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Christ Roi

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Horloge

5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 15:23

Via novopress.info

Bien que passé avec retard, le 29 décembre, le Père Noël se sera montré particulièrement généreux avec Libération auquel il a apporté l’abandon par les banques d’une bonne partie (70%) de leurs créances, d’un total de 10 millions d’euros, qu’elles détenaient sur le quotidien. Lequel bénéficiera également d’un délai de cinq ans pour rembourser les 30% de créances restantes et de dix ans pour rembourser l’Etat, créancier à hauteur de 12 millions d’euros — ce qui signifie que Libé ne payait plus depuis un sacré bout de temps impôts sur les sociétés, charges sociales et patronales, etc. se plaçant ainsi dans une totale illégalité.

Si Présent, National Hebdo ou RIVAROL se trouvaient, ce qu’à Dieu ne plaise, dans une situation aussi délicate, bénéficieraient-ils de tels “aménagements”? On peut craindre à l’inverse que ceux-ci soient exclusivement réservés aux journaux anarcho-bancaires, catégorie dont Libé est le plus brillant fleuron.

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5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 15:02

Via LExpansion.com  Les Français seraient favorables à de nouvelles institutions
Dans leur immense majorité, les Français sont favorables à une modification des institutions de la Ve République. C'est ce que révèle un sondage LH2 pour 20 minutes et RMC, paru vendredi. 

28% souhaitent en changer "quelques aspects",

32% veulent la modifier "en profondeur".

23% veulent un "changement complet de régime politique". Ce qui fait une majorité de 83% pour une modification des institutions....

Seuls 7% estiment qu'il faut "laisser les choses en l'état".

La faillite de la "république" est prouvée par les faits et maintenant par les Français qui la rejettent à 83%. Les sectaires de la veuve ont du souci à se faire...

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5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 12:08
Publié le 05 janvier 2007 à 11h53

Prison/Rouen : cannibalisme "très probable"

Les auto-accusations de cannibalisme du détenu meurtrier d'un autre détenu à la maison d'arrêt de Rouen sont finalement "très probables" après l'achèvement de l'autopsie du corps qui a montré l'absence de certains organes, a affirmé ce matin le procureur de la République de Rouen.

(Avec AFP).
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3 janvier 2007 3 03 /01 /janvier /2007 18:04

Mgr Cattenoz, évèque d'Avignon annonce la sortie de son projet de charte pour l'enseignement catholique

Via e-deo.net

Plus d'infos sur le site Liberté Politique où le livre sera vendu.

Un enseignement catholique vraiment catholique, non plus vaguement catholique, tel est l'enjeu d'une telle charte !

En voulant «replacer le Christ au centre de l’école catholique», Mgr Jean-Pierre Cattenoz opère un virage qui fera date, quand bien même l’archevêque mesure les difficultés, et l’immense effort à entreprendre de la part de toute l’Église de France : vis-à-vis d’elle-même, du corps enseignant et de l’Éducation nationale.

Pour commencer, l’archevêque évoque le contexte culturel dans lequel s’insère l’enseignement catholique : sentiment d’impuissance sur les événements, consumérisme, «cathophobie», sécularisation, relativisme, montée de l’islam... Dans ce contexte, Mgr Cattenoz remarque que le caractère propre de l’enseignement catholique est ambigu, mal défini. Dans les établissements catholiques la proposition de la foi est insuffisante, voire absente. En revanche, on y trouve souvent une logique de compétition propre à l’entreprise.

Dans ces conditions, le caractère propre se réduit au plus petit dénominateur commun, à un consensus sur des valeurs évangéliques fluctuantes, un humanisme chrétien au contour flou. Les valeurs qui sont au fondement de la plupart des projets pédagogiques sont la tolérance, la solidarité, l’ouverture aux autres ou à l’universel. Elles relèvent toutes d’un humanitarisme bon teint davantage inspiré de la philosophie des Lumières que de la rencontre avec le Christ. En phase avec cette Modernité, la proposition de foi est donc le plus souvent indigente, peu religieuse, syncrétique. Elle véhicule même selon Mgr Cattenoz de véritables hérésies.

Cette édulcoration du caractère propre des écoles catholiques porte en germe leur disparition ou leur intégration totale dans le service public. Le prélat appelle donc à repenser le caractère propre des établissements catholiques et à refonder leur enseignement sur de nouvelles bases.

