5 mai 2007
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Deux jeunes françaises violées en réunion, des agressions racistes anti-blancs (blanches) et de nombreuses agressions. Voilà le bilan officiel du dernier Printemps de Bourges.
Dans Aujourd’hui-Le Parisien, du 25 avril 2007 Renaud Domenici écrit :
«(…) La nuit suivante, une bande d’une trentaine d’individus a semé la terreur en ville pendant plus de deux heures. Sur fond de racisme anti-blanc, comme l’attestent des invectives lancées par les agresseurs, une dizaine de passants ont été frappés à coups de pied et de poing mais aussi de batte de base-ball et de barre de fer.»
Le printemps de Bourges s'achevait le 22 avril.
22 avril, date à laquelle la grande information de la journée était la profanation d'un cimetière. Il est vrai que parler d'agressions racistes anti-blancs et de viols collectifs le jour d'un scrutin présidentiel aurait pu avoir un mauvais effet sur les électeurs. Mais heureusement, nos journalistes connaissent bien la signification de la "déontologie" : mentir, tromper, truquer.
Les Français auront cinq ans pour apprécier toute la saveur de cette sentence :
Fallait pas voter Sarközy...