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25 janvier 2024 4 25 /01 /janvier /2024 16:04

Le Figaro indique : "Notre pays a enregistré en 2023 son niveau de naissances le plus bas depuis 1945".

 

Une hypothèse occultée, non commentée dans l'univers médiatique, est le lien possible de la chute des naissances avec l'injection expérimentale Covid.

Déclin / Déclassement : La baisse de notre natalité menace aussi les fondements de la puissance française. Un lien avec le vaccin Covid ?

Le nombre de naissances a reculé de 6,8% entre janvier et novembre 2023 par rapport à la même période l'année précédente, selon l'Insee. Pour le consultant Aurélien Duchêne, notre déclin démographique compromet aussi nos investissements en matière de recherche ou de défense.

 

...

 

Notre pays a enregistré en 2023 son niveau de naissances le plus bas depuis 1945. Seuls 678.000 bébés sont nés en France l'an dernier, contre 818.000 en 2014. Sur la même période, notre taux de fécondité est passé de 2,00 à 1,68, s'éloignant du seuil de renouvellement des générations (2,1), et se rapprochant du taux de fécondité moyen en Europe (1,53). L'augmentation du solde migratoire n'a pas empêché le taux de croissance de la population française de passer de 0,5% en 2017 à 0,3% en 2022. Avec 47 000 naissances de plus que de décès, l'excédent naturel est au plus bas depuis l'après-guerre. Selon une étude de l'Insee de 2021, notre solde naturel deviendra négatif à partir de 2035 ; à partir de 2044, même avec un solde migratoire inchangé, notre population devrait diminuer après avoir plafonné à 70 millions d'habitants.

 

Il y a dix ans seulement, les projections indiquaient que la population française croîtrait encore des décennies à un niveau soutenu, au point de dépasser celle de l'Allemagne. La France devait redevenir le pays le plus peuplé d'Europe, ce qu'elle avait été jusqu'en 1870. Ce scénario est aujourd'hui enterré, la France devant même être toujours plus distancée dans les décennies qui viennent par le Royaume-Uni. Rejoignant l'obsession française du «rang» autant que celle, tout aussi tenace, de la compétition avec nos grands voisins, cette comparaison peut paraître secondaire. Mais elle rappelle que la baisse de la natalité n'est pas sans conséquences géopolitiques.

 

Pour des raisons socio-économiques bien connues d'abord. Alors que nous comptions cinq actifs pour un retraité en 2050, et près de trois en 2020, ce ratio devrait tomber à 1,8 en 2050 : la baisse de la natalité devrait encore aggraver ce déséquilibre. De quoi alourdir les prélèvements sociaux aux dépens de l'activité économique, et les dépenses sociales au détriment d'autres priorités. Notre pays disposera d'encore moins de marges de manœuvre pour financer ses services publics de base, mais aussi pour des investissements d'avenir, et des priorités stratégiques telles que la recherche ou la défense. Le financement de telles dépenses sera aussi rendu d'autant plus compliqué par le ralentissement économique que devrait entraîner le déclin démographique.

 

"La relance de notre natalité est un impératif de politique sociale, elle doit aussi devenir une priorité stratégique." Aurélien Duchêne

 

La diminution de la population active signifiera également moins de main-d'œuvre et de cerveaux dans des secteurs stratégiques. Même en augmentant l'immigration qualifiée, une gageure, elle compliquera aussi d'autant plus les efforts de réindustrialisation de notre pays, voire le maintien de filières cruciales pour notre prospérité et notre souveraineté. Alors que nos armées font déjà face à une crise des effectifs inédite, la diminution de la natalité pourrait compliquer encore l'entretien de notre puissance militaire dans un monde dangereux. Même avec une armée professionnelle moins dépendante de la pyramide des âges, et un vivier de talents pour les métiers qualifiés de la défense.

 

 

Face à une telle perspective, comment favoriser un rebond de la natalité ? La dénatalité se retrouve bien sûr dans tant d'autres pays qui connaissent des problèmes économiques et sociaux similaires. Mais outre les difficultés propres à notre pays, la situation en France a été en grande partie aggravée par le détricotage des politiques familiales, particulièrement depuis 2014, comme l'attestent désormais de nombreuses études. Au-delà des mesures esquissées par le président de la République pour un «réarmement démographique» , revenir sur ces atteintes envers notre politique familiale qui ont accéléré le déclin de notre natalité pourrait contribuer à redresser celle-ci.

 

D'autres solutions peuvent être explorées, notamment des dispositifs supplémentaires à partir du deuxième ou du troisième enfant. Ou encore des mesures ciblées selon les territoires ou catégories socio-professionnelles au déclin démographique le plus prononcé, sans aller jusqu'à une complexité administrative excessive. Autant de mesures coûteuses, mais qui seraient autant d'investissements d'avenir. Enfin, c'est notamment sur le logement des jeunes et la conciliation de leurs vies familiale et professionnelle qu'il est possible de faire bouger les lignes.

 

Au-delà, la clé est bien sûr la confiance en l'avenir. De la panne de l'ascenseur social à celle du pouvoir d'achat, de la dégradation des services publics à celle de la qualité de vie, les Français se limiteront dans leur désir d'enfants tant qu'ils vivront un déclassement réel ou ressenti. Les Français veulent plus d'enfants (en moyenne, 2,39 par famille), mais craignent souvent de les élever dans l'incertitude. Toutes proportions gardées, l'actualité internationale n'est probablement pas étrangère à cela, à l'instar des préoccupations écologiques.

 

Ce qui est certain, c'est que la baisse de notre natalité menace aussi des fondements de la puissance française. Notre pays est obsédé par son déclin, souvent exagéré, autant que par sa grandeur passée ; son déclin démographique bien réel compromet sa puissance future. La relance de notre natalité est un impératif de politique sociale, elle doit aussi devenir une priorité stratégique.

 

Source :

 

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/la-baisse-de-notre-natalite-menace-aussi-les-fondements-de-la-puissance-francaise-20240117

Aujourd'hui donc, "la baisse de la natalité n’est plus dissimulée mais le mensonge se déplace: elle serait totalement expliquée par des données indépendantes des vaxxxxccccins ARNm.

Déclin / Déclassement : La baisse de notre natalité menace aussi les fondements de la puissance française. Un lien avec le vaccin Covid ?

"Il y a 60 000 naissances en moins qui sont inexplicables si on ne veut pas poser la question des effets de la spike vaccccxxinale. Pourquoi la chute des conceptions est t elle synchronisée aux campagnes d’injections ?", demande Patrice Gibertie sur son site.

 

"On attendait au moins 730 000 naissances , il en manque plus de 60 000, les explications officielles ne peuvent l’expliquer."

Coïncidence relevée par Marco Nius : La spectaculaire augmentation des hospitalisation pour des tests et recherches de problème de fertilité depuis 2021. 

 

Comme diraient les covidistes, "c'est juste 2500 en plus".

 

Le chiffre de 2023 est provisoire Il y a déjà une augmentation de +240% par rapport à 2019 :

Déclin / Déclassement : La baisse de notre natalité menace aussi les fondements de la puissance française. Un lien avec le vaccin Covid ?
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