Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 08:44

C'est bon signe, la pétition lancée ici même le 13 décembre dernier sème le trouble dans les rangs de nos adversaires, comme on peut le lire sur le blog du Pôle de Renaissance communiste en France (P.R.C.F.). Leur appel à signer une pétition en faveur d'un musée Robespierre à Arras doit nous mobiliser à notre tour pour leur opposer le nombre au mensonge.

PCRFNotre pétition contre la création d'un musée Robespierre à Arras atteint à ce jour 420 signatures. Mais il y en a en réalité bien plus puisque beaucoup n'ont pas validé leur signature, soit qu'ils l'ont oubliée dans leur boîte mail, soit qu'il ont rédigé une adresse mail erronée.

Si vous n'avez pas reçu de mail de validation pour cette pétition, c'est que votre signature n'a pas pu être comptabilisée. Dans ce cas n'hésitez pas à recommencer en cliquant sur le lien vers la pétition.

 

Source Vendéens & Chouans : http://guerredevendee.canalblog.com/archives/2011/12/29/23068640.html

via http://www.democratie-royale.org/article-la-petition-contre-le-musee-robespierre-a-arras-irrite-les-communistes-95400465.html

----------------------------------------------------
Partager cet article
Repost0
29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 23:59

Un article publié sur agoravox par Philippe Vassé, intitulé "Franc-maçonnerie française : une crise ravageuse spécifique ?", vise selon un commentaire de l'auteur à "séparer les principes humanistes de la franc-maçonnerie originelle des gens qui, du fait de dérives acceptées et soutenues par des silences complices, sont uniquement des gens d’affaires qui se cachent sous des apparences spirituelles fausses", pour critiquer la dérive affairiste de la franc-maçonnerie "française" comme un élément contraire aux principes initiaux de la franc-maçonnerie historique, une "plaie béante, écrit-il, qui infecte toute la franc-maçonnerie mondiale". Sans doute l'auteur n'est-il pas au fait que toutes les soit-disant "révolutions" dans le monde ont été financées par la banque internationaliste liée à la franc-maçonnerie, et que la connexion des milieux d'affaires avec la franc-maçonnerie est une donnée historique notoire ?

 

Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes. Bossuet

 

---------------------------------------------------------------

Franc-maçonnerie française : une crise ravageuse spécifique ?

 

Il est rare que les obédiences franc-maçonniques fassent parler d'elles en tant que telles, mais cette année 2011 qui se termine, aura été pour les franc-maçons français une année horrible.

Souvent décriées et critiquées pour des dérives liées à l'affairisme, à des scandales politico-financiers, parfois accusées de pratiquer des immixtions obscures, mais illicites dans les institutions de la République (police, justice notamment), la franc-maçonnerie française a été présentée souvent, à tort ou à raison, comme source de bien des maux et dossiers ténébreux au sein de la République depuis des décennies, ce qui n'est pas le cas dans d'autres pays.

De là, il est intéressant de se pencher sur cette « spécificité française » par qui une immense crise s'abat sur la franc-maçonnerie mondiale, en lui portant un tort considérable appelé à croître.

 

D'une crise apparente de gouvernance à la crise publique ouverte : la question de la nature et de la place de la franc-maçonnerie dans la société française

La crise de la GLNF (Grande Loge Nationale de France), en 2009, a démarré bien simplement. Son point de départ est le refus de certains membres de cette association de loi 1901 des dérives, dénoncées avec force en tout cas par les opposants au Grand Maître François Stifani, un proche de Nicolas Sarkozy.

Le Grand Maître en question est accusé d'avoir voulu inféoder la GLNF aux ambitions personnelles et politiques du Président de la République et de son parti, l'UMP, entre autres dérives d'autres natures en instance d'être soumises à la Justice par les rebelles en nombre croissant.

Ce lien permet de constater que cette accusation première n'est pas dénuée de tout fondement, si on lit ici les courriers échangés entre le locataire de l'Elysée et François Stifani :

http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2010/11/30/le-soutien-resolu-de-francois-stifani-grand-maitre-de-la-glnf-a-nicolas-sarkozy/

Cette crise s'est donc aiguisée à un point tel qu'elle est aujourd'hui en voie de toucher toutes les obédiences françaises. Elle tend aussi à remettre en cause certaines pratiques anciennes de ces obédiences, pratiques qui sont en effet de plus en plus évidemment contradictoires avec leurs buts associatifs déclarés à la République.

Cette crise soulève et illumine certains faits troublants.

Ainsi, certains dossiers judiciaires concernant la GLNF comme telle mettent un curieux temps très long à être jugés ou les jugements sont curieusement reportés sans cesse dans le temps, ce que notent aussi les médias surpris :

http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2011/09/08/glnf-et-scandale-judiciaire-la-cour-dappel-de-paris-renvoi-sa-decision-en-novembre/

Pendant ce temps, d'autres actes de la Justice dans ces affaires de la GLNF soulèvent des conflits rares dans certains milieux professionnels français :

http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2011/10/10/glnf-la-replique-cinglante-de-claude-seiler-au-soutien-de-patrice-kurz-a-me-monique-legrand/

http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2011/12/19/glnf-seiler-demande-au-garde-des-sceaux-des-poursuites-disciplinaires-contre-me-legrand/

Cette crise de la GLNF aura aussi appris au grand public que d'anciens dirigeants de grands services de l'Etat, notamment dans les services secrets et de police, sont ou étaient membres de cette obédience.

http://www.arnaudpelletier.com/tag/alain-juillet/

Ce même Alain Juillet est durant des années membre de la GLNF avant de devenir un opposant à François Stifani :

http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2011/11/09/alain-juillet-la-glnf-de-francois-stifani-devient-un-systeme-dictatorial/

Pierre Marion, haut gradé du renseignements, décédé, ancien membre de la GLNF, a aussi laissé un livre-témoignage intéressant sur la GLNF :

http://www.amazon.fr/Mes-bien-aim%C3%A9s-fr%C3%A8res-Histoire-Franc-Ma%C3%A7onnerie/dp/208068020X

La crise de ma GLNF aura aussi levé le voile pudique sur des connexions « franco-africaines » qui passaient, au moins en apparence, par la GLNF :

http://le-myosotis-rouvray.over-blog.com/article-glnf-et-afrique-les-bonnes-feuilles-de-pierre-pean-84785851.html

Sans oublier le franc-maçon Ali Bongo dont le sens de la démocratie et de la probité, comme son éloignement des valeurs matérielles, sont sujets à de fortes contestations dans le monde entier :

http://blogs.mediapart.fr/blog/paul-okili-boyer/010611/gabon-ali-devenu-grand-maitre-de-la-glng?onglet=

Sur ce lien, la GLNF est décrite de l'intérieur par un de ses anciens membres, Christophe Bourseiller, qui en serait sorti écœuré à l'extrême :

http://humanisme.canalblog.com/archives/2010/04/22/17656708.html

 

Si on reprend pour se donner une image générale tout ce qui ressort des informations fournies par ces liens, la GLNF apparaît comme une association qui jouxterait les services secrets français, compterait des gens pas très fréquentables, s'occuperait beaucoup des liens des milieux d'affaires avec les dirigeants des dictatures africaines, toutes choses qui peuvent ne pas être prévues par les statuts de l'association à visée spirituelle de loi 1901.

Quand on lit tout ce qui est écrit sur la GLNF, on peut ensuite se demander si les objectifs de cette association sont bien d'ordre spirituel comme elle le prétend, ou bien, plus matériels, sonnants et trébuchants.....

Face à ces faits qui sont connus, car relevant du domaine public, il est autorisé de s'interroger sur le silence OFFICIEL des autres obédiences maçonniques françaises (GODF, DGLDF, DH, GLADU, GLFF) qui semblent avoir ici perdu la voix.

Toutes ces dérives énoncées dans tous les médias n'ont pas, à ce jour, soulevé une once d'indignation OFFICIELLE exprimée par les dirigeants de ces obédiences.

Par contre, force est de reconnaître que des franc-maçons, à titre personnel, tels Alain Bauer et quelques-uns de ses proches du GODF, ont élevé la voix pour exiger que ce scandale de la GLNF se termine avec des sanctions appropriées car il menace, selon eux, la franc-maçonnerie toute entière :

http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2011/11/29/bauer-dachez-barat-a-la-glua-vous-devez-faire-cesser-le-scandale-glnf/

Mais, de la direction du GODF comme telle (Alain Bauer est membre de cette obédience), on entend sur ces dérives largement dénoncées au sein de la GLNF qu'un silence assourdissant ! Comme si ce grand déballage aux odeurs nauséabondes ne touchait pas toute la franc-maçonnerie française.....

 

De la crise française à la crise internationale ou la GLNF, matrice du plus grand scandale de l'histoire de la franc-maçonnerie ?

La lettre citée plus haut a donc libéré quelque peu la parole publiques de certains franc-maçons en France, mais sans générer une prise de position ou des actions claires de la part des dirigeants des autres Grandes Loges françaises.

Cependant, la crise de la GLNF est devenue une plaie béante qui infecte toute la franc-maçonnerie mondiale. Et ce n'est pas nous qui le disons, mais des organisations maçonnes célèbres comme nous allons le constater.

Le premier événement qui a démontré cet état de fait, encore nié par certains hauts responsables maçons, fut cette double et spectaculaire manifestation lors d'une Assemblée des cadres de la GLNF (Grande Tenue en langage maçonnique) à Levallois le 3 décembre 2011, où les opposants manifestaient par centaines à l'extérieur du lieu de la réunion tandis qu'à l'intérieur, d'autres s'exprimaient tout aussi nettement à haute voix très audible :

Ce lien pour l'extérieur :

http://www.leparisien.fr/levallois-perret-92300/levallois-manifestation-inedite-des-francs-macons-de-la-glnf-03-12-2011-1751213.php

Ce lien vers un vidéo pour l'intérieur :

http://www.youtube.com/watch?v=eTX1PZ5C3Vs

Alors que les Grandes Loges françaises se taisent, tel n'est pas le cas des Grandes Loges étrangères qui ont commencé à « lâcher » la direction actuelle de la GLNF :

http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2011/12/20/la-glnf-bannie-par-lallemagne-lautriche-la-belgique-le-luxembourg-et-la-suisse/

Le texte de la lettre commune de ces Grandes Loges nationales étrangères est clair et précis.

