14 août 2008
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Alterinfo présente un article de F. William Engdahl du 4 décembre 2007 qui pointe les dangers du plan Bill Gates et de la Fondation Rockfeller à Svalbard, et dont je reproduis quelques éléments.
Global Research, par F. William Engdahl, le 4 décembre 2007
F. William Engdahl est auteur de Seeds of Destruction, the Hidden Agenda of Genetic Manipulation (graines de destruction, les projets secrets du génie génétique) qui vient d'être publié par Global Research. Il est également auteur de Pétrole, une guerre d'un siècle : L'ordre mondial anglo-américain (en français).
Nul projet n'est pour le moment plus intéressant que cette curieuse entreprise dans l'un des lieux les plus reculés du monde, à Svalbard. Bill Gates investit des millions dans une chambre forte pour semences sur la Mer de Barents, près de l'Océan Arctique, à quelque 1.100 kilomètres du Pôle Nord. Le Svalbard est un bout de roche stérile revendiqué par la Norvège et cédé en 1925 par un traité international.
Sur cette île perdue, Bill Gates investit des dizaines de millions avec la Fondation Rockefeller, Monsanto Corporation, la Fondation Syngenta et le gouvernement de Norvège, entre autres, dans ce qui est appelé doomsday seed bank [arche de Noé végétale traduit au mieux cette expression qui combine chambre forte, semences et fin des temps ou apocalypse, NDT]. Officiellement, le projet est appelé chambre forte à semences mondiales de Svalbard, sur l'île norvégienne de Spitsbergen, qui fait partie de l'archipel de Svalbard.
La chambre forte pour semences est en cours de construction à l'intérieur d'une montagne sur l'île de Spitsbergen, près du petit village de Longyearbyen. Selon leur communiqué de presse, c'est presque prêt pour le « business. »
... « Le Projet » que j'ai évoqué est, depuis les années 20, le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers d'utiliser l'eugénisme, rebaptisé aujourd'hui génétique, pour justifier la création d'une Race Supérieure génétiquement modifiée. Hitler et les Nazis l'appelaient la Race Supérieure Arienne.
L'eugénisme d'Hitler a été financé dans une large mesure par cette même Fondation Rockefeller, qui est aujourd'hui en train de construire une arche de Noé végétale pour préserver des échantillons de toutes les graines de notre planète. Cette même Fondation Rockefeller a créé la discipline pseudo-scientifique de la biologie moléculaire dans sa poursuite acharnée à réduire la vie humaine à une « séquence génique définie » qui, elle l'espérait, pourrait être ensuite modifiée dans le but de changer à volonté les caractéristiques humaines. Les eugénistes d'Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement ramenés aux États-Unis après la guerre pour y poursuivre leurs recherches biologiques sur l'eugénisme, qui ont jeté de nombreuses bases du génie génétique des diverses formes de vie, ont été ouvertement soutenus jusque dans le Troisième Reich par les généreuses subventions de la Fondation Rockefeller. (F. William Engdahl, Seeds of Destruction, Montreal, (Global Research, 2007), pp. 72-90)
Cette même Fondation Rockefeller a créé la fameuse Révolution Verte lors d'un voyage au Mexique en 1946 de Nelson Rockefeller et d'Henry Wallace, ancien secrétaire de l'agriculture de New Deal.
La Révolution Verte visait à résoudre à grande échelle le problème de la faim dans le monde, au Mexique, en Inde et dans d'autres pays choisis où travaillait Rockefeller.
En réalité, comme il est apparu des années plus tard, la Révolution Verte était une brillante manigance de la famille Rockefeller pour développer un agro-alimentaire mondialisé qu'elle pourrait ensuite monopoliser, tout comme elle l'avait fait dans le monde de l'industrie pétrolière en commençant un demi-siècle auparavant. Comme Henry Kissinger l'avait déclaré dans les années 70 : « Si vous contrôlez le pétrole vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l'alimentation, vous contrôlez la population. »
L'agro-alimentaire et la Révolution Verte de Rockefeller allaient de pair. Ça faisait partie d'une grande stratégie qui incluait le financement de la recherche par la Fondation Rockefeller pour développer quelques années plus tard le génie génétique des plantes et des animaux.
