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Christ Roi

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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 15:37

Le Figaro Eric Biétry-Rivierre
19/11/2008 | Mise à jour : 10:43

 

Le Muséum national d'histoire naturelle vient de résoudre l'énigme de cette pierre, volée sous la Révolution et disparue depuis, qui ornait le grand insigne de l'ordre de la Toison d'or. C'est bien la perfide Albion qui a longtemps recelé un des plus beaux diamants, volé à la France pendant la Révolution (dite 'française'). 

Le Muséum national d'histoire naturelle vient de le démontrer à la suite d'une enquête digne des meilleurs polars scientifiques. Un travail à lire dans le dernier numéro de la Revue de gemmologie.


L'histoire commence en 1671 quand Louis XIV ordonne la retaille d'une pierre exceptionnelle ramenée des Indes trois ans plus tôt. De ses 115 carats est extraite une pièce n'en pesant plus que 69, mais qui demeure à ce jour le plus grand et le plus beau diamant bleu jamais produit. Louis XV la fera sertir au coeur de son grand insigne de l'ordre de la Toison d'or dont on ne connaît aujourd'hui que deux gravures imprécises. En septembre 1792, ce chef-d'oeuvre de la joaillerie baroque disparaît lors du sac de l'Hôtel du Garde-Meuble (actuellement Hôtel de la Marine, place de la Concorde). Les années passent et les chasseurs de trésors se perdent en conjectures.

Au milieu du XIXe siècle, une thèse prédomine : celui qui est désormais appelé le « diamant bleu de la couronne » aurait été grossièrement retaillé. Ce serait, peut-être, celui apparu chez un joaillier londonien en 1812 et acheté par un grand banquier de la City, Henry Philip Hope. Mais comment prouver que ce joyau rond, désormais conservé à la Smithsonian Institution de Washington, est bien le bon ? Ses feux sont mal équilibrés, il n'a pas la légendaire et magnifique taille du diamant du Roi-Soleil, dite en « rose de Paris », et, surtout, il ne pèse « que » 45,5 carats !

Ce qui a permis à l'équipe emmenée par François Farges, chercheur au département histoire de la Terre du Muséum, de l'affirmer « à 99 % car nous n'avons pas de certificat de la gemme originelle avec tous les éléments de l'analyse moderne » : c'est une découverte.

 

Au cours de l'inventaire numérique du million de pièces des fonds anciens du département - qui n'est encore effectué qu'à un tiers -, un modèle en plomb du diamant des Bourbons a été retrouvé. Avec une indication du donateur, un joaillier parisien, qui mentionne son client. Un certain : « Mr. Hoppe de Londres » qui posséderait l'original.

 

François Farges enclenche alors son logiciel de modélisation 3D et compare le plomb avec celui du diamant Hope prêté par la Smithsonian. « L'un rentre dans l'autre au millimètre près. » Cela suffira-t-il à la France pour réclamer son bien ? Le chercheur ne le croit pas. « Depuis que la Convention, le Directoire et la IIIe République ont vendu une large partie des joyaux de la couronne, l'inaliénabilité de ces pièces, décidée par François Ier, est caduque. » Quant au recel, il y a prescription.

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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 11:32

Une nouvelle déclaration du président Medvedev prouve que la Russie continue sa révolution contre le monde moderne et prépare le terrain pour un mandat présidentiel long (Poutine probablement).

MOSCOU, 18 novembre (Xinhua) -- La Russie ne se transformera  pas en une république parlementaire, même si le rôle du parlement  sera renforcé suite à des amendements constitutionnels, a déclaré  jeudi le président Dmitri Medvedev.

 "Les amendements constitutionnels suggérés ne transformeront pas la Russie en une république parlementaire. Franchement, je pense  que la Russie ne doit pas être une république parlementaire. Ce  serait fatal",
a déclaré M. Medvedev dans la ville ouralienne  d'Izhevsk, cité par l'agence de presse Itar-Tass.

La Douma, chambre basse du parlement russe, a approuvé les  changements constitutionnels pour prolonger le mandat présidentiel et celui des députés, de quatre ans à six et à cinq ans  respectivement.

Le nouveau mandat présidentiel sera applicable au prochain  chef d'Etat. (La Constitution russe ne permettait pas à Vladimir Poutine de briguer un troisième mandat consécutif en mars, après huit années au Kremlin, mais rien ne l'empêche de se représenter plus tard, en 2012 ou à l'occasion d'un scrutin anticipé.)

Les amendements constitutionnels entreront en vigueur une fois approuvés par les deux chambres du parlement et au moins deux  tiers des législatures régionales, et publiés dans un journal du  gouvernement. 

"Néanmoins, les amendements renforcent les pouvoirs de la Douma et intensifient le contrôle du parlement sur les activités  gouvernementales", a précisé M. Medvedev.  

Dans le même temps, en Occident, Marie Mendras qui dirige l'observatoire de la Russie au Ceri (Centre d'études et de recherches internationales) publie un livre acerbe contre la Russie ("Russie, l'envers du pouvoir", Odile Jacob)  
en utilisant l'inversion accusatoire. Le régime Poutine aurait, je cite : « déconstruit » l'Etat en détruisant toutes les autres institutions (Parlement, régions, société civile) que le Kremlin. Certes, le redressement économique, aidé par la hausse du prix du pétrole, est incontestable. Mais l'Etat de droit et la propriété demeurent très fragiles dans un pays où chacun, lucide, se détourne d'une vie publique vide de sens." (n'est-ce pas plutôt dans ce pays phare qu'est la France que l'Etat de droit et la propriété sont liquidés, et que "chacun, lucide, se détourne d'une vie publique vide de sens?"...)

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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 09:09

Sur la radio Rmc-info, ce matin, à la question de Jean-Jacques Bourdin si Ségolène Royal n'envisageait pas de faire du cinéma, la socialiste a répondu en s'esclaffant: "pourquoi vous croyez qu'on fait la comédie?" en enchaînant avec un rire gras.

A la question "combien coûte un ticket de métro?", elle n'a pas su répondre.

Et à une autre, la comédienne de répondre: "il n'y a pas de question tabou".

... Que de mensonges!

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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 00:01
... qui devra être alimentée par la vente des biens de l'Eglise.

C'est ce que les républicains appellent "liberté de culte" et "droit de propriété"...

Source: Alfred Fierro, Chronologie: La Révolution jour par jour  in Jean Tulard, J.F. Fayard, A. Fierro, Histoire et Dictionnaire de la Révolution française 1789-1799, Bouquins Robert Laffont, Paris 2004, p. 321
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 11:58
Les catholiques traditionnels n'ont évidemment ni la prétention, ni les moyens de résoudre tous les problèmes d'entretien de toutes les églises ou chapelles de France. Mais puisqu'ils existent, ils peuvent au moins contribuer à en résoudre quelques-uns. Site des Catholiques d'Amiens
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 11:34
Nous publions la Lettre des Associations Familiales Catholiques que chacun de vous peut utilement envoyer à ses élus

Ces dernières semaines, une évolution de la législation visant à élargir les possibilités d’ouverture des commerces et des services publics le dimanche a, à nouveau, été évoquée. Les Associations Familiales Catholiques s’opposent à un tel changement qui aurait des conséquences graves pour les familles et pour la société entière dont elles sont les cellules de base.

