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Christ Roi

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 17:05

http://a.abcnews.com/images/Health/gty_surgery_mi_130708_16x9_992.jpgUne femme nommée Colleen Burns a récemment ouvert les yeux en se retrouvant sur une table d'opération d'un hôpital de Syracuse (état de NY). Regardant autour d'elle, elle remarque qu'elle est le sujet d'une opération. Il s'avère que des médecins étaient sur le point de prélever ses organes et de les envoyer à d'autres chirurgiens qui les attendaient pour réaliser une transplantation sur d'autres patients.

 

Ce n'est pas une fiction. Cela a été rapporté par ABC News et plusieurs autres sources d'information. Cela s'est vraiment passé.

 

Et de quelle manière est-ce arrivé ? Les médecins ont faussement prononcé sa mort en déclarant frauduleusement qu'elle avait succombé à un "arrêt cardiopulmonaire" et à un "dommage cérébral irréversible". Ce qui leur a donné une justification médicale pour commencer à ouvrir alors même que le cœur de la femme battait encore.

 

 

 

C'est un sacré truc sur les dons d'organes : les médecins n'attendent pas que vous soyez réellement mort. Au moins pas selon la définition normale de "mort".

 

Vous voyez, vous et moi pensons que "mort" signifie que le cœur ne bat plus, que le cerveau ne fonctionne pas et que vous êtes sans vie. Mais les hôpitaux – qui génèrent d'immenses profits avec le trafic de transplantations d'organes – sont très motivés à vous déclarer "cliniquement mort" longtemps avant que vous ne le soyez vraiment.

 

Ils peuvent en fait vous déclarer "mort" même lorsque votre cœur bat encore et que vous avez toujours une activité cérébrale. Et ils le font souvent. Voilà comment bon nombre de prélèvements d'organes sont pratiqués en réalité en Amérique : des patients au seuil de la mort (mais pas vraiment morts) sont simplement "déclarés" morts, puis leurs organes sont rapidement enlevés, les tuant pour de bon.

 

C'est un crime qui se passe tous les jours en Amérique, où les hôpitaux ont été pris à maintes reprises sur le fait de participer à un trafic d'organes au marché noir.

 

 

 

Une industrie de plusieurs milliards de dollars

 

Le trafic d'organes est une industrie de plusieurs milliards de dollars. Des gens riches autour du monde sont toujours dans l'attente de nouveaux reins, de nouveaux foies, de nouveaux cœurs et d'autres parties du corps.

 

 

Et devinez qui gagne des sous sur toutes ces transplantations d'organes ? Les médecins, les hôpitaux et les sociétés pharmaceutiques, bien sûr. Les transplantations d'organes sont une industrie immensément profitable – largement parce qu'ils obtiennent gratuitement les organes. L'entourage des patients qui sont tués par ces médecins ne reçoit jamais d'argent pour les organes. Le fait que les patients fassent un "don" signifie en réalité qu'ils font don d'organes de très grande valeur pour un système de profit qui va tirer potentiellement des millions de dollars des organes d'un seul donneur.

 

Alors tandis que le patient donneur est assassiné pour ses organes, les médecins démarrent l'enlèvement et la transplantation des organes et s'enrichissent. Les receveurs de transplantations et les sociétés d'assurance santé paient très cher pour la chirurgie de transplantation et les profits se poursuivent parce que les receveurs doivent aussi payer pour des médicaments anti-rejet au long cours, tous à un prix fixé par monopole (bien sûr).

 

 

La vérité doit être dite, l'industrie de la transplantation d'organes n'est qu'une histoire de fric à tout prix. C'est un meurtre de patients, qui auraient pu autrement survivre, dans le but de prendre leurs organes et de gagner des millions de dollars en les transplantant chez d'autres patients...patients qui n'ont habituellement que quelques mois à vivre même après la transplantation.

 

Les organes transplantés sont souvent en mauvais état ou infectés

 

Voici un autre vilain piège que l'industrie de transplantation d'organes ne vous dira jamais : les organes qui sont transplantés chez d'autres patients sont souvent définitivement en mauvais état et très infectés.

 

 

Pour une autre preuve à ce sujet, prenons le cas de Colleen Burns, mentionnée ci-dessus. Elle a tenté de se suicider en prenant un mélange de médicaments. Selon les médecins, ce cocktail toxique de produits chimiques était fatal, et il l'a tuée (ils ont prononcé sa mort).

 

En même temps, ils ont insisté pourtant sur le fait que ses organes étaient suffisamment sains pour être transplantés sur un autre patient ! C'est pourquoi ils ont presque commencé à les prélever.

 

En d'autres mots, même les organes que les médecins jugent lourdement endommagés par des cocktails chimiques seront quand même transplantés chez d'autres patients ! (c'est 100 % exact).

 

Mais c'est encore pire que ça...

 

Les organes transplantés sont souvent truffés de maladies : hépatite, virus à discrétion, maladie de la vache folle et pire

 

Il n'y a effectivement aucune norme de qualité dans l'industrie de la transplantation d'organes. Si l'organe fonctionne toujours d'une manière ou d'une autre, il est "assez bon" pour être collé sur un patient même si cet organe peut en réalité le tuer.