John H. Davis fut adjoint du ministre de l'Agriculture sous la présidence de Dwight Eisenhower au début des années 1950. Il quitta Washington en 1955 et se rendit à Harvard Graduate School of Business, un lieu inhabituel à cette époque pour un expert en agriculture. Il avait une stratégie claire. En 1956, Davis a écrit un article dans le Harvard Business Review, où il déclarait que « la seule façon de résoudre une fois pour toutes le fameux problème agricole en évitant la lourdeur des programmes gouvernementaux, est de faire progresser l'agriculture pour l'agro-alimentaire. » Il savait précisément ce qu'il avait en tête, même si peu de gens avaient d'indice à l'époque : une véritable révolution dans la production agricole qui concentrerait le contrôle de la chaîne alimentaire entre les mains des multinationales, loin de la traditionnelle famille d'agriculteurs. (John H. Davis, Harvard Business Review, 1956, cité par Geoffrey Lawrence dans Agribusiness, Capitalism and the Countryside, Pluto Press, Sydney, 1987. Voir aussi Harvard Business School, The Evolution of an Industry and a Seminar: Agribusiness Seminar, www.exed.hbs.edu/programs/agb/seminar.html)
En réalité, l'introduction des techniques agricoles modernes étasuniennes, les engrais chimiques et les semences hybrides commerciales, ont rendu tous les agriculteurs locaux des pays en développement, en particulier les plus grands et les plus solides, dépendants de l'étranger, surtout des produits de base de l'agro-alimentaire et de la pétrochimie étasuniennes. C'était la première étape de ce qui devait être un processus soigneusement planifié sur plusieurs décennies.
Grâce à la Révolution Verte, l'agro-alimentaire a fait de grandes percées dans des marchés dont l'accès étaient auparavant limité aux exportateurs étasuniens. La tendance a par la suite été baptisée « Agriculture orientée vers le marché. » C'était en réalité le contrôle de l'agriculture par l'agro-alimentaire.
À travers la Révolution Verte, la Fondation Rockefeller et plus tard la Fondation Ford ont travaillé main dans la main, façonnant et soutenant les objectifs de la politique étrangère de l'Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID) et de la CIA.
L'un des principaux effets de la Révolution Verte fut de dépeupler les campagnes, de forcer les paysans à fuir vers les bidonvilles des bas quartiers autour des villes, en recherche désespérée d'un travail. Ce n'était pas le hasard, ça faisait partie du plan visant à créer des bassins de main-d'œuvre bon marché pour les prochaines industries multinationales étasuniennes, la « mondialisation » de ces dernières années.
Initialement divers programmes gouvernementaux ont tenté de fournir des prêts aux agriculteurs afin qu'ils puissent acheter des semences et des engrais. Les agriculteurs n'ayant pu participer à ce genre de programme ont dû emprunter dans le secteur privé. À cause du taux d'intérêt exorbitant des prêts, de nombreux petits paysans n'ont même pas tiré bénéfice des premiers rendements plus élevés. Après la récolte, ils ont dû vendre la majorité sinon la totalité de leur production pour rembourser les prêts et les intérêts. Devenant dépendants de prêteurs à gages et de négociants, ils ont souvent perdu leurs terres.
Cette ingénieuse caractéristique terminator du génie génétique force les agriculteurs à retourner chaque année chez Monsanto ou d'autres semenciers OGM pour obtenir de nouvelles semences de riz, de soja, de maïs, de blé, de toutes les principales cultures dont ils ont besoin pour nourrir la population. Si c'était largement adopté dans le monde, on pourrait peut-être en une dizaine d'années faire de la majorité des producteurs de nourriture du monde de nouveaux serfs féodaux, asservis à trois ou quatre géants semenciers comme Monsanto, DuPont ou Dow Chemical.
Les OGM comme arme de guerre biologique ?
L'Afrique est la prochaine cible de la campagne de dissémination mondiale des OGM du gouvernement étasunien. Ses sols riches en font un candidat idéal. Évidemment, de nombreux gouvernements africains soupçonnent le pire de la part des sponsors des OGM, car une multitude de projets de génie génétique et de bio-sécurité ont été entamés en Afrique, dans le but d'introduire des OGM dans ses systèmes agricoles. Il s'agit notamment de parrainages offerts par le gouvernement étasunien pour former aux États-Unis les scientifiques en génie génétique africains, de projets de bio-sécurité financés par l'USAID et par la Banque Mondiale ; la recherche sur les OGM impliquant les cultures vivrières indigènes africaines.
La Fondation Rockefeller a travaillé pendant des années, en grande partie sans succès, à promouvoir des projets pour introduire des OGM dans les champs d'Afrique. Elle a financé la recherche qui soutient l'applicabilité du coton OGM dans le Makhathini Flats, en Afrique du Sud.
Le but explicite du lobby des eugénistes, financé depuis les années 20 par de riches familles élitistes, comme Rockefeller, Carnegie, Harriman et autres, incorporait ce qu'ils appelaient l'« eugénisme négatif, » l'extermination systématique des lignées indésirables. Margaret Sanger, une eugéniste alerte, fondatrice de Planification Internationale de la Maternité et intime de la famille Rockefeller, a fait à Harlem en 1939 un truc appelé The Negro Project, qui, comme elle le confiait dans une lettre adressée à un ami, concernait le fait que, « nous voulons exterminer les populations noires, » tel qu'elle l'a exprimé. (Tanya L. Green, The Negro Project: Margaret Sanger's Genocide Project for Black American's : www.blackgenocide.org/negro.html)
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Global Research, par F. William Engdahl, le 4 décembre 2007
F. William Engdahl est auteur de Seeds of Destruction, the Hidden Agenda of Genetic Manipulation (graines de destruction, les projets secrets du génie génétique) qui vient d'être publié par Global Research. Il est également auteur de Pétrole, une guerre d'un siècle : L'ordre mondial anglo-américain (en français).
