« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
Le président russe Dmitri Medvedev a exposé dimanche à Sotchi les "cinq principes" de sa politique étrangère, au lendemain de la reconnaissance par Moscou de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud.
"Pour la politique étrangère, je m'inspirerai de cinq principes", a-t-il affirmé dans un entretien accordé à trois chaînes de télévision russes.
Premièrement, la Russie reconnaît la primauté des normes fondamentales du droit international qui régissent les rapports entre les nations civilisées.
Deuxièmement, la Russie prône un monde multipolaire. "L'unipolarité est inacceptable", a souligné le chef du Kremlin. La Russie "ne peut pas accepter un ordre mondial où toutes les décisions sont prises par un seul pays, même aussi important que les Etats-Unis", car ce monde est "instable et conflictuel", a relevé le président russe.
Troisièmement, la Russie ne veut de confrontation avec aucun pays. "La Russie n'a pas l'intention de s'isoler. Nous développerons dans la mesure du possible un partenariat amical avec l'Europe, les Etats-Unis et d'autres pays du monde", a affirmé le chef du Kremlin.
Quatrièmement, la protection de la vie et de la dignité des citoyens russes, "où qu'ils se trouvent", est une priorité incontestée. "Nous défendrons les intérêts de nos entreprises à l'étranger. Et le monde doit savoir qu'il y aura une riposte à toute agression", a-t-il souligné.
Cinquièmement, la Russie défendra ses intérêts dans les régions "amicales". "Comme beaucoup d'autres pays, la Russie a des intérêts privilégiés dans un certain nombre de régions. Ces régions abritent des pays qui entretiennent avec la Russie des liens amicaux", a constaté M. Medvedev, précisant qu'il ne s'agissait pas forcément de pays frontaliers.
Décidément, la Russie ne cessera pas de me surprendre, agréablement. Si ce pays continue comme cela, je lui annonce un avenir glorieux.
Lors de sa visite aux Nations-Unies le 18 2008, Benoît XVI dans son discours à la tribune de l'O.N.U., avait défendu le multilatéralisme "comme une condition indispensable à l'équilibre du monde", et déplora que le multilatéralisme restait "subordonné aux décisions d'un petit nombre"... (une oligarchie...)
Aujourd'hui, Dmitri Medvedev, reprenant quasiment mot pour mot le discours de Benoît XVI, a rejeté «un système mondial où toutes les décisions sont prises par un seul pays, même aussi important que les Etats-Unis». «Un tel monde est instable et porteur de menaces de conflits», a-t-il déclaré. Et de conclure : «Le monde doit être multipolaire, un monde unipolaire est inacceptable».
(Source: Le Figaro, Medvedev : «la décision russe est irrévocable», 31 août 2008)
Depuis toujours, historiquement, la "république" parle-menteuse est un régime corrompu lié aux milieux d'affaires et de finances, eux-mêmes liés à la judéo-maçonnerie israélite marchande cosmopolite.
Le destin des sionistes est intimement lié à celui de la "République" (chose de tous) dite "française". Boris Le Lay le rappelle dans le billet intitulé "Quand on menace un Juif on menace la République et vice versa" (voir la video mettant en scène ce qui nous fait office de présisent de la "république française").
Un "républicain" (sic) sera donc toujours un sioniste convaincu et un fanatique au service d'Israël avant d'être au service de la France et des Français.
Ceci explique pourquoi partout, sur toutes les ondes, et sur toutes les chaînes, la défense d'Iraël, passe par la défense des juifs.
Le jour donc, où l'on souhaitera recouvrir notre indépendance politique par rapport à l'empire atlanto-sioniste démo-"libéral", qui entend soumettre la planète entière à ses dogmes, recouvrir notre liberté de nation libre et souveraine sur son territoire, il s'agira :
1 -de faire sécession (cela est envisageable en retournant contre nos ennemis leur propre création de "droit des peuples à disposer d'eux-mêmes"...), en recréant un Etat parallèle que l'on appellera France avec comme institutions celles de la France historique, catholique et monarchique, en intégrant donc ce que nos ennemis avait prétendu couper de notre destin, la monarchie, la religion.
2- Dans le même temps, on condamnera la "république" et les "républicains", l'une comme un régime étranger ennemi, les autres comme collaborateurs.
