Pour qui roulent les homosexualistes LGBT ? Evidemment, en plus de leurs offensives pour la légalisation du "mariage gay" dit "mariage pour tous", alors qu'il ne s'agit que du "mariage de quelques-uns des homosexuels et encore pas tous" (!), et l'adoption des enfants, ils sont aussi pour la guerre commerciale, et pas n'importe laquelle, celle qui fera le maximum de dégâts, les futurs massacres de populations, la manipulation, la désinformation médiatique, les medias-mensonges, la falsfication, l'inversion accusatoire et le bombardement de la Syrie (voir leurs interventions sur "Huffington Post", le torchon web dirigé par Anne Sinclair) : peu importe s'ils laissent derrière eux un champ de ruines, il faut bien apporter la démocratie aux "races inférieures" (comme disait le "grand ancêtre" Jules Ferry, à qui François Hollande a rendu hommage pour lancer son mandat présidentiel) ! "La fin sanctifie les moyens (Adam Weishaupt)", "on ne fait pas d'omelettes sans casser d'oeufs", ressassent les grands défenseurs des "droits de l'homme"... Irak, Afghanistan, Libye.... Et puis leurs entreprises raffleront les contrats de "reconstruction" !
La campagne médiatique autour de la Russie bat son plein suite à l’adoption d’une loi interdisant la promotion auprès des mineurs des formes de sexualité non traditionnelles.
L’acteur anglais Stephen Fry s’est lancé dans un plaidoyer outrancier visant à obtenir "une interdiction absolue des Jeux olympiques d’hiver 2014 à Sotchi" en raison des "persécutions" à l’encontre de la communauté LGBT (Lesbiennes, gays, bi et trans) en Russie, similaires selon lui aux "répressions des Juifs en Allemagne lors des JO de Berlin en 1936".
De son côté, la ministre allemande de la Justice Sabine Leutheusser-Schnarrenberger a estimé que son pays pourrait boycotter les JO de Sotchi en raison de la loi de plus en plus souvent qualifiée d’"anti-gay". Cette expression, si l’on cherche à rester rigoureux, doit être rejetée: le droit à la liberté sexuelle est reconnu par la Constitution russe. Il est d’ailleurs à espérer que celle-ci sera garantie, et que les autorités russes ne tolèreront pas d’éventuelles dérives ou violences envers les homosexuels. Ce qui n’est plus légal, c’est la promotion publique de ce type de sexualité auprès des mineurs (dans les films et médias notamment).
Le "deux poids, deux mesures", est évident: on réclame le boycott des JO de Sotchi, mais personne ne songe à obtenir celui de la Coupe du monde de 2022 au Qatar, où les relations homosexuelles sont interdites par la loi. C’est qu’on ne touche pas au Qatar, qui prouve qu’on peut être le grand ami de l’Europe sans être celui des libertés, ou encore à l’Arabie saoudite, où l’homosexualité est également proscrite. Des alliés de longue date, devant lesquels la France a coutume de dérouler le tapis rouge.
Mais au fond, cherche-t-on réellement à défendre les droits des gays? Si tel était le cas, ne lancerions nous pas en priorité des campagnes visant à raisonner le Qatar ou le Soudan, plutôt que contre la Russie? N’oublions pas que Moscou compte des bars "gays" qui ont pignon sur rue, et que des personnalités célèbres du monde de la culture et de la télévision sont homosexuelles, ce qui est de notoriété publique sans pour autant qu’elles en fassent étalage.
Pourquoi le boycott est-il ouvertement suggéré pour Sotchi, mais pas pour Doha?
En réalité, la récente campagne constitue un énième prétexte visant à attiser un contexte de tension géopolitique au sens large avec la Russie. Les références à l’Allemagne hitlérienne, aux JO de 1936, et les tentatives d’isolement de Moscou autour du thème des gays (comparés en filigrane aux juifs) s’inscrivent dans une guerre larvée qui oppose d’une part l’Occident, c’est-à-dire les Etats-Unis et l’Europe qui parachèvent leur intégration morale ("réforme de civilisation" selon le mot de Christiane Taubira, dirons-nous NdCR.), et la Russie, qui poursuit un virage conservateur mal perçu à l’ouest. La Russie est présentée comme la nouvelle "bête immonde".
Et les médias sont ici dans l’impasse: si des Russes s’étaient levés lors des fraudes électorales de fin 2012, fournissant de l’eau au moulin des critiques du "système Poutine", la société russe ultra-majoritairement conservatrice soutient largement la loi (à 88% NdCR.) sur la propagande gay, ce que montrent les sondages. Ce n’est plus le pouvoir qui est visé, mais bien la société russe.
Ce que l’on ne pardonne pas aux Russes, c’est d’être l’un des derniers peuples européens à refuser la subversion généralisée des valeurs, vendue aux électeurs occidentaux comme un progrès à "sens unique". Obstinément, la Russie résiste à un "monde libre" de plus en plus inquisiteur et totalitaire (comme le montre l’affaire Snowden), et rejette en bloc l’équation de base "transgression des valeurs = progression vers la liberté".
Les tensions autour de la loi sur la "propagande gay" doivent être prises au sérieux: elles signifient que désormais, aucun pays européen (et européen seulement, les autres étant exemptés) n’a le droit de vouloir conserver un modèle de société traditionnel.
Ne pas "aller de l’avant", c’est désormais se rendre coupable aux yeux du Nouvel ordre moral promu par l’Occident.
Source: (merci à Truth) http://impressionsrusses.wordpress.com/2013/08/14/propagande-gay-entre-hysterie-mediatique-et-offensive-geopolitique/
. Syrie. De La Manif pour tous à la défense de la paix
. Syrie : la stratégie du chaos contre les intérêts français (Jean-Yves Le Gallou)
. 88% des Russes pour l'interdiction de la propagande homosexuelle
. La loi Taubira portera-t-elle l'estocade à la Révolution ?
. "La Révolution n'est pas terminée" (Vincent Peillon) : la femme à travers les siècles !
commenter cet article …