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Christ Roi

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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 14:49
Tout d'abord je précise que je ne suis pas 'pétainiste'. Pétain en 1940 eut pu restaurer la monarchie, il ne le fit pas. Vichy fut "une autre république", une "nouvelle forme de République".

"La loi constitutionnelle du 10 juillet 1940. ... Sur 126 socialistes, 36 seulement ont voté non, et sur 197 radicaux, seulement 27.

260 députés républicains de gauche ont voté la loi. ... Avec Vichy, on a une république autoritaire, laïque au vrai sens du terme, axée à droite avec un caractère conservateur, rural et corporatiste. C'est une autre forme de république, mais c'est une république" (François-Georges Dreyfus, Et si Vichy n'était qu'une autre forme de république? in La nouvelle Revue d'Histoire, N° 29, mars-avril 2007, p. 56-59).

L'historienne communiste
Annie Lacroix-Rizau sujet de son livre Le Choix de la défaite (2006) développe une thèse originale, prétend avoir fouillé dans les archives et conclue que Pétain et les fascistes au pouvoir entre 1940 et 1944 (le Choix de la défaite) c'était un complot d'une organisation secrète 'la synarchie' (ayant refait surface en 1922, regroupant la banque Worms, la banque Le Hideux et la banque d'Indochine), un complot du capital contre la république, un complot 'qui voulait liquider la république', afin 'de doter la France d'institutions susceptibles d'empêcher les salariés de se défendre'... Ces 'complots pour liquider la république' se seraient 'associés les ligues'.

Qu'en est-il au juste?
Je n'ai pas lu son livre, mais dans cette video je ne perçois aucune preuve à part des incantations, des cris, aucune source citée, aucun élément probant fourni. Par contre, je constate une chose : encore une fois, communistes et libéraux se serrent les coudes et s'associent pour désigner ensemble la Bête immonde...

Curieux mais la chose me rappelle un certain avril 2002...



Jacques Ploncard d'Assac a écrit sur le thème développé.

Il ressort que contrairement à la thèse de la marxo-léniniste Annie Lacroix-Riz, Pétain, le Gouvernement de Vichy, fut tout sauf un gouvernement au service du capital..., tout sauf un complot voulu par les forces d'argent pour renverser la république... Ce serait même l'inverse qui serait vrai. Ce serait plutôt un sursaut nationaliste contre les forces d'argent apatrides et internationalistes...

Je citerai ici quelques éléments du chapitre Le sens de la Seconde Guerre mondiale du livre "Critique nationaliste" (La Librairie Française, Paris 1960) de
Jacques Ploncard d'Assac avec quelques citations du Maréchal Pétain et du pape Léon XIII qui montrent l'exact inverse de la thèse développée par Annie Lacroix-Riz.

"Quand on voudra bien étudier cette prodigieuse période qui va de 1940 à 1944, ... on sera surpris de constater que jamais on ne fut si près de 'reconstituer la société sur ses bases naturelles' (Comte de Chambord, Manifeste du 30 octobre 1873).

Deux grands procès s'étaient ouverts parallèlement: celui du libéralisme et celui du marxisme, et l'ordre corporatif apparaissait comme la libération de l'Argent et de la Subversion.

C'était cette libération qui eut été la véritable. On sait ce qu'il en advint.

Mais le grand mouvement d'idées qui s'opéra alors a laissé des traces, et des livres qu'on avait fermés, voilà vingt ans apprennent aux jeunes tout à la fois le véritable visage de ce temps et les promesses de libération qu'il portait. Ils comprennent alors les mensonges de l'histoire et les secrètes raisons des menteurs, car la reconstitution de la société sur ses bases naturelles n'avait rien à voir avec les fluctuations d'une guerre qui n'eut opposé que des nations. Le mensonge de l'histoire n'a été nécessaire que parce qu'il s'agissait, sous le couvert de la victoire des uns, d'opérer le rétablissement d'un certain ordre ploutocratique.

Là est le noeud de l'imposture.

Lorsque le Maréchal Pétain dit :

'Un peuple n'est pas un nombre déterminé d'individus arbitrairement comptés au sein du corps social', lorsqu'il montre qu'un peuple est une hiérarchie de familles, de professions, de communes, de responsabilités administratives, de familles spirituelles, articulées et fédérées pour former une patrie animée d'un mouvement, d'une âme, d'un idéal, moteurs de l'avenir pour produire à tous les échelons une hiérarchie des hommes qui se sélectionnent par les services rendus à la communauté...', il bouleverse les fondements de la démo-ploutocratie et annonce une libération autrement authentique et profonde que celle apportée de Londres et qui n'est qu'une restauration de l'Ordre ancien. Par plus d'un côté, 1944 est un 1814 républicain.