La renaissance de la France passe donc d'abord par la reconnaissance de ce qui a fait notre nation en intégrant la religion historique de notre pays qu'est le catholicisme, et la forme monarchique comme nos trésors les plus sacrés et INALIENABLES.
Tous ceux qui prétendront y toucher seront renvoyés dans le camp des collaborateurs et qualifiés d'ennemis déclarés.
Dans ces conditions, et voilà le sujet de cet article, lier la "renaissance de la France", comme je l'ai lu sur scriptoblog en la subordonnant au projet de "refaire la république" est une hypocrisie, et une trahison.
Le titre de cet article : "Soral et la question FN. A propos de : Alain Soral, candidat à la candidature FN en Île-de-France".
On y lit ceci, summum de la trahison, et qui la prouve par là-même en intégrant le projet israélite de fusions des peuples et des nations via la "république" :
"La France qui renaîtra, je cite (sic), après la tourmente, ne sera pas celle que nous avons connue. Elle ne sera pas purement européenne sur le plan ethnique. Elle ne sera pas non plus chrétienne, en tout cas pas entièrement. Elle portera en elle une part de l’Afrique et une part de l’Asie."
Que voulez-vous de plus ? Que l'on vous dise que votre nation française et chrétienne est morte, soyez heureux?!
On ne peut pas s'entendre avec ces gens-là, ouvertement pro-"république", qui subordonnent notre avenir à celui de la république universelle d'Adam Weishaut, le tout au nom de la Résistance. Faut le faire! Quelle houtzpa! Le summum de la trahison et de l'hypocrisie.
Plus que jamais donc avec Sainte Jeanne d'Arc, boutons les envahisseurs hors de France!!
... à moins de se renier et d'aliéner à jamais le destin de notre patrie. Chose impensable.
Ils trouveront systématiquement en face d'eux les authentiques résistants français, antisionistes, et donc antirépublicains.
La vidéo a été envoyée ce vendredi 29 aout vers 19h, et n’est toujours pas enlevée par Dailymotion, qui a pourtant été bien plus diligent sur d’autres “coups”.
Il est demandé d’urgence aux internautes amis de faire des copies de cette vidéo, de la stocker, de l’envoyer à Bonnie Produtions.
Via Nationspresse.info
On attend les protestations et les indignations des ligues "antiracistes".
LONDRES (NOVOpress) – Le « carnival » de Notting Hill, à Londres, présenté comme le plus important en Europe avec près d’un million de participants, s’est achevé dans la nuit de lundi à mardi dernier par un déchainement de violence.
... pour l’AFP : « Dans l’ensemble, cet événement, qui attire chaque année plusieurs centaines de milliers de personnes et a parfois été endeuillé par des actes de violence, s’est déroulé dans le calme ». ... A vous de juger.
La video présentée par Novopress étant déjà censurée via "youtube" ("Cette vidéo ou ce groupe a été signalé par la communauté des utilisateurs YouTube et peut donc comprendre des contenus pouvant offenser certains utilisateurs"), voici celle-ci, en attendant une nouvelle censure citoyenne..
Notting Hill Carnival ends in riot
Section des droits de l’homme : « Oui, à la nouvelle affreuse de l’assassinat de Marat, tous, d’un mouvement naturel et spontané, (nous) aurions à l’instant vengé sa mort, si nous n’eussions réfléchi que cette mesure pouvait être nuisible à la liberté et servir la cause de nos ennemis (…) [Toujours le même prétexte, la défense de la 'liberté', les 'droits de l'homme', etc.] Nous sommes assurés que le calme que nous gardons, notre force et notre union feront la terreur des tyrans et conserveront à jamais notre république entière » (Archives Nationales, C 262).
Danton, le 12 août à la Convention : « Les députés des assemblées primaires viennent d’exercer parmi nous L’INITIATIVE DE LA TERREUR (…) Signalons la vengeance populaire par le glaive de la loi sur les conspirateurs de l’intérieur ».