Le contenu du message de non-reconnaissance mutuelle tranche avec le silence lourd, pesant et peu courageux, des Grandes Loges françaises, dont un des arguments avancés pour justifier leur position tout aussi commune est, pour résumer, « nous n'avons pas à nous mêler des affaires internes de la GLNF » !!!

Comme s'ils ne voyaient pas que les dérives dénoncées sont aussi des virus existant en leur sein. Tant d'aveuglement ou d'inconscience souligne que la situation va continuer à dégénérer, tant à la GLNF que dans les autres obédiences, surtout les plus importantes et influentes.

 

Conclusion en forme de quelques enseignements

Ainsi, les « méfaits de la mondialisation » se font aussi sentir dans les obédiences maçonniques françaises du fait des confusions évidentes, publiques et connues de tous, de rôles et des croisements peu spirituels d'intérêts particuliers très matériels.

Il est plus que probable que la prochaine obédience à souffrir des mêmes maux, produits par des causes similaires, soit le GODF dont, aussi, dans le passé et jusqu'au présent récent, des membres ont été impliqués dans des « affaires » de corruption (contrats de ventes d'armes à plusieurs pays, dont les fameux Bravo et Tango), de proxénétisme (affaire du Carlton), etc.....

Or, la mondialisation peut aussi se concevoir comme une concurrence acharnée pour la conquête de marchés, nouveaux ou déjà existants.

En clair, les intérêts des sociétés engagés dans le marché mondial sont totalement antagoniques et les moyens de gagner des parts de marchés ne sont pas toujours légaux, voire pacifiques, comme les événements récents en Afrique le démontrent.

Si et quand des structures associatives, officiellement dédiées à des activités spirituelles, jouent un rôle actif dans les affaires commerciales mondiales, il ne faudrait pas ensuite s'étonner que les pires contradictions, et les plus destructrices, s'y accumulent.

Comme le notait finement un observateur étranger que nous avons interrogé :

« En France, le rôle de la franc-maçonnerie, depuis le début de la première guerre mondiale, a évolué d'une intervention politique générale extérieure à partir de principes éthiques identifiés vers une activité toujours plus grande d'implications directes dans les affaires publiques, privées et aux confins des deux univers. L'éthique spirituelle a été remplacée progressivement par l'affairisme et ses déboires inévitables.

Plus ces dérives ont infecté le corps de la franc-maçonnerie française, plus elles ont coupé ses membres actuels, qu'ils en aient conscience ou non, de leurs racines spirituelles historiques.

L'affairisme, tolérée au début comme une maladie que certains croyaient pouvoir contrôler, est devenu un mal général qui a ALTERE la nature même de la franc-maçonnerie française, laquelle se mêle maintenant ouvertement de la politique du pays au plus haut niveau de l'Etat comme le souligne la correspondance publiée entre François Stifani et l'Elysée.

Ce que la crise de la GLNF manifeste publiquement, avec sa violence, ses haines, ses procès, ses déchirements, n'est que le prologue d'une crise plus profonde et globale de la franc-maçonnerie française, infectée par des maux anciens que ses dirigeants se refusent à regarder en face avec courage et lucidité.

Spiritualité et affairisme sont incompatibles : le second finit toujours par détruire la première ».

Un autre interlocuteur, spécialiste des « affaires » au plan international, note pour cet article :

« Les réseaux franc-maçons- ou se déclarant tels- affairistes français ne peuvent intervenir dorénavant que dans un contexte global de déclin de la France en poids économique, militaire et politique. De plus, ces réseaux constitués vivent sur le lien tissé par la francophonie comme élément commun structurant. Aujourd'hui, la tendance, pour la France, est à la perte de marchés en Afrique, tout en perdant lentement pied en Asie et en Amérique du Sud.

Cette situation exacerbe les tensions internes et externes. De fait, l'affairisme se trouve de plus en plus réduit à la France et à ses marchés, notamment publics. Cette situation générera de nouveaux conflits entre réseaux au service d'intérêts opposés, donc de nouvelles explosions de scandales dans les obédiences qui abritent, de gré ou de force, ses réseaux en perte de vitesse .

Sans compter que, tant en Afrique qu'en Russie, Amérique du Sud ou Asie, ces réseaux se mettent souvent en conflit avec des réseaux locaux nationaux, y compris de nature mafieuse et/ou étatique, aux moyens radicaux d'élimination de la concurrence. Les dossiers des sous-marins vendus au Pakistan, du contrat Tango avec Taïwan ou de matériel militaire fourni à l'Indonésie pourraient illustrer ces processus nouveaux de suppression des anciens réseaux, souvent camouflés, pour son plus grand malheur, sous le nom de la franc-maçonnerie française ».

 

Source: http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/franc-maconnerie-francaise-une-107030

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 23:58

La realpolitik c’est d’abord le rejet de cette politique des « Droits de l’Homme » qui au prétexte de libérer les peuples d’eux-mêmes, n’a cessé de les assassiner et de les livrer à des forces étrangères. La realpolitik c’est ensuite la première protection de l’idée de liberté, valeur essentielle de la civilisation européenne, qui, associée à l’exercice de la raison, est sans conteste le premier facteur du succès historique de l’Occident.

Les « Droits de l’Homme » sont en train de détruire ce que la liberté et la raison ont construit durant des siècles en Occident. Ils détruisent la puissance des Européens, annihilent leur capacité à établir le diagnostic lucide de leur véritable situation (soumission au mondialisme américain et invasion migratoire), et attisent le ressentiment des vieux peuples qui reviennent dans l’Histoire (Russes, Chinois, Indiens, Iraniens, Turcs…).

Je ne suis pas en train de contester la loi votée sur le génocide arménien au motif d’intérêts purement économiques qui seraient menacés et en m’asseyant sur mes principes. Je conteste cette mauvaise idée, parce qu’elle est, une fois de plus, le produit de l’aveuglement provoqué par la fiction des « Droits de l’Homme ».

Et plus cette fiction s’impose dans notre pays, au détriment de la realpolitik, plus la liberté recule.

 Cela fait des années que la liberté d’investigation dans le champ de l’Histoire est fragilisée en France, qu’une politique de Terreur mémorielle règne sur notre pays, et que le débat est écarté au profit de la loi, surtout quand les vérités dominantes commencent à être menacées par des arguments « trop convaincants ».

Il n’est plus permis d’affirmer librement les conclusions de travaux scientifiques portant sur certaines périodes de l’Histoire (Deuxième Guerre mondiale et époque coloniale surtout) ; il n’est plus possible d’énoncer des faits et des chiffres qui établiraient un lien entre immigration et criminalité. Et, à la différence du monde-anglo-saxon, il n’est plus possible de travailler sur les différences génétiques et biologiques entre groupes ethniques et raciaux.

Ce n’est plus la science (sciences humaines et sciences exactes), ou du moins la résultante de ses libres débats, qui, chez nous, tend à énoncer la vérité, ce sont des dogmes idéologiques. Et quand ces dogmes faiblissent face à l’exercice de la raison, des lois viennent immédiatement à leur renfort pour empêcher la raison de progresser. Il existe un exemple consternant de cet effacement de la vérité scientifique, au profit de l’idéologie, un exemple qui normalement devrait réveiller les Français, ceci tout simplement parce qu’il frappe directement leurs enfants : la théorie du genre (la gender theory) qui postule que la différenciation sexuelle est le produit d’une détermination sociologique et non d’une détermination biologique, et qui est imposée à nos écoliers contre la vérité scientifique, et pas seulement contre les morales juive, chrétienne et musulmane, ou les sagesses asiatiques. Certes, les manuels d’histoire souffrent depuis bien longtemps d’une vision déformée de l’Histoire. Des médiévistes comme Régine Pernoud ou Jacques Heers se sont battus, à juste titre, contre l’image noire que l’enseignement républicain a donnée du Moyen-âge, un Moyen-âge version « Nom de la Rose », ramené aux dents pourries et à la peste, caricaturé à l’extrême pour mieux souligner la césure de la Renaissance, et surtout un Moyen-âge privé de sa dimension fondamentale : « l’enchantement » et la spiritualité. Ce qu’il y a d’essentiel dans le Moyen-âge – la puissance de la foi et l’enchantement du réel- est complètement passé à côté de nos écoliers. Comme la philosophie médiévale d’ailleurs, puisque notre enseignement de la philosophie saute allègrement de Platon à Helvétius.

Au-delà du seul Moyen-âge, et pour renforcer sa légitimité, la République n’a cessé d’inculquer à ses petits écoliers une vision manichéenne de l’Ancien Régime. Cette vision grossière et contraire à la vérité s’est étendue ensuite à l’époque coloniale, durant les trois dernières décennies, avant d’englober toute l’histoire de la civilisation européenne. Dans les derniers manuels d’histoire, ce qui a été grand est dominateur (Louis XIV, Napoléon) y est volontairement effacé au profit d’empires africains incertains. Mais ce qui est nouveau, c’est que les manuels de Sciences et vie sont maintenant également rattrapés par les dogmes de l’idéologie dominante. Le fait d’être un homme ou une femme est désormais aussi une construction sociologique, et par voie conséquence il devient légitime de pouvoir changer de sexe et de sexualité. Pour donner une légitimité au résultat de la démonstration, on a tordu les prémisses. Le contraire même de la démarche scientifique. Le sexe n’est plus un fait naturel qui s’impose à nous dès notre naissance. Il y a eu d’abord la négation des races, puis celle des nations ; il y a maintenant la négation des sexes. Et la loi est désormais chargée de nous faire entrer dans le crâne cette nouvelle religion mondialiste et ses dogmes si le conformisme n’y parvient naturellement.