Nul projet n'est pour le moment plus intéressant que cette curieuse entreprise dans l'un des lieux les plus reculés du monde, à Svalbard. Bill Gates investit des millions dans une chambre forte pour semences sur la Mer de Barents, près de l'Océan Arctique, à quelque 1.100 kilomètres du Pôle Nord. Le Svalbard est un bout de roche stérile revendiqué par la Norvège et cédé en 1925 par un traité international.
Sur cette île perdue, Bill Gates investit des dizaines de millions avec la Fondation Rockefeller, Monsanto Corporation, la Fondation Syngenta et le gouvernement de Norvège, entre autres, dans ce qui est appelé doomsday seed bank [arche de Noé végétale traduit au mieux cette expression qui combine chambre forte, semences et fin des temps ou apocalypse, NDT]. Officiellement, le projet est appelé chambre forte à semences mondiales de Svalbard, sur l'île norvégienne de Spitsbergen, qui fait partie de l'archipel de Svalbard.
La chambre forte pour semences est en cours de construction à l'intérieur d'une montagne sur l'île de Spitsbergen, près du petit village de Longyearbyen. Selon leur communiqué de presse, c'est presque prêt pour le « business. »
... « Le Projet » que j'ai évoqué est, depuis les années 20, le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers d'utiliser l'eugénisme, rebaptisé aujourd'hui génétique, pour justifier la création d'une Race Supérieure génétiquement modifiée. Hitler et les Nazis l'appelaient la Race Supérieure Arienne.
L'eugénisme d'Hitler a été financé dans une large mesure par cette même Fondation Rockefeller, qui est aujourd'hui en train de construire une arche de Noé végétale pour préserver des échantillons de toutes les graines de notre planète. Cette même Fondation Rockefeller a créé la discipline pseudo-scientifique de la biologie moléculaire dans sa poursuite acharnée à réduire la vie humaine à une « séquence génique définie » qui, elle l'espérait, pourrait être ensuite modifiée dans le but de changer à volonté les caractéristiques humaines. Les eugénistes d'Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement ramenés aux États-Unis après la guerre pour y poursuivre leurs recherches biologiques sur l'eugénisme, qui ont jeté de nombreuses bases du génie génétique des diverses formes de vie, ont été ouvertement soutenus jusque dans le Troisième Reich par les généreuses subventions de la Fondation Rockefeller. (F. William Engdahl, Seeds of Destruction, Montreal, (Global Research, 2007), pp. 72-90)
Cette même Fondation Rockefeller a créé la fameuse Révolution Verte lors d'un voyage au Mexique en 1946 de Nelson Rockefeller et d'Henry Wallace, ancien secrétaire de l'agriculture de New Deal.
La Révolution Verte visait à résoudre à grande échelle le problème de la faim dans le monde, au Mexique, en Inde et dans d'autres pays choisis où travaillait Rockefeller.
En réalité, comme il est apparu des années plus tard, la Révolution Verte était une brillante manigance de la famille Rockefeller pour développer un agro-alimentaire mondialisé qu'elle pourrait ensuite monopoliser, tout comme elle l'avait fait dans le monde de l'industrie pétrolière en commençant un demi-siècle auparavant. Comme Henry Kissinger l'avait déclaré dans les années 70 : « Si vous contrôlez le pétrole vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l'alimentation, vous contrôlez la population. »
L'agro-alimentaire et la Révolution Verte de Rockefeller allaient de pair. Ça faisait partie d'une grande stratégie qui incluait le financement de la recherche par la Fondation Rockefeller pour développer quelques années plus tard le génie génétique des plantes et des animaux.
