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Christ Roi

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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 19:06
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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 11:03
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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 09:29
"Les hommes politiques irlandais et européens se sont mis d'accord sur une stratégie commune : l'Irlande devra revoter sur le traité de Lisbonne, avec éventuellement quelques déclarations interprétatives sur la fiscalité, l'avortement ou la neutralité qui ne modifient en rien le traité constitutionnel.

Pour ne pas "polluer" les élections européennes, le referendum aurait lieu à l'automne 2009 afin que le Traité de Lisbonne entre en vigueur un an plus tard.
Il convient de rappeler que le Traité de Lisbonne est mort depuis son rejet par la peuple irlandais le 12 juin dernier et que les tentatives désespérées de Sarkozy et consorts de le ressusciter sont vouées à l'échec.

Pour sa part, le Front National fera campagne aux élections européennes sur le NON au traité de Lisbonne et OUI à l'Europe des Nations et des peuples libres."
Communiqué de presse de Jean-Marie Le Pen du mercredi 17 septembre 2008, sur un nouveau référendum en Irlande.

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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 21:44

LOURDES (Hautes-Pyrénées), 14 sept 2008 (AFP) - Pas de "subordination servile" entre le pape et les évêques (Mgr Vingt-Trois)

Le cardinal André Vingt-Trois, président de la Conférence des évêques de France, a souligné que les relations entre le pape et les évêques "ne sont pas des rapports de subordination servile".

"Les rapports du pape avec les évêques ne sont pas des rapports de patron à employés. Il n'est pas un PDG d'une multinationale qui vient visiter une succursale", a déclaré Mgr Vingt-Trois lors d'un point de presse tenu après la rencontre entre le pape et les évêques.

"Nous l'avons accueilli et écouté comme un frère qui vient conforter la foi de ceux avec qui il travaille et il est en communion", a ajouté le cardinal aarchevêque de Paris.

"Nous sommes dans un rapport de communion, d'affection, de collaboration et quand nous avons des choses à lui dire, nous les lui disons", a affirmé Mgr Vingt-Trois.

Auparavant, le pape avait, devant les évêques, prôné la fermeté de l'Eglise face aux défis du monde contemporain, une intervention aux accents de mise au point qui fut assez tièdement applaudie. Via
le Forum catholique

Rappel du droit canon à Mgr Vingt-Trois : ce n'est pas au pape à être en communion avec les évêques, mais le contraire :

CHAPITRE II

LES ÉVÊQUES

Art. 1

LES ÉVÊQUES EN GÉNÉRAL

Can. 375 - § 1. Les Évêques qui d'institution divine succèdent aux Apôtres par l'Esprit Saint qui leur est donné sont constitués Pasteurs dans l'Église pour être, eux-mêmes, maîtres de doctrine, prêtres du culte sacré et ministres de gouvernement.

§ 2. Par la consécration épiscopale elle-même, les Évêques reçoivent avec la charge de sanctifier, celles d'enseigner et de gouverner, mais en raison de leur nature, ils ne peuvent les exercer que dans la communion hiérarchique avec le chef et les membres du Collège.


Can. 333 - § 1. En vertu de sa charge, non seulement le Pontife Romain possède le pouvoir sur l'Église tout entière, mais il obtient aussi sur toutes les Églises particulières et leurs regroupements la primauté du pouvoir ordinaire par laquelle est à la fois affermi et garanti le pouvoir propre ordinaire et immédiat que les Évêques possèdent sur les Églises particulières confiées à leur soin.
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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 21:29

(Afp) Benoît XVI a pris soin de souligner que le Vatican "désirait respecter" l'"originalité de la situation française" et affirmé que "l'Eglise ne revendiquait pas la place de l'Etat" et "ne voulait pas se substituer à lui".

Il a néanmoins plaidé pour "la mise en évidence des racines chrétiennes de la France (qui) permettra à chacun des habitants de ce pays de mieux comprendre d'où il vient et où il va".

"Dans le cadre institutionnel existant et dans le plus grand respect des lois en vigueur, il faudrait trouver une voie nouvelle pour interpréter et vivre au quotidien les valeurs fondamentales sur lesquelles s'est construite l'identité de la nation", a affirmé l'évêque de Rome.

Dans la matinée, Benoît XVI avait rendu hommage à Marie, "étoile de l'espérance", en célébrant une messe pour le "150e anniversaire des apparitions de la Vierge à Bernadette Soubirous", but premier de son voyage de quatre jours en France.

Comme à Paris, le pape a donné la communion dans la bouche aux fidèles, qui l'ont reçue à genoux.

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 23:22
 Benoît XVI a célébré samedi sur l'esplanade des Invalides à Paris une messe où il a fustigé le culte de l'argent et du pouvoir. 

Le 13 septembre à Paris, il a assimilé dans son homélie le culte contemporain de l'argent au culte antique des idoles condamné par Saint Paul.
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12 septembre 2008 5 12 /09 /septembre /2008 16:22
Les familles "laïques" dénonce "l'intrusion" de la religion dans le politique.
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12 septembre 2008 5 12 /09 /septembre /2008 15:25

... Ils envoient les autres combattre et mourir pour eux.

La candidate à la vice présidence a appelé à l'entrée de la Géorgie et de l'Ukraine dans l'Otan. Elle n'exclut pas d'entrer en guerre si l'un des deux pays est la cible d'une invasion russe.

Le Figaro
12/09/2008

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8 septembre 2008 1 08 /09 /septembre /2008 13:58
Le cardinal archevêque de Paris, André Vingt-Trois était l'invité du grand entretien d'Europe 1et du Parisien-Aujourd'hui en France hier lundi 7 septembre. Le cardinal a fait preuve soit d'une profonde méconnaissance des dossiers abordés, soit d'une profonde hypocrisie. Il a prononcé deux propos totalement erronés...

