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Christ Roi

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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 21:41

Le Salon Beige

Il l'a dit ce soir :

"L'identité nationale de la France, elle a un nom, c'est la République".

Et avant 1789, notre pays n'était-il pas la France? De qui la France tient-elle son nom?

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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 20:53

Vox Galliae

Dans le courte séquence ci dessus, Bernard Antony, président de Chrétienté-Solidarité et de l'AGRIF, réplique aux propos insultants dont il a été l'objet de la part d'Alain Soral sur le Forum catholique. Il revient également sur la récente rediffusion des images de l'altercation qui l'avait opposé à Christophe Forcari, journaliste du quotidien Libération, et sur la version fallacieuse de l'affaire livrée par ce dernier sur le plateau de l'emission "Arrêts sur images".

"Karl Marx serait un lepéniste aujourd'hui. Ca rendait K. Marx sympathique somme toute, parce que la connotation lepéniste est positive. Or Marx est un affreux bonhomme, un bourgeois, oui monsieur Soral, un bourgeois. Comme Karl Marx qui engrosse sa servante et qui impose à Engels de l'épouser, pour la bonne réputation. Karl Marx le raciste qui parlait de son gendre, "sale nègre". Les propos antisémites de Karl Marx dépassent l'entendement. Donc une interprétation de l'histoire, fausse. Et donc je m'en prends à Karl Marx, il est vrai que je suis un anti-marxiste et un anti-communiste de longue date. Monsieur Soral me répond, à la manière bolchévique, 'Je suis un petit bourgeois'... Alors je me suis renseigné sur les origines de monsieur Soral, lui il est né fils de grands bourgeois, moi je suis né fils d'ouvrier dans un deux pièces. C'est une petite différence... Le fait de traiter quelqu'un de 'petit bourgeois', c'est le vocabulaire bolchévique, avec ça on a envoyé des dizaines de millions de personnes à la mort. Et la technique communiste consiste à ne pas réfuter un argument, mais à dire "un tel dit cela parce qu'il est petit bourgeois ou parce qu'il est koulak", et c'est comme cela que avec Lénine on ne tuait pas les gens pour ce qu'ils avaient fait, mais pour ce qu'ils étaient. Alors c'est dire que monsieur Soral a encore beaucoup de chemins à faire pour se décommuniser. Mais que quand il vient chez nous, il devrait avoir du respect pour ceux qui ont vu la perniciosité du communisme avant lui. ...  Et le fait d'avoir été communiste exigerait pour le moins de la repentance, de même que d'avoir été nazi. Voilà ce que j'avais à répondre à monsieur Soral. Et là il n'y a là aucune injure et je fais cela sans haine parce que la vivacité du propos n'implique pas la haine. On peut même avoir de la colère ou se battre sans haine. Et je trouve très grave parce que, finalement, dans son propos, il y a de la haine et moi je hais la haine et c'est ce qui avait de propre au communisme. Alors je souhaite à monsieur Soral, qui est venu dans notre camp, de savoir que quand même on n'est pas le camp de la haine. On est le camp du combat, mais on est le camp de l'amour."

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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 20:45

Guysen Israël news

 

 

 

Au lendemain d’une conférence de presse donnée à Paris par Nicolas Sarkozy au cours de laquelle il exprimait sa vision de la politique extérieure française, Guysen Israël News apprenait qu’un timbre israélien à l’effigie du candidat UMP avait été créé par son comité de soutien en Israël.

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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 11:15

09/03/2007 10:30

 

JERUSALEM (AFP) - Une bactérie mortelle fait des dizaines de morts et sème la peur en Israël

 

Une bactérie mortelle résistante aux antibiotiques a fait des dizaines de morts et contaminé des centaines de malades dans les hôpitaux israéliens, semant la peur dans le pays.

 

Cinq cents personnes, hospitalisés dans une dizaine d'établissements, ont été contaminées par la bactérie Klebsiella au cours des six derniers mois et 30% d'entre elles en sont mortes, a déclaré Yair Amikam, chargé de la communication au ministère israélien de la Santé.

 

Selon les spécialistes, cette bactérie provoque de graves infections pulmonaires et urinaires qui ne peuvent être traitées en raison de sa résistance à tous les antibiotiques utilisés sur le marché.

 

Les médecins ont en effet averti que si des mesures immédiates n'étaient pas prises l'épidémie pourrait se propager très rapidement.

 

La bactérie mortelle, dont l'existence a été révélée cette semaine par les médias israéliens, fait depuis la une des journaux et des sites internet dans le pays.

 

"Crainte d'épidémie bactérienne", "Propagation d'une bactérie résistante. Des dizaines de morts", ont titré les quotidiens ces derniers jours.

