Cette loi Rothschild Pompidou Giscard de 1973 interdit à la France de prendre ses crédits à l'escompte auprès de la Banque de France (sans intérêts), et l'oblige à emprunter auprès des banques privées (avec intérêts...) Ce qui s'assimile ni plus ni moins pour la France à une suppression de son droit régalien à battre monnaie (droit ancestral, droit marquant la souveraineté et l'indépendance), et donc à un vol à grande échelle par les banksters internationaux... Désormais, et depuis 1973, nous ne sommes plus indépendants monétairement, l'argent est créé par les banques privées via l'Argent-dette. L'oligarchie gravitant autour des banques privées internationales s'engraisse sur le dos des Français qui travaillent tels des esclaves à vie pour rembourser la dette avec ses intérêts et avec transmission de l'héritage aux descendants s'il vous plaît !... Le tout pour le remboursement d'une dette que d'autres leur ont imposée.
Marine Le Pen sur Radio Courtoisie l'a bien compris et a fait cette courageuse et historique déclaration : "Nous sortirons de ce système. Et c'est bien pour cela que nous sommes leur ennemis jurés et qu'ils sont capables de tout pour nous empêcher d'arriver au pouvoir. Parce que si nous arrivons au pouvoir, nous allons tourner le dos à la décision mortifère de 1973 qui a consisté à obliger la France à aller emprunter sur les marchés financiers internationaux. C'est cela qui a plombé notre économie et notre liberté. C'est cela qui fait que nous sommes dans la situation d'un ménage surendetté. ... Plus nous empruntons plus nous sommes endettés, plus nous sommes endettés, plus nous empruntons avec un taux d'intérêt important, plus nous sommes endettés, etc. C'est peut-être la décision la plus essentielle et la plus immédiate à mettre en oeuvre le jour où nous arriverons au pouvoir : retrouver notre liberté monétaire, retrouver le droit de battre monnaie, réinstaller la Banque de France dans ses prérogatives et sortir de ce système mortel du système financier international où en réalité nous avons déjà payer en intérêts l'équivalent de notre dette !"
Enfin, Marine Le Pen analyse bien les enjeux réels d'une telle réforme : "Si nous faisons cela, si nous retrouvons notre liberté, tout le monde après nous retrouvera sa liberté, et c'est bien ce que craignent les tenants de cet Ordre mondial, c'est bien ce que craignent les tenants de ce Système monétaire international : si un seul pays retrouve sa liberté, et démontre par là que nous sommes capables de recréer la propsérité, il en sera fini des 1% de cette hyperclasse qui vit tellement bien de la mondialistation au détriment des 99% d'autres." (Fin de citation)
Précisons pour Marine Le Pen, - qui doit sans doute le savoir mais on ne sait jamais -, une autre personnalité politique en son temps, il y a soixante-dix ans... s'attaqua aux puissances d'Argent apatrides et internationalistes, ce faisant il désigna les forces qui devaient l'abattre, s'acquérant leur haine perpétuelle : le Maréchal Pétain. Qui avertit : "Je vous le dis avec toute la conviction dont je suis pénétré : si la paix qu'attendent ces mauvais Français consiste à revenir aux moeurs politiques, économiques et sociales d'avant-guerre, la France ne se relèvera pas" (Messages, 4 avril 1943, cité in Jacques Ploncard d'Assac, Doctrines du nationalisme, Editions du Fuseau, Meaux, 1965, p. 64).
"À la suite de l'expérience, je corrigerai l'oeuvre entreprise et je reprendrai, contre un capitalisme égoïste et aveugle, la lutte que les souverains de France ont engagée et gagnée contre la féodalité.... J'entends que notre pays soit débarrassé de la tutelle la plus méprisable : celle de l'argent" (Discours à la Jeunesse de France, 29 décembre 1940).
"Et il annonçait: 'Deux principes essentiels nous guideront : l'économie doit être organisée et contrôlée. La coordination par l'Etat des activités privées doit briser la puissance des trusts et leur pouvoir de corruption' (Message au Peuple Français, 11 octobre 1940). En parlant ainsi, le Maréchal désignait les forces qui devaient l'abattre." (Source: Jacques Ploncard d'Assac, Critique nationaliste, La Librairie Française, Paris 1960, p.171-186)
- Dette Rothschild : Pourquoi et comment la France est asservie par les banques ?
- Money as debt - L'argent dette
- John Perkins, confessions d'un corrupteur de nations
- Mensonge du siècle : "sauf accident majeur, cette opération n'aura pas de coût pour le contribuable" (le plan de refinancement des banques aura coûté 360 milliards d'Euros mais "n'aura pas de coût pour le contribuable" ! dixit François Fillon.)
- La dette de l'Etat passe la barre des 1500 milliards, soit 80 % du P.I.B.
- Crise de la dette : Après la Grèce, le Portugal et l'Espagne, la France ?
- La communiste Annie Lacroix-Riz contre Pétain