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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 13:16


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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 08:37

Sur le Salon Beige, un article intitulé "Trois jours de satanisme subventionné" nous apprend que la Pentecôte est aussi le moment où, comme par hasard, Satan informe qu'il organise trois jours d'une manifestation diabolique, " la fête de l'enfer" qui aura lieu à Clisson du 19 au 21 juin". Cette ignominie est subventionnée par les Pouvoirs Publics (conseil régional de la région Pays de Loire, le conseil général de Loire Atlantique, et la ville de Clisson).

Le site "Fdesouche",
comme le signale e-deo, promeut cette manifestation, qui selon son webmestre réagissant dans un commentaire à l'article du Salon Beige, ne serait qu'un "carnaval musical" (sic)... Et pourquoi pas du folklore tant qu'on y est ?!

 

"Fdesouche" sombre de plus en plus dans le relativisme, le conformisme et le religieusement correct. "En vous comportant ainsi, vous éloignez encore plus ces jeunes du droit chemin et vous défaillez à votre mission d'évangélisaton", dit le Webmestre François. Ce personnage qui se définit comme athée, se permet de parler au nom des traditionalistes et de donner des leçons d'évangélisation... 

L'auteur de l'article du Salon Beige, Lahire, a cette superbe réponse : "il est important de dire ce qui est bon et ce qui est mal. Cela fait partie intégrante de l'évangélisation. Vous voyez ce festival comme un carnaval. Nous non. On ne plaisante pas avec le diable, relisez le saint Curé d'Ars. Et dans le doute, on s'abstient. voilà comment nous voyons cela."

La
lecture du jour précise : Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates 5,16-25.
Frères, je vous le dis : vivez sous la conduite de l’Esprit de Dieu ;alors vous n’obéirez pas aux tendances égoïstes de la chair.
Car les tendances de la chair s'opposent à l'esprit, et les tendances de l'esprit s'opposent à la chair. En effet, il y a là un affrontement qui vous empêche de faire ce que vous voudriez.
Mais en vous laissant conduire par l'Esprit, vous n'êtes plus sujets de la Loi.
On sait bien à quelles actions mène la chair :
débauche, impureté, obscénité,
idolâtrie, sorcellerie, haines, querelles, jalousie, colère, envie, divisions, sectarisme,
rivalités, beuveries, gloutonnerie et autres choses du même genre
. Je vous préviens, comme je l'ai déjà fait : ceux qui agissent de cette manière ne recevront pas en héritage le royaume de Dieu.
Mais voici ce que produit l'Esprit : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi,
humilité et maîtrise de soi. Face à tout cela, il n'y a plus de loi qui tienne.
Ceux qui sont au Christ Jésus ont crucifié en eux la chair, avec ses passions et ses tendances égoïstes.
Puisque l'Esprit nous fait vivre, laissons-nous conduire par l'Esprit." (Fin de citation)



Ce qui est grave, c'est qu'en mettant au même niveau ce "carnaval" (sic) avec le pélerinage de Chartres, "Fdesouche" relativise le bien et le mal. Dieu et Satan au même niveau. C'est ignoble (combien d'âmes vont se perdre lors de cette manifestation?) et, d'un point de vue simplement sociétal, irresponsable. Des jeunes penseront qu'il n'y a rien de mal à assister à ce genre de manifestation, dès lors, beaucoup reproduiront les pratiques dégénérées et cathophobes de ses organisateurs.

Question : comment des pouvoirs publics RESPONSABLES, censés interdire les troubles à l'ordre public, peuvent-ils promouvoir ce type de manifestation satanique qui ne manquera pas de susciter des profanateurs de nos cimetières et de nos églises ? 


Autre question : au pays de la "laïcité", comment se fait-il que les Pouvoirs Publics subventionnent des manifestations sataniques ? N'y a-t-il pas là violation du principe de laïcité ?

En cette jolie fête de la Pentecôte, prions, et ayons des intentions pour nos jeunes. Que ceux que Notre Seigneur Jésus-Christ tient dans sa main, la diable ne puisse pas les enlever.

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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 07:25

V Jeudi 28 mai, la statue de Notre-Dame et une croix de procession ont été brisées dans la crypte de la cathédrale de Verdun.