 

Le ministère de la Santé avait au départ décidé de ne pas donner d'informations sur l'épidémie de peur de provoquer une vague de panique dans la population.

 

"Nous risquons d'être confrontés à un problème endémique au lieu d'un problème pouvant être contenu", a déclaré le docteur Itamar Shalit, président de l'association israélienne des maladies infectieuses.

 

Il a précisé que les experts ne s'étaient aperçus qu'au bout de 8 à 10 mois qu'il s'agissait d'une nouvelle bactérie résistante aux antibiotiques.

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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 10:46

Alliance Royale

Un sondage BVA commandé par l’Alliance Royale révèle que 20% des personnes interrogées pourraient voter pour un candidat royaliste au premier tour et que 17% seraient favorables à ce que la fonction de Chef de l’État soit assumée par un Roi. Ceci confirme que le royalisme compte bien en France, au-delà de sa représentation politique actuelle !

Ce sondage est publié dans France Soir du 8 mars.

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 19:43

Gollnisch: Barre "n'est pas antisémite''

Le Figaro

Publié le 08 mars 2007 à 18h55

Le numéro deux du Front national, Bruno Gollnisch, estime que Raymond Barre, critiqué pour ses propos sur "le lobby juif", "n'est pas antisémite (...), pas davantage" que lui-même.

(Avec AFP).
 

 

Publié le 08 mars à 17h24

Propos/Barre : Buffet veut saisir la justice

La candidate PCF à la présidentielle Marie-George Buffet  dénonce les "propos ignobles" de Raymond Barre sur Maurice Papon et sur le "lobby juif", estimant que la justice doit être saisie afin que les déclarations de l'ancien premier ministre centriste soient "sanctionnées".

(Avec AFP).
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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 19:31

8 mars 2007

Le blog d'Yves Daoudal

C’est la Journée des femmes : cérémonie communautariste laïque et obligatoire. Cette année, naturellement, elle est particulièrement célébrée par celle qui a réussi à faire croire aux médias qu’elle était la seule femme à se présenter à la présidentielle, et dont l’un des axes de campagne est que les critiques qui lui sont faites sont sexistes, donc non recevables et scandaleuses.

Hier soir, à Dijon, (Ségolène Royal) elle a fait l’apologie d’Olympe de Gouges, qu’elle fera entrer au Panthéon, « ce monument si peu accueillant aux femmes qu’il porte en son fronton : Aux grands hommes la patrie reconnaissante ». Car bien entendu Bécassine ne sait pas que le mot « homme », du latin homo, désigne l’espèce humaine, comme cela se voit dès la Genèse  : Dieu créa l’homme à son image, homme et femme il le créa.

Bécassine conclut ainsi son couplet sur le combat féministe d’Olympe de Gouges : « Le tribunal lui reprocha d’avoir oublié, je le cite, les vertus qui conviennent à son sexe. On la guillotina. » La vérité historique est que Marie Gouze (tel était son vrai nom) fut guillotinée, non pas du tout pour ses thèses féministes, mais parce qu’elle était girondine et s’opposait à la Terreur.

Olympe de Gouge avait rédigé une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, où l’on pouvait lire dans le Préambule : « Les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la nation, demandent d’être constituées en assemblée nationale. »

C’est sans doute inspirée par ce (réel) sexisme que Marie-Ségolène Royal en est venue à s’exclamer : « Liberté, égalité, fraternité, aujourd’hui à Dijon j’en appelle à la sororité. »

Mais une fois de plus, Bécassine ne sait pas de quoi elle parle. Le mot sorority est aux Etats-Unis le pendant féministe de fraternity. Ici Fraternity ne veut pas dire fraternité (en anglais cela se dit plutôt brotherhood), mais désigne une prétendue « société secrète » d’étudiants (qui se désigne par des lettres grecques, cachant le véritable nom qui est « secret »). De telles associations ont été constituées par des étudiantes, et c’est l’une d’elles, ΓΦΒ (gamma-phi-bêta), qui a inventé le mot sorority pour qualifier ces fraternités exclusivement féminines.

On voit qu’on est très loin de la devise de la République.

Cela dit, l’exclamation de Marie-Ségolène est d’abord un clin d’œil au « féminisme » le plus subversif : « Liberté, égalité, sororité », c’est par exemple sous ce slogan que la dessinatrice Mad Meg (sic) range, sur son site internet, ses liens vers les Chiennes de garde, les Pénélopes, le Collectif national pour les droits des femmes (CNDF, lié à la CADAC , etc.), La Meute , Les fées du logis (revue des gouines en moufles...), Act-up...

Sans doute Marie-Ségolène a-t-elle vu « Liberté, égalité, sororité » sur le site de l’association André Léo (féministe communarde qui avait pris un nom d’homme..), site créé grâce à une subvention accordée par... la présidente du conseil régional Poitou-Charentes.