Parmi les arguments en faveur d’une extension de l’ouverture dominicale, il y a l’idée de dynamiser l’économie et de relancer la consommation. Or, la consommation est aujourd’hui plus restreinte par le pouvoir d’achat et le surendettement des ménages que par les jours d’ouverture des commerces.

Est également mise en avant la liberté de choix des salariés. Comment sera-t-elle effectivement garantie ? Quelle sera l’incidence, pour un salarié, d’avoir préféré conserver le dimanche son jour de repos pour passer du temps avec sa famille, ses amis ?... les exemples étrangers montrent que ce sont principalement les salariés aux revenus modestes, travaillant dans les secteurs du gardiennage, de l’entretien…, qui travaillent le dimanche (ou avec des horaires décalés) : ont-ils à ce titre une réelle liberté de choix ?

Par ailleurs, pour les Associations familiales catholiques, la généralisation du travail du dimanche ne doit pas se faire au détriment de la dignité de l’homme. Sur ce plan, il n’est pas possible de ne le considérer que comme un consommateur de biens et de marchandises. Le repos du dimanche vient rappeler la valeur des moments partagés avec des proches, valeur qu’aucune rémunération ne peut compenser. Le dimanche reste, en effet, le jour où la plupart des familles se retrouvent : de l’existence de cette occasion pour le plus grand nombre dépend la stabilité de la vie de famille et donc aussi le lien social lui-même. Il est indispensable pour chacun d’avoir un jour de repos fixe qui lui permet de se consacrer à des activités en famille ou entre amis.

Enfin, pour les chrétiens, l’extension du travail du dimanche touche la vie au sein de l’Eglise. Cela la concerne bien sûr à travers la pratique religieuse, mais aussi comme communauté humaine dont les œuvres, notamment à caractère caritatif et humanitaire, sont d’un grand secours pour beaucoup. Le repos dominical permet d’entretenir ces liens qui sont également utiles pour la société. (Fin de citation)

Par ailleurs, une conférence sera prochainement organisée à Versailles le Lundi 15 décembre prochain à 20h30.
Europae Gentes
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 11:25

"Sans jamais concéder à quelque lourdeur intellectualiste, ce livre offre, sans fantasmagorie, sans haine pour les personnes, mais sans complaisance, un éclairage du phénomène maçonnique sous tous ses aspects.
Par la voix de ses grands maîtres, la franc-maçonnerie se présente sans cesse comme la religion de la République. Mais la vérité n’est-elle pas plutôt qu’elle a façonné une république selon sa religion ? Une république d’initiés !
Bernard Antony démontre pourquoi il est évident que le catholicisme, de Clément XII à Benoît XVI, ne pouvait qu’interdire à ses fidèles l’appartenance à un ordre qui, quelles que soient ses obédiences, est le lieu de résurgence d’antiques gnoses où l’on fait en réalité passer les initiés du culte de la raison aux spéculations surréalistes d’un symbolisme ésotérique nourri d’alchimie, de kabbale, d’hermétisme et de manichéisme. Le Blog de Bernard Antony

"Vérités sur la franc-maçonnerie, de la subversion des loges à la république des initiés" de Bernard Antony, éd. Godefroy de Bouillon. 37 € port compris, à commander au Centre Charlier 70, boulevard Saint Germain 75005 Paris
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 06:44

Cette crise « met en lumière tout ce que la Doctrine sociale de l’Eglise affirme depuis très longtemps déjà », a déclaré Mgr Giampaolo Crepaldi, secrétaire du Conseil pontifical justice et paix.
... Quand un système économico-financier entre en crise, ce n’est jamais pour des motifs économiques ou financiers, mais parce qu’une faille s’est produite en amont dans le système moral global ».
Dans ce sens, il a estimé qu’à l’origine de la situation il y a une crise de confiance : « on n’entend parler que de confiance, de relancer la confiance mutuelle pour résoudre cette crise » ; or la confiance « n’est pas d’abord un élément économique et financier, c’est une attitude éthique ».
« Lorsque le marché pervertit cette attitude éthique, nous savons tous qu’il n’est plus en mesure à lui seul de la rétablir », a-t-il expliqué.
Selon le secrétaire de Justice et Paix, aujourd’hui il faut trouver un « équilibre » entre la dérégulation des marchés que l’on a connue ces derniers temps et la tentation de conférer un poids excessif à l’Etat.
« Ce sont trois acteurs qui ont un rôle à jouer - a-t-il ajouté - : le marché d’une part, l’Etat de l’autre, mais aussi la société civile. Là précisément se trouve la réponse aux exigences et aux inspirations qui découlent dudit principe de subsidiarité ».
En conformité avec la Doctrine sociale de l’Eglise, explique Mgr Crepaldi, « il faut considérer avec une plus grande sagesse le marché et le rôle qu’il peut jouer ».
Et d’ajouter : « nous n’en serions pas là si nous avions traité le marché comme un moyen et non comme une fin ».

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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 06:27

Interview parue dans l’hebdomadaire Minute du 5 novembre 2008 :

Fabrice Robert est président du Bloc identitaire. Le mouvement identitaire, c’est une sensibilité politique qui se développe aussi bien en France qu’en Suisse, en Suède, en Espagne ou au Portugal. Si certaines organisations sont antérieures au courant français, comme la Ligue du Nord (Italie) ou le Vlaams Belang (Belgique), d’autres s’en inspirent. Gros plan sur un courant politique qui monte en Europe.

Image Hosted by ImageShack.usMinute : Qu’est-ce que le Bloc identitaire ?

Fabrice Robert : Le Bloc identitaire est un mouvement qui réunit tous ceux pour qui la défense des identités charnelles et historiques est la priorité. Je parle de mouvement plutôt que de parti, car le Bloc identitaire n’est pas une organisation pyramidale et ne s’est pas fixé pour but prioritaire de participer aux élections, même s’il ne se l’interdit pas. D’ailleurs, le mouvement identitaire a participé à de nombreuses élections, municipales, cantonales ou législatives, à Nice, Paris ou encore en Alsace, obtenant à plusieurs reprises des résultats supérieurs à 5%.

Mais le Bloc identitaire fonctionne avant tout comme un réseau, au sein duquel les différentes composantes, et les membres de ces composantes, ont tous vocation à être des forces de proposition. Dans la mouvance du Bloc identitaire, il n’y a que des acteurs, c’est-à-dire des gens qui conçoivent, proposent et agissent de façon très concrète, et non pas des individus en attente de consignes venues d’en haut. Et contrairement à des organisations qui sont uniquement sur le terrain électoral, nous pensons qu’il y a une vie avant, pendant et après les élections. 