La nouvelle religion a sa nouvelle histoire, laquelle est ponctuée de catastrophes incontournables, l’Holocauste des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale, dans une moindre mesure celui des Arméniens, puis le « petit Holocauste » du 11 septembre. Certains holocaustes, mais pas tous quand même ! On n’imagine guère en effet nos députés votant une loi pénalisant la négation du génocide des Indiens d’Amérique lequel est au fondement pourtant de la création des… États-Unis d’Amérique, ou une loi visant à pénaliser la négation de la dispersion palestinienne en 1948 et 67. Il faut dire qu’il y a peu d’Indiens qui voteront à la prochaine élection présidentielle française. Peu de Palestiniens non plus, même s’il y a pourtant beaucoup d’Arabes. Le jour où la proportion de Français rendue à l’évidence deviendra trop importante, on peut s’attendre aussi à une loi pénalisant la contestation de la version officielle du 11 septembre.

Aujourd’hui en France, un universitaire est emprisonné (après avoir été détruit socialement) non parce qu’il a attaqué une banque, mais parce qu’il a osé contester des vérités historiques établies. À l’inverse, ceux qui martyrisent de façon quotidienne les Français (Français de souche ou nouveaux Français qui ont fait l’effort de le devenir), ceux qui les volent, les insultent, bousculent leurs Anciens, giflent leurs ados maigrichons et terrorisent leurs filles, ceux-là n’intéressent pas la représentation nationale. Non, pour nos députés, ce qui est essentiel, c’est de protéger la mémoire arménienne, comme ils ont cru protéger hier la mémoire juive. Manifestement, ils pensent avoir été élus pour ployer le genoux devant les minorités, plutôt que de s’occuper d’une masse de braves Français qui, inexplicablement, renouvelle leur mandat depuis plus trois décennies.

Je reviens à cette mauvaise idée de loi sur le génocide arménien.

  1. Ce débat doit rester celui des historiens. Les Parlementaires, dont l’immense majorité est ignare et n’a jamais lu un seul livre sur le sujet, n’ont pas à s’en mêler. Ils n’ont pas plus à légiférer sur la question arménienne, qu’ils n’avaient hier à légiférer sur les drames concentrationnaires de la Deuxième Guerre mondiale.
  2. Cette question appartient aux Arméniens et aux Turcs. Elle regarde la Turquie et non la France. Il ne faut pas venir se plaindre si les Turcs rétorquent en se penchant sur notre passé colonial. C’était tellement prévisible. Parler de l’Algérie pour les Turcs c’est à la fois semer la discorde chez nous, mais c’est aussi rehausser un peu plus le prestige de la Turquie dans le Maghreb.
  3. Puisqu’ils se déchaînent maintenant sur notre Histoire, j’avoue que les Turcs m’amuseraient davantage s’ils s’occupaient de légiférer sur la contestation du génocide des Vendéens. S’ils ne les connaissent pas encore, qu’ils se précipitent sur les ouvrages de l’historien français Reynald Secher, spécialiste des guerres de Vendée. Ils y trouveront les textes de la Convention qui donnèrent l’ordre explicite d’éradiquer une population toute entière, hommes, femmes et enfants, parce qu’elle était, « ethniquement contre-révolutionnaire ». Ils y découvriront des massacres de grande ampleur qui ne furent pas le résultat de débordements de la part des exécutants, mais bien d’une politique criminelle planifiée au plus haut niveau, utilisant des méthodes préindustrielles (noyades de Carrier à Nantes) et la Terreur (tannage des peaux humaines, cannibalisme, nourrissons cuits dans des fours à pain) comme stratégie militaire.

J’imagine même combien il serait intéressant pour une élite turco-musulmane anti-kémaliste de découvrir combien leurs adversaires « jacobins » kémalistes doivent à cette Révolution française, qui fut aussi la matrice des grands totalitarismes du XXe siècle (bolchévisme et nazisme) et des grandes idéologies modernistes du monde musulman auxquels s’opposent islamistes turcs et Frères musulmans arabes !

Si nos gouvernants ont décidé de nous faire détester par des pays émergents qui comptent de plus en plus, comme le Mexique (avec l’affaire Cassez) ou la Turquie, qu’ils nous le disent clairement. De ce point de vue, les résultats engrangés durant l’année 2011 sont exceptionnels !

Le Maroc a interdit ce 24 décembre un numéro de L’Express figurant Mahomet. Début de scandale dans notre presse bienpensante. Et alors ? Nouvelle leçon de Droits de l’Homme à attendre ? Il ne suffit pas de la Tunisie, du Mexique, de la Turquie, il nous faut maintenant nous fâcher avec le Maroc ? Nous ne sommes pas en train de parler d’un titre de presse français sur le territoire français mais d’un titre français sur le territoire marocain. Les Marocains n’ont-ils pas le droit de faire ce qu’ils veulent chez eux ? Ils seraient donc obligés de distribuer L’Express ? Ils n’auraient pas le droit d’estimer que ce numéro peut constituer un trouble à l’ordre public ? Le PJD (parti islamiste) n’est-il pas encore assez fort (il gouverne) à nos yeux qu’il faudrait lui donner encore un coup de main ? Il y a un très bon historien du Maroc (je ne peux que recommander son excellente et tout récente Histoire du Maroc), Bernard Lugan qui ne doit pas en revenir en ce moment ! Il y a quelques jours, l’émission qu’il enregistrait pour I-Télévision avec Robert Ménard, afin de présenter un décapant essai « Décolonisez l’Afrique ! » (paru aux éditions Ellipses début décembre) a été purement et simplement censurée, c’est-à-dire enregistrée mais jamais diffusée. Nos amis marocains devraient poser la question à la France : si vous interdisez de parole votre plus grand historien de l’Afrique, pourquoi alors ne pourrions-nous pas (de temps en temps mais c’est tellement rare !) bloquer la distribution de l’un de vos titres de presse sur notre territoire ?

À la vitesse à laquelle la France multiplie les querelles, il faut maintenant se poser une question. La bêtise suffit-elle à tout expliquer ? Ou bien y-a-t-il une force plus profonde qui pousse dans cette direction ?

Aymeric Chauprade

 

 

Source :  http://www.realpolitik.tv/2011/12/joyeux-noel-par-aymeric-chauprade/

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 14:17

Le communisme était-il une prolongation (parmi d’autres ?) des projets occultes et crypto-mondialistes des Illuminés de Bavière de Weishaupt, alias Spartacus ?

 

Le communisme a souvent été présenté comme une idéologie purement politique s’opposant au capitalisme occidental et étasunien tout particulièrement.

Cependant, si l’opposition au capitalisme fanatique est évidente, elle demeure insuffisante à caractériser l’ensemble du spectre couvert par le communisme, une idéologie largement anti-religieuse qui s’est illustrée en Russie par des désastres historiques, au point de disparaitre – ou presque – de nos jours.

Certains analystes avancent alors d’autres origines au communisme, et tout particulièrement des sources occultistes et ésotériques, des connexions entre le monde de l'occulte, les Rothschild et le système totalitaire soviétique.

 

 

Source: http://911nwo.info/2011/12/29/communisme-et-occulisme-des-liens-possibles/

--------------------------------------

- Les racines occultistes du socialisme

- Illuminés de Bavière : l'illuminisme au XVIIIe siècle

- L'action occulte des Illuminati aux Etats-Unis et en Urss au XIXe et XXe siècles

- 17 juillet 1918 : l'assassinat de Nicolas II et de la famille impériale russe

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 14:16

Le Patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies a adressé son message traditionnel de vœux aux chefs des Eglises chrétiennes célébrant Noël le 25 décembre, notamment au pape Benoit XVI et au catholicos de tous les Arméniens Gargéuine II. 

"La naissance du Sauveur insuffle dans les cœurs un ferme espoir dans la victoire ultime de la bonté et de la lumière sur les forces du mal et des ténèbres", lit-on dans son message.

"Je vous félicite à l'occasion de la fête de la nativité de notre Seigneur Jésus Christ. Je souhaite à vous et à vos ouailles la joie, la prospérité et la paix", a poursuivi le Patriarche Cyrille.

Noël est célébré en Russie le 7 janvier selon le calendrier julien toujours en vigueur dans l'Eglise orthodoxe russe. Cette différence d'avec l'Eglise catholique remonte à 1582, quand le pape Grégoire XIII a institué le calendrier grégorien plus synchronisé avec le Soleil que le calendrier julien établi par Jules César en 46 avant J.-C.

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 14:14
Partager cet article
Repost0
28 décembre 2011 3 28 /12 /décembre /2011 21:00

A tous les catholiques tentés de voter pour ce valet des "Lumières" :

http://www.godf.org/uploads/actualite/discours_275_minint.pdf , page 4, 1er paragraphe :

 

"La franc-maçonnerie a joué un rôle décisif dans l’affirmation du caractère laïc de la République. Chacun sait que les motifs d’un tel enthousiasme étaient complexes et non dénués d’intentions politiques. Historiquement, la laïcité c’est d’abord un combat pour la consolidation de la République contre la religion catholique supposée monarchiste."

 

Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur, de la Sécurité Intérieure et des Libertés locales, mardi 24 juin 2003.