[...] Interrogé par l’hebdomadaire Famille chrétienne (n. 1648) sur les vieux démons de la guerre scolaire, il répond sans détours : «Ne craignez-vous pas de faire un bond de cent ans en arrière ?», il répond : «…ou peut-être de cent ans en avant ! En tout cas, je ne suis pas prêt à renoncer à ma foi en Jésus Christ. À force de faire un catholicisme mou, on n’aura bientôt plus de catholicisme du tout ! J’ai passé quinze ans de ma vie en Afrique à annoncer Jésus-Christ. Je ne vois pas pourquoi maintenant que je suis à Avignon, je ferais autrement.» Le projet de Mgr Cattenoz est en effet clairement missionnaire.

Pour lui la question n’est pas de mettre l’enfant au centre de l’école, comme on peut l’entendre dire souvent, mais d'y mettre Jésus-Christ. Car l’enfant ne trouve sa véritable dimension qu’en étant mis en relation avec le Christ. Dans cet esprit, l’enseignement catholique est à la fois une institution de formation générale et une structure d’apprentissage de la vie dans le Christ.


L’archevêque sera-t-il suivi ? «Il est vrai,déclare t-il encore dans “Famille chrétienne”, que le recrutement devient de plus en plus difficile. Il va falloir se battre. Et pour moi c’est là qu’il faudrait que la Conférence épiscopale soit prête à se battre. Il faut travailler dans nos relations avec le gouvernement, à pouvoir garder une certaine liberté, à ne pas être étouffé par une embauche que l’on ne maîtrise plus du tout. Bref, réfléchir pour que l’enseignement catholique garde vraiment un caractère propre.»

[...] Pour réformer le système sans le dynamiter, il est nécessaire que les évêques s’investissent eux-mêmes dans l’administration de l’enseignement catholique au lieu de le déléguer à des laïcs aussi techniquement compétents soient-ils, mais trop souvent porteurs d’un projet différent du leur. Cela suppose que la Conférence des évêques de France évolue dans son fonctionnement et se donne de nouvelles priorités.

Or la culture du consensus et du compromis a contribué à édulcorer le fameux “caractère propre” de l’enseignement catholique. La conférence épiscopale de France donne l’impression d’avoir perdu la main. L’heure vient peut-être où sous la charitable pression de nouveaux évêques comme Mgr Cattenoz, certains blocages qui entravent le dynamisme missionnaire de l’Eglise de France peuvent sauter.

Depuis son élection, Benoît XVI appelle les catholiques à sortir du compromis avec la pensée dominante et de la soumission aux contraintes exercées par les autorités temporelles. Parmi les priorités «non négociables» se trouve la liberté d’éducation des parents. En proposant à l’enseignement catholique d’échapper à la facilité, Mgr Cattenoz met en œuvre le redressement auquel nous invite Benoît XVI. À sa manière la charte de l’archevêque d’Avignon est un fruit de l’encyclique programme Deus et Caritas et du discours de Ratisbonne.

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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 03:19

Sainte Geneviève

422 : Geneviève naît, dans une famille gauloise romanisée sur les bords de la Seine. Elle est baptisée et reçoit pour marraine une grande dame de Lutèce.

429 : Geneviève a 7 ans. Les évêques Loup et Germain viennent à Lutèce. Germain aperçoit Geneviève et lui demande si elle accepterait de consacrer sa vie à Dieu et donc au service de ses frères lutéciens. Geneviève accepte. Mais sa mère, têtue et colérique, se révolte et cherche ensuite à empêcher sa fille de faire grandir en elle cet esprit de service.

438 : Geneviève a 15 ans. Elle revêt la tunique des jeunes filles qui souhaitent se consacrer à Dieu et continue de vivre au milieu des siens. Son service à Dieu, elle ne le conçoit que comme un service envers ses frères. Lorsque ses parents meurent, Geneviève franchit la Seine et s’installe à Lutèce. Elle rassemble autour d’elle toutes les femmes qui suivent la même règle de vie qu’elle et organise l’aide aux pauvres, le soin des malades et l’instruction des enfants de Lutèce.

451 : la grande peur de 406 est ravivée. Les Huns, menés par Attila, sont aux portes de Lutèce. Les habitants veulent fuir la ville et la livrer, portes ouvertes, à l’ennemi. Geneviève, imperturbable, les rallient autour d’elle, les rassure, leur demande de prier et de ne pas ouvrir les portes. Certains la considèrent comme une folle ou une traîtresse qui souhaite la mort de son peuple. Mais les Huns rebroussent chemin sans tenter de prendre la cité. Pour la population Geneviève est désormais la protectrice du peuple de Lutèce.

486 : de nouveaux peuples venus de l’Est sont aux portes de Lutèce. Les Francs de Clovis assiègent la cité et affament la population. Une nuit, Geneviève prend la tête d’une flotte et ramène les bateaux chargés de vivre. Le siège se poursuit, mais plus tard Clovis, convertit au christianisme demande à rencontrer Geneviève avec son épouse, Clotilde. Une grande amitié naît entre eux et la ville devient la capitale du royaume franc.