Minute : Ce n’est pas en faisant l’impasse sur les élections que vous parviendrez au pouvoir !

Ce n’est pas ce que j’ai dit, et le but ultime est bien évidemment la prise du pouvoir. Mais si, face à la logique du tout électoral, nous prônons l’enracinement local, c’est que nous avons pris conscience, depuis notre création il y a cinq ans, de la nécessité de rompre avec des pratiques qui mènent à une impasse. A ceux qui préparent 2012, j’ai envie de répondre : nous, nous préparons 2020 ou 2030. Nous préparons les structures et les relais d’entraide pour nos enfants et pour ceux qui naissent aujourd’hui.

Minute : A-t-on encore le temps d’attendre ?

C’est une remarque que j’entends souvent. Je vous répondrai : a-t-on encore le temps de continuer à perdre tous les combats ? C’est ce qui se passe quand on reste dans une logique de l’instantanéité. Le pouvoir ne se prend pas uniquement par les urnes. Il se prend aussi par le développement de structures (associations, syndicats…) et de projets métapolitiques mais également par le recours à divers outils (dont le réseau Internet) susceptibles de diffuser notre conception du monde. Il se prend donc autant par l’influence que l’on exerce sur les esprits que par l’exemple et l’espoir que l’on offre. Il faut monter qu’il est possible de sortir de la contestation et de remporter des victoires.

Minute : Et vous en avez remporté, des victoires ?

Oui. La première victoire que nous avons remportée est sémantique. Qui, il y a encore cinq ans, employait le mot « identitaire » ? A peu près personne. Aujourd’hui, tout le monde ou presque l’utilise (avec, je le reconnais, cet effet induit que le concept peut être perverti). Je lisais récemment une interview de l’actrice Isabelle Carré, de sensibilité de gauche, interrogée sur sa difficulté à mener une carrière internationale. Elle répondait que cela ne la dérangeait pas car, « sans être quelqu’un d’ultra-identitaire, j’adore Paris, les tournées en France ». Elle ne sait peut-être pas tout à fait de quoi elle parle, mais de même que le Parti communiste a imprégné toute la société de son vocabulaire, la reconquête sémantique doit être prioritaire. Qui commence à parler comme nous finira peut-être par penser comme nous.

... Au lieu de dénoncer sans cesse la puissance de certains lobbies, faisons en sorte de construire nos propres groupes d’influence !

Minute : Qu’est-ce qui vous distingue du Front national sur la question de l’identité ?

Le Front national a une vision de l’identité bien différente de la nôtre. D’abord, il ne défend que l’identité nationale, ce qui est pour nous insuffisant. Au Bloc identitaire, nous défendons une vision de l’identité à trois niveaux : l’identité charnelle : ce sont les régions ; l’identité historique : c’est la France; et l’identité civilisationnelle : c’est l’Europe. Pour le Front national, ces identités sont antagonistes. Pour nous, elles sont complémentaires. Par exemple, je me sens à la fois niçois, français et européen. Et je n’ai aucune peine à me sentir pleinement français, tout en étant niçois, et tout en étant européen, au contraire : chacune de ces identités renforce l’autre et constitue un ensemble organique cohérent.

D’autre part, le Front national associe la question de l’identité et celle de l’acceptation des « valeurs républicaines ». Dans sa logique intégrationniste, il considère qu’un Maghrébin qui vient en France, maîtrise notre langue, respecte nos lois, etc. – bref, « s’intègre » – devient illico un Français à part entière. Pas pour nous, car il lui manquera toujours deux des trois composantes de notre identité, la charnelle et la civilisationnelle : il ne sera jamais occitan – ni breton, ni basque, etc. –, ni européen.

Minute : Est-ce que cela vous amène à remettre en cause les naturalisations accordées à hauteur de 100 000 à 150 000 par an depuis un quart de siècle, ainsi que la nationalité française de Français issus de l’immigration qui l’ont obtenue en étant nés en France ?

La nationalité, cela peut s’acquérir pour services rendus. Mais cela doit demeurer tout à fait exceptionnel. L’identité, c’est quelque chose qui s’hérite – puis bien sûr qui se cultive et se modifie subtilement au fur et à mesure. Or ce qui se passe depuis un quart de siècle, c’est que l’on transforme de façon extraordinairement brutale l’identité française par l’octroi de la nationalité à tout un tas de gens qui, encore une fois, n’ont aucune notion de ses composantes civilisationnelle et charnelle. Qu’est-ce qu’on fait ? On laisse faire ? Ou on agit ?

... Ce serait bien sûr totalement utopique de dire que toutes les personnes d’origine extra-européenne seront expulsées. Mais il est totalement insuffisant de dire que l’on va fermer les vannes de l’immigration. On l’a vu récemment avec La Marseillaise sifflée, une fois de plus, au Stade de France, par une majorité de titulaires de la nationalité française : l’intégration, ça ne fonctionne plus. Il faut maintenant être clair : une bonne partie des populations d’origine immigrée ne pourront jamais s’intégrer en France. Il faut dire à celles-ci qu’elles devront faire un choix, et que la meilleure des choses qu’elles peuvent faire, c’est d’aller travailler pour le bien de ce qu’on appelle improprement leur « pays d’origine », et qui n’est rien d’autre que leur patrie.

Minute : N’est-ce tout de même pas utopique ?

On a toujours l’impression, en France, que rien n’est possible, qu’on ne peut rien faire contre le « sens de l’histoire » et que l’on peut, au mieux, « gérer » les problèmes, quand bien même on sait qu’ils sont dramatiques. Cette démission fataliste, je la récuse. Je considère que l’histoire n’est pas linéaire et qu’il peut y avoir des bouleversements, tout simplement parce que toute l’histoire de l’humanité le prouve. Et il n’est pas besoin de remonter à l’Antiquité ! Qui avait prévu en 1988 que le Mur de Berlin allait s’effondrer l’année suivante ? Qui aurait pensé en 1788 que l’Ancien Régime allait être balayé un an plus tard ? Qui se souvient que, à la veille de la Révolution de 1917, Lénine lui-même pensait que la révolution qu’il appelait de ses vœux n’aurait jamais lieu ? Qui se doutait, en 1959 ou en 1960, que les pieds-noirs allaient être expulsés d’Algérie ? Des personnes qui ne sont pas et ne seront jamais françaises peuvent être amenées à partir si notre peuple le décide.

Minute : Doit-on en déduire que vous êtes racialiste ?