La statue en pierre de Lavaux de Notre-Dame
a été basculée en arrière de son socle. La Vierge à l'Enfant, sculptée par Henri Bouchard en 1932, s'est brisée. La croix de procession en métal qui était fixée sur une colonne à sa gauche est à terre en plusieurs morceaux. Depuis 1996, la statue de Notre-Dame, couronnée en 1946 par le cardinal Roncalli, nonce apostolique en France et futur pape Jean XXIII, est classée Monument Historique. Un expert des Bâtiments de France est donc venu constater l'ampleur des dégâts.

Après s'être rendus sur les lieux, Michel Collet, responsable des travaux, et le père Guy Lescanne ont déposé plainte. Les policiers ont ouvert une enquête et effectué un relevé d'empreintes. Le père Guy Lescanne, recteur de la cathédrale, a déclaré :

"Cela fait 1.600 ans que l'on prie Marie ici et rien de tel ne s'était jamais produit".

Le Salon Beige

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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 20:24


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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 20:22
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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 12:34

Kings of the Crown of Castile 1230-1516

Une vidéo de la Couronne de Castille et de ses rois, probablement une des couronnes les plus puissantes du Moyen âge. La Couronne de Castille commence son histoire après l'union des vieux royaumes de Castile et Léón en 1230 sous le roi Ferdinand III appelé le Saint.
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29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 15:05

Alexandre Iaroslavitch Nevski est un prince de Novgorod, Grand-prince de Vladimir et de Kiev au XIIIe siècle, héros national russe et saint de l'Église orthodoxe russe, célèbre pour avoir battu les Suédois à la bataille de la Néva (d’où son surnom).
Prokofiev ecrivit cette cantate comme musique du film de Sergueï Eisenstein (1938.
Cette cantate est ici dirigé par Fritz Reiner (enregistrement de 1959). 
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 11:03
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 11:02

Southern Confederate Rebel Soldier - Truth


God Save the South!!


...It symbolizes to me Freedom from oppressive authority... Southern Charisma.
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 11:01
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 11:01
 
Crystal Gayle - carolina
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 11:00
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 11:00

Saint Théodore le Studite, Mosaïque byzantine du XIe siècle du monastère Nea Moni à Chios.



"Il est peut-être utile de reprendre à la fin certains des éléments principaux de la doctrine spirituelle de Théodore. Amour pour le Seigneur incarné et pour sa visibilité dans la Liturgie et dans les icônes. Fidélité au baptême et engagement à vivre dans la communion du Corps du Christ, entendue également comme communion des chrétiens entre eux. Esprit de pauvreté, de sobriété, de renoncement ; chasteté, maîtrise de soi, humilité et obéissance contre le primat de sa propre volonté, qui détruit le tissu social et la paix des âmes. Amour pour le travail matériel et spirituel. Amitié spirituelle née de la purification de sa propre conscience, de son âme, de sa propre vie. Cherchons à suivre ces enseignements qui nous montrent réellement la voie de la vraie vie."

Benoît XVI,
Catéchèse prononcée mercredi 27 mai 2009 au cours de l’audience générale, place Saint-Pierre.

http://news.catholique.org/25088-audience-generale-du-27-mai-theodore-le

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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 19:45
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 19:53
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 19:53
Look Away, Dixieland
ORIGINAL recording of it in 1916 by Confederate Veterans

Dixie

For Virginia

Pickett's Charge (Part 2: The March)
Scènes du film Gettysburg, réalisé en 1993, dirigé par Ronald F. Maxwell


Pickett's Charge (Part 3: The Battle)
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 13:15


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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 13:14

Half the way
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 07:02

Shlomo Sand parle de l'ethnocentrisme en Israel

L'historien Israelien Shlomo Sand, auteur de "Comment le peuple juif fut inventé", définit l'ethnocentrisme sioniste : "si vous n'êtes pas de parents juifs vous n'êtes pas juifs, vous ne pouvez pas devenir juif, sauf si vous êtes converti religieusement"... C'est la base de la définition de l'Etat d'Israël. (00:37 au compteur)


Sionisme et invention du peuple juif
envoyé par Takarai.

