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« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
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Le scénario "Clean Break" pour la sécurisation du royaume avance...
Moscou, La Voix de la Russie, 9h58. Obama n'exclut pas une option militaire en Syrie contournant l'ONU
Le président américain, Barack Obama, n'a pas retiré de l'ordre du jour la question sur une frappe contre la Syrie en contournant le Conseil de sécurité de l'ONU, selon les médias en référence à une déclaration d’un responsable américain.
Il a déclaré que le président comprend que la Russie et son droit de veto ne permettrait jamais que le Conseil de sécurité de l'ONU adopte une résolution autorisant l'usage de la force contre la Syrie.
En conséquence, les États-Unis ne vont pas insister sur l'inclusion d'une disposition sur l'usage de la force dans le document du Conseil de sécurité de l'ONU sur la Syrie, ont indiqué les sources.
Syrie : Ban Ki-moon accuse Assad de «crimes contre l'humanité
Le Parisien
Publié le 13.09.2013, 17h16 | Mise à jour : 14.09.2013, 07h52
Américains et Russes vont reprendre ce samedi à Genève leurs pourparlers sur la mise sous contrôle de l'arsenal chimique syrien, sous la pression des Nations unies qui ont accusé vendredi (13 septembre NdCR.) le régime de Damas «de nombreux crimes contre l'humanité».
Lundi (16 septembre NdCR.), l'ONU confirmera officiellement l'utilisation d'armes chimiques en Syrie. Son secrétaire général Ban Ki-moon a d'ores et déjà annoncé hier que le rapport des experts est «accablant». Selon lui, le massacre du 21 août dans la banlieue de Damas a fait 1.400 victimes ajoutant que 5.000 personnes avaient été «exposées à des produits chimiques». Sans attribuer directement la responsabilité de cette utilisation au président syrien, il a accusé Bachar al-Assad d'avoir «commis de nombreux crimes contre l'humanité». Jusqu'ici, l'emploi d'armes chimiques avait été confirmé par des services de renseignements comme la Direction du renseignement militaire (DRM), (lire dans l'encadré) ou des ONG comme Médecins sans frontières qui avait recensé (le 24 août NdCR.) 355 morts dans la banlieue de Damas. M. Ban a prévu de présenter ce rapport au Conseil de sécurité lundi en fin de matinée.
Vladimir Poutine a appelé à faire confiance à Assad après la signature par ce dernier de la convention sur l'interdiction des armes chimiques. Une vision que ne partage pas l'opposition syrienne. La France a estimé vendredi (13 septembre NdCR.) que cette adhésion était «insuffisante» et a insisté sur la nécessité d'un texte «contraignant» au Conseil de sécurité de l'ONU. Avec trois pays arabes, elle appelle à renforcer le soutien à la Coalition nationale syrienne. L'Elysée a annoncé que les chefs des diplomaties américaine, britannique et française déjeuneront ensemble lundi.
François Hollande et les chefs des diplomaties saoudienne, jordanienne et des Emirats arabes Unis ont appelé vendredi (13 septembre NdCR.) à «renforcer le soutien international à l'opposition démocratique» en Syrie, à l'issue d'un entretien à l'Elysée.
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/http%3A%2F%2Fm.ruvr.ru%2F2013%2F09%2F14%2F1206209903%2F12h_50992758.jpg "Obama n'exclut pas une option militaire en Syrie contournant l'ONU")