Robespierre le même jour « Que le glaive de la loi plane avec une rapidité terrible sur la tête des conspirateurs, frappe de terreur leurs complices, inspire la terreur à tous les ennemis de la patrie »
... Royer, ... occupe une place centrale dans les débats au sein du club des Jacobins au cours de la seconde quinzaine d’août. Il réitère la demande de levée en masse et l’insère dans un appel à l’organisation du mouvement révolutionnaire, auquel se rallient les jacobins les plus radicaux... Il n’est donc pas étonnant que nous lui devons la première occurrence du mot d’ordre dans son discours à la séance des Jacobins du 30 août :
« Royer, qui ne veut plus de mesures partielles, rappelle que Danton dit une grande vérité lorsqu’il était président de la convention : Marat avait une fièvre révolutionnaire, et ce que disait Marat était excellent, mais on ne l’écoutait pas. On n’écoute pas davantage ceux qui parlent aujourd’hui comme lui (…) Qu’on place la terreur à l’ordre du jour, c’est le seul moyen de donner l’éveil au peuple et de le forcer à se sauver lui-même (…) On met aux voix la motion de Royer de mettre à l’ordre du jour les dernières mesures de salut public ; elle est adoptée » (Journal des débats de la société des Jacobins, N° 486.).
« Vous avez placé, dit Royer, la terreur à l’ordre du jour. Qui pourrait imprimer la terreur avec plus de succès qu’une armée révolutionnaire de trente mille hommes, divisée en plusieurs corps volants, accompagnée d’un tribunal révolutionnaire et d’une guillotine, faisant justice sur tout le territoire français des nobles, des traîtres, des modérés et des conspirateurs ». (Journal des débats de la société des Jacobins N° 487.)
Qu'y voit-on ? Trois visages : à gauche le Père, au centre le Fils et à droite le Saint Esprit. Ces visages sont identiques ce qui indique qu'ils sont de même nature et que seul leur rôle permet de les différencier, respectivement celui du créateur, du sauveur et du sanctificateur.
Au-delà de leur aspect, le lien qui unit les trois figures passe par un échange de regard qui permet de mieux saisir ce qui est au coeur du message évangélique : l'amour. Cet amour est nécessairement tourné vers l'extérieur car on aime quelqu'un ou quelque chose ; c'est le sens même de la création.
Un dieu monolithique et centré sur lui-même n'aurait tout simplement jamais été un dieu créateur. Jamais il n'aurait pu être un Père.
Via le Réactionnaire Authentique
"La Trinité est le pivot du christianisme, par conséquent la première assise des sociétés, nées du christianisme. Otez ce dogme, et l'incarnation du Verbe n'est plus qu'une chimère; la rédemption du monde, une chimère; l'effusion du Saint-Esprit, une chimère; la communication de la grâce, une chimère ; les sacrements, une chimère ; le christianisme tout entier, une chimère; et la société, une ruine"
(Trinitatis fides per quam subsistit omnis Eccesia. Origène, homil. IX in Exod., n. 3. - De mysterio agimus, quod fidei nostrae praecipuum caput est, et totius christianae religionis fundamentum. Hoc sublato, jam nulla esset Verbi incarnatio, nulla Christi satisfactio, nulla hominum redemptio, mulla Spiritus sancti effusio, nulle gratiarum largitio, nulla sacramentorum efficacia: totum rueret salutis opus. Lieberm., Instit. Theolog., t. III, p. 123, in Mgr Gaume, Traité du Saint-Esprit, 1865, troisième édition, Gaume et Cie Editeurs, 3 rue de l'Abbaye, Tome 2, Paris 1890, p. 13).
MOSCOU, 28 août - RIA Novosti. Certaines forces aux Etats-Unis auraient pu provoquer le conflit en Géorgie pour privilégier l'un des candidats à la présidentielle aux Etats-Unis, a déclaré jeudi le premier ministre russe Vladimir Poutine dans une interview à la chaîne CNN.
"Si mes hypothèses se confirment, le soupçon surgira que quelqu'un aux Etats-Unis a créé ce conflit à dessein dans le but d'aggraver la situation et de privilégier l'un des candidats à la présidence", a fait savoir le premier ministre russe.
(Afp) Interrogé par la chaîne de télévision américaine CNN, M. Poutine a d'après ITAR-Tass suggéré que les Etats-Unis avaient jugé plus simple d'armer le camp géorgien et de le pousser au "meurtre" que de s'impliquer dans de laborieuses négociations.