Ferry et Julliard sur LCI analysent la thèse du nouveau livre de l'historien Israelien Shlomo Sand "Comment le peuple juif fut inventé". A écouter malgré quelques approximations de Ferry.


Maurice Sartre sur Shlomo Sand

Maurice Sartre exprime son accord pour l'essentiel avec la thèse de son collègue, pour qui la notion de "peuple juif" est une fiction. Par exemple, sur Gaza, Maurice Sartre met les pendules à l'heure (2:54 au compteur) : "contrairement au discours officiel des tenants de 'la Terre sainte qui nous a été donnée, qui était à nous', etc., les Juifs ne sont jamais seuls en Terre sainte, jamais. Quand on voit aujourd'hui la revendication sur Gaza... dans les milieux ultra-religieux qui considèrent Gaza comme un élément de la Terre sainte, historiquement il y a une certitude, c'est que jamais, sauf de très brefs épisodes à la suite de guerres, les maîtres de Jérusalem n'ont tenu Gaza. Gaza c'est le pays des Philistins, et quand même David ou Salomon, ou tous les rois d'Israël et de Juda contrôlent à peu près tout ce qui est en gros la Palestine d'aujourd'hui, ils ne tiennent pas Gaza. C'est très rare que Gaza soit tenu, il y a une petite période au début du Ier siècle avant notre ère, au temps d'Alexandre Jannée. Ce qui est vrai, c'est qu'à l'époque hellénistique, à partir du milieu du IIe siècle av. J.-C. se recrée un Etat juif, hasmonéen, qui fait la conquête de l'ensemble de la Palestine, mais c'est un Etat pluri-ethnique, largement...." 

Maurice Sartre se sépare cependant de Shlomo Sand sur certains points. Sur la diaspora (dispersion), suite à la destruction du second Temple en 70 ap. J.-C., "on sait qu'il y a un grand mouvement d'émigration... la Judée est quasiment interdite aux Juifs, Jérusalem devient la seule ville interdite aux Juifs, il ne faut pas l'oublier, et les Juifs deviennent très minoritaires en Judée; sur la côte ils l'ont toujours été, donc ce n'est pas nouveau, et ils ne sont majoritaires que dans de petits secteurs, notamment en Galilée. ... Beaucoup sont partis, d'autres ont été vendus comme esclaves" (06:38 au compteur)

Maurice Sartre
est un historien spécialiste de l'histoire du monde grec et du monde romain oriental, en particulier du Proche-Orient hellénisé, d'Alexandre à la conquête islamique. Il est l'auteur notamment de :
- Histoires grecques, éd. Le Seuil, Paris, 2006.
- "D'Alexandre à Zénobie : Histoire du Levant antique, IVe siècle avant Jésus-Christ - IIIe siècle après Jésus-Christ", éd. Fayard, Paris, 2001
- La Syrie antique, Gallimard-Découvertes, Paris, 2002
- L’Orient romain. Provinces et sociétés provinciales en Méditerranée orientale d’Auguste aux Sévères (31 avant J.-C. – 235 après J.-C.), éd. Le Seuil, Paris, 1991


Dans D'Alexandre à Zénobie, (p. 927) au sujet de la "diaspora" (dispersion), Maurice Sartre indique que "la destruction du Temple en 70 avait interrompu les sacrifices pour la première fois depuis 586 av. J.-C., tandis que le grand-prêtre et le Sanhédrin disparaissaient dans la tourmente. 

Vers 130,
Hadrien décida de reconstruire Jérusalem. (p. 602)... Il décida d'y faire construire une nouvelle colonie, colonia Aelia Capitolina, autour d'un temple de Jupiter Capitolin construit non à l'emplacement de l'ancien temple dont l'espace reste à l'abandon, mais au coeur de la nouvelle ville, sur l'emplacement du Golgotha. Dès 131-132, la fondation était effective, comme le prouvent des monnaies émises au nom de la nouvelle colonie (B. ISAAC, "Roman Colonies in Judae. The Foundation of Aelia Capitolina", Talanta, 12-13, 1980-1981, p. 31-54.) 