John H. Davis fut adjoint du ministre de l'Agriculture sous la présidence de Dwight Eisenhower au début des années 1950. Il quitta Washington en 1955 et se rendit à Harvard Graduate School of Business, un lieu inhabituel à cette époque pour un expert en agriculture. Il avait une stratégie claire. En 1956, Davis a écrit un article dans le Harvard Business Review, où il déclarait que « la seule façon de résoudre une fois pour toutes le fameux problème agricole en évitant la lourdeur des programmes gouvernementaux, est de faire progresser l'agriculture pour l'agro-alimentaire. » Il savait précisément ce qu'il avait en tête, même si peu de gens avaient d'indice à l'époque : une véritable révolution dans la production agricole qui concentrerait le contrôle de la chaîne alimentaire entre les mains des multinationales, loin de la traditionnelle famille d'agriculteurs. (John H. Davis, Harvard Business Review, 1956, cité par Geoffrey Lawrence dans Agribusiness, Capitalism and the Countryside, Pluto Press, Sydney, 1987. Voir aussi Harvard Business School, The Evolution of an Industry and a Seminar: Agribusiness Seminar, www.exed.hbs.edu/programs/agb/seminar.html)
En réalité, l'introduction des techniques agricoles modernes étasuniennes, les engrais chimiques et les semences hybrides commerciales, ont rendu tous les agriculteurs locaux des pays en développement, en particulier les plus grands et les plus solides, dépendants de l'étranger, surtout des produits de base de l'agro-alimentaire et de la pétrochimie étasuniennes. C'était la première étape de ce qui devait être un processus soigneusement planifié sur plusieurs décennies.
Grâce à la Révolution Verte, l'agro-alimentaire a fait de grandes percées dans des marchés dont l'accès étaient auparavant limité aux exportateurs étasuniens. La tendance a par la suite été baptisée « Agriculture orientée vers le marché. » C'était en réalité le contrôle de l'agriculture par l'agro-alimentaire.
À travers la Révolution Verte, la Fondation Rockefeller et plus tard la Fondation Ford ont travaillé main dans la main, façonnant et soutenant les objectifs de la politique étrangère de l'Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID) et de la CIA.
L'un des principaux effets de la Révolution Verte fut de dépeupler les campagnes, de forcer les paysans à fuir vers les bidonvilles des bas quartiers autour des villes, en recherche désespérée d'un travail. Ce n'était pas le hasard, ça faisait partie du plan visant à créer des bassins de main-d'œuvre bon marché pour les prochaines industries multinationales étasuniennes, la « mondialisation » de ces dernières années.
Initialement divers programmes gouvernementaux ont tenté de fournir des prêts aux agriculteurs afin qu'ils puissent acheter des semences et des engrais. Les agriculteurs n'ayant pu participer à ce genre de programme ont dû emprunter dans le secteur privé. À cause du taux d'intérêt exorbitant des prêts, de nombreux petits paysans n'ont même pas tiré bénéfice des premiers rendements plus élevés. Après la récolte, ils ont dû vendre la majorité sinon la totalité de leur production pour rembourser les prêts et les intérêts. Devenant dépendants de prêteurs à gages et de négociants, ils ont souvent perdu leurs terres.
Cette ingénieuse caractéristique terminator du génie génétique force les agriculteurs à retourner chaque année chez Monsanto ou d'autres semenciers OGM pour obtenir de nouvelles semences de riz, de soja, de maïs, de blé, de toutes les principales cultures dont ils ont besoin pour nourrir la population. Si c'était largement adopté dans le monde, on pourrait peut-être en une dizaine d'années faire de la majorité des producteurs de nourriture du monde de nouveaux serfs féodaux, asservis à trois ou quatre géants semenciers comme Monsanto, DuPont ou Dow Chemical.
Les OGM comme arme de guerre biologique ?
L'Afrique est la prochaine cible de la campagne de dissémination mondiale des OGM du gouvernement étasunien. Ses sols riches en font un candidat idéal. Évidemment, de nombreux gouvernements africains soupçonnent le pire de la part des sponsors des OGM, car une multitude de projets de génie génétique et de bio-sécurité ont été entamés en Afrique, dans le but d'introduire des OGM dans ses systèmes agricoles. Il s'agit notamment de parrainages offerts par le gouvernement étasunien pour former aux États-Unis les scientifiques en génie génétique africains, de projets de bio-sécurité financés par l'USAID et par la Banque Mondiale ; la recherche sur les OGM impliquant les cultures vivrières indigènes africaines.
La Fondation Rockefeller a travaillé pendant des années, en grande partie sans succès, à promouvoir des projets pour introduire des OGM dans les champs d'Afrique. Elle a financé la recherche qui soutient l'applicabilité du coton OGM dans le Makhathini Flats, en Afrique du Sud.
Le but explicite du lobby des eugénistes, financé depuis les années 20 par de riches familles élitistes, comme Rockefeller, Carnegie, Harriman et autres, incorporait ce qu'ils appelaient l'« eugénisme négatif, » l'extermination systématique des lignées indésirables. Margaret Sanger, une eugéniste alerte, fondatrice de Planification Internationale de la Maternité et intime de la famille Rockefeller, a fait à Harlem en 1939 un truc appelé The Negro Project, qui, comme elle le confiait dans une lettre adressée à un ami, concernait le fait que, « nous voulons exterminer les populations noires, » tel qu'elle l'a exprimé. (Tanya L. Green, The Negro Project: Margaret Sanger's Genocide Project for Black American's : www.blackgenocide.org/negro.html)
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