Overblog Tous les blogs Top blogs Religions & Croyances
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MENU
6 juillet 2007 5 06 /07 /juillet /2007 13:06
Via le Forum catholique

"[E]n Italie les traditionnalistes au sens français du terme (FSSPX, FSSP, etc.) sont peu nombreux: il y a seulement ici ou là quelques centres de messe, sous la houlette de Una Voce. Cela ne signifie pas qu'il n'y ait une sensibilité traditionelle, bien au contraire. Je dirais qu'ici nous n'avons peut être pas connu les pires dérapages de la liturgie comme en France (je rappelle avoir été choqué un dimanche à Paris, St. Eustache, par une sorte de pantomime pendant l'offertoire: ça, on ne le fait pas chez nous; du moins j'espère)."
Partager cet article
Repost0
6 juillet 2007 5 06 /07 /juillet /2007 12:55
06/07/2007 11:12
 
PARIS (AFP) - France: le déficit commercial se creuse en mai à 3,015 milliards d'euros

Le déficit commercial de la France s'est encore creusé en mai par rapport à avril, à 3,015 milliards d'euros contre 2,493 milliards le mois précédent (chiffre révisé), en données corrigées des variations saisonnières, ont annoncé vendredi les Douanes.
Pour les 12 derniers mois, le déficit cumulé s'établit à 27,609 milliards d'euros.
En mai, les exportations ont diminué à 32,458 milliards d'euros (contre 33,133 milliards en avril), de même que les importations, à 35,473 milliards (contre 35,626 milliards le mois précédent).
Les exportations sont en "net retrait", du fait de la baisse des grands contrats dans la branche des transports, notent les Douanes, en rappelant que le mois d'avril avait bénéficié de la livraison exceptionnelle d'un paquebot au Panama pour 420 millions d'euros.
La France a aussi vendu moins d'avions: 22 Airbus ont été exportés en mai pour un montant de 1,136 milliard d'euros contre 27 en avril pour 1,361 milliard. Les livraisons d'Airbus vers l'Amérique "sont les plus faibles de l'année", relèvent les Douanes.
Les exportations automobiles repartent à la baisse, après une embellie au premier trimestre, et celles des biens intermédiaires (métaux, produits chimiques, composants électroniques..) restent en retrait.
Partager cet article
Repost0
6 juillet 2007 5 06 /07 /juillet /2007 09:58
Pourleroi.fr

"A la veille du 14 juillet, Sarkozy prévient qu’il n’y aura pas d’amnistie. Ainsi, le pouvoir de pardonner, qui donnait à la fonction arbitrale du chef de l’Etat une grandeur bienfaisante, est en train de disparaître. ... Les Français n’ont plus qu’un chef de majorité, assisté d’un adjoint faussement appelé “premier-ministre”. On voit bien que si la grande oeuvre gaullienne a pu être si facilement anéantie, c’est qu’elle n’était pas construite sur une institution solide, la royauté, mais sur les sables mouvants de la république" (Yves-Marie Adeline)
Partager cet article
Repost0
5 juillet 2007 4 05 /07 /juillet /2007 10:53
Collectif pour la Paix Liturgique

"C'est ce que nous lisons sur le site de l'agence de presse APIC. ... Nous pouvons espérer que les pressions extrèmement fortes contre ce texte établissant la paix liturgique dans l'Eglise entière n'ont pas enlevé au Saint Père sa détermination.

Voici donc ce texte d'APIC (les parties en gras ont été soulignées par nous-même):

"Rome: Le Motu Proprio sera publié le 7 juillet

"Summorum pontificum" pour la libéralisation de la messe en latin
Rome, 4 juillet 2007 (Apic) La Lettre apostolique sous forme de Motu Proprio que Benoît XVI s’apprête à publier en vue de libéraliser l’usage de la messe et des livres liturgiques selon le rite préconciliaire de 1962 portera le nom de "Summorum pontificum", a appris sources vaticanes I.Media, l'Agence partenaire de l'Apic à Rome. Ce document très attendu du côté des fidèles traditionalistes et craint par un certain nombre d’évêques sera publié le 7 juillet prochain.

"Summorum pontificum" (en français, ‘…des plus grands pontifes’) est l’incipit (début du texte) du Motu Proprio de Benoît XVI libéralisant l’usage de la messe dite "de saint Pie V". Les deux premiers mots de cette lettre apostolique donnent son nom au document pontifical qui sera rendu public par le Vatican le 7 juillet prochain. Il sera accompagné d’une longue lettre du pape faisant part de ses motivations pour cette publication que certains évêques, en France particulièrement, voient d’un mauvais oeil.

Par ce texte, le pape entend étendre à l’Eglise tout entière la possibilité de célébrer la messe selon les livres liturgiques promulgués le 23 juin 1962, durant le pontificat de Jean XXIII, juste avant le Concile Vatican II et la réforme qui a suivi, en 1969 et 1970. Il fera de ce rite préconciliaire “une forme extraordinaire de l’unique rite romain“, celui postconciliaire dit "de Paul VI".

Outre le rituel de la messe, le document devrait donc concerner également les sacrements 
- du baptême, 
- du mariage, 
- de la confirmation 
- et de l’onction des malades, 
- ainsi que la célébration des obsèques.
Si le latin est la langue d’usage du rite tridentin, l’utilisation de la langue vernaculaire devrait être autorisée pour les lectures liturgiques.

Le nouveau document mettra fin à l’exigence de requérir une dispense (appelée ‘indult’) à l’évêque diocésain en vue de pouvoir célébrer la messe selon le rite de 1962. Il devrait autoriser la célébration dans les paroisses diocésaines d’une seule messe selon la forme préconciliaire par dimanche et jour de fête, excepté durant le Triduum pascal. ‘Summorum pontificum’ devrait en outre encourager à la création de ‘paroisses personnelles’ dans les diocèses où seul le rite tridentin sera alors célébré.

L’évêque local ne devrait alors pouvoir intervenir qu’en cas de litige entre un de ses prêtres et un groupe de fidèles. Si nécessaire, il pourra aussi s’adresser à la commission pontificale Ecclesia Dei chargée de trancher en dernière instance.

Ce nouveau Motu Proprio abrogera celui promulgué par Jean Paul II

Par conséquent, le nouveau Motu Proprio abrogera celui promulgué par Jean Paul II en juillet 1988, Ecclesia Dei adflicta, ainsi que le document de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements d’octobre 1984, Quattuor abhinc annos, approuvé par le pape et accordant aux évêques diocésains la possibilité d’user d’un indult pour la célébration de la messe en rite tridentin.

Le pape devrait par ailleurs préciser qu’il ne s’agit pas d’un retour en arrière mais d’un geste généreux en vue de mettre à la disposition de l’ensemble des fidèles les immenses trésors spirituels, culturels et esthétiques liés à l’ancienne liturgie."

Partager cet article
Repost0
5 juillet 2007 4 05 /07 /juillet /2007 10:05
La Porte Latine, via le Forum catholique

"Voici les résultats au baccalauréat 2007 pour les écoles de garçon de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X :

Résultats 2007.

Avec 7 mentions "Très bien" dont une avec les félicitations du jury, c'est-à-dire avec une moyenne de plus de 18 sur 20 ! 19 mentions "Bien" et 38 mentions "Assez Bien" !

De bonnes écoles qui forment de bons futurs pères de famille et qui donnent de nombreuses vocations : Deo Gratias !"
Partager cet article
Repost0
4 juillet 2007 3 04 /07 /juillet /2007 23:45
L’écho des blasphèmes et le fracas de l’effraction ne s’étaient pas encore éteints que l’église de Niafles a vu célébrée une messe de « normalisation ». 
Sur cette apparente victoire symbolique, le maire a fait ériger un rideau de fer car, dans cette commune, les chiens doivent être tenus en laisse et le Bon Dieu derrière des grilles !
Dire qu’ils étaient venus avec des cognées soi disant parce que notre liturgie les empêchait de prier… Ils ont non seulement fermé l’église mais l’on en plus enclose d’une barrière d’acier !