Le premier, lié au magistère de l'Eglise : "ni le pape, ni le Vatican a-t-il dit "ne veulent intervenir dans le domaine politique en France". Ce n'est ni l'avis du pape Jean-Paul II, ni de tous ses prédécesseurs depuis 2000 ans (!) dont le cardinal" Vingt-Trois ignore totalement le magistère. Pour un "cardinal", c'est très curieux... 

Je cite jean-Paul II:  "les fidèles laïcs ne peuvent absolument pas renoncer à la participation à la «politique», à savoir à l'action multiforme, économique, sociale, législative, administrative, culturelle, qui a pour but de promouvoir, organiquement et par les institutions, le bien commun."  (
Exhortation apostolique post-synodale Christifideles laici, 30 décembre 1988, § 42). Inutile de revenir sur l'enseignement des papes sur la royauté sociale de Jésus-Christ.

Le second propos, totalement erroné, au sujet des antisionistes, le "cardinal" a dénoncé l'antisémitisme "sournois" qui se développe sous couvert d'arguments antisionistes (
video Le Parisien, 07.09.2008)

Le cardinal ferait donc bien de se renseigner avant de prononcer de telles énormités... 

Rabbin Shmiel Borreman :

"les juifs ne sont pas sionistes, les sionistes ne sont pas juifs." Sionisme et judaïsme ne sont pas synonymes, mais incompatibles...
"Les sionistes sont les plus grands ennemis des juifs"...
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 23:07
... les "frères" "humanistes" ouverts et tolérants veulent "faire front et rendre coup pour coup"...

Cela ne s'invente pas. C'est
Ici. Je cite :

"Il faut une politique de liberté, séparer l'Etat de la franc-maçonnerie et libérer l'école de la main-mise du socialisme et des vieilles pédagogies destructrices
. C'est ce qu'a affirmé le traditionnaliste Bernard Antony - cité par l'ultra-catholique Salon Beige - lors de l'Université d'été de l'Esprit Public à Orange. Le texte complet d'intervention de Bernard Antony figure sur son blog Reconquête Chrétienté-Solidarité.

L'argument selon lequel il faut séparer l'Etat de la franc-maçonnerie est une antienne diffusée sur de nombreux forums et listes de discussion. C'est évidemment un décalque du principe de séparation des églises et de l'Etat en France."

Deux commentaires :

"1. Posté par Laurent le 06/09/2008 13:24
...Ils seront chef d'escadrille décidément, peste brune, peste noire,ça sent la m.... faire front et rendre coup pour coup voila ce qu'il faut faire, et si on commençait maintenant?
3. Posté par SaT le 06/09/2008 16:50
Il n'y a pas que des attaques sur la FM, on y trouve aussi tout les relents racistes, islamophobes, pro catho intégristes, beurk !"
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 07:21

Via un article d'Yves Daoudal, et un commentaire très instructif, on apprend que sur Wikipédia se trouve un article intitulé "régime concordataire français". Le pays de la dite "séparation de l'Eglise et de l'Etat" n'est peut-être pas le pays de "laïcité" qu'on nous dit...

Lisez plutôt, § "
Le Concordat maçonnique". Je cite : "Le 5 décembre 1804, un autre concordat aussi important entre l'Etat et le Grand Orient de France. Aguste de Grasse-Tilly rencontre Napoléon Bonaparte. (Source : Franc Maçonnerie et Napoléon : REAA, Concordat 1804)

Les principaux signataires sont
Kellermann, Masséna, Rottiers de Montaleau, De Grasse-Tilly, Bacon de la Chevalerie et Pyron. 148 des représentants maçonniques sont déjà députés.

Le concordat maçonnique fut conclu secrètement. Toutefois, il est toujours en effet."

.... Voilà un scoop! On savait que la franc-maçonnerie était l'église de la "république", mais qui connaissait ce concordat ??

Au pays de la "laïcité", de la "souveraineté du peuple", de la transparence et de "l'ouverture"... (thèmes de campagnes rebattus des présidents de la "république"), un éclaircissement citoyen, démocrate et républicain serait bienvenu!...

Si ce concordat est toujours en effet, il serait bon qu'il soit, publié! Que tout le monde sache de quoi il retourne! Un large écho, une large publicité devrait être faite à ce sujet, dans tous les journaux, sur tous les blogs et sites dits d'information... Une adresse démocratique pourrait être envoyée au "gouvernement", des pétitions lancées, en-têtes : "Séparation de la franc-maçonnerie et de l'Etat"! J'appelle tous les nationalistes et patriotes à relayer l'info.

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6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 20:02


... avec une petite surprise à la fin de la video.
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6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 12:54
http://www.coordination-defense-de-versailles.fr/page90.html

NON AU CHOC DES CULTURES A VERSAILLES !  
NON AUX " SACRILEGES " DU PATRIMOINE FRANÇAIS !
NON A LA CONTREFACON DES ŒUVRES DE L'ESPRIT !

Jusqu'à quand les Français vont-il supporter le saccage de l'Orangerie de Versailles, le néo-vandalisme spéculatif des appartements royaux du château et l'enseignement du mépris de leur symbole national ?

Avec l'annonce de l'exposition sacrilège " Jeff Koons Versailles ", la limite symbolique de l'intolérable vient d'être franchie au nom d'une nouvelle politique culturelle qui sous couvert de choc des cultures ridiculise nos chefs d'œuvres, autorise la dérision de nos valeurs les plus sacrées,  porte ainsi gravement atteinte au rayonnement de Versailles, de l'art Français, et outrage la majesté du symbole de l'unité nationale que constitue ce lieu consensuel sans égal, chargé d'histoire et portant le triple sceau du siège de la royauté ( à son zénith), du haut lieu de la représentation nationale depuis 1870 (le Congrès) et la présence du Président de la république lui-même ( à la Lanterne). Sans oublier le drapeau de l'Union européenne désormais affiché aux grilles du Château !  

