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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 15:05

Observabilis, via fdesouche

Un “sondage des sondages” lié à une analyse intéressante réalisée par des observateurs indépendants semble indiquer une tendance bien différente de celle des sources officielles à propos des sondages pour le premier tour des Présidentielles. L’analyse porte sur la “moyenne pondérée” de tous les sondages réalisés récemment par les organismes officiels, mais aussi et surtout tous les sondages tirés de sites internet indépendants (réalisés sur des plus larges échantillons de la population).

Les résultats statistiques obtenus étant plus “dilués”, plus “fins” car beaucoup plus “audiencés” tendant ainsi à être encore plus “précis”, on trouve ainsi de manière tout à fait inattendue un score de 25,6% pour Jean-Marie Le Pen, 25,4% pour François Bayrou, 18,2% pour Nicolas Sarkozy et finalement 16,1% pour Ségolène Royal.

Les observateurs indiquent que ces données statistiques sont obtenues par les résultats “moyennés” tirés de 16 sondages d’actualité dans les 6 derniers jours (sondages réalisés pour le compte de médias ou d’entreprises par des organismes officiels) et de 30 sondages réalisés par des sites indépendants sur l’internet “ayant des critères de recevabilité et un certain gage de qualité technique et morale”, sur une audience cumulée de plus de 130000 personnes, soit 130 fois plus qu’un sondage classique.

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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 14:24

Le Salon Beige, 13 mars 2007

Dans Présent, Rémi Fontaine explicite en 7 points le terme incriminé (ici et ici). Extraits :

"Si, avec le Petit Robert, nous définissons le communautarisme comme le système qui développe la formation de communautés, l’homme étant un animal social, on n’échappe pas au communautarisme, pas même le laïcisme avec les communautés qu’il recrée artificiellement (départements, partis, lobbies de toutes sortes...). […] Avec la doctrine sociale de l’Eglise, nous défendons le modèle organique (subsidiarité) contre le modèle mécaniste (étatisme).

Le communautarisme catholique bien défini (concept analogique par essence comme l’ordre social chrétien) ne peut bien sûr qu’être sain et légitime, non pas fermé mais ouvert sur l’universel. Par sa réunion (distincte) du naturel et du surnaturel, du temporel et du spirituel, il est à la fois une communion de personnes et de communautés. […]

Dans la société laïciste (issue de l’esprit révolutionnaire des Lumières) où nous vivons, il ressort de cette analyse que le risque de dilution des communautés naturelles et surnaturelles est beaucoup plus fort que celui de « ghettoïsation » des catholiques. Sans nier ce dernier risque, c’est ce que nous avons voulu exprimer à l’encontre des revues Permanences et La Nef [...]. Focaliser de manière disproportionnée là-dessus face à la réalité beaucoup plus mortelle de l’autre menace, n’est-ce pas déplacer incongrument le vrai problème, semi-victime d’une dialectique éculée qui vise habituellement les extrémismes... ?

La Nef pourtant – comme L’Homme nouveau, comme Radio Notre-Dame, KTO, etc. – constitue un communautarisme médiatique et confessionnel à sa manière. […] Nous disons, nous, que nous serons d’autant plus missionnaires que nous aurons, tous azimuts, ce genre de communautarismes temporels spécifiquement chrétiens pour servir la Bonne nouvelle".

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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 14:02

Vox Galliae

Voilà un entretien instructif sur la vision de société du "rebelle bayrou" avec le conseiller spécial pour les questions de société du candidat UDF pour le site Afrik.com.

A lire donc cette petite perle en réponse à une question sur son engagement à l'UDF:

Aziz Senni : Que ce soit pour les gens d’origine africaine, maghrébine ou autre, on est d’abord des Français. L’UDF, c’est cette vision-là. En France, il y a deux catégories de population : il y a les Français et les étrangers avec un titre de séjour. Et on se bat à l’UDF pour qu’il y ait cette reconnaissance. Vous savez, je suis de ceux qui rêvent que l’expression « Français de souche » disparaisse. Le grand combat qu’on doit tous mener, et je pense que cela devrait faire l’unanimité au niveau de tous les partis, c’est qu’un jour on soit capable de dire, pour ma part, « mes ancêtres les Arabes et nos ancêtres les Gaulois ».
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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 13:30

"Ne composez jamais avec l'extrémisme, le racisme, l'antisémitisme ou le rejet de l'autre. Dans notre histoire, l'extrémisme a déjà failli nous conduire à l'abîme. C'est un poison. Il divise. Il pervertit, il détruit. Tout dans l'âme de la France dit non à l'extrémisme", a lancé le chef de l'Etat en annonçant qu'il ne briguait pas un nouveau mandat présidentiel. (Le Monde, Chirac aux Français : "Ne composez jamais avec l'extrémisme", 11.03.07 | 20h09)

On peut d'abord se demander qui est extrémiste de celui qui prend tout de l'histoire de France de Vercingétorix à 2007 (Le Pen) et de ceux qui tronquent l'histoire de France (Royal Bayrou Sarközy) pour ne retenir que l'histoire depuis 1789.

Ensuite il faut faire la remarque suivante : si quelque chose divise, pervertit, détruit, c'est bien la démocratie ! Elle divise pour régner (voir l'imposture du suffrage universel), elle détruit la communauté nationale, la démembrant en autant d'intérêts particuliers devant s'exprimer à chacune des "élections" régulièrement organisées

Et c'est là un "devoir civique" que de participer au démembrement et à la division ! Entre les élections ? Rien. Ou plutôt la division haineuse entre les camps constitués et institutionnalisés. La démocratie "moderne" (à ne pas confondre avec la démocratie traditionnelle, organique et réellement représentative, de type féodal, avec au-dessus l'arbitrage royal) c'est donc l'institutionnalisation de l'extrémisme le plus pervers, celui d'une caste, c'est la division, la perversion, l'usurpation et la destruction.