 

 

L'une des raisons pour lesquelles les patients transplantés meurent souvent si rapidement après avoir reçu un transplant est que les organes qu'ils reçoivent sont des bombes de maladies à retardement.

 

Introduire un cœur ou un rein malade dans le corps de quelqu'un, par exemple, peut soudain infecter cette personne avec des centaines ou même des milliers de virus et de maladies transmises par le sang qui submergent leur système immunitaire affaibli. C'est encore aggravé par les médicaments anti-rejet qui, par définition, entraînent une suppression extrême de la fonction immunitaire.

 

 

Donc au moment exact où de nouvelles maladies sont introduites dans le corps du receveur d'organes, leur système immunitaire est ébranlé par les médicaments anti-rejet. C'est sans surprise la recette des catastrophes et une raison pour laquelle tant de patients meurent si vite après réception des organes d'un "donneur".

 

Un vétéran de la guerre d'Irak tué par une transplantation de poumons atteints de cancer

 

En exemple de ce que je viens de décrire, en 2009, un vétéran de la guerre d'Irak nommé Matthew Millington a reçu une transplantation d'un poumon qui était atteint d'un cancer à évolution rapide.

 

 

Il n'est pas étonnant qu'il soit mort moins de 10 mois après. Les médecins et chirurgiens de sa transplantation l'ont-ils remboursé pour ce travail bâclé ? Bien sûr que non ! Les transplantations d'organes ne sont pas garanties et on vous donne un organe malade, endommagé ou largement infecté qui va vous tuer. (Mais vous allez quand même payer!)

 

Il y a en gros 100.000 personnes aujourd'hui en attente de transplantations d'organes aux USA. Mais il n'existe qu'un petit nombre d'organes disponible dans une année donnée, les médecins sont donc sous une intense pression pour 1) prélever des organes de gens qui ne sont pas encore morts, et 2) utiliser N'IMPORTE QUEL organe qu'ils peuvent trouver, même des organes atteints de maladies.

 

De nouveau, ce sont les sales petits secrets de l'industrie de la transplantation d'organes dont aucun médecin ne vous parlera. Attendez-vous à n'entendre que des dénégations si vous posez une question aux médecins transplanteurs.

 

Il est nécessaire que davantage de donneurs sains meurent subitement

 

L'autre handicap auquel fait face l'industrie de la transplantation est que les gens sains qui prennent soin de leur corps grâce à la nutrition et à l'exercice physique n'ont pas tendance à mourir très souvent. Le type de personne à mourir plus probable (et donc plus propice à donner des organes) sont les alcooliques, les accro à la drogue, les obèses et les malades en général. Alors voilà le genre d'organe rendu disponible pour la transplantation : de méchants foies "graisseux" et des poumons cancéreux, par exemple.

 

 

Idéalement, l'industrie de transplantation aimerait voir beaucoup de jeunes en bonne santé décapités dans des exercices militaires ou des accidents d'automobile. Cela fournirait un approvisionnement frais d'organes sains qui vaudrait le coup. En Chine, bien sûr, c'est pourquoi les membres du Falun Gong sont habituellement arrêtés et emprisonnés : ils suivent des régimes très sains et ont donc des organes de grande qualité qui peuvent être prélevés avec profit sur les prisonniers politiques.

 

 

Pratiquer l'arrestation de gens, les emprisonner et parfois les tuer pour leurs organes est bien plus répandu que vous ne l'imaginez. Comment supposez-vous que Steve Jobs a obtenu un nouveau foie si rapidement, alors que des milliers d'autres gens en attendaient un ? Il l'a acheté. Tiens, pensez-vous vraiment que Steve Jobs soit resté en file d'attente comme tous les autres et qu'un foie soit apparu magiquement beaucoup plus vite que pour quelqu'un d'autre ?

 

Consentement présumé

 

Il existe une offensive mondiale pour prélever les organes de quiconque n'exprime pas explicitement son refus. Ces lois sont appelées lois de "consentement présumé" et elles n'existent que pour fournir un approvisionnement en organes humains frais qui vont générer des milliards de dollars de profit pour une industrie psychopathe à l'esprit criminel.

 

Comme l'explique un article du Journal Médical britannique de 2011, ces lois de consentement présumé signifient que des médecins peuvent commencer à prélever les organes de votre femme, de vos enfants ou d'autres proches sans même demander la permission aux membres de la famille !

 

Comme l'explique cet article :

 

Le consentement présumé est connu autrement comme système de "dérogation" et signifie que sans le souhait express exprimé de ne pas être donneur d'organes, on suppose qu'il y a consentement. Ce peut être dans le détail connu comme une "dérogation à la dure" où la famille n'est pas consultée.

 

 

Source : http://www.naturalnews.com/041152_transplant_patients_organ_harvesting_presumed_consent.html via (traduction) http://bistrobarblog.blogspot.fr/2013/07/elle-se-reveille-au-moment-ou-on-va-lui.html

 

 

- Mort cérébrale : Les artifices du consentement présumé

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