Matthieu MAUTIN Via
le Forum Catholique
Partager cet article
Repost0
4 juillet 2007 3 04 /07 /juillet /2007 16:50
Pourleroi.fr

"[L]orsqu’on nous reproche d’être royalistes, on nous repasse l’éternel exemple de Louis XIV décidant de faire la même chose que Sarkozy aujourd’hui... A deux différences près : d’une part le pouvoir d’un président de la Ve République est plus grand qu’un roi de France, même sous la période absolutiste; d’autre part Louis XIV continuait d’être chef d’Etat, malgré tout..." (Yves-Marie Adeline)
Partager cet article
Repost0
4 juillet 2007 3 04 /07 /juillet /2007 12:49
Le Figaro Avec AFP le 04 juillet 2007 à 13h02 

Le déficit du régime général de la Sécurité sociale devrait atteindre 12 milliards d'euros en 2007, alors que le gouvernement tablait sur un "trou" de 8 milliards d'euros, selon les prévisions présentées ce matin par la Commission des comptes de la Sécurité sociale.
(Avec AFP).
 
 
Partager cet article
Repost0
4 juillet 2007 3 04 /07 /juillet /2007 10:11

La Porte Latine 

Communiqué du Dr Jean-Pierre Dickès, président de l'Association
Catholique des Infirmières et médecins, le 4 juillet 2007

Tony Blair le Premier Ministre de Grande-Bretagne vient de se convertir au catholicisme sous l’influence de sa femme. Mais auparavant il a fait de son pays le symbole du défi contre Dieu par l’autorisation qu’il a donnée d’expérimenter sans contraintes sur les embryons.

Et notamment celle de se servir d’ovules de vaches comme support biologique au noyau porteur de l’hérédité de l’espèce humaine. Telle est la proposition de loi qu’il laisse au moment de son départ. Celle de donner l’autorisation aux scientifiques de créer des chimères.

Quel sera le statut de ces êtres qui seront humains à 95 ou 99 % et bovidés pour le reste selon la technique utilisée ? Sur le plan légal, personne ne sait vraiment ce que seront ces Minotaures.

Les évêques du Royaume-Uni donnent une réponse concernant le statut de ces créatures face à l’Eternité. Pour les évêques d’Angleterre et du Pays de Galles ces êtres ont le statut humain, y compris au stade embryonnaire, avec tous les droits que cela comporte ; et nous avons tous les mêmes devoirs vis-à-vis de cette fraction d’humanité qu’ils portent en eux que pour tous les autres hommes.

Bien sûr les évêques condamnent très fermement le type d’expériences qui aboutit à la création d’une humanité mélangée entre l’homme et l’animal.

Dr Jean-Pierre Dickès

Partager cet article
Repost0
4 juillet 2007 3 04 /07 /juillet /2007 09:56
La Porte Latine

"Le dimanche 8 juillet 2007 à 10 h 00, à Biriatou (Pyrénées-Atlantiques), l’abbé David Aldalur, ordonné prêtre à Écône le 29 juin,
célébrera sa première messe traditionnelleen latin dans son village natal. Mais il ne pourra le faire que dehors, sur la place publique. En effet, l’évêque lui a sèchement refusé l’accès à l’église où il a été baptisé, au prétexte qu’il s’agirait de sa part d’une « requête sentimentale ». Un comble, au moment où le pape Benoît XVI publie unMotu Propriopour reconnaître que la messe traditionnelle en latin n’a jamais été interdite !" 

.. L’évêque de Quimper l’a autorisé sans condition à célébrer sa messe dans son diocèse, là où il le voudrait : cette messe autorisée aura donc lieu le lundi 6 août à 9 H 45 à l’église paroissiale Saint-Fiacre de Plogoff (Finistère).

En revanche, l’évêque de Bayonne, Mgr Pierre Molères, a refusé catégoriquement d’ouvrir l’église de Biriatou à l’abbé Aldalur, église où ce dernier a pourtant été baptisé. L’évêque a affirmé qu’il s’agissait de la part de l’abbé Aldalur d’une simple « requête sentimentale », dans la mesure où, selon lui, l’abbé Aldalur aurait été « conditionné par son milieu social ». 

Devant ce refus brutal et non motivé, la communauté villageoise s’est solidarisée avec l’enfant du pays. Le maire de Biriatou a autorisé la célébration de la messe sur la « place libre », en bas des marches de l’église. L’autel sera dressé devant le fronton ordinairement réservé à la pelote basque, ce qui permettra aux Biriatuar, gens de foi et grands « pilotari », d’unir deux éléments clés de leur culture ancestrale. La messe « interdite » aura lieu le dimanche 8 juillet à 10 H 00."

En 1988, le pape Jean-Paul II avait demandé aux évêques une application « large et généreuse » des directives du Saint-Siège concernant la messe traditionnelle en latin. Le pape Benoît XVI vient lui-même de promulguer un Motu Proprio qui élargit encore plus la possibilité de célébrer cette messe traditionnelle en latin. On ne peut donc que s’étonner du refus brutal de l’évêque de Bayonne à l’encontre d’un jeune prêtre basque, surtout en une époque où les vocations sacerdotales font cruellement défaut.

 

Suresnes, le 2 juillet 2007.

District de France de la Fraternité Saint-Pie X."

Partager cet article
Repost0
4 juillet 2007 3 04 /07 /juillet /2007 09:24

A quelques jours de la publication du Motu Proprio voulu par le Saint Père Benoît XVI, les Supérieurs de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements ont demandé (cfr. Pro Liturgia) de diffuser le plus largement possible le message suivant :

"Un colloque a été organisé, à Paris, en octobre 2006, à l'occasion du cinquantième anniversaire de l'Institut Supérieur de Liturgie (ISL). Étant donné que le discours inaugural de Son Éminence Monsieur le Cardinal Francis Arinze, Préfet de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, a été peu divulgué en France et dans les pays francophones, et qu'il est notamment absent du dossier que la revue La Documentation Catholique a consacré à ce colloque (cf. n°2376 du 18 mars 2007), il vous est demandé de bien vouloir participer à la diffusion de ce discours, selon vos possibilités (revue, sous forme de "tirer à part", site internet... etc.). D'avance merci. Voici ci-dessous le texte de ce discours prononcé à Paris par S. Em. le Cardinal Arinze:

Le site Eucharistie Sacrement de la Miséricorde a publié l'intégralité du Discours d'ouverture du Colloque organisé à l'occasion de la Célébration du Jubilé d'Or de « l'Institut Supérieur de Liturgie » de « l'Institut Catholique de Paris », qui se tenait du 26 au 28 octobre 2006 le 01.11.2006 - voici le lien : 
Le pape Benoît XVI veut il mettre fin aux abus ?

                                                               ****

Pour ma part, de ce texte du Préfet de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, je retiendrais la dénonciation
 des abus dans la célébration des messes modernes, dont la créativité, "fausse idée de la liberté"..., et l'horizontalisme, erreur qui consiste à placer l'homme au centre de la célébration liturgique... au lieu de porter son attention vers le haut, c'est-à-dire vers le Christ": 

"Beaucoup d'abus, dans le domaine de la Liturgie, ont pour origine, non pas la mauvaise volonté, mais l'ignorance, « puisqu'on rejette généralement ce dont on ne perçoit pas le sens plus profond, et dont on ne connaît pas l'ancienneté » (Redemptionis Sacramentum, 9).

"Ainsi, certains abus ont-ils pour origine la place indue qui est accordée à la spontanéité, ou à la créativité, ou bien à une fausse idée de la liberté, ou encore à cette erreur qui a pour nom: « horizontalisme», qui consiste à placer l'homme au centre de la célébration liturgique au lieu de porter son attention vers le haut, c'est-à-dire vers le Christ et ses Mystères."

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 20:07
Votre blog favori est lu suraltermedia.info, qui sous le titre "quelques bonnes paroles", reprend intégralement mon article  "VIDÉO - Conférence de presse Kémi & Dieudo". 

Dans cet article du 7 juin, j'analysais la rencontre inédite entre Dieudonné l'universaliste et Kémi Séba le communautariste, mercredi 30 mai 2007 au Théâtre de la Main d’Or (via LBS), et recensais quelques-unes de leurs paroles, dont l'annonce d'une collaboration entre eux "en septembre", "dans une logique de liberté". Un rapprochement entre groupes, communautés que tout au départ, dans la logique du système démo-libéral, devait opposer (diviser pour mieux régner, perpétuation de la domination du groupe dominant) : Noirs, nationalistes Français de souche, pro-palestiniens arabes, universalistes, identitaires, etc., montés les uns contre les autres (notamment par les officines anti-racistes montrant le blanc comme le méchant raciste...), mais devant tous communier au moment des élections afin d'exprimer leurs attentes démocratiques... Initiation d'un mouvement qui pourrait faire très mal au système, s'il devait se développer. A noter l'originale critique de la mystique révolutionnaire à l'oeuvre aujourd'hui dans le monde entier.

