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Christ Roi

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10 mai 2007 4 10 /05 /mai /2007 08:25

On entend souvent parler de la "civilisation moderne". Il y a donc civilisation et civilisation. Avant l'ère dite "moderne", il y a eu une civilisation autre que celle que pousuit le monde de notre temps. En effet, il y a eu, et il y a encore en France et en Europe, une civilisation appelée "civilisation chrétienne". Par quoi ces deux civilisations se différencient-elles? Par la conception qu'elles se font de la fin dernière de l'homme, et par les effets divers et même opposés que l'une et l'autre conception induisent dans l'ordre social comme dans l'ordre privé. La conception "moderne", héritière du paganisme poussant le genre humain sur la pente où le péché originel l'avait engagé, disait à l'homme qu'il était sur terre pour jouir des biens que ce monde lui offrait (hédonisme). La conception chrétienne fit entendre à l'homme qu'il avait une autre fin dernière que la satisfaction de sa sensualité et qu'il devait chercher dans une autre direction le bonheur. Cela est aussi vrai pour la société que pour l'homme indivuel, l'impulsion vient du Créateur, et Dieu y ajoute la lumière qui en éclaire le chemin. Au XIIe siècle, l'élan imprimé à la société par le christianisme commença à ralentir. Il y eut d'abord arrêt, puis recul. Ce recul reçut un nom, la RENAISSANCE, renaissance du point de vue païen dans l'idée de civilisation. Et avec le recul vint la déchéance. Cette déchéance trouva son plein développement avec le triomphe de la conception "moderne" de la civilisation, le triomphe de l'individualisme (l'homme met sa fin en lui-même, dans la satisfaction de sa sensualité), triomphe de l'hédonisme, déclaration des droits de l'Homme (sans Dieu). 1789 marque donc le grand basculement, la date charnière entre les deux types de civilisation, les deux types de fins dernières, la fin placée en Dieu (avant 1789), la fin placée en l'homme (après 1789). Le déclin et la décadence induites par la civilisation dite "moderne" est le sujet de cet article. Les historiens sérieux, loin de la manipulation idéologique républicaine, admettent aujourd'hui l'idée soit du déclin soit de la décadence de la France.

(Pour cette introduction, se reporter à l'ouvrage d'Henri Delassus, Docteur en théologie, La Conjuration antichrétienne, Le Temple maçonnique voulant s'élever sur les ruines de l'Eglise catholique, 1910, réed. Expéditions pamphiliennes, Livre I Etat de la Question, p. 9-18).

Philippe Alméras: Début XXe, fin XXe siècle: "un déclin"

« Si l’on examine l’état de la France au début du XXè siècle et ce qu’elle est à la fin, il y a un déclin »

(Philippe Alméras, professeur de littérature et historien. Docteur de l’Université de Californie, son Retour sur le siècle, est un bilan du XXème siècle...)

(La Nouvelle Revue d’Histoire, Déclins et réveils de la France, N°10, janvier-Février 2004, page 30).

Jean de Viguerie: "Le reniement de la foi, premier signe de la décadence"

"La décadence vient du reniement, car le pays décadent est celui qui renie les vertus et les principes qui avaient fait sa grandeur et sa force.

Le reniement de la foi a été le premier signe de la décadence...

Les années cinquante ont été les dernières pendant lesquelles on a vu encore quelque chose de la France. Au déclin est venue s’ajouter la décadence.

La France avait déjà connu une première époque de décadence au siècle des Lumières quand la plupart des privilégiés avaient renié les croyances et les principes de leurs pères...

La décadence qui s’amorce dans les années 60 du 20ème siècle est beaucoup plus grave parce que le reniement de la foi et des valeurs traditionnelles est quasi général.

La crise religieuse postconciliaire, l’abandon de l’Algérie, la trahison de la parole donnée aux harkis, la révolution de Mai 1968, .. forment les principales étapes de ce reniement.

Domaines de la décadence (Jean de Viguerie)

Dès les années 70, la France est en état de décadence avancée.

Il n’y a plus seulement un déclin, il y a un pourrissement.

On le constate dans les lettres et dans les arts.

On le constate aussi dans les moeurs.

Aujourd’hui, le stade de la décadence est dépassée. La France se meurt. Peut-être est-elle déjà morte

Causes de la décadence (Jean de Viguerie)

Pourquoi est-on passé de la décadence à la mort ? Il y a trois causes.

La première est la substitution définitive de la patrie révolutionnaire, celle des droits de l’Homme, celle qui est ouverte sur l’universel selon l’expression de M. Chevènement, et qui n’est qu’un fantôme et une illusion, à la patrie réelle, celle des vertus et du trésor spirituel et moral accumulé au cours des siècles.