Le Salon beige, revient sur le même sujet: "Mais qui est extrémiste" (17 mars 2007):

"Rebondissant sur la déclaration de Jacques Chirac, qui nous a demandé de ne jamais composer avec l'extrémisme, Polémia répercute l'analyse d'un universitaire américain, Laird Wilcox, sur l'extrémisme politique, parue dans la revue Krisis (créée par Alain de Benoist) :

"la plupart des personnes pouvant soutenir des opinions radicales ou hétérodoxes peuvent le faire en demeurant rationnelles, raisonnables et non dogmatiques. A contrario, bien des gens s’exprimant au nom de courants politiques majoritaires le font souvent de manière arrogante, brutale et fermée à tout compromis. [...] Laird Wilcox énumère 21 traits distinctifs des comportements extrémistes [ici en vo]. Force est de constater que la quasi-totalité d’entre eux s’applique aujourd’hui aux tenants de l’idéologie dominante [...] :

  1. L’assassinat de la réputation ;
  2. L’injure et la disqualification par étiquette ; ["racistes", "xénophobes", "antisémites", etc.]
  3. Les généralisations ravageuses irresponsables ;
  4. Les assertions démontrées par des preuves inadéquates ;
  5. La défense du double standard ;
  6. La tendance à voir leurs adversaires et leurs détracteurs comme essentiellement maléfiques ;
  7. Une vision du monde manichéenne ;
  8. Le désir de censure ou de répression à l’égard de leurs adversaires ;
  9. La tendance à s’identifier à leurs ennemis, c'est-à-dire à ceux qu’ils haïssent ou qui les haïssent ;
  10. La tendance à argumenter par intimidation ; ["progressistes" contre "réactionnaires", "fachos", etc.]
  11. L’utilisation de slogans, de mots-clés ;
  12. L’affirmation d’une supériorité morale ;
  13. Une pensée apocalyptique ;
  14. La conviction qu’il est permis de faire de mauvaises choses au service d’une «bonne» cause ;
  15. L’accent mis sur les réponses émotionnelles ;
  16. L’hypersensibilité et la vigilance ;
  17. Le recours à des justifications surnaturelles ;
  18. L’incapacité à tolérer l’ambiguïté et l’incertitude ;
  19. Le penchant pour la pensée de groupe ;
  20. La tendance à personnaliser l’hostilité ;
  21. La conviction que le système n’est bon que s’ils gagnent."
  22. [On pourrait ajouter: la délation]

L'injure et la calomnie comme moyen de discréditer les adversaires politiques : c'est une invention des Philosophes des "Lumières" et de leurs adeptes révolutionnaires. Je cite Edmund Burke:

"Déjà une certaine pauvreté de conception, la grossierté, la vulgarité marquent tous les actes de l'Assemblée nationale et de ceux qui l'endoctrinent. Leur liberté n'est pas libérale. Leur science est une présomptueuse ignorance et leur humanité, une brutalité sauvage." (Edmund Burke, Réflexions sur la Révolution de France, Pluriel Histoire, 1791, Paris 2004, p. 101). [C'est l'idée constante chez Burke que le libéralisme (politique) français est en fait une corruption du libéralisme tel qu'entendu en Angleterre]

"La cabale littéraire avait élaboré... quelque chose comme un plan de campagne en vue de la destruction de la religion chrétienne. Ils poursuivaient ce dessein avec un zèle que l'on n'avait jamais connu jusqu'ici que chez les apôtres de quelque système religieux. Ils étaient possédés de l'esprit de prosélytisme le plus fanatique; et de là, ils en étaient venus tout naturellement à user,... de la persécution. ... Ils renforcent leur système de monopole littéraire d'une activité inlassable pour noircir et discréditer par tous les moyens tous ceux qui ne font pas partie de leur faction. Les poursuites faibles et passagères dont ils furent l'objet,... ne parvinrent ni à les affaiblir, ni à ralentir leurs efforts. ... [Dans L'Ancien Régime et la Révolution, Tocqueville souligna également le caractère systématique des attaques contre l'Eglise et la religion et la faiblesse de la répression]. Un esprit de cabale, d'intrigue et de prosélytisme dominait leurs pensées, leurs moindres paroles, leurs moindres actions. ... Ils cultivaient avec une diligence toute particulière les pouvoirs d'argent en France..., ils s'emparèrent avec grand soin de toutes les avenues de l'opinion" (Edmund Burke, ibid, p. 141-142).

Relevons le commentaire intéressant de Mac G. (18 mars 07 19:17:22): "

Aux 21 points, s'ajoute le fait que les Français subissent comme les Soviétiques en leur temps :
- la censure (Pensée unique) ;
- le parti unique (le système politico-médiatique de l’U.M.P.S.) ;
- la persécution policière (notamment au volant de leur voiture)
- la peur (due aux violences causées par les immigrés)"

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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 12:41

Le Salon Beige, En Europe, la presse critique Jacques Chirac, 12 mars 2007

  • Daily Telegraph : "En tant qu'homme politique, il a personnifié (...) tout ce qui n'allait pas dans la politique française, il est charmant, inconstant, imposant, a fière allure et aucun scrupule. Il a été, selon son humeur, libre-échangiste et protectionniste, gaulliste et atlantiste, fédéraliste et euro-sceptique".
  • Financial Times : "éternel opportuniste, (qui) a retourné sa veste sur de nombreuses questions".
  • Guardian : "girouette".
  • Le Soir (Belgique) : "L'adieu émouvant d'un piètre président".
  • La Libre Belgique : "en 40 ans, a dit tout et son contraire".
  • El Mundo : La "versatilité".
  • ABC : "ses changements d'opinion tout comme ses gaffes sont légendaires".
  • Berliner Zeitung : "Qu'a fait cet homme de ses possibilités ? Peu." "Jacques Chirac laisse la France dans l'état où il l'a trouvée en 1995".
  • Spiegel: "Il ne restera pas grand-chose de Chirac [...]. Les conseils qu'il a donnés dimanche soir à son peuple, il ne les a pour la plupart jamais suivis".
  • Die Welt : l'échec "dévastateur" du référendum, "qui a aussi discrédité Chirac à l'étranger."
  • Süddeutsche Zeitung : le "non" au référendum sur la Constitution européenne "est considéré comme l'un des échecs les plus graves de sa présidence".
  • la presse polonaise : elle rappelle sa "gaffe" à l'égard des nouveaux entrants à l'Union européenne. Jacques Chirac avait alors reproché à la Pologne, candidats à l'UE, d'avoir "raté une bonne occasion de se taire" en apportant un soutien explicite à l'intervention américaine en Irak, désapprouvée par la France.
  • De Standaard (quotidien belge néerlandophone) : "La chiracophobie est devenue un sport national",
  • La Repubblica : "son indice de popularité était tombé au plus bas et ils étaient peu nombreux à espérer qu'il se représente."
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    13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 12:31