****

Pour tempérer ou compléter certains propos sur l'esclavage, on peut se reporter à "La franc-maçonnerie et l'histoire de l'esclavage".

Articles connexes 


"L'imposture de la devise "Liberté Egalité Fraternité"
"Le mensonge de la "Liberté" : la corruption de la liberté par les libéraux "
"
La volonté générale et l'asservissement de la liberté "
"
Liberté, Egalité, Fraternité... ou la mort!"
"
L'imposture démocratique"
"
Le pouvoir de l'argent dans nos démocraties"  
"
1789 Une aristocratie en chasse une autre, naissance de la bourgeoisie d'affaires et de l'Argent-Roi, la ploutocratie "

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 19:22
Video "Georges Frêche s'exprime sur les relations jumelage Montpellier Tibériade"

"Nicolas Sarközy, on n'est pas du même bord, mais pour Israël on est du même bord. Et je suis ravi que pour la première fois, la France ait élu au suffrage universel direct, ce sera mon bonheur dans mon malheur, ait élu un juif président de la république. On avait eu Léon Blum et Mendès-France, Premier- ministres, mais on n'avait jamais eu un juif élu au suffrage universel. C'est un beau succès. Et en plus avec Kouchner, ministre des Affaires Etrangères, qu'est-ce que vous voulez de plus! Alors je vais dire à mon ami Kouchner "Et quand c'est que tu reconnais Jérusalem capitale d'Israël"? Ca sera le début des difficultés… 
"Et je voudrais saluer l'ancien président de la République, Jacques Chirac qui a eu le courage pour la première fois en France de condamner le régime de Vichy, ça c'est une avancée historique essentielle

(
Video Georges Frêche le 24 juin 2007 à Montpellier, G. Freche s'exprime sur les relations Montpellier Tibériade).
Via
Altermedia.info
 
 
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 17:40
FRANCE > Politique
16h51>Jean-François Copé : "Il n'est pas question d'échouer. D'ailleurs les Français ne le comprendraient pas et ne nous le pardonneraient pas"

> Assemblée
16h04>Fillon aux députés : "la République est une révolte"
(
Filsnews - Lci)
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 16:05
Le dessein de Fillon pour la France

Le Figaro, avec AFP, le 03 juillet 2007 : 16h19

"Lors de son discours de politique générale, le premier ministre a dit vouloir «réécrire le contrat politique, social et culturel de la France».

 
Une ode à la rupture. En arrivant devant les députés pour son discours de politique générale, le premier ministre a commencé par ce constat : «Nous n’avons pas réussi, faute d’aller au bout des réformes. Par appréhension politique, par hésitation intellectuelle. Ces atermoiements ont provoqué un divorce entre les pouvoirs et les citoyens». 

... Immigration : «choisie et non subie»
 
«Ceux qui veulent venir en France devront avoir les moyens de s’y intégrer», estime François Fillon, qui annonce «des objectifs quantitatifs pluriannuels» qui «seront établis après consultation des acteurs économiques et sociaux». Les immigrés devront également «respecter nos valeurs républicaines» et «apprendre notre langue».
 
Insécurité : «ne rien céder»
 
«Sur la sécurité des Français, le Gouvernement ne négligera rien, ne lâchera rien», ...

 
Institutions : «Une dose de proportionnelle n'est pas taboue»
 
Justifiant la rupture, «une autre façon de penser la démocratie», ... Il promet un renforcement des pouvoirs du parlement, ... Sans oublier «la modification de l’article 18 de la Constitution pour permettre au Président de la République de venir s’exprimer devant la Représentation nationale comme l’exige la clarté politique».
 
«Une démocratie sociale rénovée»
 
... le premier ministre qui annonce une «modernisation d’ampleur de notre démocratie sociale», passant par une réforme des règles de représentativité des syndicats, avec une «élection à un seul tour, ouverte à chaque syndicat légalement constitué dans l’entreprise».
 
«Rebâtir l’Université française»
 
... «Conduire 50% de notre jeunesse vers un diplôme de l’enseignement supérieur» et «faire de nos universités des pôles d’excellence». Une réforme que François Fillon annonce comme sa «priorité absolue», et à laquelle il compte consacrer «d’y consacrer 5 milliards d’euros d’ici 2012». ...
  
Politique étrangère : la France «grande pour le monde»
 
Défendant la notion d’identité nationale, François Fillon pose les jalons de ce que sera la politique étrangère de la France : Darfour, libération d’Ingrid Bétancourt, mais aussi «élargissement du conseil de sécurité des Nations Unies et une reforme des instances internationales», dans le sens d’une «mondialisation économique équitable», «stratégie volontariste» en matière d’environnement avec une «fiscalité écologique» prenant la forme d’une eurovignette pour les poids lourds. ...
  
Quartiers sensibles : logement et emplois
 
«Un plan ‘respect et égalité des chances’ sera lancé et s’attachera d’abord à désenclaver les quartiers difficiles», ..."
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 15:43
03/07/2007 16:12
PARIS (AFP) - Fillon: "je vous dois la vérité parce qu'elle est au coeur de la rupture"
Le Premier ministre François Fillon a affirmé mardi, lors de sa déclaration de politique générale devant les députés, qu'il leur "devait la vérité parce qu'elle est au coeur de la rupture".
"Depuis trente ans", "droite et gauche, nous nous sommes efforcés d’ajuster le modèle français au lieu de le repenser de fond en comble", a lancé le Premier ministre, alors que le président Nicolas Sarkozy a fait de la "rupture" le credo de son action.
"Nous n’avons pas réussi, faute d’avoir osé rompre avec ce cercle vicieux qui consiste à travailler de moins en moins et à s’endetter de plus en plus afin de combler l’écart croissant entre nos capacités de production et nos ambitions redistributives qui n’ont cessé de s’élargir", a poursuivi M. Fillon.
Par ailleurs, M. Fillon a affirmé mardi qu'il fallait "réécrire le contrat politique, social et culturel de la France".
Pour cela, a-t-il déclaré, "il faut renouveler notre démocratie politique, moderniser notre démocratie sociale, porter notre excellence intellectuelle et scientifique".
Le Premier ministre en a profité pour annoncer la création d'une commission "de personnalités incontestables pour leurs compétences" chargée de faire des propositions sur la modernisation des institutions.
... M. Fillon a assuré également qu'aucun sujet ne devait être tabou. "Nous rechercherons ensemble comment mieux assurer la représentation de la diversité politique de la société française sans mettre en péril le principal atout de la Ve République: des majorités nettes et stables", a-t-il lancé.
... Dans le domaine socio-économique, M. Fillon a averti mardi les partenaires sociaux qu'ils devraient "mettre sur la table" fin 2007 des propositions précises, notamment sur l'évolution du marché du travail, et a demandé une réforme des élections professionnelles.
"Les circonstances sont historiques. Les partenaires sociaux ont en main la possibilité de reconfigurer, avec nous, les règles et l'organisation de notre marché du travail", a-t-il souligné après avoir noté que "tout ne peut plus être piloté par l'Etat"...
... "La fiscalité écologique doit émerger dans notre droit", a souligné M. Fillon, qui a souhaité "aller plus loin et poser la question d'une taxation sur le contenu en carbone des produits offerts sur le marché".
Le gouvernement "ne laissera pas les négociations au sein de l'OMC (Organisation mondiale du commerce) se déployer contre notre agriculture", a averti mardi le Premier ministre François Fillon lors de sa déclaration de politique générale devant l'Assemblée nationale.
Dans le domaine du logement, Le Premier ministre s'est fixé mardi un objectif de "500.000 nouveaux logements construits par an, dont 120.000 logements sociaux", dans son discours de politique générale devant l'Assemblée nationale.
"En l'espace de cinq ans, notre retard en matière de construction, pris à la fin des années 90, devra être comblé. Pour cela nous devrons nous tenir à un objectif de 500.000 nouveaux logements construits par an dont 120.000 logements sociaux", a déclaré M. Fillon devant l'Assemblée nationale.
Dans le domaine éducatif, M. Fillon a assuré que le gouvernement consacrerait 5 milliards d'euros d'ici 2012 en faveur des universités, sa "priorité absolue".
Le gouvernement entend "tendre vers 3%" du PIB consacrés à la recherche et "50% des jeunes" doivent décrocher un diplôme de l'Enseignement supérieur, comme il l'avait inscrit dans sa loi sur l'Ecole en 2005.
Il a également annoncé le lancement d'"un plan respect et égalité des chances" visant "les quartiers difficiles".
François Fillon a également affirmé mardi que la France n'était "pas à l'abri" du terrorisme et que les services de renseignements étaient "en alerte".
"Les événements récents dans le sud de la France, en Espagne et surtout en Grande-Bretagne, montrent que les menaces terroristes demeurent très présentes", a souligné le chef du gouvernement.
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 15:34

L'AFP (03/07/2007 13:20) indique qu'"Edouard Balladur présidera la commission de réflexion sur les institutions que doit annoncer dans l'après-midi François Fillon. ...