Au nom de la Coordination de défense de Versailles, des valeurs les plus sacrées de notre patrimoine et de notre identité, comme du respect de la morale publique, de la loi et du Code de la propriété intellectuelle, il a donc été demandé au Ministre de la Culture de faire cesser immédiatement le scandale marketing de l'exposition " Jeff Koons Versailles " qui doit être interdite sans délai. Loin l'éloigner l'angoisse, comme il le prétend, Koons la provoque !

L'art, l'argent, la démocratie, tels sont les trois raisons d'interdire la mascarade de dérision que constitue l'exposition " Jeff Koons Versailles " - se qualifiant elle-même de " clownesque et pleines d'allusions sexuelles ".   


Tout l'art de la dérision a été de jeter au visage des français, comme un camouflet, un défi méprisant, l'image du homard ketchup suspendu par moquerie, tel un hareng, à la place du lustre historique dans le salon de Mars, dieu de la guerre, haut lieu des appartements royaux.

Tout l'art de la dérision scénique devrait consister à faire trôner l'auto-portrait du nouveau roi-soleil Koons, en marbre, dans le salon " divin " du Dieu-Soleil Apollon, alors que le portrait de Louis XIV ne sera qu'en inox et dans la simple chambre " humaine " du roi. La lune dans la galerie des glaces devrait éclipser le soleil. Et suprême outrage à la mémoire de Marie-Antoinette, la dérision de la reine consisterait à orner sa chambre d'un grand vase de fleurs " empoisonnées " - les fleurs du mal… - puisque ce bouquet de 140 fleurs, " très sexuelles et fertiles ", nous prévient malicieusement Jeff Koons, proviennent de sa galerie de photos pornographiques " Made in heaven " (lire " enfer ").

Quel homme d'honneur oserait offrir à une femme qu'il respecte un bouquet de fleurs tiré d'une poubelle ? Et ici n'y a-t-il pas, moralement et symboliquement, plus salissant qu'une poubelle ?
Sinon pourquoi cacher l'origine " made in heaven " de l'objet sulfureux ?

La grille de lecture de l'exposition est des plus claires puisque c'est un homard qui doit trôner dans le salon de Mars, un policier et un ours dans le salon de la guerre, la lune dans le palais du roi-soleil, etc.  Tel est le procédé binaire et quasi mécanique.

Tout le jeu d'inversion ( en langue anglaise !) du parcours des 16 objets - dont le " Split Rocker " apparaît comme le cheval de Troie avancé sous les murs du château à investir -, est donc fait sur ce modèle de substitution systématique du fictif à l'authentique, du saccage des canons de l'esthétique à l'harmonie  du classique français, de Jeff Koons 1er à Louis XIV : de la laideur, du mépris et de l'insignifiance, à la place de la beauté, de la dignité et du sens.

Au vu de cette véritable déclaration de guerre, il est aisé de comprendre que  la violence éprouvée par nos concitoyens de tous bords se soit traduite par  des mots "  orduriers ", venus à la bouche immédiatement pour qualifier cette atteinte à leurs valeurs intimes.

Que, de toutes parts, en l'absence totale de relais institutionnel, ce ne soit qu'un cri d'indignation et de colère pour demander que cesse, enfin, le scandale de l'exposition " Jeff Koons Versailles ", présentée par la presse comme " une première historique " devant faire de cet artiste - ayant été longtemps trader à wall street avant de se lancer dans l'art " en tant que vecteur privilégié de merchandising " et ex-mari de l'actrice porno Ilona Anna Staller, dite Cicciolina  - " le Roi-Soleil de Versailles " " jusqu'au 14 décembre ".

Que l'arrogance d'une telle opération marketing soit ressentie par tant et tant de Français comme une véritable souillure de ce que notre patrimoine et notre identité ont de plus sacré, en partage avec tous les Européens, depuis le XVIIIème siècle, et avec tous les admirateurs et donateurs du monde entier.

Qu'au titre de ses statuts, du Code de la Propriété intellectuelle et de la  Mission de tutelle du Ministère de la culture, l'Union Nationale des Ecrivains de France lui ait demandé dans sa lettre ouverte du 16 juillet, " de faire cesser au plus vite le scandale et le trouble public manifeste que constitue ce projet d'exposition, n'hésitant pas à vandaliser les appartements royaux, pris comme piédestal d'un art balloon-spéculatif au profit narcissique de son mécène-investisseur principal et au détriment du rayonnement d'excellence de l'art et de l'artisanat français.

Si la France est le pays le plus visité au monde, c'est en raison de son inestimable patrimoine historique, scientifique, spirituel, littéraire et artistique. Assurément, dans sa cohérence - politique, religieuse, artisanale et de promotion économique - le château de Versailles est l'œuvre architecturale mémorable UNIQUE la plus belle et  universellement reconnue, depuis trois siècles, comme le summum de l'art classique français voire de l'art absolu.

Nul ne saurait nier que le château de Versailles et ses jardins sont une œuvre de l'esprit (Art. L. 112-2, 7° du CPI), que Louis XIV est l'auteur incontesté de cette œuvre sans pareille et que, comme tel, il bénéficie des droits attachés à la défense des œuvres de l'esprit, à la propriété incorporelle, définie à l'article L. 111-1, " qui est indépendante de la propriété de l'objet matériel " (Art. L. 111-3). D'où il résulte pour l'acquéreur ou le détenteur, en l'espèce l'Etat, le devoir de respecter ou de faire respecter l'œuvre, sa représentation et sa divulgation. "

" Juridiquement, le droit et le devoir de défendre l'œuvre de l'esprit sont exercés par les descendants, les héritiers et, au titre de l'article. L. 121.3, en cas d'abus notoire, par le Ministre chargé de la culture. A cet égard nous nous étonnons tous du procédé décisionnel de cette exposition donnant satisfaction au trio d'un mécène-spéculateur, d'un artiste à bulle spéculative et d'un ancien Ministre de la République ayant été conseiller du premier et Directeur du Palazzo Grassi à Venise.