    Le Salon Beige, 13 mars 2007

    La présentation de l'exhortation apostolique sur l'Eucharistie est en cours à Rome. Le Saint-Père y recommande notamment la célébration de la messe en latin et en grégorien pour les rassemblements internationaux, l'"ars celebrandi" est la meilleure condition de l'"actuosa participatio" (malheureusement souvent traduite pae "participation active"), "l'obéissance fidèle aux normes liturgiques dans leur totalité", l'agenouillement "pendant les moments centraux de la prière eucharistique."

    Lire la présentation (en italien)

    L'exhortation est en ligne en français. Quelques extraits :

    §35 : "la liturgie, comme du reste la Révélation chrétienne, a un lien intrinsèque avec la beauté : elle est veritatis splendor."

    §38 : L'ars celebrandi est la meilleure condition pour une actuosa participatio. L'ars celebrandi découle de l'obéissance fidèle aux normes liturgiques dans leur totalité".

    §50 : "nécessité de trouver alors des moyens brefs et incisifs pour rappeler à tous le sens de la communion sacramentelle et les conditions de sa réception".

    §52 : "la participation active souhaitée par le Concile doit être comprise en termes plus substantiels, à partir d'une plus grande conscience du mystère qui est célébré et de sa relation avec l'existence quotidienne"

    §62 : "je demande que les futurs prêtres, dès le temps du séminaire, soient préparés à comprendre et à célébrer la Messe en latin, ainsi qu'à utiliser des textes latins et à utiliser le chant grégorien".

    §65 : "Un signe convaincant que la catéchèse eucharistique est efficace chez les fidèles est certainement la croissance, en eux, du sens du mystère de Dieu présent parmi nous. [...] Je pense, d'une manière générale, à l'importance des gestes et des postures, comme le fait de s'agenouiller pendant les moments centraux de la prière eucharistique."

    §93 : "Un Compendium sera publié par les soins des Dicastères compétents; il comprendra [...] tout ce qui pourra se révéler utile pour la compréhension correcte, pour la célébration et pour l'adoration du Sacrement de l'autel."

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    13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 12:02

    Après la sortie anti-française de Bayrou et celle de Ségolène Royal (voir ci-dessous), Sarközy leur emboîte le pas en bon adepte de la religion républicaine.

    "Invité à dire s'il se sentait l'héritier de Jacques Chirac, le président de l'UMP a indiqué "ne se sentir l'héritier de personne". "La France, c'est la République, ce n'est pas un héritage", a-t-il dit. (Nicolas Sarközy, Le Monde, 12.03.07 | 09h24 Sarkozy "touché" par la déclaration de Jacques Chirac).

    Ce qui fait que les trois candidats du système à l'élection présidentielle (Royal, Bayrou, Sarközy) ont tous fait allégeance à la religion républicaine : pour les trois, la France a deux cents ans, avant il n'y avait rien

    "
    L'identité nationale de la France, elle a un nom, c'est la République". (François Bayrou, La Croix, AFP, 09/03/2007 20:54,  PERPIGNAN (AFP) - François Bayrou: "l'identité nationale de la France c'est la République").

    "La France n'est pas la synthèse de l'Ancien Régime et de la Révolution. (...) C'est la rupture opérée par la Révolution qui explique la France d'aujourd'hui" (Ségolène Royal, Le Monde, Article publié le 06 Février 2007).

    "
    La France,... c'est la grande lumière jamais éteinte de la Révolution française, ... ce sont des valeurs exigeantes et belles proclamées par la Révolution française" (Ségolène Royal, Discours à Villepinte, 11/02/07).

    Avant 1789? Il n'y avait rien...
    Nous saurons nous rappeler de ce mépris des impérialistes à l'égard de quatorze siècles d'histoire catholique et royale de la France.

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    13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 10:53

    Un magnifique présent en ce temps de Carême : le Miserere d'Allegri en images et son. Un grand merci à Reconquista.

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    13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 10:29

    Via Vox Galliae : "Le Grand-Orient de France a contribué à faire la République, nos prédécesseurs (francs-maçons) ont inventé la société. … C'est la plus grande obédience de France, 47000 frères" (Hugues Le Forestier, Conseiller de l'Ordre, vient de publier "Frères à abattre, main basse sur le grand Orient de France", Nouveau Monde).

    Des francs-maçons se mettent à parler de "crise" dans ou de la franc-maçonnerie. "La Franc-Maçonnerie n'a plus l'impact ni l'influence qu'elle a pu avoir autrefois sur la société"... Ca c'est ce qu'ils disent, dont ce Hugues Le Forestier. Qu'en est-il en réalité? La franc-maçonnerie continue-t-elle d'impulser les lois de société? Avant de passer devant le "Parle-ment", les lois passent devant les loges, preuves ici.
    Les frères trois points tiennent la "république" qu'ils ont inventée et viennent nous expliquer qu'il n'en est rien...

    Le Salon Beige relève le
    vrai scandale :

    Le "secrétaire général en 2005 et président du Conseil de surveillance de sa filiale immobilière en 2006, auteur de Frères à abattre, s'enorgueillit d'un autre scandale sur lequel il ne s'émeut aucunement :

    "Le Grand-Orient de France, il a contribué à faire la République, nos prédécesseurs ont inventé la société. [...] Le GO a eu un rôle génial".

