Après avoir démontré que la "volonté générale" est une tromperie servant d'abord une idéologie, celle des "initiés", nous allons présenter un exemple concret et actuel prouvant la main mise du Pouvoir occulte, et d'un Pouvoir occulte étranger sur la politique du pays, en citant Paul Chaussée indiquant deux coupures de presses du Monde et de Tribune juive :
"Par un entrefilet dans le journal Le Monde (26.3.86), le B'naï B'rith rappelait à la droite victorieuse l'engagement qu'elle avait souscrit de ne s'allier en aucun cas au Front national. ... la signature de cet engagement avait été la condition sine qua non du soutien du Pouvoir occulte à l'exercice d'un pouvoir relatif et à l'élection ultérieure de Chirac à la présidence. Pendant dix ans les politiciens de 'droite' et le B'naï B'rith sont restés sourds aux demandes d'explications. Ce n'est qu'en 1997, un an après l'élection de Jacques Chirac, qu'on a pu lire dans Tribune juive (du 20.3.97) : "Y a-t-il des organisations juives qui cherchent à peser sur la vie politique de notre pays pour empêcher que la droite traditionnelle ne contracte des alliances avec l'extrême-droite ? - La réponse est oui. - Cela est-il répréhensible? - Que nenni !" (cité in Présent 26.3-97). En d'autres mots, Tribune juive trouve normal qu'une organisation maçonnique juive américaine fasse la politique de la France. Cet aveu cynique prouve que, contrairement aux beaux principes démocratiques, le pouvoir n'appartient plus ni à la Nation ni à ses élus, mais qu'il a été confisqué par une puissance étrangère secrète qui donne ses ordres auxquels nos politiciens obtempèrent. ... Les politiciens qui prétendent n'obéir qu'à la "Volonté générale" de la "Nation", se sont volontairement inféodés à une puissance étrangère au mépris des intérêts réels du pays. Voilà l'une de des trahisons (inhérentes à la Démocratie) qui rend les gouvernements impuissants et les Etats décadents" (Paul Chaussée, Miracle et Message du Saint Suaire, Ulysse, Bordeaux 1999, p. 57-58).
"Le B'naï B'rith (mots hébreux signifiant "fils ou princes de l'alliance, ou de la promesse"), c'est une obédience maçonnique fondée à New York en 1843 et réservée aux seuls israélites (Loges dans une cinquantaine de pays). Les élections du 16 mars 1986 avaient envoyé à la chambre 35 députés du Front National, d'où la réaction du CRIF et du B'naï B'rith dont Le Monde du 26 mars publiait le communiqué sous le titre "Inquiétude dans la communauté juive". Ce communiqué déclarait : "Les associations B'naï B'rith lancent un appel à la vigilance, attirent l'attention des partis de la nouvelle majorité contre toute tentation de vouloir reprendre les slogans extrémistes sur l'insécurité et les idées xénophobes à l'encontre des immigrés, et rappellent aux représentants de ces partis leurs engagements pris, au cours des forums du B'naï B'rith , devant la communauté, déclarations reprises après proclamation des résultats du vote, de ne s'allier en aucun cas au Front National." (Paul Chaussée, ibid, note 7, p. 62.)
Aujourd'hui, en 2007, Naggy-Sarközy est selon un article de Libération (Antoine Guiral) du 4 décembre 2006, le "candidat naturel des électeurs juifs". Il ne représente donc pas les intérêts nationaux des Français. Pas plus que Ségolène Royal, les deux formant un binome, Janus à deux visages, chargé d'empêcher le retour des nationalistes au pouvoir et toute reconstitution de la Société sur ses bases naturelles. On vit déjà cette collusion de la gauche et de (fausse) droite, l'alliance des plouto-démocrates, dès le XIXe siècle, en 1830, 1848, 1870, au XXe siècle, en 1934, 1944, 1986, 2002.