L'abbé Guillaume de Tanoüarn (I.B.P.) présente sur son blog une facette intéressante de Soljénitsyne, celle du réformateur lu par Poutine :
"Soljénitsyne n’a rien d’un libertaire. Dans Le Premier Cercle et plus encore dans Le Pavillon des cancéreux, il apparaît comme infiniment plus proche du chrétien slavophile Dostoïevski que de l’humaniste Tolstoï. S’il est resté si longtemps aux Etats unis, dans sa vaste propriété de Vermont, après la chute du Rideau de fer, je crois que c’est un peu comme un amoureux qui a peur de retrouver sa belle après une longue absence et de ne pas la reconnaître. Du reste, aussitôt rentré, alors que les lampions de la réception nationale qui lui était faite ne s’étaient pas encore éteints, il publia un livre qui le fit désormais bannir des cénacles occidentaux et autres pensoirs à la mode de chez nous. Cela s’intitulait : Comment réaménager notre Russie. C’était en 1990. Gorbatchev avait jeté le gant. Eltsine le remplaça, sans que l’on sache trop à quel type de régime on avait à faire.
Soljénitsyne, resté dans la ligne de ses Discours de Harvard et des petits opuscules qui suivirent sur le Déclin du courage dans le monde libre, eut pour première préoccupation d’éviter une imitation compulsive de l’Occident matérialiste. Sur les 84 pages que comporte ce petit ouvrage, qui pèsera si lourd dans le nouvel exil, dans l’exil intellectuel qui frappa Soljenitsyne au cours des années 90, 24 pages traitent de manière radicale du problème des nationalités dans l’empire russe. Soljénitsyne voulait que l’on se débarrasse du « gros ventre de l’empire ». Il a été entendu. Dans les 57 autres pages, il cherche à définir un régime viable pour la Russie nouvelle, un véritable réaménagement intérieur.
Il a en vue une démocratie, mais pas cette démocratie qui s’affirme comme principe universel de l’existence humaine et presque comme objet de culte ». Il cherche un régime « qui n’oublie pas les chemins de jadis » (Soljénitsyne, soulignons-le, fut aussi un grand historien, fervent admirateur de l’œuvre réformatrice de Petr Stolypine, premier ministre de Nicolas II, assassiné en 1911). Pour lui, la démocratie est la meilleure solution pour gérer les intérêts locaux. Mais elle ne saurait devenir partisane sans se renier : « Le pouvoir, affirme-t-il en 1990, est une chose sacrée, il consiste à servir et ne saurait être l’objet de la concurrence des partis ». Et il enchaîne : « Aucune décision radicale concernant la destinée de l’Etat n’est du ressort des partis et ne peut leur être confiée ». Mais alors direz-vous comment faire ? Interdire les partis ? Non : « Un candidat élu doit pour toute la durée de son mandat, quitter le parti auquel il appartient et agir sous sa seule responsabilité ». Pourquoi une telle sévérité ? Tout simplement pour « ne pas donner aux hommes politiques professionnels la possibilité de substituer leurs personnes à la voix du pays ». A tout prix, il souhaite éviter la tyrannie d’ « un clan de quelques milliers de politiquants sur des millions de politiqués passifs ». En termes français, il fait tout pour éviter la dictature du pays légal sur le pays réel.
En Europe, on s’étrangle lorsqu’on prend connaissance de ce plan de réaménagement de la Russie, que Vladimir Poutine a dû lire et relire. Dans Libération du 26 septembre 1990, Bernard Henry Lévy, toujours conscient d’exprimer le consensus des grandes consciences, prononce la formule du bannissement intellectuel : « Il n’est pas récupérable : Adieu Soljénitsyne ». Vous avez bien lu : il s’agit d’un adieu. Non seulement sans remords, mais définitif et irrévocable. En cause : ce petit opus de 84 pages : Comment réaménager notre Russie. En 1977, BHL avait trouvé le courage d’écrire un beau livre. Il l’avait vigoureusement intitulé : La barbarie à visage humain. Tout le monde était sous le coup de la publication fracassante en Occident de l’Archipel du Goulag. A l’époque, Soljenitsyne était un martyr, expulsé d’URSS en février 1974, parce que sa dénonciation du goulag lui avait valu le prix Nobel (qu’on l’empêcha d’ailleurs de recevoir). Ce saint laïque n’était plus rien. Motif : il avait osé s’en prendre aux élites politiques de l’Occident et les déclarer non représentatives. Il avait osé réfléchir à un autre régime pour sa patrie que les régime des partis, partout présenté comme le meilleur des régime, le seul capable d’apporter la liberté.
