-Unis, sur les plans politiques, économiques et militaire, ajoute-t-il. Les Etats-Unis devraient utiliser ce pouvoir pour forcer Israël à mettre fin à cette occupation qui est illégale, inhumaine et ne pourra pas durer encore pendant quarante ans".
L’histoire de l’Eglise éducatrice, est aujourd’hui un sujet méconnu. Il ne l’a pas toujours été. Pendant près d’un siècle, des années 1880 aux années 1970, de nombreux travaux sur l’histoire de l’éducation et de l’enseignement ont mis en valeur cet aspect du passé de l’Eglise. Mais aujourd’hui ce double intérêt pour l’histoire de l’éducation et pour l’l'histoire de l’Eglise est beaucoup moins vif. Il fut un temps où le public cultivé, même prévenu contre l’Eglise, connaissait plus ou moins son oeuvre éducatrice. Ce temps est passé. De nos jours, le public et même les instituteurs sont devenus assez ignorants de ces choses. Surprenante ignorance qui engendre l’indifférence et même l’ennui. Si l’on ne sait rien, comment s’intéresser? L’auteur, Jean de Viguerie, dresse donc un panorama complet de l’oeuvre éducatrice de l’église à travers les siècles. Un travail d’historien. Un travail précis et minutieux bref un ouvrage de référence.
Pour commander : Dominique Martin Morin – L’Eglise et l’éducation – 16 €uros 21 rue du Docteur Jardin 53290 Bouère – france
Homélie abbé Hayet, curé de saint Joseph des Falaises-Bidart.
Nous fêtons aujourd'hui sainte Jeanne de France. Le roi louis XI attendait avec impatience la naissance d'un fils qui hériterait de son immense puissance royale. Mais la Divine Providence en décida autrement : ce fut une petite fille qui naquit le 23 avril 1464 : Jeanne. Enfant chétive et difforme, son père lui fit toujours sentir sa profonde déception. Jeanne dut passer son enfance, loin de la cour royale, en Berry. Délaissée par son père de le terre, elle s'attacha avec autant plus d'Amour à Celui que, dans le "Pater noster", elle nommait son Divin Père du Ciel. A l'âge de douze ans, Jeanne fut imposée comme épouse au duc Louis d'Orléans qui en avait quatorze. Devenu roi sous le nom de Louis XII, il mit tout en oeuvre pour obtenir l'annulation de son mariage, alléguant surtout que cette union lui avait été imposée. Il gagna la partie et Jeanne fut répudiée ; elle devint duchesse de Berry. "Il m'est causé une injustice -dira-t-elle- mais Dieu soit loué pour tout! Je comprends qu'Il permet tout cela afin que je puisse mieux Le servir et réaliser mon voeu : fonder un ordre voué à Notre Dame". De fait, Jeanne de France fonda l'Ordre des Annonciades, destiné à honorer les dix vertus principales de la Vierge Marie : chasteté, prudence, humilité, pauvreté, obéissance, patience, foi, dévotion, charité et piété. Le premier monastère fut ouvert en 1501 à Bourges et fut approuvé par le Pape Alexandre VI. Entièrement retirée du monde, Jeanne de France voua sa vie à Dieu dans un immense Amour. Elle s'éteignit à Bourges le 4 février 1505 et fut canonisée en 1950 par le Pape Pie XII.
SAINTE JEANNE DE FRANCE, PRIE POUR NOUS : NOUS TE CONFIONS NOTRE PAYS ET TOUS SES HABITANTS AFIN QU'IL VIVE DANS LA PAIX ET L'ENTENTE CORDIALE; NOUS TE CONFIONS AUSSI LES FEMMES QUI SONT MALHEUREUSES PARCE QUE VIOLENTEES, EXPLOITEES, MEPRISEES. PUISSE TON INTERCESSION AUPRES DE NOTRE PERE DU CIEL NOUS RAPPELER QUE NOUS SOMMES TOUS CREES A SON IMAGE ET APPELES A REFLETER SON AMOUR, LUI QUI NE FAIT PAS DE DIFFERENCE ENTRE LES HOMMES. AMEN. Source
La Belgique envisage de modifier le Protocole, l'ordre protocolaire belge va être complètement bouleversé. Avant l’heure, ce n’est pas l’heure, et après l’heure, ce n’est plus l’heure. "Là, c’est le bon moment", indique le président du Sénat, le libéral francophone Armand De Decker.