Si vous entendez par « racialisme » la volonté de « rétablir » la « pureté raciale » de la race blanche, et d’affirmer la supériorité de celle-ci sur les autres races, le Bloc identitaire n’est absolument pas racialiste. L’un de nos slogans est : « 0 % racisme ! 100 % identité » Qu’est-ce que cela signifie ? Que notre combat identitaire n’est dirigé contre personne, dans la mesure où nous souhaitons que chaque peuple retrouve, chez lui bien sûr, son identité propre, plutôt que d’être dissout dans un immense magma ou de se laisser gagner par l’uniformisation que provoque la mondialisation. Suite novopress.info 

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 18:54
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 18:37

Reuters Le Monde 17.11.08

DOUBAI (Reuters) - Les taliban menacent de lancer des attaques sur Paris si la France ne se retire pas d'Afghanistan, dans un message vidéo diffusé par la chaîne Al Arabia.

Les rebelles islamistes revendiquent en outre dans cet enregistrement l'embuscade dans laquelle dix soldats français ont été tués le 18 août.
"Nous avons tué dix soldats français aujourd'hui pour adresser un message aux Français afin qu'ils corrigent leurs erreurs et se retirent d'Afghanistan. S'ils ne le font pas, ils entendront notre réponse à Paris", déclare un commandant des taliban présenté comme le mollah Farouq dans cet enregistrement dont la date n'est pas précisée.
Le document montre des images de ce qui semble être un véhicule blindé français harcelé par des combattants islamistes. Certains insurgés sont ensuite présentés revêtus d'uniformes de soldats français.
L'embuscade du 18 août, qui avait fait également 21 blessés dans les rangs français à une cinquantaine de kilomètres à l'est de Kaboul, a constitué l'attaque la plus meurtrière contre des troupes étrangères depuis la chute des taliban en 2001.
Le président Nicolas Sarkozy avait effectué une visite éclair deux jours plus tard dans la capitale afghane, où il avait souligné la nécessité de poursuivre en Afghanistan "l'indispensable travail" dans "le combat contre le terrorisme et la barbarie". (en 14-18 les oligarches parlaient de la 'barbarie' des boches)
Le chef de l'Etat français a choisi d'accroître la présence française dans le pays en envoyant 700 hommes en renfort cet été. Au total, 2.600 militaires français sont déployés sur le sol afghan dans le cadre de la Force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf), sous commandement de l'Otan.


Les mensonges de Sarkozy - 3 - l'Afghanistan

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 18:10
SPour le cardinal James Francis Stafford, Grand Pénitencier de la Pénitencerie apostolique et archevêque émérite de Denver (Colorado), Obama est un être «agressif, perturbateur et apocalyptique» qui a mené sa campagne"sur un programme violemment anti-vie (…) Le 4 novembre, l’Amérique a subi un tremblement de terre culturel (…) Si 1968 fut l’année de la “tentative de suicide” de l’Amérique, 2008 est celle de son épuisement. [...] Au cours des quelques années qui viennent, Gethsémanie ne sera pas une chose marginale. Nous allons connaître ce jardin".

Le Salon Beige
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 18:00

« La crise financière révèle plus profondément une crise spirituelle et un ordre erroné des valeurs », diagnostiquent les évêques européens. Ils prônent un changement de style de vie et en appellent à la responsabilité des chrétiens.

C’est ce qu’indique le communiqué final de l’assemblée plénière d’automne de la Commission des Episcopats de la Communauté Européenne (COMECE) qui s’est tenue du 12 au 14 novembre à Bruxelles. Une assemblée marquée par l’arrivée du Père Piotr Mazurkiewicz comme nouveau secrétaire général.

« Le sens et la valeur du travail humain sont passés à l’arrière-plan dans la recherche générale du profit », ont regretté les évêques.

Mgr Adrianus Van Luyn, Président de la COMECE, a appelé à ne pas sous-estimer la portée de cette crise : « Celui qui voit la cause de la crise financière uniquement dans un manque de transparence et d’imputabilité juridique, ne voit sans doute pas que c’est bien plus notre modèle de société lui-même qui est en question. Un modèle économique qui se base sur la consommation continue et sans limites de ressources limitées, va dans la mauvaise direction. » Il a estimé que la cause plus profonde de la crise financière se situait dans « un ordre erroné des valeurs. »

Les évêques de la COMECE ont reçu le rapport « Une réflexion chrétienne sur le changement climatique » rédigé par le groupe d’experts qu’ils avaient mis en place en novembre 2007. Les évêques ont pris note des conclusions du rapport : le changement climatique est une question de survie pour une grande partie de l’humanité ; un leadership politique fort ainsi que, plus profondément, une réflexion et un débat éthique sont nécessaires pour convaincre les esprits mais aussi les cœurs des citoyens à se distancer du mode de vie prédominant, trop centré sur la consommation et notamment sur une consommation énergétique disproportionnée.

Dans ce même esprit, ils ont appelé au respect du repos dominical comme base du modèle social européen et facteur de réconciliation entre travail et vie familiale. Ces dernières années, le dimanche a été mis à mal dans les législations de nombreux Etats membres, à la faveur d’une vision politique libérale et consumériste. Dans le contexte de la crise économique actuelle, les évêques de la COMECE appellent les députés européens à prendre leurs responsabilités et à inscrire le dimanche comme jour de repos dans la Directive Temps de travail qui sera votée à la mi-décembre au Parlement européen.

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 07:37

ROME, Dimanche 16 novembre 2008 (ZENIT.org) - Le pape Benoît XVI a commenté ce dimanche l’une des paraboles les plus célèbres de Jésus, la parabole des talents. Il a expliqué que c’est en les partageant qu’on fait fructifier les dons reçus de Dieu.

En cet avant-dernier dimanche de l’année liturgique, et en présence de plusieurs milliers de fidèles rassemblés place Saint Pierre, le pape a expliqué que les talents « ne représentent pas seulement les qualités naturelles mais aussi les richesses que le Seigneur Jésus nous a laissées en héritage, afin que nous les fassions fructifier ».

Benoît XVI a expliqué que ces talents sont « sa Parole, déposée dans le saint Evangile ; le Baptême, qui nous renouvelle dans l’Esprit Saint ; la prière - le « Notre Père » - que nous élevons à Dieu en tant que fils unis dans le Fils ; son pardon, qu’il a commandé de porter à tous ; le sacrement de son Corps immolé et de son Sang versé. En un mot : le Royaume de Dieu, qu’Il est Lui-même, présent et vivant au milieu de nous ».

« La parabole de ce jour insiste sur l’attitude intérieure avec laquelle il faut accueillir et valoriser ce don », a précisé le pape.

Benoît XVI a expliqué que l’attitude qu’il ne faut pas avoir « est celle de la peur : le serviteur qui a peur de son patron et craint son retour cache la pièce de monnaie sous terre et celle-ci ne produit aucun fruit ».