Alors, pourquoi MM. Pinault, Aillagon et Koons n'organisent-ils pas leur exposition au musée d'art contemporain, à Beaubourg ou à la Défense, dans son cadre architectural " naturel ", sinon parce qu'ils savent que l'art-gadget Koons, y passerait totalement inaperçu ?

En vérité, il n'y aurait nulle bulle spéculative à attendre sans l'effet d'annonce du dit " choc des cultures ",  de ce néo-vandalisme spéculatif dont le ressort sadique joue de l'angoisse résultant du sacrilège du beau et du patrimoine français, au détriment du rayonnement de la France, de la promotion de son savoir-faire et du luxe français, dont le Comité Colbert et notre économie (notamment touristique) ont tant besoin, dans le contexte de déliquescence de la décision, politique, culturelle et économique, dont l'exposition Koons est justement l'illustration.

Quel scandale que d'imposer aux touristes ayant rendez-vous avec Louis XIV, modèle d'une politique culturelle au service de la France, de se trouver nez-nez avec sa marionnette l'apprenti roi-soleil Koons, véritable " contre modèle " d'une politique cynique d'instrumentalisation de la France et de son patrimoine au profit d'un petit nombre de nantis ou de spéculateurs !

Il n'est pas concevable qu'un petit nombre de spéculateurs joue, dans cette galerie des glaces où furent proclamés l'Empire allemand et le Kaiser Guillaume 1er, à consacrer un " roi-soleil " de dérision ridiculisant ce que nous avons de plus sacré, nos valeurs d'excellence constituant un des rares " consensus " persistant au nom de cette admiration du beau et de perfection qui ne saurait se commander.  A chacun son lieu d'élection. Ne cesse-t-on pas  de se lamenter sur la perte des repères ? Versailles doit rester ce sanctuaire étranger au " choc des cultures " que voudrait importer chez nous ceux qui n'ont rien d'admirable à proposer de leur propre fond. "

C'est dans cet esprit de valeur partagée qu'avant d'envisager tout autre moyen, il a d'abord été fait appel au Ministre de la Culture, Madame Christine Albanel, qui a présidé l'Etablissement public du musée et du domaine national de Versailles, pour lui demander de faire réviser l'autorisation de cette exposition - qui constitue un véritable " meurtre " de notre patrimoine artistique qu'elle a mission de protéger ; qui viole le respect dû à notre l'art et aux œuvres de l'esprit ; qui outrage tous les Français de cœur ou de nationalité - et qui à ce titre doit être interdite comme attentatoire à la foi en la décision publique rendue " au nom du peuple français " et à nos valeurs les plus sacrées.

A cet égard, il est pour le moins étrange que les étrangers, notamment les " American Friends of Versailles " aient à nous donner des leçons de respect de notre joyau national et mondial, sur leur site, en ces termes flamboyants :

" Les arts sont le prisme à travers lequel nous considérons notre histoire et souvent le prisme à travers lequel nous voyons notre avenir. Versailles est une histoire vivante dont les enseignements continuent d'inspirer les artistes et les écrivains, musiciens et hommes d'Etat des siècles après ses murs se soient tus aux affaires d'Etat qui ont engendré tant de beauté et d'émotion. Pour ceux qui ont la chance d'avoir visité le château et sa source d'inspiration, il est évident que Versailles n'est pas une leçon que l'on peut tirer en un seul volume. Même aujourd'hui ses secrets et sa beauté continuent à se révéler eux-mêmes.

Le patronage des arts est une perpétuelle obligation de toute société et tout comme nous vous encourageons à soutenir votre musée local ou orchestre ou groupe de danse, nous vous invitons à donner à Versailles pour aider à maintenir un chef-d'œuvre du monde culturel, etc. À Versailles, la France a créé un chef d'œuvre durable qui est susceptible de ne jamais plus se reproduire. " (Catharine Hamilton)

Paradoxalement, par sa violence provocatrice, cette exposition d'un " artiste " new-yorkais,  considérée par les Français attachés à Versailles comme une véritable souillure de leur patrimoine héréditaire, risque d'être cause d'une mauvaise image des " américains " leur apparaissant désormais arrogants au point de vouloir " squatter " (vandaliser) leur joyau national et mondial à des fins spéculatives et par dessus tout d'oser sacrer un roi-bouffon de dérision à la place du Roi soleil Louis XIV.

Dans ces conditions, l'art étant le miroir de l'âme d'un peuple, le réceptacle de son génie et le véhicule de sa sensibilité la plus profonde, nul ne saurait s'étonner aujourd'hui que tant et tant de Français, comme d'étrangers - instruit de l'intrusion prochaine de la vedette new-yorkaise des enchères de Londres dans le Saint des Saints des appartements royaux de Versailles - ressentent soudain cette atteinte à l'honneur de leur patrimoine moral le plus sacré comme une affront intolérable à leurs représentations symboliques - identitaires, culturelle et politique -, une violation de leur identité et un véritable crime contre la nation.

Pour écarter cette vision inacceptable, chacun doit donc tirer au plus vite les conséquences du sacrilège de l'exposition " Jeff Koons Versailles " au profit d'un art " étranger " qui ne peut que scandaliser les étrangers venus admirer Versailles "  histoire vivante dont les enseignements continuent d'inspirer les artistes et les écrivains, musiciens et hommes d'Etat ".

Déjà, depuis le lancement de l'affaire par les Nouvelles de Versailles, puis par le Parisien, les agences de presse étrangères Reuters, DPA et Belga, notamment, la nouvelle a franchi le Rhin et s'est répandue en Europe. La presse est très concernée par ce scandale, en particulier par son rapport à l'argent et à la démocratie. En cette fin de mois d'août, comme le rapportent les sources proches de la Marie de Versailles " Ca bouge beaucoup " ! On entend même parler d'actions de fauchage anti-OGM, à l'image de José Bové. Lire  " Œuvres génétiquement modifiées " !