La seconde est l’ensemble des lois qui ont détruit la famille et favorisé l’avilissement des moeurs.

La troisième est sans doute la plus importante : je veux parler de la nouvelle « éducation » et du « nouvel enseignement » qui sévissant depuis le début des années soixante, ont déjà affaibli les intelligences de deux générations et les ont privées à la fois de leur héritage français et de tout savoir digne de ce nom.

Ce peuple a donc perdu, en même temps, et son jugement, et sa mémoire. Il ne vit plus que de ses appétits. Soumis à de telles conditions, un pays ne peut pas vivre indéfiniment. Il est bientôt asphyxié. La France n’est plus qu’un simulacre. On ne peut plus parler de déclin, ni de décadence. Nous sommes devant la mort et la disparition"

(Jean de Viguerie, historien, professeur émérite des universités. Voir son dernier ouvrage, Les Deux Patries, Editions Dominique Martin-Morin, cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, ibid., N°10, janvier-Février 2004, page 34).

Des "germes de dissolution et de mort" (Cardinal Pie)

"Nous vous l'avons dit en arrivant parmi vous, Nos Très Chers Frères, il n'y aura de salut pour la société, qu'autant qu'elle se réformera selon les principes chrétiens. [...] Plus nous étudions le corps social dans tout ce qui constitue son existence et sa vie, plus nous y reconnaissons des germes de dissolution et de mort; depuis la plante des pieds jusqu'au sommet de la tête, nous n'y trouvons aucune partie saine (cf. Isaïe, I, 4-6); et, remontant des effets à la cause, nous sommes forcés d'avouer que les vices de la société moderne sont le hideux écoulement de ses doctrines. "D'où proviennent tant de maux, s'écriait Jérémie, sinon de ce que la nation a délaissé le Seigneur son Dieu, alors qu'il la conduisait lui-même dans le chemin de la prospérité et de la gloire ?" (Jérémie, II, 17)

(Discours du Cardinal Pie, Comment une nation entière revient-elle à Dieu?) [1]

Bruno Gollnisch: "Une volonté prométhéenne de fonder l'ordre social sur la seule volonté humaine"

"Ce qui est criticable dans la Révolution, ... c'est la volonté prométhéenne de fonder l'ordre social sur la seule volonté humaine, et par là même de s'affranchir de l'ordre naturel. Ce fut le cas de la Révolution 'française', qui prétendait parvenir au bonheur de l'humanité en fondant tout l'ordre social et politique sur l'exercice de la seule raison humaine, raison qu'on avait d'ailleurs déifiée - la déesse Raison - et ceci a sombré dans la Terreur révolutionnaire. En ce sens, la Révolution 'française' est la matrice de tous les totalitarismes modernes, qui ont pour but de fonder un "Homme Nouveau", une société nouvelle, par l'exercice de la seule volonté humaine..."

(Bruno Gollnisch, professeur de Langue et de civilisation japonaise à l'Université de Lyon, Revue L'Héritage, N°2, été 2005, p 6).

Jean Tulard: La France de 2004 : "un fantôme"

«Le déclin n’est pas la fin.

Mais incontestablement, la France de 2004 n’est pas celle du sacre de Napoléon.

Alors la France était le pays le plus peuplé d’Europe, Russie mise à part, et possédait la population la plus jeune...

Le français était la langue de l’Europe cultivée : il servit à la rédaction des traités de Vienne qui détruisaient pourtant le grand empire.

Aujourd’hui l’anglais l’a supplanté et la France est un pays d’immigration.

Ce déclin a commencé en 1918. La Grande Guerre a fauché une génération ; plus grave, elle a brisé un élan. Il n’en faut pas plus pour précipiter un déclin.

Une crise économique n’est pas mortelle. La chute de sa démographie et la perte de sa langue condamnent une nation à n’être plus qu’un fantôme... »

(Jean Tulard, membre de l’Institut, vice-président de l’Académie des Sciences morales et politiques, cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 34).

Michel Maffesoli: "le mythe de l'homogénéité de la république"

« On pourrait dire que l’on assiste à la décadence d’une France officielle, instituée, et à la renaissance d’une France instituante... La république, une et indivisible, se veut homogène, alors que la royauté était quand même plus intéressante...

Le roi était le primus inter pares parmi les baronnies, des régions, des spécificités locales qui étaient fortes »

(Michel Maffesoli, professeur à la Sorbonne-Paris V. Dernier ouvrage paru : Précis de subversion post-moderne (Flammarion), cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 33).

Jacques Heers: "une décadence de la morale"

« On peut dire que la France est en déclin si l’on compare la période actuelle aux grandes périodes de prospérité et de rayonnement international .