-----------------------------------------

Merci à Jerome

 

Partager cet article
Repost0
28 décembre 2011 3 28 /12 /décembre /2011 18:38
Partager cet article
Repost0
28 décembre 2011 3 28 /12 /décembre /2011 10:32

Complot contre Poutine

 

Une étape cruciale de la stratégie américaine

 

Il faut faire sauter le verrou russe. C’est devenu l’obsession de Washington. La Russie et son retour en puissance constituent, désormais, l’obstacle principal à la réussite de la stratégie américaine de contrôle du monde, par ses ressources énergétiques. Car les Américains, tout en étant conscients de leur affaiblissement, restent, cependant, toujours persuadés qu’ils ont une mission messianique de domination du monde. Pour son bien.

Mais, l’échec, au regard des objectifs visés, des interventions militaires en Irak, puis en Afghanistan, a engendré une nouvelle stratégie plus subtile et plus efficace. Il s'agit d’une subversion des régimes considérés comme hostiles. Cela ne concerne évidemment que les régimes autoritaires, et non totalitaires comme nous l’avons déjà analysé à l'occasion de la succession coréenne.

Ce sera les « l’insurrection démocratique », comme en Libye ou en Syrie. Il s'agit là de mouvements ethniques ou religieux, mettant en cause le pouvoir établi et demandant la démocratie pour établir leur propre domination. Les rebellions se transforment, rapidement, en guerres civiles que l’on appuie militairement, directement comme en Libye, indirectement comme en Syrie.

En Russie est appliquée la « déstabilisation électorale », celle qui suit un vote. Le scrutin est, dès le lendemain, qualifié, par les Américains et leurs alliés internationaux ou de l’intérieur, comme « contesté et controversé ». On finance alors des opposants qui tentent de tenir la rue devant des médias acquis. Cela a déjà été réalisé en Ukraine. Cela a été tenté en Iran. C'est à l’œuvre actuellement en Russie. Ce qui étonne, chaque fois, c’est la naïveté des régimes visés par ces procédés connus et leur incapacité à empêcher leur déclenchement.

L’indispensable domination énergétique du monde pour ralentir un déclin inévitable passe par la déstabilisation de la Russie de Poutine et la mise au pouvoir, à Moscou, d’un régime normalisé. En effet, des pays arabo-musulmans à l’Asie centrale, quel est le véritable obstacle à l'impérialisme libéral et énergétique américain ? La Russie puissance. Une Russie assimilée à un homme : Poutine. Il faut donc faire sauter Poutine.

Une preuve, parmi d'autres, de l'instrumentalisation préméditée ? Une photo qui a fait le tour du monde. Un visage représente les "manifestants de la liberté" : celui d’une vielle femme ridée, une ex-communiste forcément, nostalgique de Staline et des goulags. Un drôle de visage, tout de même, pour le combat démocratique.

Elle brandit une photo de Poutine, un cliché numérisé du dirigeant vieilli, blanchi et ridé. Or la vielle n’a sans doute jamais vu un ordinateur. Et si elle en a vu un, elle est bien incapable de s’en servir. L’image numérique a donc été préparée par des officines technologiques. Cette seule photo prouve la manipulation des contestataires et confirme les accusations du Kremlin sur la main des Américains dans les manifs anti-Poutine.

Comme Washington préfère les Islamistes à Moubarak, ils semblent prêts à ramener les Soviétiques pour en finir avec Poutine. Une politique à courte vue pour les intérêts immédiats des USA, qui s’est payée au prix fort en Afghanistan, où l'Islamisme a été joué contre le soviétisme. Décidément, les dirigeants américains ne tirent leçon de rien. Parfois, les ennemis de mes ennemis peuvent être mes pires ennemis aussi.

La stratégie de la déstabilisation par le vote, possible dans les régimes autoritaires, est efficace. Mais elle peut échouer, comme en Iran. Si elle échoue en Russie, on peut faire confiance à Poutine pour en tirer les leçons et tenter, par tous les moyens, de se venger de ceux qui, de toute évidence, veulent sa peau, au moins politique.

 

 

Source: http://metamag.fr/metamag-554-Complot-contre-Poutine-Une-etape-cruciale-de-la-strategie-americaine.html via http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/complot-contre-poutine-106981

---------------------------------------------

- La tentative américaine de créer une "révolution de couleur" en Russie

Partager cet article
Repost0
27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 23:59

La France a débloqué 5 millions d'euros pour la préservation de l'ancien camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, installé par l'Allemagne nazie dans le sud de la Pologne, a annoncé mardi la direction du musée d'Auschwitz.

Cet argent sera versé pendant cinq ans, à partir de 2012, a indiqué dans une lettre adressée à Simone Veil, ancienne déportée d'Auschwitz et présidente d'honneur de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, le Premier ministre français, François Fillon, cité sur le site internet du musée.

 

Source: http://lci.tf1.fr/filnews/france/la-france-debloque-5-millions-d-euros-pour-le-camp-d-auschwitz-6896813.html

Partager cet article
Repost0
27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 08:52

 

Reportage dans le Israel Today sur le message du rabbin Kaduri à propos de la venue du Messie, durant la dernière année de sa vie sur terre transmis en Janvier 2006. Avant de nous quitter, cependant, il a apparemment laissé deux indices au sujet du Messie (Mashiach.) Tout d'abord, que le Messie apparaîtrait après la mort d'Ariel Sharon, toujours dans le coma depuis 2006, et ensuite il a révélé le nom du Messie : Yehoshua (Jésus).

 

 

- Stupeur en Israël, Jésus serait le Messie !

- La vierge apparaît à un rabbin

- A propos du rabbin Kaduri

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 14:06

"Pour ma part, je sympathise volontiers avec les 'indignés' qui, en plusieurs endroits du monde, protestent contre les méfaits du néolibéralisme qui déferle actuellement sur la planète"

Mgr André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, a souligné les méfaits du néolibéralisme, indiquant sympathiser avec "les indignés", et a plaidé pour une économie communion, dans son homélie de la nuit de Noël en la cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule à Bruxelles.

 

Le primat de Belgique a indiqué avoir une pensée particulière pour tous ceux qui se retrouvent sans toit pour les accueillir, "à l'image de Marie et de Joseph en la nuit du premier Noël".

Plus largement, l'archevêque a également évoqué les nombreuses victimes "de la redoutable crise financière que traverse l'Europe".

"Pour ma part, je sympathise volontiers avec les 'indignés' qui, en plusieurs endroits du monde, protestent contre les méfaits du néolibéralisme qui déferle actuellement sur la planète, engendrant chômage, exclusion, pauvreté matérielle et spirituelle, parce que l'économie de profit est idolâtrée au détriment des plus vulnérables. Sans oublier les crises financières causées par la recherche effrénée du rendement immédiat et dont la facture sera principalement payée par les plus faibles", a indiqué le prélat.

C'est pourquoi Mgr Léonard a plaidé pour une économie de communion, prenant l'exemple du système belge de sécurité sociale, "où les plus nantis ont l'obligation de cotiser pour les moins favorisés".

"Comme le Pape, j'estime que c'est le devoir de l'Etat de corriger les excès de l'économie de marché afin de garantir le bien commun en obligeant les plus fortunés à se montrer solidaires des plus démunis. C'est pourquoi aussi j'appelle de mes voeux une autorité politique mondiale qui, tout en respectant le principe de subsidiarité, garantirait progressivement une solidarité entre toutes les nations de la planète", a-t-il indiqué.

L'archevêque a conclu son homélie en indiquant espérer de tout coeur que cette "utopie" se réalisera un jour.

 

Source: http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/708964/mgr-leonard-souligne-les-mefaits-du-neoliberalisme-dans-son-homelie.html 

------------------------------------------

Note de Christroi. Sous prétexte de lutte contre les "méfaits du néolibéralisme", l'archevêque de Malines-Bruxelles Mgr André Léondard appelle de ses voeux à la création d'une "autorité politique mondiale". Cette tournure d'esprit tendant à se servir du chaos pour aboutir à un nouvel ordre relève du mécanisme maçonnique de l'Ordre (maçonnique) par le chaos (maçonnique lui aussi...) Ordo ab chao. Alors infiltration de l'Eglise ? Le même archevêque avait en octobre 2010 ouvert une brèche dans la remise en cause du célibat sacerdotal, et déclara en janvier 2010 qu'il préférait les orthodoxes, les protestants, les droits de l'homme, les musulmans et les francs-maçons aux intégristes "qui ont des visions étriquées sur le plan intellectuel, philosophique et théologique". 

---------------------------------------

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 13:59

concile_2Dans le prochain Courrier de Rome (n°350 – décembre 2011), l’abbé Jean-Michel Gleize, professeur d’ecclésiologie à Ecône, répond à l’article de Mgr Fernando Ocariz paru dans LOsservatore Romano du 2 décembre 2011 (lire DICI n°246 du 09/12/11). Tous deux ont participé aux entretiens doctrinaux sur Vatican II, à Rome, d’octobre 2009 à avril 2011.

Avec l’aimable autorisation du Courrier de Rome, DICI est heureux de pouvoir présenter à ses lecteurs des extraits significatifs de cette remarquable étude intitulée Une question cruciale.

(…) On pourrait sans doute se féliciter de voir enfin un théologien du Saint-Siège introduire toutes ces nuances, et opposer ainsi un déni des plus formels, quoiqu’implicite, à toutes les présentations unilatérales qui ont jusqu’ici présenté le concile Vatican II dans une optique maximaliste, comme un dogme absolument intouchable, « plus important encore que celui de Nicée ». Cependant, aussi séduisante soit-elle dans les nuances et les distinctions qu’elle apporte, une pareille analyse véhicule dans sa racine un postulat qui est loin d’être évident. L’étude de Mgr Ocariz évite ainsi de répondre à la question cruciale, qui reste encore pendante entre la Fraternité Saint-Pie X et le Saint-Siège. Plus exactement, la réponse à cette question semble si bien aller de soi aux yeux du prélat de l’Opus Dei que tout se passe comme s’il n’avait jamais été nécessaire de l’aborder. Ou comme si le débat ne devait jamais avoir lieu.