Et c’est cela que les socialistes veulent mettre à l’Elysée ?

Voir aussi l'article du Salon Beige à ce sujet.

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 19:25
Communiqué du site de campagne de Jean-Marie Le  Pen
 
Le ministre britannique de l’Intérieur, le travailliste John Reid, déclare que l’immigration illégale est « injuste », parce qu’elle « sape le droit des travailleurs britanniques, vole l’argent du contribuable en utilisant des allocations, des services publics, fournis par les contribuables britanniques pour les Britanniques ». En conséquence, il veut donc interdire « l’accès aux avantages de la Grande-Bretagne » à ceux qui entrent dans le pays illégalement.

Nous n’avons pas entendu la « blairiste » Ségolène Royal, ni aucune autre personnalité de droite ou de gauche, dénoncer ces propos, qui sont pourtant stigmatisés comme xénophobes lorsque c’est Le Pen qui les tient.

J’attire l’attention des Français sur cet accord parfait entre un ministre socialiste britannique et le candidat national à la présidentielle française.

Il tient au fait qu’il ne s’agit pas d’idéologie, mais simplement de bon sens, de défense de la patrie et du bien commun, qui sont les fondements de l’action politique, mais qui manquent tragiquement à mes concurrents.
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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 19:12

NOVOPRESS

Julien Dray, porte-parole de Ségolène Royal a, dans une récente interview au très droitier « Israël magazine », confirmé les déclarations de Raymond Barre sur le « lobby juif ». Julien Dray déclare ainsi « qu’il y a une tentation de la communauté, ces dernières années, de se transposer sur le modèle américain » et qu’il « faut sortir de la logique de lobby, et se comporter de manière républicaine. Parce que si on va vers un affrontement lobby contre lobby, le lobby juif perdra ».

Des déclarations qui risquent de déplaire à la communauté juive française, déjà largement acquise à Nicolas Sarkozy. D’après l’institut de sondage IFOP (cité par Marianne), et sur la base de deux premières vagues d’enquêtes réalisées pour le Cevipog au cours de l’année 2006, le potentiel électoral de Sarkozy, qui mesure la probabilité de vote en sa faveur, s’élève à 65 % parmi les personnes interrogées qui se déclarent comme juives contre 47 % dans la totalité de l’échantillon. Au contraire, le potentiel de Ségolène Royal est de 26 % contre 45 % dans l’échantillon général. Selon Jérôme Fourquet de l’IFOP, « l’électorat juif est l’électorat confessionnel le plus marqué à droite . » Ce qui plaît à la communauté juive, c’est d’abord le style Sarkozy, selon un dirigeant communautaire « ce n’est pas seulement un homme politique, c’est quelqu’un qui ressent les choses comme nous ». Le dirigeant de l’UMP n’a jamais caché son ascendance juive et multiplie depuis son installation à la mairie de Neuilly, les contacts avec les personnes les plus influentes de la communauté. Pour cela il s’appuie sur le président de la LICRA, Patrick Gaubert, et sur quelques personnalités populaires dans la communauté.

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 18:57

Le Forum catholique

L'abbé Chéhère, curé de la paroisse de Niafles, dans le diocèse de Laval, est décédé le 6 mars 2007.

Il avait explicitement demandé, dans son testament (confié à des paroissiens de confiance) que ses funérailles soient célébrées selon le rit TRADITIONNEL.

L'évêque de Laval a refusé.

Les funérailles seront célébrées ce jeudi après-midi, selon le nouveau rite.

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 18:51

IN MEMORIAM

Le 6 mars 1906 mourait, dans l'église de Boeschèpe en Flandre française, Géry Ghysel, tué par les balles de la République laïque à l'occasion des inventaires pour avoir défendu l'honneur de Dieu et de l'Eglise.

La tombe de Gery Ghysel est toujours visible dans le cimetière.

Vous pouvez commander "Inventaires sanglants en Flandre", l'ouvrage écrit par le jeune historien Jean Vallier à l'occasion du centenaire de cet évènement majeur dans les Flandres françaises, publié aux éditions Renaissance Catholique Publications pour la somme de 10E (+3E de frais d'envoi) en écrivant à : Renaissance Catholique, 89 rue Pierre Brossolette 92130 Issy-les-Moulineaux (Chèques à l'ordre de Renaissance Catholique Publications)

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 18:19

PARIS, 8 mars 2007 (AFP)

 

 

 

La communauté juive va célébrer dimanche le bicentenaire du Grand Sanhédrin, symbole de son intégration à la société française, alors qu'elle s'inquiète de la permanence de l'antisémitisme.

 

Le Grand Sanhédrin était une idée de Napoléon. Il avait baptisé ainsi cette assemblée en référence à l'aréopage de grands prêtres qui à Jérusalem représentait les Juifs auprès des Romains.