    Sont cités pêle-mêle : l'abolition de l'esclavage, les caisses de retraites, les HLM, la sécurité sociale, les mutuelles, la séparation de l'Eglise et de l'Etat...

    "C'est extraordinaire l'apport que le Grand-Orient de France a eu au niveau de la société".

    Alors : qui gouverne ce pays ? Il est là le vrai scandale du Grand-Orient de France. A quand la séparation de l'Etat et de la Franc-maçonnerie ?"

    Dans les commentaires sous cet article, à noter celui très juste de Pascal G.: "C'est un énorme mensonge maçonnique, ce qui est une tautologie :

    "les caisses de retraites, les HLM, la sécurité sociale, les mutuelles," auraient été inventés par le Grand Orient.
    Tout cela a été inventé et mis en oeuvre par le mouvement des catholiques sociaux,depuis Albert de Mun en passant par La Tour du Pin, jusqu'à Harmel et au delà, en 80 ans environ, entre la monarchie de juillet et l'après guerre de 1914-18."

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    11 mars 2007 7 11 /03 /mars /2007 20:13

    Via telepubliqueblogspirit 

    J'ai notamment retenu de cet entretien, à la question du journaliste sur "l'esprit de revanche au front national pour avoir été autant diabolisé pendant toutes ces années" (28:42 au curseur), la réponse d'Alain Soral, qui nous donne une description de la nature politique de la droite nationale et de celle des gauchistes :

    "C'est pour ça que j'ai un vraiment respect pour Le Pen, y'a un esprit de mépris ironique, une espèce de fatalisme assez élégant, … il n'a été que trahi, vilipendé, sali toute sa vie, et justement il est particulièrement cool sur ce sujet. Il dit en gros, c'est le prix à payer du courage, de l'intégrité, quand on défend des idées à contre-courant. Je l'ai rarement vu s'énerver, il a plutôt de l'humour. Et j'ai remarqué ça aussi chez Gollnisch, ils répondent plutôt par l'humour. Et ça c'est un truc de droite, c'est vrai, il n'y a pas le côté teigneux et tacticien et technicien du professionnel de "l'agit-prop" (agitation-propagande) issu de mai 68. Je pense que les vrais salopards sur ce plan-là sont les gauchistes, parce que eux ils ont une vrai culture de la manipulation médiatique. C'est ce que les gens de la droite nationale n'ont pas. C'est pas dans leur tradition, c'est ce qui me les rend assez sympathiques." (Cette remarque est d'autant plus importante, percutante, quand elle vient de la part d'un ancien communiste comme Alain Soral. Cette caractéristique qu'il relève dans la droite nationale est celle de la droite classique, contrerévolutionnaire, qui n'a pas la culture subversive de l'agit-prop de gauche, ni la maîtrise de la manipulation médiatique comme les révolutionnaires. Cela a été remarquablement analysé par Thomas Molnar, dans son livre "La contrerévolution").

     

    Autre phrase intéressante : "Le système se survit comme ça très bien, en divisant pour régner, en mettant en place les gens qui n'ont pas encore compris et en s'arrangeant pour que les gens qui ont compris soient mis sur la touche" (49 : 40 au curseur).

    Voir le post où j'explique que la démocratie "moderne" (qui n'est pas la démocratie organique de type Ancien Régime) est nocive parce qu'elle détruit la communauté nationale, elle démembre la nation, en la divisant, la décomposant, la subvertissant en opposant les individus et les classes, la réduisant à un conglomérat d'unités artificielles et communautaires, le tout devant s'exprimer dans le cadre des institutions "démocratiques"...

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    10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 18:17

    Blog d'Hervé Ryssen

    Le bolchevisme, c'est trente millions de morts, rien qu'en Russie et les prophètes d'Israël en sont les premiers responsables : Lénine, Karl Liebknecht, Rosa Luxemburg, Zinoviev, Trotsky, etc.

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    10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 15:33

    "Les nouveaux docteurs ne cessent de se vanter de leur esprit de tolérance. Mais il n'y a guère de mérite à tolérer toutes les opinions quand on pense qu'il n'en est aucune qui soit digne d'estime" (Edmund Burke, Réflexions sur la Révolution de France, Pluriel Histoire, paris 2004, p. 191).

     

    "La tolérance assure à toutes les religions une protection respectueuse et attachent de l'importance à tous les dogmes religieux, mais à des degrés différents (ibid., p. 191) : la tolérance ne doit pas entraîner l'égalité religieuse, encore moins une persécution de la religion de l'Etat. Ce n'est pas en témoignant d'une égale indifférence à toute chose qu'on fait preuve de son indulgence ou de son impartialité..., c'est tout en affirmant leurs préférences qu'ils se montrent tolérants à l'égard de ceux qui ne font pas la même choix" (p. 191-192). 

    "Je pense que tout gouvernement national, conscient de sa mission et de ses responsabilités, a le devoir de posséder une censure, comme il possède une police. On ne va pas supprimer la police sous prétexte qu'il y a des honnêtes gens, et qu'ils sont la majorité. Car si l'on supprimait la police, tout le monde sait que les honnêtes gens seraient bien vite victimes des criminels (et des criminels il y en aura toujours).

    "Il en est de même de la censure. A partir du moment où n'importe qui peut écrire n'importe quoi, n'importe comment, dans n'importe quel journal, la société qui le tolère déclenche le processus de sa propre décadence et court, tôt ou tard, à sa ruine.

    "Les partisans bien intentionnés de la liberté de la presse semblent partir du principe qu'il n'y a que des journalistes honnêtes, qui n'écrivent que pour des lecteurs intelligents. Ils oublient ou ils ne veulent pas reconnaître qu'il y a (et il y aura toujours) des journalistes de mauvaise foi, dont le but délibéré, le rôle, ou la mission, est précisément de déformer la vérité, et qui sont lus par une masse de lecteurs ignares (tout au moins politiquement), prêts à accepter comme parole d'Evangile toutes les déformations de la vérité...