Du côté du public, la vue du homard de Koons dans les Appartements royaux a mis la population en état de choc. Le public veut comprendre et considère qu'on lui cache l'information. A mesure qu'il réalise le sacrilège du patrimoine, il se sens plus intimement bafoué et veut en savoir plus.

C'est pour recueillir, dévoiler les tenants et les aboutissants de ce scandale et diffuser l'information que le site Coordination-défense-de-versailles.fr a été créé en vue d'obtenir l'interdiction de cette exposition scrilège. Que chacun participe à ce succès en collectant et répercutant l'information, en se mobilisant et en organisant les actions qui s'imposent.

iC’est pour recueillir, dévoiler les tenants et les aboutissants de ce scandale et diffuser l’information, que le site Coordination-défense-de-versailles.fr a été créé en vue d’obtenir l’interdiction de cette exposition sacrilège. Que chacun participe à ce succès en collectant et répercutant l’information, en se mobilisant et en organisant les actions qui s’imposent.

 
Cinq actions sont au calendrier de la Coordination, auxquelles chaque contribution peut se rattacher  :
 
1)     Publier et diffuser la lettre ouverte au Ministre de la Culture – ministère de tutelle de Etablissement public - lui demandant de faire réviser l’autorisation de cette exposition illicite à plus d’un titre ;
 
2)     Lancer la Défense de Versailles » sur les trois axes de l’art, de l’argent et de la démocratie ; contribuer à une débat de qualité démontrant la gravité de l’« Exposition Jeff Koons », dans toute son ampleur et sa finalité ;
 
3)     Relayer la campagne de signatures soutenant la pétition et faire connaître ou susciter les prises de positions symboliques ;
 
4)     Etudier avec les parties concernées les possibilités d’action judiciaire ad hoc, notamment au titre du CPI, moyen adapté selon des personnalités liés au patrimoine en conviennent désormais ;
 
5)     Contribuer à la mobilisation et à l’extension du mouvement de résistance culturelle.

 
Si, dans cet esprit d’appel à la Résistance culturelle  - répondant à cette guerre ouverte, à Versailles, contre l’Intelligence, l’Art et les Œuvres de l’esprit -,  chacun entreprend de se mobiliser à la mesure de l’agression ressentie pour refuser ce néo-vandalisme spéculatif qui, sous couvert de « choc des cultures », entretient un rapport sulfureux avec l’argent et à la démocratie, nul ne saurait douter, au vu de l’acquis depuis un mois et à l’image de la précédente interdiction de l’exposition Lacroix, que l’interdiction de l’exposition « Jeff  Koons Versailles » soit désormais à la portée de la main.
 
Mais il ne faudrait surtout pas oublier qu'il ne s'agit ici nullement de censurer mais, au contraire, de lutter contre la "censure intrusive" d'une contre-représentation de l'art français (universel), pour libérer le langage de l'Art. Qu'au delà de cette première bataille emblématique, c'est sur le plan des idées - de l'Art, de l'Argent et de la Démocratie - que doit se jouer cette "Guerre de représentation symbolique" totale.

Que c’est en haine du Beau, du Vrai et du Bien, hérités des Grecs, qu’elle s'étend chaque jour d'avantage sous les masques de dérision culturelle les plus bariolés - faussement "modernes", enfantins ou naïfs, suivants les circonstances - pour nier nos valeurs les plus sacrées représentés dans l'Art universel.

                                                                                                            ***

Chateau de Versailles
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6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 12:27

Être gouverné, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n’ont ni titre, ni la science, ni la vertu…

Être gouverné, c’est être à chaque transaction, à chaque mouvement, noté, enregistré, recensé, tarifé, timbré, toisé, coté, cotisé, patenté, licencié, autorisé, admonesté, empêché, réformé, redressé, corrigé. C’est sous prétexte d’utilité publique et au nom de l’intérêt général être mis à contribution, exercé, rançonné, exploité, monopolisé, concussionné, pressuré, mystifié, volé ; puis, à la moindre réclamation, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, houspillé, assommé, désarmé, garrotté, emprisonné, fusillé, mitraillé, jugé, condamné, déporté, sacrifié, vendu, trahi, et pour comble, joué, berné, outragé, déshonoré.

Voilà le gouvernement, voilà sa justice, voilà sa morale ! Et qu’il y a parmi nous des démocrates qui prétendent que le gouvernement a du bon ; des socialistes qui soutiennent, au nom de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, cette ignominie ; des prolétaires qui posent leur candidature à la présidence la République !”

Pierre-Joseph Proudhon, Idée générale de la révolution au XIXe siècle, 18


via Novopress.info

Sur le même sujet, lire : "
Le gouvernement gouverné"

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6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 11:37
Gordon Brown : je retourne ma veste, toujours du bon côté...

Reptation du Premier sinistre britannique Gordon Brown devant Israël :

Gordon Brown sur les "terroristes palestiniens"...

Et maintenant, le même en dhimmi :


Questions :

Quels hommes politiques européens sont immigrationnistes ?

Ces immigrationnistes, qui soutiennent-ils au Proche-Orient ? (clé : première video)

Ne cherchez pas plus loin...
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5 septembre 2008 5 05 /09 /septembre /2008 10:28

D'après Le Point.

Ni oui, ni non. Réunis à Lyon depuis jeudi matin en congrès - convent, dans le jargon -, les 1080 délégués francs-maçons du Grand-Orient (GO) ont planché toute la journée sur une question qui taraude l’ensemble des obédiences françaises : faut-il ou non s’ouvrir aux femmes ? Finalement, à l’issue d’un 7e vote homérique, les Frères ont décidé… de ne rien décider. Pour la deuxième année d’affilée. Par 553 votes pour, 511 contre, le GO a opté pour une nouvelle discussion devant les loges. La question de la place des femmes est désormais renvoyée au prochain convent, l’an prochain. Suite

La revue Le Point est mal informé car à la "Grande Loge nationale de France", les femmes ne sont pas admises. On attend les indignations des officines "féministes", "humanistes", "ouvertes" (sic), etc. ...