Le mot de déclin me semble correspondre à l’aspect économique de la question.

Mais du point de vue moral, je préférerai parler de décadence.

Déclin se rapporte à ce qui est matériel. Le mot de décadence a une valeur morale très forte.

Pour moi, la décadence que nous connaissons vient très clairement du refus du travail.

J’ai été professeur à l’Université de Nanterre. Le processus a été progressif, puis il a explosé en 1968. Je n’y ai pas vu la grande fête dont on a parlé, mais le refus de jeunes gens de courir le risque de la compétition et de la réussite par le travail.

Mais l’histoire nous enseigne que rien n’est définitif et que rien n’est jamais pareil...»

(Jacques Heers, directeur du département d’études médiévales de Paris-Sorbonne. Dernier ouvrage paru : Les Négriers en terre d’islam (Perrin), cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid.).

François Chamou: "une déconfiture"

« J’ai vécu une très longue vie pendant laquelle j’ai vu le monde se transformer et en particulier notre pays passer d’une situation brillante à sa présente déconfiture ».

(François Chamou, entretiens Nouvelle revue d’Histoire N°8, Sept-octobre 2003).

Marcel Gauchet: "décadence culturelle" et "omnipotence des individualismes"

« La littérature française n’a absolument plus l’éclat qu’elle avait eu pendant au moins quatre siècles.

L’art français n’est plus grand chose.

Paris n’est plus la capitale des arts et des lettres.

De ce point de vue, la place de la France dans le monde est évidemment en déclin »

« L’ivresse de mai 68 se solde pour Gauchet par une gueule de bois théorique, l’expérience d’une illusion et d’une désillusion » ... On ne peut mieux dire...

« Au fond, ce qui porte le schéma marxien d’émancipation c’est le postulat qu’il suffirait que la société soit pleinement elle-même pour que nous devenions libres ; elle serait alors débarassées de toutes les hypothèques que sont l’Etat, les classes, la domination, le politique. ...

C’est exactement le contraire qui s’opère, et si une chose est étonnante, c’est précisément qu’on ait pu croire l’inverse »...

[Marcel Gauchet, haute figure de l’Histoire et de la sociologie française, directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales, de la génération qui eut des certitudes en 1968, est un des rares intellectuels qui aient su très tôt ériger le doute en sagesse et porter un regard critique sur les assises de la modernité ; il a évidemment été cloué au pilori à l’automne 2002 sous l’infamante accusation de « nouveau réactionnaire » par Daniel Linderberg dans Le Rappel à l’ordre, Enquête sur les nouveaux réactionnaires, Le Seuil, 2002... Dernier ouvrage paru : La Condition historique, L’histoire comme boussole, chez Stock, cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 33].

"L’effacement des repères sociaux, l’exarcerbation des individualismes : la machine à broyer les peuples est bel et bien à l’oeuvre selon Gauchet (diagnostic anticipé par des visionnaires sulfureux comme Oscar Spengler, Ernst Jünger, ou Martin Heidegger" (La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 27).

"L’Homme coupé de ses racines divines est aussi l’homme qui doit affronter la solitude résultant de l’effacement des structures collectives et l’inéluctable omnipotence des individualismes".

Gauchet poursuit en dénonçant l’individu-roi sanctifié par l’idéologie des droits de l’Homme...

La primauté du marché engendre une dévalorisation du politique. Ce qui explique que notre société de plus en plus libérale se révèle être de moins en moins démocratique... (La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 28).

Max Gallo: "une crise de l'identité"...

Voici maintenant ce que nous dit Max Gallo: « Pour moi, la crise est essentiellement celle de l’identité. Je veux dire par là un trouble profond quant au sens de l’histoire nationale. Les élites sont travaillées par l’idée que la nation est obsolète et que les histoire nationales sont finies. Personnellement, je suis d’un avis différent »

(Max gallo, agrégé d’histoire. Dernier ouvrage paru : Morts pour la France, trois tomes chez Fayard), cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 32).

François-Georges Dreyfus: un "déclin patent"

« Même si la classe politique de gauche comme de droite estime que parler d’un déclin de la France est un faux problème, ce déclin est patent.

La Constitution de 1958 dévoyée (cohabitation, quinquennat, abandon de fait du référendum), la faiblesse de la classe politique expliquent dans une large mesure le déclin français »

(François-Georges Dreyfus, professeur émérite d’histoire contemporaine à la Sorbonne. Dernier ouvrage paru : L’Engrenage, 1919-1939 chez Fallois, cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 31).

Chantal Delsol: un "recul de la volonté de se persévérer dans son être"

« Déclin et décadence s’entendent en termes de recul de la confiance en soi et de volonté de persévérer dans son être...