Celui-ci s’impose pourtant plus que jamais. Il est en effet loin d’être évident que le dernier Concile puisse s’imposer, en tout et pour tout, aux yeux des catholiques comme l’exercice d’un véritable magistère, réclamant leur adhésion aux différents niveaux indiqués. Si l’on se rappelle en effet la définition traditionnelle du magistère, on est bien obligé de constater que les procédés de Vatican II ne s’y conforment guère. D’autant moins que cette nouveauté intégrale du 21e concile œcuménique s’explique profondément en raison de présupposés absolument inédits. (…)

Le fait de Vatican II : des enseignements nouveaux contraires à la Tradition

 

Au moins sur quatre points, les enseignements du concile Vatican II sont évidemment en contradiction logique avec les énoncés du magistère traditionnel antérieur, de sorte qu’il est impossible de les interpréter en conformité avec les autres enseignements déjà contenus dans les documents antérieurs du magistère ecclésiastique. Vatican II a donc rompu l’unité du magistère, dans la mesure même où il a rompu l’unité de son objet.

Ces quatre points sont les suivants. La doctrine sur la liberté religieuse, telle qu’elle s’exprime dans le n° 2 de la Déclaration Dignitatis humanæ contredit les enseignements de Grégoire XVI dans Mirari vos et de Pie IX dans Quanta cura ainsi que ceux du pape Léon XIII dans Immortale Dei et ceux du pape Pie XI dans Quas primas. La doctrine sur l’Eglise, telle qu’elle s’exprime dans le n° 8 de la constitution Lumen gentium contredit les enseignements du pape Pie XII dans Mystici corporis et Humani generis. La doctrine sur l’œcuménisme, telle qu’elle s’exprime dans le n° 8 de Lumen gentium et le n° 3 du décret Unitatis redintegratio contredit les enseignements du pape Pie IX dans les propositions 16 et 17 du Syllabus, ceux de Léon XIII dans Satis cognitum, et ceux du pape Pie XI dans Mortalium animos. La doctrine sur la collégialité telle qu’elle s’exprime dans le n° 22 de la constitution Lumen gentium, y compris le n° 3 de la Nota prœvia, contredit les enseignements du concile Vatican I sur l’unicité du sujet du pouvoir suprême dans l’Eglise, dans la constitution Pastor æternus. (…)

Une nouvelle problématique

 

En conformité avec le Discours de Benoit XVI à la Curie Romaine, le 22 décembre 2005, Mgr Ocariz pose le principe d’une « interprétation unitaire », d’après lequel les textes du concile Vatican II et les documents magistériels précédents doivent s’éclairer mutuellement. L’interprétation des nouveautés enseignées par le concile Vatican II doit donc repousser, comme le dit Benoît XVI, « l’herméneutique de la discontinuité par rapport à la Tradition, tandis qu’elle doit affirmer l’herméneutique de la réforme, du renouveau dans la continuité ». Il y a là un nouveau vocabulaire qui exprime clairement une nouvelle problématique. Celle-ci inspire tout le propos de Mgr Ocariz. « Une caractéristique essentielle du magistère », écrit-il, « est sa continuité et son homogénéité dans le temps ».

Si on parle de « continuité » ou de « rupture », cela devrait s’entendre, au sens traditionnel, d’une continuité ou d’une rupture objective, c’est-à-dire par rapport à l’objet de la prédication de l’Eglise. Cela équivaudrait à parler de l’ensemble des vérités révélées telles que le magistère de l’Eglise les conserve et les expose, tout en leur donnant la même signification, et sans que la prédication présente puisse contredire la prédication passée. La rupture consisterait à porter atteinte au caractère immuable de la Tradition objective et serait alors synonyme de contradiction logique entre deux énoncés dont les significations respectives ne pourraient se vérifier simultanément.

Mais il faut se rendre à l’évidence et reconnaître que le mot « continuité » n’a pas du tout ce sens traditionnel dans le discours actuel des hommes d’Eglise. On y parle précisément de continuité à propos d’un sujet qui évolue au cours du temps. Il ne s’agit pas de la continuité d’un objet, celle du dogme ou de la doctrine, que le magistère de l’Eglise proposerait aujourd’hui, en lui donnant le même sens que jadis. Il s’agit de la continuité de l’unique sujet Eglise. Benoît XVI parle d’ailleurs exactement non de la continuité mais « du renouveau dans la continuité de l’unique sujet-Eglise, que le Seigneur nous a donné ; c’est un sujet qui grandit dans le temps et qui se développe, restant cependant toujours le même, l’unique sujet du Peuple de Dieu en marche ». A l’inverse, ajoute-t-il aussitôt, « l’herméneutique de la discontinuité risque de finir par une rupture entre Eglise préconciliaire et Eglise post-conciliaire ». Cela signifie que la rupture doit se situer au même niveau : c’est une rupture entre deux sujets, au sens où l’Eglise, l’unique sujet du Peuple de Dieu, ne serait plus la même avant et après le Concile. (…)

Le nœud du dilemme

 

Dans la logique de Vatican II et du Discours de 2005, l’objet est en tant que tel relatif au sujet. Dans la logique de Vatican I, et de tout l’enseignement traditionnel de l’Eglise, le sujet est en tant que tel relatif à l’objet. Ces deux logiques sont inconciliables.

Le magistère, à quelque époque qu’il soit, doit rester l’organe du dépôt de la foi. Il se dénature dans la mesure même où il altère ce dépôt. Il est faux que des principes divinement révélés et explicités par le magistère antérieur ne s’imposeraient plus nécessairement, sous prétexte que le sujet-Eglise les vit différemment à travers la contingence de l’histoire, ou que le Peuple de Dieu se trouve conduit à établir une relation nouvelle entre sa foi et le monde moderne. Des principes que l’on applique en matière contingente (comme ceux qui fondent toute la doctrine sociale de l’Eglise) ne sont pas contingents. Sans doute, l’immutabilité substantielle de la vérité révélée n’est pas absolue, car l’expression conceptuelle et verbale de cette vérité peut gagner en précision. Mais ce progrès n’entraîne aucune remise en cause du sens de la vérité, qui devient seulement plus explicite dans sa formulation. Les principes restent nécessaires, quelles que soient les différentes formes concrètes de leur application. Cette distinction entre principes et formes concrètes s’avère factice en ce qui concerne la doctrine sociale de l’Eglise, et c’est en vain que Benoît XVI y recourt dans son Discours de 2005 pour légitimer la déclaration Dignitatis humanæ.

Pour en revenir à Vatican II, la question fondamentale est de savoir quel est le principe premier qui doit servir de règle ultime à l’activité du magistère. Est-ce le donné objectif de la révélation divine, telle qu’il s’exprime dans sa substance définitive à travers le magistère du Christ et des apôtres, auquel le magistère ecclésiastique ne fait que succéder ? Est-ce l’expérience communautaire du Peuple de Dieu, dépositaire (et pas seulement destinataire) du don de la Vérité en tant que porteur du sens de la foi ? Dans le premier cas, le magistère ecclésiastique est l’organe de la Tradition et il dépend comme de sa règle objective du magistère divino-apostolique ; la question est alors de savoir si les enseignements objectifs du concile Vatican II sont ceux d’un magistère constant et d’une Tradition immuable. Dans le second cas, le magistère ecclésiastique est le porte-parole fédérateur de la conscience commune du Peuple de Dieu, chargé d’établir la cohésion spatio-temporelle de l’expression du sensus fidei ; Vatican II est alors pour le sujet-Eglise le moyen d’exprimer en langage conceptuel son sensus fidei, vécu et réactualisé dans le respect des contingences de l’époque moderne.

Herméneutique et réinterprétation

 

Aux yeux de Mgr Ocariz, les enseignements de Vatican II représentent des nouveautés, « au sens où ils explicitent des aspects nouveaux, non encore formulés par le magistère, mais qui, au plan doctrinal, ne contredisent pas les documents magistériels précédents ». La juste exégèse des textes du Concile présupposerait donc apparemment le principe de non-contra- diction. Apparence trompeuse, puisque la non-contradiction n’a plus du tout le même sens que jusqu’ici.

Le magistère de l’Eglise a toujours entendu ce principe dans le sens d’une absence de contradiction logique entre deux énoncés objectifs. La contradiction logique est une opposition qui a lieu entre deux propositions dont l’une affirme et l’autre nie le même prédicat du même sujet. Le principe de non-contradiction exige que si cette opposition a lieu, les deux propositions ne puissent être vraies en même temps. Ce principe est une loi de l’intelligence et il ne fait qu’exprimer l’unité de son objet. La foi se définissant comme une adhésion intellectuelle à la vérité proposée par Dieu, elle vérifie ce principe. L’unité objective de la foi correspond elle aussi à une absence de contradiction dans les énoncés dogmatiques.

L’herméneutique de Benoît XVI entend désormais ce principe dans un sens non plus objectif mais subjectif, non plus intellectualiste mais volontariste. L’absence de contradiction est synonyme de continuité, au niveau du sujet. La contradiction est synonyme de rupture, au même niveau. Le principe de continuité n’exige pas d’abord et avant tout l’unité de la vérité. Il exige d’abord et avant tout l’unité du sujet qui se développe et grandit au cours du temps. C’est l’unité du Peuple de Dieu, tel qu’il vit dans le moment présent, dans le monde de ce temps, pour reprendre l’intitulé suggestif de la constitution pastorale Gaudium et spes. Unité qui s’exprime à travers la seule parole autorisée du magistère présent, précisément en tant que présent. Mgr Ocariz le souligne : « Une interprétation authentique des textes conciliaires ne peut être faite que par le magistère même de l’Eglise. C’est pourquoi le travail théologique d’interprétation des passages qui, dans les textes conciliaires, suscitent des interrogations ou semblent présenter des difficultés, doit avant tout tenir compte du sens dans lequel les interventions successives du magistère ont entendu ces passages. » Ne nous y trompons pas : ce magistère qui doit servir de règle d’interprétation est le nouveau magistère de ce temps, tel qu’issu de Vatican II. Ce n’est pas le magistère de toujours. Comme on l’a justement fait remarquer, Vatican II doit se comprendre à la lumière de Vatican II, réinterprétant dans sa propre logique de continuité subjective et vitale tous les enseignements du magistère constant.