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4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 21:11
Le président français Nicolas Sarkozy a affirmé aujourd'hui à Damas que l'Iran prenait "un risque majeur" en cherchant à se doter de l'arme nucléaire car Israël pouvait le "frapper" et ce serait "la catastrophe".

"L'Iran prend un risque majeur à continuer le processus d'obtention du nucléaire militaire - ce qui est notre certitude - parce qu'un jour, quel que soit le gouvernement israélien, on peut se retrouver un matin avec Israël qui a frappé", a déclaré M. Sarkozy.

Selon lui, "il ne s'agit pas de savoir si
c'est légitime, intelligent ou pas. Qu'est-ce qu'on fera à ce moment là? Ca sera la catastrophe. Il faut éviter cette catastrophe", a-t-il ajouté. [Ou l'art et la manière de légitimer à l'avance la frappe israélienne ... Des propos totalement irresponsables.]

Nicolas Sarkozy s'exprimait au début du sommet quadripartite qui réunissait, ce matin à Damas, outre la France et la Syrie, la Turquie et le Qatar. (Afp Le Figaro, L'Iran prend un "risque majeur" (Sarkozy), 04/09/2008).
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4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 16:44
Du 21 mars au 4 avril 1797, des élections ont lieu, les royalistes l'emportent par un succès écrasant qui pourrait ouvrir la voie à une restauration monarchique. Les royalistes prennent le contrôle des assemblées, le général Jean-Charles Pichegru préside le conseil des Cinq-Cents, Barbé-Marbois les Anciens.

Va-t-on vers une restauration ? Pichegru accueille des propositions qui lui sont faites au nom du Prince de Condé. Que vont faire les grands démocrates ? Comme d'habitude, ceux-ci vont manifester leur grand amour de la liberté, de la démocratie et du peuple.

Les Jacobins s'inquiètent : le peuple a mal voté.  Barras, fort de l'appui de Hoche et de Bonaparte fait venir l'armée Sambre et Meuse vers Paris sous le prétexte mensonger d'une expédition irlandaise. Augereau est nommé commandant de la place de Paris. Hoche fournit le coup de main décisif en faisant marcher 9000 hommes vers Paris CONTRE le peuple, sous le prétexte de transfert de troupes vers Brest destiné à une expédition en Irlande...

Dans la nuit du 3 au 4 septembre 1797 (coup d'Etat du 18 fructidor an 5), Paris déjà occupée militairement, Barras, Reubell et La Révellière-Lépeaux donnent ordres à Augereau d'arrêter Pichegru et ses amis au conseil, et de mettre à mort les royalistes.

Au matin, à 10 heures les jeux sont faits. Barthélemy et Pichegru qui entretiennent des relations avec les royalistes sont arrêtés. Carnot qui n'est dans aucun des deux camps se cache avant de s'enfuir. 42 députés, 65 dirigeants et journalistes royalistes sont arrêtés, puis déportés en Guyane. Une grande affiche-proclamation du Directoire croupion annonce aux Parisiens et au pays qu'un 'complot royaliste' a été brisé, et que tout individu coupable de vouloir rétablir la royauté ou la Constitution de 1793 sera fusillé sans jugement.

La loi du 5 septembre 1797 (19 fructidor) prévoit la déportation sans jugement contre 65 'citoyens' coupables de mal-pensée avec séquestre de leurs biens. Etaient visés 11 membre du conseil des Cinq-Cents (dont Gilbert Desmolières), 42 du conseil des Anciens (Rovère, Bourdon...), les directeurs Carnot et Barthélemy, les 'conspirateurs' (sic: là soudainement le complot existe... mais il s'agit du 'complot royaliste' biensûr...) Brottier, La Villeheurnois et Duverne de Presle, arrêtés précédemment, l'ancien ministre Cochon, les généraux Miranda et Morgan, les journalistes Suard et Mailhe, le policier Dossonville ainsi que le commandant du Corps législatif Ramel.

La loi du 19 fructidor annule les élections qui ont porté au pouvoir les 'conspirateurs' dans 49 département, épurant les Conseils de 140 députés. Les élections aux administrations locales sont également cassées dans 53 départements et le Directoire reçoit le droit de nommer aux places vacantes. C'est ce que l'on appelle la démocratie façon "république française".

Un 'serment de haine à la royauté et de fidélité à la République et à la Constitution de l'an III' (sic) est imposé aux prêtres et aux électeurs. Les grands démocrates démontrent leur grand amour de la liberté de penser et de la "liberté de la presse" en supprimant 42 journaux...

Du 9 au 18 avril 1798 (20 au 29 germinal an 6) des élections ont lieu afin de renouveler le tiers des députés des conseils. Elles sont, cette fois-ci, miraculeusement favorables aux Jacobins. La 'République' l'emportait.

Bilan. "Ce qu'on peut retenir... des mesures de 'salut public' : l'annulation des 'mauvaises élections', qui exclut un tiers du corps législatif..." (François Furet)

Un exemple historique et peu connu de la belle "démocratie" soucieuse du peuple et de sa "souveraineté"...

Sources :

- François Furet, La Révolution française, Quarto Gallimard, Malesherbes 2007, p. 413-415

- Histoire et Dictionnaire de la Révolution française, 1789-1799, J. Tulard, J-F. Fayard, A. Fierro, Bouquins Robert Laffont, Paris 2004, p. 222.

- Frédéric Bluche, Stéphane Rials, Jean Tulard, La Révolution française, Que sais-je? Puf, n°142, p. 116.

