Les capitalistes du chaos se servent du conflit russo-géorgien pour établir leur "société" libérale.
La guerre américaine en Géorgie sert de prétexte : si les Européens avaient adopté Lisbonne ils auraient les moyens de faire une réponse commune à la Russie...
C'est en ces termes que s'exprime Nicolas Sarkozy dans une tribune au Figaro : "si le traité de Lisbonne en cours de ratification était déjà en application, l'Union européenne aurait été dotée des institutions dont elle a besoin pour faire face à une crise internationale" (La Russie doit se retirer sans délai de Géorgie, le Figaro, 17/08/2008).