Le magistère de l’Eglise ne s’est jamais compromis jusqu’ici dans une telle pétition de principe. Il s’est toujours voulu fidèle à sa mission de conserver le dépôt. Sa principale justification a toujours été d’en référer aux témoignages de la Tradition objective, unanime et constante. Son expression a toujours été celle de l’unité de la vérité. (…)

Voilà pourquoi nul ne saurait se satisfaire aujourd’hui de soi-disant « espaces de liberté théologique », au sein même de la contradiction introduite par Vatican II. Le désir profond de tout catholique fidèle aux promesses de son baptême est d’adhérer en toute soumission filiale aux enseignements du magistère de toujours. La même piété exige aussi, avec une urgence grandissante, de remédier aux graves déficiences qui paralysent l’exercice de ce magistère depuis le dernier Concile. C’est dans ce but que la Fraternité Saint-Pie X souhaite encore et plus que jamais une authentique réforme, au sens où il s’agit pour l’Eglise de rester fidèle à elle-même, de demeurer ce qu’elle est dans l’unité de sa foi, et de conserver ainsi sa forme d’origine, dans la fidélité à la mission reçue du Christ. Intus reformari. (Source : Courrier de Rome – Les passages soulignés en gras sont de la rédaction – DICI n°247 du 23/12/11)

Texte intégral de l’étude de l’abbé Gleize, avec une soixantaine de notes infrapaginales, dans le Courrier de Rome n°350 (3 €) : B.P. 10156 – 78001 Versailles Cedex.

Texte intégral de l’étude de l’abbé Gleize en italien (avec l’aimable autorisation du Courrier de Rome et du site du district d’ltalie de la FSSPX)

 

Source: http://www.dici.org/documents/debat-sur-le-concile-vatican-ii-labbe-gleize-repond-a-mgr-ocariz/

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 11:20

"Les "Amis des Fraternités Notre-Dame de l'Etoile" est une association crée en 2010 par des laïcs de la paroisse de Chatillon-sur-Indre dans le Berry. Elle permet à des jeunes garçons trisomiques de vivre en fraternité au sein d'une famille d'accueil agréée pour grandir humainement et spirituellement. Temps de travail, temps de détente et temps de prière rythment les journées de la fraternité. Explications en images et en musique..." http://fr.gloria.tv/?media=231417

 

Partager cet article
Repost0
25 décembre 2011 7 25 /12 /décembre /2011 09:10

Une étude américaine met en évidence le tassement du christianisme occidentalet son expansion dans les pays du Sud. Il demeure de loin la première religion mondiale.

Le christianisme est de loin la première religion du monde. Il regroupe dans ses trois grandes confessions (catholique, orthodoxe et protestante) 2,184 milliards d'individus, soit plus d'un tiers de l'humanité, 31,7% précisément. L'islam arrive en seconde position, avec 1,619 milliard de fidèles, soit un peu moins d'un quart de la population mondiale qui est de 7 milliards. Mais l'un des intérêts majeurs de l'étude publiée cette semaine à Washington par The Pew Forum on Religion & Public Life, un centre de recherche américain, est de démontrer que, sur un siècle, la population chrétienne a certes triplé - au rythme d'ailleurs de la population mondiale -, mais elle a surtout opéré un glissement démographique vers le Sud.

S'il y a encore aujourd'hui 69% de chrétiens dans le Nord (selon le découpage particulier de cette enquête: Amérique du Nord, Europe, Australie, Japon et Nouvelle-Zélande), ils sont maintenant 23,5% dans le Sud (entendez le reste du monde). Mais en 1910 les chrétiens n'étaient que 9,2% dans cette zone Sud du monde et 86,7% dans la zone Nord.

 

 

Une dynamique qui va se confirmer au fil des décennies à venir même si la notion de christianisme, qui inclut l'orthodoxie russe et les mouvements évangéliques également en expansion en Europe, gardera toujours sa forte assise dans ce que cette étude appelle «le Nord».

Cette Europe où vivent 26% des chrétiens quand 37% résident sur le continent américain, 13% en Asie et dans le Pacifique et… 24% en Afrique subsaharienne. Mais c'est sur le continent africain que se joue une large part de la dynamique du futur, notamment vis-à-vis de l'islam (lire ci-dessous). En 1910, l'Afrique subsaharienne comptait 9% de chrétiens, ils sont huit fois plus un siècle plus tard, soit 63% de la population! Aucune autre région du monde n'a connu une telle expansion. À titre de comparaison, les chrétiens en Asie sont passés de 3 à 7% sur cette même période.

De même il est remarquable d'observer que les terres qui ont vu naître et se développer le christianisme pendant les deux premiers siècles de l'ère chrétienne, le Proche-Orient et la Turquie mais aussi l'Afrique du Nord, sont aujourd'hui les zones du monde où cette religion est la moins représentée à l'exception de certaines zones d'Asie. On compte en effet sur cet arc Est et Sud méditerranéen environ 13 millions de chrétiens, soit moins de 4% de la population. Et il est à prévoir que cette proportion diminue encore en raison de la situation politique peu favorable, le cas irakien est emblématique, et de la forte pression de l'islamisme. Il y a en revanche plus de chrétiens en Indonésie, le plus grand pays musulman du monde, que dans toute cette zone du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord…

Seulement 10% des chrétiens dans le monde vivent d'ailleurs en situation de minoritaires. Mais l'écrasante majorité, 9 sur 10, vit des situations de majoritaires dans 158 pays. Vu sous un autre angle, ce tiers chrétien de la population mondiale est majoritaire sur les deux tiers des pays et territoires du monde.

Mais cette notion de majorité chrétienne, soulignée par l'enquête, reste très théorique tant cette religion est divisée en confessions qui ne parviennent pas à s'entendre.

Les catholiques, avec 1 milliard et 100 millions de fidèles selon cette source, représentent la moitié des chrétiens du monde quand les protestants, toutes dénominations confondues forment 37% et les orthodoxes 12%. Mais le glissement progressif vers le Sud du christianisme offre des surprises étonnantes comme celle de voir par exemple le Nigeria compter aujourd'hui deux fois plus de protestants que… l'Allemagne, qui est pourtant la terre de naissance de cette confession fondée par Martin Luther.

Autre paradoxe mis en évidence dans cette passionnante enquête disponible en anglais sur le site www.pewforum.org, le fait que le Brésil compte maintenant deux fois plus de catholiques que l'Italie même si chaque année une partie des 134 millions de catholiques brésiliens, 67% de la population, rejoint les Églises évangéliques.

 

Source: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/12/23/01016-20111223ARTFIG00479-un-tiers-de-l-humanite-est-chretienne.php

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 17:38
Partager cet article
Repost0
23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 15:24

Cette année 2012 marquera le six-centième anniversaire de la naissance de Sainte Jeanne d'Arc. Rendez-vous le 6 janvier prochain. En cette fête de l'Epiphanie qui est aussi la date de naissance de Jeanne d'Arc, humble jeune fille de Domrémy au destin de Sainte, Civitas tient à célébrer avec solennité cet anniversaire.

 
20h : Rassemblement square de la Mutualité (Paris 5 - métro Maubert-Mutualité) et défilé jusqu'à la statue de Sainte Jeanne d'Arc située à l'angle du Boulevard Saint Marcel et de la rue Jeanne d'Arc (Paris 13). Dépôt de fleurs et discours. A l'issue de la cérémonie, galette des Rois et vin chaud pour les participants.

 

Source

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 09:06

L'Assemblée nationale a voté ce jeudi 22 décembre, à une large majorité, une loi sur la négation des génocides, cette loi prévoit un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende pour toute négation publique d’un génocide.

Tous les génocides ? Non, seulement les génocides reconnus par la loi française, c'est à dire la shoah et le génocide arménien.

 

La France, toujours prompte à faire la leçon à tout le monde, devrait peut-être regarder son histoire de plus prés. C'était le sens d'un papier d'Yvan Rioufol, du Figaro, daté du 21 décembre, soit la veille du vote de cette loi.

De quoi parle-t-on ? De la révolution française, dont on chante les louanges dans tous nos manuels d'histoire, à l'école, mais dont on nie une des réalités : celle du génocide vendéen. Pourquoi parler de génocide pour désigner ce qu'on appelle La guerre de Vendée ?  L'historien Reynald Secher a établi qu'il y avait bien eu une "extermination partielle ou totale d'un groupe humain de type ethnique, ou racial, ou politique, ou religieux", pour reprendre la définition du génocide. La Révolution avait tout simplement décidé,  après la guerre civile de mars à août 1793, de supprimer la Vendée et ses plus de 800.000 habitants. Et comme les nazis le firent ensuite avec les juifs, le massacre fut organisé et planifié,  n'épargnant personne, ni les femmes ni les enfants. A Nantes, par exemple, les victimes liées entre elles étaient noyées dans la Loire, et non seulement  la République n'a jamais reconnu ces crimes, mais elle a réussi à faire passer les victimes pour des coupables, les vendéens, les ventres à choux étant, pour la version officielle, des salauds anti-révolutionnaires.