Le régime démo-libéral aux abois, va-t-on vers une VIe république? 

Il est probable que ce nouveau gouvernement Fillon soit plus astucieux que Ségolène Royal, et, tout en parlant de "rupture", se contente de modifier quelques détails institutionnels quand la candidate socialiste préconisait de passer à la VIe république..., en attendant la VIIe, la Xe, etc... Mais cette énième république finira bien elle aussi par imploser, commes les autres, sous l'impulsion d'une autre crise, comme celles de 1870, 1940, 1946 (la Libération...), 1958...

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 14:35
"Nicolas Sarkozy se justifie ainsi :

"En devenant président de la République, je me suis libéré de toute attache partisane. [O]n ne gagne jamais un combat en ayant un esprit sectaire. [L]a France déteste l'esprit de chapelle."

Il a dit cela avant un discours sur l'Europe à Strasbourg. Or, justement, sur l'Europe, Nicolas Sarkozy s'est réjouit d'avoir dépassé la division en relançant le débat institutionnel avec le traité dit "simplifié". Pour autant, nous attendons toujours une ouverture vers des personnalités qui ont défendu le non à la Constitution européenne. Force est de constater que, actuellement, seule la "secte" du oui est représentée." (Le Salon Beige)

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 14:28
La système maçonnique démo-libéral aux abois

L'article
Le Figaro du 03 juillet 2007, "Fillon veut sortir la France de sa "dépression", indique que "Pour Fillon, « l'élection de Nicolas Sarkozy crée une situation nouvelle qui permet de sortir la France de la dépression nerveuse ». Un constat qui justifie, selon lui, un programme de rupture. « Il faut renoncer aux ajustements et faire de vraies réformes », a-t-il confié hier au Figaro. Son objectif est donc, dit-il, de « réécrire le pacte politique, social et culturel avec les Français »
Ce qui nécessite, à ses yeux, de réformer la démocratie politique et sociale, mais aussi relancer « la bataille de l'intelligence » (lire ci-dessous).
 
La rupture sera logiquement la toile de fond de cette déclaration de politique générale qui devrait durer moins d'une heure. La « nouvelle croissance », qu'il appelle de ses voeux, passe par des propositions radicales pour financer les dépenses de santé et assurer les retraites. « L'allongement de la durée des cotisations n'est plus un débat mais un fait », devrait-il répéter.
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 14:01
Editions Augustin Barruel

"La Franc-Maçonnerie est une secte religieuse qui s'organisa surtout en Europe, vers 1725, professa une doctrine "humanitaire" internationale et se superposa aux autres religions.

La franc-maçonnerie ne tend pas à un perfectionnement des sociétés existantes en tenant compte de leurs origines, de leur tempérament, de leur situation, mais un retour à l'état de nature, à une agglomération d'êtres humains, satisfaits d'une vie végétative, pourvu que ses avantages matériels soient également répartis entre tous les citoyens. ( Gustave Bord - La F.M en France...)

Suite au "coup d'état" de 1789, maquillé officiellement en révolution, de nouvelles idéologies prennent toute leur ampleur sous couvert de "république".

La "gauche républicaine", en totale opposition à la Royauté et à l'Eglise, est née, et s'est propagée en France, parallèlement à la propagation des loges maçonniques, tel un virus mortel dans un organisme...
Voltaire, d'une certaine façon, est le premier intellectuel de "gauche". Il voulait "écraser l'infâme"... avec ses "potes" illuminés, martinistes, francs-maçons, théosophes, rose-croix... et autres sectes pourries. C'était un bon "républicain"...

Après Voltaire, vous avez les encyclopédistes, Diderot, Rousseau... 

L'un de leur plus farouches adversaires était l'abbé Augustin Barruel, qui les a si bien dénoncé dans son ouvrage intitulé Mémoires pour servir à l'Histoire du Jacobinisme. (Célèbre ouvrage contre-révolutionnaire, dans lequel Barruel développe la théorie du complot, qu’il avait amorcée dans ses premiers ouvrages et clairement formulée dans son Histoire du clergé pendant la Révolution (cf. Godechot). «C’est là l’un des ouvrages – peut-être même, l’ouvrage - dont se sont le plus souvent servis tous les écrivains qui, depuis cent ans, ont voulu voir dans la Révolution l’oeuvre de la seule franc-maçonnerie. Si l’objectif de ces Mémoires est empreint de partialité, on est obligé de reconnaître que nombreux sont les documents authentiques qu’ils renferment sur les Philosophes, les Francs-Maçons, les « arrière-Maçons », l’illuminisme et Spartacus Weishaupt, son fondateur, les théosophes, le Congrès de Wilhelmsbad, la maçonnerie jésuitique, etc.. » (Dorbon). (
LIRE)

Tous les "frères" sont contre l'Eglise et contre la monarchie. Cette tradition se poursuit avec Robespierre et la Révolution.
Puis Napoléon a repris le drapeau tricolore... Il était contre l'Eglise, il a humilié le pape.
Le bonapartisme poursuit l'idéal révolutionnaire républicain.
Ensuite, vient la Restauration. Dans le Paris des années 1820 vous trouvez une prolifération de mouvements révolutionnaires, avec Buonarroti, Dézamy... La France est la patrie des révolutionnaires.
En 1840, vivent à Paris : Bakounine, Marx, Mazzini, Proudhon, Louis Blanc, Herzen, Blanqui, Leroux...
Tous révolutionnaires républicains...

"Le socialisme sera anticlérical et néo-malthusien, ou il ne sera rien du tout." Dixit Giuseppe Mazzini, ancien Grand Maître du Grand Orient d'Italie, Sataniste notoire, "pote" à Marx, grand criminel...

Puis Napoléon III, qui a envoyé des travailleurs à Londres à la Première Internationale, que MARX présidait.
Puis, la Commune, la création des partis socialistes fidèles à l'idéologie première... révolution républicaine anticléricale... La totale !

Après la Première Guerre, la création du Parti communiste français qui sera très influent, et l'expansion mondiale de ce virus mortel pour l'humanité...

Ce "manifeste" a été commandé à Karl Marx par la Ligue des Hommes Justes, émanation des Illuminés de Bavière, devenue le 1° Juin 1847 la Ligue des communistes... (
LIRE)

Paris a été pendant plus de deux siècles le grand centre des idées de gauche.

La seconde guerre mondiale emplifie le phénomène.
Cette "drôle de guerre" était en réalité une révolution camouflée et dissimulée sous un désastre militaire obtenu par une bataille truquée, en vue de concentrer l'économie du pays entre les mains d'une MAFIA aux service de très puissants "intérêts internationaux"... (Synarchie, Worms...)
A la fin de la guerre, les communistes alliés à Hitler hier, en bons républicains, avec l'accord et l'aval de De Gaulle, "épurent" le pays. Plus de 100 000 personnes sont assassinées pour incompatibilité de pensées... Ils n'étaient pas de bons républicains, eux...

Les "forces de gauche" deviennent de plus en plus gourmandes et féroces...

Survient alors la liquidation programmée de l'Algérie.
Au lendemain du départ du général De Gaulle, qui a rétabli la franc-maçonnerie après son interdiction par le gouvernement de Vichy et qui a lâchement et volontairement abandonné l'Algérie dans des mains de socialo-communistes criminels (F.L.N, A.L.N), la gauche "démocratique" et socialiste, croit plus en ses chances. Pour gagner, ils doit trouver beaucoup d'argent. Ils vont faire appel aux frères...
Les socialistes s'attellent patiemment à reconstituer des réseaux, avec l'aide de maçons ambitieux.
Les années 80... Meurtres, Magouilles et Maçonnisme deviennent les trois mamelles de la république maçonnique française.