En 134-135, après la nouvelle révolte juive (du faux Messie) Simon Bar Kokhba ("fils de l'étoile"), Hadrien finit par écraser les Juifs à Béthar, près de Jérusalem (ibid., p. 605), où Simon trouva la mort. Les autres chefs furent arrêtés et exécutés. ... Dion Cassius estime que l'on détruisit 985 villages, que 580 000 Juifs trouvèrent la mort au combat et qu'un nombre encore plus grand mourut de faim. Mais "il y eut de très nombreux prisonniers vendus comme esclaves sur les marchés extérieurs et nombreux furent les Juifs à fuir d'eux-mêmes" (Sur tout cela, article fondamental de W. Eck, "The Bar Kokhba Revolt : The Roman Point of View", JRS, 79, 1999, p. 76-89).

... [L]'entrée à Jérusalem fut désormais interdite aux Juifs sous peine de mort, sauf le 9 Ab, anniversaire de la ruine du Temple (Ariston de Pella cité par Eusèbe, HE, IV, 6, 3.) ... Jérusalem devenait non seulement une ville païenne comme les autres, mais la seule de toutes qui soit interdite aux Juifs ! Le caractère juif de la région fut officiellement nié lorsqu'en pleine révolte, sans doute en 133-134, le nom même de la province fut modifié : supprimant toute allusion à son peuplement juif, les Romains transformèrent la Judée en 'Syrie-Palestine' (Cn. Minicius Faustinus Sex. Iulius Severus est nommé 'légat impérial de judée' dans une inscription CIL, III, 2830 = ILS, 1056, et 'de Syrie-Palestine' dans une autre AE, 1904, 9.) (ibid., p. 606.)


La population de Jérusalem, estimée à 10000 ou 15000 habitants, est essentiellement constituée de païens, colons romains issus de l'armée. ... La ville prit rapidement l'aspect d'une ville romaine ordinaire (ibid., p. 647).... D'une manière générale, même si les Juifs sont plus nombreux en Galilée qu'ailleurs, il n'existe plus de terre juive en Palestine (p. 931).
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 07:01

A propos de la foi dans la vie éternelle, Benoît XVI est "convaincu que la question de la justice constitue l'argument essentiel, en tout cas l'argument le plus fort, en faveur de la foi dans la vie éternelle.

Déjà dès les tout premiers temps, la perspective du Jugement a influencé les chrétiens jusque dans leur vie quotidienne en tant que critère permettant d'ordonner la vie présente, comme appel à leur conscience et, en même temps, comme espérance dans la justice de Dieu. La foi au Christ n'a jamais seulement regardé en arrière ni jamais seulement vers le haut, mais toujours aussi en avant vers l'heure de la justice que le Seigneur avait annoncée plusieurs fois
.

Le besoin seulement individuel d'une satisfaction qui dans cette vie nous est refusée, de l'immortalité de l'amour que nous attendons, est certainement un motif important pour croire que l'homme est fait pour l'éternité ; mais seulement en liaison avec le fait qu'il est impossible que l'injustice de l'histoire soit la parole ultime, la nécessité du retour du Christ et de la vie nouvelle devient totalement convaincante."


Encyclique «
Spe Salvi» § 41, trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana,Commentaire du jour
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 07:01
L'échec du système éducatif officiel est patent. Des dizaines de livres ont dénoncé sa décomposition. Pourtant ces livres n'évoquent le plus souvent que l'échec de la transmission des connaissances de base (lire, écrire, calculer, raisonner...) et ne signalent pas le développement corrélatif de l'immoralité et de l'irréligion.

Nous libérant de cette structure, des acteurs ont décidé de faire face et ont fondé des écoles entièrement libres. Ils mettent en œuvre des pédagogies qui ont fait leurs preuves, les perfectionnant au besoin grâce à l'apport des neurosciences.

De telles réalisations ont démontré que l'on peut corriger les handicaps générés

Lire la suite...