Liens :


L'installation du Directoire

Deux ligne surWikipédia
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4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 16:26
A classer dans collaboration à la rubrique record de collaboration

04/09/2008 – 17h00
Image Hosted by ImageShack.usLYON (NOVOpress) – L’Emir Abdelkader, fondateur de l’Etat moderne algérien et « héros de la résistance » contre la colonisation française, aura désormais, à Lyon, un square à son nom. Le « baptême » aura lieu le samedi 6 septembre dans le 7ème arrondissement de la capitale des Gaules. Les autorités municipales, en partenariat avec le consulat général d’Algérie à Lyon, avaient organisé en juin dernier une rencontre afin de commémorer le bicentenaire de la naissance de l’Emir (1808-2008).

En février dernier, lors de l’émission d’un timbre français à l’effigie de l’Emir Abdelkader, l’ancien Premier ministre Mme Edith Cresson, membre de l’Association France-Algérie avait salué cette figure de l’histoire algérienne : « Nous retrouvons en lui un homme dont les attitudes, les principes, les convictions, l’honneur sont restés les mêmes quels que soient son statut, sa situation et le sort qu’il ait eu à affronter », avait alors déclaré Mme Cresson, dans son allocution prononcée à l’Institut du Monde Arabe.

Depuis 2006, une place du 5ème arrondissement de Paris, située non loin de l’Institut du monde arabe, porte elle aussi le nom de l’Emir. Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, avait expliqué à cette occasion que cette place « permettra d’inscrire le nom de ce nationaliste algérien dans l’éternité de Paris »… à défaut de vouloir inscrire ceux des nationalistes français, qu’apprécie peu l’édile : en mai dernier, celui-ci a fait interdire le traditionnel défilé en hommage à Sébastien Deyzieu, jeune nationaliste de 22 ans décédé en 1994 après avoir tenté d’échapper à la police en marge d’une manifestation non autorisée contre l’impérialisme américain.Novopress.info
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4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 16:05
[Tout a été dit, sur l'antigermanisme de Maurras, haine fanatique et absolu, du maître de l'A.F., ennemi irréductible de l'Allemagne et des Allemands.
C'est oublier, pour les besoins de la cause, la noble attitude des nationalistes français jusqu'aux dernières heures d'août 1939 quand des forces multiples poussaient le monde dans la plus terrible guerre. Oublier que les plus féroces partisans de la paix se trouvaient dans les rangs maurrassiens de l'
A.F. ou parmi ses anciens disciples, comme l'illustre Je Suis Partout
.

Robert Brasillach, dans les trois extraits qui suivent, extraits de
Notre avant-guerre, revient sur cette année terrible, qui débuta en septembre 1938 pour s'achever 12 mois plus tard exactement.]

    Ainsi prenait sa couleur indécise l'entre-deux-alertes. Les personnes dites raisonnables s'écartaient des mouvements hardis, abandonnaient Doriot pour le PSF, ou, mieux, pour le radicalisme triomphant. Il restait par bonheur, même pour les indifférent, le mouvement qui a atteint à ce moment-là, à mon avis, son plus haut sommet, je veux dire l'Action française.
    Nous n'avions certes pas oublié le rôle qu'avait joué cette A.F. toujours combattue, toujours violemment attaquée, et jusque par les siens. Nous en connaissions les hommes, le passé, la doctrine. Mais il me semble que c'est en septembre 1938 que commença pour elle l'année la plus étonnante. Dans les semaines qui précédèrent Munich, si Maurras s'absentait, la presse nationale vacillait, les meilleurs se trompaient. S'il revenait, s'il écrivait, avec lui revenaient la raison, la clarté, l'espérance. Nous n'oublions les efforts de personne, dans cette lutte pour la paix, ni ceux de Mussolini, ni ceux du gouvernement français. Mais nous savions que seuls certains hommes n'étaient pas soupçonnables de la moindre complaisance avec l'Allemagne, contre laquelle ils avaient toujours lutté, sur tous les terrains : les hommes de l'Action française. Suite
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3 septembre 2008 3 03 /09 /septembre /2008 13:37

Un très bon texte du CSG JI Paris
cercle10.jpgPendant des décennies, les dirigeants européens ne se sont préoccupés que d’élaborer des règlements communautaires toujours plus complexes, construisant l’Europe sur des fondements économiques et marchands en oubliant l’essentiel.

Nous croyons que l’économie doit être subordonné au politique et qu’aucune grande civilisation ne peut se construire sans fondements spirituels.
Nous croyons qu’avant de songer à l’élargissement de l’Union, il est impératif que l’union s’interroge sur les fondements spirituels et culturels qui ont façonné son identité profonde.
Alors que Monsieur Giscard d’Estaing s’est attelé à rédiger une constitution pour l’Europe et que certains pays comme la Pologne demandent que soit mentionné dans le préambule une référence à l’héritage chrétien de notre continent, d’autres pays comme la France s’opposent à toute référence religieuse sous prétexte de laïcité.

Or, le principe de laïcité a été posé par le Christ lui-même dans cette formule « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » véritable garantie contre toute confusion (l’Islam) entre le spirituel et le temporel et contre toute dérive totalitaire (idôlatrie païenne).
C’est en Europe que sont nées les idéologies totalitaires ou matérialistes (communisme, nazisme, capitalisme marchand) et ce n’est pas un hasard s’il s’agit d’idéologies athées. En oubliant qu’il y a au dessus des lois humaines, des lois supérieures et divines qui les transcendent, les hommes risquent de se comporter eux-mêmes comme des dieux. C’est ce que nous rappelle la tragédie d’Antigone.

C’est pourquoi nous croyons qu’il n’y aura pas de construction européenne si elle ne renoue pas avec son identité profonde qu’elle puise aussi bien dans l’héritage antique gréco-romain qui nous a laissé l’esprit des lois et de la sagesse, que dans l’évangile qui rappelle que toute personne est sacrée car créée à l’image de Dieu.