    "En toute sincérité, je pense que la censure doit exister, aussi large, aussi clairvoyante, aussi tolérante que possible, mais elle doit exister. Car je ne vois pas d'autes solutions pratique pour mettre les pourrisseurs professionnels hors d'état de nuire.

    "Des médecins, qui ne s'occupent pas du corps, on exige de longues études, des examens, des concours. Mais les journalistes qui exercent leur action sur les esprits et sur les âmes, on n'exige rien du tout. N'importe qui peut s'emparer d'une plume et gratter du papier...

    "Si la formation des enfants et de la jeunesse, ce qu'on appelle l'Education nationale, est assurée, orientée, réglementée, contrôlée et sanctionnée par l'Etat..., comment peut-on admettre que l'information - qui est la formation des citoyens en général - puisse être entièrement libre et anarchique ?"

    (Jean Haupt, "Le Procès de la démocratie", Cahiers Découverte, Lisbonne 1971).

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    10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 14:20

    S'il y a bien une liberté à inventer, ou à restaurer c'est bien la liberté des peuples à durer dans leur être (importance de l'identité dans les débats actuels...) Cette liberté existe pour tous les peuples de la planète, sauf le Français... qui, seul au monde, devrait accepter d'être submergé démographiquement, d'être substitué dans sa population, insulté dans son propre pays. Cette profonde injustice, ce deux poids deux mesures dans le traitement du racisme, risque à terme d'amener de violentes réactions.

    L'autre liberté à restaurer serait la liberté de ne pas se laisser vomir dessus, dans son propre pays. Cette liberté n'est-elle d'ailleurs pas inscrite dans la déclaration des Droits de l'homme qui stipule (art. 4) que "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme N'A DE BORNES QUE CELLES QUI ASSURENT AUX AUTRES MEMBRES DE LA SOCIETE LA JOUISSANCE DE CES MÊMES DROITS"....  Les révolutionnaires finirent donc par l'admettre eux-mêmes - et ainsi se contredisant totalement avec la liberté d'expression ou de penser par exemple -, le paradoxe de la liberté est qu'elle ne peut exister sans sa limitation ("bornes"). L'autorité et la censure viennent au secours de la liberté.

    En fait, le trait majeur de la "démocratie" "française" est sa profonde hypocrisie, mais aussi une fantastique imposture, une incroyable illusion : partant de l'abstraction individualiste et égalitaire, l'autosuffisance individuelle (l'individu-Roi et souverain), elle est incapable d'organiser une véritable représentation des intérêts présents dans la nation et qu'elle tend AU CONTRAIRE, pour conserver le pouvoir, à démembrer la nation (on le voit aujourd'hui : les faits donnent raison aux principes traditionnels), en la divisant, en la décomposant, subvertissant la Société en opposant les individus et les classes, la réduisant à un conglomérat d'unités artificielles et communautaires, le tout devant s'exprimer dans le cadre des institutions "démocratiques"... La démocratie "moderne" est nocive parce qu'elle détruit la communauté nationale, elle démembre la nation : c'est l'absolutisation ou universalisation de la liberté politique. En absolutisant les revendications individualistes et d'autonomie (un homme un vote), l'individualisme-roi détruit les moeurs et la Société qui a permis l'amélioration de sa condition (échec actuel complet de la démocratie, dans tous les domaines, déclin, décadence et destruction de la Société). Inversement, et paradoxalement, l'ordre politique de l'Europe classique (monarchies, "éclairées" par des élites parlementaires ou non...), permet en fait une approximation meilleure de la volonté générale que la domination pure et simple d'une Assemblée dite "représentative".

    En voulant garantir les "droits de l'Homme", les "démocrates" Révolutionnaires raisonnèrent comme si la situation des hommes dans leur condition "naturelle" était préférable à celle dont ils jouissent dans l'état civil : il est donc logique qu'ils aient cherché à recréer dans les corps politiques les déchirements et les divisions qui caractérisent en fait "l'état de nature".... Inversement, si on veut réellement garantir les droits de l'homme (et donc par exemple les libertés publiques, la liberté de penser, etc....), si l'on veut garantir la sécurité (le droit de tout peuple à durer dans son être, la "Souveraineté nationale"...), il faut, avant de faire des grandes déclarations, d'abord créer un ordre politique qui, si libéral soit-il..., ne peut exister qu'au prix d'une LIMITATION de la liberté, au travers, nécessairement, d'un Etat "autoritaire". La Monarchie traditionnelle française est cet ordre politique.

    "Un des premiers objets de la société civile, est que personne ne soit juge dans sa propre cause. Chaque membre de la société renonce au premier droit fondamental de l'homme naturel, celui de juger par lui-même, et de défendre son propre droit: il abdique le droit d'être son propre gouverneur. ... Les hommes ne peuvent jouir à la fois des droits de l'état de nature [uncivil] et de ceux de la société civile. Pour obtenir justice, l'individu renonce au droit de la déterminer... Et pour s'assurer d'une certain degré de liberté, il s'en déssaisit en totalité pour en confier la garde à d'autres instances" (Edmund Burke, Réflexions sur la Révolution de France, Pluriel Histoire, Paris 2004, p. XVI).