 

 

On attend maintenant avec impatience l'opinion de l'Assemblée Nationale. Saura-t-elle reconnaître l'horreur de ce crime avec le même zèle, cet épisode tragique de notre histoire sera-t-il enseigné dans sa réalité à l'Ecole de la République ?

 

La loi Gayssot, certainement animée des meilleurs intentions, avait déjà induit l'idée qu'il y a une vérité d'État comme il y a une raison d'État.   Avec cette nouvelle loi qui montre un pays du doigt, en l'occurrence la Turquie, alors que nous-mêmes ne sommes pas capables de regarder l'histoire de notre pays en face, c'est une certitude, il y a une vérité d'État, décrétée pour des motifs que nous ne connaissons pas.

 

 Source: http://www.lepost.fr/article/2011/12/22/2666330_loi-sur-les-genocides-apres-la-raison-d-etat-la-verite-d-etat.html

 -------------------------------------------------------

Merci à Dominique

 

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 08:53

Le plus grand mensonge de la République française

avec Reynald Secher et Nicolas Sarkozy

http://www.youtube.com/watch?v=5pHDc5BrzrM&feature=player_embedded

 

 

Merci à Dominique

 

- La république a menti

- Le mensonge pour tous (14 juin 2013)

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 08:52

Souvenez-vous qu'ils nous ont dépossédés. 1 717 330 000 000 euros. Mille sept cent milliards d'Euros (soit 1,7 trillions d'Euros). Tel est le montant de la dette publique de la France en 2011.

 

Pour rembourser cette dette, chaque français (enfants, chomeurs, et retraités inclus) devrait verser 25.000 euros.

 

Source: http://www.electionpresidentielle2012.net/content/dette-publique

----------------------------------------------------------------------

- Crise de la dette: le bilan de 30 ans d’UMPS en France

Partager cet article
Repost0
22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 23:59

Dennis Ross, ancien conseiller sur le Moyen Orient du président Obama, a déclaré que l'administration Obama est déterminée à empêcher l'Iran de parvenir à une arme nucléaire, et envisagerait certainement une action militaire contre la dictature islamique.

Dans une interview donnée à la dixième chaîne israélienne, Ross a déclaré que les récentes déclarations publiques faites par le secrétaire a la défense Léon Panetta et le chef de l'état-major Martin Dempsey, reflètent le fait que le président et l'administration "prennent cette question avec le plus grand sérieux."

Quand on lui demande si il croit que le président Obama donnerait l'ordre d'entreprendre une action militaire contre l'Iran, Ross a répondu : "c'est un président qui s'enorgueillissait de faire ce qu'il dit, je pense donc que si il tira la conclusion que c'est nécessaire de prendre un certain type d'étape, il est prêt à prendre ces mesures."

 

Mardi 20 décembre, le chef de l'état-major Martin Dempsey a déclaré que les Etats-Unis peuvent attaquer l'Iran avec succès si nécessaire. "Je suis convaincu que les options que nous développons évoluent à un point qu'elles seront exécutables si nécessaire," a déclaré Dempsey sur CNN.

Ces commentaires de Dempsey viennent après une remarque du secrétaire à la défense Léon Panetta sur CBS, qui a déclaré que l'Iran est a moins d'un an de réaliser une arme nucléaire, mais que les Etats-Unis empêcheront cela, peu importe comment.

 

Source: http://www.juif.org/defense-israel/165070,obama-est-pret-a-agir-militairement-contre-l-iran.php

Partager cet article
Repost0
22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 23:58

Comme un mauvais film américain, la campagne « éthique et morale » d’Eva Joly offre chaque jour son lot de rebondissements. Après la condamnation de l’ex-juge pour diffamation et les ratés divers, le site de gauche Mediapart s’interroge sur la présence d’un conseiller très proche de la candidate écolo : Stéphane Pocrain, condamné pour violences conjugales mais aussi à de l’inéligibilité.

Depuis l’affaire DSK, la gauche patauge dans les ambiguïtés en matière de violences faites aux femmes.

 En choisissant comme conseiller Stéphane Pocrain, Eva Joly ne pouvait pas ignorer que ce dernier avait été condamné par la justice française pour violences conjugales… Une condamnation loin d’être anodine tant la violence faite aux femmes est une preuve de lâcheté indéniable. En tant qu’ancienne juge, Eva Joly ne peut pas ne pas connaître le profil psychologique de ces hommes qui cognent leurs femmes.

Et Stéphane Pocrain n’est pas un conseiller lambda auprès de la candidate écologiste. C’est l’homme qui souffle à l’oreille d’Eva Joly pour lui inspirer les éléments de langage qu’elle doit utiliser lors de la campagne… C’est dire son influence dans l’appareil écologiste.

Pour rappel, Stéphane Pocrain a été condamné en 2008 à deux mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Il a été reconnu coupable d’avoir frappé sa concubine, une institutrice, lui provoquant de nombreux hématomes et une incapacité de travail de sept jours. Selon la victime, Stéphane Pocrain s’était déjà montré violent à son égard et à l’égard d’autres femmes.

 

Source

Partager cet article
Repost0
22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 17:36
L'oeuvre du compositeur allemand Richard Wagner (1813-1883), "Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen", inspirée de la mythologie germanique et scandinave et particulièrement du Nibelungenlied (XIIIe siècle), un poème épique germanique du Moyen Âge, est un ensemble de quatre opéras, également appelé en France Tétralogie. Ce titre tend à être plus communément remplacé par l'appellation Ring ; il s'agit en effet d'un prologue suivi d'une trilogie (voir ci-dessous) plutôt que d'une tétralogie. 
Cette oeuvre de Richard Wagner  est une version continentale et christianisée du mythe, composé au XIIIe siècle, devenu épopée nationale allemande, qui raconte les exploits de Siegfried, simple forgeron se révélant être un noble prince détenteur du trésor des Nibelungen (dont le nom signifie "ceux de la brume" ou "ceux du monde d'en bas", nains des légendes germaniques, possédant de grandes richesses qu'ils tiraient de leurs mines en dessous des montagnes, là où ils habitaient). Prince guerrier d'une puissance supérieure et auteur de nombreux exploits, Siegfried en vint malgré lui, par le maléfice d'un filtre qui lui fit oublier sa fiancée Brunehilde à se marier avec Kriemhild, la sœur du roi burgonde Gunther. Siegfried, sous ce maléfice, en vint à aider Gunther à conquérir la main de sa fiancée Brunehilde, princesse d'Islande et valkyrieDans la mythologie, Brunehilde était douée d'une force démesurée grâce au port d'une ceinture magique qui la rendait invincible. Seul un homme qui pourrait la battre pourrait l'épouser : ce devait être Siegfried, qu'elle devait aimer jusqu'au bout. Le roi de Burgondie Gunther ne parvint à conquérir Bunehilde que par le sortilège du masque transformant le héros Siegfried en lui-même, Siegfried étant la seule personne capable de vaincre Brunehilde. 
 
Siegfried, après avoir tué le dragon Fáfnir, gardien du trésor, et s'être baigné dans son sang, devint invulnérable, sauf dans un endroit précis du dos qui n'avait pas été trempé. Sous la malédiction de l'Anneau de Fafner, anneau que Fafner vola sur le corps de Fasolt, son frère qu'il tua avant d'être transformé en dragon, Siegfried est tué tragiquement à cause de cette faiblesse, ce qui lui a valu des comparaisons avec d'autres personnages mythiques, en particulier Achille (talon d'Achille). Son assassinat par le traître Hagen, valet de Gunther, initie une longue vengeance menée par Kriemhild, repentie, et dont l'issue est le massacre des Burgondes sur les rives du Danube.
Les funérailes de Siegfried réalisés dans les rites païens, sur un navire en flamme montrent sa fiancée, la walkyrie Brunehilde s'immoler auprès de lui. Au lieu de se retirer du monde comme lui, elle décide d'accepter, dans la douleur, de changer de condition. Non plus divine mais humaine, elle assume une condition aussi basse et une dignité aussi haute que Siegfried. La mort des deux héros Siegfried et Brunehilde symbolisent la fin de l'ancien monde, le crépuscule des dieux et l'avènement d'un nouveau monde.
Le poème compte plus de 8 000 vers et met en scène plus de trente personnages. La musique est construite autour de plus de 80 leitmotive – ou "thèmes conducteurs" – musicaux différents, sans compter les dérivés ; il dure environ 14 heures, pour une interprétation fidèle aux volontés du compositeur.
Wagner, passionné de théâtre grec, a construit L'Anneau sur une structure proche de la tragédie antique. Le Ring est ainsi composé d'un prologue et de trois pièces réparties sur trois journées :
  • Prologue : Das Rheingold, l'Or du Rhin en quatre scènes séparées par des interludes orchestraux.
  • 1re journée : La Walkyrie en trois actes :
    • Acte 1 en 3 scènes
    • Acte 2 en 5 scènes
    • Acte 3 en 3 scènes
  • 2e journée : Siegfried en trois actes:
    • Acte 1 en 3 scènes
    • Acte 2 en 3 scènes
    • Acte 3 en 3 scènes
  • 3e journée : Götterdämmerung, Le Crépuscule des dieux en un prologue et trois actes (videos en ligne ci-dessous):

Il est remarquable que chacune de ces parties a une vie propre. On peut les écouter indépendamment les unes des autres. L'Or du Rhin et La Walkyrie furent d'ailleurs créées dès 1869 au Bayerische Staatsoper de Munich, sept ans avant l'intégrale, contre la volonté de Wagner.

 

Wagner a conçu le Ring pour un orchestre qui, dans son temps, était exceptionnellement grand. Les orchestres exécutent par habitude l'œuvre avec moins d'instruments que Wagner l'a souhaité, soit par insuffisance d'espace dans la fosse d'orchestre, soit pour des raisons financières, ou encore par choix artistique du directeur musical. Cependant, Wagner n'a jamais écrit d'orchestration pour un nombre inférieur d'instruments.