 

 

 

 

 

 

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 17:51

Le Salon Beige

Jean-Marie Le Pen, interrogé sur radio Notre-Dame dans l'émission Face aux chrétiens, s'est demandé pourquoi la hiérachie de l'Eglise en France a critiqué très sévèrement par le passé celui dont le programme "est le plus proche de la doctrine sociale de l'Eglise", selon ses propres mots. Toutefois, il a considéré que cette critique s'altère, la hiérarchie épiscopale étant plus ouverte à son encontre.

Dans Présent, Jean Madiran notait effectivement qu'

"Il semble avoir obtenu que cessent les déclarations épiscopales attaquant le Front national. C’est donc un mieux, mais cela n’efface pas les accusations de «racisme» qui ont été longuement portées contre une prétendue «extrême droite» : elles n’ont pas été rétractées, elles survivent donc dans la plupart des paroisses. Un sondage sur les tendances politiques (et d’ailleurs sur la religion) du clergé diocésain le trouverait sans doute beaucoup plus à gauche qu’on ne l’imagine."

Lui étant demandé pourquoi on ne trouvait plus l'abrogation de la loi Veil dans son programme, il a répliqué qu'il ne l'avait pas vu "non plus dans le mandement des évêques" (le fameux texte, Qu'as-tu fait de ton frère?"). Aussi, "je ne veux pas être plus royaliste que le roi".

On peut ajouter que l'abrogation de la loi Veil n'est pas non plus inscrite dans aucun des programmes des autres candidats, cependant que Le Pen, lui, propose un referendum à ce sujet.

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 17:43

Le Salon Beige

Le nouveau président de la conférence épiscopale italienne, Mgr Angelo Bagnasco, 64 ans, a déclaré aujourd’hui au Giornale :

"La laïcité, c’est l’autonomie de la sphère civile et politique par rapport à la sphère religieuse, mais pas par rapport à la sphère morale".

Mgr Bagnasco est diplômé en philosophie et en théologie, avec la spécialisation «métaphysique et athéisme contemporain».

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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 14:06

Via fdesouche, dans un entretien video à un site communautariste noir grioo.com, le philosophe Finkielkraut, classé "intellectuel", ne peut s'empêcher de vomir sur Le Pen en l'assimilant au raciste antinoir... Assez risible venant de la part d'un descendant spirituel des "Philosophes", racistes négrophobes du XVIIIe siècle (Voltaire, Montesquieu, Diderot, Raynal, Buffon, etc. tous grands investisseurs dans les compagnies de traite négrière). Et à la fois manifestation d'une justice immanente lorsque ce personnage, grand donneur de leçon de morale laïque et républicaine (il prend la défense des "Lumières" et de la colonisation...), vaniteux, hautain, mais qu'on devine exalté et névrotique, se fait traité de "négrophobe", quand on sait précisément que le siècle des dites "Lumières" est aussi le siècle du racisme philosophique.

Voltaire écrit ans l'Essai sur les moeurs et l'Esprit des nations (1756), que les peuplades d'Amérique "vivent sous des huttes; elles se vêtissent de peaux de bêtes dans les climats froids, et vont presque nues dans les tempérés. Les unes se nourrissent de chasse, les autres de racines qu'elles pétrissent : elles n'ont point recherché un autre genre de vie, parce qu'on ne désire point ce qu'on ne connaît pas. leur industrie n'a pu aller au-delà de leurs besoins pressants. Les Samoyèdes, les Lapons, les habitants du Nord de la Sibérie, ceux du Kamtchatka, sont encore moins avancés que les peuples de l'Amérique.  La plupart des Nègres, tous les Cafres sont plongés dans la même stupidité, et y croupiront longtemps." Voltaire, grand esclavagiste, résume ses théories d'une phrase allègre : "La race des nègres est une espèce d'hommes différente de la nôtre, comme la race des épagneuls l'est des lévriers…" "Comment se peut-il qu'Adam, s'interroge Voltaire, qui était roux et qui avait des cheveux, soit le père des nègres qui sont noirs comme de l'encre et qui ont de la laine noire sur la tête ?" (Essai sur les mœurs, 1756).

L'intendant Poivre, le philanthrope manchot qui prêche aux colons des Mascareignes de traiter les esclaves avec humanité et dont la veuve s'inscrira aux Amis des Noirs, exprime son mépris en ces termes : "Les nègres... ces hommes stupides qui s'estiment assez peu pour se vendre en détail les uns et les autres, ne pensent guère à la culture de leur terres. Contents de vivre au jour la journée sous un ciel qui donne peu de besoins, ils cultivent que ce qu'il leur faut pour ne pas mourir de faim" (Voyages d'un Philosophe).