    Les liens, les limitations créés par la civilisation sont précisément la condition de la sécurité et de la liberté de l'homme et d'une société et, au-delà, de l'amélioration de l'humanité. Dès lors, dans le "contrat social" tel que le conçoit Burke, il est impossible que "chacun s'unissant à tous n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre qu'auparavant...." (J.J. Rousseau, Du contrat social, liv. I, ch. VI). C'est par là que les Révolutionnaires se contredisent (contradiction-polarité entre la liberté et la société civile) et que Burke est le plus éloigné de la pensée des Constituants de 1789, dont la doctrine de la loi "expression de la volonté générale" hérite de Rousseau... L'opposition entre "liberté" et "pouvoir-limitation" interdit de considérer la participation aux affaires publiques comme un droit fondamental, puisque les droits de l'homme, sa sécurité, sa liberté, ne peuvent être réellement garantis que par une LIMITATION de sa liberté politique, et qu'a contrario, le droit du citoyen à participer aux affaires publiques entraîne mécaniquement le démembrement de la nation (jeu incessant des minorités contre les majorités). Pour reprendre une phrase de Jean Haupt, la démocratie est donc "contraire à la fois aux intérêts légitimes des citoyens et aux intérêts supérieurs de la nation" (Jean Haupt, Le Procès de la démocratie, Cahiers Découvertes - Lisbonne 1971, p. 15). Mais ne nous méprenons pas, il n'est pas question pour nous de ressusciter subitement le passé médiéval ou même l'Ancien Régime, mais simplement de préserver dans les conditions de la "modernité" les anciennes règles de vie, les principes traditionnels de gouvernement qui s'opposaient tous à la l'absolutisation de la liberté politique, à l'individualisme-roi. La "modernité" devra conserver un lien vivant avec le monde traditionnel qui lui a permis de naître, ou bien la Société disparaîtra, sous l'effet des principes absurdes et contradictoires de la Révolution, disloquée, par l'anarchie produite par les illusions de l'autosuffisance individuelle, ou par le despotisme de la loi qui aura voulu compensé l'absolutisation de la liberté. Ou bien mourra-t-elle des deux ?...

    Les Réflexions sur la Révolution française d'Edmund Burke sont un des apports les plus célèbres à la pensée conservatrice et contrerévolutionnaire et, au-delà, à la critique de philosophie politique dite "moderne" héritée des dites "Lumières". Elle constitue une des critiques les plus profondes de la Révolution, et surtout, une attaque d'un type inédit contre ce qui, dans l'Esprit des Lumières, avait pu préparer 1789.

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    10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 11:33

     

     Le Figaro

    L'activité française a du mal à repartir

    MARIE VISOT. Publié le 10 mars 2007 Actualisé le 10 mars 2007 : 20h58

    Malgré les messages d'optimisme répétés du gouvernement, les mauvais chiffres s'amoncellent depuis plusieurs mois.

    IL Y A SIX mois encore, ... certains économistes, tout en appelant à la prudence, s'enthousiasmaient. « Enfin la France s'est accrochée au train de la croissance mondiale », se réjouissaient les uns. Les autres saluaient « l'accélération considérable », ou encore « l'excellente performance » de l'Hexagone.

    C'était sans compter sur un arrêt brutal de l'activité. ... L'optimiste Thierry Breton a dû admettre que la croissance n'atteindrait pas le haut de la fourchette de 2 % à 2,5 % sur laquelle il avait toujours tablé. Le ministre de l'Économie a même rapidement reconnu qu'elle atteindrait le plancher de cette fourchette. ...

    Alors que l'Allemagne annonce un excédent commercial plus fort qu'attendu en janvier, à 15,7 milliards d'euros, la France publie dans le même temps un déficit de 2,76 milliards d'euros pour la même période. Sur les douze derniers mois, le déficit du commerce extérieur dépasse désormais 28 milliards d'euros, indiquent les Douanes.

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    9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 22:21

    09/03/2007 18:14

    PARIS (AFP) - Raymond Barre réfute toute accusation d'antisémitisme

    Raymond Barre récuse toutes les accusations d'antisémitisme dont il est l'objet et annonce sa décision de se "tenir désormais à l'écart de toute polémique" sur ce sujet, dans une déclaration écrite adressée vendredi à l'AFP.

    "Je n'accepte pas les attaques dont je suis l'objet à propos de récentes déclarations que j'ai faites sur France-Culture", écrit-il, faisant allusion à ses propos sur Maurice Papon, Bruno Gollnisch et le "lobby juif".

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    9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 21:53

    Faire-part du duc d'Anjou, Aîné de la Maison de Bourbon (fichier PDF)

    Le Forum catholique

    General
    Le : 08/03/2007
    Communiqué de presse : Naissance de la Princesse Eugénie de Bourbon

    Monsieur le duc de Bauffremont, Président de l’Institut de la Maison de Bourbon, est heureux de faire part de la naissance de la Princesse Eugénie de Bourbon, fille du Prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, Chef de la Maison de Bourbon, et de la Princesse Marie-Marguerite, Madame la Duchesse d’Anjou.

    Selon le communiqué du secrétariat de Monseigneur le Duc d’Anjou la Princesse Eugénie « est née le 5 mars 2007, à 18 h 02, à Miami (Floride-USA). Elle pèse 3,7 kg et mesure 52 cm ».
    La Princesse Eugénie et sa Mère, Madame la Duchesse d’Anjou se portent bien.

    Monseigneur le Duc d’Anjou, fils de Monseigneur le Prince Alphonse de Bourbon, Duc d’Anjou et de Cadix, aîné des descendants de rois de France, est chef de la maison de Bourbon depuis le 30 janvier 1989.
    Marié en novembre 2004, le couple princier partage son temps entre la France et le Venezuela où le Prince exerce ses fonctions dans le secteur financier international.

    Le prénom d’Eugénie a été donné à la Princesse en souvenir de l’arrière Grand-Mère du Prince Louis, la reine Victoire-Eugénie, épouse du Roi Alphonse XIII, chef de l’auguste Maison de Bourbon de 1936 à 1941.
    Dans les prochains jours l’Institut de la Maison de Bourbon, fera célébrer un Te Deum d’action de grâces pour la naissance de la Princesse Eugénie.

    Source :
    Institut de la Maison de Bourbon

    Deo Gratias ! Vive le Roi et vive la France ! Et longue vie a notre nouvelle petite princesse !

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    9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 21:41

    Le Salon Beige

    Il l'a dit ce soir :

    "L'identité nationale de la France, elle a un nom, c'est la République".

    Et avant 1789, notre pays n'était-il pas la France? De qui la France tient-elle son nom?

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    9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 20:53

    Vox Galliae

    Dans le courte séquence ci dessus, Bernard Antony, président de Chrétienté-Solidarité et de l'AGRIF, réplique aux propos insultants dont il a été l'objet de la part d'Alain Soral sur le Forum catholique. Il revient également sur la récente rediffusion des images de l'altercation qui l'avait opposé à Christophe Forcari, journaliste du quotidien Libération, et sur la version fallacieuse de l'affaire livrée par ce dernier sur le plateau de l'emission "Arrêts sur images".