 

Ci-dessous :

 

* La Walkyrie, deuxième des quatre drames lyriques qui constituent Der Ring des Nibelungen(L'Anneau du Nibelung) de R. Wagner.

 

Extrait

Contient la célèbre Chevauchée des Walkyries (prélude de l'acte III, scène 1). Dans une région sauvage et montagneuse, les Walkyries chevauchent dans les airs en conduisant les corps des héros défunts au Walhalla.

 

* Siegfried, troisième des quatre drames lyriques qui constituent Der Ring des Nibelungen (L'Anneau du Nibelung) de R. Wagner.

 

Extrait 

Siegfried - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 7 Finale

 

* Götterdämmerung, Le Crépuscule des dieux, dernier des quatre drames musicaux qui constituent Der Ring des Nibelungen (L'Anneau du Nibelung) de R. Wagner. 

 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 1
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 2
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 3
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 4
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 5
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 6
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 7
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 8
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 9
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 10
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 11
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 12
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 13
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 1^ part 14
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 2^ part 1
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 2^ part 2
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 2^ part 3
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 2^ part 4
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 2^ part 5
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 2^ part 6
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 2^ part 7
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 2^ part 8
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 1
 
Contient le Voyage de Siegfried sur le Rhin, (en allemand, Siegfried Rheinfahrt) l'interlude orchestral séparant le prologue de l'Acte I du Crépuscule des dieux. C'est l'un des airs de Wagner des plus populaires. Il fut joué pour la première fois lors de la création de Götterdämmerung, troisième et dernière journée de la tétralogie, le 17 aout 1876. Sa durée varie de 4 minute et 40 secondes pour les directions musicales les plus rapides à près de 7 minutes pour les plus lentes ; la vitesse la plus communément admise varie autour de 5 minutes et 30 secondes.
 
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 2
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 3
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 4
  
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 5
 
procession funèbre de Siegfried par Knut EkvallContient la célèbre Marche funèbre de Siegfried (Siegfrieds Todesmarsch) le long interlude orchestral, d’environ sept à neuf minutes, qui sépare les scènes 2 et 3 de l’acte III du Crépuscule des dieux de R. Wagner. Le héros Siegfried, frappé traîtreusement par Hagen, vient de mourir après avoir une dernière fois évoqué les souvenirs de son passé et la figure de sa bien-aimée Brünnhilde. Les guerriers emmènent alors son corps à travers la forêt dans une procession morne et silencieuse. Des sourds coups de timbales, plusieurs fois répétés, s'élève une sombre plainte qui résonne comme un écho de la destinée humaine, désespérée et écrasante, et finalement triomphale ; centrée d'abord sur le leitmotiv du glas (Todestrauer), pour faire apparaître ensuite celui de Siegfried, avant que n'éclate le thème héroïque (Siegfrieds Heldenthema).
D'autres leitmotivs du Ring sont par ailleurs utilisés par Wagner dans cet interlude : le Destin malheureux des Wälsungen (Wälsungenweh), la Race des Wälsungen, la Compassion (Mitleid), Sieglinde, l'Amour (Liebe), le Glaive (Schwert) ou encore, vers la fin, la Malédiction de l'Anneau (Fluch).  
  
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 6
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 7
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 8
 
Richard Wagner - Götterdämmerung - Der Ring des Nibelungen - act 3^ part 9 Finale
Partager cet article
Repost0
21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 23:59

Un an plus tard, des affiches faisant la promotion de notre livre sur la Mafia juive réapparaissent, et c'est heureux. Comme d'habitude, les juifs et leurs laquais de la télévision s'en émeuvent et demandent un châtiment exemplaire pour les coupables. Et comme d’habitude, il n’y a aucun débat sur le fond.

Vous avez parfaitement le droit de dénoncer la mafia sicilienne, vous avez parfaitement le droit de dénoncer la mafia corse, vous avez parfaitement le droit de dénoncer les agissements de la mafia tchétchène ou de la mafia albanaise, mais — mettez-vous ça dans le crâne — il est strictement interdit de dénoncer toutes les saloperies de la mafia la plus puissante du monde qu’est la mafia juive.

Pourquoi ? Eh bien pour la simple et bonne raison que cette mafia juive criminelle est protégée par des hommes d’affaires juifs, des financiers juifs, des hommes politiques juifs extrêmement influents dans tous les systèmes démocratiques occidentaux, et que nos médiats sont entièrement sous la coupe de cette petite secte de fanatiques hystériques.

Comme d’habitude, on nous répond par l’insulte et l’invective : “nauséabond”, “ignoble”, “inacceptable”, “effroyable”, etc. Notez qu’avec les juifs, il n’y a jamais de débat : avec eux, à la moindre critique, dès qu'ils perçoivent le moindre doute sur la nature divine de leur entreprise, on entre immédiatement dans le registre émotionnel. C’est la “grande intolérance à la frustration” et “l’hyperémotivité” que nous retrouvons ici, et et dont nous avons parlé dans notre “Psychanalyse du judaïsme”, que nous venons de rééditer (du jour au lendemain chez vous, via le système paypal, ou par correspondance).

Notre livre de 400 pages sur “La Mafia juive” est légal et n’a jamais été condamné depuis sa sortie en juin 2008. L’affiche est donc parfaitement légale, et il ne faut pas se laisser impressionner par les gesticulations et les rodomontades du petit Johann Gurfinkiel et de ses congénères. Toutefois, faites attention à ne pas les conserver à votre domicile, car les juges et les flics, en Suisse, en France et en Belgique, sont la botte de cette communauté, et ils peuvent vous faire condamner sous n’importe quel prétexte. N’oubliez pas : c’est la mafia la plus puissante du monde ! Et c’est précisément pour cela que tout le monde ferme sa gueule ! 

 

Source: Le Blog d'Hervé Ryssen, http://herveryssen.hautetfort.com/archive/2011/12/20/affiches-antisemites-en-suisse-c-est-l-emoi-dans-la-communau.html

Partager cet article
Repost0
21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 23:58

Hervé Ryssen nous informe sur son blog de la création d'un Mouvement du 6 mai (2012) en vue de prévenir l'élection de Marine Le Pen à la présidence de la République d'un putch réalisé par les forces mondialistes dites "républicaines" criant à la "République en danger".

 

 Si Marine Le Pen arrive au deuxième tour, peut-on lire, face à un “petit bourgeois socialiste”, alors “l’insurrection des bandes manipulées, qui n’attendent qu’un prétexte pour basculer dans l’émeute politique généralisée, sera immédiate, et rejointe par la bien-pensance au nom de la “mobilisation citoyenne” et de la “défense de la République en danger.”

 

Cette insurrection générale, “allant de la racaille jusqu’à Laurence Parisot” débouchera inévitablement, selon Netchaev, sur la proclamation de l’état d’urgence par l’article 16, l’annulation de l’élection et la dissolution du FN :

 

“C’est dans cette perspective extrême que nous nous préparons à notre seul point du programme : organiser, dès la proclamation des résultats, une action non armée mais résolue en direction des centres de pouvoir afin de ne pas laisser le régime se remettre de son KO… C’est pourquoi, parce que nous prévoyons que la victoire de Marine Le Pen est possible mais qu’elle lui sera immédiatement confisquée, nous constituons le M6M : mouvement du 6 mai.”

 

“Le rendez-vous est fixé à 19 heures, place de la Concorde. De là, la manifestation pourra ainsi converger ultérieurement vers le Palais Bourbon ou le Palais de l’Elysée. A 20h00, à l’annonce du résultat par les grandes chaînes de télévision, la manifestation du M6M sera fixée sur la réalité de ses objectifs et sur l’intensité des moyens à utiliser.”

 

Évidemment, il y aura toujours des gens “sérieux” pour dire que ces propos sont ceux de jeunes “irresponsables”, qui ne comprennent sans doute rien à la politique. On connaît certains sociologues à la “pensée compliquée” qui ne vont pas manquer de se manifester. Pour eux, cette analyse est sans doute beaucoup trop simple, indigne d’un véritable intellectuel maître du logos. On peut aussi d’ores et déjà prévoir qu’en cas de troubles sérieux, le philosophe “pontifiant maximus” bien connu de la mouvance païenne appellera au calme et à la raison. Quant aux intellectuels catholiques du type Antony, Sévillia, Madiran, ils se mettront à prier au premier jet de pierre contre les forces de l’ordre.

En fait, toute cette génération qui nous a précédé est presque entièrement constituée de bourgeois. Bien sûr, il y avait Serge de Beketch, le grand Serge de Beketch, qui lui, pissait sur les lois en rigolant très fort ; mais c’était l’exception.

Et n’oubliez pas : le plus important, en politique, et de nourrir l’espoir et de galvaniser les troupes par la force de vos convictions. L’ennemi nous veut défaitistes, désaxés, démoralisés : soyons offensifs, combattifs, agressifs comme des lions, et vous verrez que bientôt, nous verrons la peur dans leurs yeux. À partir de là, la partie sera gagnée.

 

Source: Un journal gratuit, tiré à 37 000 exemplaires, paru ce 15 décembre 2011. Son titre est “Le Lys noir”. C’est l’organe de propagande des mystérieuses “Cellules anarchos royalistes”. Des anti-impérialistes, ligués contre la terreur que le patronat exerce contre la classe ouvrière (par exemple, à travers l’immigration)… hostiles au flicage généralisé, favorables à la démocratie directe et convaincus que le système ne peut être abattu que par la violence.”  http://herveryssen.hautetfort.com/archive/2011/12/18/le-lys-noir-les-cellules-anarchos-royalistes-et-le-mouvement.html

Partager cet article
Repost0