« Ceci arrive par exemple à celui qui a reçu le Baptême, la Communion, la Confirmation, mais ensevelit ensuite ces dons sous une couche de préjugés, sous une fausse image de Dieu qui paralyse la foi et les œuvres. Ceci fait qu’il trahit les attentes du Seigneur », a-t-il ajouté.

« Ce que le Christ nous a donné se multiplie en le donnant ! s’est exclamé le pape. C’est un trésor fait pour être dépensé, investi, partagé avec tous, comme nous l’enseigne ce grand administrateur des talents de Jésus qu’est l’apôtre Paul ».

Le pape a conclu en se tournant vers Marie qui « en recevant le don le plus précieux de tous, Jésus lui-même, l’a offert au monde avec un immense amour ».

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16 novembre 2008 7 16 /11 /novembre /2008 12:23

Au pays de la "laïcité" (maçonnique) et des "droits de l'homme" (sans Dieu) les Pouvoirs publics censés défendre la liberté de culte de chacun laissent des gauchistes perturber et empêcher la récitation du rosaire devant le parvis de la cathédrale Saint-André à Bordeaux. C'est ce qu'ils appellent la "liberté de culte".

Sos tout-petits15/11/2008 – 22h00
BORDEAUX (
NOVOPress) :
« Première, deuxième, troisième génération, nous sommes tous des enfants d’enculés ! » C’est en s’égosillant à reprendre en boucle ce slogan, et derrière une banderole affichant « Gardez vos prières loin de nos ovaires », que quelques dizaines de militants d’extrême gauche (dont une majorité de militantes) sont venus troubler une récitation de rosaire organisée cet après-midi au centre de Bordeaux, devant le parvis de la cathédrale Saint-André, à l’appel de l’association SOS Tout-Petits.
Celle-ci, estimant que « l’avortement est un crime abominable devant Dieu et devant les hommes », organisait ce même jour dans les principales villes de France des « prières publiques de réparation, d’intercession et de conversion » sous forme de récitation de rosaires (trois chapelets) dans des lieux publics. Pourquoi trois chapelets ? Le premier pour demander pardon à Dieu du « meurtre » des enfants dans le ventre de leur mère. Le deuxième afin que Dieu fasse en sorte que l’avortement soit interdit. Le troisième pour le salut des femmes qui ont avorté.

Place Pey-Berland, à deux pas de la mairie de Bordeaux, une centaine de catholiques étaient donc venus prier et chanter, agenouillés dans le froid durant une heure et demie, autour de cinq prêtres des trois principales tendances traditionalistes – le fait est suffisamment rare pour être souligné –, eux-mêmes agenouillés sur une marche du parvis de la cathédrale Saint-André : l’abbé Jean-Baptiste Guyon pour la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, les abbés Louis-Numa Julien et Jean-Pierre Gaillard de l’Institut du Bon Pasteur, et les abbés Denis Coiffet et Bruno Stemler de la Fraternité sacerdotale Saint Pierre.

 

 

C’est dans un climat tendu que s’est déroulée la récitation du rosaire. Les Notre Père et les Je Vous salue Marie récités par les catholiques, pour certains venus accompagnés de très jeunes enfants, étant régulièrement couverts par les huées, sifflets, quolibets, insultes et chants anticléricaux de gauchistes équipés d’un porte-voix dont la police n’avait pas cru bon de les délester. « Avortement, libre et gratuit ! » ou « Cathos ! Fachos ! Vous nous cassez le clito ! », scandaient ces militants, certains rigolards, d’autres haineux. Seul le Christus vincit, Christus regnat, Christus imperat, chanté par les fidèles, parvenait à couvrir leurs cris.

La tension a atteint son paroxysme lorsque les gauchistes se sont mis à hurler : « Jésus, on t’encule ! », puis « Marie, on t’encule ! », et un bref échange de claques a eu lieu quand un individu, s’étant aventuré devant les prêtres, a été expulsé du parvis manu militari. Les CRS, qui s’interposaient entre les fidèles et les manifestants, ont alors repoussé ces derniers de sept à huit mètres. Jusque-là, les forces de l’ordre avaient toléré que les militants d’extrême gauche se tiennent à moins d’une dizaine de mètres des fidèles agenouillés, de sorte qu’ils pouvaient à loisir les invectiver et même pour certains leur lancer des capotes. A un journaliste qui s’en étonnait, le commissaire en charge du bon déroulement des opérations a expliqué : « Si on les avait tenus plus à l’écart, ils ne l’auraient pas accepté. Et on aurait eu du mal à les contenir. » Et leur mégaphone ? Même réponse. « Si on leur enlève, le trouble à l’ordre public sera bien supérieur. » Les gauchistes, forts en gueule mais physiquement plutôt chétifs, étaient tout au plus quatre-vingt…

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 18:26
ECONOMIE > Crise financière
10h59 >La zone euro est entrée en récession pour la première fois de son histoire (officiel)

BRUXELLES (AFP) — La zone euro est entrée vendredi officiellement en récession pour la première fois de son histoire, à la veille du sommet financier de Washington et alors que la pression monte pour une réponse européenne plus forte face à la crise économique.

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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 18:39
L’ensemble de la campagne présidentielle de Barack Obama a été attentivement suivie par les médias du monde entier et plus particulièrement par les journalistes occidentaux. En effet, la presse, les radios, les chaînes de télévisions ont « informé » quasi quotidiennement les Français des meetings tenus par Mc Cain et Obama, des différents « scandales » de part et d’autre, de l’engouement que suscitait la candidature du métis dans une frange de la population nord-américaine et même de l’état de santé de sa grand-mère.

Le parti-pris des journalistes du monde entier était flagrant. Après l’élection du 44ème président des Etats-Unis  ceux-ci « ont salué mercredi à l’unisson l’élection "historique" de Barack Obama à la Maison Blanche, estimant qu’elle allait non seulement transformer la face des Etats-Unis mais également de la planète » (Tribune de Genève).

Or, comme chacun le sait, les présidents américains sont à la solde de l’administration elle-même verrouillée par de multiples lobbies. Obama ne changera la face des USA et du monde que s’il en reçoit l’ordre.

... Le nouveau président incarne la politique de métissage généralisé mise en route depuis plus de trois décennies dans l’ensemble de l’Occident. Il est le symbole du cosmopolitisme, il est l’homme nouveau.

Les élites mondialistes s’acharnent depuis fort longtemps à détruire toute forme d’identité culturelle, religieuse et ethnique. Le métissage de tous les peuples de la planète n’a pour objectif que de créer un homme identique aux quatre coins du globe. Cet homme « nouveau » consommera les mêmes produits et croira dans le même dieu de Dubaï à Paris.
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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 17:16
Extraits du discours prononcé par Vladimir Volkoff au Rassemblement Royaliste des Baux de Provence de 1997, "Le Roi, l'éternelle solution". Via le Forum catholique

"Le premier problème qui se pose à toutes les sociétés des hommes, c’est que ce que les chrétiens expliquent par le récit de la chute a eu lieu et que par conséquent les hommes ne sont pas parfaits, qu’ils ne sont pas tous très gentils et qu’ils ont besoin d’être gouvernés. C’est le premier problème politique: les hommes ont besoin d’être gouvernés.