    "Karl Marx serait un lepéniste aujourd'hui. Ca rendait K. Marx sympathique somme toute, parce que la connotation lepéniste est positive. Or Marx est un affreux bonhomme, un bourgeois, oui monsieur Soral, un bourgeois. Comme Karl Marx qui engrosse sa servante et qui impose à Engels de l'épouser, pour la bonne réputation. Karl Marx le raciste qui parlait de son gendre, "sale nègre". Les propos antisémites de Karl Marx dépassent l'entendement. Donc une interprétation de l'histoire, fausse. Et donc je m'en prends à Karl Marx, il est vrai que je suis un anti-marxiste et un anti-communiste de longue date. Monsieur Soral me répond, à la manière bolchévique, 'Je suis un petit bourgeois'... Alors je me suis renseigné sur les origines de monsieur Soral, lui il est né fils de grands bourgeois, moi je suis né fils d'ouvrier dans un deux pièces. C'est une petite différence... Le fait de traiter quelqu'un de 'petit bourgeois', c'est le vocabulaire bolchévique, avec ça on a envoyé des dizaines de millions de personnes à la mort. Et la technique communiste consiste à ne pas réfuter un argument, mais à dire "un tel dit cela parce qu'il est petit bourgeois ou parce qu'il est koulak", et c'est comme cela que avec Lénine on ne tuait pas les gens pour ce qu'ils avaient fait, mais pour ce qu'ils étaient. Alors c'est dire que monsieur Soral a encore beaucoup de chemins à faire pour se décommuniser. Mais que quand il vient chez nous, il devrait avoir du respect pour ceux qui ont vu la perniciosité du communisme avant lui. ...  Et le fait d'avoir été communiste exigerait pour le moins de la repentance, de même que d'avoir été nazi. Voilà ce que j'avais à répondre à monsieur Soral. Et là il n'y a là aucune injure et je fais cela sans haine parce que la vivacité du propos n'implique pas la haine. On peut même avoir de la colère ou se battre sans haine. Et je trouve très grave parce que, finalement, dans son propos, il y a de la haine et moi je hais la haine et c'est ce qui avait de propre au communisme. Alors je souhaite à monsieur Soral, qui est venu dans notre camp, de savoir que quand même on n'est pas le camp de la haine. On est le camp du combat, mais on est le camp de l'amour."

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    9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 20:45

    Guysen Israël news

     

     

     

    Au lendemain d’une conférence de presse donnée à Paris par Nicolas Sarkozy au cours de laquelle il exprimait sa vision de la politique extérieure française, Guysen Israël News apprenait qu’un timbre israélien à l’effigie du candidat UMP avait été créé par son comité de soutien en Israël.

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    9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 11:15

    09/03/2007 10:30

     

    JERUSALEM (AFP) - Une bactérie mortelle fait des dizaines de morts et sème la peur en Israël

     

    Une bactérie mortelle résistante aux antibiotiques a fait des dizaines de morts et contaminé des centaines de malades dans les hôpitaux israéliens, semant la peur dans le pays.

     

    Cinq cents personnes, hospitalisés dans une dizaine d'établissements, ont été contaminées par la bactérie Klebsiella au cours des six derniers mois et 30% d'entre elles en sont mortes, a déclaré Yair Amikam, chargé de la communication au ministère israélien de la Santé.

     

    Selon les spécialistes, cette bactérie provoque de graves infections pulmonaires et urinaires qui ne peuvent être traitées en raison de sa résistance à tous les antibiotiques utilisés sur le marché.

     

    Les médecins ont en effet averti que si des mesures immédiates n'étaient pas prises l'épidémie pourrait se propager très rapidement.

     

    La bactérie mortelle, dont l'existence a été révélée cette semaine par les médias israéliens, fait depuis la une des journaux et des sites internet dans le pays.

     

    "Crainte d'épidémie bactérienne", "Propagation d'une bactérie résistante. Des dizaines de morts", ont titré les quotidiens ces derniers jours.

     

    Le ministère de la Santé avait au départ décidé de ne pas donner d'informations sur l'épidémie de peur de provoquer une vague de panique dans la population.

     

    "Nous risquons d'être confrontés à un problème endémique au lieu d'un problème pouvant être contenu", a déclaré le docteur Itamar Shalit, président de l'association israélienne des maladies infectieuses.

     

    Il a précisé que les experts ne s'étaient aperçus qu'au bout de 8 à 10 mois qu'il s'agissait d'une nouvelle bactérie résistante aux antibiotiques.

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    9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 10:46

    Alliance Royale

    Un sondage BVA commandé par l’Alliance Royale révèle que 20% des personnes interrogées pourraient voter pour un candidat royaliste au premier tour et que 17% seraient favorables à ce que la fonction de Chef de l’État soit assumée par un Roi. Ceci confirme que le royalisme compte bien en France, au-delà de sa représentation politique actuelle !

    Ce sondage est publié dans France Soir du 8 mars.

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    8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 19:43

    Gollnisch: Barre "n'est pas antisémite''

    Le Figaro

    Publié le 08 mars 2007 à 18h55

    Le numéro deux du Front national, Bruno Gollnisch, estime que Raymond Barre, critiqué pour ses propos sur "le lobby juif", "n'est pas antisémite (...), pas davantage" que lui-même.

    (Avec AFP).
     

     

    Publié le 08 mars à 17h24

    Propos/Barre : Buffet veut saisir la justice

    La candidate PCF à la présidentielle Marie-George Buffet  dénonce les "propos ignobles" de Raymond Barre sur Maurice Papon et sur le "lobby juif", estimant que la justice doit être saisie afin que les déclarations de l'ancien premier ministre centriste soient "sanctionnées".