De Decker exauce plus vite que prévu le nouveau Primat de Belgique récemment désigné, Mgr Léonard, qui rétrogradera de plusieurs rangs et se retrouvera dans un peloton en compagnie des responsables des cultes israélite, musulman et protestant en Belgique.
Nous pouvons rapprocher cette information de cette récente déclarationde Mgr Léonard, "incarnant le courant le plus conservateur du catholicisme belge" (sic. c'est dire...), selon laquelle "la laïcité belge repose sur la neutralité de l’Etat, ce qui ne l’empêche pas de reconnaître et de subsidier les cultes et les morales non confessionnelles. Et surtout, l’Eglise catholique ne réclame aucun privilège." (Source : Polémique autour de la nomination du nouveau primat de Belgique, LE MONDE | 18.01.10 | 15h26)
[Communiqué de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X] "Mais celui qui scandalisera un de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu'on lui suspende une meule à âne autour du cou et qu'on le précipite au fond de la mer". Mat.18, 6
Dans toute l’histoire de l’humanité, l’enfant a été l’objet de convoitise de ceux qui ont souhaité imposer une idéologie. Voilà plusieurs mois qu’une société de production tente de diffuser dans les écoles primaires un film qui initie les élèves des écoles aux relations entre personnes de même sexe. La région Bretagne, la ville de Rennes, les Conseils Généraux du Finistère et des Côtes-d'Armor ont dores et déjà accepté que le film Le Baiser de la Lune soit diffusé aux classes de CM1 et de CM2.
Selon leurs auteurs, « Le baiser de la lune est un court métrage d’animation poétique destiné à servir d’outil pédagogique pour aborder les relations amoureuses entre personnes du même sexe à l’intention des enfants de CM1/CM2 ». Dans la première partie, les enfants regardent le film présentant les « amours » de deux poissons. « Une seconde partie développera des exercices ludiques amenant les élèves à réfléchir sur les relations amoureuses : norme, stéréotypes, relations amoureuses entre personnes du même sexe. »
Gardons-nous bien de nous laisser contaminer par un vocabulaire d’une telle banalisation qu’il n’a, par exemple, pas hésité à inventer le terme « hétérosexuel » pour galvauder celui « d’homosexuel ».
Aujourd’hui, ce n’est plus seulement l’innocence des enfants qui est en jeu, mais il s’agit désormais de les initier à ce qui est clairement contraire à la loi naturelle.
À des fins idéologiques, des lobbys s’en prennent à l’univers de l’enfant (dessin animé, personnification des animaux) qui se trouve donc, sollicité, accaparé et même manipulé pour "normaliser" des relations adultes condamnées par l’Évangile.
Les porteurs d’un tel projet savent à quel point est facilement malléable l’esprit d’un enfant. Bientôt viendra le temps où la Sainte Écriture elle-même sera interdite puisque saint Paul y dit sans détour ce que nos contemporains ne veulent plus entendre :
« Dieu les a livrés à des passions ignominieuses : leurs femmes ont changé le commerce naturel en celui qui est contre nature ; de même, les hommes, délaissant le commerce naturel avec la femme, se sont mis à brûler de désirs les uns pour les autres, entretenant d’homme à homme des relations infâmes, et recevant en leur corps un salaire digne de leur égarement. » (Rom. I, 26-27)
C’est pour protéger les générations futures, c’est pour éviter que ne se répandent ces lois si contraires à la loi naturelle instituée par Dieu et par l’Eglise que je vous invite à soutenir vigoureusement toutes les initiatives prises contre ce projet de film abominable.
Abbé Régis de Cacqueray-Valménier, Supérieur du District de France
Le Premier ministre, François Fillon,a déclaréce soir au dîner du Crif à Paris que la France allait demander à l'ONU "l'adoption d'une nouvelle résolution" contre l'Iran "comprenant des sanctions fortes".