En 1986 : l'affaire du Carrefour du Développement, personne ne parle des complicités maçonnes...
En général, l'allusion à la franc-maçonnerie est très rare, quand elle n'est pas mise de côté.
Pourtant, on est bien en peine de dénicher, parmi les principaux scandales des vingt dernières années, une affaire qui se soit déroulée sans le concours de frères ici ou là : 
Carrefour du Développement, 
Sagès, 
Urba-Gracco, 
Luchaire, 
Crédit lyonnais, 
Elf, 
marchés truqués à Paris, 
dans les Hauts-de-Seine, 
ou en Ile-de-France, 
sang contaminé, ARC, 
GMF, 
Française des jeux, 
Mnef, 
Pechiney, 
financement occulte du PS, PC, du PR, du CDS et du RPR, 
vente d'armes en Afrique, pour ne parler que des plus connues : les principaux acteurs sont maçons.

Aujourd'hui, ils sont partout : politique, économie (Euro), journalisme, presse écrite et télévisée, éducation...

Ils tiennent tous le même langage : "républicain", "jacobin", "démocrate", "mondialistes", "onusiens", "eurosiens"....

"Peu importe la diversité de rites ou de formes, puisque la pensée est unique." (G. Mazzini, sataniste notoire, ancien Grand Maître du Grand Orient d'Italie...)

Ces clones mentaux "oeuvrent" tous pour le Grand Architecte de leur "univers".

Le reste importe peu... Ils font partie de le race supérieure. La croix gammée est un emblème maçonnique... La Théosophie... (
LIRE)

L'esprit maçonnique a toujours enfanté l'esprit révolutionnaire (Marxisme et autres socialo-communismes républicains), source de guerres, révolutions, massacres, famines...

Et tout celà continue dans la plus grande indifférence générale, alors que tout le monde sait que la franc-maçonnerie est néfaste par essence à TOUTE société.

 


"Le plus célèbre d'entre eux (kabbalistes-occultistes) fut Louis-Claude de Saint Martin, dit le philosophe inconnu, qui devint, à la fin du XVIII° siècle, le chef de l'école mystique Française.
... On lui doit la devise "liberté, égalité, fraternité", comme le montre Louis Blanc dans son histoire de la révolution, au chapitre des révolutionnaires mystiques."
Philippe Encausse, sciences occultes, page 91.
Révolution de 1789, préparée et dirigée par une SECTE, la franc-maçonnerie et ses potes illuminés, rose-croix, théosophes, gnostiques, et autres kabbalistes satanistes, afin d'établir la république jacobine... en place aujourd'hui, avec ses indignes successeurs républicains et autres "cons-frères"...

 


Aujourd'hui, où en est-on ?
L'euro est là, et tout va bien, non ?
Euroland !!! Depuis le 1er Janvier 2002, les frangins et leurs "potes" jubilent... Un de leurs vieux rêves s'est réalisé : l'EURO... Plus facile ainsi pour mieux dépouiller les états, et les réduire à l'esclavage financier... La secte a sa monnaie !!!
Demain, son gouvernement mondial...

 


 

La dette nationale => LIRE

 


Ces "Illuminés" ont à leur actif une autre "grande oeuvre" : la création des Etats-Unis d'Amérique. En 1935, est fièrement imprimé l'emblème de la secte des Illuminés de Bavière sur leur monnaie. (Pyramide et oeuil du Grand Architecte...)
De George Washington à Franklin D. Roosevelt, plusieurs "frangins" se sont succédé à la tête de la première "démono-cratie guerrière" du monde. Nombre de leurs successeurs ont été initiés à l'université : Bill Clinton, Al Gore...
Bush senior et junior...ont été initiés à l''Ordre des Skull & Bones qui est une société secrète associé au mouvement NEW AGE qui revêt, selon Sutton, certains aspects SATANISTES (
LIRE)
Ces vénérables dégénérés "dirigent" le monde et, au besoin, bombardent de pauvres innocents... Rien que ça... Avec la bénédiction de la république démono-crate de ce qu'il reste de cette pauvre France perdue dans Euroland !!!"

 


Merci aux Editions Augustin Barruel. Ingomer.

Articles connexes:

- La franc-maçonnerie et le projet de domination mondiale du Pouvoir occulte
-
L'imposture de la devise "Liberté Egalité Fraternité" 
- Liberté, Egalité, Fraternité... ou la mort!
- Le mensonge de la "Liberté" : la corruption de la liberté par les libéraux 
- L'imposture démocratique
- Le pouvoir de l'argent dans nos démocraties  
- 1789 Une aristocratie en chasse une autre, naissance de la bourgeoisie d'affaires et de l'Argent-Roi, la ploutocratie
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 10:38

La système démo-libéral aux abois:

Le Figaro du 03 juillet 2007. "Pour Fillon, « l'élection de Nicolas Sarkozy crée une situation nouvelle qui permet de sortir la France de la dépression nerveuse ». Un constat qui justifie, selon lui, un programme de rupture. « Il faut renoncer aux ajustements et faire de vraies réformes », a-t-il confié hier au Figaro. Son objectif est donc, dit-il, de « réécrire le pacte politique, social et culturel avec les Français ». Ce qui nécessite, à ses yeux, de réformer la démocratie politique et sociale, mais aussi relancer « la bataille de l'intelligence » (lire ci-dessous).

 

La rupture sera logiquement la toile de fond de cette déclaration de politique générale qui devrait durer moins d'une heure. La « nouvelle croissance », qu'il appelle de ses voeux, passe par des propositions radicales pour financer les dépenses de santé et assurer les retraites. « L'allongement de la durée des cotisations n'est plus un débat mais un fait », devrait-il répéter.

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2007 1 02 /07 /juillet /2007 15:10
Une invention luciférienne cabaliste, talmudo-maçonnique martiniste

La devise de la république Liberté Egalité Fraternité, pour ses deux premiers éléments est inscrite dans la déclaration des droits de l'homme, dans son article 1er : "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits". Cette devise est une invention maçonnique, synthétisée dans le système martiniste cabalo-luciférien.
 
L'encyclopédie Wikipedia, dans son article sur Louis Claude de Saint-Martin est prise en flagrant délit de mensonge et de tromperie, elle indique que la formule Liberté Egalité n'apparaîtrait seulement que "vers 1848": " D’après Louis Blanc, dans Histoire de la Révolution, c’est à Louis-Claude de Saint-Martin même que la France doit sa fameuse devise : Liberté-Égalité-Fraternité. Une erreur hélas ! Robert Amadou a publié sur la question un numéro spécial de Renaissance traditionnelle ou il démontre l'erreur, avec un argumentaire de plus de 100 pages ! En fait, cette devise n'est même pas celle de la Révolution française de 1789 ! Elle apparaît vers 1848."
 
Or, l'on sait grâce à l'ouvrage de l'abbé Barruel, publié en 1798 (soit cinquante années avant 1848 et 9 après la Révolution française de 1789), que cette formule Liberté Egalité existait déjà bien au XVIIIe siècle, avant 1789, dans les initiations aux grades maçonniques, notamment celui de Kadosch: "Au moment où l'adepte sort de l'antre, portant la tête de ce roi, il s'écrit Nékom, je l'ai tué. Après l'atroce épreuve, on l'admet au serment. … Enfin, le voile se déchire; l'adepte apprend que jusqu'alors la vérité ne lui a été manifestée qu'à demi, que cette liberté et cette égalité dont on lui avait donné le mot dès son entrée dans la Maçonnerie, consistent à ne reconnaître aucun supérieur sur la terre; à ne voir dans les rois et les pontifes que des hommes égaux à tous les autres, et qui n'ont d'autres droits sur le trône ou auprès de l'autel que celui qu'il plaît au peuple de leur donner, que ce même peuple peut leur ôter quand bon lui semblera. On lui dit encore que depuis trop longtemps les princes et les prêtres abusent de la bonté, de la simplicité de ce peuple; que le dernier devoir d'un Maçon, pour bâtir des temples à l'égalité et à la liberté, est de chercher à délivrer la terre de ce double fléau, en détruisant tous les autels que la crédulité et la superstition ont élevés; tous les trônes où l'on ne voit que des tyrans régner sur des esclaves…
 
Je n'ai point pris ces connaissances du grade des Kadosch simplement dans les livres de M. Monjoie ou de M. Le Franc, je les tiens des initiés mêmes." (Abbé Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, 1798, Nouvelle édition révisée, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, tome 1, p. 407-409).