    (Avec AFP).
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    8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 19:31

    8 mars 2007

    Le blog d'Yves Daoudal

    C’est la Journée des femmes : cérémonie communautariste laïque et obligatoire. Cette année, naturellement, elle est particulièrement célébrée par celle qui a réussi à faire croire aux médias qu’elle était la seule femme à se présenter à la présidentielle, et dont l’un des axes de campagne est que les critiques qui lui sont faites sont sexistes, donc non recevables et scandaleuses.

    Hier soir, à Dijon, (Ségolène Royal) elle a fait l’apologie d’Olympe de Gouges, qu’elle fera entrer au Panthéon, « ce monument si peu accueillant aux femmes qu’il porte en son fronton : Aux grands hommes la patrie reconnaissante ». Car bien entendu Bécassine ne sait pas que le mot « homme », du latin homo, désigne l’espèce humaine, comme cela se voit dès la Genèse  : Dieu créa l’homme à son image, homme et femme il le créa.

    Bécassine conclut ainsi son couplet sur le combat féministe d’Olympe de Gouges : « Le tribunal lui reprocha d’avoir oublié, je le cite, les vertus qui conviennent à son sexe. On la guillotina. » La vérité historique est que Marie Gouze (tel était son vrai nom) fut guillotinée, non pas du tout pour ses thèses féministes, mais parce qu’elle était girondine et s’opposait à la Terreur.

    Olympe de Gouge avait rédigé une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, où l’on pouvait lire dans le Préambule : « Les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la nation, demandent d’être constituées en assemblée nationale. »

    C’est sans doute inspirée par ce (réel) sexisme que Marie-Ségolène Royal en est venue à s’exclamer : « Liberté, égalité, fraternité, aujourd’hui à Dijon j’en appelle à la sororité. »

    Mais une fois de plus, Bécassine ne sait pas de quoi elle parle. Le mot sorority est aux Etats-Unis le pendant féministe de fraternity. Ici Fraternity ne veut pas dire fraternité (en anglais cela se dit plutôt brotherhood), mais désigne une prétendue « société secrète » d’étudiants (qui se désigne par des lettres grecques, cachant le véritable nom qui est « secret »). De telles associations ont été constituées par des étudiantes, et c’est l’une d’elles, ΓΦΒ (gamma-phi-bêta), qui a inventé le mot sorority pour qualifier ces fraternités exclusivement féminines.

    On voit qu’on est très loin de la devise de la République.

    Cela dit, l’exclamation de Marie-Ségolène est d’abord un clin d’œil au « féminisme » le plus subversif : « Liberté, égalité, sororité », c’est par exemple sous ce slogan que la dessinatrice Mad Meg (sic) range, sur son site internet, ses liens vers les Chiennes de garde, les Pénélopes, le Collectif national pour les droits des femmes (CNDF, lié à la CADAC , etc.), La Meute , Les fées du logis (revue des gouines en moufles...), Act-up...

    Sans doute Marie-Ségolène a-t-elle vu « Liberté, égalité, sororité » sur le site de l’association André Léo (féministe communarde qui avait pris un nom d’homme..), site créé grâce à une subvention accordée par... la présidente du conseil régional Poitou-Charentes.

    Et c’est cela que les socialistes veulent mettre à l’Elysée ?

    Voir aussi l'article du Salon Beige à ce sujet.

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    8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 19:25
    Communiqué du site de campagne de Jean-Marie Le  Pen
     
    Le ministre britannique de l’Intérieur, le travailliste John Reid, déclare que l’immigration illégale est « injuste », parce qu’elle « sape le droit des travailleurs britanniques, vole l’argent du contribuable en utilisant des allocations, des services publics, fournis par les contribuables britanniques pour les Britanniques ». En conséquence, il veut donc interdire « l’accès aux avantages de la Grande-Bretagne » à ceux qui entrent dans le pays illégalement.

    Nous n’avons pas entendu la « blairiste » Ségolène Royal, ni aucune autre personnalité de droite ou de gauche, dénoncer ces propos, qui sont pourtant stigmatisés comme xénophobes lorsque c’est Le Pen qui les tient.

    J’attire l’attention des Français sur cet accord parfait entre un ministre socialiste britannique et le candidat national à la présidentielle française.

    Il tient au fait qu’il ne s’agit pas d’idéologie, mais simplement de bon sens, de défense de la patrie et du bien commun, qui sont les fondements de l’action politique, mais qui manquent tragiquement à mes concurrents.
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    8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 19:12

    NOVOPRESS

    Julien Dray, porte-parole de Ségolène Royal a, dans une récente interview au très droitier « Israël magazine », confirmé les déclarations de Raymond Barre sur le « lobby juif ». Julien Dray déclare ainsi « qu’il y a une tentation de la communauté, ces dernières années, de se transposer sur le modèle américain » et qu’il « faut sortir de la logique de lobby, et se comporter de manière républicaine. Parce que si on va vers un affrontement lobby contre lobby, le lobby juif perdra ».

    Des déclarations qui risquent de déplaire à la communauté juive française, déjà largement acquise à Nicolas Sarkozy. D’après l’institut de sondage IFOP (cité par Marianne), et sur la base de deux premières vagues d’enquêtes réalisées pour le Cevipog au cours de l’année 2006, le potentiel électoral de Sarkozy, qui mesure la probabilité de vote en sa faveur, s’élève à 65 % parmi les personnes interrogées qui se déclarent comme juives contre 47 % dans la totalité de l’échantillon. Au contraire, le potentiel de Ségolène Royal est de 26 % contre 45 % dans l’échantillon général. Selon Jérôme Fourquet de l’IFOP, « l’électorat juif est l’électorat confessionnel le plus marqué à droite . » Ce qui plaît à la communauté juive, c’est d’abord le style Sarkozy, selon un dirigeant communautaire « ce n’est pas seulement un homme politique, c’est quelqu’un qui ressent les choses comme nous ». Le dirigeant de l’UMP n’a jamais caché son ascendance juive et multiplie depuis son installation à la mairie de Neuilly, les contacts avec les personnes les plus influentes de la communauté. Pour cela il s’appuie sur le président de la LICRA, Patrick Gaubert, et sur quelques personnalités populaires dans la communauté.

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