29 juin 2007
5
29
/06
/juin
/2007
18:40
LE MONDE | 29.06.07 | 12h24 • Mis à jour le 29.06.07 | 18h51
Egalité, ne transigeons pas !" C'est le mot d'ordre qui a été choisi pour la Marche des fiertés lesbiennes, gaies, bi et trans, qui aura lieu samedi 30 juin, à Paris. Cette année, ce rendez-vous festif est dominé par les deux promesses faites par Nicolas Sarkozy pendant la campagne : le contrat d'union civile, qui ouvrira aux homosexuels les mêmes droits que les couples mariés à l'exception de la filiation, et le statut du beau-parent, qui s'appliquera aux familles recomposées et homoparentales.
Pendant la campagne, Nicolas Sarkozy avait tenu à se démarquer de l'image que la droite avait donnée en 1999, lors du débat sur le pacte civil de solidarité. "On s'est trompé sur le pacs, admettait-il en avril dans Têtu. Je l'ai dit très tôt. Je ne traite pas ces questions à la légère parce qu'il y a beaucoup de souffrance derrière, pas du fait d'être homosexuel mais à cause du regard des autres et de l'incompréhension. Ce n'est pas acceptable d'humilier ou de détester quelqu'un en raison de son identité sexuelle."
Egalité, ne transigeons pas !" C'est le mot d'ordre qui a été choisi pour la Marche des fiertés lesbiennes, gaies, bi et trans, qui aura lieu samedi 30 juin, à Paris. Cette année, ce rendez-vous festif est dominé par les deux promesses faites par Nicolas Sarkozy pendant la campagne : le contrat d'union civile, qui ouvrira aux homosexuels les mêmes droits que les couples mariés à l'exception de la filiation, et le statut du beau-parent, qui s'appliquera aux familles recomposées et homoparentales.
Pendant la campagne, Nicolas Sarkozy avait tenu à se démarquer de l'image que la droite avait donnée en 1999, lors du débat sur le pacte civil de solidarité. "On s'est trompé sur le pacs, admettait-il en avril dans Têtu. Je l'ai dit très tôt. Je ne traite pas ces questions à la légère parce qu'il y a beaucoup de souffrance derrière, pas du fait d'être homosexuel mais à cause du regard des autres et de l'incompréhension. Ce n'est pas acceptable d'humilier ou de détester quelqu'un en raison de son identité sexuelle."