Le crime idéologique était énorme. L’ostracisme qui entoura désormais l’œuvre de Soljénitsyne fut à la mesure de son crime.
Il avait osé déchirer ce que le théoricien américain John Rawls appela lui-même le voile d’ignorance, nécessaire à l’épanouissement des démocraties à l’Occidentale. Il avait osé appeler un chat un chat, déclarer que le roi était nu, que la liberté occidentale était souvent un esclavage et toujours une destruction méthodique de ce que l’homme a de plus précieux : son âme. « La destruction de nos âmes par ces trois quarts de siècles, voilà ce qui est le plus effrayant » déclarait-il. Et il poursuivait : « Le rideau de fer a parfaitement protégé notre pays de tout ce que l’Occident possède de bon. Mais il ne descendait pas jusqu’en bas : du purin filtrait par dessous. Et ce ruisseau malpropre, notre télévision le répand avec empressement dans tout le pays ».
Les amateurs de purin n’ont pas apprécié ce langage cru, ce langage de zek. Sorti d’un camp de concentration où il avait découvert la liberté intérieure, Soljénitsyne s’est senti le devoir d’en enseigner les voies à un monde esclave des apparences et contraint à l’immédiateté. Cette leçon magistralement réactionnaire, cette leçon de vie face à la culture de mort, il faut bien reconnaître qu’elle n’est pas passée. C’est le privilège des grandes pensées et des grandes œuvres que d’arriver trop tôt. L’écologie spirituelle d’Alexandre Soljenitsyne n’est pas pour aujourd’hui. Il faudra bien qu’elle soit pour demain.
Joël Prieur
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Encadré : Soljenitsyne aggrave encore son cas
Le rapprochement entre la Révolution française et la Révolution russe a été établi récemment par Stéphane Courtois dans Le Livre noir de la Révolution française (éd. du Cerf 2008). Soljenitsyne avait déjà risqué ce parallèle franco-russe, par la bouche de Sologdine (en fait son ami Dimitri Panine), dans ce qui est sans doute le plus grand de ses romans : Le premier cercle. On pouvait lire : « Toute la grandeur de la France prend fin au XVIIIème siècle ! Qu’est-ce qu’il y a eu après l’émeute ? Une poignée d’hommes égarés ? Une complète dégénérescence de la nation, oui ! Les gouvernements jouant à saute-moutons pour la grande joie du monde entier ! L’impuissance ! L’aboulie ! La cendre ! La France ne se relèvera plus, si ce n’est grâce à l’Eglise romaine ». La dernière phrase ne reflète évidemment pas tout à fait la pensée du très orthodoxe Soljenitsyne. Son ami Sologdine-Panine, lui, s’est converti au catholicisme. Mais tout indique que l’auteur prend néanmoins très au sérieux ces paroles enfiévrées ! Et qu’il retient ce diagnostic en forme de rendez-vous avec l’avenir. Sa présence au Puy du Fou, aux côtés de Philippe de Villiers ne devait décidément rien au hasard."
SOTCHI, 27 août - RIA Novosti. La Russie sera obligée de réagir "militairement" si l'OTAN déploie ses missiles à proximité de ses frontières, a déclaré le président russe Dmitri Medvedev dans une interview accordée mercredi à la chaîne de télévision panarabe Al-Jazeera.
"Pour ce qui concerne le bouclier antimissile, le déploiement de missiles en Pologne et d'un radar en République tchèque, cela n'est qu'un pas de plus vers l'attisement des tensions. Nous ne pouvons pas considérer cette démarche autrement que comme dirigée contre la Russie, quels que soient les motifs évoqués en l'occurrence par les pays de l'OTAN", a-t-il affirmé.
"On nous raconte que certains pays représentent une menace, c'est du blabla, a-t-il poursuivi. Ces missiles, une fois installés à proximité de nos frontières, nous menaceront, c'est certain. Cela ne manquera pas d'aggraver les tensions, et nous serons amenés à réagir, naturellement par des moyens militaires."