S’ils ne sont pas gouvernés, ils s’entre-mangent et celui qui a mangé le plus des autres commence à gouverner ceux qu’il n’a pas eu le temps de manger, ce qui est la loi de la jungle, ce qui est une façon de régler le problème, mais il y en a peut-être d’un peu plus civilisées et la monarchie nous apporte une de ces solutions pour régler la seule nécessité que les hommes ont besoin d’être gouvernés. Je ne dit pas que c’est la meilleure mais c’est une des solutions. Le roi est une des solutions à la nécessité qu’ont les hommes d’être gouvernés. Il y a fondamentalement deux sortes de gouvernements:

-les gouvernements paternels où la personne qui a l’autorité est donnée a priori c’est le père, ce sont les parents qui gouvernent la famille, qui gouvernent leurs enfants. C’est la structure royale, bien entendu. C’est une structure absolument fondamentale.

-les structures par contrat social.

... Ce sont deux structures totalement différentes, une structure paternelle héritée d’en haut et une structure d’accord entre nous. Il est bien évident que l’une et l’autre règlent plus ou moins bien ce premier problème auquel je faisais allusion qui est que les hommes ont besoin d’être gouvernés. Je pense que les structures paternelles sont mieux adaptées à la nature humaine déchue que les structures constitutionnelles mais, bien entendu, on peut en discuter.

Un autre problème, c’est que, la nature humaine est ainsi faite: il y a des forts et des faibles. Cette force et cette faiblesse, à l’époque de l’homme des cavernes, c’était simplement les costauds et les gringalets. Ce sont ensuite les féodaux et leurs serfs. Ce sont les capitalistes et les ouvriers. A notre époque, ce sont les multinationales et leurs employés. Les puissants, ce sont quelquefois les psychocrates, c’est-à-dire ceux qui manipulent tous les mass médias qui nous manipulent à leur tour,. Il y aura toujours et il y a toujours eu une opposition entre les puissants et les moins puissants, les forts et les faibles. Le rôle de tout gouvernement des hommes est nécessairement de limiter quelque peu la puissance des puissants et de protéger les moins puissants contre les plus puissants.

LE ROI CONTRE LES FÉODAUX

C’est l’un des domaines où la monarchie doit vraiment recevoir de bonnes notes dans tous les pays du monde parce que les monarques ont toujours essayé de limiter les droits des féodaux, les droits des forts, les droits des riches, parce que c’était leur intérêt même, sans parler d’altruisme ou de générosité. C’était l’intérêt des monarques de s’appuyer sur la masse des faibles (les faibles sont toujours plus nombreux que les puissants).

Les rois de France ont assis leur puissance sur le petite bourgeoisie et le peuple contre les grands féodaux. Voyez RICHELIEU. Je pense aussi à l’histoire de Russie où IVAN le Terrible a assis son pouvoir sur le peuple contre les boyards. Je pourrais bien penser aussi à JULES CÉSAR, à AUGUSTE et on peut remonter dans la nuit des temps. Le monarque a toujours été le protecteur du faible contre le fort. Pourquoi? Pour obtenir un certain équilibre dont lui-même tirait certains avantages.

LES LEÇONS DE SOLJENITSYNE

Un autre problème m’a toujours intéressé. En 1993, j’avais été invité à un évènement historique qui me paraît être un des grands évènements de ce siècle et dont on mesurera plus tard l’importance. C’était la venue de SOLJENITSYNE aux Luc-sur-Boulogne pour l’inauguration du mémorial de la Vendée. SOLJENITSYNE ne se déplace jamais et ne s’intéresse pas beaucoup à ce qui se passe en dehors de la Russie. Mais on l’a invité à venir aux Luc-sur-Boulogne et il a dit immédiatement oui. Il a compris qu’il n’y a pas de droite et de gauche. Il a compris qu’il y a les Blancs et tous les autres. Il a compris qu’il était invité chez les Blancs et, comme c’est un Blanc lui-même, il est venu.

Nous étions 36.000 à l’écouter sous une pluie battante et il nous a dit plusieurs choses qui m’ont paru nouvelles. Il nous a dit: “derrière chaque utopie, il y a une terreur”. Cela me paraît d’une profondeur historique remarquable. Toutes les terreurs sont là pour justifier les utopies.

Il nous a dit aussi: “Toute révolution est mauvaise”. Et puis, il nous a dit quelque chose que je savais déjà, c’est que la liberté et l’égalité sont en fonction inverse l’une de l’autre. Plus il y a de liberté, moins il y a d’égalité. Plus il y a d’égalité, moins il y a de liberté. Mais peu de gens en ont pris conscience: SOLJENITSYNE, moi et quelques-uns d’entre vous et puis c’est tout. Ce n’est pas très populaire que de le dire. Les gens considèrent que liberté et égalité font partie du même slogan. C’était bon d’entendre SOLJENITSYNE, venu des plaines russes, nous dire: liberté, égalité, fonction inverse.

Quand certains parlent d’égalité, on sent bien que, dans le meilleur des cas, ils veulent dire justice. La justice est un besoin. Nous avons besoin de liberté. Nous avons besoin de justice. A regarder l’histoire, dans cette balance continue entre le minimum souhaitable d’égalité qui est exigé par la justice et le maximum souhaitable de liberté qui est exigé par l’amour de la liberté que nous avons au fin fond de nous, la balance ne peut être tenue que par un prince non élu, par un souverain dont le rôle est justement d’être le fléau de la balance. C’est lui qui pourra équilibrer la liberté souhaitable et l’égalité ou la justice souhaitable sans faire de surenchère de l’une par rapport à l’autre et sans essayer de nous faire croire qu’elles sont conciliables.

Elles ne sont conciliables qu’à petites doses. Il nous faut une homéopathie de liberté et une homéopathie d’égalité mais pas plus. Le prince, dans sa fonction autoritaire, est celui qui, justement, peut distribuer la quantité de liberté et d’égalité convenable d’après l’état du patient. J’ai toujours été un vif partisan du service militaire qui est totalement égalitaire, où les riches et les pauvres, les illettrés et les lettrés, se retrouvent exactement devant le même parcours du combattant. Il y a des moments où un bain d’égalité est utile et il y a des moments où un bain d’égalité est bon. Le prince me paraît être celui qui peut le mieux juger de la dose de liberté ou d’égalité à administrer à un peuple à certains moments.

Il existe des forces non politiques qui sont dangereuses pour un régime élu, peut-être plus que pour un régime qui porte sa légitimité en soi: multinationales, mondialisme, toutes choses qui vont nous coiffer sans que nous nous en soyons aperçus. Que peut un régime élu? Que peut un régime qui pense que l’économique passe d’abord? Que peut un régime fondé sur la publicité, sur la propagande? Que peut un régime de ce genre contre cette influence de plus en plus dramatique de l’économique anti-national?