Historiquement l'abbé Barruel précise même que "[j]usqu'au 12 août 1792, les Jacobins français n'avaient encore datés les fates de leur révolution que par les années de leur prétendue Liberté. En ce jour, Louis XVI, depuis quarante-huit heures, déclaré par les rebelles déchu de tous les droits au trône, fut emmené captif aux tours du Temple. En ce même jour, l'assemblée des rebelles prononça, qu'à la date de la liberté on ajouterait désormais dans les actes publics la date de l'égalité; et ce décret lui-même fut daté la quatrième année de la liberté, la première année, le premier jour de l'égalité

"En ce même jour, pour la première fois, éclata enfin publiquement ce décret si cher aux Francs-Maçons, et prescrit dans leurs loges avec toute la religion du serment le plus inviolable. A la lecture de ce fameux décret, ils s'écrièrent: Enfin nous y voilà; la France entière n'est plus qu'une grande loge; les Français sont tous Francs-Maçons, et l'univers entier le sera bientôt comme nous.

"J'ai été témoin de ces transports; ... Oui enfin, voilà le grand objet de la Franc-Maçonnerie rempli. Egalité & Liberté; tous les hommes sont égaux et frères; tous les hommes sont libres: cétait là toute l'essence de notre code, tout l'objet de nos voeux, tout notre grand secret." (Abbé Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, 1798, Nouvelle édition révisée, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, tome 1, p. 384).
 
Henri Delassus (1836-1921), docteur en théologie, Chanoine honoraire de la métropole de Cambrai, Directeur de la Semaine Religieuse de ce diocèse, nous indique dans son ouvrage "La Conjuration antichrétienne", que "Le martinisme avait été restauré par le Dr Papus, de son vrai nom Encausse, un des lucifériens les plus dangereux du siècle. Le martinisme avait été fondé en 1754 par un juif portugais, Martinez de Pasquelly; son premier disciple avait été Louis Claude de Saint-Martin, ce qui fait que la secte a une double raison pour s'appeler le "martinisme". Le martinisme dérive directement de la Kabbale juive..." (Henri Delassus, La Conjuration antichrétienne, Le Temple maçonnique voulant s'élever sur les ruines de l'Eglise catholique, 1910, rééd. Expéditions Pamphiliennes 1999, p. 377).

La doctrine de Saint-Martin est celle de la cabale, l'abbé Barruel l'indique dans son paragraphe Système des Maçons de la cabale: "Il faut de la patience pour découvrir tout l'ensemble du code martiniste à travers le langage mystérieux des nombres et des dogmes. Epargnons, autant qu'il est possible, ce travail au lecteur" (Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, 1798, Nouvelle édition révisée, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, 2e partie, tome 1, p. 417). 


"[L]a devise Liberté, égalité, fraternité. La Secte la fait retentir partout, elle a obtenu de la faire inscrire sur les édifices publics, sur les monnaies, sur tous les actes de l'autorité législative et civile. "Cette formule, dit le franc-maçon Malapert dans un de ses discours aux loges (Chaîne d'Union, 1874, p. 85), fut précisée vers le milieu du siècle dernier (XVIIIe) par Saint-Martin (fondateur de l'illuminisme français). Tous les ateliers l'ont acceptée, et les grands hommes de la Révolution en ont fait la devise de la République française" (Henri Delassus, La Conjuration antichrétienne, Le Temple maçonnique voulant s'élever sur les ruines de l'Eglise catholique, 1910, rééd. Expéditions Pamphiliennes 1999, p. 256).
 
"J'ai peur de fatiguer le lecteur par le détail de ces absurdités des arrières-Maçons, mais j'écris pour fournir des preuves à l'historien. En assignant les grandes causes de la Révolution, il faudra bien au moins qu'il ait une idée générale des systèmes d'impiété et de rébellion qui l'ont amenée" 
 
"J'ignore l'origine de ce M. de Saint-Martin qui leur laissa son nom. … J'ai vu des hommes qu'il avait séduits; j'en ai vus qu'il voulait séduire; tous m'ont parlé de son grand respect pour Jésus-Christ, pour l'Evangile, pour les gouvernements; je prends, moi, sa doctrine et son grand objet dans ses productions,… dans son fameux ouvrage "Des erreurs et de la Vérité". Je sais ce qu'il en coûte pour aller déchiffrer les énigmes de cette œuvre de ténèbres; mais il faut bien avoir pour la vérité, la constance que les adeptes ont pour le mensonge." (Abbé Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, 1798, Nouvelle édition révisée, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, tome 1, p. 417).
 

La finalité

"… Weishaupt (illuminisme allemand) et les siens ont dit ouvertement ce qu'ils prétendent tirer de cette formule (Liberté, Egalité) : 

d'abord l'abolition de la religion et de toute autorité civile, 
puis l'abolition de toute hiérarchie sociale et de toute propriété
(Henri Delassus, La Conjuration antichrétienne, Le Temple maçonnique voulant s'élever sur les ruines de l'Eglise catholique, 1910, rééd. Expéditions Pamphiliennes 1999, p. 256).
 
 (Paragraphe Système politique des Maçons martinistes, p. 420). "Des sectes conspirantes…, les adeptes des loges martinistes sont la pire de toutes. … L'adepte martiniste ne reconnaît pour légitimes, ni les empires que peuvent avoir fondés la violence, la force, la conquête; ni les société qui devraient leur origine aux conventions, aux pactes les plus libres. … Le martiniste… nous dit que tout est nul dans les sociétés formées librement, que tout est nul dans les sociétés formées par la force". L'abbé Barruel demande donc fort justement: "Quelles sont donc les lois civiles, quels sont les magistrats, les princes qui pourront exiger des sujets cette soumission?" (Abbé Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, 1798, Nouvelle édition révisée, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, tome 1, p. 420-421).

 "Que le héros de ce code (martiniste), le fameux Saint-Martin se montre à découvert, et aussi hypocrite que son maître, il ne sera plus que le vil copiste des inepties de l'esclave hérésiarque plus généralement connu sous le nom de Manès. … On le verra conduire ses adeptes dans les mêmes sentiers, leur inspirer la même haine des autels du Christianisme, du trône des souverains, et même de tout gouvernement politique." (ibid., p. 418).

 "Cette Secte (martiniste) faisait bien des dupes en France, en Allemagne, j'en ai trouvé jusqu'en Angleterre; et j'ai vu que partout son dernier secret consistait à montrer dans la Révolution française le feu qui purifie l'univers" (ibid., p. 425).


L'imposture

Après tous les papes du XIXe siècle et ceux du XXe, Jean-Paul II et Benoît XVI dénoncent eux aussi l'imposture des Lumières, du laïcisme et de la théologie libérale.  

 "Dans la mentalité des Lumières,... le grand drame de l'histoire du Salut avait disparu. L'homme était resté seul: seul comme créateur de sa propre histoire et de sa propre civilisation; seul comme celui qui décide de ce qui est bon et de ce qui est mauvais... Si l'homme peut décider par lui-même, sans Dieu, de ce qui est bon et de ce qui est mauvais, il peut aussi disposer d'un groupe d'hommes soit anéanti... Des décisions analogues furent prises sous le IIIe Reich,... par le parti communiste de l'union Soviétique et des pays soumis à l'idéologie marxiste" (Jean-Paul II, Mémoire et identité, Le testament politique et spirituel du pape, Flammarion, Mayenne 2005, p. 23-24). "Cela arrive, poursuit Jean-Paul II, parce que Dieu en tant que Créateur a été rejeté..." (ibid, p. 25).


 Ainsi le pape Jean-Paul II établit un lien entre les "Lumières" et les idéologies criminelles du XXe siècle
; en ce qu'elles ont prétendu éliminer le péché originel et donc tout le mystère de la rédemption en Christ, les Lumières sont à l'origine des utopies criminelles et des idéologies monstrueuses qui, au nom du Progrès et de l'amélioration de la société qu'il fallait changer pour apporter le bonheur sur terre, ont assassiné des millions de personnes (camps de concentration, goulags, etc...).  