Les maîtres des grands esprits, ceux qui ont les Lumières, n'ont pas hésité à côtoyer le Hollandais Cornelius de Pauw, lu en son temps..., un peu oublié aujourd'hui, qui dénonce dans les Sauvages, "une espèce dégénérée du genre humain, lâche, impuissante, sans force physique, sans vigueur, sans élévation dans l'esprit" (Recherches philosophiques sur les Américains, 1768).

Montesquieu est peut-être des "philosophes" des "Lumières" le plus odieux, il dit de l'Africain, condamné à l'abattement du corps et de l'esprit par le climat, qu'il est un "animal noir qui a de laine sur la tête, marchant sur deux pattes, presque aussi adroit qu'un singe, moins fort que les autres animaux de sa taille, ayant un peu plus d'idées qu'eux, et plus de facilité pour les exprimer".

Voilà qui restitue une vérité, soigneusement occultée par les maîtres propagandistes des "Lumières", comme Finkielkraut, sur les apôtres de la "tolérance"... grands esclavagistes, racistes et investisseurs notoires dans les compagnies de traite négrière.

Sources :

Pierre Pluchon, Histoire de la colonisation française, Fayard, Saint-Amand-Montrond 1996.

Edmund Burke, Réflexions sur la Révolution de France, Pluriel Histoire, Paris 2004.

Jean Sévillia, Historiquement correct, Pour en finir avec le passé unique, Perrin, Saint-Amand-Montrond 2003.

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 18:39

 

LEMONDE.FR avec AFP | 07.03.07 | 17h00  •  Mis à jour le 07.03.07 | 17h29

 

 


D
ans un communiqué diffusé mercredi 7 mars, le Conseil constitutionnel dit sa préoccupation sur la situation des maires en cette période de collecte des signatures pour l'élection présidentielle."Des maires subiraient des pressions pour remettre leur formulaire de présentation vierge à des tiers, voire pour obtenir un deuxième formulaire s'ils ont déjà adressé le leur au Conseil constitutionnel", écrit-il.

 

 

Il prévient qu'"il s'est mis en mesure de contrôler l'authenticité de la signature et du sceau" des maires et se dit prêt "à aviser le parquet" en cas de faux en écritures publiques ou usage frauduleux de sceaux. Les formulaires de parrainage doivent parvenir au Conseil constitutionnel au plus tard le 16 mars, à 18 heures.

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 13:44
"Ce qui fait la nocivité du marxisme, c'est l'esprit de lutte des classes, destructeur de toute communauté nationale. Le socialisme n'est pas lié nécessairement à l'idée de lutte des classes et c'est précisément ce qui nous permet de revendiquer bien des pages de Proudhon comme authentiquement contrerévolutionnaire" (Jacques Ploncard d'Assac, Les idées qui tuent, Société de philosophie politique, Lisbonne 1971, p. 38).

 

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 11:41

"Tout se négocie, pourquoi pas un parrainage ?"

Propos recueillis par Laurent Suply (lefigaro.fr).
 Publié le 07 mars 2007
Actualisé le 07 mars 2007 : 11h18

André Garrec est le maire divers droite de Noron-la-Poterie, une commune de 300 administrés dans le Calvados. Interrogé par lefigaro.fr, il explique pourquoi il a décidé de mettre son parrainage aux enchères.

  
Vos habitants n’ont pas été choqués par votre initiative ?
 
Non. Puisque de nos jours, tout se négocie, pourquoi pas un parrainage ? Selon le « sondage » réalisé par France Bleu auprès des habitants, ils ont même l’air d’y être plutôt favorables. De toute façon, dans une petite commune de 300 habitants, si on commence à s’engager pour un grand parti et à faire de la politique, on est foutu… Alors autant que ma signature serve toute la commune.
 
Vous êtes vous renseigné pour savoir si cette mise aux enchères est légale ?
 
Pas du tout. Si c’est illégal, il n’y aura pas de chèque, et c’est tout. De toute façon, je trouve ce système de parrainages assez absurde. Je n’y ai pas été confronté personnellement, mais je sais qu’il engendre des pressions sur les élus locaux via les conseils généraux par exemple.
 
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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 00:44
"Je suis consterné par l'évolution de l'église catholique, tant sur le plan esthétique que doctrinal.
Ma préférence va donc à la lithurgie tradi, que je connais mal."

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 00:28

"Ce que je peux vous dire c'est que cette féminisation est plus voulue par le système marchand que par les femmes elles-mêmes, et qu'elle nous mène à la catastrophe... genre Ségolène !" (Alain Soral sur le forum catholique)

"un macho est un type qui respecte sa mère, qui protège sa femme et se sent responsable de ses enfants". Pas de quoi en avoir honte !"