3 janvier 512 : Geneviève meurt à Lutèce à 90 ans. Le peuple de la cité organise pour elle des funérailles triomphales et la choisit comme patronne. 

 

 La châsse contenant le tombeau de sainte Geneviève dans l'église St-Etienne-du-Mont.

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30 décembre 2006 6 30 /12 /décembre /2006 15:55

Source : Communiqué du District de France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X : profanation du sanctuaire marial de Lourdes

Comme à Metz en 2004, l'évêque de Lourdes autorise une profanation à La Grotte

Première "rêve-party" à Lourdes pour le Nouvel an

Dépêche de l'AFP du 27 décembre 2006 : 1ère "rêve-party" organisée dans les santuaires de Lourdes.

"Une première "rêve-party", avec concert de rock et messe dans la grotte de Massabielle, sera organisée dans la nuit de la Saint-Sylvestre aux Sanctuaires de Lourdes, a-t-on appris mercredi auprès de l'évêché de Tarbes et Lourdes.

Le thème de cette nuit festive, intitulée "La 3 D (La discothèque de Dieu)" et à laquelle sont conviés jeunes, adultes et familles, sera "Réveillons notre foi!".

"Elle débutera par un concert du groupe de rock-pop louange, Exo, avec des prix abordables" (15 euros pour les adultes), a indiqué Catherine Albrech, membre de l'équipe de préparation de cette manifestation à laquelle les Sanctuaires se sont associés.

"Le 31 décembre n'est pas une date majeure du calendrier liturgique mais elle rassemble le plus grand nombre", a-t-on poursuivi de même source en ajoutant que "cette date a été retenue pour proposer une alternative chrétienne" aux jeunes n'ayant pas de projet pour le passage à 2007.

Après le concert rock, une messe sera célébrée par Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes. La nuit se poursuivra jusqu'à 6H00 du matin par "des adorations (actions en faveur des autres) et un café nocturne, dans un esprit de convivialité", a-t-on précisé de même source."

L'apostasie silencieuse continue son travail de profanation et de démolition

Aprés l'évêché de Metz qui a organisé un Concert "électro" à la cathédrale de Metz pour attirer les jeunes le 5/11/2004, Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes, a donné son accord à une nouvelle profanation dans les sanctuaires mêmes de la ville mariale.

Ce nouveau scandale public ne doit laisser personne indifférent. Outre la prière afin de soulager la peine et l'affront faits à Notre Seigneur et à Sa Sainte Mère, le District de France vous invite à manifester votre désapprobation sévérement mais avec courtoisie auprés des autorités suivantes :

- Mgr le Nonce Apostolique :

Monseigneur Fortunato Baldelli
Nonce apostolique en France
Nonciature Apostolique
10 av Prés Wilson
75116 PARIS

Tél. 01 53 23 01 50

Adresse courriel de Mgr le Nonce

 

- Mgr Jean-Pierre Ricard

Mgr Jean-Pierre Ricard
Président de la Conférence Episcopale
183 cours de la Somme
33077 Bordeaux Cedex

Tél. 05 56 91 81 82

 Adresse courriel de Mgr Ricard

 

- Mgr Jacques Perrier

Mgr Jacques Perrier
Maison St-Paul
51, rue de Traynès
65000 Tarbes

Tél. 05.62.44.09.70

 Adresse courriel de Mgr Perrier

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29 décembre 2006 5 29 /12 /décembre /2006 14:05

29/12/2006

Au Liban, alliance islamo-chrétienne contre Israël et les USA

L’article qui suit est paru le jeudi 28 décembre 2006 dans le quotidien beyrouthin L’Orient-Le Jours (il es signé Scarlett Haddad). Il montre que, contrairement aux tenants du choc des civilisations, on n’assiste pas au Liban à un affrontement musulman/chrétiens mais à une opposition inter-libanaise entre pro et anti-Israël et USA. Chaque camp étant composé de musulmans et de chrétiens (il semble même bien que la majorité des chrétiens soit dans le camp des anti-Israël et USA).

La cohabitation des deux extrêmes au centre-ville, le début d’un processus d’unité, Au-delà des enjeux politiques, un véritable phénomène social est né dans la rue

Le spectacle est quasiment inimaginable. Des dizaines de familles chiites qui se pressent devant le gigantesque sapin de Noël et qui se familiarisent avec les personnages de la crèche, répondant avec complaisance aux questions des journalistes sur les us et coutumes chrétiens en cette période de fête. De leur côté, les chrétiens font assaut d’amabilités avec les chiites, les sunnites et les druzes à la veille de la fête de l’Adha, en faisant le tour des tentes et en distribuant des vœux, parfois maladroits mais toujours sincères. Les commentaires ont beau être moqueurs, ironiques ou dithyrambiques, selon les sympathies politiques, ce qui est sûr, c’est que quelque chose a changé au pays du Cèdre.