'La solution, avait dit le Maréchal, consiste à rétablir le citoyen juché sur ses droits, dans la réalité familiale, professionnelle, communale, provinciale, nationale.

'C'est de cette réalité ... et sur elle que doit se fonder la vraie liberté, car il n'y a pas et ne doit pas y avoir de liberté théorique et chimérique contre l'intérêt général et l'indépendance de la nation.

'Je me propose de recomposer un corps social d'après ces principes' (Allocution prononcée le 8 juillet 1941 à la séance d'ouverture des travaux de la 3ème commission du Conseil national sur la Réforme constitutionnelle).

Il y a un parallélisme extraordinaire entre ces propos du Maréchal au lendemain de la défaite de 1940 et ceux du comte de Chambord au lendemain de celle de 1871. Les deux fois, les mêmes forces de l'Argent et du conservatisme ont réussi à faire échouer la reconstitution de la société hiérarchisée, corporativement organisée et libérée du Pouvoir occulte de la ploutocratie.
[Pétain par la loi du 13 août 1940 interdit la franc-maçonnerie en France. Franc-maçonnerie dont chacun sait combien elle et elle seule est liée aux milieux du capital... Pour une étude de cette loi contre la franc-maçonnerie, se reporter au livre de Léon de Poncins, La franc-maçonnerie d'après ses documents secrets]

C'est tout de même singulier et je demande qu'on y réflechisse et qu'on voie bien où était la vraie libération.

Quand on relit plus de vingt ans après les propos du Maréchal Pétain sur l'avenir du pays, et tel qu'il le concevait, on prend soudain conscience de la formidable révolution qui allait s'opérer. 'Le régime nouveau, avait dit le Maréchal, sera une hiérarchie sociale. Il ne reposera plus sur l'idée fausse de l'égalité naturelle des hommes, mais sur l'idée nécessaire de l'égalité des chances données à tous les Français de prouver leur aptitude à servir. Seuls le travail et le talent deviendront le fondement de la hiérarchie française. ... ainsi renaîront les élites véritables que le régime passé a mis des années à détruire, et qui constitueront les cadres nécessaires au développement du bien-être et de la dignité de tous'.

À ceux qui craignaient pour la liberté, il répondait :

'L'autorité est nécessaire pour sauvegarder la liberté de l'Etat, garantie des libertés individuelles, en face des coalitions d'intérêts particuliers. Un peuple n'est libre, en dépit de ses bulletins de vote, dès que le gouvernement qu'il a librement porté au pouvoir devient prisonnier de ces coalitions...'

Ce sont les plus puissants de ces intérêts qui ne lui ont jamais pardonné la voie révolutionnaire sur laquelle ils s'engageait, comme ils n'avaient pas pardonné jadis au Comte de Chambord. Chaque fois qu'un prince ou un chef français a essayé de renouer avec la Tradition, de restaurer l'ordre corporatif pour défendre les petits, une étrange coalition des intérêts ploutocratiques et des forces de gauche a fait barrage.

Le Maréchal touchait au mécanisme même du systèle démo-libéral en dénonçant, sur le plan de la production et des échanges, 'l'asservissement aux puissances d'argent'.

Et il annonçait :

'Deux principes essentiels nous guideront : l'économie doit être organisée et contrôlée (frein au 'libéralisme' économique). La coordination par l'Etat des activités privées doit briser la puissance des trusts et leur pouvoir de corruption (interventionnisme et protectionnisme)' (Message au Peuple Français, du 11 octobre 1940).

En parlant ainsi, le Maréchal désignait les forces qui devaient l'abattre (les forces du capital).

C'est la condition prolétarienne que le Maréchal Pétain entendait transformer. Quelles sont donc les causes qui ont dressé les classes les unes contre les autres? demandait-il.

Et il répondait :

'Ces causes, c'est la menace du chômage, c'est l'angoisse de la misère qu'elle fait peser sur vos foyers. C'est le travail sans joie de l'ouvrier sans métier. C'est le taudis dans la cité laide, où il passe les hivers sans lumières et sans feu. C'est la vie nomade, sans terre, sans toit.

'Telle est la condition prolétarienne. Il n'y aura pas de paix sociale tant que durera cette injustice... les causes de la lutte des classes ne pourront être supprimées que si le prolétaire qui vit aujourd'hui accablé par son isolement (voulu et recherché par l'éclatement libéral), retrouve dans une communauté de travail, les conditions d'une vie digne et libre, en même temps que des raisons de vivre et d'espérer.