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 00:00

Lors de son passage au forum catholique, Alain Soral dit :

"Mon cheminement politique me conduit à douter de la démocratie telle que nous la vivons actuellement.
Mais je ne crois pas que le retour à un monde ancien ait un sens, puisqu'il est impossible.
La monarchie ne peut exister sans l'Eglise et la grande propriété foncière, sinon elle n'est que monarchie constitutionnelle et capitalisme hypocrite, à l'anglaise..."

"Je crois à une transcendance, morale au moins, c'est pourquoi l'eglise de Vatican 2 ne m'inspire pas grand chose.

"Pour votre seconde question, je crois que je suis hanté malgré moi par la question du salut, par une éducation chrétienne qui me dépasse et me joue des tours. Sans elle j'aurais rallié le camp du mal et je vivrais dans le confort..."

"Je n'entends rien aux questions de dogme. Mais j'aime l'idée de l'obéissance que commande la foi, ça nous change de l'arrogance du "moi je" qui est en train de détruire notre monde."

On ne peut nier qu'il s'agisse là d'un discours Contrerévolutionnaire. Si pour l'instant Alain Soral pense que le retour à un "monde ancien" est impossible, il peut évoluer sur ce sujet notamment si on lui explique qu'il n'est pas strictement question de ressusciter l'Ancien Régime avec ses trois ordres par exemple, mais de "reconstituer la Société sur ses bases naturelles", discours progressiste s'il en est ! Et programme du comte de Chambord en 1873, mais aussi programme de la Révolution nationale du Maréchal Pétain en 1940. Il s'agit de libérer la Société des deux chaînes d'un Matérialisme inhumain, capitaliste-libéral et socialiste, qui aujourd'hui, mondialistes et apatrides, sont directement tournés contre le peuple. Il s'agit aussi de retrouver une morale qui puisse fonder durablement notre société, comme l'a bien vu Jean Sévillia dans Moralement correct, et cette morale ne peut être que celle de l'Eglise, la morale "laïque" des hussards noirs de la République s'étant elle-même auto-terminée dans le libéralisme outrancier soixante-huitard. Aujourd'hui, les fils des soixante-huitards quand ce n'est pas eux-mêmes ont tous ralliés la bourgeoisie d'affaires capitaliste la plus dure, celle qu'ils dénonçaient hier..., la plus kitch, la plus "people"..., la plus bof.


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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 22:16

Un commentaire intéressant d'Olo sur la venue d'Alain Soral, un écrivain marxiste, sur le Forum catholique développe l'idée que j'avais déjà entrevue sur cet auteur, à savoir qu'il emploie les outils de la Révolution (par exemple la notion révolutionnaire de "progrès" qu'il situe aujourd'hui clairement dans le camp national) et les retourne contre elle, ce qui fait de lui finalement un authentique contrerévolutionnaire dans la ligne d'un Proudhon : il "renverse les dogmes du modernisme en employant les outils critiques valables qui en sont issus".

Olo : "On invite Soral, et l'on découvre benoîtement que ce n'est pas un pur tradi royaliste et tout et tout !
Vous vous attendiez à quoi ? A une conférence de carême ? A un prône sur les spirations trinitaires dans l'histoire de France?

Au fond qui est le plus marxiste entre lui et nous ; qui est le plus idéologue ?
Lui, qui a sacrifié sa carrière et sa respectabilité médiatique , et au nom du bien commun a tendu la main à des personnes ouvertement opposés à la famille de pensée ?
Ou nous, qui lui reprochons comme des petits Robespierre de n'être pas à 100 % dans la pure ligne du parti ?

Il faut considérer chez Soral non le particulier, mais l'entièreté de sa stupéfiante trajectoire ; elle est prophétique, elle manifeste les grands transferts idéologiques souterrains actuels :
Depuis la fin de la guerre froide, les équipes se reforment comme il suit : libéralisme libertaire contre socialisme réactionnaire.
On revient un peu au clivage du XIXème siècle qui voyait s'opposer bougeoisie voltairienne capitaliste et catholiques sociaux réactionnaires.
Pour ma part ça me convient. Ça fait revenir le socialisme authentique, entendu comme promotion du bien commun face aux intérêts particuliers, dans le giron de la réaction chrétienne d'où il a surgi au lendemain de la révolution.

Soral est beaucoup plus dangereux pour la pensée unique que beaucoup d'entre nous, parce qu'il renverse les dogmes du modernisme en employant les outils critiques valables qui en sont issus."
 (Fin de citation).