Pas grand chose parce que, j’ai assisté l’autre jour à une conférence d’un homme extrêmement brillant, qui démontrait que, en régime social-démocrate, (et nous vivons en régime social-démocrate), la corruption n’est pas un accident mais une nécessité. Il montrait que, dans ce genre de régime, nous ne pouvons, au bout de certaines générations, qu’avoir des élus corrompus. Que peuvent les élus corrompus contre ces pots-de-vin, contre cette surenchère de l’intérêt matériel? Rien, tandis qu’il est bien évident qu’un régime qui ne doit rien à personne, qui en soi porte sa légitimité par une sorte de postulat absolu (au sens étymologique du terme, c’est-à-dire qui ne dépend de rien), est le seul régime qui peut résoudre le problème de l’insubordination à toutes ces méduses supranationales qui flottent autour de nous.

LA TRANSMISSION DU POUVOIR

D’une part, vous avez vu que le pouvoir en soi posait des tas de problèmes mais alors la transmission du pouvoir... Comment transmet-on le pouvoir? La monarchie le transmet par le moyen le plus simple, le plus bête possible. De même que nous transmettons la vie, il y a un monsieur et une dame qui ont des enfants auxquels le pouvoir, cette capacité mystérieuse, sacrée, mystique, est transmis. Les Grecs transmettaient le pouvoir par un système de tirage au sort pour certains magistrats. Nous, nous avons recours à l’élection.

L’ennui de l’élection, c’est qu’on élit les gens qui ont les qualités nécessaires pour se faire élire, lesquelles sont généralement complètement opposées à celles dont on a besoin pour gouverner. Pour moi, la démocratie a une sorte de faille à la base puisqu’on élit ceux qui sont capables de grimper sur une caisse à savon et de dire: “votez pour moi, je suis le plus beau”. Il est rare que ceux qui sont vraiment capables de gouverner soient capable de faire ça. [Lire
Sarkozy "n'a pas été élu en dépit de ses défauts mais grâce à eux"]

Cela dit, on a peut-être élu des gens brillants mais il n’y en a pas beaucoup. Dieu sait que nous avons eu dans tous les pays des rois qui étaient intelligents et d’autres qui étaient bêtes, certains qui étaient pleins de génie et d’autres qui étaient fous, certains qui étaient malades et d’autres qui étaient bien portants. Mais il me semble que la loterie héréditaire est préférable à l’élection. Les résultats sont meilleurs. Mais supposons que ce ne soit qu’une loterie, elle nous assure en tout cas de quelque chose de continu sans le moindre problème.

Dans cette espèce d’éternité biologique dans laquelle on dit que le roi ne meurt jamais en France (“
le roi est mort, vive le roi”), nous accédons à quelque chose de plus profond, à une véritable victoire sur la mort. Le roi ne meurt jamais. C’est le seul Français qui ne soit jamais mort. Il est toujours vivant. Dans cette continuité par un personnage, nous devenons tous d’une certaine manière immortels puisque nous nous associons à cette royauté qui le rend immortel, lui, et qui, puisqu’elle revendique son pouvoir d’ailleurs, lui donne accès à une autre éternité.

LA MONARCHIE HERMAPHRODITE

Je voudrais citer un livre admirable qui s’intitule tout simplement “Le Roi” de Monsieur Jean-Paul ROUX. Quand je l’ai reçu, j’ai écrit à son auteur: “Merci de m’avoir dispensé d’écrire ce livre. Toute ma vie, j’ai rêvé de l’écrire et vous l’avez écrit infiniment mieux que je n’aurais su. Maintenant, je n’ai plus besoin de faire toutes les recherches que vous avez faites tellement mieux que moi”.

C’est un livre tout à fait remarquable où Jean-Paul ROUX, historien, nous montre ce que c’est que le roi dans toutes les sociétés. Le roi, pour lui, c’est, entre autres, l’axe vertical de la cité, c’est-à-dire de l’humanité. C’est l’être qui joint la terre, c’est-à-dire la cité des hommes, qui sera sorti des reins d’un monsieur et du ventre d’une dame, qui sera un homme comme moi, et qui, en plus, sera bisexué.

La monarchie
est seul régime au monde qui prend en considération ce que nous dit la Bible et ce que nous dit Platon: l’homme, dans le principe, était hermaphrodite. Aucun de vous, Messieurs, n’est un homme entier. Aucune de vous, Mesdames, n’est une femme entière. Je ne suis pas un homme entier. Je ne suis qu’une moitié d’homme. Avec ma femme, nous faisons un être humain tout entier. Le roi, parce qu’il a la reine, est l’homme tout entier. Lorsque nous portons le roi au pinacle de la société, nous nous inclinons devant notre propre espèce, devant l’être humain: le roi et le reine unis pour l’éternité.

On me demande quelquefois pourquoi je suis monarchiste. Je suis royaliste parce que je pense que le royalisme est un humanisme.


*
Avantages de la monarchie
* Contre-Lumières. Ebauche d'un programme politique fédérateur
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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 17:03

Madrid, Nov 12, 2008 / 09:21 pm (CNA).-
Le quotidien espagnol "La Razon " a publié un article sur la conversion contre l'avortement d'un ancien "le champion d'avortement." Stojan Adasevic, qui a exécuté 48,000 avortements, parfois jusqu'à 35 par jour, sont maintenant le leader contre l'avortement le plus important en Serbie, après 26 ans comme le docteur d'avortement le plus renommé dans le pays.
"Les manuels médicaux du régime Communiste ont dit que l'avortement était simplement le déplacement d'une goutte de mouchoir en papier," le journal a annoncé. "Les Ultrasons permettant le foetus être vu ne sont pas arrivés jusqu'aux années 80, mais ils n'ont pas changé son avis. Néanmoins, il a commencé à avoir des cauchemars."
Dans la description de sa conversion, Adasevic "a rêvé d'un beau champ plein d'enfants et de jeunes qui jouaient et le rire, de 4 à 24 ans d'âge, mais qui sont partis en courant, dans la crainte. Un homme habillé en noire et blanc l'a regardé fixement dans le silence. Le rêve a été répété chaque nuit et il se réveillait dans une sueur froide. Une nuit il a demandé à l'homme en noir et blanc qui il était. ' Mon nom est Thomas d'Aquin, 'a répondu l'homme dans son rêve. Adasevic, instruit aux écoles communistes, n'avait jamais entendu parler du génie dominicain saint. Il n'a pas reconnu le nom "
"Pourquoi vous ne me demandez pas qui sont ces enfants ?" St. Thomas a demandé à Adasevic dans son rêve.