Pour mémoire, observez ce rabbin intégriste, bourré de tics et toc, prévoir la prochaine 3e Guerre mondiale entre, dit-il "Rome (l'Occident) et l'Iran" :
Le Saint-Père Benoît XVI a nommé aujourd'hui le Cardinal André Vingt-Trois, Archevêque de Paris, membre de la Congrégation pour le Clergé. C'est une nouvelle intéressante. Peut-être que de Rome le Cardinal répondra enfin aux courriers que les fidèles envoient aux différents dicastères pour se plaindre de ce que les évêques de France ne tiennent pas compte des directives magistérielles? Peut-être le Cardinal aura-t-il aussi à résoudre des conflits franco-français comme celui de Thiberville? Ce qui serait, dans le fond, assez cocasse. C'est finalement une très bonne chose que d'obliger un archevêque français à observer les choses depuis le Vatican et non uniquement depuis un bureau diocésain: près du pape, on voit soudain l'Eglise d'un tout autre oeil.
Malgré le diktat des associations communautaires juives, le courageux maire de Gonneville-sur-Meravait refuséd’enlever de la salle communale le portrait du Maréchal Pétain, en place depuis 1945.
Le préfet, Christian Leyrit, alerté le 5 janvier par la Licra enjoigna fermement au maire de retirer le portrait. Des associations communautaires ultra-minoritaires entendaient contraindre un élu du peuple.. à plier le genoux...
On pensait la partie terminée, mais le maire, soutenu par son conseil municipal, résiste encore et exige une "décision judiciaire" !
Le préfet de Basse-Normandie Christian Leyrit va saisir "dans les prochains jours" le tribunal administratif de Caen "aux fins d'annulation" de la décision du maire de Gonneville-sur-Mer (Calvados) de maintenir un portrait du Maréchal Pétain dans sa mairie, a-t-il annoncé aujourd'hui. Dans la petite mairie de Gonneville-sur-Mer (602 habitants), on conserve registres d'état-civil, documents cadastraux, mais aussi portraits des présidents de la République. D'Adolphe Thiers (1871-1873) à Jacques Chirac (1995-2007), la salle des mariages de Gonneville-sur-Mer est consacrée à cette édifiante galerie républicaine.
En dépit d'une lettre préfectorale d'injonction le 21 janvier puis d'un entretien de 90 minutes avec le préfet le 27 janvier, le maire, Bernard Hoyé, 45 ans, avocat, campe sur ses positions. «L'ensemble des élus de notre commune, qui est apolitique, a hérité d'un patrimoine qui ne peut être ignoré et doit être conservé», déclarent le maire et ses élus. Le conseil municipal n'hésite pas à demander que la justice tranche le «débat dans le cadre d'un procès contradictoire et national au lieu et place d'une décision autoritaire du préfet. Tout en comprenant le désarroi des victimes de la politique menée par Pétain, le tapage médiatique n'a jamais permis de résoudre un problème.» Et de conclure : «les autorités de tutelle et des personnalités politiques se sont succédé dans notre salle. Sans jamais formuler la moindre remarque.»
Quand arriva le jour fixé par la loi de Moïse pour lapurification, les parents de Jésus le portèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. Ils venaient aussi présenter en offrande le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes. Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C'était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d'Israël, et l'Esprit Saint était sur lui. L'Esprit lui avait révélé qu'il ne verrait pas la mort avant d'avoir vu le Messie du Seigneur. Poussé par l'Esprit, Syméon vint au Temple. Les parents y entraient avec l'enfant Jésus pour accomplir les rites de la Loi qui le concernaient. Syméon prit l'enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s'en aller dans la paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d'Israël ton peuple. » Le père et la mère de l'enfant s'étonnaient de ce qu'on disait de lui. Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division. [Note de C.R. : autre traduction : "signe de contradiction"] - Et toi-même, ton coeur sera transpercé par une épée.
Juif à New York, Joshua Stantoninvitela France à renouer avec son passé de tolérance et Nicolas Sarkozy à s’inspirer de Napoléon Bonaparte qui a permis l’intégration des Juifs en France.