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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 15:01

Liszt 'à la chapelle Sixtine': Miserere d'Allegri et Ave verum de Mozart (1st version) S461i (1862)
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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 12:09
Pour beaucoup de catholiques et d’hommes d’Église, après les illusions et l’irénisme de la seconde moitié du XXe siècle, marqué par un discours résolument optimiste sur la modernité, le réveil est brutal. Le dialogue longtemps idéalisé entre « la religion du Dieu fait homme » et « la religion de l’homme fait Dieu », entre un christianisme de progrès et un humanisme vaguement spirituel dans le cadre œcuménique et tolérant d’une « laïcité positive » et d’une société « ouverte » a définitivement atteint ses limites. Car enfin, ce dialogue a-t-il mis en échec la sécularisation toujours croissante de la société ? a-t-il permis de régénérer spirituellement notre siècle ? A-t-il permis de construire une société respectueuse de la loi naturelle ? A-t-il permis à l’Église de réagir efficacement face à la culture de mort, face au génocide physique de l’avortement, face au génocide spirituel de générations entières perverties par le pourrissement moral du libéralisme ambiant ? Ce dialogue a-t-il permis d’éviter la complaisance face à la montée de l’islam ? L’idéologie du dialogue à tout prix n’a-t-elle pas coûté cher à l’Église en terme d’évangélisation ? En terme d’esprit missionnaire ? En terme de conquête des âmes ? Et que dire de l’oubli et du sacrifice de la doctrine du Christ-Roi… Et tout cela pour quels fruits ? Pour quels progrès ?
L’amitié avec le monde finit par convertir à l’esprit du monde. Et l’esprit de l’évangile ne sera jamais conforme à l’esprit du monde.


Voilà les bonnes questions.

Extrait de l'éditorial de l'abbé Vincent Ribeton, supérieur du district de France de la FSSP
Tu es Petrus, avril 2009 via
Le Forum catholique
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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 08:39
Toutes mes félicitations à l'excellent chercheur Hervé Ryssen, auteur d'ouvrages essentiels sur l'idéologie planétarienne des mondialistes. Ilmet en ligne sur son site, en fichier pdf, un résumé de L'Américanisme et la conjuration antichrétienne de Mgr Henri Delassus (1899), via ma propre synthèse surChrist-Roi.net. Qu'il en soit ici remercié.

"Nous venons seulement de découvrir, en ce mois de mai 2009, le livre de Mgr Henri Delassus, publié en 1899. Il nous paraît juste de lui rendre hommage, car il est le premier auteur français, à notre connaissance, à avoir expliqué correctement le projet “planétarien” du judaïsme.

...

Édouard Drumont
, il faut le dire, était passé à côté de cette question, pourtant primordiale. A aucun moment, ni dans sa France juive (1886), ni dans La Fin d’un Monde (1889), il n’a esquissé la moindre explication de la “mission” dont les intellectuels juifs ne cessent de se prévaloir.
Dans les années trente, Lucien Rebatet, lui non plus, n’a jamais exposé les buts du judaïsme.

 

Il a donc fallu attendre Monseigneur Delassus pour comprendre les motivations de la politique juive universelle. Nous vous présentons ici tous les extraits de son ouvrage traitant de ce problème fondamental, en regrettant de ne pas avoir cité ce grand Français dans aucun de nos livres.

http://www.mediafire.com/download.php?0hlwuwnnm3w (fichier pdf à télécharger)

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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 07:01
Les sionistes et les Juifs en général sont malvenus à parler de "racisme" ou même d'"antisémitisme" pour décrédibiliser leurs adversaires lorsque on apprend, de la bouche même d'un historien juif, Shlomo Sand, qu'en réalité ce sont eux, les sionistes qui développent "un discours ethnocentrique, biologique, génétique", "une pensée réellement raciste". Au sens ethnique et purement racial, ce "peuple juif" n'existe pas (ou plus), il s'agit d'une construction sioniste, un mythe national au service de l'Etat d'Israël. 

L’historien Shlomo Sand est l'auteur du livre « Comment le peuple juif a-t-il été inventé ? ». Pour lui, les Juifs qui vivent aujourd’hui en Israël et en d’autres endroits dans le monde, ne sont absolument pas les descendants du peuple ancien qui vivait dans le royaume de Judée à l’époque du premier et du second Temple. Ils tirent leur origine, selon lui, de peuples variés qui se sont convertis au cours de l’Histoire en divers lieux du bassin méditerranéen et régions voisines.