'Cette communauté, c'est l'entreprise; sa transformation peut, seule, fournir la base de profession organisée, qui est elle-même une communauté de communautés...' (Discours de Saint-Etienne, 1er mars 1941).

Qu'on observe bien ce qui s'est passé depuis que les forces démo-ploutocratiques ont repris le pouvoir : elles ont cédé sur des points de détail, jamais sur la structure capitaliste de la condition ouvrière.

Or, la libération vraie était là, dans cet ordre nouveau que le Maréchal définissait ainsi:

'Abandonner tout ensemble le principe de l'individu isolé en face de l'Etat (républicanisme libéral), et la pratique de coalitions ouvrières et patronales dressées les unes contre les autres' (marxisme). Instituer 'des groupements comprenant tous les membres d'un même métier : patrons, techniciens, ouvriers.

'Le Centre de groupement n'est plus la classe sociale, patronale ou ouvrière, mais l'intérêt commun de tous ceux qui participent à une même entreprise' (Discours de Commentry, 1er mai 1941).

La Révolution nationale se centrait sur l'ordre corporatif. C'est toute la structure de la société capitaliste (les forces du capital d'Annie Lacroix-Riz...) qui allait être bouleversée et les espérances de son contraire : le marxisme. Qui ne comprend aujourd'hui la conjonction de leurs efforts pour empêcher cette Libération sociale?

Si l'on envisage les évènements, sous cette optique de l'alliance de la ploutocratie et du communisme contre les Révolutions nationales qui cherchaient à reconstituer une société hiérarchisée, corporativement organisée et indépendante des trusts (indépendante des pouvoirs d'argent et du capital), nous avons l'explication de l'histoire (libérale) contemporaine.

'Le capitalisme international et le socialisme international, disait le Maréchal Pétain, ont été d'autant plus funestes que, s'opposant l'un à l'autre en apparence, ils se ménageaient l'un et l'autre en secret (deux faces d'une même pièce...) Nous ne souffrirons plus leur ténébreuse alliance'.

'À la suite de l'expérience, je corrigerai l'oeuvre entreprise et je reprendrai, contre un capitalisme égoïste et aveugle, la lutte que les souverains de France ont engagée et gagnée contre la féodalité.

'J'entends que notre pays soit débarrassé de la tutelle la plus méprisable : celle de l'argent' (Discours à la Jeunesse de France, 29 décembre 1940).

Comme ces paroles rendent un son étonnant dans notre monde d'aujourd'hui! À l'audace qu'elles semblent contenir on mesure le recul opéré en vingt ans, la reprise en main de l'opinion par les puissances d'argent et les ménagements non plus secrets, mais publics que le capitalisme international et le socialisme international ont désormais l'un pour l'autre.

Lorsque le Maréchal propose d''assurer une représentation réelle (la représentation sincère de l'Alliance Royale) des forces vives du pays', d'obtenir une représentation réelle 'de la nation elle-même' (14 octobre 1941), il ne limite pas la représentation nationale, il lui donne au contraire une valeur, en représentativité et en compétence, que la démocratie ne permet pas d'atteindre.

... La grande affaire depuis un siècle aura été l'alliance constante de l'Argent et de la Révolution contre toute tentative d'organisation corporative de la production.

De la part du Capitalisme-libéral, cela se comprend parce que la Corporation limite sa liberté et lui impose des devoirs (la corporation est une frein au 'libéralisme'); de la part de la Révolution, cela se comprend aussi parce que l'organisation corporative de la production résolvant l'antagonisme des classes enlevait à la propagande révolutonnaire ce levier du prolétariat revendicateur dont Karl Marx avait vu, dès le milieu du XIXe siècle, les immenses possibilités révolutionnaires qu'il offrait.

L'évolution des crises politiques a été influencée d'une manière décisive par cet intérêt commun de la Ploutocratie et de la Révolution (guère étonnant donc de voir la communiste Annie Lacroix-Riz calomnier Pétain en l'accusant faussement d'être au service du capital. Dans l'intérêt de sa secte communiste, c'est logique). On s'est étonnné, par exemple, qu'une assemblée monarchiste comme celle de 1871 n'ait point rétabli le Comte de Chambord sur le trône de France. C'était oublier l'hostilité du monde des affaires, en grande aprtie orléaniste, qui répugnait à voir le Comte de Chambord reconstituer une monarchie organique et corporative qui eut donné au prolétariat sa place dans la Nation.