"Je pense que l'OTAN le comprend parfaitement. C'est le choix de l'Alliance atlantique, ce n'est pas nous qui installons des missiles", a ajouté le chef du Kremlin.
Washington envisage de déployer en Europe de l'Est des éléments de son bouclier antimissile pour parer à d'éventuelles attaques venant d'Iran ou de Corée du Nord. Il compte ainsi installer un radar en République tchèque et dix missiles intercepteurs en Pologne. Moscou, se sentant menacé, a exprimé à plusieurs reprises son hostilité envers ce projet malgré les tentatives américaines pour rassurer la Russie.
Dans le même temps, on apprend que le sinistre des Affaires Etrangères B. Kouchner "évoque des sanctions contre la Russie". "Les Russes, dit-il sont un peu nerveux"... N'est-ce pas plutôt les atlanto-sionistes les "nerveux" en décidant d'agresser militairement l'Ossétie du Sud le 7 et 8 août ? Je pose la question.
Non satisfaite de la raclée prise, "l'Otan reprend les livraisons d'armes à la Géorgie" (Lavrov). ... Le chef de la diplomatie russe estime alors que "ceux qui cherchent à innocenter Saakachvili font preuve d'un cynisme et d'une hypocrisie sans limites". Invité à citer les pays qui fournissent actuellement des armes à la Géorgie, M. Lavrov a répondu: "Pratiquement tous les Etats qui livrent actuellement des armes à la Géorgie sont membres de l'OTAN".
Contrairement à l'information sioniste occidentale présentant la Russie comme une "autocratie"... "seule et isolée"... "les dirigeants de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) ont signé jeudi plusieurs documents conjoints dont une déclaration commune lors du sommet de Douchanbe.
... Les États membres de l'OCS (Chine, Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Russie, Tadjikistan et les pays observateurs - Iran, Mongolie, Inde et Pakistan) se déclarent prêts à intensifier leur coopération sociale, économique et humanitaire, ainsi que dans la lutte contre le terrorisme, le trafic de drogue et la criminalité transnationale.
Les chefs d'État de l'OCS ont en outre signé un accord sur l'organisation d'exercices antiterroristes conjoints, un accord intergouvernemental sur la lutte contre le trafic d'armes, de munitions et d'explosifs, ainsi qu'un mémorandum sur le partenariat entre l'Union interbancaire de l'OCS et la Banque eurasiatique de développement. Par ailleurs, ils ont approuvé un rapport sur les activités de la structure antiterroriste de l'OCS en 2007.
Le Kazakhstan soutient les actions russes en Géorgie et estime qu'elles sont appelées à protéger les civils sud-ossètes, a déclaré jeudi à Douchanbe le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev lors d'une rencontre avec son homologue russe Dmitri Medvedev.
"L'Occident a fermé les yeux sur l'offensive des Forces armées géorgiennes contre Tskhinvali.
C'était le début, à mon avis. Nous considérons que toutes les mesures prises ensuite par la Russie étaient destinées à protéger les habitants de la ville martyre. La Russie pouvait soit ignorer soit mettre fin à l'effusion de sang", a indiqué M.Nazarbaïev à l'issue du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS).
"Jean-Michel Quillardet, Grand Maître du Grand Orient de France, a célébré la pose de la première pierre du Musée de la franc-maçonnerie, le 27 juin dernier. Dans l’assistance on trouve, entre autres, Anne Hidalgo (1e adjointe au maire de Paris), le maire du 9e arrondissement de Paris, l’adjoint au maire de Paris chargé de la culture, le directeur de cabinet d’un ministre, le directeur régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France, le vice-chancelier des universités.
Jean-Michel Quillardet a remercié la région Ile-de-France pour son soutien financier dans la réalisation de ce projet de musée, ainsi que l’Etat et la ville de Paris. Quillardet se félicite par ailleurs de la séparation de l'Eglise et de l'Etat (alors même qu'il ne réagit pas au financement des mosquées), alors que cette séparation a scellée l'union indissoluble de la maçonnerie et de l'Etat." Via Le Salon Beige
Voilà où passe l’argent des contribuables parisiens, franciliens et français (une "séparation de l'Eglise et de l'Etat" à double vitesse) :
Autrefois, durant "les heures sombres de notre histoire", les gens payaient la dîme, une contribution à l'Eglise servant à entretenir la charité et l'assistance publique. Ce qu'ils payaient à l'Eglise, ils ne le payaient pas à l'Etat qui n'avait pas pour mission d'entretenir la "charité publique"... Le clergé assumait donc la charge des pauvres, des malades, des infirmes en général et de tous les déshérités de la vie (hôtels-dieu, hospitalité monastique, asiles pour les pauvres, hospices pour les vieillards, enfants abandonnés, orphelins, Ordre de Saint Antoine, soin des lépreux, léproseries, ordre de Saint –Lazare, etc.), charges qui aujourd'hui pèsent sur les budgets de l'Etat "libéral" ou des collectivités territoriales, départements et communes, et donc sur les contribuables.