"En 1806, l'empereur Napoléon Bonaparte émancipa les juifs français en adoptant des lois visant à améliorer leur statut économique et social et en les invitant à s'établir partout où ils le désiraient plutôt que dans les quartiers pauvres et surpeuplés où ils avaient été confinés dans les villes ou de voyager de lieux en lieux dans les campagnes. En outre, il reconnut officiellement leur religion et affirma sa place définitive dans la sphère privée de la vie française. A travers ces actes de profonde tolérance, pendant plus de 200 ans, la France a montré l'exemple à toute l'Europe et a prouvé que son ouverture d'esprit était plus que de la rhétorique. Aujourd'hui, la France ferait bien de suivre son propre et admirable exemple et d'apparaître comme le premier pays européen à vraiment traiter les citoyens musulmans comme des participants au même titre que les autres citoyens dans la société. Renoncer à l' « interdiction de la burqa » constituerait une première mesure sensée."
L’école irréformable est celle de la République. Je vais m’en expliquer. Il y a en France depuis de longues années une crise de l’enseignement, une crise qui dure et qui s’aggrave de jour en jour.
Cette dégradation et ses innombrables effets malheureux sont reconnus et déplorés depuis plus de vingt ans. Dès les années 80 on entendait partout un concert de gémissements, et nous avions les oreilles cassées de ces cris déchirants : l’école n’est plus l’école, nous criait-on, les enfants ne savant pas lire, les disciplines sont massacrées, l’histoire est morte, le français agonise, les mathématiques sont assassinées. Or, cette lamentation n’a pas cessé. On a même entendu récemment des ministres gémir, MM. Allègre et Ferry par exemple, et plus récemment M. Darcos. Certains éléments du système scolaire, comme la lecture globale, le collège unique et la mixité, sont maintenant l’objet de critiques extrêmement dures. Mais en vain. Les pleurs et les critiques n’ont aucun effet. Le système est maintenu et semble devoir être maintenu longtemps. De tous côtés des voix s’élèvent et protestent. Comment, demandent-elles, peut-on continuer un tel enseignement malgré toutes les condamnations portées contre lui ? Peine perdue : ces protestations ne changent rien. Pourquoi ? Je vois au moins deux raisons.
La première est que l’on ne veut pas remonter aux causes. Il y a eu entre 1960 et 1977, conduite par les gouvernements de la cinquième république, une « réforme générale de l’enseignement » (c’était l’expression employée alors par le ministère de l’Education Nationale). En même temps on a ouvert le secondaire à tous les élèves sortis du primaire, sans contrôle et sans examen Tout le désordre vient de cette réforme et de cette ouverture. Si l’on ne veut pas reconnaître ces causes, il est inutile de vouloir quelque amélioration que ce soit. La seconde raison est que la conscience du désastre n’est pas assez vive. On ne réalise pas suffisamment l’énormité du changement introduit dans les années soixante. L’école a subi alors une révolution comme elle n’en avait jamais connu depuis le début de son existence. Du jour au lendemain on a rejeté les lois fondamentales de la connaissance intellectuelle et de l’apprentissage du savoir. Si l’on prenait vraiment la mesure d’une telle atteinte, on mettrait tout en œuvre pour y remédier.