En dépit de l’atmosphère plus que lourde qui règne sur le plan politique et de l’impasse dans laquelle semble se débattre le pays, un phénomène important est en train de se dérouler, sur le terrain, sous les yeux blasés des observateurs.
Une fois de plus, le Liban donne la preuve qu’il reste un pays pionnier. La rue est sans doute une expérience déjà tentée et testée dans tous les coins de la planète, mais jamais elle n’a donné lieu à un véritable phénomène comme au Liban.

L’idée avait commencé à faire son chemin après l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, le 14 février 2005. Les Libanais sont alors spontanément descendus dans la rue pour exprimer leur colère et leur chagrin. Ce fut le premier élan de réconciliation populaire, et à ce moment-là, sous le coup de l’émotion, nul ne cherchait à comptabiliser les chrétiens et les musulmans. Cet élan a atteint son paroxysme avec la manifestation gigantesque du 14 mars 2005, à laquelle les chrétiens (à leur tête le CPL), les musulmans et les druzes ont participé en masse. Mais lorsqu’il s’est agi de s’installer dans la durée, les incidents se sont multipliés entre les occupants des tentes de l’époque, car, il faut le reconnaître aujourd’hui, avec le recul, la réconciliation était alors plus politique que populaire et sociale.

Un nouvel exemple

Depuis le 1er décembre 2006, les forces de l’opposition donnent un nouvel exemple de l’occupation de la rue, qui va au-delà des questions politiques. D’ailleurs, de nombreux observateurs avaient parié sur l’incapacité de deux groupes sociaux aussi différents à cohabiter dans le centre-ville dans des tentes très proches. Certains commentaires avaient même ironisé sur l’impossible voisinage entre Téhéran et Kiev. Et pourtant !

Depuis le début du sit-in de l’opposition, deux univers, deux modes de vie se sont découverts et ont fraternisé. Les jeunes du Courant aouniste sont d’ailleurs ébahis de l’ouverture dont font preuve ceux du Hezbollah et du mouvement Amal et surtout de la curiosité affectueuse qu’ils manifestent à l’égard des chrétiens. « Ils veulent tout savoir et ils sont pleins de tact, à la fois timides et concernés », raconte Joëlle. Elle ajoute : « Nous discutons beaucoup et ils nous disent aujourd’hui qu’ils nous prenaient pour des jeunes égoïstes, sans engagement, uniquement soucieux de singer l’Occident. Alors que nous, nous les considérions comme des jeunes bornés, fermés, voulant imposer une vision austère de la vie. »

Certes, le processus de rapprochement et de découverte mutuelle avait commencé pendant la guerre de juillet, lorsque les jeunes du CPL avaient accueilli les déplacés chiites du Sud, de la Békaa et de la banlieue sud, mais aujourd’hui, les jeunes se côtoient sans plus faire d’efforts, s’acceptant avec naturel. Si les responsables, à leur tête le général Michel Aoun, mais aussi Hassan Nasrallah, Nabih Berry et Sleimane Frangié, ont donné des instructions strictes à leurs partisans, ceux-ci n’en ont plus besoin pour comprendre l’autre et l’accepter. Le général Aoun a sans doute eu le mérite d’avoir été l’initiateur de ce vaste mouvement, mais aujourd’hui, celui-ci s’est ancré dans la vie des manifestants, transformant un sit-in prolongé en phénomène social, qui fait boule de neige.

Au-delà des enjeux politiques, ce sont deux mondes qui se sont croisés et ont appris à se connaître et à se comprendre. Et, ce qui devait constituer un moyen de pression politique s’est transformé en réalité sociologique.

Quelle que soit l’issue du bras de fer politique qui se joue aujourd’hui entre la majorité et l’opposition, nul ne pourra désormais changer l’évolution des relations entre les chiites et les chrétiens, ainsi qu’entre les autres franges de la population participant au sit-in dans le centre-ville. Et si les tendances les plus extrêmes de la mosaïque sociale libanaise ont réussi à cohabiter depuis des semaines en harmonie, c’est qu’il y a encore beaucoup d’espoir pour le Liban. Lorsque les bonnes volontés existent, le respect, la tolérance et l’unité sont donc au rendez-vous. C’est peut-être cela le miracle libanais.

Via Altermedia.info

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