 Benoît XVI condamne la théologie libérale comme une interprétation individualiste qui apparaît "unilatérale et privée de tout fondement"
: "Même si sa prédication est toujours un appel à la conversion personnelle, il vise en réalité continuellement la constitution du Peuple de Dieu qu'il est venu rassembler et sauver. C'est pourquoi l'interprétation individualiste de l'annonce que le Christ fait du Royaume, proposée par la théologie libérale, apparaît unilatérale et privée de tout fondement". (Benoît XVI, Audience générale : La volonté de Jésus sur l’Eglise et le choix des Douze, Texte intégral de la catéchèse de Benoît XVI sur « la relation entre le Christ et l’Eglise », ROME, Mercredi 15 mars 2006).

Benoît XVI explique que la relégation de la foi au domaine privé par le laïcisme n'est pas compatible avec la liberté religieuse"[L]a diffusion d'une mentalité inspirée d'un certain laïcisme, plus ou moins consciemment, porte petit à petit à déprécier ou ignorer le sacré, reléguant ainsi la foi à la sphère strictement privée. C'est pour cela, qu'une juste conception de la liberté religieuse n'est pas compatible avec cette idéologie, qui parfois se présente comme la seule voix de la rationalité..." (Benoît XVI, Cité du Vatican, 30 juillet 2007, Benoît XVI reçoit les Evêques de Porto Rico qui ont conclu leur visite Ad Limina).



 "La religion chrétienne a toujours reconnu les droits de l'homme définis par le Décalogue et fondés sur les devoirs envers Dieu; elle apporte au monde, depuis vingt siècles, une juste notion de la fraternité, de l'égalité, de la liberté" (François Brigneau, Jules L'Imposteur, Editions du Présent, Saint-brieux 1981, p. 10).

 "Si l'on entend par là que les hommes ne sont pas faits pour être esclaves, mais pour jouir d'une vraie liberté sous l'empire des lois; si par égalité on veut dire qu'étant tous les enfants d'un père commun, d'un même Dieu, les hommes doivent tous s'aimer,s’aider mutuellement comme des frères, je ne vois pas que j'eusse besoin d'être maçon pour apprendre ces vérités. Je les trouverais bien mieux dans l'Evangile" (Abbé Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, 1798, Nouvelle édition révisée, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, 2e partie, tome 1, p. 391.)


 "Peut-être enfin cessera-t-on d'écouter les sophistes d'une égalité et d'une liberté plus atroces encore que chimériques, quand on saura combien leurs vains systèmes ont rapproché les hommes de la bête féroce.  … Nous savons ce qu'ont fait de nos jours ces vains systèmes de liberté, d'égalité" (Abbé Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, 1798, Nouvelle édition révisée, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, tome 1, p. 378).
Partager cet article
Repost0
2 juillet 2007 1 02 /07 /juillet /2007 14:25

Via le Salon Beige

CITE DU VATICAN, 30 JUI 2007 (VIS). L Pape a reçu ce matin les Evêques de Porto Rico qui ont conclu leur visite Ad Limina.

Parlant du domaine social portoricain, le Pape a averti que "la diffusion d'une mentalité inspirée d'un certain laïcisme, plus ou moins consciemment, porte petit à petit à déprécier ou ignorer le sacré, reléguant ainsi la foi à la sphère strictement privée. C'est pour cela, qu'une juste conception de la liberté religieuse n'est pas compatible avec cette idéologie, qui parfois se présente comme la seule voix de la rationalité". 

Un autre "objectif permanent" a t'il dit, est la famille qui "est mise en danger par les nombreux dangers du monde moderne comme le matérialisme dominant" ou "le manque de stabilité et de fidélité du couple". D'où "la nécessité de développer une pastorale de la famille incisive, qui aide les époux chrétiens à assumer les valeurs fondamentales du Sacrement reçu".

"L'indifférence religieuse déjà mentionnée et la tentation d'une facile permissivité morale, ainsi que l'ignorance de la tradition chrétienne influencent beaucoup les nouvelles générations. La jeunesse a le droit d'être éduquée dans la foi. C'est pour cela que la complète éducation des jeunes doit comprendre l'enseignement religieux, même à l'école".

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2007 1 02 /07 /juillet /2007 10:52
La Porte Latine (Fideliter N° 177, MAI 2007)

Comment agir vis-à-vis de prêtres qui, d’eux-mêmes ou en vertu d’un hypothétique Motu proprio à venir, envisageraient de reprendre la messe traditionnelle ?

Fideliter : Au cas où ce décret de libéralisation serait publié, avez-vous l’intention d’agir, et de quelle manière ?

Abbé de Cacqueray : Bien sûr ! Nous sommes déterminés à aider le maximum de prêtres possible à reprendre et à réapprendre la messe traditionnelle, afin que des fidèles toujours plus nombreux y aient accès. Il n’est pas question pour nous de rester passifs si les conditions devenaient meilleures. Il serait étrange que la Fraternité Saint-Pie X, après avoir réclamé durant 35 ans la réhabilitation de la messe traditionnelle, reste les bras croisés au moment où, fût-ce de manière partielle et insatisfaisante, une porte serait ouverte pour que des prêtres puissent la célébrer plus facilement. Mais il faut faire une petite distinction préalable.

Fideliter : Laquelle?

Abbé de Cacqueray : Nous allons parler de prêtres « conciliaires », insérés dans les diocèses ou les congrégations religieuses officielles et qui, libérés de leurs craintes grâce à cet hypothétique Motu proprio, prendraient la décision de célébrer la messe traditionnelle, mais sans quitter la structure à laquelle ils appartiennent. Je n’entends pas parler ici des prêtres qui quitteraient leur diocèse pour rejoindre le monde Ecclesia Dei. Une telle démarche, à mon sens, doit faire l’objet d’une réflexion partiellement différente. Et ceci pour deux raisons.

D’abord, les Ecclesia Dei possèdent les structures aptes à faire, auprès des prêtres qui veulent les rejoindre, le travail que nous allons évoquer, c’est-à-dire leur apprendre à célébrer la messe, les fournir en matériel liturgique, etc. Il n’y a évidemment aucune raison que la Fraternité Saint-Pie X se substitue aux Ecclesia Dei pour soutenir les prêtres qui veulent adhérer à Ecclesia Dei.

D’autant qu’il existe un problème spécifique en ce qui les concerne, qui provient d’un fait historique : les instituts Ecclesia Dei existent en vertu d’un document dont le but principal est de condamner Mgr Lefebvre, Mgr de Castro Mayer, et leurs fils dans l’épiscopat. Le simple honneur nous oblige à nous tenir éloignés de prêtres qui, le voulant ou non, adhèrent publiquement et de façon continue à cette condamnation infamante. Donc, notre propos porte aujourd’hui exclusivement sur des prêtres « conciliaires » qui reprendraient la messe traditionnelle en restant au sein des structures officielles.

Fideliter : Ceci est fort clair. Quels types d’action envisagez-vous donc dans le cadre précis de cette « aide au retour » à la messe traditionnelle ?

Abbé de Cacqueray : Parlons d’abord, si vous le voulez bien, de la Fraternité Saint-Pie X elle-même, en tant que congrégation sacerdotale. Il me semble que nous sommes en mesure d’apporter un cadre pour une éventuelle reprise de la célébration de la messe traditionnelle. Et tout d’abord, nos prêtres, nos prieurés, nos chapelles sont évidemment par nature des points de référence. Le prêtre qui envisage de célébrer cette messe risque d’avoir des craintes : Est-ce que cela est possible ? Est-ce que cela est facile ? Quels en sont les fruits sur le prêtre lui-même, sur ses fidèles ? Eh bien ! très fraternellement, il peut rencontrer nos prêtres, nos fidèles, séjourner dans nos maisons, et constater par lui-même l’esprit de force dans la foi, de sanctification, de joie, de paix que produit cette messe. Et cela va le rassurer et l’encourager.

Fideliter : Ces prieurés existent depuis de longues années, ils ne sont pas un élément inédit, alors que la parution du Motu proprio constituerait un changement. Avez-vous l’intention de proposer des éléments nouveaux ?