A condition bien sûr qu’il y ait une volonté politique. S’il y avait cette volonté, il suffirait de deux ou trois lois et de quelques instructions et circulaires ministérielles pour revenir à un enseignement digne de ce nom. Je prends un seul exemple. C’est une simple instruction ministérielle (datée du 7 mai 1963), signée René Haby, directeur des services d’enseignement, qui a détérioré l’enseignement de l’histoire dans le secondaire en limitant les programmes du second cycle à la seule histoire contemporaine. Ce qu’une instruction a défait, une autre pourrait le refaire. De même pour toutes les autres disciplines, de même pour la lecture. Mais il n’y a pas de volonté politique. Considérons cette dégradation de cinquante années… Combien de politiques l’ont dénoncée ? Un bien petit nombre en vérité. Et toujours pendant les campagnes électorales. Mais l’élection faite, il n’en était plus question. . La question se pose alors : pourquoi n’y a-t-il pas de volonté politique ? D’abord parce que les hommes au pouvoir aujourd’hui ne diffèrent pas de ceux qui ont détruit l’enseignement dans les années soixante. Ce sont leurs doubles, ce sont leurs semblables. Si une telle destruction était à refaire, ils la referaient. Et je parle de tous les politiques. Je ne fais pas de différence entre la gauche et la droite. D’ailleurs c’est la droite qui a fait la « réforme générale de l’enseignement » des années soixante, c’est elle qui a voté la calamiteuse loi d’orientation des universités en 1968, c’est elle enfin qui a créé le collège unique (réforme Haby de 1977). La gauche voulait ces réformes, mais, le plus souvent, c’est la droite qui les a faites. L’ignorance généralisée, fruit de toutes ces réformes, ne gêne pas les politiques. Non seulement elle ne les gêne pas, mais elle leur profite. On gouverne mieux un agrégat d’ignorants (au surplus abrutis par la télévision) qu’un peuple instruit et formé dès l’enfance au double exercice de la mémoire et de la raison. J’irai même plus loin. Je dirai que cette fausse école mise en place dans le demi-siècle écoulé convient parfaitement aux politiciens. N’est-elle pas un instrument idéal de manipulation des esprits ? On s’empare des enfants dès le plus jeune âge, on les prive de tout repère dans l’espace et dans le temps, on les sépare du passé de leur pays, on les frustre de leur héritage culturel, et pour finir on les persuade que la connaissance et le respect de l’idéologie démocratique passent avant tout autre savoir et tout autre devoir. Cette école enseigne, comme on dit aujourd’hui, les « valeurs de la République ». Elle est vraiment, selon l’expression consacrée, « l’école de la République ». Et c’est bien ainsi, puisque « la République, écrivait il y a quelques années, l’historien radical-socialiste Claude Nicolet, est ce qui permet aux hommes d’exister pleinement ». Nous sommes dans le système de pensée desLumières, et ce n’est pas un hasard si les Lumières sont invoquées à tout instant par la classe dirigeante. Ce n’est pas un hasard, et c’est à juste titre. L’éducation nouvelle dont nous subissons aujourd’hui les tristes effets, a été conçue par les philosophes des Lumières. Ces philosophes ont appelé de leurs vœux cette éducation qui s’empare de l’enfant, et au moyen de l’enfant de tout un peuple, et finalement fabrique une nouvelle espèce humaine dont la caste des maîtres et des privilégiés pourra disposer à son gré. A ces êtres fabriqués sur mesure on fera croire qu’ils sont libres, et ils obéiront d’autant mieux… C’est la ruse conseillée par Rousseau au gouverneur d’Emile, et cette ruse dans l’esprit de Rousseau lui-même est applicable au peuple autant qu’à l’enfant : « Qu’il croie toujours être le maître, et que ce soit toujours vous qui le soyez. Il n’y a point d’assujettissement si parfait que celui qui garde l’apparence de la liberté ; on captive ainsi la volonté même ». Citons également Voltaire : « Il est bon que le peuple soit guidé et non qu’il soit instruit ; il n’est pas digne de l’être ». Ces leçons philosophiques étaient connues depuis longtemps, mais il était réservé à notre époque de les appliquer. Il était réservé aux politiciens de la cinquième république de savoir en comprendre toute la signification et la force. Il ne faut pas compter sur eux pour une amélioration quelconque. Jamais ils ne réformeront le système. L’école actuelle est irréformable. Si l’on veut retrouver une école digne de ce nom, il ne faut pas l’attendre de l’éducation dite nationale. A moins que l’Etat ne change de nature, il n’y aura pas dans l’avenir d’autre véritable école que l’école vraiment libre, c’est-à-dire entièrement soustraite à la double emprise de l’Etat et de l’idéologie républicaine.
--------------------------------------------------- (1) Jean de Viguerie est un historien et essayiste français de l'Ancien Régime. Il est professeur honoraire à l'Université Lille III et spécialiste des Lumières.
Les travaux de Jean de Viguerie portent sur l’histoire de l'éducation et de l’Église au siècle des Lumières. Il a également contribué aulivre noir de la Révolution française.
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