Il n’est pas exagéré de parler de déclin.

On peut voir par exemple un signe de déclin dans le fait que la France a depuis quelque temps relâché ses efforts consacrés au développement de la francophonie dans le monde »

(Chantal Delsol, professeur de philosophie politique à l’Université de Marne-la-Vallée. Dernier ouvrage paru : La République, une question française au PUF, cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 31).

François Bluche: "un pays sans âme"

"Certes notre vieux pays a surmonté jadis maintes crises (1429, 1589, 1815 etc.) mais il avait encore alors une âme..."

(François Bluche, un historien protestant, professeur émérite à l’Université de Paris X. Dernier ouvrage paru : Richelieu chez Perrin, cité in La Nouvelle Revue d’Histoire, N°10, ibid., page 30).

(Source: La Nouvelle Revue d’Histoire, Déclins et réveils de la France, N°10, janvier-Février 2004).

Pierre Pluchon: "la Révolution, une catastrophe économique et politique nationale"

"La Révolution - 1789 - 1815 - juge Maurice-Lévy-Leboyer, a été une 'catastrophe économique nationale' qui, ... a alourdi le retard de la France d'une génération, poussant derrière l'impérialisme britannique, de nouvelles grandes puissances qui émergeront au début du XXe siècle: Etats-Unis, Allemagne et plus tard la Russie et le Japon. Sur ce premier bilan, la plupart des historiens s'accordent: François Crouzet, Jean Tulard, Michel Devèze, Jean-Charles Asselain, etc. ... Enfin, on peut lui faire grief d'avoir tourné le dos au capitalisme qui, à la fin de l'Ancien Régime, apparaissait dans tous les domaines de l'économie. Ce faisant, elle a accru l'écart qui la séparait de la Grande-Bretagne. La Révolution, faillite économique, est aussi une catastrophe politique nationale. L'ennemi stratégique sort vainqueur d'un conflit qui s'est éternisée de 1793 à 1815. ... Un ralentissement démographique frappe le pays, naguère le plus peuplé d'Europe qui, en 1800 est devancé par la Russie, à égalité avec l'Autriche et talloné par l'Allemagne: ce phénomène ira s'aggravant, et, au XXe siècle, permettra à l'Angleterre de distancer la France" (Pierre Pluchon, Histoire de la colonisation française, Fayard, Saint-Amand-Montrond 1996, p. 999-1000).

"Première puissance européenne, de Louis XIV à la Révolution, par son unité et sa compacité, par son poids démographique, économique et militaire..., la France n'ayant rien à crainde sur le continent, pouvait envisage de se donner un avenir dans les colonies (ibid., p. 137) ... (Avec la Révolution dite "française") Désormais, et pour longtemps, l'Angleterre capitaliste et impérialiste imposera sa loi à la nation, à l'Europe, au monde" (ibid., p. 1008). "Alors que le capitalisme et l'impérialisme britanniques, alimentés par un nationalisme sûr de lui, atteignent leur apogée, la France, emberlificotée dans les ratiocinations d'une philosophie cosmopolite, n'ose plus s'affirmer en tant que puissance dominatrice et abdique toute idée de conquête" (ibid., p. 294).

Charles Maurras: "une épouvantable série d'échouements, de naufrages, d'explosions, d'incendies, d'accidents, des désastres de toutes sortes"

"[D]u deuxième rang que nous tenions en 1899, nous tombions, en 1909, au cinquième: la marine française s'est classée au-dessous des marines de l'Allemagne, des Etats-Unis, même du Japon" 

(Charles Maurras, Kiel et Tanger, La République française devant l'Europe 1895-1921, Bibliothèque des Œuvres Politiques, Versailles, Évreux 1928, p. 65).

Pierre Chaunu: "le grand déclassement"

"C'est entre 1789 et 1815 que tout s'est joué: joué, mal joué et perdu. ... Le bilan de ce tournant mal négocié, ... il est facile de constater, irréfutable, de noter que le décrochement est là, bien là, et pas ailleurs. ... La France perd définitivement la première place et toutes les chances de la retrouver, mais elle reste pour un temps au deuxième rang de l'équipe européenne. Avant de rétrograder de plusieurs rangs au XIXe et au XXe... La France reste seconde en 1815. On ne peut en vingt ans dilapider totalement l'avance d'un millénaire!"

(Pierre Chaunu, Le Grand déclassement, à propos d'une commémoration, Robert Laffont, Paris 1989, p. 64-65).

Voir aussi deux autres livres de Pierre Chaunu:

* Histoire et décadence

* L'historien dans tous ses états

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