Outre la dîme, les riches faisaient des aumônes libres. Ils donnaient ce qu'ils voulaient. Aujourd'hui, après quantités d'autres impôts, une foule de taxes et de contributions diverses obligatoires, dont l'impôt sur le revenu..., l'Etat "libre" et "républicain", avec son Eglise maçonnique, décrète une nouvelle dîme, générale et obligatoire pour tous, la taxe sur les revenus du patrimoine, "à hauteur de 1% pour financer le coût du dispositif RSA". Les missions de l'Etat républicain "libre" & "égal" dépassent de très loins les prérogatives régaliennes de l'Etat classique, pour revêtir des missions d'ordre quasi-religieux. Un mot en remplace un autre, "solidarité" contre charité...
Piqûre de rappel: dans le programme de libération de l'esclavage dans lequel les hommes sont enfermés, les porteurs de lumières prévoient, notamment, de détruire la propriété..., car disent-ils, "les fruits sont à tous et la terre n'est à personne"...
Ha oui, j'oubliais (!)..., "le complot n'existe pas"...
Avec la reconnaissance hier 26 août de l'indépendance de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie par la Russie, le Kosovo est "le précédent horrible qui revient dans la gueule" des occidentaux. Poutine, ceinture noire de judo, a utilisé la force de ses ennemis pour la retourner contre eux. Les Occidentaux avaient joué au feu en reconnaissant l'indépendance du Kosovo, contre l'avis de la Russie, maintenant la Russie leur renvoie la politesse. M'est avis qu'ils feraient bien d'y réfléchir à deux fois avant d'attaquer la Russie, et se souvenir Napoléon, Hitler...
"Fais ce que je dis pas ce que je fais"...
Le décret sur la liberté de religion est un des problèmes posé par le concile. Dans les faits la vraie religion catholique a renoncé, au nom d'une tolérance dévoyée, au règne social de Notre Seigneur en ce monde. Et dans bien des cas, l'Eglise elle-même l'a favorisé.
Dans la cité, la religion catholique est désormais absente. Monsieur W. Wuermeling avait envisagé la création d'un parti européen et chrétien. Mais l'aspect confessionnel d'une telle entreprise dans les circonstances républicaines et multiculturelles ne peut pour l'instant aboutir. En revanche, Dieu bénisse l'Autriche, un parti uniquement chrétien a été fondé dans ce pays, il s'agit de "Die Christen". Son but est de défendre bien des principes catholiques mis à mal par une tolérance débile. Via le Forum catholique
Site: http://www.diechristen.at/
20 000 manifestants royalistes ont pris d'assaut une chaîne de télévision (AP Photo/Sakchai Lalit). Crédits photo : AP
Accusant Samak Sundaravej d'être «une marionnette» de l'ex-premier ministre renversé Thaksin Shinawatra, les manifestants ont fait irruption mardi dans le complexe abritant les bureaux du chef du gouvernement,à Bangkok. La police thaïlandaise leur a donné jusqu'à 18h00 (11h00 GMT) pour quitter l'enceinte, a indiqué mardi un haut responsable de la police, estimant qu'«ils avaient provoqué des désordres et enfreint la loi».
Vêtus pour la plupart de jaune en signe d'allégeance au roi de Thaïlande Bhumibol Adulyadej, les protestataires, dont le nombre total dépasse les 20 000 selon la police, appartiennent à «l'Alliance du peuple pour la démocratie» (PAD). (Le Figaro, Le siège du gouvernement thaïlandais pris d'assaut, 26/08/2008)
Après la révolution orange, la jaune ! Chacun son tour.