Tandis que Karl Marx saisit l'occsion que lui fournit la société capitaliste d'utiliser le prolétariat comme force de rupture de la société chrétienne, le Comte de Chambord, qui veut sauver les valeurs fondamentales de cette dernière (la 'droite des valeurs' d'Alain Soral), voit qu'il faut condamner le libéralisme politique et dans sa Lettre sur les Ouvriers, il aborde les solutions 'que les principes et les expériences paraissent indiquer':

'À l'individualisme opposer l'association; à la concurrence effrénée, le contrepoids de la défense commune; au privilège industriel, la constitution volontaire de corporations libres' et qui 'pourraient entrer dans l'organisation de la commune et dans les bases de l'électorat et du suffrage (...) considération qui touche un des points les plus graves de la politique de l'avenir'.

Telle était la monarchie organique et corporative que se proposait de reconstituer le Comte de Chambord et que la 'droite des affaires' qui se drape dans le drapeau tricolore de la Révolution, va faire échouer.

Cette 'droite des affaires' (orléanisme) voulait bien restaurer la monarchie pour couronner l'Etat capitaliste-libéral, mais elle se refusait à reconstituer une monarchie organique et corporative qui aurait contrôlé le 'privilège industriel', ce que nous appellerions aujourd'hui : les trusts.

'Il ne s'agit rien moins que de reconstituer sur ses bases naturelles une société profondément troublée, rappelait le Comte de Chambord dans son manifeste du 30 octobre 1873, la France verra la fin de ses épreuves quand elle voudra le comprendre'.

Maurras fera remarquer que 'les papes ont dit et redit la même chose'.

Que dit en effet Léon XIII, dans son encyclique
Humanum genus, le 20 avril 1884, vingt ans après la Lettre du Comte de Chambord sur les Ouvriers? Ceci :

'Il est une institution due à la sagesse de nos pères et dont le temps avait interrompu le cours (Loi révolutionnaire
Le Chapelier 1791 interdisant les corporations de métiers), qui peut servir de modèle et de type pour créer de nos jours des institutions semblables: nous voulons parler des Corporations d'artisans qui, avec la religion pour guide, protégeait à la fois les intérêts et les moeurs'.

Encore une fois, nous allons voir le monde des affaires s'opposer à Léon XIII comme au Comte de Chambord. C'est bien la même lutte qui se poursuit...

Lorsque Léon XIII lancera le 16 mai 1891 sa grande encyclique sociale
Rerum novarum, il reviendra sur la nécessité de reconstituer les corporations.

'Le siècle dernier, disait-il, a détruit sans rien leur substituer, les corporations anciennes.... et ainsi peu à peu, les travailleurs isolés et sans défense (face au marché) se sont vus, avec le temps, livrés à la merci de maîtres inhumains et à la cupidité d'une concurrence effrénée'...

Cette société démo-libérale, dure à l'ouvrier, c'est celle qui vote anticlérical et va laïciser l'école, chasser les religieux, séparer l'Eglise et l'Etat.

... Tels sont les fondements de la doctrine corporative dont le Maréchal Pétain entendait s'inspirer pour réaliser la Révolution nationale. Là était la véritable 'Libération'. On eut l'autre."

(Jacques Ploncard d'Assac, Critique nationaliste, La Librairie Française, Paris 1960, p.171-186)

                                                        ***
Entre autres falsifications, Annie Lacroix-Riz est connue pour avoir dans une tribune du Monde du 26 février 2002 intitulée « Le pape de Hitler », écrit qu'avec l'appui de Pie XII, "l'Église s'engagea activement à l'est de l'Europe dans l'extermination"... L'assertion suffit à qualifier 'l'historienne'...

Stéphane Courtois, auteur du Livre noir du communisme indique : « Mme Lacroix-Riz ignore les témoignages de base (...) elle ne tient aucun compte des règles de travail élémentaires de l'historien (...) À aucun moment elle ne s'interroge (...) De surcroit, Mme Lacroix-Riz ignore tout autant les nombreux travaux tirés des archives soviétiques synthétisés par Nicolas Werth (...) elle ignore tout autant les nombreux ouvrages en anglais. » (Stéphane Courtois, Vous avez dit négationnisme? Le Meilleur des mondes (revue) 1, avril 2006. Voir aussi un article de S. Courtois sur le « négationnisme » de la famine dans Histoire du christianisme de décembre 2005.)

                                                          *** 

* Contre-information. Le mythe de la République 'sociale'
*
Money as debt - L'argent comme dette
*
1789 Une aristocratie en chasse une autre, naissance de la bourgeoisie d'affaires et de l'Argent-Roi, la ploutocratie
*Propagande : "Cette société de l'argent ... On est dans un système d'ancien régime" (Jack Lang)
*
Le gouvernement gouverné
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T
Une petite vidéo critique sur Le choix de la Défaite :<br /> <br /> http://www.dailymotion.com/video/x446k6h_annie-lacroix-riz-historienne-ou-militante-politique_school
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