"Ils sont ceux vous avez tué avec vos avortements, ' lui a dit. st. Thomas
"Adasevic s'est réveillé dans la stupéfaction et a décidé de ne pas exécuter désormais des avortements," expose l'article .
"Ce même jour un cousin est venu à l'hôpital avec sa petite amie enceinte de quatre mois, qui a voulu obtenir son neuvième avortement - quelque chose tout à fait fréquente dans les pays du bloc soviétique. Le docteur a été d'accord. Au lieu d'enlever le morceau de foetus par le morceau, il a décidé de le couper et l'enlever comme une masse. Cependant, le coeur du bébé est sorti battant toujours . Adasevic compris alors qu'il avait tué un être humain,"
Après cette expérience, Adasevic "a dit à l'hôpital qu'il n'exécuterait plus d'avortements. Jamais auparavant un docteur dans la Yougoslavie Communiste n' avait refusé de faire ainsi. Ils coupent son salaire dans la moitié, a retiré sa fille de son travail et n'a pas permis à son fils d'entrer à l'université."
Après les années de pression et sur le point de l'abandon, il eut un autre rêve de st. Thomas.
"Vous êtes mon bon ami, continuez à aller, ' lui a dit l'homme en noir et blanc.
Adasevic est désormais impliqué dans le mouvement contre l'avortement et la télévision yougoslave a passé deux fois le film ' le Cri Silencieux, ' du Docteur Bernard Nathanson, . "
Adasevic a raconté son histoire dans des magazines et des journaux partout dans l'Europe de l'Est. Il a retourné à la foi Orthodoxe de son enfance et a étudié les écrits de st. Thomas d'Aquin.

"Sous l'influence d'Aristote, Thomas a écrit cette vie humaine commence quarante jours après la fertilisation," a écrit Adasevic dans un article. La Razon a fait des remarques qu'Adasevic "suggère que peut-être le saint voulu de dédommager pour cette erreur." Aujourd'hui le docteur serbe continue à se battre pour les vies à naître.
Cna traduction via le forum catholique

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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 14:41
Parmi ses innombrables falsifications historiques, la propagande républicaine dit que le droit du sang est une invention "démocratique". C'est faux bien évidemment puisque historiquement c'est la France monarchique médiévale qui l'inventa.

"Rien de tout cela en Angleterre. Isabelle, épouse d'Edouard II dont l'homosexualité était notoire, arriva au pouvoir avec son amant. Jamais la légitimité d'Edouard III n'en souffrira. Le sang n'est en Angleterre que l'un des facteurs qui font le roi. La propagande française le ressent bien, qui rit des multiples dynasties anglaises et qui les taxe toutes d'illégitimité. La France venait d'inventer la notion de droit du sang, une force redoutable pour le futur malgré quelques difficultés d'application immédiates. En France un fou, un bébé règnent de par leur sang. Le terme de 'légitimité' n'existait pourtant pas encore, le mot étant apparu après la chose."

Colette Beaune, Naissance de la nation France, nrf Editions Gallimard, Mayenne 1985, p. 220.
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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 07:20
Source : AFP
12/11/2008 | Mise à jour : 21:46

Le fils cadet du président de la République et conseiller général des Hauts-de-Seine (UMP), Jean Sarkozy, se déclare favorable au vote des étrangers non européens aux élections locales, dans un entretien à l'hebdomadaire le Point à paraître jeudi. "En réalité, rappelle-t-il, cela existe déjà mais uniquement pour les ressortissants des pays de l'Union européenne. Pourquoi pas les autres?", demande-t-il.
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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 20:39
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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 20:21

Nous connaissions grâce aux excellents travaux d'Hervé Ryssen la technique sioniste de l'"inversion accusatoire", il existe également l'inversion oratoire, inversion du sens des mots, une véritable subversion du langage, et la remise de médailles d'honneur, médailles "académiques", etc. Deux exemples ci-après. 

Le 6 novembre au soir, l’organisation B’nai B’rith France a annoncé un dîner de gala présidé par Bertrand Delanoë.

"Le B’nai B’rith se présente lui-même comme une organisation maçonnique réservée aux juifs et se réclamant officiellement, sur son site, du sionisme.

 

Le 26 mars 1986, le journal Le Monde révélait le pacte conclu au nom de Jacques Chirac et du RPR devant le B’nai B’rith de ne s’allier en aucun cas au Front National. C’est dire son importance.

 

A l’occasion de cette soirée, une remise de médaille d’honneur sera remise, pour : “leur qualité, leur courage, leur abnégation et leur ténacité (…leur) esprit d’ouverture, d’humanisme et de tolérance (sic) à : Alain MORVAN, Philippe VAL et François ZIMMERAY.“

 

* M. Zimeray, élu socialiste, est un ardent défenseur de la politique d’Israël dans les territoires occupés.

* La tolérance de M. Philippe Val est très unilatérale. Tolérance envers son camarade pédophile Font, intolérance envers son autre camarade Siné. Charlie Hebdo n’est ordurier que dans les limites permises.

* M. Alain Morvan, ex-recteur lyonnais, fonction qu’il a due à son éphémère carte du RPR, ne s’est distingué que par une opposition ambiguë à l’ouverture d’un lycée musulman à Lyon, et, surtout, par la haine implacable qu’il a montrée à l’égard de Bruno Gollnisch, ce qui, d’un avis unanime, a protégé ce recteur quelques mois d’une révocation que son caractère avait rendue inéluctable.

 

S’il a réussi à priver les étudiants de M. Gollnisch d’un enseignement qu’ils étaient unanimes à réclamer, M. Morvan n’en a pas moins été condamné par le Conseil d’Etat pour atteinte grave à une liberté fondamentale, et par la juridiction pénale pour injure. Les termes : “esprit d’ouverture”, “humanisme, “tolérance”, employés par le B’nai B’rith traduisent donc, comme de coutume, une complète inversion du langage.

 

En somme, ce 6 novembre, les communautaristes décorent les sectaires."

Source: Communiqué de presse du groupe FN Rhône-Alpes, via 
Club Acacia

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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 16:40

Titre extrait du nouvel album d'Insurrection, Ne Plus Subir, sortit en octobre, produit par Alternative-S. A commander ici : www.alternative-s.com

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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 13:00
C’est là le titre d’une pleine page du Monde de ce vendredi 7 novembre 2008, commentant la publication par la Halde, la veille, d’une grande enquête sur : « Les stéréotypes et les discriminations dans les manuels scolaires ».
Il résume très bien le travail auquel se sont livrés les policiers de la pensée, de l’éducation et du conditionnement de l’organisme créé par la loi du 30 décembre 2004 sous la présidence de la République de Jacques Chirac, présidé par Louis Schweitzer et qui s’épanouit sous Nicolas Sarkösy comme le véritable centre d’influx de l’idéologie officielle de la République encore dite française...
Suite Le Blog de Bernard Antony
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