D'autres cas se sont produits où des écrivains classés à gauche ont développé une pensée contrerévolutionnaire. "On sait que Proudhon a été souvent revendiqué comme un des maîtres de la Pensée contrerévolutionnaire. Il peut sembler étonnant, à première vue, que le grand écrivain socialiste du XIXe siècle soit appelé à témoigner contre la Révolution et, pourtant, cela n'est étonnant qu'en apparence. Si l'on veut bien considérer que le socialisme - je ne dis pas le marxisme, qui est tout autre chose - traduit la révolte spontanée des prolétaires contre la société démo-capitaliste instaurée par les hommes de 1789, les choses deviennent plus claires... Ce qui fait la nocivité du marxisme, c'est l'esprit de lutte des classes, destructeur de toute communauté nationale. Le socialisme n'est pas lié nécessairement à l'idée de lutte des classes et c'est précisément ce qui nous permet de revendiquer bien des pages de Proudhon comme authentiquement contrerévolutionnaire... Proudhon nous rejoint, ou nous rejoignons proudhon, comme on voudra".

... Une des pages les plus curieuses de Proudhon est celle où il s'en prend à la théorie de la démocratie de J.-J. Rousseau (L'idée de la révolution au XIXe siècle, p. 126). ... Proudhon de conclure sur Rousseau en ces termes : "Jamais l'homme n'avait réuni à tel degré l'orgueil de l'esprit, la sécheresse de l'âme, la bassesse des inclinations, la dépravation des habitudes, l'ingratitude du coeur; jamais l'éloquence des passions, l'ostentation de la sensibilité, l'effronterie du paradoxe, n'excitèrent une telle fièvre d'engouement (...). Disons pour finir qu'à la honte du XVIIIe siècle et du nôtre, le Contrat social de Rousseau, chef d'oeuvre de jonglerie oratoire, a été admiré, porté aux nues, regardé comme la table des libertés publiques; que Constituante, Girondins, Jacobins, Cordeliers, le prirent tous pour oracle. Qu'il a servi de texte à la constitution de 93, déclarée absurde par ses propres auteurs, et que c'est encore de ce livre que s'inspirent aujourd'hui les plus zélés réformateurs de la science politique et sociale. Le cadavre de l'auteur que le peuple trainera à Montfaucon le jour où il aura compris le sens de ces mots, Liberté, Justice, Morale, Raison, Société, ordre, repose glorieux et vénéré sous les catacombes du Panthéon, où n'entrera jamais un de ces honnêtes travailleurs qui nourrissent de leur sang leur pauvre famille, tandis que les profonds génies qu'on expose à leur adoration, envoient dans leur rage lubrique, leurs bâtards à l'hôpital". Comment ne pas comprendre que l'Ecole Contrerévolutionnaire se réclame, aussi, du socialisme national Proudhon ?" (Jacques Ploncard d'Assac, Les idées qui tuent, Société de philosophie politique, Lisbonne 1971, p. 38-42).

Si donc Alain Soral doit rester marxiste, il ne pourra pas se dire un authentique nationaliste puisque le marxisme, par la lutte des classes, est destructeur de toute communauté nationale. Il devra donc faire un choix, marxisme ou nationalisme. Ce qui ne l'empêchera pas de reprendre des outils intellectuels du marxisme, comme l'idée gauchiste du "progrès" et des "progressistes" qu'on peut aisément retourner contre ses thuriféraires. Où nous a conduit le "progrès" de 1789 et des dites "Lumières" ?... Mais ce n'est pas faire du marxisme que de faire cela, c'est faire du catholicisme, tout simplement.

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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 21:31

Comme prévu, le lynchage est en route, le bouc-émissaire Raymond Barre deva être excommunié, condamné pour blasphème.
"Mardi également, dans une tribune publiée par Libération, Claude Lanzmann, réalisateur de "Shoah" s'est insurgé: "J'accuse M. Raymond Barre d'être un antisémite. Plus encore: je l'accuse de se faire le héraut de cette passion immonde, de la propager, de s'en glorifier, délit qui tombe sous le coup de la loi".
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) avait été le premier vendredi à se dire "scandalisé" par de tels propos, estimant que Raymond Barre avait "rejoint l'extrême droite".
La Ligue des Droits de l'Homme (LDH), Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) et La Ligue internationale contre la racisme et l'antisémitisme (Licra) ont dénoncé des "propos déshonorants".
Le Parti socialiste a jugé ses "propos indignes d'un ancien Premier ministre de la République, (...) censé rester une référence" et François Bayrou les a qualifiés de "purement et simplement inacceptables".
"Enfin, SOS Racisme a demandé au ministre de la Justice que des poursuites judiciaires soient engagées contre Raymond Barre."

A suivre.

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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 20:57

L'excellent Salon Beige se fait l'écho d'un débat intéressant autour du "communautarisme" catholique.