Abbé de Cacqueray : Évidemment, et dans la mesure de nos possibilités. Il serait bon de rédiger et de diffuser une brochure simple présentant la messe traditionnelle dans son histoire, sa théologie et sa célébration. Nous avons édité d’excellents ouvrages (La messe expliquée de l’abbé Joly, La messe de toujours de Mgr Lefebvre), mais ces livres sont volumineux et relativement coûteux. J’espère qu’un tel projet pourra être mis en œuvre par un confrère zélé de la Fraternité.

Fideliter : En revanche, vous avez déjà produit un DVD pour aider les prêtres à apprendre à célébrer la messe ?

Abbé de Cacqueray : J’en remercie l’abbé de La Rocque qui a réalisé ce projet avec une qualité exceptionnelle, malgré le délai très bref qui lui a été laissé. Ce DVD devrait être suivi d’un deuxième, qui présentera, et cette fois-ci plutôt à destination des fidèles, la théologie et la symbolique de la messe. Car ce premier DVD est réservé aux prêtres, puisqu’il constitue une introduction technique à l’apprentissage de la célébration. Il a d’ailleurs déjà connu un vif succès, et se diffuse très largement dans le clergé français, mais aussi à l’étranger, puisqu’il est présenté en sept langues.

... Fideliter :Nous venons de parler de l’action des prêtres de la Tradition auprès des prêtres « conciliaires ». Envisagez-vous aussi une action des fidèles ?

Abbé de Cacqueray : Bien sûr ! D’abord, il faut se souvenir que le passage de la messe nouvelle à la messe traditionnelle représente comme une sorte de « conversion », qu’il s’agit d’une réalité surnaturelle, fruit de la grâce, donc essentiellement de la prière. Nous aurons besoin, dans cet apostolat, du renfort puissant de la prière des fidèles. Ils ont déjà participé avec zèle à la croisade du rosaire lancée après le Chapitre général, et je les en remercie vivement. Mais ils seront encore sollicités, et ils le sont dès maintenant. Par ailleurs, accueillir des prêtres pour les former à la messe traditionnelle, ou aller les voir, leur remettre de la documentation écrite ou audiovisuelle, leur écrire ou leur envoyer des bulletins et des revues, tout cela demande du temps, des bonnes volontés et de l’argent. Là aussi, l’aide de tous les laïcs sera fort précieuse.

... Fideliter : Quels sont vos conseils à ce propos ?

Abbé de Cacqueray : Il faut incontestablement une réflexion de prudence, dans les deux sens du terme. Prudence au sens thomiste, qui évalue les circonstances pour poser l’action vraiment vertueuse et droite. Prudence au sens plus moderne, c’est-à-dire circonspection, méfiance pour ne pas être entraîné sur une pente glissante. Je dirais que si un fidèle veut effectuer un tel apostolat, il doit d’abord être bien armé intérieurement, par une connaissance solide de la doctrine chrétienne, une habitude enracinée de la prière, une pratique régulière des sacrements. Il doit spécialement recourir aux puissants moyens de préservation spirituelle que sont, par exemple, les retraites, notamment les exercices de saint Ignace. Il faut, de plus, que ce fidèle possède une « base arrière » (prieuré, chapelle traditionnelle) où il continue à se rendre régulièrement pour se nourrir doctrinalement et spirituellement. Il serait imprudent, sous prétexte d’aider autrui, de risquer soi-même de s’étioler, de se diluer. Enfin, parce qu’un tel apostolat est difficile et pose des problèmes souvent plus complexes qu’on ne le croit au départ, il est nécessaire de se faire suivre et conseiller par un prêtre de doctrine sûre et de jugement droit.

Fideliter : Si un fidèle de la Tradition s’inscrit dans la prudence dont vous venez de donner les éléments principaux, que pourra-t-il faire concrètement ?

Abbé de Cacqueray : En réalité, il pourra faire beaucoup, et de multiples façons. Il pourra fournir documentation écrite et audiovisuelle. Il pourra essayer de mettre à disposition du prêtre tous les objets nécessaires pour célébrer dans le rite traditionnel, depuis la soutane jusqu’à la chasuble en passant par les canons d’autel : ceci en les achetant, en les récupérant ou en les empruntant. Il pourra ménager à ce prêtre des rencontres avec des prêtres de la Fraternité Saint-Pie X. Actuellement, en plusieurs endroits de France, nos récollections sacerdotales accueillent régulièrement des prêtres « conciliaires » qui viennent à la fois y recevoir une nourriture doctrinale et liturgique, et s’encourager par le réconfort de l’amitié sacerdotale. Nous sommes là au cœur de la vocation de notre institut.

Fideliter : Cette présence d’un ou plusieurs fidèles de la Tradition auprès d’un prêtre qui se dispose à reprendre la messe traditionnelle serait pour lui un vrai encouragement.

Abbé de Cacqueray : C’est évident. Il ne faut pas sous-estimer le sentiment d’isolement qui peut étreindre le prêtre diocésain qui doit desservir cinq, dix, vingt, trente clochers, voire plus, et qui, poussé par la grâce, envisage de renouer ou, plus couramment aujourd’hui, de découvrir la liturgie traditionnelle. A ce moment, les encouragements respectueux et amicaux de fidèles solidement enracinés dans la Tradition peuvent être absolument déterminants.

... [C]e prêtre va certainement rencontrer quelques difficultés dans son apprentissage : formules inconnues, gestes inusités, petit obstacle de la langue latine, etc. Le fidèle pourra l’aider à surmonter ces embarras, ce qui implique qu’il ait lui-même travaillé en amont pour bien connaître l’ordinaire de la messe et ses rubriques. Puis, au moment des premières messes dans le rite traditionnel (rite « nouveau », en quelque sorte, pour ce prêtre), il sera réconfortant d’avoir à ses côtés un servant d’autel qui connaît son texte, qui connaît les rites, et même qui, éventuellement, peut « souffler » discrètement sa partie au célébrant lorsque celui-ci a un trou de mémoire.

... Parfois, ce prêtre pourra rencontrer des traverses, des contradictions voire des persécutions. Il faudra alors savoir le protéger, le défendre, le consoler. En même temps, cette messe retrouvée sera la joie et la force de ce prêtre, fera jaillir la foi et la vie chrétienne autour de lui, suscitera des fidèles fervents, et des vocations religieuses et sacerdotales. Vous connaissez la parole étonnante et imagée du Curé d’Ars : « Laissez une paroisse vingt ans sans prêtre (donc sans messe), et l’on y adorera les bêtes. »

Fideliter : « Remettez le prêtre et la messe dans une paroisse, et les adorateurs des bêtes y redeviendront fils de Dieu », voulez-vous dire ?

Abbé de Cacqueray  :C’est à peu près cela. On a peine à s’imaginer le flot de grâces qui coulerait sur une paroisse où la messe traditionnelle serait enfin retrouvée et reprise, pour la gloire de Dieu. Mgr Lefebvre l’a exprimé de belle façon le 23 septembre 1979, lorsqu’il nous a lancé sa magnifique et poignante adjuration :

« Gardez le sacrifice de Notre Seigneur Jésus-Christ ! Gardez la messe de toujours ! » Il ajoutait alors : « Et vous verrez la civilisation chrétienne refleurir, civilisation qui n’est pas pour ce monde, mais civilisation qui mène à la cité catholique, et cette cité catholique, c’est la cité catholique du Ciel. »

Suresnes, mai 2007

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2007 1 02 /07 /juillet /2007 10:30

"Les présidents américain, George W. Bush, et russe, Vladimir Poutine, ont eu, dimanche 1er juillet, à Kennebunkport une discussion "amicale" destinée à détendre l'atmosphère avant d'aborder lundi les questions concrètes et les divergences, ont indiqué dimanche deux de leurs proches conseillers.

"Pour souligner ce qui les rapprochait, les deux présidents ont fait appel à l'Histoire, notamment à "l'alliance" entre deux pays que tout semblait opposer, les Etats-Unis et l'Union soviétique, "pendant les années de la seconde guerre mondiale", a ajouté Sergueï Prikhodko, le conseiller du président russe pour les affaires extérieures. "Et la conclusion commune que nous tirons, du moins du côté russe, c'est que cette histoire nous oblige impérativement à continuer de renforcer et élargir notre coopération", a-t-il conclu." 

(LEMONDE.FR avec AFP, Discussion "amicale" entre George W. Bush et son invité Vladimir Poutine, 02.07.07).

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents