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30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 21:52

Après avoir présenté la source révolutionnaire maçonnique de l'école républicaine, les JRE présentent l'origine fasciste de l'"éducation nationale" socialiste d'un Vincent Peillon.


  Mussolini2 (1)

 

L’introduction de la théorie du genre dans les écoles publiques ou privées sous contrat à l’insu des parents révèle d’une manière éclatante que c’est l’appellation « Éducation Nationale » qui cautionne un tel abus d’autorité. Rappelons que Laurence Rossignol a déclaré à la télévision, sans rencontrer le moindre obstacle, que les enfants n’appartiennent pas à leurs parents. Loin d’avoir déclenché l’indignation, l’élue socialiste est même aujourd’hui promue au poste de secrétaire d’État chargée de la Famille et des Personnes âgées dans le gouvernement de Manuel Valls.

 

Des propos qui font écho à ceux de Vincent Peillon et Christiane Taubira qui affirment au nom du gouvernement qu’il faut « arracher les enfants à tous les déterminismes, familial, ethnique, religieux, social, intellectuel ».

 

Toutes ces déclarations sont contraires aux principes d’une civilisation saine où aucune structure étatique n’est habilitée à s’immiscer dans la relation parents-enfants. Pire, ils dénotent une adéquation complète avec les fondements des idéologies totalitaires.

 

Le IIIème Reich, par exemple, a interdit en son temps l’instruction en famille. En Allemagne aujourd’hui, cette interdiction a encore force de loi : des enfants sont arrachés à leurs parents au motif qu’ils font l’école à la maison.

La République cache-t-elle le même dessein pour la France ?

« La transformation de l’Instruction Publique en Éducation Nationale est la plus fasciste de mes réformes »

 

Benito Mussolini

 

En France, passer, en 1932, du Ministère de l’Instruction Publique au Ministère de l’Éducation Nationale n’a pas été qu’un simple changement de mot. Il s’est agi d’élargir dangereusement les prérogatives de l’État. Au point qu’aujourd’hui ce dernier se mêle de la sexualité des enfants et se permet même de traiter de la fameuse question de
« l’orientation sexuelle », voire de « l’identité sexuelle » à l’école !

 

Au moyen d’un ministère de l’Éducation Nationale, l’État empiète sur le rôle des parents et, à terme, les supplante. La vocation de JRE 2014 est de redonner aux enfants et leur père et leur mère, leurs parents.

 

Ainsi, dans son livre-programme Refondons l’école publié en février 2013, l’ancien ministre de l’Éducation Nationale Vincent Peillon explique en effet :

« Dans notre tradition républicaine, il appartient à l’école non seulement de produire un individu libre, émancipé de toutes les tutelles – politiques, religieuses, familiales, sociales -  capable de construire ses choix par lui-même, autonome, épanoui et heureux, mais aussi d’éduquer le citoyen éclairé d’une République démocratique, juste et fraternelle » (p. 12).

vincent-peillon eglise logo2

 

C’est la raison pour laquelle nous estimons que la restauration d’un ministère de l’Instruction Publique doit s’ajouter à l’interdiction de l’idéologie du genre à l’école.

La Fédération Autonome de Parents Engagés et Courageux (FAPEC) se donnera également pour mission de faire en sorte que l’Éducation soit le domaine de compétences, non de l’État, mais des parents, en leur permettant d’avoir un droit de regard sur ce que l’école inculque à leurs enfants.

 

Pour en savoir plus sur la FAPEC : http://jre2014.fr/?p=1483

 

Source: http://jre2014.fr/?p=1533

 

 

. La "Charte de la laïcité" : une religion d'Etat pour tous !

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