"Dans un entretien avec Philippe Maxence, Jacques de Guillebon fustige le "repliement communautariste" de certains chrétiens, à ne pas confondre avec les communautés chrétiennes :

"Les communautés catholiques existent déjà, jusqu’à preuve du contraire, et c’est paroisses, diocèses, Eglises locales ou particulières qu’on les nomme. Elle ont enfanté et enfantent encore des «structures d’amour» à vocation temporelle, lesquelles ne trouvent leur but véritable que dans le don de la Parole divine, et de la charité qu’elle engendre, au monde entier."

Est-ce à dire que Jacques de Guillebon condamne les écoles catholiques hors-contrat ? Les divers groupes catholiques de tous âges (scoutisme, associations familiales, groupes de couples type Domus Christiani, etc.) ? Il dénonce la volonté de "constituer une structure catholique sur le schéma de la Oumma" ou encore la "Catholic city ". En fait, on ne voit pas très bien ce qu'il entend par communautarisme chrétien." (Michel Janva)

Il n'y a pas de communautarisme catholique façon amish par exemple, mais des tentatives de sauver ce qui nous reste (nos chapelles, nos écoles, notre catéchisme, notre foi). Cela correspond si je me souviens bien au conseil de Saint JEAN à l'Eglise de Sardes, dans l'Apocalypse, concernant l'Eglise de la fin des temps : "conservez les restes". Dans cette société qui a mis Jésus-Christ hors la loi, nous devons donc nous attacher d'abord à conserver ce qui nous reste. C'est comme cela que j'entends l'"identité". Ensuite, bien évidemment, cela ne nous empêche pas à tous, selon nos moyens, et selon ce qui nous est donné, d'aller dans le monde évangéliser. Ce qui correspond à la "mission". C'est donc bien l'identité qui fonde premièrement la mission, pas l'inverse. C'est le Christ, la Pierre d'Angle de la maison à bâtir, pas l'apostolat en lui-même. Enlevez le Christ et il n'y aura plus de mission ni d'ordre social chrétien.

Il serait assez injuste de reprocher aux Tradis aujourd'hui de sombrer dans le communautarisme quand les premiers chrétiens se cachaient dans les catacombes. En fait, ce qui détermine notre juste attitude, c'est notre adaptation à un environnement hostile ou pas. La société fondée sur le peuple n'étant pas celle fondée sur le Christ, à moins de condamner ce qu'ont fait les premiers chrétiens, il est logique que nous cherchions (les imitant en cela, d'une façon certainement inconsciente mais naturelle) à développer nos réseaux d'entre-aide catholique, nos écoles, nos chapelles, à protéger et à conserver nos biens les plus inestimables. Ce que d'aucuns appelle le Tradiland. Mais ce n'est pas faire du communautarisme que de faire cela. Nous avons jamais empêcher personne de nous rejoindre. Nous ne vivons pas en système clos et "pur" de toute souillure, comme les cathares ou même comme les juifs. A nos tables peuvent s'assoir des païens, des athées, des agnostiques, des juifs comme des musulmans. Contrairement à une idée reçue, la France au temps de nos Rois, au moyen Âge et sous l'Ancien Régime était probablement, aux dires des juifs eux-mêmes, le pays le plus tolérant à leur égard comparativement aux autres nations européennes, au même moment (Bernard Lazare, L'antisémitisme, son histoire et ses causes, 1894).

Vive le Christ Roi de France.

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3 mars 2007 6 03 /03 /mars /2007 19:57

Nouvelle affaire antisémite en vue, le 1er mars, Raymond Barre, ancien Premier Ministre, était l'invité de France Culture pour présenter son livre de mémoires. Il y a tenu des propos ("le lobby juif est capable de monter des opérations indigne et je tiens à le dire publiquement") qui vont à l'encontre de la "judéomanie" (terme de l'auteur juif Jean Robin), et qui ne manqueront pas de déclencher dans les prochains jours les foudres de la nouvelle Inquisition qui n'est pas catholique celle-là. Raymond Barre a blasphémé. Il devra être soit condamné soit excommunié, voire les deux. C'est le prix de la liberté d'expression dans ce pays.

Texte intégral de l'intervention de Raymond Barre sur le blog du livre la Judéomanie. [La thèse de l'auteur de ce livre, Jean Robin, est proche de celle déjà entrevue il y a plus d'un siècle par un autre auteur juif, Bernard Lazare, dans L'Antisémitisme, son histoire et ses causes (1894), qui situent notamment les causes de l'antisémitisme, dès l'antiquité, dans l'exclusivisme juif, l'orgueil, la séparation du reste de la société, les privilèges, phénomène qu'aujourd'hui Jean Robin découvre sous la "discrimination positive" dont la communauté juive est l'objet en France et qui, selon l'auteur, créé une distinction entre les citoyens français, nuit aux Juifs et est un facteur d'antisémitisme.]

Enregistrement audio de l'émission de France culture.

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