Non seulement les Juifs d’Afrique du Nord descendraient pour la plupart de païens convertis, mais aussi les Juifs yéménites (vestiges du royaume Himyarite, dans la péninsule arabique, qui s’était converti au judaïsme au quatrième siècle) et les Juifs ashkénazes d’Europe de l’Est (des réfugiés du royaume khazar converti au huitième siècle).

A la différence d’autres « nouveaux historiens » qui ont cherché à ébranler les conventions de l’historiographie sioniste, Shlomo Sand ne se contente pas de revenir sur 1948 ou sur les débuts du sionisme, mais remonte des milliers d’années en arrière. Il tente de prouver que le peuple juif n’a jamais existé comme « peuple-race » partageant une origine commune mais qu’il est une multitude bigarrée de groupes humains qui, à des moments différents de l’Histoire, ont adopté la religion juive.

D’après Sand, chez certains penseurs sionistes, cette conception mythique des Juifs comme peuple ancien conduit à une pensée réellement raciste : « Il y a eu, en Europe, des périodes où, si quelqu’un avait déclaré que tous les Juifs appartenaient à un peuple d’origine non juive, il aurait été jugé antisémite séance tenante. Aujourd’hui, si quelqu’un ose suggérer que ceux qui sont considérés comme juifs, dans le monde (...) n’ont jamais constitué et ne sont toujours pas un peuple ni une nation, il est immédiatement dénoncé comme haïssant Israël » (p. 31).

D’après Sand, la description des Juifs comme un peuple d’exilés, errant et se tenant à l’écart, qui « ont erré sur mers et sur terres, sont arrivés au bout du monde et qui, finalement, avec la venue du sionisme, ont fait demi-tour pour revenir en masse sur leur terre orpheline », cette description ne relève que d’une « mythologie nationale ». ... « [D]e même, les premiers bourgeons du nationalisme juif se sont tournés vers cette lumière intense dont la source était le royaume mythologique de David » (p. 81).

Mais alors, quand le peuple juif a-t-il réellement été inventé ?... « Dans l’Allemagne du 19e siècle, à un certain moment, des intellectuels d’origine juive, influencés par le caractère ‘volkiste’ du nationalisme allemand, se sont donné pour mission de fabriquer un peuple "rétrospectivement", avec la soif de créer une nation juive moderne. A partir de l’historien Heinrich Graetz, des intellectuels juifs commencent à esquisser l’histoire du judaïsme comme l’histoire d’un peuple qui avait un caractère national, qui est devenu un peuple errant et qui a finalement fait demi-tour pour revenir dans sa patrie. »

... « [L]es chances que les Palestiniens soient des descendants de l’ancien peuple de Judée sont beaucoup plus élevées que les chances que vous et moi en soyons. Les premiers sionistes, jusqu’à l’insurrection arabe, savaient qu’il n’y avait pas eu d’exil et que les Palestiniens étaient les descendants des habitants du pays. Ils savaient que des paysans ne s’en vont pas tant qu’on ne les chasse pas. Même Yitzhak Ben Zvi, le second président de l’Etat d’Israël, a écrit en 1929, que "la grande majorité des fellahs ne tirent pas leur origine des envahisseurs arabes, mais d’avant cela, des fellahs juifs qui étaient la majorité constitutive du pays". »

« Le peuple ne s’est pas disséminé, c’est la religion juive qui s’est propagée. Le judaïsme était une religion prosélyte. Contrairement à une opinion répandue, il y avait dans le judaïsme ancien une grande soif de convertir. Les Hasmonéens furent les premiers à commencer à créer une foule de Juifs par conversions massives, sous l’influence de l’hellénisme. Ce sont les conversions, depuis la révolte des Hasmonéens jusqu’à celle de Bar Kochba, qui ont préparé le terrain à la diffusion massive, plus tard, du christianisme. Après le triomphe du christianisme au 4e siècle, le mouvement de conversion a été stoppé dans le monde chrétien et il y a eu une chute brutale du nombre de Juifs. On peut supposer que beaucoup de Juifs apparus autour de la mer Méditerranée sont devenus chrétiens. Mais alors, le judaïsme commence à diffuser vers d’autres régions païennes - par exemple, vers le Yémen et le Nord de l’Afrique. Si le judaïsme n’avait pas filé de l’avant à ce moment-là, et continué à convertir dans le monde païen, nous serions restés une religion totalement marginale, si même nous avions survécu. »

« Je me suis demandé comment des communautés juives aussi importantes avaient pu apparaître en Espagne. J’ai alors vu que Tariq Ibn-Ziyad, commandant suprême des musulmans qui envahirent l’Espagne, était berbère et que la majorité de ses soldats étaient des Berbères. Le royaume berbère juif de Dahia Al-Kahina n’avait été vaincu que 15 ans plus tôt. Et il y a, en réalité, plusieurs sources chrétiennes qui déclarent que beaucoup parmi les envahisseurs d’Espagne étaient des convertis au judaïsme. La source profonde de la grande communauté juive d’Espagne, c’étaient ces soldats berbères convertis au judaïsme. »

Aux dires de Sand, l’apport démographique le plus décisif à la population juive dans le monde s’est produit à la suite de la conversion du royaume khazar - vaste empire établi au Moyen-âge dans les steppes bordant la Volga et qui, au plus fort de son pouvoir, dominait depuis la Géorgie actuelle jusqu’à Kiev. Au 8e siècle, les rois khazars ont adopté la religion juive et ont fait de l’hébreu la langue écrite dans le royaume. A partir du 10e siècle, le royaume s’est affaibli et au 13e siècle, il a été totalement vaincu par des envahisseurs mongols et le sort de ses habitants juifs se perd alors dans les brumes.

Shlomo Sand revisite l’hypothèse, déjà avancée par des historiens du 19e et du 20e siècles, selon laquelle les Khazars convertis au judaïsme seraient l’origine principale des communautés juives d’Europe de l’Est. « Au début du 20e siècle, il y a une forte concentration de Juifs en Europe de l’Est : trois millions de Juifs, rien qu’en Pologne », dit-il ; « l’historiographie sioniste prétend qu’ils tirent leur origine de la communauté juive, plus ancienne, d’Allemagne, mais cette historiographie ne parvient pas à expliquer comment le peu de Juifs venus d’Europe occidentale - de Mayence et de Worms - a pu fonder le peuple yiddish d’Europe de l’Est. Les Juifs d’Europe de l’Est sont un mélange de Khazars et de Slaves repoussés vers l’Ouest. »

« Les Juifs formaient, à l’Est, une couche sociale dépendante de la bourgeoisie allemande et c’est comme ça qu’ils ont adopté des mots allemands. Je m’appuie ici sur les recherches du linguiste Paul Wechsler, de l’Université de Tel Aviv, qui a démontré qu’il n’y avait pas de lien étymologique entre la langue juive allemande du Moyen-âge et le yiddish. Le Ribal (Rabbi Yitzhak Bar Levinson) disait déjà en 1828 que l’ancienne langue des Juifs n’était pas le yiddish. Même Ben Tzion Dinour, père de l’historiographie israélienne, ne craignait pas encore de décrire les Khazars comme l’origine des Juifs d’Europe de l’Est et peignait la Khazarie comme la "mère des communautés de l’Exil" en Europe de l’Est. Mais depuis environ 1967, celui qui parle des Khazars comme des pères des Juifs d’Europe de l’Est est considéré comme bizarre et comme un doux rêveur. »

« Il est clair que la crainte est de voir contester le droit historique sur cette terre. Révéler que les Juifs ne viennent pas de Judée paraît réduire la légitimité de notre présence ici. Depuis le début de la période de décolonisation, les colons ne peuvent plus dire simplement : "Nous sommes venus, nous avons vaincu et maintenant nous sommes ici" - comme l’ont dit les Américains, les Blancs en Afrique du Sud et les Australiens. Il y a une peur très profonde que ne soit remis en cause notre droit à l’existence. »

Cette crainte n’est-elle pas fondée ?

« Non. Je ne pense pas que le mythe historique de l’exil et de l’errance soit la source de ma légitimité à être ici. Dès lors, cela m’est égal de penser que je suis d’origine khazar. Je ne crains pas cet ébranlement de notre existence, parce que je pense que le caractère de l’Etat d’Israël menace beaucoup plus gravement son existence. Ce qui pourra fonder notre existence ici, ce ne sont pas des droits historiques mythologiques mais le fait que nous commencerons à établir ici une société ouverte, une société de l’ensemble des citoyens israéliens. »

En fait, vous affirmez qu’il n’y a pas de peuple juif.

« Je ne reconnais pas de peuple juif international. Je reconnais un "peuple yiddish" qui existait en Europe de l’Est, qui n’est certes pas une nation mais où il est possible de voir une civilisation yiddish avec une culture populaire moderne. Je pense que le nationalisme juif s’est épanoui sur le terreau de ce "peuple yiddish". Je reconnais également l’existence d’une nation israélienne, et je ne lui conteste pas son droit à la souveraineté.

... « Du point de vue du sionisme, cet Etat n’appartient pas à ses citoyens, mais au peuple juif. Je reconnais une définition de la Nation : un groupe humain qui veut vivre de manière souveraine. Mais la majorité des Juifs dans le monde ne souhaite pas vivre dans l’Etat d’Israël, en dépit du fait que rien ne les en empêche. Donc, il n’y a pas lieu de voir en eux une nation. »

Qu’y a-t-il de si dangereux dans le fait que les Juifs s’imaginent appartenir à un seul peuple ? Pourquoi serait-ce mal en soi ?

« Dans le discours israélien sur les racines, il y a une dose de perversion. C’est un discours ethnocentrique, biologique, génétique. ... »

http://www.voxnr.com/cc/d_antisionisme/EkEEkEuupEQcHEDTAH.shtml
 

notes

Shlomo Sand est né en 1946 à Linz (Autriche) et a vécu les deux premières années de sa vie dans les camps de réfugiés juifs en Allemagne. En 1948, ses parents émigrent en Israël, où il a grandi. Il finit ses études supérieures en histoire, entamées à l’université de Tel-Aviv, à l’École des hautes études en sciences sociales, à Paris. Depuis 1985, il enseigne l’histoire de l’Europe contemporaine à l’université de Tel-Aviv. Il a notamment publié en français : « L’Illusion du politique. Georges Sorel et le débat intellectuel 1900 » (La Découverte, 1984), « Georges Sorel en son temps », avec J. Julliard (Seuil, 1985), « Le XXe siècle à l’écran » (Seuil, 2004). « Les mots et la terre. Les intellectuels en Israël » (Fayard, 2006)

Source : Ofri Ilani, Haaretz, 21 mars 2008, traduit de l’hébreu par Michel Ghys pour Protection Palestine
ViaVoxnr

Avec Shlomo Sand, c'est la soit-disant "preuve irréfutable" du juif intégriste Rav Ron Chaya (que nous avons rencontré samedi, dans son cours "Comment arrivera la victoire (d'Israël)"), qui s'effondre de haut en bas. Toute la théorie de cet extrémiste (à écouter en entier) qui "défie qui que ce soit au monde de venir démolir sa démonstration" (sic), bâtie sur le soit-disant "peuple juif" préservé par Dieu de tout mélange depuis l'Antiquité..., s'écroule. Le "peuple juif" d'aujourd'hui n'est pas le peuple de l'époque d'Abraham ou de David, argument développé par Rav Ron Chaya par opposition aux autres peuples européens qui auraient, selon lui, bien évidemment tous disparu... Mais Dieu aurait préservé seul le "peuple juif", ce qui prouverait l'élection divine du "peuple juif" (sic)...

Ce que n'ont pas compris ces Juifs fondamentalistes c'est que, conformément aux prophètes, depuis 2000 ans, peu importe la race, Dieu a établi une nouvelle Alliance dans son Christ. Jésus-Christ est le Messie d'Israël qui établit en Lui l'Alliance de Dieu avec tous les hommes, tous les peuples, toutes les races et toutes les nations. Les "Juifs" d'aujourd'hui sont ceux qui disent être juifs "mais ne le sont pas", leur assemblée est "une synagogue de Satan" (Apocalypse, chapitre II, verset 9). Leur vocation est de se convertir au Christ Jésus, Sauveur, Pacificateur et Rédempteur annoncé pour tous les hommes, Christ mort et ressuscité conformément aux prophètes.
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