Fils de France, frères d’Europe, il est temps de construire une Europe fidèle à son identité chrétienne et capable de jouer de nouveau dans le monde le rôle que les peuples attendent d’elle ! JI Paris via Novopress.info

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3 septembre 2008 3 03 /09 /septembre /2008 11:32
"Devant la dérouillée prise par "l'allié" géorgien, la capitale d'Ossétie du sud Tskhinvali reprise par les Russes le lendemain, les Occidentaux vont-ils continuer de soutenir le régime corrompu de Géorgie ? Rien n'est moins sûr..." (10 août) 

"Du coup, les libéraux démocrates lâchent du lest, abandonnent corps et bien "l'allié" géorgien en retournant contre lui la responsabilité des évènements pour occulter la leur propre..." (13 août)

Comme je l'avais écrit dès le 10 août, et reprécisé le 13 août, devant l'ampleur surprenante de la réponse russe à laquelle les "occidentaux" ne s'attendaient pas - habitués qu'ils étaient à la passivité de la Russie devant leurs menées dans le monde -, les occidentaux lâcheraient leur allié géorgien et retourneraient contre lui la responsabilité des massaces en Sud-Ossétie.

C'est chose faite aujourd'hui avec lacondamnationsous forme de résolution par le Parlement européen du recours à la force en Ossétie du Sud (résolution), condamnation de "ceux qui ont recouru à la force et à la violence" en vue de changer la situation en Ossétie du Sud et en Abkhazie, lit-on mercredi dans un projet de résolution de l'Assemblée sur la Géorgie. (BRUXELLES, 3 septembre - RIA Novosti)

Le Parlement européen a également appelé à organiser une enquête internationale indépendante pour établir des coupables de la mort de la population civile, selon le projet de résolution, qui sera voté mercredi par les députés.

Selon le document, le Parlement européen condamne également "l'action militaire inadmissible et disproportionnée" de la Russie" sur le territoire géorgien...

Bref, les "grands démocrates" qui via Israël
ont armé, financé et gagé la Géorgie pour ses menées en Sud-Ossétie, viennent ensuite faire les arbitres en la condamnant fermement. C'est l'histoire du pompier pyromane. C'est aussi ce que l'on appelle un retournement d'alliance "solidaire" "démocrate" et "libéral" !
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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 12:08
Obama rampe devant le lobby sioniste AIPAC

Carte des états latins d'Orient. En jaune clair, le royaume de Jérusalem vers 1100 ; en jaune, le royaume de Jérusalem en 1229.... Israël a unilatéralement 
proclamé Jérusalem comme sa "capitale", et sa "capitale éternelle"... Ce qui est historiquement faux : (le mensonge n'effraie pas ces gens) puisque les Juifs furent chassés de la "capitale éternelle" durant deux mille ans, de 70 ap. J.-C. à 1948, ils sont exilés, sans Etat.

Imaginez ceci, c'est comme si nous chrétiens, après plus de sept siècles d'absence, nous décidions de revenir sur place créer l'Etat de "Palestine" ou de tout autre nom. Puis nous y proclamerions Jérusalem "capitale éternelle" de notre nouvel Etat chrétien...  Que se passerait-il d'après vous ?

C'est pourtant ce qu'ont fait les Juifs, aidés des sionistes, en 1948...

Historiquement, Jérusalem a été la capitale du Royaume franc de Palestine (jusqu'en 1187, puis royaume latin de Jérusalem jusqu'en 1261) près de deux siècles (XII-XIIIe siècles), et terre byzantine chrétienne auparavant jusqu'en 638 ap. J.-C. Soit cinq siècles d'Etat chrétien (trois du IVe au VIIe s., deux aux XII et XIIIe siècles.)

Avant de devenir une première fois musulmane au VIIe siècle, Jérusalem est terre romaine byzantine, donc chrétienne. L'empire byzantin est le nom de l'ancien empire romain d'Orient.

En 70 ap. J.-C., Titus détruit Jérusalem et exile les Juifs. Rome administre directement la ville. Des prétendus messies d'Israël ayant soulevés les Juifs, l'empereur Hadrien détruit la ville une nouvelle fois en 117 ap. J.-C. Les Juifs sont exilés une deuxième fois. A la place de l'antique Jérusalem, Hadrien fait construire la colonie Aelia Capitolina, ville nouvelle où les Juifs sont interdits de séjour. Il fait bâtir le temple de Jupiter sur le Golgotha (endroit où le Christ a été crucifié et mis au tombeau), que fera raser Constantin Ier en 326 pour y élever la Basilique du Saint-Sépulcre

Au VIe s., la législation justinienne répressive contre les Juifs, incita ces derniers à aider les Perses contre l'empire romain Byzantin. En 614 Jérusalem est prise par les Parthes Sassanides avec leurs aides et soutiens, les Perses emportent les reliques de la Croix. "La Croix est en captivité". L'empereur Héraclius Ier (610-641) récupère la Croix en 630 et la ramène à Jérusalem.

En 638, les musulmans soutenus par les Juifs pour les mêmes raisons prennent Jérusalem pour la première fois. Les chrétiens sont maintenus sur le territoire.

En 1099, les Chrétiens récupèrent Jérusalem.

Au XIIe siècle, lorsque les armées de Saladin voyaient celles des Francs, ils disaient: "Jérusalem approche".

Une illustration :

Après la chute définitive du royaume latin de Jérusalem en 1261, la ville devient musulmane jusqu'à ce qu'au XXe s., après deux mille ans d'exil, les "juifs" aidés des sionistes créent de toutes pièces l'Etat Israël et proclament Jérusalem "capitale d'Israël". Les populations arabes présentes depuis le VIIe siècle sont chassées, déportées. Un mur est construit entre les deux peuples.
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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 10:42
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1 septembre 2008 1 01 /09 /septembre /2008 19:11
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